DOSSIER PRESSE ÉTÉ11 - Marco Calliari

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MARCO CALLIARI DOSSIER DE PRESSE www.marcocalliari.com CITATIONS BANG BANG Toma Iczkovits « Marco Calliari gagne beaucoup en maturité et sa prestance s’en ressent. À l’aise et léger, il présente son répertoire avec dynamisme et assurance. » ITALO-CANADESE Agatha De Santis “The big stage at the corner of Jeanne Mance and de Maisonneuve was buzzing. And the crowd loved every minute of it.” MSN DIVERTISSEMENT Nathan David « Jouant de tous les registres, de tous les styles, Marco a mis d'Youville dans sa poche, faisant sauter les gens, bras en l'air, comme un seul homme. »

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CITATIONS

BANG BANG Toma Iczkovits « Marco Calliari gagne beaucoup en maturité et sa prestance s’en ressent. À l’aise et léger, il présente son répertoire avec dynamisme et assurance. » ITALO-CANADESE Agatha De Santis “The big stage at the corner of Jeanne Mance and de Maisonneuve was buzzing. And the crowd loved every minute of it.” MSN DIVERTISSEMENT Nathan David « Jouant de tous les registres, de tous les styles, Marco a mis d'Youville dans sa poche, faisant sauter les gens, bras en l'air, comme un seul homme. »

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FIJM : MARCO CALLIARI ENFLAMME LA PLACE DES FESTIVALS

LE DEVOIR 5 juillet 2011 Yves Bernard

C'était presque trop: tant de moments de cadences démoniaques, de douces rêveries, de voyages imaginaires et de contrastes déconcertants. En voici quelques-uns: Le moment du sacré conteur: Hugh Masekela. Il joue la trame de la vie en chantant, cabotine sur des paroles de sage, lâche ses petits cris, se décrit comme un Louisianais déporté par les grandes vagues et offre un formidable clin d'oeil pour l'humanité. Le moment de l'état de grâce: Paco de Lucía. Le maestro de l'introspection, des contrastes, des raclements subits et des palos de la déchirure profonde, accompagnait aussi la douceur éraillée, l'harmonica aérien et le martèlement du corps qui exulte. C'était grand! Le moment des enfants cartons: GRUBB. Ils ont fait vibrer la fibre de l'appartenance, la subversion urbaine, le hip-hop dans la fanfare heavy métal du théâtre populaire, la fête du quartier Rom jusque dans la rue. La dignité humaine porte un nouveau nom: GRUBB. Le moment des imaginaires nomades: The Astounding Eyes of Rita d'Anouar Brahem. Les yeux grands ouverts à la poésie sans mots, il faisait jaillir la lumière et transmettait l'écho de l'immensité du silence en trio sans le percussionniste annoncé. Une musique de lenteur avec les micros tons pour l'ailleurs et le groove délicat. Une beauté immense! Le moment de la grande classe: Ana Moura. Elle a fait vivre le coup de tonnerre et la caresse dans la même phrase, la respiration entre les notes de ses dérives, mais aussi les nuances porteuses et les fados de joie presque sautillants. Le moment du Nouveau Monde en deux temps: Roberto Lopez Project et Novalima. Roberto, gonflé à l'afro latino rapero, se plongeait dans les racines champêtres sans piano, l'âme projetée vers le futur panaméricain, alors que Novalima faisait exploser le rythme et la machine. Le moment de se rappeler la vérité sacrée de Sing the Truth, la voix majestueusement céleste de Milton Nascimento, la finesse visionnaire de Caroline Planté, les tripes sur la table de Freshlyground, la gouaille rutilante de Marco Calliari, les pulsations terreuses du groupe Doueh, la planète miniaturisée du Small World Project, le feu roulant de la salsa Fania de la Excelencia et la puissante décharge afrobeat d'Afrodizz.

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FIJM : MARCO CALLIARI ENFLAMME LA PLACE DES FESTIVALS

BANG BANG 3 juillet 2011 Toma Iczkovits

Même s’il n’a pas été aussi médiatisé que certaines autres têtes

d’affiche du Festival international de Jazz de Montréal, une foule

dense a chaleureusement accueilli le chanteur d’origine italienne.

Pour voir toutes les photos du spectacle:

http://tomaphotographe.com/marco-calliari

Italiens, québécois et autres curieux jouaient du coude, vendredi, sur la

place des Festivals pour s’approcher d’un Marco Calliari en pleine

forme qui leur a offert deux spectacles plutôt qu’un. On doit avouer

qu’on était loin du public cible qu’il récoltait avec Anonymus, à

l’époque, un groupe montréalais de métal qui a sorti Marco de l’ombre,

à la fin des années 90.

L’auteur-compositeur-interprète québécois a pris un virage beaucoup

plus posé en renouant avec sa culture d’origine italienne avec son

premier album solo album Che la Vita (2003). Le public a adoré, si bien

qu’il pousse l’exploration culturelle encore plus loin avec Mia dolce

vita (2006). L’album reprend, notamment, les chansons-culte de la pop

italienne L’americano, Bella ciao et Cosa nostra.

Avec l’âge, Marco Calliari gagne beaucoup en maturité et sa prestance

s’en ressent. À l’aise et léger, il présente son répertoire avec

dynamisme et assurance, se permettant même de faire un petit saut en

bas de la scène pour aller saluer la foule. Les musiciens

l’accompagnant se sont également démarqués par leur dynamisme.

L’accordéoniste enflammé était en sueur à force de sauter d’un coin à

l’autre de la scène, alors que les cuivres se donnaient à pleins

poumons.

Les amateurs de heavy metal risquent certes de regretter le Marco

sauvage d’Anonymus, mais celui-ci s’épanouit avec brio dans un tout

autre style. Même si la chanson italienne peut parfois s’avérer limite-

mielleuse, Marco Calliari y rajoute cette petite touche de jazz-rock festif

qui ferait danser autant une grand-mère que son petit-enfant.

Un très beau moment de fête qui a été entièrement capté, pour vous,

en images:http://tomaphotographe.com/marco-calliari

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PARLE, PARLE, JAZZ, JAZZ : MEN WITHOUT HATS ET MARCO CALLIARI

AOL À LA UNE 2 juillet 2011 Charles-Éric Blais-Poulin

Marco Calliari, prière italienne L’Italo-Québécois Marco Calliari s’est considérablement assagi depuis ses débuts, à la fin des années 80. De chanteur au sein du groupe trash metal Anonymus, il s’est transformé en chanteur accessible et familial, jusqu’à devenir le porte-parole des restaurants Pacini. Ce qui n’a pas changé, toutefois, c’est son amour inconditionnel pour la musique.

Vendredi, il s’amenait sur la grande scène extérieure TD pour fredonner ses chansons hybrides, entre folklore italien, chanson québécoise et jazz. La langue de Dante était à l’honneur, comme sur ses albums Che la vita, Mia dolce vita, ainsi qu’Al Faro Est, paru l’année dernière. Coiffé d’un chapeau noir et paré d’un foulard de même couleur, le chanteur avait un air solennel et ténébreux.

Marco Calliari a amorcé son concert en douceur, avec une jolie ballade, magnifiée par un important orchestre de 11 musiciens. Des cuivres, des violons, un accordéon et une voix chaude et rocailleuse: il ne manquait de rien. Surtout pas de spectateurs, massés en grand nombre sur la place des Festivals. «Je n’ai jamais fait de benji dans ma vie, mais m’semble que ça doit être le même feeling», s’est ému le chanteur. Il a enchaîné avec une chanson plus rythmée, Ho un hamico, pour délier les festivaliers.

Malgré l’énergie déployée, une ambiance auguste, presque ecclésiastique, régnait en cette chaude soirée. De quoi faire changement des gros «happenings» multisensoriels qui prévalent généralement sur cette scène.

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LA 32ÈME ÉDITION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DE JAZZ DE MONTRÉAL DANS SON DERNIER TOURNANT

PATWHITE 3 juillet 2011 Toma Iczkovits

Entre les découvertes de musique électronique moderne et l'émerveillement devant les grandes légendes du jazz classique, on peut déjà qualifier la cuvée 2011 de grand succès. Voyez toutes mes photos du festival sur http://www.tomaphotographe.com

On se souviendra longtemps des deux généreuses prestation de Marco Calliari (photo), lui qui a même osé le bain de foule en plein spectacle pour se rapprocher de son public. On n'oubliera pas, non plus, l'explosive prestation de Misteur Valaire, sous un ciel chargé, dans le décor surréaliste signé Brigitte Poupard.

Côté musique électronique, on a également été bien servis par le grand retour de DJ Champion et de sesG-Strings qui a crée un buzz immense. Les billets de ses deux spectacles au Metropolis se sont envolés en un rien de temps, si bien que des dates de spectacle sont déjà prévues pour le reste de l'année.

Ernest Ranglin, le plus grand guitariste jamaïcain, faisait office de légende vivante avec une vivacité surprenante pour son âge. Le son de sa guitare est toujours aussi authentique. On se demande cependant ce qu'il faisait en première partie du groupe britannique Steel Pulse, alors qu'il méritait certainement un spectacle à lui tout seul.

Pour ce qui est des découvertes, cette année, deux groupes se sont démarqués pour leur capacité à renouveler et rafraîchir le jazz. Jaga Jazzist est une formation norvégienne qui allie jazz et trip hop.Afrodizz est un groupe d'afrobeat montréalais qu'on n'avait pas vu sur scène depuis quelques années déjà.

Si vous n'avez pas encore (assez) profité de la vie culturelle qui s'orchestre ces jours-ci autour du Quartier des Spectacles, il n'est pas trop tard. La fête continue toute la journée et demain également.

Notons que la formation Mexican Institute of Sound, initialement programmée ce soir 22h à la scène Bell, ne pourra finalement pas offrir de performance. Elle sera remplacé par Systema Solar, un groupe de latino-electro-jazz qui semble fort prometteur.

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FESTIVAL DE JAZZ : À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

MÉTRO 4 juillet 2011 Pierre Emmanuel Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas autant

profité du Festival international de Jazz de Montréal. Et pas à peu près. Je vous parle d’un minimum de deux spectacles par jour, avec du flânage en plus sur le site. Il faut dire que la météo, trop changeante, m’avait enlevé un peu le goût l’année dernière. Cette année dame nature s’est montrée clémente… pas de réelle flotte ni de canicule. Prenons la journée du 1er juillet, j’ai commencé mon périple vers 18h30 au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts avec Dee Dee Bridgewater qui rendait hommage à Billie Holiday. Un spectacle rafraîchissant au cours duquel, l’artiste a tenté de nous faire revivre l’époque des petites formations de cabaret. Avec le jeu d’actrice qu’on lui connaît, la diva du jazz nous a livré une Lady Day des grands jours. Une heure et quart de spectacle sans intermède qui demande bien une petite marche. Il était 19h45 quand je me suis arrêté devant le stand de Radio-Canada pour écouter les dernières notes de l’émission en direct de Stanley Péan. Tout juste à côté il y avait tout plein de CD à 10 dollars. J’en ai pris quelques-uns, dont l’enregistrement des inédits de Ray Charles et le disque anthologie de Dee Dee entièrement en français. Je me suis aussi procuré les deux DVD 30e anniversaire du FIJM à moitié prix. Petit coup d’œil vers 20h30 sur la scène Rio Tinto Alcan, où jouait une jeune chanteuse torontoise. D’une oreille distraite je l’entends justifier sa petite robe rouge à pois blanc et ses escarpins rouges. Comme si on n’avait pas compris le lien avec la fête du Canada. 20h50, J’ai continué ma lente marche jusqu’à la scène TD où une foule immense attendait Marco Calliari. Chapeau, veste, foulard et bottines…guitare sèche et accordéon, il nous a offert un mélange intéressant du folklore italien auquel il nous a habitué depuis Mia Dolce vita. 21h25, retour au Théâtre de Maisonneuve où doit avoir lieu la messe du jour animée par Gonzalo Rubalcaba et Richard Galliano. Un autre grand moment de bonheur avec le génial pianiste cubain et le tout aussi génial accordéoniste français. Nous avons réussi à obtenir deux rappels et la promesse d’André Ménard, directeur du festival de les faire revenir l’année prochaine. J’adore Montréal l’été… Enfin je deviens redondant.

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FEQ – NOTRE ENTREVUE AVEC MARCO CALLIARI

MSN 15 juillet 2011 David Nathan Pour sa troisième participation au Festival d'été de Québec, Marco

Calliari n'a pas fait les choses à moitié, mais au contraire, en double. Pas moins de douze musiciens l'épauleront jeudi soir sur la scène Molson Dry. Rencontre avec le plus italien des chanteurs québécois, quelques heures avant son spectacle.

Dans quel état d'esprit tu es à quelques heures du spectacle? Assez zen je te dirais. On va être une belle gang ce soir sur scène, douze musiciens.

C'est deux fois plus que pendant ta tournée, pourquoi? C'est une idée du festival qui nous a demandé de rehausser la sauce si on peut dire. On a donc ajouté un tuba, une clarinette et un quatuor à cordes, ça sera encore plus festif.

C'est quoi toi ta définition d'un concert réussi? C'est tout simplement quand j'ai réussi à faire danser, chanter, crier et taper des mains le public. Je considère ça comme une réussite.

C'est un public plus exigeant le public des festivals? Non au contraire, un festivalier c'est quelqu'un qui s'attend à être surpris ou déçu, mais qui est là avec une grande ouverture d'esprit. Ce sont des gens qui sont prêts à faire des découvertes à l'opposé de ce qu'ils aiment. Ce qui est génial justement c'est d'accrocher quelqu'un qui est venu voir un groupe de métal comme Avenged Sevenfold.

Tu es au Festival d'été de Québec deux jours avant le concert de Metallica. Toi, l'ancien chanteur du groupe de métal Anonymus, tu seras où samedi soir? En Abitibi!

Pas frustré de ne pas les voir sur scène? Absolument pas. J'ai vu Metallica dans leurs bonnes années et elles sont derrière eux selon moi. D'ailleurs, c'est un autre groupe maintenant. En 1991, ils auraient carrément dû changer de nom. Le Metallica que j'aime, c'est celui des quatre premiers albums. C'est un groupe qui a inventé la roue, mais qui malheureusement, l'a démolie ensuite.

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FEQ – NOTRE CRITIQUE DU SPECTACLE DE MARCO CALLIARI

MSN 15 juillet 2011 David Nathan C'est face à un pigeonnier rempli à craquer que Marco Calliari est

entré sur la scène de la Place d'Youville. La foule compacte n'a pas mis bien longtemps à donner de la voix et à applaudir en rythme. Était-ce parce que c'était jeudi soir? Était-ce en raison du soleil qui a réchauffé les âmes toute la journée? Oui.. mais non. La vraie raison de ce réchauffement microclimatique était à chercher sur scène.

• Notre entrevue avec Marco Calliari

• FEQ - 10 faits que vous ignorez peut-être!

• FEQ - Nos 10 suggestions de spectacles à voir

• Tout sur les festivals cet été: critiques, entrevues,

suggestions, vidéos et anecdotes! Accompagné en toute simplicité par douze musiciens, le chanteur a brisé la glace avec Al Faro Est, donnant le ton de la soirée dont le moins que l'on puisse dire est qu'elle ne serait pas placée sous le signe de la morosité.

Marco Calliari n'a pas fait dans la demi-mesure en ce qui concerne l'énergie dégagée. Le plus italien des chanteurs québécois s'est même blessé pour son art dès la quatrième chanson: «Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de crampe. C'est pas grave, on continue», a lâché Marco avant d'enchaîner avec Per Fortuna.

Rencontré plus tôt pour une entrevue, Marco nous avait confié que sa définition d'un concert réussi se résumait à ceci: des gens qui applaudissent, qui crient et qui chantent. Au regard de ces critères, on peut dire que le concert a été un succès total. La foule a été généreuse et n'a pas hésité à jouer à l'effet miroir. Je donne, tu donnes. Marco a donné, le public a rendu au centuple. Le résultat a été sans appel, le pigeonnier s'est transformé en un énorme bazar joyeux et dansant.

Jouant de tous les registres, de tous les styles, Marco a mis d'Youville dans sa poche, faisant sauter les gens, bras en l'air, comme un seul homme. Au moment d'écrire ces lignes, mon ordinateur a tremblé et m'a imposé une pause.

Celui qui revient du Festival folk de Winnipeg et qui s'en ira bientôt pour une tournée américaine, a offert à un public multigénérationnel un tour du monde de ses influences.

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MARCO CALLIARI LIVE AT THE MONTREAL JAZZ FESTIVAL

ITALO-CANADESE 1er juillet 2011 Agatha De Santis

Marco Calliari and his big band did not disappoint during tonight’s performance at the Montreal International Jazz Festival. The big stage at the corner of Jeanne Mance and de Maisonneuve was buzzing. And the crowd loved every minute of it.

Auguri Marco!

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MARCO CALLIARI AUX BEAUX MARDIS – UNE OCCASION EN OR DE FÊTER!

COURRIER DE ST-HYACINTHE 14 juillet 2011 Véronique Lemonde Chanceux Marco Calliari? On pourrait le croire avec tout le

succès que connaît présentement son album Al faro est, tant ici qu'à l'extérieur du Québec. Le chanteur, lui, croit plutôt en sa capacité de savoir créer les bonnes occasions, aux bons moments et avec les bonnes personnes. Créer l'esprit de la fête, ça également, il sait très bien faire! Aux Beaux Mardis de Casimir le 19 juillet, Marco Calliari et ses six musiciens en mettront plein la vue et les oreilles aux Maskoutains avec leurs plus récentes compositions, toutes issues du dernier album sorti en octobre.

La musique de Al faro est se fait entraînante et énergisante, avec toute la vigueur de la voix de Marco Calliari, un brin rocailleuse, un brin suave, mais toujours forte et assumée. C'est une très belle période pour celui qui vient tout juste de vivre des expériences incroyables au Festival international de Jazz de Montréal et au Winnipeg Folk Fest. « À Winnipeg, franchement, c'est le plus beau festival auquel j'ai eu la chance de participer. Les gens ont tellement embarqué et on a vendu beaucoup d'albums, sans être les têtes d'affiche du festival pour autant. Puis, au Festival de Jazz, c'est toujours très impressionnant de jouer devant 60 000 personnes! », souligne Marco Calliari. L'artiste se paie ainsi un « beau trip de festivals » durant une bonne partie de l'été, même s'il a quand même pris le temps de se rendre une semaine en Italie avec sa copine en juin et qu'il compte bien relaxer en camping dans le courant du mois d'août. « Tant que tu as la santé et l'énergie et que tu peux faire le plus de spectacles possible, il faut y aller. Il faut savoir créer les occasions, car c'est très demandant de faire autant de spectacles. Physiquement, mais psychologiquement aussi, car ce n’est pas vrai que l'on fait toujours salle comble. Quand il y a juste une très petite foule, il faut aussi savoir créer son propre party et se donner à fond tout de même. »

LA MUSIQUE EN CADEAU! En créant Al faro est, Marco Calliari s'est surtout fait le cadeau de travailler avec près de 30 musiciens différents! Des musiques et des sonorités de tous les horizons et des parcours très variés ont donc jalonné son travail artistique.

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