TOO WEB OR NOT TO WEB -...

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Dossier presse / X e TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013 1/ 15 décembre 2012 - 20 mai 2013 DOSSIER PRESSE TOO WEB OR NOT TO WEB TROP DE TOILE OU PAS Musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine 10 E TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES 4 Bd Arago ANGERS / 02 41 24 18 48 du mardi au dimanche / 10h-12h / 14h-18h www.musees.angers.fr

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Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013 1/

15 décembre 2012 - 20 mai 2013

D O S S I E R P R E S S E

TOO WEB ORNOT TO WEBTROP DE TOILE OU PAS

Musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine

10E TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES

4 Bd Arago ANGERS / 02 41 24 18 48du mardi au dimanche / 10h-12h / 14h-18h

www.musees.angers.fr

2/ Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013

SommaireCommuniqué de presse ......................................................................3

Avant-propos par Françoise de Loisy ................................................4

« Net ou ne pas être «, par Pierre Daquin ........................................5

Le concours et le jury ..........................................................................6

Liste des œuvres exposées ................................................................ 7

Œuvres disponibles pour la presse .................................................. 10

Autour de l’exposition ....................................................................... 12

Les nouvelles acquisitions du musée ............................................. 14

Les musées de la Ville d’Angers ...................................................... 16

La politique culturelle de la Ville ...................................................... 18

Visiter Angers ..................................................................................... 19

Informations pratiques .................................................................... 20

10E TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES

15 décembre 2012 - 20 mai 2013

TOO WEB OR NOT TO WEBTROP DE TOILE OU PASMUSÉE JEAN LURÇAT ET DE LA TAPISSERIE CONTEMPORAINE

Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013 3/

Communiqué de presse

Pour la 7e édition consécutive à Angers, le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine organise et présente l’exposition Xe triennale internationale des mini-textiles. Le thème retenu cette année et proposé par Pierre Daquin est : «Too web or not to web» / «Trop de toile ou pas».

Depuis plus de quinze ans, la ville d’Angers et son musée de tapisserie contemporaine proposent ce rendez-vous attendu entre la création contemporaine textile et le public.Chaque artiste présente une œuvre faite à partir de fil ou de sa symbolique dont la dimension ne doit pas excéder 12 x 12 x 12 cm (surface ou volume). La modestie des formats s’allie au talent et à la diversité ; des artistes célèbres et en devenir, jeunes et moins jeunes, se côtoient.

Un jury composé d’artistes, d’enseignants, d’experts, de conservateurs, s’est réuni en septembre pour la sélection des œuvres qui composeront l’exposition. Parmi 462 candidatures reçues, 68 ont été sélectionnées. 23 pays sont représentés.

Il est notable de constater que, cette année, pour exprimer le thème, la majorité des artistes a choisi une expression plastique concrète et figurative. Le web est clairement montré dans ses aspects négatifs, parfois avec humour et poésie : de drôles de monstres peuplent la toile…. L’homme n’est plus libre face à sa webcam, il est prisonnier du réseau qui, lui-même, apparaît souvent comme artificiel et suscitant des imbroglios. Le voyeurisme, l’intrusion dans notre intimité sont dénoncés. Le net peut être un jeu qui devient dangereux lorsqu’il soutient un conflit, une révolution. Enfin, dans le monde, l’inégalité de l’information informatique est soulignée. L’image du réseau/toile apparaît comme une toile d’araignée. Les codes de l’informatique : l’@, le QR code, le flash code, le code source, l’octet et le pixel… sont choisis par certains artistes. Qu’est-ce qui est concret, qu’est-ce qui est virtuel ? Un groupe d’œuvres parlent de façon plus sereine et conceptuelle de l’idée du réseau et de la connexion.

Parallèlement à l’exposition, sorties des réserves, les dernières acquisitions du musée sont présentées. Celles des 24 minis-textiles de la 9e triennale internationale « Avec ou sans eau ? » ainsi que celles réalisées après les expositions « Asie-Europe » (œuvres des artistes Wang Kyung-Ae et Sabine Zeiler) et « 1-2-3 Sculptures de fibres » (œuvres des artistes Marie-Noëlle Fontan, Jill Galliéni et Simone Pheulpin). Ce panorama sera enrichi d’œuvres de Josep Grau-Garriga, décédé en 2011.

Les artistes sélectionnés par pays :

Allemagne : Ulrike Fritz, Elvira Viranyi ; Angleterre : Birgitta Mac Donald, Anna Ray ; Argentine : Susana Bredt, Liliana Rothschild, Flora Sutton, Ana Zlatkes ; Australie : Sue Hiley Harris ; Autriche : Evelyn Gyrcizka ; Belgique : Hélène De Gottal, Yolande Devaux ; Bulgarie : Ceca Georgieva ; Brésil : Elke Hülse ; Canada : Marie Renée Otis ; Chine : Xiao Rui Wang ; Danemark : Dorthe Herup, Nina Ponthou ; Etats-Unis : Jayne Gaskins, Urban Jupena, Peggy Moulton, Jenine She-reos ; Finlande : Minnamarina Tammi ; France : Nicole Bayle, Natalie Bellanger, Rebecca Campeau, Jean Louis Cognée, Martine Compère Spitzer, Muriel Crochet, Jean-Luc Flambard, Carole Fromenty, Jill Galliéni, Marie-Claire Garnier, Sarah Georges, Mathilde Georget, Josiane Guitard Leroux, Roselyne Guittier, Gérard Hunot, Joëlle Martin, Juliette Métrat, Chris-telle Perchard, Simone Pheulpin, Tessa Philippot, Paule Robin, Mai Tabakian, Cécile Thomas, Chantal Verdier-Sablé ; Hol-lande : Marian Bijlenga, Jannie Huizing Keuning, Hagar Vardimon, Marjolein Ven der Stoep ; Japon : Toko Hayachi, Miyuki Hirafuku , Murotani Hiromi, Nio Keiji, Mihoko Sumi, Keiko Takayama , Sugane Tsuchiya ; Lituanie : Virginija Kirveliene, Biruté Sarapiene, Ausra Vinogradovaitè ; Pologne : Kazimiera Frymark-Blaszczyk ; Roumanie : Ariana Nicodim ; Russie : Anna-Maria Bystrova, Irina Kolesnikova ; Vietnam : Thuy Trang Nguyen ; Italie / Allemagne : Heidi Bedenknecht-De Felice ; Israël / Etats-Unis : Ayelet Lindenstrauss Larsen.

Catalogue de l’exposition : textes Pierre Daquin, Françoise de Loisy, 96 pages, prix de vente : 15 €

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Avant proposPar Françoise de Loisy, conservateur aux musées d’Angers (Extraits du catalogue)

2012 : nouveau rendez-vous pour les œuvres de petits formats. Tous les trois ans depuis 1993, le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine organise ce concours international.

Depuis presque 20 années déjà, cette manifestation est organisée par Angers ; nous y retrouvons des artistes qui, fidèle-ment, nous accompagnent pour ce panorama de l’art textile contemporain. Ainsi ceux qui y ont participé en 2006 ou 2009 : Jean-Louis Cognée (2006), Jill Gallieni (2006), Jannie Huizing-Keuning (2006), Nio Keiji (2006), Juliette Metrat (2006), Nina Ponthou (2006), Natalie Bellanger (2009), Carole Fromenty (2009), Kazimiera Frymark-Blaszczyk (2009), Birgitta MacDocnald (2009), Marie-Renée Otis (2009), Paule Robin (2009), Ana Zlatkes (2009). Evelyn Gyrcizka et Toko Hayashi ont été sélectionnées, quant à elles, pour les deux dernières triennales de 2006 et 2009.

Parmi 462 candidatures reçues cette année, 68 ont été sélectionnées. Le nombre des candidats a oscillé entre 325, la première année de la manifestation en 1993, et 585 (le record) en 2005 sur le thème de « Jardins réduits ».

En 2012, plus de 23 pays sont représentés avec une majorité écrasante pour l’Europe (48 artistes d’Allemagne, Angleterre, Autriche, Belgique, Bulgarie, Ecosse, Finlande, France, Hollande, Italie, Lituanie, Norvège, Pologne, Roumanie et Russie) contre 11 artistes pour le continent américain (Argentine, Brésil, Canada et Etats-Unis) et 9 pour le continent asiatique (Chine, Japon et Vietnam).

L’idée et l’intitulé du thème « Too web or not to web » / « Trop de toile ou pas » ont été donnés par Pierre Daquin, fidèle ami et partenaire du musée. Il est notable de constater que, pour exprimer ce thème, la majorité des artistes a choisi une expression plastique concrète et figurative. De cette façon, quarante et un artistes contre vingt sept s’expriment en utilisant cette voie, souvent avec humour et poésie.

L’objet informatique est traité avec ses codes et son langage dont les artistes s’emparent de façon imagée et ludique : c’est la web cam, la toile, l’@, le QR code, le flash code, le code source, l’octet, le pixel et même le nuage informatique, sorte de lieu indéfini dans lequel sont stockées des données.

Le réseau est clairement dénoncé dans ses aspects négatifs avec, par exemple, l’addiction à la toile (4h du mat de Cécile Thomas ou Excès de toile/1000ème victime de Juliette Métrat) ; où l’internaute est représenté prisonnier de la machine…). On retrouve cette idée de l’emprisonnement exprimé de façon plus abstraite dans Une prison en or de Tessa Philippot, petite cage tissée en fils de laiton. Parfois le voyeurisme, l’intrusion dans notre vie intime sont indiqués explicitement (Jane Gaskins, A regarder ; Irina Kolesnikova, The observer).

Le réseau peut être aussi perçu comme une communauté artificielle : ainsi les œuvres de Nicole Bayle, Susana Bredt (Liés ou ligotés ?), Carole Fromenty ou Marie-Clarie Garnier montrent des liens qui « ligotent » les gens entre eux, tandis que Ana Zlatkes (Salut quelqu’un écoute ?) ou l’américaine Peggy Moulton (Getting granny onta the web ain’t easy !) insistent sur le leurre de la communication virtuelle.

Les dangers du jeu sur le web (Dorthe Herup, War game.it), l’inégalité de l’accès à l’information (Paule Robin, World wide web) pouvant aller jusqu’à la censure (Xiao Rui Wang, Cocon ; Sumi mihoko Weave II) sont aussi dénoncés.

Enfin un groupe d’œuvres parlent de l’idée du réseau et de connexion. Ce sont des univers reliés entre eux, des points d’accès, des liaisons qui se rejoignent. Ces œuvres plus conceptuelles sont aussi plus optimistes car les rencontres, les informations semblent y circuler.

Ainsi le réseau peut être prometteur, synonyme d’optimisme ou de pessimisme. Il est le reflet de notre humanité. En cela les artistes dénoncent les dérapages possibles du web, alertent sur les manipulations, les inégalités, l’enfermement, la coercition qui peuvent arriver avec cet outil. Nous conclurons avec Albert Camus : « L’une des seules positions philoso-phiques cohérentes, c’est ainsi la révolte.» 1

1 écrit en 1942 dans « Le Mythe de Sisyphe ».

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« Net ou ne pas être »Par Pierre Daquin, artiste (texte du catalogue)

« Too web or not to web » équivalant à « Trop de toile ou pas » en écho bien entendu au « To be or not to be », « Etre ou ne pas être » d’Hamlet qui se traduit de nos jours par l’incontournable obligation de pratiques informatiques sous peine de disparaître, voire de ne pas naître. W.W.W. World Wide Web signifiant « La toile d’araignée mondiale », les liens avec les recherches des mini-textiles semblent évidents et multiples.Ce récent mais fulgurant impératif social qui s’exprime lors de nouvelles rencontres par :« Tu as un site ? » sous-entendu : si oui : tu existes (ton oeuvre, ton parcours, toi...) sinon, mine dubitative de l’interlocuteur qui vous propose de le retrouver sur son mail, son site, sur facebook ou twitter...

Mais qu’est-il advenu du corps des choses en cet exponentiel déploiement virtuel ?

Quand, à l’être concret, original, physiquement présent du danseur, du tableau, de la sculpture, du textile, de l’installa-tion, du livre, se substitue son image, sa superficielle apparence reproductible à l’infini sur tous nos formats d’écrans que devient la vivante rencontre sensible susceptible de vous faire vibrer, dessiller votre regard, déployer votre pensée, votre créativité, comme à chaque première découverte d’une œuvre qui vous touche profondément.

« Mettez un écran dans un musée et plus personne ne regarde les tableaux » nous dit Gerhard Richter.Mais que montrent et que cachent tous ces écrans ?

Question de la Présence / Absence.De si nombreux amis virtuels quand la main d’un seul sur votre épaule vous réconforterait !

Faut-il opposer pour autant le cinéma, la magie d’une vidéo de Bill Viola ou le suspens entre rêve et réalité d’un environ-nement de lumière de James Turrell aux matières judicieusement utilisées par des artistes de mini- textiles ou d’un Anish Kapoor sublimant les pigments, miroirs, cire, ou fumée ?

Dilemme ou complémentarité entre matière et impalpable virtualité ?Les artistes ici sont encore libres d’exercer leurs choix sans encourir le risque ultime d’Arachné qui excellait dans l’art du tissage ce qui provoqua la colère d’Athéna qui fendit sa toile de haut en bas avec sa navette puis en frappa la tête de la jeune fille. Humiliée, Arachné se pendit de désespoir. La déesse alors, quelque peu repentante, la métamorphosa en arai-gnée qui garda toute son adresse à tisser.

Ce mythe suggère bien des interprétations plastiques tout comme ces silencieuses révolutions informatiques en réseaux qui ont déjà eu le pouvoir de faire bouger les peuples. Tout bouge. Nous n’en sommes qu’au début. Qu’en sera-t-il de leur inexorable incidence sur le travail des créateurs de tous horizons ?

6/ Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013

Le concours et le juryLE REGLEMENT DU CONCOURS

Cette manifestation internationale d’œuvres de petits formats est organisée par les musées d’Angers depuis 1993 ; il s’agit donc de la septième édition angevine. Auparavant elle existait à Strasbourg, pilotée par l’association « Le Faisan ». Par respect pour ses créateurs, Angers reprendra la numérotation des triennales à partir du numéro « 4 », les trois premières triennales ayant eu lieu à Strasbourg.

La proposition a été faite par l’artiste Pierre Daquin, qui venait de clore une exposition rétrospective de son travail au musée de la tapisserie contemporaine, et allait prendre en charge la direction de l’atelier de tapisserie de l’école supérieure des Beaux-Arts d’Angers.

Une des particularités de ce concours est le format particulièrement petit qui est imposé aux artistes. Dans d’autres lieux comme à Côme en Italie, à Szombathely en Hongrie ou en différents endroits au Japon, les dimensions des mini-textiles oscillent entre 18 et 20 cm. A Angers, c’est 12 cm maximum ! Il s’agit donc d’un « exercice » particulièrement périlleux. Le danger étant de réaliser un mini-textile qui ressemble plus à un échantillon ou à un gadget qu’à une œuvre.

La participation de chaque artiste est limitée à une œuvre récente (moins d’un an), jugée à partir de deux clichés numériques offrant deux vues différentes.

LE JURY

68 œuvres parmi 462 ont été sélectionnées par le jury, composé cette année de 8 membres.

Christine Besson, Conservateur en chef aux musées d’Angers.Pierre Daquin, ArtisteAnne Dressen, Conservateur au musée d’art moderne de la Ville de Paris (ARC)Françoise de Loisy, Conservateur aux musées d’Angers, responsable du musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine.Sandrine Pincemaille, Artiste, Professeur de l’atelier de tapisserie/textile à l’Ecole des beaux-arts d’Angers.Yves Sabourin, Inspecteur de la création artistique, Collège arts plastiques, Direction générale de la création artistique, Ministère de la culture et de la communication.Arlette Vermeiren, Artiste, Directeur à la Recherche Textile des Arts contemporains au TAMAT.Bruno Ythier, Conservateur du musée départemental d’Aubusson.

Le jury s’est réuni à l’auditorium du musée des Beaux-Arts d’Angers le 21 septembre 2012. Les œuvres ont été présentées par ordre d’arrivée des dossiers aux musées d’Angers. Les noms des artistes n’ont pas été donnés. Le jury disposait des éléments suivants : le titre, la technique et les matériaux de l’œuvre, la nationalité de l’artiste ainsi que les photographies.

Les thèmes choisis pour les deux premières triennales à Angers en 1993 et en 1996 étaient volontairement en lien avec l’histoire d’Angers : « Apocalypses »2 en 1993 et « Cœur d’amour épris, de l’imaginaire au virtuel »3 en 1996. Ces deux pre-miers thèmes, proposés par Pierre Daquin, ont permis de bien faire connaître au niveau international cette manifestation en la liant au paysage culturel angevin.

Cette année, le thème retenu « Too web or not to web » / « trop de toile ou pas », a été donné par Pierre Daquin.

2 Ce thème renvoie à la célèbre tenture médiévale conservée au château d’Angers.3 Cœur d’amour épris, fait allusion au recueil poétique courtois écrit par le roi René d’Anjou au milieu du XVème siècle et illustré de splendides miniatures.

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Œuvres exposéesALLEMAGNE

Ulrike FritzNée en 1958 Habitant de la toileSoie schappe. Crochet.10 x 5 x 8 cm

Elvira ViranyiNée en 1952La momie de l’amateurPoupée, gaze.3 x 12 x 3 cm

ANGLETERRE

Birgitta Mac DonaldNée en 1957Toile casséeLaine, coton, lin. Tapisserie haute Lice.12 x 11 x 3 cm

Anna RayNée en 1975 Intérieur (fil)Web cam photographie sur papier, fil de pêche, carte12 x 12 x 9 cm

ARGENTINE

Susana BredtNée en 1943Liés ou ligotés ? Acrylique, fils de coton. Technique du filet.10 x 12 x 12 cm

Liliana RothschildNée en 1962Tissu organiqueFibre organique, fils de coton. Ttech-nique personnelle.12 x 12 x 4 cm

Flora SuttonNée en 1953 ChaosFil de fer, aluminium.12 x 12 x 12 cm

Ana ZlatkesNée en 1947Salut, quelqu’un écoute?Papier, tissu, fil coton.Technique mixte.10 x 10 x 3 cm

AUSTRALIE Sue Hiley HarrisNée en 1950 Trois connexions bleuesPapier filé, teint en indigo, tissé et construit à la main. 10 x 10 x 10 cm

AUTRICHE

Evelyn GyrcizkaNée en 1953 Sans titrePlumes, lin. Technique personnelle.11 x 9 x 5 cm

BELGIQUE

Hélène de GottalNée en 1963TipuleCheveux sur feuille de polyester et cube en plexiglas. Dentelle aux fuseaux de Bruges. 12 x 12 x 12 cm

Yole Devaux (Yolande Devaux) Née en 1956PalimpsestePapier, lin, soie, gaze, impression acrylique. Tapisserie haute lice, inclu-sion de papier à la cuve.12 x 12 cm

BULGARIE

Ceca (Ceca Georgieva)Née en 1951 Trop de toile…Bardanne. Technique personnelle.12 x 12 x 3.7 cm

BRÉSIL

Elke HülseNée en 1961 Entre le visuel et le virtuelCoton et papier. Tapisserie.12 x 10 cm

CANADA

Marie-Renée OtisNée en 1955Algue d’OrFil d’or, perles sur tissu. Broderie. 12 x 12 x 1.5 cm

CHINE

Xiao Rui WangNé en 1989 CoconFil internet, fil électrique.diam 9 cm

DANEMARK

Dorthe HerupNée en 1953 War game.it (C’est un jeu de guerre)Mouchoir. Broderie.12 x 12 x 12 cm

Nina PonthouNée en 1967Octet : élément d’information de huit bits.Rayonne. Tricot.2 x 11 x 2 cm

ETATS-UNIS

Jayne GaskinsNée en 1949A regarderCoton, boîtier plastique. Peinture, trapunto piqué.11.5 x 11.5 x 3.75 cm

Urban JupenaNé en 1945 QR codeCoton, lin. Tapisserie.12 x 12 cm

Peggy MoultonNée en 1929 Getting Granny onto the web ain’t easy ! (Joindre une Mamy sur le web n’est pas facile !)Tissus (soie et coton), capsules de café, emballage, cartouche, fil à coudre, papier journal.12 x 12 cm

Jenine ShereosNée en 1978 FeuilleCheveux humains. Nouage, couture.12 x 9 cm

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FINLANDE

Minnamarina (Minnamarina Tammi) Née en 1963 Betwixt and Between - Entre deuxPapier.9 x 9 x 9 cm

FRANCE

Nicole Bayle, Née en 1948 Web-not-webRecto : Coton, broderie, peinture. Crochet.Verso : Coton. Tricot11 x 11 x 1.5 cm

Natalie BellangerNée en 1962 RéseauxCoton. Technique à l’aiguille. 11 x 12 x 4 cm

Rebecca CampeauNée en 1955 SpamLin, coton, fils, peinture, colle. Tech-nique mixte. 12 x 12 x 8 cm

Jean Louis CognéeNé en 1940, Sans titre (ou Trop de toile ou pas)Bronze et fil métallique.12 x 12 x 7.5 cm

Martine Compère-SpitzerNée en 1962FilaturesWeb cam, filin, fil à coudre. Fils tendus, point de reprises.11 x 11 x 11 cm

Muriel CrochetNée en 1955 Toile / EcransLaine, coton, rhodoïd, bristol, carton encres. Tissage basse-lice / impres-sion numérique.12 cm, diam 5cm

Jean-Luc FlambardNé en 1960C simple com @ 1 coud de fil. frCâble plat, clavier, fil. Couture machine.12 x 12 x 12 cm

Carole FromentyNée en 1965 Sans titreTissu. Impression numérique / Couture12 x 10 x 10 cm

Jill Galliéni Née en 1948Cosmos webTissu, fil coton. Couture, broderie.11 x 10.5 cm

Marie-Claire GarnierNée en 1951 Leurres et illusions de la transpa-rence de la toileFilm cristal, cordon de soudure. Tissage point noué et fil de cuivre.12 x 12 x 12 cm

Sarah GeorgesNée en 1977 Trop de voile ou pas…par un vent pareilLaine, coton, nylon, fil de fer, carton, plâtre. Broderie.10 x 10 x 10 cm

Mathilde GeorgetNée en 1983 Let’s e inside (Allons à l’intérieur)Fil de fer, organza, fil. Couture main. 9 x 9 x 5 cm

Josiane Guitard-LerouxNée en 1954 Toile noireCheveux noirs, épingles à tête plate, carton plume.12 x 12 x 1 cm

Roselyne GuittierNée en 1942 Recto : Flashcode. E-billet n° 191604825 TGV 8451. Paris montpar-nasse / St Pierre des Corps. Verso : Les réseaux sociauxToile Aïda et coton. Broderie au point de croix.12 x 12 cm

Gérard HunotNé en 1947 Une toile ou de la toile ?Huile et tissus détissés.12 x 12 x 1.5 cm

Joëlle MartinNée en 1958 Pop upLin, raphia, chanvre, céramique.12 x 12 x 12 cm

Juliette MétratNée en 1977 Excès de toile : 1 000 ème victimeFil de cuivre, laine mèche, nylon, feu-trine, feutre de laine.Tressage, tissage, piquage et broderie. 10 x 11 x 10 cm

Christelle PerchardNée en 1971Toile […] cuivrée [Wire Wide Web]Fil de soie d’araignée, crochet, enroulé, vrillé sur circuit imprimé.3.4 x 8.6 x 5.4 cm

Simone PheulpinNée en 1941 Telle est la question !Coton écru, épingles. Pliage.diam 11 cm

Tessa PhilippotNée en 1992Une prison en orLaiton. Tissage.11 x 12 x 12 cm

Paule RobinNée en 1973 World Wide WebLaine, soie. Point noué.diam 12 cm

Mai TabakianNée en 1970Code SourceTextiles divers sur polystyrène extrudé.12 x 12 x 12 cm

Cécile ThomasNée en 1969 4h du matCoton sur toile à canevas.11.5 x 11.5 cm

Chantal Verdier-SabléNée en 1967Conflit de toilesOrganza de soie. «Queues de rat», couture, inclusion, tissage.10 x 9 x 10 cm

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HOLLANDE

Marian BijlengaNée en 1954Diamant dot 2012 (Diamant point 2012)Crin de cheval, nylon, viscose, coton. Broderie machine.11.5 x 11.5 x 2 cm

Jannie Huizing-KeuningNée en 1933Dispute colour (Conflit de la couleur)Soie. Sprang.10 x 10 x 10 cm

Hagar VardimonNé en 1967 «…et je me demande»Fils, papier. Tissage sur papier.12 x 12 cm

Marjolein van der StoepNée en 1963MutantJouet en peluche (fragments). Couture.12 x 12 x 12 cm

JAPON

Toko HayashiNée en 1972 Grow (Croître)Vêtement teinté, coupé et tissé (Sakiori). Fils de papier (chaîne). Moustiquaire japonaise et tulle.11 x 12 x 7 cm

Tatsumi Miyuki (Miyuki Hirafuku)Née en 1980Deep (Profond)Soie, coton. Tapisserie.12 x 11 x 1.5 cm

Murotani HiromiNée en 1970@Toile de coton, gaze.6.5 x 12 x 12 cm

Keiji NioNé en 1957 Un point d’accèsLin, plastique. Technique personnelle.10 x 10 x 10 cm

Mihoko SumiNée en 1972Weave II (Tisser II)Fibres luminescentes, fil métallique. Entrelacement.12 x 9 cm

Keiko Takayama Née en 1962 VaguePolyester, soie, coton. 12 x 12 x 12 cm

Hara Sugane (Sugane Tsuchiya) sous réserve1961-2012NuageFil de papier et de rayonne. Tressé, plié, entrelacé.11x 12 x 12 cm

LITUANIE

Camomille (Virginija Kirveliene) Née en 1955Paraphrase of a spring, 2012 (Déve-loppement du printemps. 2012)Coton, tissage.diam 8.6 cm

Biruté SarapieneNée en 1952StructurePlastique, paraffine, verre coupé et brûlé.12 x 12 x 10 cm

Ausra VinogradovaitèNée en 1987Penetrating pixels (Pixels péné-trants)Plastique, coton synthétique. Broderie.12 x 12 x 2 cm

POLOGNE

Kazimiera Frymark-BlaszczykNée en 1931 DécisionLaine, polyamide. Broderie.12 x 12 x 0.5 cm

ROUMANIE

Ariana NicodimNée en 1935 Mademoiselle PoganySoie sauvage. Technique mixte.11.5 x 10 x 7.5 cm

RUSSIE

Anna-Maria BystrovaNée en 1991WWWFil de fer. Technique personnelle.2.5 x 12 cm

Irina KolesnikovaNée en 1959The observer (L’espion)Lin, soie. Tapisserie.11.5 x 11.5 cm

VIETNAM

Thuy Trang NguyenNée en 1988Moi-toi-vous-nousClous, laine.12 x 12 x 12 cm

Double nationalité

ITALIE/ALLEMAGNE

Heidi Bedenknecht-de FeliceNée en 1947Toile virtuellePolycarbonate fluorescent. Piercing, couture.12 x 12 x 0.4 cm

ISRAËL/ETATS-UNIS

Ayelet Lindenstrauss LarsenNée en 1967www.réalité/matériaux/toileLin, bois, passe-partout, photo cousue, amidonné, collé.12 x 12 x 12 cm

10/ Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013

Œuvres disponibles pour la presseVisuels HD disponibles sur http://presse.angers.fr

Marian Bijlenga (Hollande)Née en 1954Diamant dot 2012 (Diamant point 2012)Crin de cheval, nylon, viscose, coton. Broderie machine.11.5 x 11.5 x 2 cm

Martine Compère-Spitzer (France)Née en 1962FilaturesWeb cam, filin, fil à coudre. Fils tendus, point de reprises.11 x 11 x 11 cm

Jayne Gaskins (États-Unis)Née en 1949A regarderCoton, boîtier plastique. Peinture, trapunto piqué.11.5 x 11.5 x 3.75 cm

Toko Hayashi (Japon)Née en 1972 Grow (Croître)Vêtement teinté, coupé et tissé (Sakiori). Fils de papier (chaîne). Moustiquaire japonaise et tulle.11 x 12 x 7 cm

Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013 11/

Elke Hülse (Brésil)Née en 1961 Entre le visuel et le virtuelCoton et papier. Tapisserie.12 x 10 cm

Irina Kolesnikova (Russie)Née en 1959The observer (L’espion)Lin, soie. Tapisserie.11.5 x 11.5 cm

Joëlle Martin (France)Née en 1958 Pop upLin, raphia, chanvre, céramique.12 x 12 x 12 cm

Thuy Trang Nguyen (Vietnam)Née en 1988Moi-toi-vous-nousClous, laine.12 x 12 x 12 cm

Ausra Vinogradovaitè (Lituanie)Née en 1987Penetrating pixels (Pixels pénétrants)Plastique, coton synthétique. Broderie.12 x 12 x 2 cm

Xiao Rui Wang (Chine)Né en 1989 CoconFil internet, fil électrique.diam 9 cm

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Autour de l’expositionUn journal d’exposition est mis à la disposition du public afin de découvrir l’exposition à son rythme, en toute autonomie.

Chaque visiteur est invité à élire son coup de cœur et voter pour désigner le Prix du public. L’ŒUVRE CHOISIE SERA ACQUISE PAR LES MUSÉES.

Adultes> CONFÉRENCE« La véridique histoire de l’arobase », par Marc Smith, professeur de paléographie à l’École nationale des chartes. L’arobase ou mieux arrobe (@), hier signe graphique rare et marginal, aujourd’hui symbole de l’Internet voire icône unique de la communication moderne, a fait l’objet des généalogies les plus confuses et contradictoires. La conférence cher-chera à en préciser l’origine, ou plutôt les origines, depuis le monde méditerranéen de la Renaissance et l’Angleterre du XVIIIe siècle. Ce sera aussi l’occasion de réfléchir en retour à la manière dont l’information, sur l’Internet, se forme, circule et se déforme sans fin. (1h15) À L’AUDITORIUM DU MUSÉE DES BEAUX-ARTS / JEUDI 4 AVRIL / 18H30Gratuit, dans la limite des places disponibles

> PARCOURS COMMENTÉ Une manière dynamique d’aborder l’exposition en compagnie d’un médiateur culturel (1h30)Un parcours commenté qui va à la rencontre de la diversité des créations d’artistes célèbres et moins connus autour d’un thème et d’un format imposés.

les dimanches à 15h30traduit en LSF LE 10 FÉVRIER À 15H30+ VACANCES DE NOËL : JEUDI 3 ET SAMEDI 5 JANVIER / 15H30 + VACANCES D’HIVER : MARDI 5 MARS / 15H30+ VACANCES DE PRINTEMPS: MERCREDI 24 AVRIL / 15H305 € / 4€ (ENTRÉE DU MUSÉE + MÉDIATION)

+ WEEK-END TÉLÉRAMA : DIMANCHE 24 MARS À 14H30 / 15H30 / 16H30Gratuit pour les détenteurs du Pass téléramaDans la limite des places disponibles

> CAFÉ-EXPO Déambulation commentée dans l’exposition suivie d’échanges autour d’un verre (1h30)avec Pierre Daquin, licier, membre du jury et à l’origine du concours des mini-textiles, et Françoise de Loisy, conservateur en charge du musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaineJEUDI 31 JANVIER / 20H305€/4€ - Réservation obligatoire

Programmation sous réserve de modification. Accueil des participants dans la limite des places disponibles.Réservation recommandée au 02 41 05 38 38 (du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h).

Retrouvez la programmation complète sur www.musees.angers.fr

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Tout public> ATELIERS L’atelier repose sur un va-et-vient entre la découverte de l’exposition avec un médiateur et une pratique en atelier avec un artiste-licier (3 x 3h)Avec Martine Plait et Nadine Altmayer, artistes-licières.

Ateliers de l’hiver JEUDI 3, VENDREDI 4, SAMEDI 5 JANVIER / DE 9H30 À 12H30VENDREDI 22, SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 FÉVRIER / DE 9H30 À 12H30VENDREDI 1ER, SAMEDI 2 ET DIMANCHE 3 MARS / DE 9H30 À 12H30MERCREDI 6, JEUDI 7 ET VENDREDI 8 MARS / DE 9H30 À 12H30

Ateliers de printempsMERCREDI 24, JEUDI 25 ET VENDREDI 26 AVRIL / DE 9H30 À 12H30VENDREDI 3, SAMEDI 4 ET DIMANCHE 5 MAI / DE 9H30 À 12H30

Public mixte : adultes, familles, enfants à partir de 7 ans (16 participants maximum)Forfait adulte 15€ / forfait enfant 12€ / réservation obligatoire

> NOCTURNEOuverture gratuite et exceptionnelle de l’exposition juste avant le démontage. Déambulation libre ou commentaires Express sur les œuvres (5h)SAMEDI 19 MAI, DE 19H À MINUIT, dans le cadre de la Nuit des muséesEntrée libre et gratuite, sans réservation, dans la limite des conditions de sécurité.

Enfants / familles> MINI RÉSEAUXDécouvrir des créations puis se mettre en action, tout un programme ! (1h30)JEUDI 3 JANVIER ; DIMANCHE 13 JANVIER ; MARDI 5 MARS ; DIMANCHE 7, 21 ET 28 AVRIL / 15H304 € / forfait enfant : 12€ (5 animations, non nominatif, valable 1 an)

> EN FAMILLEChacun à son rythme : pendant que les adultes suivent le parcours commenté, les enfants (7-11 ans) explorent l’exposition sous un angle différent dans l’animation Mini réseaux (1h30).JEUDI 3 JANVIER ; DIMANCHE 13 JANVIER ; MARDI 5 MARS ; DIMANCHE 7, 21 ET 28 AVRIL / 15H30Forfait famille : 15€ (avec au moins 1 enfant de 2 à 15 ans et 4 adultes maximum)

L’accueil des groupesRéservation obligatoire (à partir de 10 personnes). Visite en semaine et le week-end.

Tarif applicable par personne : 4€ ou 3,60€ (Angers Loire Tourisme et Tour operator)Gratuité : scolaires et centres de loisirs

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Parallèlement à l’exposition temporaire et sortie des réserves, les dernières acquisitions du musée sont présentées au public.

Ainsi, comme un prolongement de « Too web or not to web » sont exposés les 24 minis-textiles acquis à la suite de la IXe triennale internationale « Avec ou sans eau ? ». L’exposition vient de terminer une itinérance de trois années au Canada, en France et en Catalogne (2009-2012). A la suite des expositions « Asie-Europe /art textile contemporain » en 2011, et « 1-2-3 Sculptures de fibres/Marie-Noëlle Fontan, Jill Galliéni, Simone Pheulpin » en 2012, un ensemble d’œuvres ont été acquises. Parmi elles, celles des artistes Sabine Zeiler (Vessel) et Wang Kyung-Ae (Archetype) pour Asie-Europe, 2 œuvres de Simone Pheulpin et Jill Galliéni, et 6 œuvres de Marie-Noëlle Fontan.

Ce panorama est enrichi par l’achat d’un lot de gravures de Odon (Guy Houdouin). Le musée a présenté cet artiste en 1995 dans une grande exposition monographique « Guy Houdouin/fil conducteur » et depuis suit le travail de ce talentueux tresseur.

Enfin, le musée vient de faire l’acquisition d’œuvres Josep Grau-Garriga disparu en 2011. Il s’agit d’un ensemble de douze dessins préparatoires à l’environnement du château d’Angers en 1989 et de ses trois dernières tapisseries réalisées entre 2009 et 2011.

Les nouvelles acquisitions du muséeVisuels HD disponibles sur http://presse.angers.fr

Josep GRAU-GARRIGASans titre « rouge », 2011, 145 x 250 cm

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Antra AUGUSTINOVICA, Eau fossile, 2009, papier, fil de fer, perles. Technique personnelle, 11 x 6,5 cm

Marie-Noëlle FONTAN, Graminées sau-vages, 2008, 3 pièces, 206 X 128 cm

ODON (Guy Houdouin)Premier divertissement (14/15)76 x 62 cm, empreinte de tressage papier, 1992

Marian SMIT, Cours d’eau, 2009, papier, 12 x 12 x 4 cm

Sabine ZEILER, Vessel. (Vaisselle), 2009huit pièces de dimensions variables, diamètre 18-30 cm

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Les musées d’Angers réunissent cinq musées d’art dont la diversité des collections – peintures, sculptures, objets d’art, tapisserie, art textile, antiquités… – témoigne de la richesse artistique de la ville et participe à son rayonnement. Hébergés dans des lieux patrimoniaux uniques, les musées d’Angers accueillent tout au long de l’année des expositions temporaires qui mettent en lumière artistes contemporains et expositions patrimoniales. Une programmation culturelle riche et variée (conférences, spectacle vivant, danse, animations pour les enfants…) propose un autre regard sur le musée qui favorise la croisée des arts et facilite la rencontre avec les œuvres..

Musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine Les collections du musée rassemblent des œuvres qui situent l’art textile dans l’histoire. L’accrochage, réparti en deux lieux, suit le fil de la tapisse-rie des années 50 jusqu’aux démarches les plus contemporaines.

L’Hôpital Saint-Jean, remarquable ensemble architectural du XIIe siècle, abrite depuis 1967, dans l’ancienne salle des malades le Chant du Monde de Jean Lurçat (1957-1966). Manifeste d’un artiste engagé, écho contem-porain à la tenture médiévale de L’Apocalypse, cet ensemble de dix tapis-series constitue une vision épique, poétique, symbolique et humaniste du XXe siècle.Lorsqu’en 1957, Jean Lurçat entreprend les premiers cartons du Chant du Monde, il saura s’inspirer, se nourrir de cette « Apocalypse » ancienne dé-couverte en 1937 pour créer sa propre « Apocalypse », celle de sa généra-tion, meurtrie par deux guerres mondiales. En créant le Chant du Monde, l’artiste a souhaité transmettre un message d’espoir.

Le bâtiment de l’ancien orphelinat du XVIIe siècle a été restauré en juin 1986. Au fil des ans, les collections se sont enrichies de plus de trois cents tapisseries et œuvres textiles (sans compter les peintures, dessins….) dont les très importantes donations Lurçat, Gleb et Grau-Garriga qui constituent le noyau des collections permanentes. Les premières salles, consacrées à l’œuvre peint et tissé de Jean Lurçat (1892-1966), permettent de suivre son parcours artistique. Il est l’un des acteurs majeurs du mouvement de la « renaissance de la tapisserie française » d’après-guerre. Suivent les œuvres de Thomas Gleb (1912-1991) qui témoignent d’une évolution, depuis sa période figurative jusqu’à un langage proche de l’abstraction. Ses tapisseries blanches sont significatives du mouvement de la « Nouvelle Tapisserie » en France. La dernière salle est consacrée aux œuvres monumentales de Josep Grau-Garriga (1929-2011), grande figure de la « Nouvelle Tapisserie ». Peintre, sculpteur, il affirme dans ses tapisseries l’utilisation de matériaux multiples, le volume et le tridimensionnel.

Régulièrement les collections du musée sont présentées au public lors d’expositions temporaires. On peut voir ainsi des œuvres des représen-tants de la tapisserie française d’après-guerre (Matégot, Lagrange, Wogensky, Prassinos, Tourlière, Dom Robert…), du mouvement international de la « Nouvelle tapisserie » des années soixante-dix (Olga de Amaral, Daquin, Jagoda Buic, Abakanowicz…) et d’œuvres d’artistes plus contem-porains comme Marie-Rose Lortet, Odon, Patrice Hugues, Vigas…Ce patrimoine unique au monde permet au musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine d’Angers de se positionner parmi les plus grandes collections de tapisseries.

> DERNIÈRES EXPOSITIONS TEMPORAIRES PRÉSENTÉES :1-2-3 Sculptures de fibres, Marie-Noëlle Fontan, Jill Galliéni, Simone Pheulpin,Sacré Blanc ! Hommage à Thomas Gleb

> PROCHAINE EXPOSITIONL’atelier des cyclades Artémis. Tentures de l’Odyssée et de la Grande Licorne, 21 juin – 24 novembre 2013

Les musées d’art de la ville

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Musée des Beaux-ArtsInstallé depuis 1796 dans l’hôtel particulier du logis Barrault (XVe siècle), fleuron de l’archi-tecture civile gothique, le musée des Beaux-Arts d’Angers a rouvert ses portes en juin 2004 après cinq années de travaux de rénovation et d’extension des bâtiments. Vaste et fonctionnel, le musée offre 3 000 m2 d’exposition selon deux parcours perma-nents : Beaux-Arts (350 peintures et sculptures du XIVe siècle à nos jours) et Histoire d’Angers (550 pièces archéologiques et objets d’art, du néolithique à nos jours). Le musée s’est doté également d’un espace d’exposition temporaire de 550 m2, d’un cabinet d’arts graphiques et d’un auditorium. Des bornes interactives accueillent le visiteur et proposent une visite virtuelle du musée. Issues de nombreux dons, legs, acquisitions ou dépôts, les œuvres sont situées dans les salles historiques du musée. 300 d’entre elles sont exposées sur les 1 700 que compte le musée des Beaux-Arts. Environ 150 ont reçu une restauration fondamentale pendant les travaux. Elles sont réparties selon deux parcours permanents distincts :

> LE PARCOURS « BEAUX-ARTS » La visite commence au premier étage par deux salles consacrées aux Primitifs du XVe siècle (français, italiens et flamands) et aux objets d’art de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance, puis par 4 salles exposant les Écoles du Nord et les Écoles françaises et italiennes des XVIIe et XVIIIe siècles. Au deuxième étage, le visiteur découvre les joyaux du XVIIIe siècle, puis les grands tableaux de la première moitié du XIXe siècle. En redescendant au premier étage, il pénètre dans une grande salle dédiée à l’art moderne du XXe siècle et à l’art contemporain. Pour terminer, la salle Gumery présente des toiles de grand format de la seconde moitié du XIXe siècle et des sculptures.

> LE PARCOURS « HISTOIRE D’ANGERS »Grâce aux collections de l’ancien musée d’Antiquités, aux fouilles réalisées à Angers et aux acquisitions, le musée arbore une collection intéres-sante d’objets archéologiques et d’objets d’art décoratif. Ce nouveau parcours témoigne de l’activité des Angevins au fil des siècles.Des origines aux projets d’urbanisme contemporains, le développement de la ville d’Angers est jalonné de plans. Les découvertes archéolo-giques anciennes et récentes révèlent les premières traces d’occupation du site au néolithique et la création de la ville gallo-romaine : Julio-magus. Des fragments lapidaires et des éléments en bois évoquent le décor sculpté des églises et des maisons à pans de bois. La vie sociale, économique et culturelle est illustrée par une importante iconographie : portraits, vues de la ville, photographies…

> EXPOSITION EN COURS : Corrélation, Raphaël Zarka, Roman Moriceau, Vincent Mauger, jusqu’au 17 mars 2013

> PROCHAINE EXPOSITION Edward Baran, 19 avril – 15 septembre 2013

Galerie David d’AngersDepuis 1984, l’abbatiale Toussaint (XIIIe siècle) restaurée accueille les œuvres du sculpteur Pierre-Jean David, dit David d’Angers (1788-1856).En raison des dons multiples et réguliers de l’artiste à sa ville natale, la collection du musée est impression-nante : œuvres monumentales, commandes (Fronton du Panthéon), portraits en buste, médaillons. La genèse de l’œuvre est perceptible grâce aux esquisses dessinées, modelées en terre et moulages en plâtre. Cette réhabilitation architecturale puissante, juxtapose les principes et matériaux de la modernité (structure de fer, emploi du béton et du verre) à ceux du temps passé (emploi du tuffeau et de l’ardoise). L’architecte Pierre Prunet a souhaité préserver le statut de ruine classée Monument Historique du bâtiment en donnant à la lumière une place essentielle.

Musée-château de VillevêqueForteresse bâtie au XIIe siècle, le musée-château de Villevêque présente les œuvres léguées par Marie Dickson-Duclaux en 2002 à la ville d’An-gers pour en faire une annexe du musée des Beaux-Arts. Elle suit en cela les volontés de son époux, Daniel Duclaux, décédé en 1999. Ce dernier, riche industriel et amateur d’art éclairé, a constitué une importante collection d’œuvres d’art du Moyen-Age et de la Renaissance.Ses acquisitions, s’échelonnant de 1950 à 1990 environ, sont très variées et documentées. L’intérêt de Daniel Duclaux s’est principalement porté sur une période allant du XIIe au XVIe siècle, avec quelques achats d’œuvres antiques et chinoises. Un parcours inversé de la Renaissance au Moyen-Age, présente des objets d’art aux techniques variées : céramiques hispano-mauresques et italiennes, statuettes italiennes en bronze (XVe et XVIe siècles), émaux du limousin (XIIe siècle), têtes d’apôtre en pierre (XIIIe siècle), sculptures en bois polychrome (XVe siècle), tapisserie (Flandres, vers 1500).

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Le paysage culturel angevin est foisonnant et diversifié, à l’image d’Angers, cité plurielle de 156 000 habitants qui allie patrimoine et modernité.

L’offre culturelleAngers, labellisée Ville d’art-et-d’histoire depuis 1986, est dotée d’équipements de référence nationale et internationale : un château qui abrite la tenture de l’Apocalypse, trois centres de création nationaux (théâtre, danse et arts de la rue), cinq théâtres, six musées et un muséum, un réseau de dix bibliothèques, un conservatoire en musique-danse-théâtre, un orchestre symphonique permanent, une maison d’opéra, une scène de musiques actuelles, une école supérieure des beaux-arts, trois cinémas dont un classé Art-et-essai...

L’effervescence artistique et culturelle est une réalité dans tous les domaines : chant, arts plastiques, danse, musique, image, écriture, histoire, patrimoine… De nombreux artistes, souvent de haut niveau, ainsi que des associations locales engagées sur le terrain des pratiques en amateur et de la médiation contribuent à l’animation et au renouvellement de la vie de la cité.

L’existence de formations artistiques est un autre atout du territoire. Les cursus supérieurs de l’école des beaux-arts (550 étudiants dont 300 sur le site d’Angers) et du Centre national de danse contemporaine (30 étudiants) attirent des candidats du monde entier, comme le stage de jeunes réalisateurs de Premiers plans. Des rencontres internationales d’écoles comme la biennale Schools en danse et le projet unique en France de la Galerie sonore dans le champ des musiques du monde confortent cette dimension.

Enfin, des temps forts réguliers concourent à la qualité de vie et à l’attractivité d’Angers. Le festival Premiers Plans ouvre la ville au cinéma européen et mène une politique en profondeur d’éducation à l’image depuis plus de vingt ans. Les Accroche-Cœurs proposent une cinquantaine de spectacles intimistes ou géants dans l’espace public qui attirent chaque année 250 000 spectateurs. Tempo Rives rythme l’été avec dix concerts gratuits axés sur la découverte dans un cadre bucolique face au château. Artaq explore les arts urbains en croisant les esthétiques à travers des performances et des expositions en partenariat avec les acteurs des quartiers.

Une politique culturelle ambitieuseLa Ville d’Angers déploie une politique culturelle ambitieuse qui valorise et développe les interactions entre la création, la diffusion, la formation, le patrimoine, le foisonnement associatif et les projets des grands équipements.

Cette politique s’adresse à tous, avec la volonté d’être attentif à la diversité des conceptions et des pratiques qu’illustre le processus en cours de co-construction d’un Agenda 21 des cultures du territoire angevin associant les habitants et l’ensemble des acteurs de la culture.

La Ville d’Angers met au premier rang l’exigence artistique et donne toute sa place à la création et à la présence d’artistes dans le territoire, au même titre que la diffusion des œuvres. Elle prend appui sur la qualité des projets portés par Le Quai, le Nouveau théâtre d’Angers, le Centre national de danse contemporaine, l’Orchestre national des Pays-de-la-Loire, le Chabada, Angers Nantes Opéra et le Festival Premiers Plans. Elle encourage les artistes par des aides au travers d’une pépinière artistique.

Elle développe les articulations et les complémentarités avec l’économie de la culture et le tourisme, notamment grâce aux musées avec la qualité de leurs collections permanentes et une stratégie de renouvellement de l’offre par des expositions temporaires.

Elle privilégie la sensibilisation et la médiation grâce à un travail d’action culturelle de fond. Par exemple, tous les élèves des écoles si-tuées en zone d’éducation prioritaire bénéficient d’un éveil musical assuré par le conservatoire depuis vingt ans. De même, des artistes sont régulièrement invités à rencontrer des habitants avant ou après des spectacles ou lors de résidences spécifiques.

La Ville d’Angers est active sur le plan de la solidarité et la lutte contre les exclusions. La Charte culture et solidarité permet à plus de 2 500 angevins d’accéder à une offre variée avec des parcours découverte : œuvres lyriques, ateliers plastiques, concerts, lectures...

Angers : les grands rendez-vous 2013• Janvier : Premiers Plans, festival européen de la création cinématographique ;• Mai : Artaq, festival des arts urbains ;• Juillet-août : Tempo Rives, festival de musiques actuelles ;• Septembre : Les Accroche-Cœurs, festival des arts de la rue ;• Décembre : Angers BD, festival de bande dessinée.

Angers, la culture en partage

Dossier presse / Xe TRIENNALE INTERNATIONALE DES MINI-TEXTILES / ANGERS /2012-2013 19/

Visiter Angers

Angers ville d’art et d’histoireAu cœur du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, Angers bénéficie d’un cadre de vie exceptionnel. Réputée pour la richesse de son patrimoine et la qualité de son art de vivre, la capitale de l’Anjou, avec ses musées, ses festivals et ses temps forts, est l’un des plus beaux trésors de la culture française. Partout, la création est à l’honneur.La ville constitue également une base de départ idéale pour découvrir châteaux de charme, vignobles de renom ou encore l’itinéraire Loire à Vélo.

Focus sur le quartier de la DoutreOutre Maine, ce quartier possède un charme rural et discret, caractérisé par ses maisons à pans de bois, ses hôtels parti-culiers, ses demeures angevines avec ses ruelles pavées et ses nombreux espaces verts.On peut y goûter la quiétude des berges de la Maine, découvrir le port d’Angers situé Cale de la Savatte, mais aussi y retrou-ver une ambiance animée et estudiantine en soirée. Un quartier à découvrir à pied ou en petit train touristique.Sur le plan architectural, la Doutre offre une vision contrastée entre Histoire et modernité : • l’ancien Hôpital St Jean, qui abrite le Chant du monde de Jean Lurçat ; • les greniers Saint-Jean • un remarquable patrimoine religieux (Abbaye du Ronceray, Hôtel des Pénitentes) • Le Quai Forum des arts vivants, espace emblématique d’une vie culturelle riche à Angers ; • les restaurants et terrasses en bords de Maine.

Les services de l’office de tourismePréparer son séjourEn réservant sur www.angersloiretourisme.comUne centrale d’hébergement et de réservation en ligne, des idées week-end originales également réservables en ligne, achat en ligne de city pass 24 h, 48 h, 72 h à tarif préférentiel.VisiterBrochures gratuites disponibles à l’accueil, visites guidées thématiques, locations de vélo, nombreux services pour les personnes en situation de handicap (office labellisé Tourisme et Handicap pour les 4 déficiences).

INFORMATIONS :Office de tourisme d’Angers Loire Métropole7, place Kennedy — 49051 Angers cedex 02 — tél : +33 (0)2 41 23 50 00www.angersloiretourisme.com

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MUSÉE JEAN-LURÇAT ET DE LA TAPISSERIE CONTEMPORAINE4, boulevard Arago – Angers - http://www.musees.angers.frTél. : 02 41 24 18 48

Directeur des musées : Ariane-James Sarazin, conservateur en chef

Commissaire de l’exposition : Françoise de Loisy, conservateur aux musées d’Angers

Horaires : du mardi au dimanche 10h - 12h et 14h - 18hTarifs : 4 € / 3 €, gratuit moins de 26 ansRenseignements/réservation : +33 (0)2 41 05 38 38

Catalogue de l’exposition Textes Pierre Daquin, Françoise de Loisy, 96 pages, prix de vente : 15 €

RELATIONS PRESSECorine Busson-Benhammou, responsable relations presseTél. : + 33 2 41 05 40 33 - Mobile : + 33 6 12 52 64 [email protected]

Visuels HD disponibles sur http://presse.angers.fr