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THÉÂTRE EN MAIFESTIVAL DU 22 AU 31 MAI 2015
THÉÂTRE DIJON BOURGOGNE CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL
03 80 30 12 12 — TDB-CDN.COM
26e
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édito — Que se passe-t-il dans notre pays ? Quelques mois seulement
après les attentats du début de l’année et le sursaut républicain qu’ils ont provoqué, le spectre de l’extrême
droite plane sur la France et s’installe dans les urnes, avec
une force inédite. Cet inquiétant paradoxe, c’est Riss, l’un des
dessinateurs survivants de Charlie Hebdo, qui l’a résumé dans un dessin particulièrement percutant : au cœur d’une manifestation, les a�chettes
« Je suis Charlie » qui ont porté l’espoir au lendemain des attentats, étaient
désormais remplacées par des a�chettes « Je suis Marine »,
infiniment plus sinistres… Pour notre génération, qui s’est forgé une
conscience politique en arborant au collège une petite main multicolore
proclamant « Touche pas à mon pote », qui a hurlé « la jeunesse emmerde le
Front National » dans les concerts des Béruriers Noirs, qui a défilé avec une
régularité métronomique contre le racisme et l’antisémitisme, qui a subi de plein fouet le 21 avril 2002, et qui a défilé, encore, le 1er mai 2002, pour dire « NON ! », cette banalisation de l’extrême ne peut être que sidérante. Est-ce à dire que les combats menés au cours des trente dernières années
le furent en vain ? Rien n’est moins sûr. On peut du moins escompter qu’ils ont
contribué à retarder l’avènement du pire. Ce qui est sûr, en revanche, c’est
que ces combats furent menés à armes inégales, et sur un terrain
toujours plus favorable à l’adversaire. Car l’extrême-droite française n’a pas seulement prospéré, comme on le dit trop vite et trop souvent, sur le terreau
de la « crise » et du chômage. Elle a aussi clairement profité des
e�ets dévastateurs induits par les po-litiques économiques « orthodoxes »,
c’est-à-dire libérales, qui ont été menées dans notre pays durant la
même période. En se persuadant qu’il su�rait de s’acharner à « relancer la croissance » et à réduire la fameuse
« dépense publique » pour régler tous les problèmes de la France, les dirigeants qui se sont succédé au
pouvoir semblent avoir oublié que la vie d’un pays ne se réduit pas à son
économie, et qu’une société est autre chose qu’un marché. Ce faisant, ils ont abandonné aux forces les plus rétro-grades l’espace des symboles et des croyances, tout en laissant s’abîmer
profondément les cadres, les institutions, les services et les politiques publiques qui font tenir
la société. Bref, ils ont renoncéà faire de la politique, alors que l’extrême-droite, elle, s’y attelait ardemment, au point d’imposer ses thèmes et ses obsessions à
l’ensemble du débat public. Très tôt, parmi les intellectuels
et les artistes, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer le piège dans lequel la France
s’enfonçait. Ces voix portent encore, quoi qu’en disent ceux qui font mine
de ne pas les entendre. Et dans le champ théâtral, la plus forte et
la plus claire de ces voix reste sans conteste celle de Jean-Pierre Vincent. Figure essentielle du théâtre français, Jean-Pierre Vincent a toujours refusé
de placer son art au service d’une quel-conque cause partisane. Son engage-
ment a toujours d’abord été
un engagement artistique dans le service public de l’art, qu’il a porté haut
dans les institutions qu’il a dirigées. Mais dans le même temps, refusant
la tentation de la « tour d’ivoire » et de l’enfermement esthète, il a toujours
su mettre son prestige symbolique au service de combats politiques précis et déterminés. En invitant Jean-Pierre Vincent à parrainer cette 26e édition de Théâtre en mai, c’est d’abord à
l’artiste que nous avons voulu rendre hommage, pour dire ce que nous
devons aux voies théâtrales nouvelles qu’il a toujours explorées. Mais dans
le contexte chaotique qui estaujourd’hui celui de notre pays, nous
savons aussi que sa présence au cœur du festival a valeur de symbole. Quant
aux quatorze jeunes compagnies françaises et européennes invitées
autour de lui, elles partagent la volonté de regarder le monde en face, sans céder au cynisme ni au décourage-ment. De Vilnius à Alger en passant par Athènes, de Marx à Google en
passant par Horváth et Tom Robbins, la variété des formes et des récits
qu’elles proposent élargit l’espace de nos représentations et nous invite à d’autres rêves. Leur enthousiasme et leur détermination nous rappellent
que dans les périodes sombres, il faut toujours garder confiance dans les
forces de la jeunesse. Avec elles, nous voulons croire aujourd’hui qu’une autre
France, une autre Europe, sont encore possibles.
Sophie Chesne et Benoît Lambert
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01EN ATTENDANT
GODOT 22 + 23 + 24 MAI
VENDREDI 22 À 20 H, SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24
À 19 H 30GRAND THÉÂTRE
DURÉE ESTIMÉE 2 H 20
Compagnie Studio LibreDe Samuel Beckett
Mise en scène Jean-Pierre Vincent Avec Abbès Zahmani, Charlie Nelson, Alain Rimoux,
Frédéric Leidgens, Gaël Kamilindi
Dramaturgie Bernard Chartreux Assisté de Frédérique Plain Décor Jean-Paul Chambas Collaboration
décor Carole Metzner Costumes Patrice Cauchetier Assisté de Bernadette Villard Lumières Alain
Poisson Sons Benjamin Furbacco
Production Théâtre du Gymnase, Marseille Coproduction Studio Libre,
MC2 Grenoble et TNBA (Théâtre National Bordeaux Aquitaine)
Un paysage dépouillé, un arbre défeuillé et deux gars. Las, leurs chapeaux melons en disent long sur
leur état. Estragon et Vladimir portent leurs guenilles
endimanchées comme les bouts d’une culture passée. Ces philosophes sans Dieu n’ont rien à faire, rien à vivre
et sont pourtant bien là à attendre quelque chose,
parce qu’il faut bien. Ce sera Godot. Débarquent Pozzo et Lucky, maître et esclave
d’une société ancienne dont il ne reste que débris de
domination et exploitation. L’histoire écrite en 1948 a beau être connue, elle dresse à chaque époque
ses leçons. À l’époque, elle énonce la perdition humaine
après l’horreur des crimes nazis, l’ère du vide à l’heure
de la reconstruction. Et maintenant ? D’une
implacable anticipation, dans la forme comme dans le fond, elle projette l’intuition d’une potentielle fin du monde qui,
02LE CAPITAL
ET SON SINGE 23 + 24 + 25 MAI
SAMEDI 23, DIMANCHE 24 ET LUNDI 25 À 17 H
SALLE JACQUES FORNIERDURÉE 2 H 40
Compagnie Le SingeÀ partir du texte de Karl Marx Mise en scène
Sylvain CreuzevaultAvec Vincent Arot, Benoit
Carré, Antoine Cegarra, Pierre Devérines, Lionel Dray,
Arthur Igual, Léo-Antonin Lutinier, Frédéric Noaille, Amandine Pudlo, Sylvain
Sounier, Anne-Laure Tondu, Julien Villa, Noémie Zurletti
Lumières Vyara Stefanova et Nathalie Perrier Scénographie Julia Kravtsova Costumes Pauline Kie�er
et Camille Pénager Masques Loïc Nébréda Régie générale Michael
Schaller Régie lumière Gaëtan Veber Production et di�usion Élodie
Régibier, Edouard Chapot
Production Le Singe Coproduction Nouveau Théâtre d’Angers - Centre
Dramatique National Pays de la Loire, La Colline - théâtre national,
Festival d’Automne à Paris, Comédie de Valence - Centre Dramatique
National Drôme Ardèche, La Criée - Théâtre National de Marseille,
Le Parvis - Scène nationale Tarbes Pyrénées, Printemps des comédiens,
MC2 : Grenoble, La Filature - Scène nationale de Mulhouse, L’Archipel - Scène nationale de Perpignan, Théâtre national de Bruxelles,
Le Cratère - Scène nationale d’Alès, GREC 2014 Festival de Barcelona,
TnBA - Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine,
Kunstenfestivaldesarts, NXTSTP (avec le soutien du Programme Culture de l’Union Européenne)Avec la participation du Théâtre Garonne et du Théâtre national
de ToulouseLe projet est soutenu par la Direction
générale de la création artistique du ministère de la Culture et de la
Communication
Une table, eux et nous, de part et d’autre. Autour d’un bon plat, philosophes, poli-tiques et poètes européens rient, cogitent, causent lutte des classes et fétichisme de
la marchandise. On y est. À la croisée des révolutions, celle politique de la fin du XVIIIème et la grande industrielle du XIXème siècle. Inspiré par Le Capital, traité économique et anti-capitaliste de Karl
un jour, traverse chacun. En 50 ans de création, l’insatiable Jean-Pierre
Vincent ne s’était encore jamais attaqué à Beckett.
À la lumière de ce jour, il relit le conte comme la tragi-co-médie d’un état du monde. Il y a le grotesque de Laurel et Hardy dans les échecs de
ces clochards terrestres. Il y a le burlesque de Chaplin et Keaton dans les chutes de ces poètes célestes. Ce n’est pas du théâtre de l’absurde
non, c’est une arme de résistance, fragile et massive,
une dérision superbement vivace.
Marx, Sylvain Creuzevault invente une comédie pure
et dure avec gueuleton et gri-maces. On y croise Benjamin, Blanqui et Debord, Lacan et
Freud, les poètes aussi, Rimbaud et Aragon. Ça débute un 13 mai 1848 à
Paris, juste avant la guerre civile de juin, lorsque se
déroule le premier vote au su�rage universel direct (masculin) et que surgit la question du travail en politique. Ça continue un 13 juin 1919 à Berlin juste après la proclamation de la République et la guerre civile de janvier. Et ça finit
sur les procès politiques des figures engagées dans ces
deux périodes bouleversées. Après Notre terreur, présenté
à Théâtre en mai en 2010, Le Singe prend pour cible les progrès de l’aliénation
sociale obtenus par le mode de production capitaliste. Les treize acteurs expérimentent sur le plateau la démocratie qu’ils interrogent au sein de
leur troupe. Fougueux et brillants, ils emportent
l’Histoire, et nous avec, dans une farce agile et rusée.
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De retour d’une randonnée en montagne,
Alfred annonce à sa demi-sœur bien-aimée Asta et à sa femme Rita, sa déci-sion irrévocable : il renonce
à la philosophie pour se consacrer à Eyolf, son unique enfant, handicapé et jusque là négligé. Ces trentenaires exigent l’harmonie parfaite
entre leurs désirs et la réalité, quelle qu’elle soit. Mais la
mort survient. Le petit garçon se noie dans les eaux gla-
ciaires, yeux grands ouverts. Que faire ? S’enfoncer au fond du �ord, où tout est
calme et sombre ou essayer de vivre, car il le faut ? Tous tentent d’exister mais dans le vide où s’échappent les culpabilités, surgissent les secrets et les pulsions, le
dégoût et la cruauté. Dans un paysage dépouillé, à la
lumière d’une nuit éternelle, la terre, jetée là, est île du
deuil. Il y a là les hivers du nord qui ont inspiré au
franco-norvégien Jonathan Châtel le désir de monter la pièce magistrale et rare de son compatriote Henrik
Ibsen. Pour sa première création, il traduit et adapte l’écriture au plus proche de l’originelle langue vibrante. Avec rigueur et délicatesse,
il sculpte le silence et l’absence, la pierre et le vent, la voix et le corps. Et dresse une œuvre mystérieusement
humaine.
Midnight, stars and you – Ray Noble Orchestra with Al Bowlly / Unhappy party - Yeong-wook Jo - Sympathy
for Lady Vengeance OST / Over and Done - Mihaly Vig / Waltz - Toru Takemitsu / Lassu Tanc – Mihaly Vig / Lovers are Strangers – Chinawo-man / Prelude in D minor - J.S. Bach / B2 love - CURD DUCA / Carnival of
souls - Combustible Edison
Coproduction Centre Culturel Onassis, Blitz Theatre Group,
La Filature - Scène nationale de Mulhouse Création octobre 2012, Centre Culturel Onassis, Athènes
Développement et promotion Judith Martin / Ligne Directe
Au milieu des gravats, ils valsent. La poussière vole, le haut-parleur grésille, depuis
quand dansent-ils ? Trois hommes et trois femmes
confinés là, dans une salle délabrée, s’inventent un bal. Sur les musiques épargnées
d’une Europe dévastée, s’érigent leurs souvenirs,
les prémices d’une guerre éclatée qui dure toujours au dehors, les e�ondrements des villes, des croyances et des amours. Et puis soudain,
une acrobatie, un tour de magie et des applaudisse-
ments, pour se sentir encore en vie. Si le temps parfois
s’arrête, ici il tourne infiniment. Possiblement
au lendemain d’un austère présent grec, européen. Accueilli lors de Théâtre
en mai en 2013 avec Guns! Guns! Guns!, le Blitz Theatre
Group, représentant d’un théâtre grec indépendant, est à l’honneur de cette édition.
03PETIT EYOLF
23 + 24 + 25 MAI
SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 À 17 H, LUNDI 25 À 18 H
THÉÂTRE MANSARTDURÉE 1 H 30
Compagnie ElkDe Henrik Ibsen
Mise en scène, adaptation et traduction Jonathan Châtel
Avec Alexandra Flandrin, Vladislav Galard, Pauline
Lorillard, Laurent Ménoret, Anne-Sophie Sterck
Collaboration artistique Sandrine Le Pors Scénographie Gaspard Pinta
Lumière Marie-Christine SomaMusique Daniel Freitag Costumes
Axel Aust Assistante à la mise en scène Adele Rutigliano
Production Compagnie Elk Coproduction et accueil en résidence
Théâtre d’Arras - Scène conventionnée musique et théâtre
Avec le soutien du Théâtre de Vanves - Scène conventionnée pour la danse Avec le soutien de la DRAC
Nord-Pas-de-Calais, ministère de la Culture et de la Communication
Remerciements Ambassade de Norvège à Paris
04LATE NIGHT
23 + 24 + 25 MAI
SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 À 21 H, LUNDI 25 À 18 H
PARVIS SAINT-JEANDURÉE 1 H 30
EN GREC SUR-TITRÉ EN FRANÇAIS
Blitz Theatre GroupTexte et mise en scène
Blitz Theatre GroupDramaturgie Blitz Theatre Group
et Nikos FlessasAvec Maria Filini, Sophia
Kokkali, Angeliki Papoulia, Christos Passalis, Fidel
Talaboukas, Giorgos Valaïs
Assistanat à la mise en scène Vassia Attarian Régisseur lumière Tasos Paleoroutas Chorégraphie Yannis Nikolaidis Décors Efi Birba Costumes Vasilia Rozana Musique
Blitz Theatre Group et Giorgos Konstantinidis Sparkler - Jeans Wilder / Jazz Suite - D. Sosta-ckovich / Aqua De Florida - Pascal Comelade / Masquerade Waltz A. Khazaturian / Quasimodo
Tango - Ghedalia Tazartes / Thème de Camille -
Georges Delerue - Le Mépris OST /
Il compose la veillée funèbre d’un monde aimé, trop
peut-être, la danse résignée d’une décadence. Avec eux,
la mélancolie se pare d’ironie, élégante et
fulgurante. Serait-il trop tard pour une révolution ?
Danser, ne pas s’arrêter, résister et par la poésie,
rester vivant.
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© Pierre Grosbois
© Vassilis Makris
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Pierret Regard chorégraphique Milan Hérich Création costumes Solenne
Capmas Coaching acrobatique Dariusz Karczewski Production et
di�usion Stéphanie Monnot Liodenot Communication et
logistique de tournée Mylène Cavé
Production Compagnie Rasposo Coproduction Verrerie d’Alès -
Pôle National Cirque Languedoc Roussillon, Scène nationale de Sète
et du Bassin de Thau, Scène nationale de Narbonne, Sortie Ouest - Béziers, Cirque Théâtre
d’Elbeuf-Pôle National des Arts du Cirque Haute Normandie, Régie Culturelle Scènes et Cinés Ouest
Provence - Festival « Les Elancées », L’Abattoir - Centre National des Arts de la Rue - Ville de Chalon-sur-Saône, Theater op De Markt
- Dommelhof - Belgique Soutiens à la résidence Circa Auch - Pôle National
des Arts du Cirque Midi-Pyrénées, Theater op De Markt - Dommelhof -
Belgique Avec le soutien du ministère de la Culture - DGCA, du Conseil général de Saône-et-Loire
Remerciements L’Arrosoir, Jazz Club - Chalon-sur-Saône, L’EPCC - Pont du Gard, L’odyssée du Cirque - Belfort.
Compagnie Rasposo en compagnon-nage avec La Verrerie d’Alès - Pôle National Cirque Languedoc Roussil-lon Compagnie conventionnée par le ministère de la Culture et de la
Communication - DRAC Bourgogne et le Conseil régional de Bourgogne
Sous le chapiteau, les corps acrobates aux crocs acérés
mordent la vie avec intensité. Ce cirque-là se laisse glisser
à l’intérieur, dans les douleurs, les chutes et les
chocs intimes. Le surhomme laisse place à l’humain et o�re un spectacle chargé d’adrénaline et d’émotion. Dans un espace étroit en
clair-obscur, on devine une bande d’individus se
débattre, se laisser porter et s’élever un peu plus encore, l’âme et le corps mis au dan-ger de l’amour et de la mort. Morsure, c’est la sensualité, la férocité et le sauvage qui
font nos humanités animales. Sur l’équilibre d’un fil, la
05MORSURE
23 + 24 + 25 + 26 + 27 MAI
SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 À 21 H, LUNDI 25, MARDI 26
ET MERCREDI 27 À 20 HCHAPITEAU MAIL FORAIN
DURÉE 1 H 15DÉCONSEILLÉ AU MOINS DE 8 ANS
Compagnie RasposoÉcriture, mise en scène
Marie MolliensAvec Hanno Burger, Nathalie
Halley, Konan Larivière, Alexandre Le Gouallec, Pierre Le Gouallec, Marie Molliens
et les musiciens Benoît Keller, Christian Millanvois,
Françoise Pierret
Régisseurs Thierry Azoulay, Bernard Bonin, Arnaud Gallée, Sébastien
Laigret Assistante à la mise en scène Fanny Molliens Direction technique,
scénographie Vincent MolliensCréation musicale Benoît Keller, Christian Millanvois et Françoise
puissance d’un porté ou la légèreté d’un saut à la barre russe, chaque discipline est métaphore de nos tentatives
d’être, avec soi et l’autre. Accompagnés de trois
musiciens, les cinq circassiens virevoltent et
domptent le vertige sur des mélodies rock et jazzy. C’est
du cirque assurément, du beau et du grand. Celui qui, dans la tradition, se transmet de génération en génération.
Celui qui, dans le vivant, évolue avec son temps.
Rasposo, c’est une histoire de famille, la famille Molliens. En 2013, Marie prend la suite
de sa mère Fanny et, avec son frère Vincent, impulse à
la compagnie implantée en Bourgogne depuis 1987 un mordant qui
donne Morsure.
Un jour, un adolescent. Intégré, adapté, aimé. Au
lycée, il se met à délivrer ses copies, blanches. Non pas vides de sens, non. Vides de mots. Au fil d’actions
mettant en jeu l’adolescent face aux amis, professeurs et parents, se saisissent les
conséquences du geste. On se ligue contre, on se
rassemble avec, on œuvre pour, on accepte ainsi…
Trois comédiens au centre du public, dans un espace rudimentaire, échangent la
balle et les rôles pour donner à voir autant de regards, faire entendre autant de paroles, contraintes ou choisies. Car c’est bien là, au centre, que tout se joue. Que les règles s’inscrivent et que la déso-béissance se pose comme résistance à un ordre établi. Qui est cet adolescent ? Il
pourrait être enfant de Julien Bême, personnage central du roman l’Objecteur écrit en 1951 par Michel Vinaver. Jeune homme qui, un jour
au service militaire, posa son fusil à terre. Incapable
d’obtempérer, il sème le
06LE PAS DE BÊME
24 + 25 + 26 MAI
DIMANCHE 24 ET LUNDI 25 À 15 H, MARDI 26 À 19 H
BOURSE DU TRAVAILDURÉE 1 H
Compagnie Théâtre DépliéMise en scène Adrien
Béal Collaboration Fanny Descazeaux
Avec Charlotte Corman, Etienne Parc et Pierric Plathier
Production Compagnie Théâtre Déplié
Remerciements au collectif 360, à Lilas en scène, à l’Échangeur de
Bagnolet, à La Colline - théâtre national Avec l’aide d’Arcadi Île-de-
France, dans le cadre des Plateaux solidaires
Le Théâtre Déplié est associé au Théâtre de Vanves, Scène conventionnée pour la danse,
et en résidence à Lilas en scène (93)Le spectacle a été créé en mai
2014 au Théâtre de Vanves - Scène conventionnée pour la danse et en juin 2014 à la Loge (Paris 11e)
Une forme courte avait été créée en juin 2013 dans le cadre
du festival 360
trouble dans la garnison. Au fil de discussions et
improvisations autour de cette figure, la compagnie a donné naissance à cet
objecteur d’aujourd’hui, ce dissident de l’école. Que
représente le fait de (pouvoir) ne pas faire ? Interrogeant
l’altérité, la liberté de pensée et le conditionnement d’une
société, le Théâtre Déplié déploie sans imposer
d’autorité, une réflexion politique, une philosophie de
l’ordinaire, simple, grave et légère. ©
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LE ROUGE 25 + 26 + 27 MAI
LUNDI 25, MARDI 26 ET MERCREDI 27 À 21 H
ATHENEUMDURÉE ESTIMÉE 2 H
bombes américain et hors-la-loi, rencontre Leigh-Chéri, jeune militante anti-nucléaire
européenne et princesse. Ils sont roux et s’aiment ; un
abîme les sépare, une secousse les rassemble. Autour d’eux, gourous et
argoniens argumentent sur l’univers. Et eux, sont-ils descendants d’une autre
planète ou bâtisseurs d’un nouveau monde ? L’Amour
les aidera-t-il dans leur tâche politique ? Avec ceux-là,
ce sont deux générations et continents de contes-tataires idéalistes qui se
rencontrent. Tom Robbins, fou de pataphysique et ami des Doors, est une icône de la contre-culture américaine. Par l’absurde et le vide, son langage métaphorique lutte
contre l’esprit obtus et creux. Le roman de cet auteur culte
est à découvrir, adapté et créé pour la première fois
en France au TDB. Thomas Condemine, qui avait déjà enthousiasmé le public de
Théâtre en mai en 2013 avec Hetero de Denis Lachaud,
poursuit le dynamitage des schémas de pensée
aliénants, qu’ils soient politiques ou amoureux. Dans l’oasis solaire et
métallique version eighties, la satire est une bombe
percutante et psychédélique.
TPN-theatreD’après le roman de Tom
Robbins Adaptation Thomas Condemine, Adeline Picault
Mise en scène et scénographie Thomas Condemine
Avec John Arnold, Eric Forterre, Lisa Kramarz, Céline Martin-
Sisteron, Sylvie Milhaud, Grégoire Tachnakian
Assistante mise en scène Pénélope Biessy Assistant scénographie
Charles Chauvet Lumière Thierry Fratissier Son et vidéo Thomas Sillard Maquillage et perruque
Catherine Saint-Sever Costumes Camille Vallat Régie générale Camille
Faure Production Romain Picolet
Production TPN-theatre Coproductions Théâtre Dijon Bourgogne - CDN, Comédie
Poitou-Charentes - CDN, La Rose des vents - Scène nationale de Lille-Ville-
neuve d’Ascq, Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées - CDN
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National Avec le
soutien de la DRAC Poitou-Charentes Remerciements au T2G, Théâtre de Gennevilliers - CDN et au Nouveau
Théâtre de Montreuil - CDN
1980, Hawaï, festival de Géo-Thérapie : deux êtres,
visages blancs, cheveux flamboyants. Mickey Le Rouge, vieux poseur de
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08VIVIPARES
25 + 26 + 27 MAI
LUNDI 25 À 21 H, MARDI 26 ET MERCREDI 27 À 19 H
LA MINOTERIEDURÉE 1 H 15
groupe LA gALERIE De Céline Champinot
Collaboration artistique Nicolas Lebecque
Avec Adrienne Winling, Sabine Moindrot, Elise Marie, Maeva
Husband, Louise Belmas
Scénographie Emilie RoyLumière Claire Gondrexon
Arrangements musique Pem Bray-Weppe, Antoine Girard Production / Di�usion Mara
Teboul – L’ŒIL ECOUTE
Avec le soutien du Centquatre, la Maison des Metallos, La Loge,
CNSAD, Théâtre 95 (Cergy-Pontoise), Théâtre Ephéméride
(Val-de-Reuil)
Il n’y avait qu’elles pour faire ça. Cinq drôles d’actrices, dégenrées et désinhibées, ne se prennent pas pour
n’importe qui. David Bowie,
Judy Garland, Michaël Jackson et même Charles
Bukowski se succèdent dans le sous-sol d’un pavillon
familial. Sur le carton scotché au sol, dans un beau bazar de bricoles, canapé fané,
poster paradis et pacotilles, elles préparent un spectacle. Au fil d’aventures délirantes, elles bourlinguent d’un quai
de gare pluvieux de Bourg-en-Bresse à une
chambre d’hôtel miteuse de Los Angeles, d’un �ord
suédois à une cerisaie ukrainienne, sans changer
de coin. Ça leur va bien à ces indisciplinées, d’habiter le
lieu des turbulences. Maniant avec fureur et fantaisie les
tirades obsessionnelles et la poésie cruelle, elles
tentent de définir leur iden-tité, veulent être, envient,
doutent, exigent et scrutent à cru la créature vivipare que
nous sommes. Menée par Céline Champinot, la bande amphibienne cherche avec inventivité et générosité la zone de perméabilité entre l’acteur et le spectateur. Elle déballe là le rituel théâtral et installe un espace où
“un humain parle à un autre humain” avec l’insolence
qui sied à la déconstruction d’une pensée trop aisée.
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CLAP 26 + 27 MAI
MARDI 26 À 21 H ET MERCREDI 27
À 19 H ET 21 HGYMNASE ÉCOLE DES GREFFES
DURÉE ESTIMÉE 45 MNENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION
L’OUTIL (FR) / Objective : spectacle : enthousiastic
encounters (DE) Un projet de Inge Agnete Tapgaard, Bryan Eubanks, Victor Lenoble, Clementine
Pohl, Olivier Veillon, Christoph Wirth
Direction artistique Christoph WirthMise en scène
Olivier Veillon – Christoph WirthAvec Victor Lenoble et un
chœur de clappeurs
Et si c’était ça le cœur du spectacle ? L’applaudisse-ment ! Clap, ce sont des
volontaires rassemblés en miroir de l’assemblée specta-trice, un chœur de clappeurs
recrutés sur place par une bande internationale de
chercheurs sachant chercher le petit rien qui fait le grand tout. Après la conférence
Spectateur : droits et devoirs, Olivier Veillon et Victor
Lenoble, les dijonnais de L’OUTIL poursuivent aux
côtés d’une équipe interna-tionale l’étude des
protocoles du spectacle et donc de la société.
Ici l’applaudissement, fait de silence et de frappe, constitue une véritable composition rythmique.
Frénétique et hypnotisante, cette expérience
participative, joyeuse et joueuse, raconte l’humani-té primitive et la communauté
vivante.
Production l’OUTIL (FR) / Objective : spectacle : enthousiastic
encounters (DE)Avec le soutien de Ville de Dijon, Théâtre Dijon Bourgogne - CDN,
Festival Treibsto� (Bâle, CH), Teater Nordkraft (Aalborg, DK), Balhaus Ost
(Berlin, DE) et de PACT Zolverein (Essen, DE), Festival New Commu-nities - Nordic Performing Art Days
(Aalborg, DK)
Regarder dans les yeux et frapper des mains : dès la naissance, ces premiers
tests vérifient les aptitudes neurologiques de l’enfant. Et ainsi la capacité archaïque à être spectateur : voir et
recevoir, poser sur le monde un regard et manifester ses
sentiments. Son enthou-siasme, son approbation, son encouragement. Que le spectacle soit pièce de théâtre, match de foot ou
grand discours. Mais battre des mains peut autant définir
l’appartenance au groupe que la transgression sociale.
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27 + 28 + 29 MAI
MERCREDI 27 ET JEUDI 28 À 19 H, VENDREDI 29 À 22 HTHÉÂTRE DES FEUILLANTS
DURÉE 1 H 05
Compagnie A Bout PortantTexte et mise en scène
Karima El KharrazeAvec Mouna Belghali
et Estelle Lesage
Scénographie Garance Coquart et Jonathan
Debrouwer Création lumière Laïs Foulc
Création sonore Vincent Lendower Costumes Pauline Zurini
Régie générale et lumière Laïs Foulc Régie son et plateau
Lou Beauvallet-Proust
Production Cie A Bout Portant et le Collectif 12
En partenariat avec le Théâtre Eurydice
Avec le soutien du Conseil général des Yvelines, de la DRAC Ile-de-France, du Centre National du
Théâtre et d’ARCADI dans le cadre des Plateaux Solidaires
Ce texte a reçu l’Aide à la création du Centre national du Théâtre
Le Maroc et la France. Deux pays, deux langues et une
histoire emmêlée. Deux actrices aux cheveux frisés, aux deux nationalités sont une seule femme enfant, adolescente puis adulte en (dés)équilibre sur ses
deux terres. À travers elle(s), Karima El Kharraze, née en
France dans les années 1980 de parents marocains, dit
“je”. Son histoire intime est indissociable d’une histoire
sociale française et sa mémoire d’une mémoire commune. Elle raconte la
brume du nord et le désert du sud, les longs voyages en
voiture, le père étranger aux mots tus, les amours défendues. Avec pudeur et délicatesse, elle enlace
l’arabe et le français, tisse une matière faite
d’anecdotes, de poésie clamée, slamée, en résonance avec les
musiques du mythique Nass El Ghiwane. Interrogeant les
stigmates et les
stéréotypes, “de la fille arabe sous couvre-feu à la beurette intégrée”, Karima El Kharraze met au centre une identité délaissée à la périphérie, spatiale et
sociale. Du campement à la cité, l’agora se construit ici autour de panneaux de chantiers, organisant les diapositives du passé et
projetant une ouverture à l’imaginaire. Arable remue
les terres pour découvrir les racines, élever les boutures, “invoquer les possibles qui rendent fertiles le présent” et semer la poésie apaisée
d’une émancipation.
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© Hélène Harder
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Ils sont au cœur de Théâtre en mai. Après avoir
dansé dans le bal délabré de Late Night, ils se
retrouvent ici dans un salon au seuil du rêve. Ils sont
Christos, Angeliki et Giorgos du Blitz Theatre Group, dix
années depuis leur première création. Ils sont Astrov,
Sonia et Vania, les person-nages de Oncle Vania de
Tchekhov, dix années après s’être quittés. Protagonistes de la pièce et de leur propre histoire, le trio fondateur de
la compagnie grecque observe le passage du
temps. C’est jour de joie, on dispose les plantes, suspend
les lampes et le temps. À l’avant-scène, deux
hommes et une femme dansent, chantent, jouent
et préparent une fête mystérieuse. Au fond, à l’arrière-plan, ils rejouent les adieux, ces scènes du
passé qu’ils n’ont pu oublier, répètent ce qui n’a peut-être
pas été dit, refont ce qui a
11VANIA.
10 ANS APRÈS 28 + 29 + 30 MAI
JEUDI 28 À 21H, VENDREDI 29 ET SAMEDI 30 À 22 HPARVIS SAINT-JEAN
DURÉE 1 H 15 EN GREC SUR-TITRÉ EN FRANÇAIS
Blitz Theatre GroupMise en scène
Blitz Theatre GroupAvec Angeliki Papoulia, Giorgos
Valais, Christos Passalis
Dramaturgie Blitz Theatre Group, Nikos Flessas Lumière Tassos
Palaioroutas Scénographie Efi Birba Costumes Vassilia Rosanna
Assistante à la mise en scène Vassia Attarian
Production Blitz Theatre Group Coproduction Théâtre Dijon
Bourgogne - CDN, La Comédie de Reims - CDN Avec le soutien du
programme de résidence artistique de la Biennale de Teatro de Venezia
Création novembre 2014, Theatro Technis, Athènes Développement -
promotion Judith Martin / Ligne Directe
peut-être été vécu. Pétris de déceptions et épris de désirs, ils veulent aimer et
être aimés. Les trois artistes saisissent la musicalité du
drame et le sacré du poème de T.S. Eliot (East Coker tiré de Four Quartets qui valu à l’auteur le Prix Nobel de littérature en 1948) pour
composer une partition faite d’explosions émotives et
de silences méditatifs. Dans cette sorte de salle d’attente et de jeu, le trio grec adresse à l’humanité future un appel
à vivre intensément, à attendre calmement, la fin
et le commencement.
12BIG DATA 29 + 30 + 31 MAI
VENDREDI 29 À 19 H 30, SAMEDI 30 À 16 H ET DIMANCHE 31 À 17 H
ATHENEUMDURÉE 1 H 15
La Quincaillerie ModerneMise en scène, conception,
écriture Benjamin VillemagneJeu, conception et écriture
Hadrien Mekki Danse et écriture chorégraphique I�ra Dia Création musicale Patrick
De Oliveira Création lumière et régie vidéo Richard Gratas
Création numérique et interactivité Beam Art Administratrice
de production Aurélie MaurierDi�usion et communication
Émilie Derian
Coproduction Théâtre de Roanne, Espace Albert Camus du Chambon Feugerolles, WIP/Parc de la VilletteLa cie est subventionnée par la ville de Saint-Étienne, le Conseil général de la Loire, la Région Rhône-Alpes
et la DRAC Rhône-Alpes Big Data a reçu le soutien de la
SPEDIDAM et du Fonds SCAN de la Région Rhône-Alpes
de pseudo-conférence, au fil des réseaux et pop-up traités en live à l’écran, on s’amuse et apprend de nos chemi-
nements de pensées et nos connaissances en matière de chatroulette et buzz de chats. Nos usages une fois décryptés, les mots laissent place au corps, fragmenté,
pixellisé. Une danse hip-hop et hybride dont les flux
forment l’image et orchestrent les sons. Dans
l’esthétique en toc des consoles, sur les clics et l’électro inspirée de
Kraftwerk and co., un acteur, un danseur et des machines
ouvrent nos perceptions. Une expérience numérique,
sensorielle et ludique.
We are Big Data ! Big Data ? Les méga-données bien sûr. Comme toute espèce, nous sommes l’information que
nous échangeons. Captées, stockées, partagées, ces
données devenues massives constituent une puissance encore méconnue. Comme
l’écrit et l’imprimé, le numérique est une révolution
cognitive et politique. Le philosophe Michel
Serres fait des nouvelles technologies une voie
d’émancipation possible ; les trans-humanistes
prônent leur pratique pour transcender les capacités de l’homme ; et les artistes
détournent ces outils prétendument aliénants
pour démontrer la créativité universelle qu’ils nous procurent. Après Le
Vernissage et Rixe, inspirés du gra� et de la battle, présentés à Théâtre en mai en 2013, Benjamin Villemagne explore le
numérique, berceau de nos nouvelles humanités. Dans
une première partie en forme
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© Julie Collet
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Scénographie Charlotte Maurel et Julie Deliquet Lumière Jean-Pierre
Michel et Laura Sueur Production, administration Cécile
Jeanson - Bureau FormART
Production Collectif In Vitro Coproduction Théâtre Romain
Rolland de Villejuif, Théâtre Gérard Philipe de Champigny-sur-Marne
Avec l’aide à la production du ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Île-de-
France, et d’Arcadi Avec le soutien du Fonds SACD Théâtre, du Conseil
général du Val-de-Marne et de l’Adami Avec le soutien du Théâtre de Vanves, du Studio-Théâtre de Vitry, de la Comédie de Valence, de la Ferme du Buisson - Scène nationale de Marne-la-Vallée, du
Théâtre de la Ville-Paris Ce spectacle a été répété au Théâtre
de la Bastille et a bénéficié de son soutien technique Avec l’aide d’Arcadi Île-de-France / Dispositifs
d’accompagnement En collaboration avec le Bureau FormART
Il y a du monde chez François et Françoise. On fête la nouvelle maison,
l’installation dans la cam-pagne des Deux-Sèvres et les années passées depuis mai 1968. Autour de la toile cirée, le repas se rallonge
en mirabelle. Ça délie et ça ravive. Il y a Marie-Pierre,
Catherine et Jacques, Daniel exploitant agricole, Georges,
gaulliste pur et dur, qui enrobe ses valeurs d’une
13NOUS
SOMMES SEULSMAINTENANT
29 + 30 + 31 MAI
VENDREDI 29 À 20 H, SAMEDI 30 À 21 H,
ET DIMANCHE 31 À 19 H 30SALLE JACQUES FORNIER
DURÉE 1 H 35
Collectif In VitroCréation collective
Mise en scène Julie DeliquetAvec Julie André, Gwendal Anglade, Anne Barbot, Eric
Charon, Olivier Faliez, Pascale Fournier, Julie
Jacovella, Jean-Christophe Laurier, Agnès Ramy, Richard
Sandra, David Seigneur, Annabelle Simon
poésie de gauche, Carmen, et Michel Bandini qui rit
beaucoup quand il ne sait pas quoi dire. On se raconte l’avant : études et barricades, départ pour le Chili d’Allende et retour pour la naissance
de Bulle, la fille de Françoise et François. L’utopie couvée
et la réalité recouvrée. Tous ceux-là rassemblés
dégustent, forcément. Avec ironie et tendresse, les
révolutionnaires d’hier et ceux nés dans leur ombre s’observent et saisissent ce qu’il en est de l’insou-
ciance d’alors et des libertés acquises. Ça raconte les
héritages idéologiques, les idéaux et les héritiers. Après La Noce d’après Brecht et Derniers remords avant
l’oubli de Lagarce, In Vitro signe d’une écriture
collective le nouvel opus du triptyque Des années 70 à nos jours. À chaque
représentation, les acteurs changent les mots et les
places, improvisent et font entrer le réel dans la fiction. Avec une insolence qui leur
va bien, avec la vivacité d’un théâtre qui se joue de
l’instant.
14PAGE EN
CONSTRUCTION 29 + 30 + 31 MAI
VENDREDI 29 À 20 H, SAMEDI 30 À 22 H
ET DIMANCHE 31 À 19 H 30 GRAND THÉÂTRE
DURÉE 1 H 30
Compagnie El AjouadTexte Fabrice Melquiot
Mise en scèneKheireddine Lardjam
Avec Larbi Bestam, Romaric Bourgeois, Sacha Carmen
et Kheireddine Lardjam
Collaboration artistique Estelle Gautier Création lumière Manu Cottin Création son Pascal
Brenot Musique création collective Dessins Jean-François Rossi Vidéo Kheireddine Lardjam,
Thibaut Champagne
Production Compagnie El Ajouad Coproduction La Filature, Scène
nationale Mulhouse, L’Arc - Scène nationale Le Creusot, la DRAC Bourgogne, Conseil général de Saône-et-Loire Avec le soutien de la Comédie de l’Est - Centre Dramatique National d’Alsace,
Colmar, Les Scènes du Jura - Scène nationale, Institut Français en
Algérie, Maison de la Culture d’OranLa Compagnie El Ajouad est conventionnée par le Conseil
régional de Bourgogne
L’Algérie et la France. Une page suspendue entre deux chapitres de l’Histoire, entre deux lignes d’une vie. Celle
de Kheireddine Lardjam, acteur et metteur en scène,
oranais et bourguignon. Entre ses deux pays, il crée et erre,
héritier d’une guerre qu’il n’a pas connue mais dont il porte les traces, exilé sans
terre. Sur les mots de Fabrice Melquiot, en justaucorps et
cape au cou, l’acteur devient super-héros. Mais attention,
un super-héros arabe. Ce n’est pas possible, pas
en France ! Et pourquoi pas ? Il faut au moins ça
pour briser les chaînes d’une dépendance, pour “soule-ver la chape de silence qui
recouvre l’Histoire commune
de ces deux pays depuis la fin de la guerre d’Algérie”. Pour résister. Kheireddine commande à Fabrice un texte, l’auteur accepte si
l’Histoire se raconte à travers les yeux et la mémoire de
Kheireddine, l’acteur accepte si Fabrice l’accompagne
sur ses terres algériennes. Là, ils découvrent que leurs histoires intimes se croisent dans les rues d’Oran… Tout
droit sorti du comics qui s’anime derrière lui, son récit vole sur les chants tradition-nels du Diwane interprétés par trois musiciens et chan-teurs - dont Larbi Bestam,
leader d’El Ferda, maître du genre. Kheireddine joue ici sa vie, celles des pères, des héros ordinaires et de ceux
qui, comme lui, sont des pages en construction.
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15L’ÂGE DES POISSONS
30 + 31 MAI
SAMEDI 30 À 18 H ET DIMANCHE 31 À 15 H
THÉÂTRE MANSART DURÉE 1 H 30
La chair du mondeTexte et mise en scène
Charlotte LagrangeLibrement inspiré de
d’Ödön von HorváthAvec Hugues De la Salle, Guillaume Fafiotte, Jonas
Marmy, Julie Palmier, Jean-Baptiste Verquin
Collaboration à la scénographie Nicolas Guéniau et Andréa Baglione
Lumière Claire Gondrexon Son Samuel Favart-Mikcha
Régisseur général Olivier Fauvel Codirectrice Sabrina Fuchs
Production La chair du monde Coproduction La Filature - Scène nationale de Mulhouse, Château
Rouge - Annemasse, TIL-Théâtre Ici et là - Mancieulles, Direction
régionale des a�aires culturelles d’Alsace, La Ville de Strasbourg Avec la participation du Jeune
Théâtre National
devient fantastique quand l’inconscient fait surface :
à la lumière du jour ou dans l’obscurité des insomnies, la nature profonde envahit le cadre. Est-ce là que tout se noue ? De la fascination pour la mort au fantasme
amoureux, l’adolescence et ses émois palpitent au cœur
du thriller.
Trois lycéens jouent à des jeux de rôles, des scènes de guerre. Lorsque leur profes-seur d’histoire les accuse de propos racistes, ils lancent une pétition contre lui. Mais
un meurtre a lieu et là ce n’est plus un jeu. La mort entre dans la partie et la
fiction bascule dans le réel. En 1937, l’auteur austro-
hongrois Ödön von Horváth dénonce la propagande en publiant son dernier roman
Jeunesse sans Dieu, censuré par les nazis. Comment
devenir adulte et trouver sa place dans un monde en
perdition ? À partir de cette question que soulève
l’histoire, Charlotte Lagrange fait résonner en notre
présent la crise économique et idéologique, la mécon-naissance et la peur avec l’incompréhension entre
générations. L’une ayant pu croire encore et l’autre qui ne sait que croire. Philosophique, la fable 16
BONNE JOURNÉE ! 30 + 31 MAI
SAMEDI 30 À 20 H ET DIMANCHE 31 À 15 H
LA MINOTERIE DURÉE 55 MN
EN LITUANIEN SUR-TITRÉ EN FRANÇAIS
OPEROMANIJALibrettiste Vaiva Grainytė
Compositeur Lina LapelytėMetteur en scène et scénographie
Rugilė BarzdžiukaitėAvec Svetlana Bagdonaitė, Liucina Blaževič, Veronika
Čičinskaitė-Golovanova, Lina Dambrauskaitė, Rita
Račiūnienė, Kristina Svolkinaitė,
Rima Šovienė, Lina Valionienė, Vida Valuckienė, Milda Zapolskaitė, Kęstutis
Pavalkis (piano)Distribution susceptible
de modifications
Costumes Daiva Samajauskaitė Lumières Eugenijus Sabaliauskas
Son Arūnas Zujus
Production OPEROMANIJA Production tournée Festival Passages
à Metz Avec le soutien de l’Onda - O�ce national de di�usion artistique
“Bonjour ! Merci ! Bonne journée !” Lassée ou polie, la petite musique de caisse est décidément universelle. On pourrait être un samedi au centre commercial mais on est au théâtre. Sous les néons, les bips : le décor
planté semble familier à nos instincts de consommation.
Imaginons dix femmes - et ce n’est pas un hasard
- installées en caisses alignées, vêtues de blouses uniformes bleues et armées
de scanners lumineux rouges. Il y a la nouvelle et la
vieille fille, la mère dépassée, l’étudiante fauchée… En vue, aucun charriot mais un piano.
Éclatés, les repères : les caissières anonymes se muent en chanteuses lyriques, émouvantes
héroïnes d’un conte à crédit poétique et politique. Elles
sont lituaniennes et incarnent le chant d’un discours marchand globalisé.
Les réclames, énumérations de prix et produits alternent en chœur litanique avec les récits intimes sur la famille,
la fatigue, le chômage et les hommes en soli poignants.
Faire entrer un supermarché dans les codes de l’opéra, tel est le jeu un peu barré
auquel se sont prêtées trois femmes trentenaires - com-
positrice, auteure et metteure en scène. Elles questionnent
la déshumanisation de la société capitaliste et la condi-tion féminine, réinventent la forme opératique et livrent
un objet débridé et subversif. Et avec ceci ?
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B1LES
CONVERSATIONS
Animées par Olivier Neveux, professeur d’histoire
et d’esthétique du théâtre et Directeur du Département
des Arts de la Scène, de l’Image et de l’Écran (Lyon 2)
AVEC JEAN-PIERRE VINCENT
DIMANCHE 24 MAI DE 11 H À 13 H FOYER DU GRAND THÉÂTREEntrée libre sur réservation
Metteur en scène et acteur, formidable pédagogue,
Jean-Pierre Vincent a dirigé les plus grandes institutions
du théâtre français : le Théâtre National de Strasbourg,
la Comédie-Française ou encore le Théâtre Nanterre-Amandiers.
Chercheur infatigable, artiste engagé, il a toujours confronté l’exploration des dramaturgies les plus contemporaines à la
relecture du répertoire classique, avec la conviction farouche que le théâtre reste
toujours une méditation sur l’état du monde
B3LE FESTIVAL
À SUIVRE
DANS LA PRESSEInterviews, portraits,
chroniques et critiques de spectacles, le Bien public
ouvre ses pages aux artistes et au festival Théâtre
en mai. À suivre dans les prochaines éditions !
SUR LES ONDESDu 22 au 30 mai Radio
Dijon Campus consacre son émission l’Oreille au poste au festival et reçoit en direct les artistes. Du lundi au vendredi,
de 18 h à 19 h, plongez au cœur du festival
France bleu Bourgogne, première radio de Côte-d’Or,
donne la parole aux artistes et vous fait vivre le festival. Pour ne
rien rater, restez à l’écoute !
EN IMAGESFrance 3 Bourgogne suit
le festival et va à la rencontre des artistes invités. Répétitions,
coulisses, interviews, etc., un bon moyen de multiplier les
points de vue et de découvrir le festival sous un autre angle
BONUS
BONUS
SUR INTERNETtdb-cdn.com
et sur notre page Facebook Théâtre-Dijon-Bourgogne
et sur les sites de nos partenaires
LYCÉENS REPORTERS AU
FESTIVALGuidées par un journaliste,
deux classes de lycéens professionnels suivent le festival,
abordent la création Mickey le rouge et découvrent les bases
du journalisme. Les articles réalisés seront publiés dans
le Bien public du 26 mai et sur le site du TDB. Un projet d’Education artistique et culturelle, en partenariat avec le lycée LEGTA de Plombières-lès-Dijon et
le Bien public
LES BARSLes Bars du Parvis
Saint-Jean et de la Salle Jacques Fornier sont ouverts
pendant le festival
LA LIBRAIRIEUne sélection d’ouvrages autour des spectacles en
partenariat avec la librairie Grangier. Tous les jours
au Parvis Saint-Jean pendant le festival sauf les 26
et 27 mai
AVECBLITZ THEATRE GROUP
SAMEDI 30 MAI DE 11 H À 13 HFOYER DU GRAND THÉÂTREEntrée libre sur réservation
Fondé à Athènes en 2004, Blitz Theatre Group est le
représentant d’un théâtre grecindépendant et se produit à
travers l’Europe. Inscrit dans la confusion d’un pays en pleine mutation, Blitz Theatre Group signe un théâtre à la poétique engagée, une forme qui tente d’exprimer la peur, l’incrédulité
et l’espoir
BONUS
BONUS
B2LES SOIRÉES DU
PARVIS
KARAOKÉ PARTYLUNDI 25 MAI À 23 HPARVIS SAINT-JEAN
Entrée libre sur réservation
LES DÉMONS DE MINUITSOIRÉE DJ(S)
SAMEDI 30 MAI À MINUITPARVIS SAINT-JEAN
Entrée libre sur réservation
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Hubert AnceauCuisinier à domicileTel. 03 80 31 88 86
Vincent BourdonLes Œnophiles / L’Autre Entrée
18 rue Saint-Anne, DijonTél. 03 80 30 73 52
Stéphane GuagliardoLa Bourgogne20 Place de la
République, DijonTél. 03 80 74 12 08
Alexandre HulinL’Épicerie
5 Place Emile Zola, DijonTél. 03 80 30 70 69
David Le ComteDAV’NCO
18 bis rue Odebert, DijonTél. 03 80 40 42 80
Gilles MagnienLe Coin Caché
2 Place Barbe, DijonTél. 03 80 55 35 55
Sébastien MortetUn des Sens
rue Jeannin, DijonTél. 03 80 65 75 58
Mathieu Munier
Le BHV
22 Place de la
Libération, Dijon
Tél. 03 80 41 81 50
So Takahashi
So
15 rue Amiral-Roussin, Dijon
Tél. 03 80 30 03 85
DU MERCREDI 20 AU DIMANCHE 31 MAI,
LA CANTINE DU FESTIVAL PROPOSE MIDI ET SOIR
UNE FORMULE (ENTRÉE, PLAT, DESSERT) À 15 €.
ELLE EST OUVERTE LE MIDI DE 12 H À 14 H
ET LE SOIR DE 19 H À 23 H AU PARVIS SAINT-JEAN.
UN JOUR,
UNCHEF
En 2014 au moment où Dijon était promue Cité de la Gastronomie, le TDB décidait de fêter cette nomination en
lançant Un Jour, un Chef, une nouvelle formule de
restauration pour le public et les équipes du festival. Le principe était simple.
Au Parvis Saint-Jean, chaque jour, un chef dijonnais, plus
ou moins toqué, un magicien des fourneaux, concoctait et proposait une formule digne des plus grandes
tables. Ainsi spectateurs et gastronomes, chacun à leurs
endroits, étaient conviés à l’un de ces « voyages
immobiles » chers à Marcel Proust, ces voyages qui se transforment en véritable aventure pour peu que l’on veuille bien élargir son regard, le déplacer,
voire le désorienter.
Plébiscitée par les retours gourmands des gourmets festivaliers, la formule est
remise à la carte cette année et vous promet à nouveau le
plaisir de la découverte.
UN JOUR,
UNCHEF
UN JOUR,
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UN JOUR,
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Pour le festival, le placement est non numéroté.
Billetterie au Parvis Saint-Jean
Ouverture le 14 avril au Parvis Saint-Jean
(du mardi au vendredi de 13 h à 19 h
et le samedi de 11 h à 13 h et de 14 h à 18 h)
et en ligne www.tdb-cdn.com
À partir du 20 mai et pendant la durée
du festival, la billetterie est ouverte
tous les jours de 12 h à 20 h.
Possibilité d’achat de places sur le lieu
de la représentation 30 min avant le début
du spectacle (Placement libre, dans la limite
des places disponibles).
Réservations par téléphone
Parvis Saint-Jean au 03 80 30 12 12
Les réservations doivent impérativement
être confirmées par paiement 48 heures
avant la représentation choisie.
Modes de paiement
— À l’accueil du théâtre et sur les di�érents lieux
pendant le festival : espèces, carte bancaire
(uniquement au Parvis et Fornier), chèque
bancaire, chèques vacances, chèques culture
— Par correspondance, à l’administration :
chèque bancaire libellé à l’ordre du TDB,
chèques vacances, chèques culture
— Par téléphone : carte bancaire
— Par Internet : carte bancaire
ACCUEIL, BILLETTERIE ET TARIFS
Pass 3 +soit 13 € la place
Pass 10 +soit 10 € la place
Carte Tribu en mai10 entrées à 13 €
À utiliser en famille,
entre collègues ou
entre amis.
Pass 6 +soit 12 € la place
Pass - 30 anssoit 7 € la place
à partir de 39 € les 3 spectacles, puis 13 €le spectacle supplémentaire
à partir de 100 € les 10 spectacles, puis 10 €le spectacle supplémentaire
130 € La Carte Tribu achetée au cours de la saison 14-15 est valable sur tout le festival, dans la limite des places disponibles.Attention ! Réservationindispensable.
à partir de 72 € les 6 spectacles, puis 12 €le spectacle supplémentaire
à partir de 21 € les 3 spectacles, puis 7 €le spectacle supplémentaire
Tarif normal
Tarifs spéciaux *Collégiens, lycéens, étudiants (accompa-gnés en groupe scolaire), enfants de moins de 12 ans, intermittents du spectacle, bénéficiaires du RSA, demandeurs d’emploi, personnes en service civique.
Tarifs groupe solidaire(contacter l’équipe des relations avec le public)
Tarif réduit *abonnés TDB 14-15, Carte Tribu 14-15, moins de 30 ans, adhérents OPAD, étudiants, familles nombreuses, groupes à partir de 10, Carte Cezam, coupon performance, adhérents FNAC, carte culture MGEN, abonnés du Club Divia et des structures culturelles partenaires**
Personnes à mobilité réduite
Carte culture *
20 €
8 €
7 €
15 €
11 €
5,5 €
*Sur justificatif **ABC, Opéra Dijon, Théâtre de Beaune, Nouveau théâtre de Besançon, Espace des arts à Chalon S/Saône, L’Arc au Creusot, Mâcon Scène Nationale, La Vapeur, Passeports-Loisirs Quetigny, adhérents cinéma Eldorado
La Carte Cultureest en vente
au TDB
CALENDRIER
EN ATTENDANT GODOT Grand Théâtre 2 h 20 ±20 h
VENDREDI 22 MAI
LE PAS DE BÊME
MORSURE
VIVIPARES
MICKEY LE ROUGE
CLAP
Bourse du travail
Chapiteau Mail Forain
La Minoterie
atheneum
Gymnase École des Greffes
1 h
1 h 15
1 h 15
2 h ±
45 mn ±
19 h
20 h
19 h
21 h
21 h
MARDI 26 MAI
Création
Étape de travail
LE CAPITAL ET SON SINGE
LE PAS DE BÊME
PETIT EYOLF
LATE NIGHT
Salle Jacques Fornier
Bourse du travail
Théâtre Mansart
Parvis Saint-Jean
2 h 40
1 h
1 h 30
1 h 30
17 h
15 h
18 h
18 h
LUNDI 25 MAI
1 h 15
2 h ±
1 h 15
2 h
Création
MORSURE
MICKEY LE ROUGE
VIVIPARES
LES SOIRÉES DU PARVIS : KARAOKÉ PARTY
Chapiteau Mail Forain
atheneum
La Minoterie
Parvis Saint-Jean
20 h
21 h
21 h
23 h
2 h 40
2 h 20 ±
1 h 30
1 h 30
1 h 15
SAMEDI 23 MAI LE CAPITAL ET SON SINGE
EN ATTENDANT GODOT
PETIT EYOLF
LATE NIGHT
MORSURE
Salles Jacques Fornier
Grand Théâtre
Théâtre Mansart
Parvis Saint-Jean
Chapiteau Mail Forain
17 h
19 h 30
17 h
21 h
21 h
1 h 15MORSURE Chapiteau Mail Forain 21 h
LE PAS DE BÊME
CONVERSATION AVEC JEAN-PIERRE VINCENT
PETIT EYOLF
LE CAPITAL ET SON SINGE
EN ATTENDANT GODOT
LATE NIGHT
Bourse du travail
Foyer du Grand Théâtre
Théâtre Mansart
Salles Jacques Fornier
Grand Théâtre
Parvis Saint-Jean
1 h
2 h
1 h 30
2 h 40
2 h 20 ±
1 h 30
15 h
11 h
17 h
17 h
19 h 30
21 h
DIMANCHE 24 MAI
JEUDI 28 MAI
VANIA. 10 ANS APRÈS
ARABLE
Parvis Saint-Jean
Théâtre des Feuillants
1 h 15
1 h 05
21 h
19 h
BIG DATA
PAGE EN CONSTRUCTION
NOUS SOMMES SEULS MAINTENANT
ARABLE
VANIA. 10 ANS APRÈS
atheneum
Grand Théâtre
Salle Jacques Fornier
Théâtre des Feuillants
Parvis Saint-Jean
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VENDREDI 29 MAI
SAMEDI 30 MAI
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CONVERSATION AVEC BLITZ THEATRE GROUP
BONNE JOURNÉE !
L’ÂGE DES POISSONS
NOUS SOMMES SEULS MAINTENANT
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VANIA. 10 ANS APRÈS LES SOIRÉES DU PARVIS : LES DÉMONS DE MINUIT
atheneum
Foyer du Grand Théâtre
La Minoterie
Théâtre Mansart
Salle Jacques Fornier
Grand Théâtre
Parvis Saint-Jean Parvis Saint-Jean
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22 hminuit
L’ÂGE DES POISSONS
BONNE JOURNÉE !
NOUS SOMMES SEULS MAINTENANT
BIG DATA
PAGE EN CONSTRUCTION
Théâtre Mansart
La Minoterie
Salle Jacques Fornier
atheneum
Grand Théâtre
1 h 30
55 mn
1 h 35
1 h 15
1 h 30
15 h
15 h
19 h 30
17 h
19 h 30
DIMANCHE 31 MAI
ARABLE
CLAP
MICKEY LE ROUGE
VIVIPARES
MORSURE
CLAP
Théâtre des Feuillants
Gymnase École des Greffes
atheneum
La Minoterie
Chapiteau Mail Forain
Gymnase École des Greffes
1 h 05
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MERCREDI 27 MAI
Création
Étape de travail
Étape de travail
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GareSNCF
PlaceZola
Place Wilson
Rue de la Liberté
Avenue FochPlacedu 30
Octobre
Place de laRébublique
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Libération
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Bernard
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Librairie
Snack
Billetterie
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seACCÈS
Chapiteau Mail Forainrue Général DelabordeTram T1 – Arrêt Auditorium
Bourse du travail 17 rue du TransvalBus Divia liane 5 – Arrêt Wilson DumontDepuis Parvis (arrêt Bossuet) direction UniversitéSalle Jacques Fornier
30 rue d’AhuyTram T1 et T2 : Arrêt GodransBus Divia liane 10 : Arrêt Barbe
Grand Théâtreplace du Théâtre Administration du TDB
23 rue Courtepée 03 80 68 47 47 Tram T1 et T2 – Arrêt GodransBus Divia liane 10 – Arrêt Barbe
Les numéros correspondent aux spectacles présentés dans chaque lieu
Gymnase École des Gre�es5 boulevard de la MarneTram T1 – Arrêt Auditorium
Parvis Saint-Jeanrue Danton - Tram T1 et T2 : Arrêt Darcy ou Monge
Théâtre des Feuillants 9 rue CondorcetTram T1 et T2 : Arrêt Darcyou Monge
atheneum Campus de DijonTram T1 : Arrêt Erasme
Théâtre Mansart 94 boulevard MansartBus Divia liane 5 : Arrêt Mansart Depuis Parvis (arrêt Bossuet) direction Université Tram T1 : Arrêt Erasme
La Minoterie 75 avenue Jean JaurèsTram T2 : Arrêt Jaurès
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