TouLousE, 18 Octobre....
Transcript of TouLousE, 18 Octobre....
Vendredi, 18 Octobre 1872
B D R R 14 S . 1 RI,uitoo DES DEF,tpTS Ei DES AISIOVERS DL, TRAINS DRS
TOULOUSE un sil, 40 f. e mois, Ili f. S mois, 11 1. lia.. on soaau.i.DEPARTEMENTS 50 - s4 - i1 né,.eta An 1
iT11ANOER Les fraie eapplémentnir.a de poste eu sus.
%`A eeq.ta '.5 IRRYAEfle5Te se le. al.IVnrlCMu ,TOULOUSE l ns Bnrearu de Journ:,I, rue. 44.
Chas Ni. Bavas, ro. J. J. Ronae,an, s ; et
Matin, m n it m Mata, I 13Malin, i 6 SO Ya.ln,(Agen)8 48Mol.,, (Ihpr.l 11 Smr (Dupe) I ta
f 31 Soir, 3 35soir. Issu, 6 10 Soir, IO 40
A r A R l S hea MM. Luffite-Bulbes et ptact de taï Bourse, 8; M. Fontaine, ras de Trévise.: Yann
Seuls gorreapondanM pour Iw À....oe.. Hutiu,
TouLousE, 18 Octobre.
BOURSE DE PARIS
du 17 octobre.Au Courras.
Taleers div. Cours dn jour Cours erse,36j, 53 05 55 07 1/241/2010 76 .. 70 ,.5 0,0 emp. 1871-' 84 84 ..50/0 emp. 1872 87 05 86 05
A Tanna.
s 010 DAto. 53 15 53 10S0/02.'Fours 3315 530750/0 emp. 71 1., vans 84 35 84 20s leu emp. 71 l.. cors 84 35 84 2750/pemp. cours 87 90 875 0/0 emp. 72 de, cet es 87 10 8750 1 2
1,Ital. 00 45 O5
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Orléu' ... S1 ,Nord 965 .. )1:Lyon v4Midi 571Autrichiens 785 .. 770LombardsBanque
4,340 4,350
BOURSE DI, rOULSUSE
du 17 octobre.
Au C..enE (pu 53 2050/0 Emprunt tout payé 84 fr 4050/0 Emp. uaonron 87 30
Orotcenoes Divensas.Midi 278Nord Espagne variable 130Bassesse 202
DI:Pfcills 'r1;LI:GIt tP111QU115.
o, llore.NewY "k'
le IliLes alaxicuins ont Fondu lot .[,juin
volés dans le T'oua,, ils ont aussis d Ii coc les au trocs des
outrPlu-
mi gescomme présde la frontière.
Les chaloupes du steamer Laolabell,,échoué dans le lac Michigan, out été retrouvées.1
` déficit actuelil" budget
de Cubaest de 13 millions de dollars. On prupnse de lever an impôt sur les esclaves etles autres bimm culonianx ;mais
lesdroits de douane resteront sans change.ment
FEUILLETON do JOURNAL de TOULOUSE
du 18 Octobre 1872
MONSIEUR11,1111E
11. E.
TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE
t tu MBtia,lCseol 8 85
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CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'OIILEANS (Savais# d'BM).
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ISIUMMI , S.. n..4 n. avens..,
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Annonces, la ligne, 0 fr. 3O et
Eéelame9, 1. ligne, e 50
Faits divers, la ligne, 1 00
Bpary, ArrivMar
Matin, 9 08 Matins 9 86
hoir, 3 70 Dois, 6 69Bois, 9 40 euh, 9 38
usus ondes asana-wt
Patin, a 6 10 Mat. ville,. 1 936 47Soie, ,t 42 400'Te
fion, (villelsa.) 9 10 Soie mm, 5 sieote. 11 25
lion. 1/2 ; Comptes du trésor, 27 mil- chiffre de la subvention au de la pensionlions 3/4. dut ils sont titulaires.
Les doloires qui habitent en peovis-ce fouleront tracsmnure
,esrelu-
Marché de Parés don 87 seig.ements soit au ieésoaierpayenr gêné.Paris, 17 octobre, midi.
M. Sueurs est arrivé la nuit dernière
à l'aras.
M. d'Ilarconrt Rat encore a Paris; ilpartira i.... al me0t pour Londres, pourla signature de traité de commerce.
Madrid, 15 octobre.M. Oscilla a p...uncé un discours
dans lequel il a reproché l'intolérancedes républicains; il leur a demandé. s'ilsveulent réaliser leur idéal par la légalité
ne lutte armée. Il a dit que les al-phoneistes n'ont pas la légitimité del'histoire.
M. 7 villa demande aussia
ces der-niers s'ils veulent semer dl os la légalité
sortir. Il e.pere qpe Il' libérauxlesteront nais Si la menace des a1phou.listas ao traduit paries faits. Les 0010
vatrors nént pas de principes, mais,col
Lermtoi des intéréts.
u:iu'sl re décluro que le parti radi-eldI d l I t lu lynuotir
0c1 II l _I 1- t g.s cours p- ueinalns vdontmres a LAI,; 1
dd gcelrs t 'u,ilaires sil général méri-tent la reronnnissancu du pays.
I.a questiois tu l'esclavage à Porto-Di-co sera bien SI résolue.
ornas evenmia
lieras, 17 octobre, 1; h. soir.N. Thiers a reçu, hier, M. de fontaut.
Baron, qui partira demain pour Merlin.
Le bruit que M. Uufaure présenteraitun projet 110 réurganisalion de la mogis-
teature est dénué de fondement.
M. Thiers retournera à Versailles ea-med.
LeT a. 1 t q I g e-
nem t 't e à p és l rl'A. bi projet d 'form oos-t lut' muettes. Un groupe de députés duentre gauche, en communauté de sen-
timents avec le gouvarnemeut, prendraitl'irritative d'une prupnsition dont l'objetprincipal serait la création d'une secondechambre.
M. Ouenne a eu aajonrdTmi Inc eu-trevur,avec M. Thiers, et M. de Itémusat,ministre des affaires étrangères.
Voici le bilan de la Banque deFrime.
Augmenlmiuns: e caisse 314 de nolions; circulation 'o20 rletuilles/2.
laiminutions : Portefeuilles 17 mil-lions 1/2 ; n'auras sur Ilng.u, 5 mil-lions 1/2; comptes particuliers 12 mil-
Spiritueux,rut dn département soit au receveur
î t a0 asti lier des avances, soit au percap-dur de leur résidence.
les Abonnés dont J'ahanais-1137.
eneitt expire ou 13 courant, vont Afin d'assurer l'uniformité de l'ensei-priés de la renouveler en temps utfile gnemcnt il, l'escrime dans l'armée, le
1 qilluistue Io s de la guerre 'lent de déciders'ils n, veulent pus éprouver d'inter- I que tous les mattrea d'armes des régi-
s u ' des xa-ruption dans l'envoi du Journal. entsau.,et 0 il misé l I
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CHRONIQUE LOCALE
Les titulaire. de subventions annuel-les ou de pensions complémentaires surles fonds de l'ancienne liste civile im-périale sont invités, aile de pouvoirtourbes les arrérages éclos :n 4 a p-lecabre 1870 lie leurs subventions oupensions, à faire parvenir sans délai aliquidateur de l'anciennr liste ciels etdu domaine privé, rue de Rivoli, 192, àparis
1l Leurs nom et prénoms; 2 odica-il.. exacte de leur domicile ; 5- le nu-méro et la date du brevet, ainsi que le
Cette fois, il s'agit de célébrer sa ving-tième année de bonheur ovec sa hèreCirants; un . ' s ' a joli bail que la deux'uuteuclants an demandent qu'à tatou,elle.
Ue plus, c'est un jeudi, et cela cet.-vide aveu le corF s dont la réuniondoit ara r
lelieu le ao r, cher. l'ancien
meuntecG'eat même en raison de cette cirenns-
taoer. que, au lieu d'aider comme lent lemmnde aux
préparalibi.
Mlle Lucie eau eupeau., u' elle fait répéter à a.. fiancéun grand air des Rugurnotr appris pour
It'fntmratpasa:uit
les tringles dans lesoutas.,rs lie ses rjdeàux, 61. !tigaut da.
del,or de la fétu et Dut la mesure à faits.Eu ce moment viral n'entra Jaeque
lt, rosi fait à son maître un signé mysté-neui.
- Cl, bien ! quoi? gn'esl-ee } on t'adonc coupé la tangue?- t aatide -répond Jac-collet
r pOosanu,sant m Slouis
'estla l'index , .s lèvres;
ça,d
qu'an . a airs j nain iree apas dira yue... ales j'ane i a
r e pas parler pour être plus sur de meluire... Il y a, au jardin, quelqû un quivoudrait venu router deux mots...
Aristide descendit de son échelle, el,les lu as en l'air pmir ne pas laisser trot.ner le rideau qu'il festil encore, il se di.Figea vers uu massif de lilas derrière le-quel s'agitai[ une ombre.
- Que signifie tout cela t demandaM" lligam, intriguée par .erre discré.taon à obier voir.
- Rien, madame, répondit le jarda-or, ça vous f¢ra m0meplaisir; ou le aer-vilrs au c.nrbbmiillon.l: ombre qui s'agitait derrière les lilas
était colle do voisin llrochard ; il étaiten tenue du malin, rouge, essoufflé, ma.
Nous sommes aa printemps de 1870;Laest au renouveau. (.a façade de la
urc. n Iligaut osleouvc le dn roses flotéano s. La rill,', qui séparela p
faut((m de la ulo '--aIl rlti:vre-I ne,
¢ e E le hI Otl. a fa sent le paradis., comme dit eliette, la bonus peurlotit fire, à la Rous>u, qui ce jour là ata Il de quelles do oolite à tenir qu'alla nesait ot Aonner de la téta. Ges pigeonssont àttem poste soir le toit; les pouleset lus dards orcn vent le leur sous les
liuuts, sauf quclgnos victimes partiesptir lu broche.
Mite Iligaut' les manches relevéesjnsqu'au. coudes, hotte vigoureusement te
.per de la salle à manger, dort altoLift quasi de l'ébène. Aristide Itiguntlent de. remonter (avisons horloge et de
la grande table ronde. IL esterbmllemeut gmmpé sur e doubleécbelle, et n ruelle les valsas:. lac-quelet râlas", les allées du jardin. Miettepasse ait blrn. d'Espagne l'antique or-pmttrrie nnassire , ln Blond aide à laitou=:¢ e! plume Ies volailles.
L. miaou de en remna-ménage est que61. Riga ul donne un grand ci.- Celaarrive deux focs par mt delsus anniv r -
' s da n mmlagcsu
naissanorde u fille.so
culé de boue, trempé d'eau de la têteaux ieds.
- Regarde un peu, dit-il à Rigaud enloi montrant un osai', couvert de foinEé
sQu'est-ce la tque c-Une truite sanmonénde quinzeli-
v,ss au moins.Diable I ça
vientede
Id bas.Ont.
Lu-baa sig Iabsit aile crique le la NI.-Il',
ailmalgré les édits préfretoranx
MM. ]tigaut et Mroehard, grands p0-cheues devant bien et devant tea hem.
, tend¢es lent clandestinement d'illicitesfilets.
- L:s heurgeoise va gronder, dit l'av-eu
J'eu Si peur... c'est pourquoi je'osa pas lui surir moi-méme or 'pré.
sent do cml... Si je disais que je l'aiacheté ?
- Farceur ! avec ça qu'elle le ceci.Bait
- Ah ! une idée ! C'est mon fils quej'entends chanter... Appelle le donc.
Le jeune avocat fut mis au cmontOn convint de ceci , qu'au plaide.
u
re-''sant serait censé lui avoir envoyé
cemagniti toc échaolillov de la familledes salmonés. Présentée sous celle ru'brique aslucieose, doublemeal sec m-mandable par son origine et par sa va-leur, la truite saumm,ée reçut de 141"Rigaut l'accueil le plus empressé.
- Et dire que cela noas vient par l'é-loquence de M. Jules 1 connu BIS. Rasant
uiére.u sa 10La
1louese
ne savait pas ce que .'était
que l'éloquence.- Tiens I reprit elle, j'avais toujours
cru que ça venait far la rivière.Ce jnar là, quines à eo être récam-
pensés plus tard, il faut que les sale.
in, Prseront confirmésS'il y lie.,
Mi.
rés.
nssomnrmrc ri:.énera
Comité de Toulouse.
La plus doulonrzuse coséquenco dela gallec d 1870 I t en le cou
c,t L. AI 00 Lorrains ntIîles
ublgé. 1 quitter t sol at,L or deperdra le titre de lrrança s. ils n ont pashéalié et se sont résignés à une émigra-t,en e se q.i est aile p testatiouhéi nïquecontre le droit aa plus fort.
Eu présence d'un fait si douloureux,les aucs établira pour deir lesiéte AI
rI.orraios rappellent à tons queait ucnla France est colidame de cette nobleiofortuue et qa*vIly doit la secourir detout son pouvoir. 11 faut que les exiléereümivo t parmi nous tee moyens detrama(( qu .voient duos fur bon pays;il fans yue Ies familles qnl ont abandon-né leurs l'uyers, puissent s'en reformerd'autres, il fauteuil. que l'immigrationm Algérie et que les autres élablissr,-ants autant entretenus d'une maaiére
durable.Tcl français comprendra les
nrg. p é . par de ai grands de-
etl Asso-'alleu Al.ace-Lorraine derallie que la s cripliun
gn'Ille ouvre eu paveur des v étantes del'option, et dont le mourant seraajeure partie, adressé
su
x comitésfrontières actuellement eu détresse, seraanulenu par la charité fraternelle et le
palrietisme de mus.
Les membres du bureau.
141M. Oory, rabbin départeme.lal, bou-levard du 22 Septembre, 27. - Joly,
P""""r lla Faculté des sciences, quai
de Ilrlenne, 25. - Le général Moremo,LA.,. de B-(turf !i. - Iteydet de Com-bée, rue des P.Lien, 2. - Moll, mallietailleur au 23e d'artillerie, quartier mo-dèle.
mars se liassent complaisants : le dinerest pour cinq heures.
Ilion avant l'ouverture des hostilités,lent le monde est sous les armes. MmeIligaut est en robe de soie pensée, sansvolants ni passementeries, n i jais d'us.
an orle. Un petit bonnet de tulle,orné d'une touffe de violettes, surmonteses
Leur Rat encore plu, simplement umi: elle porte un robe de caohanche
gris mut uni, net ruban cerise tranchesu la chevcux noirs.
Itiguul et I rird ont exhumé l'ha-bit des
grandes
des circonstances : ha.
bit de bon drap solide et corsé, quiu' se dans ans plis et dans l'armoire, àtau modo dtil y a dix n las fortprésentable.
Jades, loi, civilisé à Parie, .,admet lesupplice de l'habit n ,r que dans lescrises otrrcaelles; il s'adjuge lasupério-ité du pantalon gris-perle et du simple
frac.Le coucou vient à peine de paraître re
stil de la vieille burloge et de pousserquatre fois sus cri monotone, que déjà les
s 'a ls t un à en : la plupartpururvus
de
e Vislrument- violon, clari-r eRe, tromboge, sur lequelils doiveet se distinguer ou concert dosoi
Cet homme de cmarti le ans et deborne mine, à l'air marti
a
al, bronzé,curé, taré, e Llortu tant d'une
pièce,
ce,et marquant le pas,
est
t fil Félix llaudry,blessé en Crimée, ,,api etain eli retraiteet célibataire. Sa mêle était tante deMme Iligaut; aussi l'apelle-t-ne, dans lafamille, le cousin tout court.
Baudry n'a guère que sa pensir., unepetite veule et^.Ies 250 francs de sa crois;mais, ove, cela, en y ajottanl de l'éOOeu.mie, on peut vivre indépendant à Neuey-
Teniente.- Typographie Pb. Monrsrsm, Pi nu ,u a l'
Les suuscriptisna sent reçues chus les Massis sera ; soae l'espérons, accomplimembres du bureau, et spécialement dan m jour prochain ; mais 1,11, si pas-hea M. de Comble, sacrémire trésorierde l'Association.
Les soins des souscripteurs seront pu-bilés chaque dimlebe dans les diffè-re ts journaux de Toulouse.
Divers demi importants ont déjà étéfaits au Comité de Toulouse. Voici lesprincipaux
MM. e, 000 Or, - Acbuté s, M Bt e-
ronge, fr. lueuaé ui députél' al200l'Ariège, 10o fr. - irességuier, adj ru-a. maire de'Coulouse, f00 Ir. - Bun I chef d'escadron d'artillerie, 100 fre0utre les dons eu argent, le Comité
-,ut, les dons eu mature, tels que
linge, habillements, chaussure,, etc.
(art. 6 des Statuts).M. Cangloff, propriétaire du café de
Strasbourg, boulevard du 22 Septr mhre,28, a mis géeérensemeut à la dispositiondu Comité un local destiné à serv r demagasin. Les euats
nid
y ont étb dé-posés jurgri ies ci o t aié puissamment
ur-Soi ui r l réfugi es, mainàté
jopoled'buioilsnsont é puisés. Le Comi
e couséfnrrer las personnes qui pus
éd rasent des nltemeutx qu'elles n as-nt plus I intention de porter, de vou
-loir tien les envoyer à l'adressectdes.
sus indiqué«.
U. nnmhreuz enetége d'amis n cou'duit hier à sa dernaèrn demeure M. Au-guste Massis, qu'une mort prématuréeveut de leur enlever.
M. Massis, né à Foin en 1822, étaitétablirTouluuse depuis sou enfance;après de brillantes éutdes musicales ilétait devenu un des professeurs les plusestimés ; sen leçons d'harmonie étaientsortent eclreruhées. Il matait à rem-plir ses damnas un zèle SOalenu et cesprocédés
allions.,ui sont pour les
élèves u. etc ragemem à bien faire.eaJnsgn'ii la Os de aa trop
courtstente, il s'a pas cessé un stout de ils
livrer à ce pénible travail du professoratet il a formé des disciples digues deui.
M. Glanais était organiste à la Lasili' oeSi Serai. depuis l'établissement de lor -gue actuel. Il aimait avec passion ce belinstrument dont il avait en quelquesalle surveillé l'exécution. Sen jeu étaitsobre et sévère, profandrment religieuxet eu dehors des formes vulgaires etmondaines qui tendent à se substituerParfois au style grave et sérieux de lanique d'église. BI. Massis
'aait
qu ûne pensée, c'était de vor acheverson orgue, encore incomplet par le man-qne d'u cermau .ombre de jeux ; celtepensée le préoccupait et lui causait de
ces tristesses que les véritables artistes
pourrai seuls éprouver. Le vmu de M.
sous-Bois. C'est très-heureux, car le capi.taille est ce qu'au appelle, en argot mi-litaire, nue culotte de peau; il atantusé es vie à être soldat qu'il ne peulplus 81es autre chose. Les Iligaut l'ai-ment beaucoup ; il représente la gloiredes armes dans la famille. Son rubanrouge est ove sorte d'oriflamme so.s la.quelle on ne manquejamais de se rallier,lorsqu'il s'agit d'une démarche ou d'unecérémonie de quelque importance. Gé.
éralement, leétalcapi,aine se tait; mais saboutonnière K e et parle pour lui.
Mme (tigaut le lourait de chemises etLucie de monch.ies. qu'elle brode à la.taffre. Oa na met amais en perce unec
de Saint-Jujlieu ou de Pomardsaas lui en envoyer uu panier de i, ,I;
bonteill¢s; méme atleution à laueallcltr des fruits, à la rentrée du bois
de chauffage, à l'époque des coascrves etdes onfilures. Le vain laine acceptesans façon rémunère tout cria parquelques bagatelles qu'ut sure à Lucieau nouvel ou et à sa fête, et par le vé-ritableaatlachemeot que, de sen coté, ilporte ux Bigaut.
Le capitaine ri arrive jamais sans queeu petite cousine lui soute au cou ; elle
est quitte p0nr essuyer, en riant, lu
! û eque laissent sur sa
noires, Ira'esleu grand mauslavinstrées au csmétique.
Une trentaine de personnes ne tardentpas à étre rénales, tant dans le ,jardinque dans la en et l'habitation. Oo euet vient remmanchez soi; off saccage lesplates-bandes, on cueille des dents; lesjeunes filles ne se génent pas pour cro-yuer dus prunes vertes et des cesses engerme.
- Faites, mes enfants , dit l'ancienmeunier, la maison est à vous,
A cinq heures sonnant, il ne mon-
o r l'instrument quiuni pd'une manière parfaite à ses inspirations,ne e. plus Ià, pour voir son désirréalisé.
Si l'an estimait le talent sérieux etcomplet de M. Massis, on n'aimait pasmoins son caractère modeste et blenvethtant :sévère tever. lui-mbme, M. hissaitjugeait les hommes avec indulgence; .npeu[ affirmer q 'il .,.,ait que des amis.Sa mort a causé nn deuil profond; ougardera longtemps le a..venir de sabelle rie et de ses excelleales qua-titis.
L. Société philharmonique, dont M.M.SiiSêt.it lenoue de eairee ou euneni aOur 18 nimbe,
M. N. Itouzaud, .....Il président de laSociété, a prononcé un adieu que eus
eus empressons de reproduire. Voicil'a paroles prononcées par M. Itouzaud
Messieurs,
Quand la mort vient frapper l'hommeau terme de sa carrière, et lui reppulerqu'une longue vie n ést qu 'une doubledrue de la nature, elle ne parait alorsque lu loi eigaureuso de l'hnmamté ;mais lersgdau milan de sa vie, l'hom-me succombe sous des coups inullendrésnon coeurs alors se resserrent; pd'une profonde ameetime, nous laissons
éclater autre douleur, et, ai nons ra-geellone le vieillard pour Ira joursqu'ila coulés sur la terre nous pleuronsles années que la mort a ravies à unhomme cliente environné d'espérance et
d'avenir.Tel est le sentiment que nous éprou-
vous aujourd'hui sur celte tombe encorenuTelle
Tell, est la douleur que je veux essa-
yer de traduire au nom de l'École-Phi-
Ilbarancool Is nique , n, celte Société que, une
'Li
su
alfca0on etuneselsqai allèrent jusqu andévouement.
Je voudrais ici parler dee joies qu'iltrouva dans notre société , et aussi dessuccès qu'il 7 obtint : car ce Invente apour noua, au sein mpme de rire
tristesse , nue inexprimable dou-ceur.
Lorsque l'on fait une perte cruelle,lorsque la mort vieut disjoindre nos
lseapp n a ubruOn pas, en effet nà il
rappeler le bonheur qiI ont P. tirs
etet Per
dus t Ne on pas à calmerainsi ses pegod,Iasetceses douleur ne trou-
pas l pieux souvenirsune eaahon Ysain
recevait as orgueil ;Massi Ies sucrés saélevé à l'école de Mas, de regeellable mé-
i1trouvait àfaire remonter à sonvénérà ..lire les éloges qu'on lui décer-
que plus à l'appel que M. Robert ]Munis-net.
M. Robert Morisset est lie avoué,l'homme duellistes], le boule-entrai., e;
mouche du uche de Neuvy_sous-Bois;il n éat pas Normand , mais il Mérite-rait de l'Olre. Bon vivant, spirituel, a'mabre toujours, à toute heure et avectout le monde, mystificateur par essenne, hdbleur impertmbxble, menteurtans rime ai raison, pour le seul plaisirde nn pas dire vrai, le tout si bien :unal-gamé avec des faits notoires que la rason s y perd : un logogriphe perpét.elque 1'00 cherche toujours sons jamais letouvr.
Ce travers l'a mis en suspicion dansl'esprit des gens sérieux, qua 7 regar-deraient à deux Lons avant de loi renierde graves intérêts; mais il n'en empaumeque mieux les paysans, qui le trouventbeau parleur et pas fier.
M. Morisset est, avec cela, un fortjo-li garçon, bien tourné, aux (rails régu-liers, aux grands yeux noirs, expenueilset doua. S. favoris et ses cheveux sonttirés au cordeau; Ies mains sent blan-ches,les ongles soignés, ses costumesde faulaisie achèvent, hors du palais, la[ascination :pantalon coslui' , gilet de
I nea,ssaeatcascadés
de choanes d'or,breloques tapageuses, cravates fantai.is-tes, un diamant au petit doigt.. En sommeMédiocrement distingué, mais l'appareil-ce cossue, le ton et les allures d'unhomme charmé de lui-même, la lote deWai. quarts, le do. rond d'un elml quise gratte, le sourire stéréotypé d'undanseur qui achève lie pirouette.
Il faut que Robert Morisset soit merveilleusemeut dosé pour mener de traittant d'occupations et de passe-tempo di-vers. On se demande oh il trouve le loi-sir d'étudier Ses causes. Ce légiste a tont
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n- em , 1 . e y 1iB s d.1 l 1, il,
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d i mc.fit s,têtet: t'ois
cb J da ce plu il,du 2 b h
Camp rieur, il appr t i t à vol--leur es pou 1 nr s e P - r Pot L ,, ro den ne var été, coonon Jouc. -np I s. QI J t s il IL 1
té et 00 charme qui apt,ament Vaud N s p q , q '1 . 1 1L o",rem après I erdir ,(,doit g fera t o v les yeux aux ga, Jie
1) se t r g t. e q t I rChef d'oesheshe, elle an cure d'osé. des roter ts de I n cité.qn le l'armai., ' t u n ] p t dt
cation t quall, dopré hâte, dans Moi ilue 1 - - -- être en élut d s"quelle m e J dsti ! let d fut A M n rue le Bdactenebien 1 et
L
Je o esumable maître, Le même pmr, dites signe si.s g n - c lemoi- do Journal dl' Toufouet. tuée à rovuren 00 l Il.et sus d
disgsaü de la geuérosité Je 5e, s,,uu Monsieur le Brdeclear, L t S t é
meaes. i ho-lots d t l do' 1, .. C
Organiste, il savait qu'à la majesté le viens de lire ce ..fin la boire d, b ll t t té-'l' 1
`
al
du lomple catholique ne convenaient que M. Alphonse Langlade,e irl Lieur de Sy n ça do P. Lmnpagme des chemms de farse mystérieux accents; te nous, qui les durai de la rrv die de Lhers. du uteuavons bien des foin entendus sous les
estlicous m a rassuré; il parait que Auteurs menant,
ies vuùtes de autre basilis
mes entelieessée etgel, M! te ecte Ln v 1u éq t i til -grau
"avoir"étionalarmés k toit. Direonses et célestes accords,n is dit, en effet, u ï6 net nr t d'e p I:.t i d t ll Q t ns
les, 0001m ré sono noueire d nous u teueoil dut 1 1 d n, est um ae d I
amevsélever comme malgré eue, A de pieu re aus'est lia nspm. a
saintes pensées, à de par rêves, à de tas rrv s tirnt d f loirs tbeau. ! ors Iuaq t, lit de Q ilie,e: 8
is ri désira, et
monter
er tir degrés iresenant s j
u n
t ax bor d ,1 louve
p par 8r t dans Il réed f lb usales rieur r déjà lotionnés,
l de ? F,t r à I r f t durC'est ue Massts n'a ,tir an, a de Ma let d 12 t Mo I f
q p rédactei 't elle u d r é Ués ? ex-câpilsime de f dF é.prèsni e loin, a ce.ile pré d d routes de I. sur d r Ds tsall,lis.
t)Oe traavaillent
p,nr , g( et P t lui vg ttbnt l
ilad ,t t été p e ris e
l argent triste rnél m d ' ' I :j e j e e
t
t 1 4 1 d i p lit, . Ils1 é s et effets d II,h.l
cet art mercenaire,,ait
It
utressée. Mais alors uuriaoi lanetp
retende, qui éteint t'nap,il sous lo chah,la vie sons la furmq qui pervertit lesnitelliguces et malérial!se las cours;
tait de ceux qui, se sentantmais il,
ces, plat a,,ibÎCS quecette célébeilé iaom-prenneut que pour s'élever sua snhlimexhauteurs do butin et du vrai, ils ,loivonlrompre avec les pratiques malsaines d'unarc corrupteur et faire reposer leur sa-tout sur le principe de la foi.
Mais é rl bal artiste cluétien,ffet'est,Jouit fut homme de loi. Mass,,, en e, utoujours pansé, et a raison, qua lestecpi nr pas religieux sont 1 nniquu base detout ord 1 t
choir
i ilc - iii j d I f0q u pt I - il I i,aitospose le éd d s f tl L lue
Arme de or croya Japurvmit pana a dca à élever
asn.
dessus des peines da la vie, il, 11000e'
nous pus vu u,', opter avais un calma ré-l^ . il ticgné 1 ffi tt - qut le
torturaient sans j. .i" lui laisser ouinstant de repos tNa 1 v s pasvu, fa son ft de doulm tai iuappetrrle prétre, voulant purifier ton etse peép: ireb ews;vmr celui quyaffor -
,it l 'espéruaee au seuil même du tom-beur ?
Aussi Massts cal l la m t pp cheravec t t l I d cnce.anal ea 1 e à la te l'1 u-metl de d .f ill il e dut à Dieu
boo
arme,i,ement500 .sprn dans la moquante etus,ème année de son lige
Ne mdrite t-il pas des regrets et despleurs, celui dont le cemioeese fat siBaux, les rapports si agréables que pourlinier il suffisait de e.... ître ? An !donnons un libre cu rs à nua larmes IPleurons avec vent qu'il a devancésdans la tombe, et pour qui, désormais,il n'est pins 'dis bon Leur ni depleurons avec 00e épouse et des ..Lotsdésolés qui perdent ri an jour eursoutien, plnnr,na t Mois,i O foi eonsota-1.ico! ta viens tarir ses larmes, en trousdisant d'espérer nous revoir au scia del'éueruelle b:'tourde.
(Je ftneuedore, de la composition deM. Massts, a été chanté par M'I. Balle,Vincent Gnq er. Buyee. F,elte halle pagemusicale, parfaitement exécutes, a pro-duit une profonde émotion parmi touses assistants.
écrémé, il s'est irrité à tous les arts, atoutes les sciences. Quart de poète, de-nimnsilieit, taugmei
at de peimre, lron-
héolo me ir une teintuçnn l 1' re deart, g ,
ceci, quelques idées de cela, une coanais-Ilors e.t.nn vielle de tonte chose.l'orle-t-on d'au livre ancien out cou le-
su dont il ne connaissait pas mdmetitre, en semant chez vous 7 il islt lejoins, l'soalyee par intuition, divaguejuste o, à ,Olé, cite quelques auteurs -qu'il n'a pas Iras darantage- ayant écritur lo même sujet, et finit par prouvera
qu'il sait le humeur, par ,mur,,. Est-d'un lableau qu ïl ,agit t il vient d'expé-dier une toile à l'exposition de l'aria...D'uun pièce nouvelle? pnuh ! il en a enla prcmiére idée, fauteur lui eu doit lecanevcsSans soi: couleurs, M. le',le, .unit certainement chèmé de la-êdpiltoitee... Va-1-él ., paris, il mn expà
times des rF its variés : il sort del'Opéra ou de la Morgue, d'une séancede l'Apadémie ou d'une première duGye,nme, de la cour d'assises ou de Ma-
' il a été, admis à vair le 'l'rop-pmann du jour. Ceci est la romance enrobe
deI-Y-- la de ce la il.
e, h ..,an lenlarsemaise ,a-
>
A. retour, c'est bien pis ! Air !mes bans amis, je anus conseille de leplaindre, il s era peut plus, il est. sur lesdents; mense quelques jotars de cetteexistence fiéviceose, et c'e.n était fait deMorisset t Los avoués de la capitale luinl oRert n banquet u Grand-lièlel,
Capoul n rhauté pour lui sent dans uncabinet d, Ilrébaat ; ce révolter que
voilà, il 1'a ramassé en pleine barri-
cade, à Bellevilla , au milieu des bal.Iea.
L, garde des sceaux l'a pressenti surla fanon dont il accueillerait les avancesdu omivernement, roue le ras où en le
Monsieur le Directeur dis syndicat dit
encore que tes bnunux déjà axé niésr la rimées du Lhers nous ont pc,r,e.
dix houe années préaerorre d'itnduuoneal soMes souvenirs me s raoutns
ua cerapport at poer un
silois espars de
temps;mais ce que je sais bien, c'est
queJ.
années de sécher±ssm, r iincusrsplue nos produira agricoles, que nous
ntlerementie cet ringaidé le Syndicat à ebmnir ce résnltat,Ievou ee Al s.
le sr, pur e votre obitgea ce à laquelle jelais un nouvel appel, IL ce erre le de.r-
r p or en qui eone=rne le Syudi^01 dei
n de ma considération teestiignée,
G.
Belberaud, le 15 octobre 1872,
Un décret nom. officier la Islég,un d'honneur M.s de Sainll, ou de
ris n .cu-ité, uheve im dis sJ l rbre 181,5;
31 ans de services, 3 0ampagvcs.
I.a nommé 1 âgé, de 3d ans, journal .
dmuenra l à L Daurade, a été an tépour vol de récolte.
azlrali H,, b. : . i É 4 r".. s
dllie 111 Vase, 110,
xlrùtle 6ud d n
Du 17 octobre,
Thersn. cent. mazim. 'hier :+
15ILid. min, de
lda
nuit : + 4.9t L. .fort.."a s. IAson. lits, en ea
9 h. IL. 00,7368 -cour.- 0 a-fort.Midi. 00,7366 -onnv. -NO a.fort,Le berométre met à Grande.Pluie etmonte légèr,menl; le temps i som-
bre, l'air trisdmmide. Brouillard épaisdans la matinée. lait r, vers trois heures,forte pluie d'orage de courte dorée.
L'in nique candidat de l'Ecoia de Soréze
a l'école Polytechnique, le jeune Verge,
a été admis avec le numéro 25 aprèsune seule allée de préparation.
feraitl'objet d'une candidature officiel-le ; mail il a ps bravement la fait. enarborait son indépendance , il .,estmême pas retourné au ministère, oie onl'attendait à déjeuner le lendemain an-tic.,, Le plus curieux , c'est go'il finita nt par le orotue lai.même. Bref,niait, pénétrant, alerte d'imagination et
il s'assimile les choses ilgrène vgrène a,ec les nes, il pompe fous
lors, il arine teutleles s es,eilil
il.de la farinerarine de tons les sacs, il
prendte
le r
efegain
de antes les récol-
tes.
M= Mensuel set célibataire; il a trmde-hutit ans.,, Comment il se fait que, àtel âge, il n'ait pas encore gratiné deen précieuse persooae eue jeune fillequelconque, cela tient à une attitude de
ur qu'il a contractée depuis sept à huitans, et dont, soit par enlélemeut, soitparce qu'il espère en e, il n'a pasdéu
-tordu depuis. tirL'objet de cette passion, combiné, à
froid, mais romanesque et bruyante dansla mise en scène, IL lrène de Beau-champs, une noble demoiselle, douée doquelques millions, triste comme si elleirait avec un sonvetir ou avec un e
chdtourdedegrec, n, qui mégis en son
deNe
us.BoisliVns est non loin de Nà laqueer.sal sersmoudrais à laquelle e ta
r élutae
serait nullement éloigné dedesBeasoustraire en enlo
togege le blason des
Beauct,amps de sa d'avoué.Celle passion n'est u e tlnbee pour
tige sonal; chacun sait que Bobert a unelessure dans le clnm ; on sait meureb
de quels beaux yeux sont partis le traitFatal ; mais à quai bou soulever benlu-lement nn voile qu'il se complatt luf-méma à laisser diaphane ! 11 est doncentendu que MIIa Irène de Besnchampss'appelle futurs comme l'objet secret des
nt t : t s v ce pls lot ne lu fards eatinenl,. n L
m suisin rh. s lu(Courrier de l'Aude.)
Alontauban, 16 octobre.Non, sommes eo mesure urtjnnnPnni
de donner quelques reneelgneaiesla corles affaires qui se
a".t Grises samedi à In
aireSur Ir, divers marchés, on complut;1l0 gras, dont jo ont élèves fils
à ra son it a 80 fr. les 70 tl.loti
bmnlv
de travail, de9000
à 1,1!10fi la pat
16. ta- g d 67 fr. 5071, G ! - 0 1 I
71,0v t r,ul d t 0oeunes de 000 10) fi. 1 il600 m L dira, -ffl Pli, été
1 7 110f I 01-l.,toi migre+, dont ne tin
d011 brel 1 1 à 22 fr.
7f'1 rh l 1211 i lé Ir,1 00 a n Il
ri211 I tx vend
de 9,200 à 1,01111 fr la p1l0 m..I t dent 40 vendus h 41,0
lieur,,,140 nn. dont ira -dos do 20
80 f,.173 ins ma e dent 320 vendue
d 70 v tint,1 010 :g p q tels lvsà
5 f le 0 k il(O4 r, chou, de lait, dont 210 vent s
de 30u 1,0 te.9,191 d tir moitié vendue deciel,
11 à I i In. I pire30'i poulets vend"' en mnpenne, 2 fr.
70 la paire.174 canards, vendes ;i 3 fr. la paire,
11, diud, a, à 9 te. la paire.60 lapins, à1 fr. 40.La halle était bien sppeovisioeré',
les prix étaient les màmes que 'a-mr.dt.
Prix moyen, 10 fr. 53.Ire qualité, 21 fr.2e et il qualité, 30
te,
fr.On évalno à 880 à peu près, les ilrao-
gers qui sont v us à Monlauban, e.jour-9, par loidivers traîna du che-min do fer.
(Bapubkcofn.)
Les Cei,neils mnnieipnnx des ummn-ea dis département de Tara et Garom,e
se eénnirout le dimanche 3 nprochain, pote leur quatrième. session
amours de Lamaetioe s'appelait Civile.L'avoué modale ses tourments avec tousles bémols possibles à la ,:Ici; il lesjolie sur les hautbois avec va iations ;il leur érige, en guise de mausolé=s, desnocturnes plaishfa, des strophes lar-moyantes. Si ce ne connaissait pas t'a-pOIrn,ceserait à fendre le crcnr. Dureste, il a, Pour con.sfauire les vers, tinprocédé qui n vssste à triturer des hé-mistiches de Musant, de L+moeline, deMillevoye, dis Victor Bngo, et à esl.ralrs
macédoinesde ce mélange de petitesassez réu.s.ies.
IL a irhnue, dans sou cabinet de cousullation, un port'oit r v 1 d'une
double singe, l'ait de mémoire h ce qu'ilpeétevd, et quo tort le mouds a lo droitde supposer être, ce,] ni d'Lsoirs.
Le Pétille a sous doute bieo écorné unpeu ses aspirations m s il y t'nt
ne tabil de tir Coue n sacesontnmisle tranche bien .star le fond,
dgéti(e lcment cri',rd, e son eametére,IL y a de brave. d.aines de Nouvy none-Bois qui s:i passion an 5011,55,qui le plaignent IL C.I,idéreni si gaieté
f dire, n affichée àconel'emés pour mieux crocher ses douleursse Ces u
C,. soues toits et tendres font le bon-heur de Robert; quelynefoie, pour lesconfirmer dans leur urreo r, après unelirude grotesque ma une chanson de N.-dard, il quitte soudain le salon etompuanant les yeux d'un mouchoir,lequel pourrait, du même coup, absor-ber des larmes ballantes.
- Est-il amusanll étorrdissanli ruis's.lent d'inouïsme ! s 'émis alors l'audi-toire,
-Panure dure ulcérée) pensant lesélégiaquesntet les vaporenws
Bon,
viva, gobelet d'élite, illustre
tIl tt té,' Ili t
i.i q lit l p01 t1 t L Ij1J tl I 6ocs
p'e f Il Ili"I' ce lieo l' : I t
!o ccloL I .p tl a
p q (1 dl ëhsé-
t I é l bl l ¢ t I
Ilmo
rond a ci 1 ée
desd .l .g é
ov Imbus. L 1 1d. IL loi t t ices, nIt loi. 1télmlao b t I r d il
m'st t l A él t de 1 q tai do chiffre 1. t , épublicains e
levés il... chaque canton aux elecdoosgénérales à l'Assemblée Nationale, à rai-
égué pur ti00 votes de cetteon d'un &Inaltire. Les journaux eé1Iublieuias pu-Lhéa dans I IFl t p t
tonvoLressai5e ou lé le. nern nt lé s
Quatre candulats éta est en présenceM. D poav ép bll -n modéré, reps é
p rt I eemenl I. boucset t pinsg s luté le Ni M1I avocatdePéri-Pl us, u- d'd t de 1 1 use ouvrière et
d1
Isf
c Steeg, trèsI 1 ap tlau. rtra les et qu an
p A -col a mis en évide. en fiaM. ad, e, répnbliuatn de oreille date,
elles vwlimee des pe scriphons dedécembre.
A la Première séance du nng,é,, M.11h' a a ohlenu 76 co , et II. Du puuy,74; Ils droit autres, chorus une senleient. La division tees voix cotre les deux
principaux eandidste muait pu avoiru
pour ffel d'amener ai. échec peur leparti ré t'ira aie et d'assurer la vmtoirde - cade La coquette, soutenuparMIvsde e Fou
boit iltisms et même parce miged. 1 g Ines-00. ides
covjnrer
ers ous lI coog des memhresJlsel, qI pue ion do ongeés dot proposé
d d_ il à &ie1 rt ED p c l lud
q .nt m tl 1 Ifili 'sp riM S g ayant p t . tlé. ih d 1 1 rPI
y I t soie P"", 'Lfé I ru rl q t pt. L Lipprs t.an ers engagèrent à fuir, situerleur neceplatiois par le ecnJidat de benetels.
t t f i b d et o 61il qu'àaiair , -mot1 i
, illes delryn s
A, rend _lée.s. ru ut gtileotl,00r¢t p t 1 x I
I d I t L.Il l p11110, M dt g1 o t de t I, M
D p y La I I 11 1 [il , Il ri I ilI c ci ho de M- Caa uequi dunes i q candidat des de-
icinfle,n- n s8 d L:s frais dsoni é. 20000 il., errent
pl t, p hors Ici emhres de laL I,a des pie i erli ns variables, selo r l,s les ourles de chacun d'eux, etrég er, par Ir congrès.
Les républicains de la Gironde etcompris que la discipline est partout né-
elle l'est dans toutes les lattesessorede Iv vie, ane mus les champs de r,taille. Aux anus rvateurs de les
limiteer.
lainai conduites,tles élealioas ne peii-leut que prendre nan sigilifir. plisprécise, plus déterminée. par la prati-'tue de ces ligues élecmralee, les gosselions de pee'ones disparaissent, tout sefait en vendu triomphe de l'idée et duflirt., t'eut Puer y sursit-il là 0e moyeudo crer es qui gons manque le purspour notre malheur: des mceurs politi-qUel.
(Jacumnst des Débats.)
Ponecbstle.l'infatigable avoué cas cou.v pas mouds une santé de fer, un teint
derchanoine et dca poumons de stemor-Telétait leconvive en retard, lors-
que le Blond vint lotit uniment ann.n-er à hune Biffant, sou pas qu'elle était
servie, mais que la soupe émit eue latable.
- Dix minutes de grâce pour Moris-art, réclama l'amphitryon.
- Tout sera ballé, PI observer Ur-sate.
- Tant pis pour Iii, dit le père Bro-chard; pour, ma moine absent, l'abbayene chéme
P"- Qu'en pause le e.pitai.I? demai,daBiglai.
-Le capitaine est pour l'heoeemi-Iitaire, oelu va sans dire, riposta Luuie.
- Metioosaima toujours à table, çale fora venir, conclut 1'avoest.
le fit(,a
tnitcroit eu eliet,rs
senlemeetle
ie longue planchelohabilm'e
lhes tevin sur urlinge blanc, la truite, non moins queetioble seigles; faisait l'objet de tontes
lescovvarsaii leRobert
émit
t ému, haletant, s'cesnyntle front. Evidemmeut, il avait préparéson entrée, rumine font ers coquettesqui pour mien, attirer l'sitentien etfaire pins de fracas, n'arciv t jamaisdans leur loge gra'an milieu d'un acte,
-Enfin, la velte?- D'où, disblct prou-il venir?
- Ah! mes ..le, commença l'avoué.tout .il épliant sa serviette et en semettant en mesure de rattraper lescou-vivee, ces choses-la ne sont failes quepmrr moi! figurez.roue que je revenais dafaire une visite à mon ami Paul... vous
vrh le. jeuao comte de Baauchamps,da château de eillie.s
- Le frère de son lance, glissa en
d Nl no, si h ,sur er taxé n' t tl t q t I v oIIem+ndsen ,Gon il,, prés: nt scrute. et lu e, o t Lre cl, o en s dépit qud+
I I ,t t sentir
Lyo 16 octobreDiots 'o 1 11 le t'1 1a .'o
de p l:, t It. b 15I Ït rI.1 1 i d 1 1 I o,or, slors
nd on jugo I t 1 ff r deI Alt ce R F bt
l e liibun I s i 1, é ml. .ulp... les prs d, lt n e q tl 6 ,s to Sain, LI t t t Il sété vteol f d il [Ili.
111.
Le tribu, I l it 9 i le té,nllvdpas des delats que 1 Alieuse Lit Il, use
muté secrèm que la présence du pré-fet de la
Loi^e,
, M. Derlholon, et celle duo le S l Phénol, aonatit Iair ci
bl t.D : de vive la Bep II rte eIo,
sont f t entendre dans la 1 p 1ës
p o é R u Jugement.Le LII rte Lyon a déc i t 1
à AI. le Lre,ident de le Bel 1 I q r
invim"wn a i.iterl L-p t. Iltop, 1 hespitmitilui off,, ru r e e te
deus l'klOIel 1 vile.lie paragraphe qui tum no celte let.
Ire est u,osiesrçu :
. Les hanuences diverses qui ae sontfart sentir ,jusque dans vo re ntour,gedisparslnont assurémrnl quand vous an
Il dm pubs la silnalien de net,.vit.-
IeL.la dislributieu des récompenses 0, 55
lieu le 27 octobre.
Une pétition à M. Thiers se signo m,ce moment à Rouen, peur lu prierils
Il Snspe d t mporair-n t 1 sirtaxe, dl p+ ' I I r tous I s
av + t d p y L p utét,angerrPlu b.d ils de la hf,.d't-rr.n ée,c w l'rx
t ts I i d I', I t d l61 I â' r t ic 1,'t Ir ocu .i, àl t 1 .I I t-
d m is , aIl 1il 1d l' p 1
qte 1
1chu:;,', a l jeDIIIpo. .,s de t
dans ce cas la quantité'il
lmorticdu u oran, ge rffe, let In i:
empter de toue les dru, t l x d'al.t8che , do port et te ba:;uts, tuasb,, ,soties , à la - t lenth g d d l
g I't' t. I1 -lit, lie 'tt f ill1b
tendre les communes peur les md aer.
Lt petit o i. ,u ir.r'e
uv's<Nous n p , r lePrésident q a si nbes pou.raient être upliruéel, o n toutes autres
Is u-,q t
lle gg L 1 1 i.-. t e
des soties etnv ssm L_nt t coule sertd e marchandises si malheureusameacdétenues dans ces ports,
VERSAILLES PARIS
(Coerespondanea particulière.)
Versailles, 16 octobre.L'évecualinn des troupes prnsaiennes
chas haute Marne commencée turc secontinue aoj...d'hni. l;lle tic contin ocra
intorruplias jusqu'à ce que les denxdépartements de la Marne et de la Baut--Marne salent aussi rendus à leur liberté,
riant le clarinette à l'oreille de son rai.
sis le trombone.- Tout à coup continua Aforissey à
kilomètres de fi ulliers à
Ianglend
d'unanchemin creux, je me trou-
ve en face,..D. de,, quarterons de brigands
q' L vous demandent la bourse ou la
-'Nais pas, père Drochard, poursuivitl'avoué; cette fois, vairs sagacité cet cdéfaut; il ne .vagissait que d'us pauçnvrediable de canlonmee qa en p ns guériteavait glissé dessous
etégisait
à+terre ni l'ractusee.,,- ILfaudra lai envoyer des secours,
dicent simultanément Loeie et sa mère.- C'est fait, reprit Moriseet; hcureu-
ent que, je sais un peu de chirurgieet de ni dcine...
- Cet animallà sait tout, dit le saxo-phone ae toraet à piclen,
- Ah! bien, oui, si cous avaler toutesses unnleuvres! Je gage qu'il ne distin-gue pas une entorse d'un rhuma de cer-veau,
- Vite,otitill
ait detachée je Leursle petit. ion d'un coup canif... 11 est
toujours bon d'avoir des machinessel sui.-. Je rais do tibia au péroné,je palpe la fesenore que je hmtde solide-ment après avoir déchiré mchoir... LU, ma foi, à l'exemple da bonpaatanr, j'allais emporter sur mea épau-les celle brebis malade, lorsque je devi-ne, au min, une voiture dans un nde poussière; elle venait rapide.ee[uv ossons.,, le cours, j'appelle, je m'égo-sille, je fais des signaux de détreesa,..
- Puisqu'elle venait vers .ans, in-terrompit Beochard, autant valait l'at-tendre.
Elle pouvail charger de direction,reprit Morisset avec son aplomb tub)'
P p t . d d p anis vmsrvst l 1 v toeh 1
é ' i o d lé. i me ta ,-Lr ait l o ,rl22 du d
"lito u 1
sa aa0millions t t p I O-
tt p y at t l m n d peut
vitioll'i I f ,te h n m ,t.41 'l À,., t txt i'jn lots de sonrayage au Ilf ,
La"' d b q a0 0051e avaûété cm,fiée, I l t i du géde, üos s
e n, epri 1 q t,ilfaut leecannailre, r la se., leutcurs à ebccu-
pnrde sa idche. Mais, foi, p.lu, grave et,sials:ovdamnabin quo p
geéres se décterérevL parmi les ouvrie
des
rs
eharpeutiers q t II t b
m rs, I t filtré.m, oulcrofins.d Le re ep er de d ffi t a, I dt defaire partir d p'.la p descharpentiers d I m Iw se milletàeuvrn air efaire dgar.dél C.si à eux quIl t'ondoit l'achérement de cette .."a du l'rbushido.
L'antoeité ail' d. air nt d'y faire-,[aller sus! oI, as, afat Iimrles,baraque ente c,le en s Jouévla bonnedisposition. Si acluellemcnt ils nchi sontpas evtidrament terminés dons utesles vlll 's ru, doivent em','ooir un sur-
de ils le 5e-ruit de garnisons, ceFont incessamment, an ,orle qu'ils r
seront pas un obstacle à l'évacuation, quise canonnerachaquejeuesanainterrup-tion,
al. Ernest Mentit est tri : on n'a pastncore trouvé l'aile de la mystifie.'lion coup, blé dont
ilil a été I t jet.
Lr bruit coait que l0j......
or pré- enrt I ait ,, .r dca g
u -:loi i l'et
ol 1 Csa -i
I i AI q o 1 1 à IreI j I n a F
sen.él J 4 d l s sphères goun'Il
I lr, e ait donnéIl, renW15n ammcr r_m, nt d exécution à e
pal eitdercinrs .t is du Fe,r,,l n outrentuxp 1 v,-u 000tion qui avaiti= té dpno cette s ille.
P r 1 lb 18 2j 14 - te lie IsOn
t ers t t to.j et C' i
ce,. q tilt t l g
t ds 'o il 1 µ l f iée
q jmérite lsj
6
mé
t,r - t é liement c redusp-ele[euilo-Les lotit. t d'un
t 1 mais j tsra to qu'à laI, ire de tirer eues,
,Il
béa coup d ans s do il [ cévitmnce âtendent pour dire que Is gouvernementdoit se renforcer, et se présenter devantla ebrambre avec une surface plusorge.
roat ntla est bai et lion :mais cesidées n'ont point du tout accès aspresde Ol. Thiers, quia le sentiment qu'ilsolder tant et pourquoi Ils changementsminiso 1,0 n'ont la plupart du tempsqui mportanco se enduire. l'inclinedura
àe
croire au aralu q,ao, à s'erre queDort 'fesserenc deBorte allrime à M.
tdede
sese retirer
nesoit ddf ndir
La physionomie des Métrions do 20.,fable est jugée u r
""par
les c ..Oars
caée riseffet duos ladre-, t Loirrgui' Iracandi,latradical avait re ru l'appui de la députa-li.n de ce département qui sd dit rcpcn-
tuer.. Enfin, l'équipage .'arrêt,, et qoiest ce qui en descend t
- La providence, dit madame Iii.gaul
Justement, Madame, la providenceen persoa ne, cous Il. traita dom.a jeu-
n le comm l'ail, lequel n'avaitsnagé à a garder à dlncr, et cP, s
rait eprés n ti pour réparer cri oubliqu il
unLum,tul.c pardommr... L'invita'
Iion vro.it trop tard, mais 1. voilitrerait à peint.,. Cnatie, dis-je à
ii, je s s attendu clin M. ILi-gant, tn des notables de Neovy enus-Dois.
"'If. acheva Bnbery nous avons hisse,asi déllertement que r', l' ,an-
tennicr dama lus i; no me;Pant leul a pris
Tdare'à côté deluta..
ncas muresla unsil, et l'unnlb;cncherl...
Cotte, xplieatmn tourne, vous muPar-,asdente de.,. de me pas vous
voir fait attendre, cep it l'avoué eu
nno gouda en était au deuxième cor.c'est ce qoe j'apnelle une journée
3 1é.,' Titns.-.
-,Je croyais que Tutus était le nomd'nuo coiffure, dit l'enu;en meunier,
- C'est aussi I, nom d'en empereurn qui m, os conch nailjamais sans
anlnnier goclcon-rIi --sie, répondit plaisamment M, Morisset,quLa t'und de l'aventure était vrai, cast-
à.dire que le jeune comte la lai avaitraconté,, comme eu ayant été le héros.filais cela était birrs égal à Robert qui,
si Junoie nus l'as ans dit, entrait aubesoin dstoutes les peaux et bénéd-liait de toutes les actions d'éclat.
Vmros PEBCEVAL.
(La suite à demain).
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
al.wu.e.le; .,...- hrée -.. -.,-ur
dans mode ée. D'après i , j'en, ends
ii,P'Icr, cet par d lRl oqu'au f 1 ,lettre à
'
-Ci -IL'dJ P fdueilar i ma n j ,rou ,Ni. Ph casa P
d Fl méq I o m ll tt ilrance et P ta 1 .11
il ait t es g li
re la i couiné eu, au crédit noua T 8aloi, s part. dl 1
Ce sire, grain,] durer a 'Elysée Il. le,wl'holin,or des rnnsé ilers d L'lar eu sir bila bila il o d i k rvice orJmaire Ions nul répondu par née u pl d e s , de les lépa-
accepl,rtlon a l ail vrtat.oia do M. I I r a s lu p t t dq .stil nt de la Réanbhgae et liai ne trot, le, ra g d t t. I ddoute pi, qu'a I t d t,, t d t" 1 , c 1 n o ilscor,8anae J 's ,gis qui t' l lev i- l 1Il s t
111, -Il il,amicts' il a p I e il P i t a i 1 1 I naiampeut. M. ['bines .le 1 ,le hrauraup - tell d t II ,a ,leda l'esprit d 'cabre et de t l l y d _ té d
[p it I 1ai a
,IL
me astre assniob 6e, et d ro u t r a, Li. l 'y 11,0 1. o rqu'elle est composée de meilleurs dlé tl t d', j ,,hé ou erILLI ail
t 10t dire LU s l , ' m à ii 1 1 u I I roc Il It e 0 fi,ar l
dire qua 1 r scouts pour 1 auditorat d LI I L lu d 1. La tes 'per ne qn ils sontIre classa cet lermmé. Les dix candi ' des n'rpliq .., girls manquent dedais h,.1aus eppart:aouest à'l'anmen ton P Pea. N II- nt, ils c oirnl auails tons les nouveau: oui été éuarten i v p t I n',+ntrdeacepti-
Masa je me hâte gn itue quo le son : cisg
,"."1'.';. i 'e forfanteries desaura a clé d'une
dforceex epCounelie, (part, uiesnmpu osants que brnyams. De'
en
point que six des refuses 'euesront p dam' I -, ils out assistéà
tant1 liedo m. Ancra s nsanbon Batteuse, iii defaibill de ers prétendue peinei-
mention dans laquelle il lira crustacé pus par losgnels os prétend nous suu-que ces jaunes gens t énnisaeut toutes luscapacités et toutes les connu ias ,Le a né.cessaires pour prendra place, dans l'au-ditoral, mais qai ils ont encore été dis-tancés par les dix premiers classés avanteux, Au nombre des refusés de celte eu'tégorie Décocha bis du duc de Bruglie..
Le bruit me revient qu en présentadu déborden'entlles mauvaises brochn-es, le mini léer de l'intérieur songe à
reconstituer la commission du colporta.ge abolie par en décret du geuverne-car eut du b septembre. On tient à metaire remarque que celte instilntiosn'est pas un pendait de l'empire, mje la république cun uresuieice 'e 1 I,',Elle fut due eux eliarls du célèbre ,.mi-té de la rue de Poitiers. Soirs ['empire'tl e m
s
.l tesnosq.1-11 jouai et statuai[ 1. Iso,
pour lesquels L'estampille était ,é'10é I nd t I gl p II 'tété
Il.l''.1 d dé p Itl! q I laentplus ét t I t I t I
,r- c ."IIL ailla lo'r
ils net via tant de régirai e pissercc,mn dea ombres, qu'ils sont assez
parrdonnableo, nn en c rudra, de nel'as
enrobe absolument à Inaffieacilé trinm-
pLte de ses régimes qui n'ont pasmême su vivre duos des ir n tancesh troll Irnr était facile. Quand la mo-aechin leur promet la stabilité, ils ont
li e t le droit d, demander quoi ont leb"nre de stabilité qu'on Il flatte d'assu-
r, et ne que durera celte stabilité ;quand en vent 1'. ".traîner pli le seulmot de ei'pnblique, ils ont bien le dreiidé sireoie avant tout si ce qu'un [eur nf-Ire est cette eépuhligne qui enfante pé-d les dtrtatores nésarimnes.
Oui, ils ont Il droit, Jnetement parcequ'ils mettent dessus de tant laFrance et la liberté, et, s'ils s'attachent., la "fi atois actuelle, ..a grever c-ent qua dirige depuis nn Rn' les alfai-
e, da pays, c'est qu'il est pins facile ded p . Il it celle railtien q
tt
p ss5 p t l botteLa
t :éa-ans clnm d I.1 Je U., 1 s les p 7alis Ri
.t 1 11 d. p. 1
co_bl I 1 il i E
faon t ml = L r p dIal I ple. gences ] 1 p I I l t t . l le r a i l l l i t.Ils p , a l . i I doser, . I I x l i s 1,,e, qnr l t.
, Ilter 1'. prnp a c, l n aapvr le et 'e,m ( I d: orn,os d' I r I.Lle. I t " cr 1 il I i l
rre21,Lalm i:,'rr d E t a 1 do I . 1 L q f tI .,air,
l'udérnre, t prler p'reins
où L l,loillail I iIlii l reslor.a, dit-on, j . q a 1 1 .d J I Lui l
i "ILt f
g si le y 1 t ci n erre a d g. I r I II I.Adt. AI I 11 1 20 ; l tt 4Loi.iobr, ou « pl I motif i,e l:1, qui t t apiVdlégmtuo L L iii,u repio i t flot 1 q iCh, au gons,d sen.. tt de n e par, I ,s isbl le, Ph'rri duo' nna-cette lois, ganté la raRUS sasse asr- Li i oral hier r tons s ms à dét l l snlnque Plut, les L s
Q
a p é e moinepcèd le O t 1 1 tl u flat ft 4u]',.,]a,:, à l pp d telle a L L i a l ,
Los telle. le B lie , ma dur ait hs fête" a lui e i r fi aielin nstateol que dans luvgi, du Lance 110, tant d:4nnecy ra pi 0,111 aSleswig, lai alleu ends ont s n à Propos Lu , gnlir a 1f. C,,nbeIla lus
S ' ip u d.r à . u te t 1 glu res 1' 'acta!,, e, iv i Imais qu'ils c Ilroi,t de régler [ ' , , , f i c r i par tee de ces l,r ores de dea l où U Ldonnant D J ne irdrmntri devrait t 1air
p d q u e Il ' p l, IL.11 ! L 1 I1 t g I b a l[ 7 u (q et L .1 tép ihagoe c l .11 b nalolord ,il
i sleg nv nrlançais napusb nierc rdm slu r' le t cela a de moo,
mais i l ni plut 1 êtreqnr l'Allemagne peostslt a affirmer de euculé la théune à outrance do droit duplate Port,
lin me sigmde que dans un banqueti 155. é t ea sas bon.
s à l ip I M.t a sot es lainas
de la eépnbl que modcrée,
CHRONIQUE DE LA QUINZAINE
os iraREVUE DES DEUX MONDES,
I6 L ras 1872.Fautil qi e e g, . u luloi Inné
l lys de Fr, rodivilale l n I
leisnmen( 1 Ils I i1a wssé part p
1p
e I pays d'F r p p net I , rpportées. 11 o él levavlé ont la, dé-membré parla goe-,11re, iltr lét td ILIi.. ,aller,
t pi .celais II la q C t aerali ilaère mense
ltod d- I lion tr ariei-
é,çtila,é réaflot, i t tsim une sort d I
ahté inep hl ( t . l y- .Il t 1
chose évide t t1
d IIc ! tlq. t 1 jl fl q I lie u d
robe ttl il y q1 lit P
posé roc I,. . ta i-ls de 1 ur io
desi té , de la
trêveles paris d t, ment desbinons. Nul L tr ap demanrlee, à ceSls'i1 pueafl, p t, p t p
élaguer" D t h .W.gruefois de m d le f,iiII
dé
1
I
poidsle ftol'té. qui lis dorai
r cuti de la f p d tqu'ils en sariraitrit p faire P
Ils se dociltort t dur isont des muni I d g,: 1 1 ten LI
t inntaire d 1 s " ,pra5,enoe de d I'nulles t p 6 t IL.Qubn leu
r.sde une rerla,ue paixr
qu'ils r nient vo e déja flic i .,élirai,-1 ssittrt i n .LI
[ I: r d r r., uni l utrrs,ils relavent lei,i. drapes ix barelrs.C'est l'ébe,aellc histoire des banquets,des manifenlsl nus, d,, processions qui
e. la légitimité ladroits,nle oradoudiama se
déuhtaname set
et'exalte comme s'Il croyait ail heuredéjà venue, ta bonapartisme tait des
III lt t cl I e I
pli,; I ur+lt x. Ai fond, ils ni-ut ds1 foirer 1, ea.i ledit feu pas
lIIIIIIIIIl "Il ,IL -ilor il,, 1 a(- IIIIIIII, ,'r'.Il ed:nl par ire. leli I le m,, 'e
Oui, RI'R que t ü. ,rit Lti i Il ,Il II. 1411 on l lbcan,srIo
bi u ll I rua, d delà i. i,4 d
g t i 3 P d l f l Ig t a l d, ,.sials yu I p - dehauaclil éest réservée sur les pro- v,.il,acnu eh
,' eril.
b rufai P de,air no,-d 'I
C ,r d pt fat p, ba ct p ; .. à 1 I C d sied,
III t t. 1 tt I ,l n tp d.: P 'ainçai qai
i.'. Il Il p à l' [ Il youtd 'll. I l Faille, i t
Im la, n.-n,n
rs is,aieal' d ! a
I l ic faeuiosl qu aggiono 1 a 1 ltsnbit les fstahtéo de la g.,,,,,,
abai il, noge Pua les rignenr et i deP t tés mimes il'es ilte une aitna-e's
E né alamont toojeursdangerouse,est Pu- elle tu n s qu'an peul
celle t iis a r d 'lire la pertua-triec de la pais, du r universel-Qu'on élouite tons les eenlüe durmnr, qu'on se borne
slrieie
rmnnf à lapolitique, à
I.froide et sénèee politique
pour ou homme à si ,R,,,a,t .à il longsdesoei
III,qui a la prétention diète pra-
tique, Ni. de Ris'narck n'a Peisl-éire pasélu aussi aah+I1, qu'il l'a cri, il s'est ris'gué plus qu d ne l'a sues doute pon-cé.
A voir les résistances qu'il rencontreet l'impression profonde que les réreeles j
'désolations de l .Uaace Lneraine ont ,,ra-sée partout , en Angleterre, <n An-IL
eutlriche, ea Itali, en Suisse, pcommencer à sunspçonner quo tout .ese foit pas impusém,et, qti il y a
,les
zcés de peépotenee qui eéeeilleut une
sorte de conscience universelle dont les
protestations finiesent par litre un eau.barras pour les ,Anisez. M. de Bis
areh a vanln refaire eue Allemagnepuissante per l'uoté, soit ; oins il 'pas vu qu'en faisant de la congollel'instremsnt I tri, !il, g.r-
I
en léû . t le 1 tul : de cet , ee pie elle é le allez
11 Il rer I, t
d,1R i Il Iltn a xtr tt i f I
L
ILR
P t. 111ie
1. p(.
i, .lu
110 ét I 1 I l L tRv.Irb.. 111161, j n l hé, il lI l
g -o ai
il il LII . 1 7'
le LI
1 -11111t, t i é I t à 1 t r 1L a-
nt I t l g s troublent le
r a t t p 1 1 q pl 11 t mnR d
m 1enlant a i d'r or, a1t t . d d I sort et d hume
l., d, uobe ""P'.T'anchorsle k .t nmme mol
ues-rrloot, ,.'est dans 11,10001Âe la sauelé, de la durée de ,un mq M. Iiism a imam f l.Il t tombé duos le piège dont les om
ont s vent tant ieP"i"'
à sdéfendez ; l n a fils su a :elfe halleIeté suo'1m-de la modér fion dans 1.
a. Oa o ditt' .id Poil,la
`IIposai nue l0 j 7att hat -Vire.
B 1 IAI gn. llIt' t pl., vrai ; 1 V'nal est .,a.J i h AI a q" l'Autric 1 a
L , r le I n di Rnt ces I Ilé 1 pl Bleuetla,ti L l - tut t I Î ,bot s If ,lot !tallé unét
I él it I j 1 dé 1 n t e u elle rr t ils ne sePe
fid p l'o d 1 r,u"r 1 i guai , qn e pesans
111 r., d n I p,. ,tin d 1 i P I p L b l 1 t ment raidit aba-
qui.nous 000.1 I. la l i a al- d I . I b b l de la ului
lemande n'apas
I pa I s AI st 1 I I I d L[ sse veut a 11
I q les
t l I I I t t f Alsace, elleet In,
§ 1. lÿ, p t1 t I rot r
a, de 1 d p. t tort cc quida c s pays qua neaulesl l nç, p I t 1: I
ppelle la Fi
b a Loobo bue la nabi, : : " i
edeat pas Litre II :al Ete seevsampo taie le at angem. t i I.
II, é .p oa qurill0 e'I .I 1 p l i I bandon d i, fo
11 à l I. t le d Il t .. t
i estiq I erdice dis habite diantre Garant1 1 f PII
dis Ins plue thé ,[ des iaté-Pts las il,,par un ein d.uuoien en impré
plus sérieux.,'o te nn par imefurx Point d'honneur,
Un cru ;i t-,eut litre avoir affaira àdan cette situation oie elle cxt les récite
Y r 1 d'avoir I d t à l f r lesn,, ,,oracle d I esirioe , moments, 10,1 , qu'elle le ne fera qu ir dea eu Cher.
et décourager par les ebalaeles, par r, c01hant
à fils dompter, et sir la France,tricks, qli on imposait, 1u tald chement qu'oie croira nu ra r ceséc à saisir
clu coi math et Porte, popniz Il, 0nsdu
e,rendere
ses p°ovmcestiens peur I, 1,Rnee. On r a
"""ià i
st ar aisé qaà B nr Rrsp
L Allemsgise cet puisante et farte ,ai 'nondeou dis spctacl les pl1us 1 II ..t eu mesure de se défendre, c'estai I
émen,los, ,IlAI IL A ;
IL_ 1 , I
de..i
I
persI I .
els n a par m ne créé ira f^-ible,I Y d deree.le inexli Ig'np p art t p l L. - 1 ar nt I p es ae duquel udle , obl h à ester
p s attmi in le d or robre; p d t b: .ramée, ,tel recloué .IIf 1.
R
é nt eourert boules !i
P qJ Wnles Iea ont Plaisante. I
t p t avec eux1.111",
t , q ' sur re perpét 1 I d aurait pl uspull ..d 11.1 emmes, enfae gIlir l, en ce pie p. d. le dont elleI / ., se mélalent aa ts e tl rand- e Lait le pari, d pnin , chat elle.t d e é.asion do p y. a ,t-i eut dhorman B t - tmr virl, i as e,d,l d f ill. 1 q flot, t !I i
1 q devait [b I [a plus, n v Iu oi 1 p tut
1 j P P é 1 e z 1 o L I 1 t n bilsuuavlf I Lrmgratann a 1 ae allie 1, ire ,it.,m rode tille stilt t rn ch ITre le Près de 101) à l t malaise gai'elleelle
a,, i Il L p p I L d tilt t P.Ilst [
p1 ., 21011(1 l1 le Il p. tell ce ,on
il1 me ;
IpRins q
er ,aq1, Il i
7 1 t e. est I dal lés p, x t de nouvellesesrv 1111,. ire. A (ibis i AI gal1 11 I t este a 'Na" ts; à P 1
I tes cool mouf, bisa à on j rc don.1, , aloi, des ville, les pin fini rstrrvn
,
nOn nr s'y trompe pas es Europe , e
11, es P Pud'Prts, h u i t 91 -d e , f i _t ét 2 p -
2101 rou-" o n n e s
t o r v r t P t .
,
lillitté 1 ville. Sur 200g taus fiscs,., qai r a rat eu Lmment,il 1
rie'esté it
A I t A r .1 foie en Unsp I . l'Allemagne aroem-
-pl' jusqu'au bout se a oins de cil n.canif,
C se d.mande ce quisoi bis d une l t Livrée a tans de
, P e qma lesC b v I s l vonhi don l est t enae I p 1 ils au gpraloele
cette ,I,t. i l tI t 1 1 1
Je B 11 F t I dos f esimers n é de l Alsace Lorr o-II,
de re vo r e aile le doitI e
aestque le dég nt d'une pré
q vorer cs pl ,s P 1 tq Qu on s'éverluoo t t In pur ro on da tours e,lim
elle. Ira fooctinnuairCPont
p muni parlait1'autaR jans d ans u ne cérémonie, à Standbourg, dan service que l'Aile r agne avaitrendu à l'Alsace la . déLvrsat esPu, dis
W.Iches I
, Le . joug desci dur s, , à ce qu'il semble, n'était passi dur pour ces pauvres , sil l qui,In ieeemt, vepouirc
venirs'arrachent à
la tararenatalle
pane vernir le retrouver,et ceux qui restent, ceux qu'on dit s dé-livrés, e ne se pas peul.PIre
h,sands set cet!
il , i, Il
encore a IIerIl, et da ,s les j,,,,,,,,d'Allemagne à crier sans cessa que c'estla
"a""qui est le gruel trouble fille
par ses projets de revanche , par sesarmements, ce n'est plus qai an thèmebanal, l'éternelle obj negmion dn cnuyuémont à l'égard de celm,yli il a dépouillé.,'oI:h 1 non, ce ,ti est pas le
Ilqui
peut,u des
e potin Ire momentdece
s revan-geerres nonvclles, même Iors-
grfelle remplit le devoir le plus simple,en s épierrant de relever sa puissance
I .Il .u- p i a i d: I':eiq,.. d 1 : 1 l I,liL, ,il;
1 l I ét y t 'core,I. . , t I 1, t p
I e, ,es 1, na..ss oi o,,cor1
'a- dnJlinta,nbi-
L-il - a tir rI fonce, irn,é e 'stil erre
dos t( I eu ,-il.11 pu , b . d d laLa ,
p II, d. I 11 1 aC t at lip . , , 'Emn' I a m a l q i111, n ,r ,
1I le lé ,. t11 t l'aietq , 1 1à tu i,an bit
l ' I f t '1 r none1 1 ,,1,1 l ale la
11,
p l la il d t 1 1
P, v' permnimrL , r idéfiiie, rvomnlaire,éde font. les1 s r. et de toutes le I I .
FI b- lori u'il en est ainsi, 1 ;q1 x lés do nos pro aesd I r es a r
il s sua II P"", parler doa Iii té drl Alsar: rt de la Luira nn,l'If Ild deto utes la eta en P.nrnpe oieut L'a à peu à s'inquiéter des in
hf encra de Dette simadnn générale os ,à tiaeeeamnoir dn vide
taiailéapar L FrIsa,, col-ce le rn e.Ld'offrir de nutrecdté le speclarle10 silotlivisioas et de ails pasuise, insole que[quefols de sas puérilités I
Bien de mieux à coup siir ,aie d'alle.reo pèlerinage àlace lab ile on à LLI ardes,
o le veut, et ux luifont ra voya-ge de piété ont cortes le drvil de nairaspoint exposée aux intolPI unies révulu-tionnaiers qui les ont assaillie à frenobleet à Nantes, Ici re n'ont pus mème uquestion d'ordre public, ,'rot une guelte"lien de liberté de conscience srsr, la-quelle il n'y a point à hésiter. Il redo-rait toujours à savoir si la dévotion quiferait peu mu.ns de bruit n seraitp' i t a rsai mertoier, et si mon,el,( t t 'Idgloses, qui tI as
J Pt d -tL t I polrbqua n, l- I
q Il f 1d f ai ,m lfille Iu
les r rpn blico is
c.IL L ilf ç
f
1111,
d: h , C,rLaIL Ilfr, p l f
Il ,1 ;hl d l l - I II
I, 2 d I
f-IL Inr h I
I l t il 1 and a Dé.. i
l", l o ,s tels foie f t s, a` l,.nos t0_,, et de nos porte.
L 4 è es réuniuus on étéée' t ee aslibnion d i 1
a I é,,ülissement do programme les trl-
I I ,res gnest une I
fera, da-orta,
pe'emnel, le 1ssi, riel, et les tersrém a
t Sur chaque sujet, le m -p ,ne vres d g 1,-s
1 1 lit l 1 1 -.
p l 1se t l iIIIIs ri L. Par' Ré erlanx des
séancesn
seront eommnniqués pinslard à la commission de l'a,,,,,.idée.
- Non, trouvons dan, In Alit Le-.il,,., l'extrmt limier de la d.niéeséance do conseil municipal de Relia :
M. le naira expose au conseil que, inomoment approchant oh u e ,L tri`
française viendra prendre, à Rei.u:+,place des lion peu êtrengéees, il y a liende ee prévccnpar des esayens à pren-dre pour faire à nos compatriotes uneréception dieu. de la ville et qai témo:-gnn des sentiments patriotiques dent elleest aniée
En cm,ség once, M. le maire prnpnsaau conseil
lles dispositionssuivantes,
fracle jour de l'entrée des troupes
Lâdm nislratiov o icipale, avec fi-sous-préfet, le c ..il municipal boitentier, les différerais corps constitué.,àila les représentants, MM. les conseil-I gé é I Il es d'arron-Il
nourd t l léû d ly é l ,lel 11 1 I. trulli.,flots d t sde secs.,,, rot Ilts a
clé réunis à l'hôtel d 11.,Li'eigtrc, 1 ÿ t 1 t I mpig il s
rie,-ir-ne d 'IR, du r.tneot galdn t etenir gar-
nCu ,r vent à I'bb'e1 1: ,die, le v i
11 ,tu IIII. a ff L à 1111 I s effrciers',' I à 1n I I nqu leseu i,
nnnti,i rit.esdi ,, cal n oru
ai, p s g. I pareil, ht I lues fi .
y h' , t l y t j -j't II
8 t it f sl (rP
b..ta, et 1 es aélé e p relui Pari parlas mécomptes q 1 f t
(Aar:as dea
(Gn /in u demain)
Q lq j- ro à nais sépa-t d Is date du 20 octobu 11 ,polarles ,,
I ;t es, I L d. golf, p ol,abfil I I t, d 1 't
rru;.r
es voief.1: I p.l u-;qlt l tIl.pl LuLI
o faire Ire x f ét s,
dsg u sent, Si le rer aillas, agjt-s é é ut a li il
ly rongl sil Ilion 'a j arlG ,
cils .'il ri i -ait p d 11 ours
uutamps., ai
"'il'lY j ge . .s avr. t0
1
1 La --I d,_ .t t t f, tub : parM. 11 d t l'
om.55 1
1 à 1 ul IIp l L. p iJ i ub.vt ale laIip bb, t d et-
n cuit. sII t t ep
gdI. -..t
Il ,a
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seulement enatoute
From:e, ail B l'étran-g ! pays tout eaber les r, et il
P"" lai y av' atcuo d. t sur lapensée dis gouvernement.
M Ch t li nt prononcé
en ,ait d q.III r l
nl . iuebliqlb a ,vm lis
p u j'y i ll i gui-, nel' f ' bic rnté
t - t il 11 ,.",il,[, I I:I .p bl j 'le 11. I l le
J A.. 1111 1 hl['nL I I n .t iclles en
d 1 t le I c-1 p, t I fi
.. 1.I h
n parla d Ilst l ,,,,>,, L I- m RI, les
bl ,, c 1, r , ilront leur appui go r t, ,L que
tf tp l 1 t I i j' b1111.1. 'le f h
nd, I s
sls par sil, IAssCm-blée
(J r t ! D h¢.)
1 '.t t.ij fte air ed1 f nt f 1l 1 I t ,.t
p l - ils gél,
usujet 1 f i , i t t 1 al
tt 1 'j "Il d,Ilt .11 t. d
Il ot t Voir I t rt bi ga.i e cru a. t .mn
.n lev 1 I bl'y t le14 . olé lai 'lie e 1 g uemdny17 19 .. t bsolament I'ios-b ad ine obligatoire.
- Le ginéral Serre de Riv!ére pour,s,,fil tonj...R l'iosbruetion de l'effraieBassine, et I t - t des témoinsest su, le point d éb e teminé,
A moins de retardsimrprévus,
Ieu dé-bats s'ouvriront probablement dans laseconde quinzaine de décembre,
- Le ohhteau de Millemont, ou leprince Napoléon était desecadls, est arumrésidence historique qui a déjà son lis-toile et ses sm,'enirs. Miteraient a
epl t l (,Un.L f et osldals recevront
fe [Pue,,aille aIL h l il iris l té à pavoiser
L i tI tin tri d ire de nec fi y..t
-IL., -la ie auxLu pensée, qe autre délivrance pro-
el Id r ag8 'td chi gra pin qo,u s départem -uts
'a pus permis à l'adni nstr.-Gtinsde domrm à la réceptiou de la gar-
P ç l 'tPu'm t ,IatloIla L,c publ I et d'unsd n j ro
P Lrunale. Il faut ateudre -r'IIl. la libération do terril<me. I'ar eae.
O, qucut, il n'y aura ni danses ni illu-minatiors.
Aio srrn de net exposé et d'une dis,n à laya 11 I nt part MM,
oDle nx,de,,
Ro B f t, Doyen, Mim
,e - t L gl f le conseil,l. m. d tir p -Dans a NI.
m à npr éeode M.f Guam roux, Manu , D.1 croix,Devédrix, Dje.court, C.,,et et Doyen,
Pn journal indien, dit le Slo u
dard, raconte ramone il sait la chasse
d'ana panthère dans les mstrepools d'rrnnavme :
Bolton,Le sou bd0lncej, eapdainealonita,pendant son oeut voyage ] f
- t à . d d.en
très belle pantiré" .s jongles. L'animal étaitr
C né d u'I' age ea r que l'oncroyait assez lotte pour
fernos transport à
Calcul tua.
, Vices minuit du jarre suivant, quandle navire se troavmt dans le dértt deMalacca, des crie de [cireur se' tirent
ondainemenL entendre dans las .elle-p t luis t thés trois mente1 .. g Ion f rotors t enfants,qui sc précipité t pèle n lie star leplant per toute I q ils paranttrouver, se rua t l Ire les airL
en pour s'ouvra des pass,ges, les pliaf,rts b,usculaat les plus fmbles pétliftrede peur
. Le rapilaine Bolton et a,., officierste allaif t les l a P à dmpreodre
l 1 et 0 - t 'm snrbrd n ge t t dans l',.ntoclouthall tnmblar dans leur s trilla,,.as p ag set Ire
Pairee f fuaIe
n, sur lep l po i é 1 brillent sl
t1L I ro t 1 d oI'I' or ci' ; itt t'1. parue', l h c i tLa c
t]
pIL
,minas [ u set
P 1 t l f11 à1 pl d In seul homme qui s'ait
Il
,
de choir r ilesé deeu .Las I g 1
l gnfte de l'animal. Lest p g. Ls uefeoru que
If
b es l lleae
b,your - Le ntoi
1 les s,bo:lurt fmmes eI u- Ia
sa la pnvLhère seule dans loi mtra-pnnls.
Après 055m r ad, dt quelque, heu-un brait e f ss t roseode
d- I. t d du anr rrut qai-lao' Lecapatai-
Bdt ec une nngtame d'ham-d l p e et les oflmers, les pee-
d. b'mbuns et de barres,le rot es entrepnnls, et, après avoir
Maillé partout pendant une heure, ils esIr...ëf,nt aucune trace du terrible nabi.tant des lnngte.r
Arrvr la Irnr anisant à Penang, lesteamer délit arglu use partie de sa car-galson destinée à ce port ; Iea passagersreprirent feu' place, et le même agir, le
ce partit pou, Calcutta.e rendant la .Rit, le contre-mettre,
ayant eu besoin de quelques objets qui
se trossaieet dans la cale, sur l'avant,
le chercher, Ce Chien!, ,reliait presqueimmédiatement tout tremblant de p rK ,,!out : a La panthère est I. 1 t rfusant d'y conduire le eaptlatne B.1-te..
N'ajoutant pas une foi entière à ceque lai avait ait cet homme et ne vanfaut p a r silo passagers une secon-d aboulé, fin capitaine nr ys chercher
fusil et des carlnorhes, Ires lui mé-mo Iéeoublie, ordonnant de la fermeraprès qu'il serait entré, dans la crainteque, si la bête y était, elle ne s'énhappitar 10 pont et
enrenouvelit les émMinns
des nuits réeéaemea.Arrivé ' la soute aux prLIof ,,s, le
Capitaine Bolton vit les gasoils yeux jus-nes de la paelhèrc brillant au-dessus d un .
tas de provisions placées le long d'a na-vire, ser ma culé. &l-air,, par Inc faiblelumière qui venail de 1. pirate, le capi-taine eut rer nitre le confossr ducorps do l'animal Il Gt tau .. Tout restaimmobile, aucun bruit ne se fit entendre,et le capitaine trayait que son coup defusil avait produit on bon effet.
e Mais quand la fumée de la déchargesa fut dissipée les deus yeux jaunes apparurent encore au même endroit. U eneeonde carlourhe fut introduite dans lefenil et au second coup le eapitaineBoltonut la satisfaction d'entendre le corps de
l'animal tomber sur le Pont et roulerlourdement à ses pieds. Deux balles l'a-vaient frappé an râlé, nue seule osaittouché le criai. La panthère mesurait7 pieds 8 pouces de longueur, .
.,,L,,,.,.,,,,,,,,,."...prouvnt l'un pou-l'aaffection, vivaient heur
roux ,autant qu'on peut l'être ici-b.,quand. il y a denz jours, le sieur ii..,en traversant la rue de liboli, fut cerf.
versé par faire voiture, dont lime dess lui fractura la colonne verlé.
brute.
La mort fut isalonlanée.Nier, à dix heures trois gaarle d ma.
lie, la dume Virginie R...accompagnaiu
tau Cimetière de Iflet le corps de son
sri. Elle donamt des marques d'urnedouleur d'autant plus effrayante qu'elleétait concentrée.
A force de retenir ses sanglots, elleélue ibi t Comme nn :iraivait à la hr-leur de la pr sil
def ,os de IR If..
quelle elle fit b A be 'arrêter etspresque aussitôt ll h
On O'000nul1 d r-r las ,nro .;lis ver -11o-out quelle avaitc d e
0 I at. ls ap ? Dan aoperlaitle corps de lad lb,,, lb Tellefiled'oie l'on a ait I té e heure angravant celui de sen mati
Il y n les gens qui 'ombent d'une n l et qui se tuent l'a vorer on quiI.onbe dou ,,nf, !qnr no se
qu'fait p dese
c l ton jeune homme Je vingt'ees,-é I .1 T-7 couine plulu.
d. aor, -Oa, houlrvm I de (;,,Relie,11 travaillait sor ou fuir, 91, avenue desCI p d y été,,Iqua.nd
ils glissé et a
él pu p té bine
On le croyait tué; il était seulementonlus ooné. Il es vrm qu'il avmt passé
à travers nvgrillatge
en lier re,:ooeeaetla cour, de q i avait amorti la chute.
Il P16 maomorns, dans l'appeéhnn-ori de quelque désordre interne, 0055-
d t à l bupital B ujon.
PUBLICATION DE MARIAGESDos 15 octobre 1872.
Bernard Flourens, mdtivateur à La.lande ; et Marie Martinet, même quar-tier,
Jean Baaé, jardinier, à l.elande ; etFrançoise Boulines, à Gfisolles.
Ocellée Itaymand Mau, rue duhaut du Merle ; et
JeannegartFrançoise
Terré, rue étage,Avn Marie L..!, Denis Amigues,
complable' rue Puymaurinu 8; etGabrielle Marie Jeanne Royer, à Gabrise.
Marie Jean Sempé, l'abritant de pa-piers, à Tout' é; et Gabrielle, LouiseSaint-PourLml rue Valide, 43.
L'Hesse fleuri Bonnet, sellier, à Teo-louse; et Dos, Dose, couturière, rire dea5 Pdrera, 5.
Joseph ',,,p,, Gary, libraire rue duPeyrou, 28 ; et PeIrnnille Catherine
Pose, rue Mo'engo, 25,fleuri Franç. J ph Roumeguèrr,
refilent, rue Sa t Jér me, 25 ; et An-nelle Marie Sou e c mémo rue, 27.
Étienne Sabla, olls, relieur, rue dutaubourg Matab.an, 41 ; et Engénie Eu-Ialie D .and, mème quartier, 47.
I,nmhert Conrtaillac, garous d'hôtel,
ire du faubourg Sainl-Etienne; et Fran-çoise Ilroensr, ..'ciére aux tabacs, rue
dea Récollets.
Baplr.,te Jean Castels, roulier, à 1.Croix de-Pierre ; et Catherine Guiraed,
mère aux tabacs, mème quar-tier.
Adrien Abri Attend Canais, architecte,,air des Salengplac 14; et Maria José-phine Bogues, place du PRYIRLI 2.
Anlsine eiJeo, tailleur,de
e
pipierre, au.
5 Cocus; et JeamneRelix, mémo quar-tier.
Jean uniront, cullivaleuç àLardenne;et N Cé ale Espitalié, domestique, ruade la Innitf, 21.
Angusto Neutre Pongy, égociant, àDélit.; et Alexandrine IeséphmeFras-çoise, roc des lllatie s, 62,
Pie ee Levmarre, 1=r canonnier as 18d'artillerie; et Joséphine Crattard, blan-chisseuse, rue do l'Ilirondelle, 3,
Gnsllanme Atriol, serrurier, quartierBonhonre; et Stéphanie Françoise Ray-monde Lagèer, rue Vulenclenne, 12.
P (,colin, valet de chambre, Lu-Oct d la I réfecture ; ea barils Claire La-douss, rue Tenponnioee, 7.
Pierre Besslères, chapelier, rue desFontaines, 9 ; et Jeanne 'tarie Lofont,nvrière aux tabacs, rue Croix-
Bar.-go' n.
Jean Glace ou, soldat an 62e de Li-gon; et Marguerite Rollot, à Sainte-Foi,
commanda à un Matelot chinois d'alleri
Joseph Brune, agent de police, rire
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
.VIII enouvelle, 13; ut Marie Durrieu, fui' i - IL mimaitn ère, em e I.X. Chronique de la Quinizaino, bis
Jusrph la, rial, r e I, it II et lo re polit qau et Lttéru rlisse Il lum, Journal és ,e la la I i u levas musicale. La reprise du Proridenoe. p7 riss, las U, 15cs lyriques.
Erras et Notices.
lusa DL 1'a or'ouv
Heheli (Narie.Anne), iii aux, épouseAcealit, faubourg Rosh,
1
rsrBA er (t sle
50,1 pdytr)
3 bDat
(l'r ço:.) ,1 0 i l S:1nlElienue, 7
Mastic (A g .I I'ranç ) p f uhU rnx, ru
. A l y ée 17.de vans 1111,Pompaimo (Adnem), 14 mou, oumL
de Ilrienne, 51.
REVUE DES
Lrernèson du 17 vitales 1872.
I.a guet le F,- en 1870 1371l1. I,a A é l I I_ , .1ele général CIanzy, las 11. Lhni,s.Mueude.
Les ,\liéné, à Paris, L - l'a p..s-rssion aulrcruil, L F,.Ie
par M. Maxime il,, Camp,Itabelais, s I,Is , et
idées sur l'educaleuu, d';9Ivt n aller.maris' de 1872, par M .Albe, t liérdle.
Sixte-Quin1, non iullueucu nui Ils al'-fairen le Fronce au XX roièelà. - III.-L'église et la llie e de 1580 à 159ï.Le nitre de lcuri de V:doi p,, a{.Char), s Giruud, le l'Instil al.
l.e Cholé,a iudirn lu point de rue deta géographie médiuxlo ee de linter Iatje,al', par M. FeI,,ilpillon.
Jean deu Bannies, rIcil du enw ay cilsM. henry de la Made lie.
Le Royaume de 4Vratphalie et JérômeBarrapartn d'nprr-s les I.
7,
ts alle-mande et Irta cour. - III. Le gouen ment et la cour du roi
JéémeLà
Cas-tel, dernière partie, par hi. Alfred
On s'abonne à Paris, au bureau do laRenne nt. fil Il...
p,,,
17.A Toulouse, chez Mme JOUGLA, 44,
Arondes du Capitole.Prix du l'abounemcut : 16 Ir. ppo
an; 30 fr. pour six m s; 16 te.upourfrais murh
Le Slrauss fianças, Jules Aletn,anteurdes valses : Praires .c buampa(nou-velle édifier, pour ohLmt et Car, d.Russie, vient de publier eus nouvelles
es qui suai I éeéoemenl du jourPaaxra d'Aurore, vitae (édifies originaleet édition simplifiée) qui, par lo charmede ses mélodies, surpasse tout ce quia aété fait dan. ce genre, et sI e rav s-sante po1Aa portant le titre excentriquede : Ceur d'A,tilha.i! Ces .. liensfoot fureur 4 Paria et en Iml,e. On lesreçoit unmcdmtement fraura, eu ru-voyant pour chacune d'elles 2 fr. 50 entimbres-poste, à Colombier, éditeur, 6,rue Vivierme, à Paris.
HERNIES, GOUTTE, et MALADIESde ira VESSIE en écrivant au Gel(Vendé) à M. le docteur Peommi. (Vairaarmmmee,) 2055)
me
DEffiTZSEll14, BUE SAIN'T'-ANTOINE-DU-T, lh
c0ré ou réfin. xe.
U N11011111 g de
77m é,
J ' s i t pl . 1
L q . - 1 à la Lib crieCeulialt, rue St Rome, 44,
Consultatiadsonts les jour, par le docteur C.asréns,ta de R I, 1 ,e { r
la'P
gué dson 1 l p p a -
é g 01e de mules les ff t s l u ttmut'uoinsparlemploidelIl anft-rA1 tramai DUSSESU.
Eztran dun grand nombre de puéril-sole obtenues : M. Decamp, Touloosr,rue des Lois, guéri; 25h. MOaIli fils etBuyés fila, à Ponsorbes, guéri,; M. JosephBacalné, à 111 Jourdnm, perclus,gués M M, g O rx, à Saint LU, rhumal. sure genesal, soulagé en six heure,de temps, gé
il"" les c.snmoues de Tonrnefnuilie.Plaisance, Fonsurbes, Puni, 1,110, Saiot-Lys (Ilaule-Caronnr), il y a plut de deuxCet', cas de g é utates
Guérison d cale dus r i Ig tatiques, sana repas or rég
On traite par eaeetrp< d re (Af-franchir). (5018)
S eE (JS A J) li RANGSLE CENT.
S'adresser au Grand Entrepôt deHlunc d'Espagne et Nattes pose mnballuge,, chez Il. VERNNCI' juron, rite de
ourg-Matabiau, 24. (29118)In
LES BUREAUX A. liElllNAnbugrot de eh:mg., sots établis à l'rnlréedes Allées Larayrue, b. (3055)
pp1 yçç H 1 Bordelaises tBr-Pfl caques vide, le fondéaorte pour jms et alcools. F,Lillesd'huile d'olive surfine. Grandis t petitsboucnote, vases coniques, chez M. Vsnnsa (eurent é4 fen(brmrsr, .
rue Bayard, 47. l Ilier, à Paris, les farines huit mar-
gals se értoloht 69 fr. t10 entimt e te Nous ,vous fuit connaître la vente de
..tac le X1.11) 10101 e,- Ia.ic ;,erduer e;o. 9,000 sues l:oslx-Itira : le pris n'es)'pas1'1s dlat -t I f t. treuo brarna de pelle. 412 à 44 I al4 m b. 1 -t
p L post e' pt ris été,balleg r I 1 h q u- lt dl t on Lames le lu Iil t oui . Vente dep d b d a P. t
sigoal r fil balles Itneuo Ay 911 fr 60.
9 quelq p. t 1 v r 1 1, 1 p_ls de meulon, hier tu ui s VeninaR ea a été 1I sdxt saute p da 80 balles seulument de la même pu
,nstaté do- es s,ub5u-sl q us' saalaux le erae 6-
a x S 6 t traa60nnrn,.
r La Mercuriels des Iinlra ei Marchés du
venancchuilas de colza liés fermes de 108 à
110 fr.ladigos sans sHx rem. On a vendu sen
lemenl 96 caisses Bengale fil 9 àurpals.15 nombrpe, tblle le résumé servant Le, affaires en vins sont calmes.
Blés. nomes.A Les viuculleurs qui ont retardé leur
Ilansxe, 11 planes. 6 places.
z 0
8ven
Lis
danges, ont du maniais temps depuisFrrmelé 1.1
Sana va 1 30I quelques Jours I la plus grande partie de
eu
pi,itte était faite.
Baisse,
r. la r u
A la semaine a été calme ;srit sont entrés, d'puis brin,ueux
ine ils hausse blé.ris ,I'olfces et plus de réserses chez
Jours, dano crie v alositI Voici la t d'hier lundi comparée à
11 Irai arhrleors. Par suite nos priz 'eut ceux du lundi précédentpat varie e le. cours des plus belles Iias-Armagnac, 70 69urina dr- froment se raisonnent de 22 Tanora 66 4`15
l23fr, 50.I , I t5 mars valent 15 fi. et Ira
ll 13 5U L née se roterontsuint t17 f 2 4 J f L ,0
"1(>'*'provenance et lualité.
Mnrehé du Sud-Ouest.
Agen, 21 50 à 23 fr. ; le Lecloure25 fr.
1.1 Réole, 91 fr. 06.Cor, 1,)n II Ir. 42.Nérac, 22 50 à 23 fr. 50.Dax, 22.Manwnban, 224 13 fr.alurmaId,, 21 à 222-1.Vdieneure-s-I;ot. 21 à 22 fr. 25.
Sbuemld des denrée enlonini's
Sucres bruts, murs uSuints. Copra sanschucgements'
.füIlea s- P m6tains uns, 1717 à 159
Pilés, 152 à 95,Cdés assez demandé,.
VVinard, S:f9 1e.hlnlahar, 7110 fi.hly'sorr, ,76 et 302 le,Guayra, 202 à 208 fr. soir.
Anlnonces, Publications Légales et Avis Divers.Étude de M. SAINT-PL, avoué, ensemble audit 'ruulnuse, ont Toulouse; du conohant, ù pro- Aune Lamarque, négociant,
snceesseur de M. Eycheuue, fart s'gnillm : t' A dame Phi. paillé do N 1 fud il t I t Lrue du Vieux Raisin, 28, I Iomèr r. Solh r: Augnsune Et,- à la 7 F, b t t 9 dentu outilhl r A é. C ;ton
A VENDREPnr bulaaon, i suit, de eu.
enahére, le Jrli 7 novem-btn 1872, midi précis, auTribunal civil de l'oulouse,
lire MAISONSise à Tmdonse, grande rue
NaxareRy 31.Mise à pris : 7,100 fr.
Cet immeuhl. dépend de laencensaion
duMarie de Me.,-
cadre.S'adresses, pour les rensel.
gnements, à M. Saint-Pé,avoué peurs 1 vans, et à MM"Albert, Vigu,aux, Sloiroad etDassim, asmiés ta-te.
(4t 6)
Elu le de M- SAINT PF ,roué,ce seur de M- L;Idvsm e,
rue ilu Vieux-Raisin, 28.
PURGED'HYPOTHÈQUES LÉGALES.
Suivant deux ,spl.ils, enre-
trés, l'un du n mislére dedeumerr, huissier à Toulouse,
en date du quinze octobrecourant, et l'autre de Bangmi,baissier i Lambez, en date dumise du mémo mois, le .sieur
Auguste Tieollise, restaurateur-glacimy domicilié à Toulouse,et la dame Amélie Ilupup,sans profession, épouse assistéedu sil, r L ni' Y I dleur
saifveu ep d A ddiété d 1 ]i M,mnacu sieuru-u nor, pro, r i e i - par osi Igu,t,.AI. d 0 d l'oursin', l r v o l ' ; ac e ,e y rit 0,lric, d ,lé I I nsr
oeal,juge
pp t au Tri lu somme de quatre vingt qua pour extrait conforme,banalde
liomir ra Instaser ire mille Cruels. (417) A. SAIN'1 -PL.de Lombes (fiers), y demen- 1 Sommation est faite en mémérani; 2 à hl. le Procureur temps ana su -nommés, d'u- --- ------de la République prés le 'Cri- voir à prendre, su, l'immeuble m.sims .1, ronones.Naval nie,l de Plumier, I- vendu, telles inscriptions d'fiy-tuner de 'Cou lousq y demea- polhèques légales quo do d,nit, Le Maire de 'l'uulonse Pré.an', lo proeês-verbal dressé savoir la dame Bossaiguet, vient le public quil erra plu
pur le greffier dudit Tribunal, épouse lrourniè, pour la comer- 098e, le undi Il rmvuubrele seize seplernbre dernier, raison de sa dot et de ses ce- Veoohain, à 2 heures du soir
n Val: it le dépè4 l'ait à son prises matrimoniales, et 5l leldnu uni dru .a0es üu Capi solo,g ffe, dirige collatiorn- pivevaeur de In Itépnblig au à Iodjud,eatio Ion Iravaux ànée, en,egia[Iée, d'in acte dans liotérPt de tout I. l'r p I 'h dpublie de reine, au rapport de marées, mineurs an us tel dits, tés rvuird era ér b i sur le coM' Lansuc, notaire à'l'onlo ire, leur dénlar.utt que, Pinots par Iran drGuillnn r:ry
s la date du drus sept, bro eux de ce luire, et le déLi dol Cette uti éprise, pouvantil o'm é
88errr cla somme de 6,,4Gihuit cent soixante d '.e, d,ux mois, à paille de ce jmu , 1s,
lie dI éxfille que le sq I Pire sieur expiré, l'immeuble senil pas r., n'il compris II,dnde 1,531 I Il ,diur petitAugr,te
AlreaundreOvidé Fonr ers sur I:i tète dea agnéretss
,vocal, juge suppléant au franc et libre de toutes hypoTribunal de l'reu,.ere lnatame Ilnegnea légales gnelcongnes;de Lombes (Cela), y droit- t romm toue ceux du ohefédit, et l' de Pluilornètue- d q els fil pourrait éha u
son épouse, demeura L avec ddifs
ts ii tué-ri;maledit terni F é et é que celte notificanon
agissantq
, tant plue l'anlorua- sera rendue publique, confur-lian de son épouse que comme mémeot à la loi, avec dérla-matlre des cas dotaux de suri cation que les précédents pro-époase lesquels , agissant pridtaires de 1'immeuble venduconjoinlementetsolidafrement, égaient : Jet.Pbilippe bnl'oner,
rit consenti veule, en faveur p,epriémire, demeurant dansdudit si r Tivollier et de la la e oe de Leopinasse;dame Non, acquéreurs pur huillaluneDufovea pare,
11,moitié
et uéaomoins solidaires, leur en n,édarioe, demunrantd'une Maison avec cour et à Toulouse ; Jeau-Gervais-Anté-jardiu, à Liais nages porte-l dite Ortric, propriétaire; Cet.u :hère, avec tare, magasin, is-Joseph Ma ie-Aleaandre
galetas, situéeà To rue Oaulouse fim élève de, , comemédecineen bill, m.4orut'aoebastard, numro ozame Marie-l'rançoiseerJoscé-
en retrmle' I. I de la coofronw6tr dulevéant,'nîe e,
r-pdhrne-Adeline
Orlsso, épouselégion d'ho ne , dmnrmlris I rats appartenant à la plie de du sieur Jean Jaleo-Flonoré-
Il a été trouvé dus la journée dem d' 16 en ( CRIES de eh ,Il.prit font. Le é.lum liez M.tlenaès, rue Si Ruine, 51. (3059)
A VENDREVeehines de
huilenu ul.elu marb'e.
pr
S d à M ECI'1GItlt14 voué àa
Bag rem. (30b4)
Mord aux, 15 octobre 1872.
Correspondance particulière du Journalde 7'aulouse.
La a m e sést tu Élu aveu de,t d la baise sut b nt L Ilde fiia ch:i elle était assez a e à
l'uns ci mite du r vile lademande pour l'Angl,.terre. Il use fau-drait pourtant pus v'ezagérer l'impor-lancé de ce mouvement L'Angleterre,
Ig .les yuan triés eaorm d gai risIl de f s 9 d"I p' té,a. hir leu dl t dort1, 1 10 é d nous l
y elques , ma u Cr n'est pan I in.u lafiun de n de buis raillions
d'hue,ut.l,e, qui gai ialisora le ii,, korilin Uun le6 a ruées nnl'étra uger doit }fournir morio. q.inznmillimis d'baclulilres. En 18721873,il fu rdrs envuym un suppléunent dedouce à lmnze milDnus. (I û il y aitainsi do onlme ac,idr»tel donslcauri-55e, test pas,ible: 'car, onstance
iaut des u cillation s, a.st Inroiltcataible, de là a u e baisse illimitée, ily a loin, et le moment In, n semble paston. li'aiileure, les blés u
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