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rr mb %• 13.138 WWUM (St, Pag«s\ Sfrstiirw—WO* W«OTW—S iSl Papes) ÜisiïiiUfsitar •Bélégaé- Cérait O. RANDOLET ^Ë&iSa.inrenins tl lianen. TIL. 10.4? 88, Sue Foute&elle, 39 èês^i TélêgrapMqus :EANDOLSTH&vre P& ê "W"T 9tit Havre kmd\ !§ Mitt'1917 «8DACTEUR EN CH®F CASPAR - JOItnAM Téléphone t Sesréiaiw SfênéralJ TH. VALLSB Rêöaction, 35, ru® Fonteneile - Tél. 74s$ ANNONCES Eckkatj du Jouen al. 112. te>"t4 ds girasDonrg. ; VAGENCS HAVAS, 8, yiace <fo la Bourse, est seulc chargée de recevoir les Annonces pour , Ie Journal. L»HTlT HAVREest désignt peur les /finances Judicia/ree et legates AlU HAVE3. .... A IPA.KXS ........ ORGANE REP UB LI GAIN DEMQCRATIQUB Le plus fort Tlrage des Journaux de la Région ABOMNEiVSgNTS l>s Havre, la Seine-Inférieura, l'Eurs, l'Oiss et la 3oame Autras Déparïemsnïs Union Postale Trois Mots Six Mois « *o ©O Fr. & Fr. %a ©o «© Fr Va Êü 1 rr. SB35 » 4fO Bn s'ebe.i.ns igateir.ent, SAHSFfWS, dans tens les Bureaus as Heets ia Fr&x» | Les Pupiües de ïa Nation « La France adopts les orphelinsdent le père, la mère ou le soutien de familiea péri, au coursde la guerre de 1914, victim® militaire on civile de l'ennemi». ïel est l'article esseniielde la ioi dont l'ensemble a éié votépar la Ghambïe,après des dis¬ cussions ialéressantes et parfoispassion- nées. Afind'arriver a une ratification iinmö- tiiate,tous les amendementsproposéspour modifierle teste sorti desdélibérationsdu Sénat ont été impitoyablementrepoussés par Jamajoritéde la Chambre,«mêmelors- qu'ils avaient pour objet de réparer des erreurs mauifestes cominises au Luxem¬ bourg et recoimues par 1'uuanimité des députés)). A bon droit, 1c Journal des Débalss'cn étonne: C'est, dit-il, une faqon assez singulière de voter les lois, et il ne faudrait pas que la cou- tume s'lntroduisit de procéder entre les deux Cham bres, conime on Ie fait en ce moment, a une sorte d'écliange de bons offices, l'une d'elles volant les yeux fermés certains projets que lui cnverrait l'autre, a charge par cel!e-ci de re- nouveler en sens inverse, la semaine suivante, eet acte de courtoisie interparlementaire. Quelque iégitimes raisons que l'on püt avoir de faire aboutir, le plus tót possible, la loi rela¬ tive aux pupillesde la nation, nousne voyons pas bien oü eüt été le mal si le projet avait atten- «lu vingt-quatre ou quarante-lmit heures de plus avant d'aooulir définitivement. en acbetant par ce léger retard l'avantage d'ötrc débarrassé de certains « lapsus » évidents qui vont rendre in¬ dispensable le vote d'un erratum législatif. Le Temps,d'autre part, fait aussi toutes réserves«sur une méthodequi consisterait è voter, sans y vouioir rien changer,des textesproclamésmauvais ». Et il a, joute : « Pour peu que ie Parlement en prit l'ha- fcitude,les lois seraient bientót discrédi- técs, et ee discrédit ne tarderait pas a s'é- tendre au Parlement», Mais,ses réservesunefois faites,le Jour¬ nal des Débals n'hésite pas a reconnaitre volontiersque « Phistoire du projet de loi qui vient d'être voté par la Cbambre fait, dans son ensemble, honucur au Parle¬ ment ». Et notre confrère le Temps démonlre eu'un véritabicesprit répnblicain a pré- s'idéa la confectiondecette loi qui veut respecter tous les droits individuels et toules les consciences. La questionde la protectiondes pupilles de !a nationavaitété soumiseau Sénat, il y a deux ans, sous la double forme d'un projet^'initiative gouvernementaleet d'un projet d'initiative parlementaire. Et deux opinionsse trouvaientcnprésence,etmême en conllit: l'une demandant l'intervention souverainede i'Etat dans I'éducation des orphelinsde guerre, l'autre, plus libérale, eherchanta dél'endrele droitde la familie «t de la liberté de conscience, et combat¬ tant l'institution du « tuteur social» s'im- posantau tuteur iégal. Lesconcessionsnécessairesontété faites des deux cêtés. Le tuteur légal, tel qu'on l'avait prévu au début, a disparu. Le pro¬ jet de loi a été voté au Sénat sans un seul bulletind'opposition; la mêmeunanimité s'csl retrouvéeau Palais-Bourbon,graceè l'abslenlicn des orateurs de droitc qui avaient élevé contre lui les plus vivescri¬ tiques, graceaussi aux explicationsfour- nies parle gouvernement,et par le rappor¬ teur de la Commission.M. Léon Bérard, demandant instrument è la Cbambre d'aflirmer par son vole a qu'elle est una- nime sur les devoirs qui incombenta la nationfrangaiseenvers les enlanlsdc ceux qui sont morts pour elle. » Sur 1cfond même du projetde loi, dit le Tcmps, lesdispositionsadop'téessontdena¬ ture a calmertous les scrupules ; aucune d'ellesne conslilueun cmpiètementsur les voiontésde lafamilie,ni sur la conscience de l'enfant.II suffi.t,pouren être assuré,de eonsidérerque{'OfficeNationalseraadrni- nislrépar un Conseilsupérieurcomposéde telle sorte qu'il représenteratoules les opi¬ nionsel tous les droits, — rnodèlepeut-on dircd'uuionsacrée. Un amendementréelamait qu'ony com- prit obligate!rement« cinq ministres des cultes, dont trois apparlenant au eulte catholiquc i>.Dans le proiet voté par la Cbambre, au sujet des dommages de guerre, une Commissiona été prévue,qui comprend nommémeutdes ministres du culte. Aucuneobjectionde principen'était done a soulever contre l'amendement ; mais en fait Partiele12, relatif a la com¬ position du Conseil supérieur, nc ferme aucune porie. II vise l'élection de nom- breux délégués, pour le eboix desquels maintsgroupements,conseilset syndicats, ont toute liberté de choix. Or, suivant la juste remarque de notre confrère,« moins on mêlerales questions religieusesa la législature, plus on aura chancede ne pas ressusciter des passions qu'il est de Pintérêt de tous de laisser en- sevelies, » D'ailleursen ee qui eoncerne les bour¬ ses a aecorderaux pupillesde la nation,les engagementsles plusformels ont été pris par je gouvernement. Sans doute, il ne saurait être questiond'accorder des bour¬ ses de PEtat dans les établissements d'en- seigncment privé, « paree que la bourse implique uue sorte de surveillance de PEtat. » Mais,d'aprèslesdéclarationsdeM.Steeg, lorsqu'il s'agira d'enfants dont la familie exprimera!e désir qu'ils suivent les cours d'un établissementprivé, s'il ne leur est pas donné une bourseau sens propre du mot, car la loi actuelle ne le permet pas, « il leur sera altavé une subventionleur permettant de suivre les cours dont ils mront besoin.» Ainsil'applicationdela loi dans les senti¬ ments d'équité, de moderation ct de tolé- rance qui ont inspire le Parlementdonnera toules les garantiessuxqueiiesont droit les j»ujuüesdela natioo. ïu. V. LE PARLEMENT Impressionsde Sêanoe (Dg HÖTBSCORIüSSPOÏlDiMÏP.UlT:Cl!USR| A. LA C!ia:A.3*,d:BB.E Paris, 27 juiilet. La Ctiarabre a voté sans discussion une propo¬ sition de loi lei dant a atlrihuer certains omplois Civils dèpendact de ('administration etilon'aie aux anciens militaires indigenes blesses en campagne et libérés. , . Une autre proposition est adop ee sans debat. Eiie est relative a i'ancienneté des officiers de réserve adm is dans l aunée aciive antérieure- inent au ïl décembrc 1918. Le projet de lol rela if a la frappe de IS mil¬ lions de uionnaies de billon en bronza de nickel ne rencontre pas nyn plus d'opposition. On reprend en secondo lecture la lot Mourier lixant les affectations aox unités eombattantcs. M Paté, rapporteur, deciare que, p >ur faciliter et btuer l'applicauon de la loi, ia Commission consent a modilief le deuxtème alinea de l'article 2 en ce qui eoncerne les sourits ayant trois frè- res-tués s i'ennsmL L'article 2 est «dopté a maias levécs, ainsi que l'ensemble de la loi. On aborde la disrussion de l'interpellstion do M. Kloiz sur i'orgauisstion de Ia vie écononuque dans les régio^s libérées. It demands au gouver¬ nement de faciliU r ta circulation dans ces régions des habitants qui descent y retourner. Or, dans la Somtue, dfi-il. les diffieultes sont lnsuimont.> bles pour les braves g*as des villages recupores par nos troupes qui veutent rentrer chtz eux. Pourquoi des faccités ne leur sont-elies pns au contraire aecordées ?. . . Pourquoi Piiuioritê mili taire et 1'r.utorité civile ne s'enteadem elles pas pour aboutir S une solution qui satisferait ;out ie monde ?. . . 51. Kiotz déslre «avoir si l'on ne se préoecupe pas de créer d.-s abris provisoires pour lcs popu¬ lations de villes comme Cambrai, Douai, Lilie?.,. Une partle di- ces populations peut êire sans asiie le soir pr chain oil. comme nous en avotss Li cer¬ titude, ces praïSttss cités st ront libérées 1 Y aura- t-i! dti ebarbon cour ces Frstipais qui aufont déja lant souffert ? G'est une question que M. Kiotz pose au gouvernement. En résumé, M Kiotz demsnde ce que I'on coaapie faire en faveur de ces costtées qui ont SOUUeftï 55H. Revauit et Deguise, dépotés des régions envaütes, rééditent les observations de M. Kiotz. La suite de 1&discussion de l'in;erpellation de M. Kiotz est renvoyee a aemain. M Descöanei fait conn I re qu'il a recti une dernar.de de mod heat ion de l'ordre du jour si- gnée «ie 80 membres, tous socislisies, teadant a la discussion ptocnaine du rapport de M. Thom¬ son sur une proposition tendant a réunir B-s deus Chambres en Assembléo nationale petdant la guerre G'est la revision de la ConstRutio-j qui, SfOie, peut autoriser ce cbsng ment Après l'ap- pel des stgnataires, M. Renaudel explique leur dêsir. « Ses collègues et lui veulent un fonctiorne- menl pius noreaal du Parlement. « On a dit que !e projel de réunion des deux Chambres en assf mbiée civique serait une ma- neeuvrc contre it ne sail quel «ugusts perroans- ge. Exclamations). n Ceux qut voieut ce'a dit-il, avee force se trornpect. » L'extiême pauche applaudit. M. Renaudel, en faveur do ia revision inveque la néeessité de raettre fin aux voyages successifs efiectués a la Ghambre et au Senal pour (iifféren- les questions d'iniérêts général, comme les loyers. la crise du papier, le Cotuilé secret. Uns settle róonion des deux Chambres oü l'assembtée plênière ponrraitéviter des con-plicatioss inutiles et dangereuses a l'époque actuelle. L'orsteur termine en priant ie gouvernement de ne pas s'onposer a la mise a l'orare du jour de la prooosition". M. Tbomson combat la demsnde de M Renau¬ del en disant que le momeut n'est pas opportun. La discussion serail lente et difficile a cause de la mui'iplicilé des questions soulevées M. Thom¬ son recoücslt quo la revision consiituliocneile pourra plus tarn s'imposer, mais avec le consen* tement préalabledu pays. M. Ribot r-jetle énergiquement la proposition Renaudel ct aemande cc que penserait i ennemi si nous discróditions nous mêmes nos Institu ions alors qu'une partia de coire territoire est en- vabi ? Et nos atliés, comment erivisageraient-ils notre conduite? Ge sersit Paffaibliss -inent du Parlement, peut-étre même tie la défense natio¬ nale. M. Ribot est viveraen! soutenu par Ia majorité. Après une intcrvec'iioa de M. Bracke, qui in- siste tans le même sens que 51. Reneudr S. M. Jules Roche s'en déclare partisan, mais il Ltudra seuiement s'en occuper après la vicioire. M. Renaudel, avec do grandes pbrsses, Insists sur l'urgcnce de Ia discussion en disant que tót ou l«rd la Cbambre serait obligee de faire ce qu'elle repousserait aujourd'hui A cebe remaf- que. besucoup de cerisins droitiers, adversuires scfi raés da la Röpublique, applaudissent 51. Re¬ naudel. L'ajournenient est voté par 310 voix coaire 19i. Séance tieiaain. **# ATT SÉI3STA.T Le Sénat adopte ie projet, modillé psr !a Cham- bre. relatif a ia requisition civile. 51. fvrchot déposo un rapport sur to prr.j, t d'im;:ó! sur le r<venu (contribmions cédutskes). Le Sénat ebot de le projet coccernant le jnge- ment par ie Couseil d'Atat des -Tecours conien- tieux en mstiére de pensions. Après diverses ob- seiv&lions de M. Boivi -Gbontreux, rapporleur, la discussion gècérate est close, puis les articies 1 a t3 sont adoptés. Le vale sur i'ensernale est ré¬ servé. !.e Sénat vole uae proposition relative a l'allai- tr-ment roaterne! et fixe la date de l'examen de divers projets, puis s'ajcurns a msrdi. Th. Benky. Le général Gadornak Versailles Le général Gadorna géaératisslme de l'srmée Halteneet, aceoaipagnè ffis officiers de son état- mejor. s'est rendu a Versatile» veadre-ti. Ii a coasac-ré toute sa matinee * la visite du chateau st du musée, ou U a été recti par 51 de Nolhac, conservati-ur. a qui a diverses reuses, il a té- moigné ses trés vifs sentiments satisfaction ea lui disant combieu cette visite 1'intéressail. LES YIEILLES CLASSES Comme suite aux Oéeèslons prises par le minis- Ira dc ii guerre, tou? los sgricuiteara de ! i eiassc lS9i 11 ies It. A T. pères de eirq enfaris et veufs père? de quatre eofants fie- .classes 892 a f89o devront être détach & s la fifrre avant io 13 septeabre proehain. Tous les R. A. T. du service auioniobile. ser¬ vice armé et «uxillsire de ia classe 1888. ïr.corpo- rrs avsiii :c 31 raars 1918 seront iibéres ia 4" aofit 4917 s'ils ont été mobilisés avant te janvier 19iS, et le iS soüt 1817 s'ils ont été roobülsés en¬ tre le 1" janvrir 1913et ls 31 mar? 1916. Seront cgaiemem hbéré?. los hommes da ser¬ vice Eüxiliaire des classes 1883. 1889 et 189.)qui ne sont ni conducteurs ni ouvrlers ; los cgricul- t»ur« du servies anxiiiaire des classes '.895 et plus ancienaes ; les sgriculteurs du service armé de la classe 4893. Enfin, les tailleurs, cordonniers et selüers du service ar.xiltaire des c-sssos 1889et 1890 «eront libérés dacs ia plus rirgc Eiesure possible ti rem- piscés par des feauaes ou sjiêcialistss des clas¬ sesplasjeuucs» LA GUERRE Communiqués Officieis 1,C®7' Jouiméo FRANCE Peris. 27 juiilet, 14 fieurea. L'activité des deux art i her ies s'est mainte- rtue trés vive au cours de la r.uit sur tout lo from Cerry-ferme Hurtebise sans action d'in- fanterie. II results ass rensoignements complémen- ta/'res sur l'opérat on exéculée par les Alle¬ mande dans la soirèa du 25, depuls la région a l'Est a'Hurtebise, jusqu'A la région su Stid de la Bovolle, que l'ennemt avait lancé a /'at taque, par vaguessuccessives, une division avec des effectifs potjes A leur maximum, soutenue elle même a Carrière par une division tratche Le peu (/'importance des resultaia obler.us marque l'èchec d'un tel effort. En Ghémpagrie, dans la régh>n rles Monts, au Sad eta l'Ouest de Moron- villi r*, les AlSemands, après un bom¬ bardement iutfcEse, ont exécute cinq attaques sucoessives qui ont touies échuué sous nos féa x. A ['Est d'Auberive, après une préparation d' rtiilerie courte et violente, p usieurs groupes ennemis oommandés par un officier ont efftc- tué un coup de main. Un combat acharnê s'en est suivi au cours duquel l'adversaire a /a/'ssé sur Ie terrain do nombreux cadavres, dont celui de /'officier. Lutte d'ortilierie moins violente sur las deux rivesde la Mouse. Nuit calme sur le reste du front. 23 heuros. Actions d'artillerie iniermiitenies sur la plus grandt >partie du f ont ; plus vives dans lo sec- teur d'Ail'es et d'Hierir bise, en Champagne, dans la region du Mont Haut et sur les deux rives de la Mouse. La nuit dernière, un coup de main tentó par les Allérnands sur l'Hartmannswiilerkopf a complètemeni écfiouê sous nos tira de mitrail¬ leuses. L'adversaire a laissê de nombreux cadavres sur le terrain. 27 juiilet, 14 heures. Uns océration de détail a eu lieu cette ruit, aux sherds deBasscbuilt (au Sud-Ouest de War¬ neten) au cours de laquulle ncc troupes ont réussi a chasccr l'ennemi du village et a fairs un certain nombro ae prisonniers. Une forte attaque allemande ca matin, nous a forces a abandonner la localité et a regsgnsr nos tran- cfiaes. La r.uit dernière, a la suite de raids exêcutês avec succes vers Monchy le-Preux, an Sud- Ouest de La Bassée et au Nord-Est d'Ypres, nous avons ramnné vingt-nouf prisonniers. Les Allemande ont tentó hier dans la mati nee, sur nos positions au Sud Est de Gauzeau court, un coup do main qui a déferminé un violent engagement au cours duquel l'ennemi a eu des pertes importantss. Qaelques-un3 ere nos hommes ont disparu 20 b. io. L'artillerie allemande s'est inontrêe plus active que de coutume, au cours de la journée, ver- Armentières. L'activité aérienne a été ass«-z réduita hier jusquo dans la sturóe, oir do vifs combats se sont déroulés pendant deux heures Un apua- reil ennemi a étè abaitu ; un deuxiéme fut con- trsint è atterrir désemparé ; deux des r.ötres ne sont pas rentró s. BeLGiQUS 87 juiliet. Au cours de la nuit, l'artillerie allemande a violemment bomoardé les envi -ons d'Heis as, de Dernière Hem Dans iessplisrss ps'iiipsallesiandes BS!.?,27 juiliet. Le Strmburger Post di' qn.-»i'nnr -ssadour tüe- maïid s Gontantinuple est paiti pour n-:r=iu li se¬ rail caodidat a ia succession dr al. Zuiimermana. L'empereur a nommé Ie chaac- !i,-r a la suite de l'srraée avec le droit de porter i'uniforme des grenadiers de la garde. La Grande-Ducliesse voyage Amiior.'i; ra, 27 juiliet. Le Berliuer T-gtblait annonce 1'arrivet de la grande-duchesse de Luxembourg a Munich. L'AGITATiON EN ALLEMAQNE Amsterdam. ;7 juiliet. La Gazette de Prishiu anr.once que la Cour martiale de Gleiwitz a jugé 3i aecusés d'avo'r fo- menté des désotdres. Six out oté con<i»maés a la servi ude penale, trois a cinq ans dr prison. LssPfisor.nisrs Anglais etAilemsnds Londres, 27 .uillet. Jiux Communes, la commissaire du T-es r ao- notice qu'ua accord était condu entre l'All, ma- gire et i'Anglctorre au sajet des prisonniers. Evasion Manquée Nice, 2. juiliet. Dfinx prisonniers «iemands se sont cc fut s ên Port-de-Coijc et onl été repris a Tuuet-Debeuil au moment oü ils atlaient passer !a fronUère. TR-IFjLE noyade Garcsssoone, 27 juiliet. 5lme Estève, institutrice, s'cst noyée arcide»- tetament, ar cc ses deux enfants, dans l'Aude. Mouvementsmilitaires Athèiv-s, 27 juiliet. Les troupes aitlées ont cotnmeucó a óvactief la Yicille Gréce, en tant que Ir peunetu nt les uioyens dr iransport diapoaibles. Oa procedt- aussi »ti iiaa-fert ees troupes du Pêloponèse vers h YieiRe-Grèce. SteenstPMte «•:s; i-ip,^..g<e1s, et iiré do fAqon intermittente sur nos positions et nos commu¬ nications du front. Dans la matinee, l'artillerie allemande a ca- nonnê la région de Parvise, Dixmude , Onde- cape//e et Nisucspelle. Dans l'après-midi, aciivi'.è courante de l'ar¬ tillerie dans aiffèrents secteurs. Nous avons effeclué dos tirs da contre batterie et de des¬ truction sur les obstrvatoires ennemis. Un detachement beige a capture l'équipago d'un sous-mat in al iemand échoué a la cöie. |Apès laConférence ieParis DECLARATIONS «ie 3M.. CS-eoa-g'© RUS8IE Peirograde, 27 juiilet. t/ous avons repoussé des attaques au Sud Est de Tar opol Nous avons reculé lègèrement sur de nouvelles positions au Sird-Est de Troxbvoiia ei repoussó l'ennemi de Tuüorof. Notre cavalerie a liyré des combats favora- bhs en rtfoulant /'infanterie ennemie vers le Nord Ouest clans la région de Monasterviska. Noui cominuons a nous rsiirer vers l'Est, entre le Dniester ei ies Carpathes. Les Roumain* one progressé jusqu'au cours supérieur do la rivière Suchiizi et a l'Est da la Souana Ils firent da nombreux prisonniers. DANS LES BALKANS FRANCE Ssloriquo, 29 j'uRlet. L'aviation britann.ique a bombarde les cam- p- menis ennemis dans la région de Demir- Hissai. Lutte d'artillerie assez violente sur la rive droi'.e du Vardar et entre les lacs Prosba et Ochrtda. GRANDE-BRET ACNE Saiooique, 23 juiilet. A l'exception du raid heureux è Kamondos, dont on a déjk parió, les operations da la se¬ maine dernière se sont confi' êes k des entra- prises aèrienne s. Nos appzreiis ont bombs.rdé la gare de Per- na et les camps prés de Sérès et de Demtr- Hissar et les dépots k Peine et Dedli, Nord- Ouest du Iac Doiran. ROifolfiANIE ïassy, 2i juiüef. A la frontièro de Molde- vie, les Rose es o;it pénétré dans las tran- ohèes et raniene dss prisonniers. Les Rofa'so-Roumains ont enlevédes posit<o«s entre les va léés de Casln ei de la Patna sur un front de 21 kilo- niè'res et une profondeur de 3 kito- zaètres. Ils ont occupé trois villages, capturant 43 canons, dont 13 lourds, pli3 de mille prisonniers et ua nom¬ breux butia. Jas«y, 23 juiltet. Sur la frontière Ousst de Moldavië, feux d'in- fanterie dans divers secteurs du Casinu et de la Putna. - Nos troupes ont continué d'avancar, pou«sant leurs ligt, es josqu'a 12 ki¬ lometres de rancinü frons et occupant jo s les points fixés par ie p an d'o- pérations. No* troupes ont occupé les villages ds Gura V&ei. F t sti, Gampnridt?, Ajscuiesti, Ciunucul, Visantea-Monaa- fr-avrs, Pivrul-Radului, Caur/li, Porcei, Parosul. Nous avons fait 450 prisonniers nouveaux et ies tr upes aitié' s ont oapturé 1 bstterie d'obu s era, 1 canon cte mont- gne, 17 mi traiileuses, 15 mortier» de tran- cbses, une grande quantité d'armes et ce imteriel non eocore dénombré. L'ennemi sse retire en dêsordre. L,lMïiim DES ALI iES Li conférencs dos alli's a ctox jettdi sos travanx, a la dernièrs séance qui a etc terute da-is l'après-midi, cbocutt dea pays aiiiés était représeaté, et non plus sf-u erhent les Et ats qui prenneat p-r üt !a guerre dans les brik ns. Vo ci la nota snivanta qni a été commn- 0 quée a i'issue de la dernière séance : La co iférenc», rénnio pour i'rxarnen de la situation d <ns lei Ba k tns, a laquelie avaient appolés ies rep^esentants de tous las pays allies, a ter (Bind aujourd'bui ses H'ances. E l" a consacré * l' >nanim:té les décisions 1 t avafoet ete ariêtees daus les seances précódeirtes. Uue reunion des ministres des départe- tnants intéressés aun li u è Londres pour fixer ies mesures d'exéeuiion. Ava at de se s parer, lrs metobres de la co térenca ont diriré, 4 i'unaainiité, a ia t cura o t siiiva .ae : Les puissances alliée s, o/us itroitement unies que jamais pour la défensa du droit des peoples, particuhèrement dans la peninsule des Balkans, sont résoiues k e dóooser les armee que lorsqu'ellas auront atteint le but qui, a leurs ye ix, dom ■a tous les autres, celui de rendre impossible le retour d'uoo agression crimine'la telle que celle dont i' imperialisme des empires csntraux porte la respoiisabilite. Pendant leur séjour a P ns, las olfi ters génér^ux des ar«>e<*s et des marines ailiées oct t-nu au ministère de 11 guerre et au mininère de la marine piusieurs réunions, an cours desquellss ont etc examtaées tou¬ t's Ies questions visant Ia conduite géneraie di s operations et la goerre sotu-manue. Jeudi ies m mbres de la conférence onl ' les liötes de M. Patnlevé au unnis- tè' i guerre. EN NORVÉGE UnEspien allemand en Norvège L'esp'on ftn-sstdais Pusar, au service d« 1'Alle* magce, a avoue éire employé ea Korvrge comme agiuteur scciaiisto 51. Lloytl George a réuni vond.-edi matin auiotir de lui un certain 3ora< re 6e personnsütés appar¬ lenant a la pressa pxrisiCfiae et leur a fait, en substance, ies declaration s que yoici : Ii a dit qn'ii tennit ü r&mercier le pub' fic francais pour sa cordiale reception, et 3 dire combien la penpie britannique apprécie i'ef- fort qus la Fiance a accompli depuisie com¬ mencement de ia guerre. C«t fib't, qui a c ü>è de si doulourenx sicntices, ne paut ê.;c compare avecaucun da C 'ttx que se soat imposes ies autres a> 1 6s. Mais pent être. ea raisoa tcèma dc 1'incomparaPla hsrci' me qu'e'le a dépioyé, la France est-»ile moins bien piacée pour apercevo r i'effort que font g 'ar; tres nations. M".Liovd G-:org i a demands qu'il lai tut p«r- mis, dans l'intèröt ds i'étroite atnitiè qai rè- g-ie eaire ies deux pays, de donnar a dS3 Francais une idéé da ce qui a été réaiisé de l'autre cót-i de ia Manche. Ao debut de la gnerre, Goil'acms I! tr-ü- tait dédaigaeusement la « méprisabie petite armée » aaglaise. Aujonrci'hai, la force eo- tière de la Grandc-Bfet. gns est engages dans Ia tutte. II fout dire Grande-Bretitgue, car l'frisnde, teut ea ayant fournt d. s cantia- ger.ts impertanfr, posrède, ou ie aait, nn regime sfiètftat. On ne resdrait done pas ea- iièreraent justice a I'effort accompli ontre- Mancho si on l'cvainait en propo tion de la p- pu a'ioa globale quecanapto le.Royaama- UiD de Graodc-Bret agae et d'Ietande, Ua cbiffre resume tout : e'est eatre ciaq nail- lions et cina millions et derni qua s'éiève :e loiai des hommes rnröiés, sans compter les quaere 5. cl»q ceat milie hommes qui font pattie de la marine, r.i ies eoid3ts qui sont veans, as/ nonibre de prés d'un miilioo, des Dominions ct des colonies. On n'aorait jamais cru, an commencement dc la gnerre, que de pareiis «fl'ectifs pcur- raient êtra mobilisés. La posioon des Au- glais, en <ff-t, est tout k fait speels Ie dans ie monde Nn settlement iis oat busoin de la navigation pour se ravKaiUer, m is leur flotte de commerce est de bsaocuup !a plus importante de i'univsrs-, et elle faisuit avant ta guerre das tran«corts pour toutes Ies ra¬ tions, notainment pour les Aüiés d'aojour- d'hui. La marine de guerre briianniqoe, d'antre part, s'est trouvée dès ie débat du co; flit on préseoce d'uns tache cxtraordinairemeut iou de, puisqn'ii a folia organiser des erci- sières sur toto les oc-ans. On ss dsmmdait eorament ii serait possible d'enlever a lears occupstións tant d'hommes qui, dans Ges profossions rauitiphs, sent ceetspés par nne industrie aussi irornease que la navigation eommercfci'c de I'AsigtetO're, alors qua la navigation de guerre all» it eiiger plos de persouncl et da main-d'oauvre qoe jamais. Cependant, ies Angiais sont parvenus a lever une artnét; si uombreuse sans cesser pour cela leur métier da navigatenrs. Ac- taeilemeot. iis m?tt-nt k la disposition des aüiés une Hotte marchaaie dont le total rc- prósente un mihion et demi &deux millions de tonnes. Les Atgiais n'ont pas cessé da vantage leur mé.icr de rainaurs : un million d'hotnrnes environ travaiiient dans leurs houiütères, produisant da ch.rbon dont la Francs rr^oit une part — une part moms grande que l'An- gleterre na le voudrait, mais bleu pias con¬ siderable, cependant, que ne Fétait i'expor- tatioo d'avaat ia g icrre. Do racier que les tours anglais prodaisent, na tiers ou ua qnart vient ea France pour ies trsoins de la défense nationale. En même temps, la Gras-de-Bretagne a dü outil'er cornpiètement son araaée. car die n'avait.au com rarnc ment da cooflit, qu'une « btdte de so:dats de plomb » en cam- paraison des armées de trois on qua- t'fl mi! ions d'homnris quo possêdaiont d'auirer b lligérants. Tons ses canons sont nsnls, :oat soa équip -rnent est neut. On de¬ vice la masse de travail que cela repré- seate. La Grandr-Bre'agne est devenue, 4 ta fois, ua grand arseaal poar elte-roême et un nv stasia cmiral d'ayprovisionaemcat pour ton w les nations altiées. L'Atiemagne, qui comprend i'importance de cc röle, a cru qu'elie vaiacrait par la gnerre sous-marine. Au mois d'avii:, ert t flat, las destructions da nxvires britanai- q-tes ont été coasidér.tbles. L'ennemi es- comptait probabteraest des résuitats encore plus graves pendant les mois de mai, juin, juiilet. fos jours sont plus longs. Si rs, tofri <1 -'aO'-'Oi re, les dastroc iors ont di- rnuiuó. Les «Utiatiques ont des hauts et des bas, mais dans l'ensemiite la diminution est incootevtable et grande. Un téSégramme, que M L'oyd George ve- n ii de recevoir, continue que jusqu'd la date la ptus récente, la m yenne uuotidiea- n-3 d i lo-nsga coule dameure singuiière- m^ot au-d s ou de ce qu'e'fr étsu en avri!. Qa n i ks jours an- ont r cconrcq i'obscu- ri Ó, qui pi-ss d'ordinaire pour protégé ie crime, aid-ra encore davantage ü pro.éger Ie • honnêies iiavgiteurs. lt est inspossible d' b ndouner ca sujet sans rendre hommage a I'-idr que don te aspuis quel jue temps la marine amérioiine, soit pour l'organisation des contois, s »t par ses torpil leurs rapides qui o»t rendu de» services inapprêciabioj. Li Gr.iBde Bretagno ne se contente pas de se dpfrndre contre l»s sous marins : elle construit aciivem 'oï des navires match isds poor i'emplacer ceux qui disparaisspnt. Lo (KOgiïmrae dont on a eomraenci fex cu- tion vaamenera baiir, i'an proch in quel- qu> quatre milliuns da tonne3 environ qua ie« ctonti«rs brifrnniqoes construisaient en temps do p ix, dans uno aunée trss fovori- sse ; dè m-tntertant, Ie débit des cbamiers se f ve i o abiement sc rn. L'effort iti3ustrip| qu < la Grandc-Bretsgna réabss ainst l'a amenée a emp oysr, pour le seul serv.ee de la deftnse na.ioaale et de tod ce qui s'y rattacbe, einq millions envi¬ ron de tr vaibeurs des deux sexes. Oa po <r- ran mèmn employer beaucoup plus de main- d'teuvre feminine si ies Syndicats ne cai- g a-ent o-is la concurrecce des ouvrières après !a g -crre. G'e-t una cifiicuüé qui te pré ente ansst, eembie-t-il, dans d'autres p ys. Oa pent dire, en résumé, qn'i! n'y a plus, i protiremeot parler, d'f ntreprises anglaises qui fr-ivaiiiciit pour ies particulier», a part les i-ntrepnses agncoles. Au point de vue de ('alimentation, les An¬ glais avaient contents avant la guerre de grandes ifuprndaHCe» : ils avaient iaissó dé- ciiner dans nes proportions dangerenses Jeor production tg r.eoie. Quoique lis oient le siscSre espoir que la guerrs actueile ssra la d rnière, a cjouté M. Lioyd Grorge, iis pr«ndront leors préaantions" pour ne pas retomber dass nne partilie foute. Tout est arrange pour qos !e pays pcissc sohïenir ü ses propres besci ts. G ace it cas progrês ds tout ordre, las Alio- msnds, dès mainteatuit, ne soat clus en ins- sure d'sfforficr la Grande-Bretaghe. G'est la {'événement eanital qai a cliasgé I'aspset do la gnerre soits'-irtarine. I! n'est pas a i'avan- t?.ga do i'ennrmi. M. Lloyd Georgia dit que ses auditeurs n'attend leci e«riaiaeoient pas des détails coufidsntiels sar ce qui s'est passé a Ja con¬ férence. Mais il a déclaré qu'elle a biea tra- vaille et qu'on a déiibéró en teute sincérité pour arriver a eonstater i'enion compléte des aüiés. Ua3 conversations unrorit encore lieu a Londres la semaiae prochaiae, et, comme oa l'a annoncé, M. Lloya George au¬ ra I'oceasioa da psrtcr ensuite au public, a l'anaiversa re de l'ontrée en gnerre. II a re- connu que, peadant cette con teres ce-ci, ic-s nouveltes qui sont arrivées de Russia n'ort» r-as été bonnes. Mais la Russie a monira dé- j't qu'elle a des tessonress in ft a ies et qu'elle est le pays de i'lnatfeodti . Eti qni! taut ses invités, M. L'oyd Gsorgg lour a exprimé encore la conviction inébra'n- labie qui i'auime qnand il parie da la France : Tin future, of world depends upon Great-Britain uni France acting togithtr, i'ave- nir du mon-ae dêaettd do ia cooperation de la Grande-Bret igae et de ta France. » LeMinistère roumain reconstitué La erise miaistériclie est terraiaêc. La coilaboralion avee les conservaleurs con¬ tinuo. M. Take Joaesco a é'é nommé vice-présiilestdu Go»iseit. M. Viatila Bratiano, minislre du nouveau dé- pariemeot des rauutiioas et chargé de Tialêritn dc la grerre. 61. riluleseo, ministro des finances. 5f. de la Vrancea, ciiaisire du commerce ct do 1industrie. Les autres minis! res ont gardé leur porie- (euiiie. Las, IfiMieaji IsSisslt Le gouvernement meitra tout en ceuvrs pour-conjurer I'oppprobre qui menace le pays. Au cours a'uee entre vue qu'il a nccordee «ti re- prcseaiant de la presse, le prêsitlenl du G-aasett, M. Kerenski, a tféciaré qua io problèrae foBds- mefit- l.petif Is gouvcrEemeat provisoire CJnsisle dans lo sslut iraaieffisl de la p-trie et do ia révo- lution coftte qua -eoftte. Dins ce but. ie gouver- nemeat, pl-J-neme&t coascient de sbx devoir, a 'rêsoln dVmpéeber fout ce qui «htreico 4 U raise de 1Etst. Le rétabUsseaest do Is pans «is mort sur ie frort est da a ce que le &ou*erm«iieB( a c!ê placé derant i'attsra stive, soil da sacific-r 1'ar- ruee sux fficbes et aux traiLes. seis d'svotr rc- cours a 1'uaique moyea que eatix-d oouvatsat cr'ir.dre. La gouveraeraea' proriJoira, pieiac- ment solidaire avec toule l'srmée, s eados'é oc-tta lourde respoEsabil ié uniqu-msnt pour scuver is vie préeieuse de héros qui peris-sent r-n exécu- lant leur devoir envers ia patriae! pour conjurer I'oppro&re qui menace In pays Notre Ambassadeur en Russie N. Kauleas a remis, le 23 juiilet, des leltres de cröance au gouvernement provisoire, au Palais Marie. Le Maire de Moscou I/) socialisto rCvoiutionanire Radarf est tlu maire de Moscou. LES ÉVÉIMESTS DIGDËCE Les occupations militaires des aiiiés L:t conférence des aüiss a "pri» ies résoia- lious suivantes en ce qni eoncerne ies terri- loires helléniques qui sont actueltement 03- cupêa miiitairement : La Francs, la Grauds-Bretagr.e et l'Italie metlrotit fia simttitanément et dans lo pias court détai sux cceapations militaires qu'eliss ont été obfigéos de fare stir !e ter¬ ritoire de Fa^cienno Grèce, ds la Thsssalie ct ds 1Epire. D'autre part, l'occupation militairs dn triangle formê par la route da Sant» Qua- raata et la frontière de l'Epire ponrra êire maintenee provisoirement dans un intérêt de sécuritê, sous réserve d'ans entento entre I'ltaifo et la Grècs ponr le réiab isas- meai des ad ministrations civilea «ooa l'aa- torité d'un commissaire délégoé par ie gou¬ vernement h«i-éniqu?. Enfin, la France, Ia Grandfr Bretagne el l'Italie pourront eonserver nr.c base navaia et militaire dsns Pile do Corfon, étant en- te -du nas File entière restera sous la sou- viraicefo de ia Grèce. Le Fort Rotipe!a été vendu aux Germano-Bulgares D'après des iBformaiions d'Alhónes, lo fort do Rotipe!. sv e ses canons et ses munitions, aurait été vendu a«x Bulgares moyennant une somtno de 80 tniilions de marks. L'srgent aurait étè versé au Tréaor gréC par léc ermédiaira de la tfsnqaa naliooaie, doat lo sous-directeur, M. Msxsmos, était un germanophile notoire ct ua parest de M. SlreiL «O i,i ■-« SUR _MBR Attaques et ripostos On communique la note suivante : Ua coDvoi a été sltiqué a la torpille par nn sous-naaria, ea 5!éditerranêe occidentale, lo 18 juiltet. La lorpitle, qui vennH de manqtier nn navire (5a eornmerc», !n! critéo d'ua coup de barre par la tit ment (l'escorle qu'elle aïlait frnsper. Le 2d juiliet, un sous-ma» ia se dissosait a sits- quer un convoi «tl iarge des cöb s de liretagoe, lorsqu'il ent a subir lui-même h-s itiaquesconccr- tèes de piusieurs bydravions et Davtres do pa¬ trouille et disp-rut. Un sous-roario ea piougée a été décourert et bombardê dass ta soirêe du S'i juiltet psr un uiri- geable du centre d'afroMaü.ia earittaia da la Basse-Loire. Daas l'Ailantiqije, less jniüet, un asvire neu- tre, attaqué a la torpille ci *u csson par un «ons- inarlE, avait été abafi(l»»n«öp-r su» pquipsgo. (ie- lui-ci, recueilli p»i un psnoui ler.r, fut reme&é a bord du navire, qai n'avsit k*s d'aTfrie» el put repreadre sa

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CASPAR - JOItnAMTéléphone t

Sesréiaiw SfênéralJ TH. VALLSB

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ANNONCESEckkatj du Jouen al. 112. te>"t4 ds girasDonrg.; VAGENCS HAVAS, 8, yiace <fo la Bourse, estseulc chargée de recevoir les Annonces pour, Ie Journal.

L» HTlT HAVREest désignt peur les /finances Judicia/ree et legates

AlU HAVE3. ....

A IPA.KXS........

ORGANE REP UBLI GAIN DEMQCRATIQUB

Le plus fort Tlrage des Journaux de la Région

ABOMNEiVSgNTSl>s Havre, la Seine-Inférieura, l'Eurs,l'Oiss et la 3oameAutras DéparïemsnïsUnion Postale

Trois Mots Six Mois

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Bn s'ebe.i.ns igateir.ent, SAHSFfWS, dans tens les Bureaus as Heets ia Fr&x» |

Les Pupiüesde ïa Nation

« LaFrance adoptsles orphelinsdent lepère, la mère ou le soutien de familieapéri, au coursde la guerrede 1914,victim®militaire on civile de l'ennemi». ïel estl'article esseniielde la ioi dont l'ensemblea éié votépar la Ghambïe,après des dis¬cussions ialéressantes et parfoispassion-nées.Afind'arriver a une ratification iinmö-tiiate, tous les amendementsproposéspourmodifierle teste sorti desdélibérationsduSénat ont été impitoyablementrepousséspar Jamajoritéde la Chambre,«mêmelors-qu'ils avaient pour objet de réparer deserreurs mauifestescominises au Luxem¬bourg et recoimues par 1'uuanimité desdéputés)).A bon droit, 1c Journal des Débalss'cnétonne:C'est, dit-il, une faqon assez singulière devoter les lois, et il ne faudrait pas que la cou-tume s'lntroduisit de procéder entre les deuxCham bres, conime on Ie fait en ce moment, aune sorte d'écliange de bons offices, l'une d'ellesvolant les yeux fermés certains projets que luicnverrait l'autre, a charge par cel!e-ci de re-nouveler en sens inverse, la semaine suivante,eet acte de courtoisie interparlementaire.Quelque iégitimes raisons que l'on püt avoirde faire aboutir, le plus tót possible, la loi rela¬tive aux pupillesde la nation, nousne voyons pasbien oü eüt été le mal si le projet avait atten-«lu vingt-quatre ou quarante-lmit heures de plusavant d'aooulir définitivement. en acbetant parce léger retard l'avantage d'ötrc débarrassé decertains « lapsus » évidents qui vont rendre in¬dispensable le vote d'un erratum législatif.Le Temps,d'autre part, fait aussi toutesréserves«sur uneméthodequi consisteraitè voter, sans y vouioir rien changer,destextes proclamésmauvais ». Et il a,joute :«Pour peu que ie Parlementen prit l'ha-fcitude,les lois seraient bientót discrédi-técs, et ee discrédit ne tarderait pas a s'é-tendreau Parlement»,Mais,ses réservesunefoisfaites,leJour¬nal desDébalsn'hésite pas a reconnaitrevolontiersque « Phistoire du projet de loiqui vient d'être voté par la Cbambre fait,dans son ensemble, honucur au Parle¬ment».Et notre confrère le Tempsdémonlreeu'un véritabicesprit répnblicain a pré-s'idéa la confectiondecette loi qui veutrespecter tous les droits individuels ettoules les consciences.La questionde la protectiondes pupillesde !anationavaitété soumiseau Sénat, ily a deux ans, sous la double forme d'unprojet̂ 'initiative gouvernementaleet d'unprojetd'initiative parlementaire.Et deuxopinionsse trouvaientcnprésence,etmêmeen conllit: l'une demandant l'interventionsouverainede i'Etat dans I'éducation desorphelinsde guerre, l'autre, plus libérale,eherchanta dél'endrele droit de la familie«t de la liberté deconscience, et combat¬tant l'institution du « tuteur social» s'im-posantau tuteur iégal.Lesconcessionsnécessairesontété faitesdes deux cêtés.Le tuteur légal, tel qu'onl'avait prévu au début, a disparu. Le pro¬jet de loi a été voté au Sénat sansun seulbulletin d'opposition; la mêmeunanimités'csl retrouvéeau Palais-Bourbon,graceèl'abslenlicn des orateurs de droitc quiavaient élevé contre lui les plusvivescri¬tiques, graceaussi aux explicationsfour-nies par le gouvernement,et par le rappor¬teur de la Commission.M. Léon Bérard,demandant instrument è la Cbambred'aflirmer par son vole a qu'elle est una-nime sur les devoirs qui incombenta lanationfrangaiseenvers les enlanlsdc ceuxqui sontmorts pour elle. »Sur 1cfondmêmedu projetde loi, dit leTcmps,lesdispositionsadop'téessont dena¬ture a calmertous les scrupules ; aucuned'ellesneconslilueun cmpiètementsur lesvoiontésde lafamilie,ni sur la consciencede l'enfant.II suffi.t,pouren être assuré,deeonsidérerque {'OfficeNationalsera adrni-nislré par un Conseilsupérieurcomposédetelle sortequ'il représenteratoules lesopi¬nionsel tous les droits,—rnodèlepeut-ondircd'uuionsacrée.Un amendementréelamait qu'ony com-prit obligate!rement« cinq ministres descultes, dont trois apparlenant au eultecatholiquc i>.Dans le proiet votépar laCbambre, au sujet des dommages deguerre, une Commissiona été prévue, quicomprend nommémeutdes ministres duculte. Aucuneobjectionde principen'étaitdone a soulever contre l'amendement ;mais en fait Partiele12, relatif a la com¬position du Conseil supérieur, nc fermeaucune porie. II vise l'élection de nom-breux délégués, pour le eboix desquelsmaintsgroupements,conseilset syndicats,ont toute liberté de choix.Or, suivant la juste remarque de notreconfrère,«moins on mêleralesquestionsreligieusesa la législature, plus on aurachancede ne pas ressusciter des passionsqu'il est de Pintérêt de tous de laisser en-sevelies, »D'ailleursen ee qui eoncerne les bour¬ses a aecorderaux pupillesde la nation,lesengagementsles plus formels ont été prispar je gouvernement. Sans doute, il nesaurait être questiond'accorderdes bour¬ses de PEtatdans les établissementsd'en-seigncment privé, « paree que la bourseimplique uue sorte de surveillance dePEtat. »Mais,d'aprèslesdéclarationsdeM.Steeg,lorsqu'il s'agira d'enfants dont la familieexprimera!e désir qu'ils suivent les coursd'un établissementprivé, s'il ne leur estpas donné une bourseau sens propre dumot, car la loi actuelle ne le permet pas,« il leur sera altavé une subventionleurpermettant de suivre les cours dont ilsmront besoin.»Ainsil'applicationdela loi dans les senti¬mentsd'équité, demoderation ct de tolé-rance qui ont inspire le Parlementdonneratoules les garantiessuxqueiiesont droit lesj»ujuüesdela natioo. ïu. V.

LE PARLEMENTImpressionsde Sêanoe(Dg HÖTBSCORIüSSPOÏlDiMÏP.UlT:Cl!USR|

A. LA C!ia:A.3*,d:BB.EParis, 27 juiilet.

La Ctiarabre a voté sans discussion une propo¬sition de loi lei dant a atlrihuer certains omploisCivils dèpendact de ('administration etilon'aie auxanciens militaires indigenes blesses en campagneet libérés. , .Une autre proposition est adop ee sans debat.Eiie est relative a i'ancienneté des officiers deréserve adm is dans l aunée aciive antérieure-inent au ïl décembrc 1918.Le projet de lol rela if a la frappe de IS mil¬lions de uionnaies de billon en bronza de nickelne rencontre pas nyn plus d'opposition.On reprend en secondo lecture la lot Mourierlixant les affectations aox unités eombattantcs.M Paté, rapporteur, deciare que, p >ur faciliteret btuer l'applicauon de la loi, ia Commissionconsent a modilief le deuxtème alinea de l'article2 en ce qui eoncerne les sourits ayant trois frè-res-tués s i'ennsmLL'article 2 est «dopté a maias levécs, ainsi quel'ensemble de la loi.On aborde la disrussion de l'interpellstion doM. Kloiz sur i'orgauisstion de Ia vie écononuquedans les régio^s libérées. It demands au gouver¬nement de faciliU r ta circulation dans ces régionsdes habitants qui descent y retourner. Or, dansla Somtue, dfi-il. les diffieultes sont lnsuimont.>bles pour les braves g*as des villages recuporespar nos troupes qui veutent rentrer chtz eux.Pourquoi des faccités ne leur sont-elies pns aucontraire aecordées ?. . . Pourquoi Piiuioritê militaire et 1'r.utorité civile ne s'enteadem elles paspour aboutir S une solution qui satisferait ;out iemonde ?. . .51.Kiotz déslre «avoir si l'on ne se préoecupepas de créer d.-s abris provisoires pour lcs popu¬lations de villes comme Cambrai, Douai, Lilie?.,.Une partle di- ces populations peut êire sans asiiele soir pr chain oil. comme nous en avotss Li cer¬titude, ces praïSttss cités st ront libérées 1 Y aura-t-i! dti ebarbon cour ces Frstipais qui aufont déjalant souffert ? G'est une question que M. Kiotzpose au gouvernement.En résumé, M Kiotz demsnde ce que I'oncoaapie faire en faveur de ces costtées qui ontSOUUeftï55H. Revauit et Deguise, dépotés des régionsenvaütes, rééditent les observations de M. Kiotz.La suite de 1&discussion de l'in;erpellation deM. Kiotz est renvoyee a aemain.M Descöanei fait conn I re qu'il a recti unedernar.de de mod heat ion de l'ordre du jour si-gnée «ie 80 membres, tous socislisies, teadant ala discussion ptocnaine du rapport de M. Thom¬son sur une proposition tendant a réunir B-s deusChambres en Assembléo nationale petdant laguerre G'est la revision de la ConstRutio-j qui,SfOie, peut autoriser ce cbsng ment Après l'ap-pel des stgnataires, M. Renaudel explique leurdêsir.« Ses collègues et lui veulent un fonctiorne-menl pius noreaal du Parlement.« On a dit que !e projel de réunion des deuxChambres en assf mbiée civique serait une ma-neeuvrc contre it ne sail quel «ugusts perroans-ge. Exclamations).n Ceux qut voieut ce'a dit-il, avee force setrornpect. » L'extiême pauche applaudit.M. Renaudel, en faveur do ia revision invequela néeessité de raettre fin aux voyages successifsefiectués a la Ghambre et au Senal pour (iifféren-les questions d'iniérêts général, comme lesloyers. la crise du papier, le Cotuilé secret. Unssettle róonion des deux Chambres oü l'assembtéeplênière ponrraitéviter des con-plicatioss inutileset dangereuses a l'époque actuelle.L'orsteur termine en priant ie gouvernementde ne pas s'onposer a la mise a l'orare du jour dela prooosition".M. Tbomson combat la demsnde de M Renau¬del en disant que le momeut n'est pas opportun.La discussion serail lente et difficile a cause dela mui'iplicilé des questions soulevées M. Thom¬son recoücslt quo la revision consiituliocneilepourra plus tarn s'imposer, mais avec le consen*tement préalabledu pays.M.Ribot r-jetle énergiquement la propositionRenaudel ct aemande cc que penserait i ennemisi nous discróditions nous mêmes nos Institu ionsalors qu'une partia de coire territoire est en-vabi ? Et nos atliés, comment erivisageraient-ilsnotre conduite? Ge sersit Paffaibliss -inent duParlement, peut-étre même tie la défense natio¬nale.M. Ribot est viveraen! soutenu par Ia majorité.Après une intcrvec'iioa de M. Bracke, qui in-siste tans le même sens que 51. Reneudr S. M.Jules Roche s'en déclare partisan, mais il Ltudraseuiement s'en occuper après la vicioire.M. Renaudel, avec do grandes pbrsses, Insistssur l'urgcnce de Ia discussion en disant que tótou l«rd la Cbambre serait obligee de faire cequ'elle repousserait aujourd'hui A cebe remaf-que. besucoup de cerisins droitiers, adversuiresscfi raés da la Röpublique, applaudissent 51. Re¬naudel.L'ajournenient est voté par 310 voix coaire 19i.Séance tieiaain.

**#ATT SÉI3STA.T

Le Sénat adopte ie projet, modillé psr !a Cham-bre. relatif a ia requisition civile.51. fvrchot déposo un rapport sur to prr.j, td'im;:ó! sur le r<venu (contribmions cédutskes).Le Sénat ebot de le projet coccernant le jnge-ment par ie Couseil d'Atat des -Tecours conien-tieux en mstiére de pensions. Après diverses ob-seiv&lions de M. Boivi -Gbontreux, rapporleur, ladiscussion gècérate est close, puis les articies 1a t3 sont adoptés. Le vale sur i'ensernale est ré¬servé.!.e Sénat vole uae proposition relative a l'allai-tr-ment roaterne! et fixe la date de l'examen dedivers projets, puis s'ajcurns a msrdi.

Th. Benky.

Le général Gadornak VersaillesLe général Gadorna géaératisslme de l'srméeHalteneet, aceoaipagnè ffis officiers de son état-mejor. s'est rendu a Versatile» veadre-ti. Ii acoasac-ré toute sa matinee * la visite du chateaust du musée, ou U a été recti par 51 de Nolhac,conservati-ur. a qui a diverses reuses, il a té-moigné ses trés vifs sentiments dé satisfactionea lui disant combieu cette visite 1'intéressail.

LES YIEILLES CLASSESComme suite aux Oéeèslons prises par le minis-Ira dc ii guerre, tou? los sgricuiteara de ! i eiassclS9i 11 ies It. A T. pères de eirq enfaris etveufs père? de quatre eofants fie- .classes 892 af89o devront être détach & s la fifrre avant io 13septeabre proehain.Tous les R. A. T. du service auioniobile. ser¬vice armé et «uxillsire de ia classe 1888. ïr.corpo-rrs avsiii :c 31 raars 1918seront iibéres ia 4" aofit4917 s'ils ont été mobilisés avant te janvier19iS, et le iS soüt 1817 s'ils ont été roobülsés en¬tre le 1" janvrir 1913et ls 31 mar? 1916.Seront cgaiemem hbéré?. los hommes da ser¬vice Eüxiliaire des classes 1883. 1889 et 189.)quine sont ni conducteurs ni ouvrlers ; los cgricul-t»ur« du servies anxiiiaire des classes '.895etplus ancienaes ; les sgriculteurs du service arméde la classe 4893.Enfin, les tailleurs, cordonniers et selüers duservice ar.xiltaire des c-sssos 1889et 1890 «erontlibérés dacs ia plus rirgc Eiesure possible ti rem-piscés par des feauaes ou sjiêcialistss des clas¬sesplasjeuucs»

LA GUERRECommuniquésOfficieis

1,C®7' Jouiméo

FRANCEPeris. 27 juiilet, 14 fieurea.

L'activité des deux art i her ies s'est mainte-rtue trés vive au cours de la r.uit sur tout lofrom Cerry-ferme Hurtebise sans action d'in-fanterie.II results ass rensoignements complémen-ta/'res sur l'opérat on exéculée par les Alle¬mande dans la soirèa du 25, depuls la régiona l'Est a'Hurtebise, jusqu'A la région su Stidde la Bovolle, que l'ennemt avait lancé a /'attaque, par vaguessuccessives, une division avecdes effectifs potjes A leur maximum, soutenueelle même a Carrière par une division tratcheLe peu (/'importance des resultaia obler.usmarque l'èchec d'un tel effort.En Ghémpagrie, dans la régh>n rlesMonts, au Sad eta l'Ouest de Moron-villi r*, les AlSemands, après un bom¬bardement iutfcEse, ont exécute cinqattaques sucoessives qui ont touieséchuué sous nos féa x.A ['Est d'Auberive, après une préparationd' rtiilerie courte et violente, p usieurs groupesennemis oommandés par un officier ont efftc-tué un coup de main. Un combat acharnê s'enest suivi au cours duquel l'adversaire a /a/'ssésur Ie terrain do nombreux cadavres, dontcelui de /'officier.Lutte d'ortilierie moins violente sur las deuxrivesde la Mouse.Nuit calme sur le reste du front.

23 heuros.Actions d'artillerie iniermiitenies sur la plusgrandt >partie du f ont ; plus vives dans lo sec-teur d'Ail'es et d'Hierir bise, en Champagne,dans la region du Mont Haut et sur les deuxrives de la Mouse.La nuit dernière, un coup de main tentó parles Allérnands sur l'Hartmannswiilerkopf acomplètemeni écfiouê sous nos tira de mitrail¬leuses.L'adversaire a laissê de nombreux cadavressur le terrain.

27 juiilet, 14 heures.Uns océration de détail a eu lieu cette ruit,aux sherds deBasscbuilt (au Sud-Ouest deWar¬neten) au cours de laquulle ncc troupes ontréussi a chasccr l'ennemi du village et a fairsun certain nombro ae prisonniers. Une forteattaque allemande ca matin, nous a forces aabandonner la localité et a regsgnsr nos tran-cfiaes.La r.uit dernière, a la suite de raids exêcutêsavec succes vers Monchy le-Preux, an Sud-Ouest de La Bassée et au Nord-Est d'Ypres,nous avons ramnné vingt-nouf prisonniers.Les Allemande ont tentó hier dans la matinee, sur nos positions au Sud Est de Gauzeaucourt, un coup do main qui a déferminé unviolent engagement au cours duquel l'ennemia eu des pertes importantss. Qaelques-un3 erenos hommes ont disparu

20 b. io.L'artillerie allemande s'est inontrêe plusactive que de coutume, au cours de la journée,ver- Armentières.L'activité aérienne a été ass«-z réduita hierjusquo dans la sturóe, oir do vifs combats sesont déroulés pendant deux heures Un apua-reil ennemi a étè abaitu ; un deuxiéme fut con-trsint è atterrir désemparé ; deux des r.ötresne sont pas rentró s.

BeLGiQUS87 juiliet.

Au cours de la nuit, l'artillerie allemande aviolemment bomoardé les envi -onsd'Heis as, de

DernièreHemDansiessplisrssps'iiipsallesiandes

BS!.?,27 juiliet.Le Strmburger Post di' qn.-»i'nnr -ssadour tüe-maïid s Gontantinuple est paiti pour n-:r=iu li se¬rail caodidat a ia succession dr al. Zuiimermana.L'empereur a nommé Ie chaac- !i,-r a la suite del'srraée avec le droit de porter i'uniforme desgrenadiers de la garde.

La Grande-Ducliesse voyageAmiior.'i; ra, 27 juiliet.

Le Berliuer T-gtblait annonce 1'arrivet de lagrande-duchesse de Luxembourg a Munich.

L'AGITATiON ENALLEMAQNEAmsterdam. ;7 juiliet.

La Gazette de Prishiu anr.once que la Courmartiale de Gleiwitz a jugé 3i aecusés d'avo'r fo-menté des désotdres. Six out oté con<i»maés a laservi ude penale, trois a cinq ans dr prison.

LssPfisor.nisrsAnglaisetAilemsndsLondres, 27 .uillet.

Jiux Communes, la commissaire du T -es r ao-notice qu'ua accord était condu entre l'All, ma-gire et i'Anglctorre au sajet des prisonniers.

Evasion ManquéeNice, 2. juiliet.

Dfinx prisonniers «iemands se sont cc fut s ênPort-de-Coijc et onl été repris a Tuuet-Debeuil aumoment oü ils atlaient passer !a fronUère.

TR-IFjLE noyadeGarcsssoone, 27 juiliet.

5lme Estève, institutrice, s'cst noyée arcide»-tetament, ar cc ses deux enfants, dans l'Aude.

MouvementsmilitairesAthèiv-s, 27 juiliet.

Les troupes aitlées ont cotnmeucó a óvactief laYicille Gréce, en tant que Ir peunetu nt lesuioyens dr iransport diapoaibles. Oa procedt-aussi »ti iiaa-fert ees troupes du Pêloponèse versh YieiRe-Grèce.

SteenstPMte «•:s; i-ip,^..g<e1s,et iiré do fAqonintermittente sur nos positions et nos commu¬nications du front.Dans la matinee, l'artillerie allemande a ca-nonnê la région de Parvise, Dixmude , Onde-cape//e et Nisucspelle.Dans l'après-midi, aciivi'.è courante de l'ar¬tillerie dans aiffèrents secteurs. Nous avonseffeclué dos tirs da contre batterie et de des¬truction sur les obstrvatoires ennemis.Un detachement beige a capture l'équipagod'un sous-mat in al iemand échoué a la cöie.

|ApèslaConférenceieParisDECLARATIONS

«ie 3M.. CS-eoa-g'©

RUS8IEPeirograde, 27 juiilet.

t/ous avons repoussé des attaques au Sud Estde Tar opol Nous avons reculé lègèrement surde nouvelles positions au Sird-Est de Troxbvoiiaei repoussó l'ennemi de Tuüorof.Notre cavalerie a liyré des combats favora-bhs en rtfoulant /'infanterie ennemie vers leNord Ouest clans la région de Monasterviska.Noui cominuons a nous rsiirer vers l'Est, entrele Dniester ei ies Carpathes.Les Roumain* one progressé jusqu'au courssupérieur do la rivière Suchiizi et a l'Est dala Souana Ils firent da nombreux prisonniers.

DANS LES BALKANSFRANCE

Ssloriquo, 29 j'uRlet.L'aviation britann.ique a bombarde les cam-p- menis ennemis dans la région de Demir-Hissai.Lutte d'artillerie assez violente sur la rivedroi'.e du Vardar et entre les lacs Prosba etOchrtda.

GRANDE-BRET ACNESaiooique, 23juiilet.

A l'exception du raid heureux è Kamondos,dont on a déjk parió, les operations da la se¬maine dernière se sont confi' êes k des entra-prises aèrienne s.Nos appzreiis ont bombs.rdé la gare de Per-na et les camps prés de Sérès et de Demtr-Hissar et les dépots k Peine et Dedli, Nord-Ouest du Iac Doiran.

ROifolfiANIEïassy, 2i juiüef.

A la frontièro de Molde- vie, lesRose es o;it pénétré dans las tran-ohèes et raniene dss prisonniers.Les Rofa'so-Roumains ont enlevédesposit<o«s entre les va léés de Casln eide la Patna sur un front de 21 kilo-niè'res et une profondeur de 3 kito-zaètres. Ils ont occupé trois villages,capturant 43 canons, dont 13 lourds,pli3 de mille prisonniers et ua nom¬breux butia.

Jas«y, 23 juiltet.Sur la frontière Ousst de Moldavië, feux d'in-fanterie dans divers secteurs du Casinu et dela Putna. — -Nos troupes ont continué d'avancar,pou«sant leurs ligt, es josqu'a 12 ki¬lometres de rancinü frons et occupantjo s les points fixés par ie p an d'o-pérations.No* troupes ont occupé les villagesds Gura V&ei. F t sti, Gampnridt?,Ajscuiesti, Ciunucul, Visantea-Monaa-fr-avrs, Pivrul-Radului, Caur/li,Porcei, Parosul. Nous avons fait 450prisonniers nouveaux et ies tr upesaitié' s ont oapturé 1 bstterie d'obus era, 1 canon cte mont- gne, 17 mitraiileuses, 15 mortier» de tran-cbses, une grande quantité d'armeset ce imteriel non eocore dénombré.L'ennemi sse retire en dêsordre.

L,lMïiim DESALIiESLi conférencs dos alli's a ctox jettdi sostravanx, a la dernièrs séance qui a etc teruteda-is l'après-midi, cbocutt dea pays aiiiésétait représeaté, et non plus sf-u erhent lesEt ats qui prenneat p-r üt !a guerre dans lesbrik ns.Vo ci la nota snivanta qni a été commn-0 quée a i'issue de la dernière séance :La co iférenc», rénnio pour i'rxarnen de lasituation d <ns lei Ba k tns, a laquelie avaientté appolés ies rep^esentants de tous laspays allies, a ter (Bind aujourd'bui sesH'ances.E l" a consacré * l' >nanim:té les décisions1 t avafoet ete ariêtees daus les seancesprécódeirtes.Uue reunion des ministres des départe-tnants intéressés aun li u è Londres pourfixer ies mesures d'exéeuiion.Ava at de se s parer, lrs metobres de laco térenca ont diriré, 4 i'unaainiité, a iat cura o t siiiva .ae :Les puissances alliée s, o/us itroitementunies que jamais pour la défensa du droit despeoples, particuhèrement dans la peninsuledes Balkans, sont résoiues k e dóooser lesarmee que lorsqu'ellas auront atteint le butqui, a leurs ye ix, dom ■a tous les autres, celuide rendre impossible le retour d'uoo agressioncrimine'la telle que celle dont i' imperialismedes empires csntraux porte la respoiisabilite.Pendant leur séjour a P ns, las olfi tersgénér^ux des ar«>e<*s et des marines ailiéesoct t-nu au ministère de 11 guerre et aumininère de la marine piusieurs réunions,an cours desquellss ont etc examtaées tou¬t's Ies questions visant Ia conduite géneraiedi s operations et la goerre sotu-manue.Jeudi ies m mbres de la conférenceonl ' les liötes de M. Patnlevé au unnis-tè' i guerre.

EN NORVÉGEUnEspien allemand en NorvègeL'esp'on ftn-sstdais Pusar, au service d« 1'Alle*magce, a avoue éire employé ea Korvrge commeagiuteur scciaiisto

51. Lloytl George a réuni vond.-edi matin auiotirde lui un certain 3ora<re 6e personnsütés appar¬lenant a la pressa pxrisiCfiae et leur a fait, ensubstance, ies declaration s que yoici :Ii a dit qn'ii tennit ü r&mercier le pub' ficfrancais pour sa cordiale reception, et 3 direcombien la penpie britannique apprécie i'ef-fort qus la Fiance a accompli depuisie com¬mencement de ia guerre.C«t fib't, qui a c ü>è de si doulourenxsicntices, ne paut ê.;c compare avecaucunda C 'ttx que se soat imposes ies autres a>1 6s. Mais pent être. ea raisoa tcèma dc1'incomparaPla hsrci' me qu'e'le a dépioyé,la France est-»ile moins bien piacée pourapercevo r i'effort que font g 'ar; tres nations.M".Liovd G-:org i a demands qu'il lai tut p«r-mis, dans l'intèröt ds i'étroite atnitiè qai rè-g-ie eaire ies deux pays, de donnar a dS3Francais une idéé da ce qui a été réaiisé del'autre cót-i de ia Manche.Ao debut de la gnerre, Goil'acms I! tr-ü-tait dédaigaeusement la « méprisabie petitearmée » aaglaise. Aujonrci'hai, la force eo-tière de la Grandc-Bfet. gns est engages dansIa tutte. II fout dire Grande-Bretitgue, carl'frisnde, teut ea ayant fournt d. s cantia-ger.ts impertanfr, posrède, ou ie aait, nnregime sfiètftat. On ne resdrait done pas ea-iièreraent justice a I'effort accompli ontre-Mancho si on l'cvainait en propo tion de lap- pu a'ioa globale quecanapto le.Royaama-UiD de Graodc-Bret agae et d'Ietande, Uacbiffre resume tout : e'est eatre ciaq nail-lions et cina millions et derni qua s'éiève :eloiai des hommes rnröiés, sans compter lesquaere 5. cl»q ceat milie hommes qui fontpattie de la marine, r.i ies eoid3ts qui sontveans, as/ nonibre de prés d'un miilioo, desDominions ct des colonies.On n'aorait jamais cru, an commencementdc la gnerre, que de pareiis «fl'ectifs pcur-raient êtra mobilisés. La posioon des Au-glais, en <ff-t, est tout k fait speels Ie dans iemonde N n settlement iis oat busoin de lanavigation pour se ravKaiUer, m is leurflotte de commerce est de bsaocuup !a plusimportante de i'univsrs-, et elle faisuit avantta guerre das tran«corts pour toutes Ies ra¬tions, notainment pour les Aüiés d'aojour-d'hui.La marine de guerre briianniqoe, d'antrepart, s'est trouvée dès ie débat du co; flit onpréseoce d'uns tache cxtraordinairemeutiou de, puisqn'ii a folia organiser des erci-sières sur toto les oc-ans. On ss dsmmdaiteorament ii serait possible d'enlever a learsoccupstións tant d'hommes qui, dans Gesprofossions rauitiphs, sent ceetspés par nneindustrie aussi irornease que la navigationeommercfci'c de I'AsigtetO're, alors qua lanavigation de guerre all» it eiiger plos depersouncl et da main-d'oauvre qoe jamais.Cependant, ies Angiais sont parvenus alever une artnét; si uombreuse sans cesserpour cela leur métier da navigatenrs. Ac-taeilemeot. iis m?tt-nt k la disposition desaüiés une Hotte marchaaie dont le total rc-prósente un mihion et demi &deux millionsde tonnes.Les Atgiais n'ont pas cessé da vantage leurmé.icr de rainaurs : un million d'hotnrnesenviron travaiiient dans leurs houiütères,produisant da ch.rbon dont la Francs rr^oitune part — une part moms grande que l'An-gleterre na le voudrait, mais bleu pias con¬siderable, cependant, que ne Fétait i'expor-tatioo d'avaat ia g icrre.Do racier que les tours anglais prodaisent,na tiers ou ua qnart vient ea France pouries trsoins de la défense nationale.En même temps, la Gras-de-Bretagne a düoutil'er cornpiètement son araaée. car dien'avait.au com rarnc ment da cooflit, qu'une« btdte de so:dats de plomb » en cam-paraison des armées de trois on qua-t'fl mi! ions d'homnris quo possêdaiontd'auirer b lligérants. Tons ses canons sontnsnls, :oat soa équip -rnent est neut. On de¬vice la masse de travail que cela repré-seate.La Grandr-Bre'agne est devenue, 4 ta fois,ua grand arseaal poar elte-roême et unnv stasia cmiral d'ayprovisionaemcat pourton w les nations altiées.L'Atiemagne, qui comprend i'importancede cc röle, a cru qu'elie vaiacrait par lagnerre sous-marine. Au mois d'avii:, ertt flat, las destructions da nxvires britanai-q-tes ont été coasidér.tbles. L'ennemi es-comptait probabteraest des résuitats encoreplus graves pendant les mois de mai, juin,juiilet. oü fos jours sont plus longs. Si rs,tofri <1 -'aO'-'Oi re, les dastroc iors ont di-rnuiuó. Les «Utiatiques ont des hauts et desbas, mais dans l'ensemiite la diminution estincootevtable et grande.Un téSégramme, que M L'oyd George ve-n ii de recevoir, continue que jusqu'd ladate la ptus récente, la m yenne uuotidiea-n-3 d i lo-nsga coule dameure singuiière-m^ot au-d s ou de ce qu'e'fr étsu en avri!.Qa n i ks jours an- ont r cconrcq i'obscu-ri Ó, qui pi-ss d'ordinaire pour protégé iecrime, aid-ra encore davantage ü pro.égerIe • honnêies iiavgiteurs. lt est inspossibled' b ndouner ca sujet sans rendre hommagea I'-idr que don te aspuis quel jue temps lamarine amérioiine, soit pour l'organisationdes contois, s » t par ses torpil leurs rapidesqui o»t rendu de» services inapprêciabioj.Li Gr.iBde Bretagno ne se contente pas dese dpfrndre contre l»s sous marins : elleconstruit aciivem 'oï des navires match isdspoor i'emplacer ceux qui disparaisspnt. Lo(KOgiïmrae dont on a eomraenci fex cu-tion vaamenera baiir, i'an proch in quel-qu> quatre milliuns da tonne3 environ quaie« ctonti«rs brifrnniqoes construisaient entemps do p ix, dans uno aunée trss fovori-sse ; dè m-tntertant, Ie débit des cbamiersse f ve i o abiement sc rn.L'effort iti3ustrip| qu < la Grandc-Bretsgnaréabss ainst l'a amenée a emp oysr, pour leseul serv.ee de la deftnse na.ioaale et detod ce qui s'y rattacbe, einq millions envi¬ron de tr vaibeurs des deux sexes. Oa po <r-ran mèmn employer beaucoup plus de main-d'teuvre feminine si ies Syndicats ne cai-g a-ent o-is la concurrecce des ouvrièresaprès !a g -crre. G'e-t una cifiicuüé qui tepré ente ansst, eembie-t-il, dans d'autresp ys.Oa pent dire, en résumé, qn'i! n'y a plus,i protiremeot parler, d'f ntreprises anglaisesqui fr-ivaiiiciit pour ies particulier», a partles i-ntrepnses agncoles.Au point de vue de ('alimentation, les An¬glais avaient contents avant la guerre degrandes ifuprndaHCe» : ils avaient iaissó dé-ciiner dans nes proportions dangerensesJeor production tg r.eoie. Quoique lis oient

le siscSre espoir que la guerrs actueile ssrala d rnière, a cjouté M. Lioyd Grorge, iispr«ndront leors préaantions" pour ne pasretomber dass nne partilie foute. Tout estarrange pour qos !e pays pcissc sohïenir üses propres besci ts.G ace it cas progrês ds tout ordre, las Alio-msnds, dès mainteatuit, ne soat clus en ins-sure d'sfforficr la Grande-Bretaghe. G'est la{'événement eanital qai a cliasgé I'aspset dola gnerre soits'-irtarine. I! n'est pas a i'avan-t?.ga do i'ennrmi.M. Lloyd Georgia dit que ses auditeursn'attend leci e«riaiaeoient pas des détailscoufidsntiels sar ce qui s'est passé a Ja con¬férence. Mais il a déclaré qu'elle a biea tra-vaille et qu'on a déiibéró en teute sincéritépour arriver a eonstater i'enion complétedes aüiés. Ua3 conversations unrorit encorelieu a Londres la semaiae prochaiae, et,comme oa l'a annoncé, M. Lloya George au¬ra I'oceasioa da psrtcr ensuite au public, al'anaiversa re de l'ontrée en gnerre. II a re-connu que, peadant cette con teres ce-ci, ic-snouveltes qui sont arrivées de Russia n'ort»r-as été bonnes. Mais la Russie a monira dé-j't qu'elle a des tessonress in fta ies et qu'elleest le pays de i'lnatfeodti .Eti qni! taut ses invités, M. L'oyd Gsorgglour a exprimé encore la conviction inébra'n-labie qui i'auime qnand il parie da laFrance : Tin future, of world depends uponGreat-Britain uni France acting togithtr, i'ave-nir du mon-ae dêaettd do ia cooperation dela Grande-Bret igae et de ta France. »

LeMinistèreroumainreconstituéLa erise miaistériclie est terraiaêc.La coilaboralion avee les conservaleurs con¬tinuo.M.Take Joaesco a é'é nommé vice-présiilestduGo»iseit.M. Viatila Bratiano, minislre du nouveau dé-pariemeot des rauutiioas et chargé de Tialêritndc la grerre.61. riluleseo, ministro des finances.5f. de la Vrancea, ciiaisire du commerce ct do1industrie.Les autres minis! res ont gardé leur porie-(euiiie.

Las,IfiMieajiIsSissltLe gouvernement meitra tout en ceuvrspour-conjurer I'oppprobre qui menacele pays.Au cours a'uee entre vue qu'il a nccordee «ti re-prcseaiant de la presse, le prêsitlenl du G-aasett,M.Kerenski, a tféciaré qua io problèrae foBds-mefit- l.petif Is gouvcrEemeat provisoire CJnsisledans lo sslut iraaieffisl de la p-trie et do ia révo-lution coftte qua -eoftte. Dins ce but. ie gouver-nemeat, pl-J-neme&t coascient de sbx devoir, a'rêsoln dVmpéeber fout ce qui «htreico 4 U raisede 1Etst. Le rétabUsseaest do Is pans «is mortsur ie frort est da a ce que le &ou*erm«iieB( ac!ê placé derant i'attsra stive, soil da sacific-r 1'ar-ruee sux fficbes et aux traiLes. seis d'svotr rc-cours a 1'uaique moyea que eatix-d oouvatsatcr'ir.dre. La gouveraeraea' proriJoira, pieiac-ment solidaire avec toule l'srmée, s eados'é oc-ttalourde respoEsabil ié uniqu-msnt pour scuver isvie préeieuse de héros qui peris-sent r-n exécu-lant leur devoir envers ia patriae! pour conjurerI'oppro&re qui menace In pays

Notre Ambassadeur en RussieN. Kauleas a remis, le 23 juiilet, des leltres decröance au gouvernement provisoire, au PalaisMarie.Le Maire de Moscou

I/) socialisto rCvoiutionanire Radarf est tlumaire de Moscou.

LESÉVÉIMESTSDIGDËCELes occupationsmilitaires des aiiiésL:t conférence des aüiss a "pri» ies résoia-lious suivantes en ce qni eoncerne ies terri-loires helléniques qui sont actueltement 03-cupêa miiitairement :La Francs, la Grauds-Bretagr.e et l'Italiemetlrotit fia simttitanément et dans lo piascourt détai sux cceapations militairesqu'eliss ont été obfigéos de fare stir !e ter¬ritoire de Fa^cienno Grèce, ds la Thsssaliect ds 1Epire.D'autre part, l'occupation militairs dntriangle formê par la route da Sant» Qua-raata et la frontière de l'Epire ponrra êiremaintenee provisoirement dans un intérêtde sécuritê, sous réserve d'ans ententoentre I'ltaifo et la Grècs ponr le réiab isas-meai des ad ministrations civilea «ooa l'aa-torité d'un commissaire délégoé par ie gou¬vernement h«i-éniqu?.Enfin, la France, Ia Grandfr Bretagne ell'Italie pourront eonserver nr.c base navaiaet militaire dsns Pile do Corfon, étant en-te -du nas File entière restera sous la sou-viraicefo de ia Grèce.

Le Fort Rotipe!a été venduaux Germano-Bulgares

D'après des iBformaiions d'Alhónes, lo fort doRotipe!. sv e ses canons et ses munitions, auraitété vendu a«x Bulgares moyennant une somtnode 80 tniilions de marks. L'srgent aurait étè verséau Tréaor gréC par léc ermédiaira de la tfsnqaanaliooaie, doat lo sous-directeur, M. Msxsmos,était un germanophile notoire ct ua parest deM. SlreiL

«O i,i ■-«

SUR _MBRAttaques et ripostos

On communique la note suivante :Ua coDvoi a été sltiqué a la torpille par nnsous-naaria, ea 5!éditerranêe occidentale, lo 18juiltet.La lorpitle, qui vennH de manqtier nn navire (5aeornmerc», !n! critéo d'ua coup de barre par latit ment (l'escorle qu'elle aïlait frnsper.Le 2d juiliet, un sous-ma» ia se dissosait a sits-quer un convoi «tl iarge des cöb s de liretagoe,lorsqu'il ent a subir lui-même h-s itiaquesconccr-tèes de piusieurs bydravions et Davtres do pa¬trouille et disp-rut.Un sous-roario ea piougée a été décourert etbombardê dass ta soirêe du S'i juiltet psr un uiri-geable du centre d'afroMaü.ia earittaia da laBasse-Loire.Daas l'Ailantiqije, less jniüet, un asvire neu-tre, attaqué a la torpille ci *u csson par un «ons-inarlE, avait été abafi(l»»n«öp-r su» pquipsgo. (ie-lui-ci, recueilli p»i un psnoui ler.r, fut reme&é abord du navire, qai n'avsit k*s d'aTfrie» el putrepreadresa

Page 2: Sfrstiirw—WO*W«OTW—S Papes) 9tit - archives.lehavre.fr · certains «lapsus »évidents qui vont rendre in¬ dispensable levote d'un erratum législatif. LeTemps,d'autrepart,fait

Lè Petit Havre — Samedi $8 Joillet 1917

(Jitfttisn» & l Orir* du JenfDe la Division

4® EegCne Jean, brancardier, au ll# régimentdc cuirassiers a pied a été cite 4 Fordre do ta di¬vision dans les termes suivanls :« Ayant le plus grand mépris du danger, !e*- ' au cours d'un violent tir de barrage's'est détensó sans compt-r pour soigner et pas¬ser ses camarades blesses do son C3caa?on et desunités voisines. »M Eugène Jean est le flls do M. Eugène Jean,brasseur de e:drc, 123, me de Normaauie.v De la BrigadeLe deuxième canonnier-servant Maurice Aubin,du 'SC* régiment d'artilierio a été cité en cestermes a i'ordre de la brigade :„ L,, sous un bombardement degros calibre s'est porté a découv#rt 4 la milail-feuso et a ouvert lefeu c mtre un avion qui sur-volait ie groupe, a éte projeté et coetiisionné parl'expiosion d ua obus tombé, a i ffièlre de soaposte. »Déja cité deux fois 4 i'ordre, M. Aubin ast do-miciiié rue- Dcnfert-Roehrreau.

Honvelies miiitaJi'cSLes êlères aspirants d'isifmterie da centrad'iastrisct on de Saint-Cyr dont iesnomssui-vent, sont. nommés aspirants :3«region : MM.Six, Moreau. Teyssier, Saitty,da 4*rég ment ; Mcrcere;, du 28» ; Fort, Be-nczeeh. ou 36» ; fladal. Gonbrat, du 39' ; Grègoi-re, Conchon, Beaumont du 74» ; Castel, Hevin,Jlatió de la üroix, du 119' ; R-verdy, de Bejucbefde Servigny, Bauekert, du 129»; Huet, du 205»;Gasseau, Ghauveau, Guyet, Stabler, Evéillard, du2ï4' ; Guillcrai», dn Cernière, Fauvei, du 235»;Faiquerbe, Pabhous, Ationveau do Moatrèal, du239° ; Braaa, Vennat, du 319° ; Reaux, örötbier,duï2t)° ; Dumis, Dannert, du 403».

Retraite de M. le baron BoyensLo baron Beyens, ministre des aflaires' étrangères, surmené par 18 travail conside¬rable aue les devoirs de -sa chaige lui ontimposé, so roit dans la nécessité da prendredu repos, sous peine de compromeitre irré-médiablement sa santé. Eitlmant qua lssinté! éts <iu pays ne lui permettent pts dedemaeder, cans !es circoastances actuelles,le long congé qui lui est nécessaire, le ba¬ren Bsyeu?. a tak pirt a ses collègues de soadésir de se ratarer cla gouvernement, et ilvientde prierS. M. le Roi de iedéehargfrdes hautes fonctions qu'il a occnpées pen¬dant deux ans.Cest avee nn vif sentiment de regret queles membres du gouvernement se sépare-roat d'ancoüègua dont iis appréciaienl iiac-tement ie concours et svec iequel iis entre-tenbient te3 relations les plus ccnfismes etles plas cocrioises. Le pays, qui connait lesservices que réminent diplomate lui a ren¬du? au c urs de sa carrière, lui restera pro-fondément reconnaissant du talent, qu'avecnn dévouemcrit incessant, il a mis ü sonservice pendant la période la plus critiquetie son btstoire.

La réuniondesreprésentantsde la Seiae-Inférieuro

Le mercredi 23 jaiüet, 4 deux hsnres del'apiès-roidi, se sont réunis su Palais-SJour-l>on les sénateurs et deputés de Ia Seine-Inférieure, sous la présidrnca de M. PaulBignon. Etaient présents : MM. Bnndeau etQuesnel, sénateurs ; de Bagnonx, Lavoince,Accel, Bouctot, Nibeile et de Po meren, dé-pntés. M. Morain, préfet de la Seine-Infé-rieure, assistak a la séance.On communique ce procés-verbal:Dès le début, M.Quesael prend la parole et dé-velopps suceessivement les questions suivantes :S° Mobilisation a la terre des agriculteurs Ce laclasse 1893pour lel"octobre; 2» Mobilisationclans leurs professions de specialistes pour lamêmedate; 3° Mobilisation daas leurs profes¬sions civiles de tous les hommes de la classe de1889.Sur la proposition de M. Bouclot, la réunion neprend aucune decision a ce sujei, ia Ghaoibre de-vant abord- r dès ie commencement de la se¬maine prochaine le débat sur le renvoi dédnitlfet la mise en sursis des classes R.A.T. et des di¬verse.» ebsses d'auxiliaircs.M. la préfet fournit slors des renselgnements Ala réunion sur les équipes do soldats francais misa la disposition de l'agriculmre, sur les équipesde prisonniers allemands et aussi sur le con¬cours éventuel de soldats anglais. Ala fin de Iasemaine, il enverra uceleiire, comme il l'a déjifait, a M. Bignou, président du Conseil général,pour bien préciser la situation agricoie du dépar¬tement. G'est sprés la réception de cette leitre quela representation du département examiners quel-les démarches doivent etre faites auprès des pou-voirs publics. M. le préfet ajoule qu'il sera né¬cessaire de faire des démarches pour ohtenir unplus grand combre de spéciaiistes de l'agricul-ture, les efforts feit» jusqu'a ce jour ayant donnépeu de résniiats.M. Bouctot enlretient successivement ia réunionde la question des équipés forestières, des tour-biéres du département et aussi dos engrais néces¬saires a l'sgriculture.M. Ancel indique ensuite qu'il a suivl la ques¬tion de i'eniretien des routes du département, de-puis la derniére réunion du Conseil général.M le préfet confirme les renseignements four-nis par M. Ancel et dit qu'il n'a qu'a se iouerdu concours prêté en ceite circonstance parles autorités militaires francaises, anglaises etbeiges.M. de Pomereu enlretient l'assemblêe de laquestion de Ia maia-d oeuvre dans le canton deDarnétal, et SI. Paul Bignoa dit qu'il est heureuxde remercier les autorités militaires, beiges duconcours empressö qu'elles onl lourai a t'agricui-turo de Farroadissement de Dieppe.L'assemblêe examine ensuite la question du bléet de la frrine. SI. ie préfet Uit que la soudure sefera ditüciioment et que, jusqu'a présent, les res¬sources du département seront insufiisantes pouratteindre le l" septerabre. De ce cöté, il ne fsutpas se lasser d'sviser le ministère du ravitaille-meat.M. Ancel, pour le tiavro, et M.-Nibeile, pourRouen, indiquenl ce qui a été fait pour assurer leravilailieaienl de ces dsux graades eilés.Sur u»e question de M. NiiiRlic, le préfet ré-pond que, malgré quelques dilflcullös premières,fa repartition du sucre se fait dans de bonnesconditions dans ie département.I.e préfet dit encore dans quelles conditionsdoit se faire la réparlition du charbon a partir du1" aoüt prochain. Le préfet sera chargé do la re¬partition aux foyers domestiques, aux établisse-inents municipaux, a ia petite industrie. Les cbam-bres de commerce se cbargeront ds Ia réparlitiona la grande industrie, l'Etat se réservant d'alimen-ter les usises de guerre.Après uno question de M. Lavoinne au sujetdos expeditions partielles de bétaii, le préfetavise l'a-iserablée que le service militaire doschemins de fer a Fintention, non seulemeot desupp-irncr lout tralie sur les chemins de fer dé-partementaux, mais aussi d'enlever le3 rails surces lignes pour les porter daas la zone des ar-mées. M. ie préfet fait voir ie grave dommage quecauserait cello decision aux transports départe-mentaux, ct Lr reunion décida do faire une démar¬che sans letsrd aux travaux publics.Avanl do lever la séance, M. Paul Bignon, aunom de MM. les sénateurs et dépulés du dépar¬tement, remercie M. Ie préfet d'avoir bien vouluse rendre a leur appel et lo remercie du zéie etdu dévouement qu'il apporto a la defense desgrands isterêis départementaux.La séance est ensuite levée.

^onieetlonBCttiriit des paquetiinilitfiircg

Le service des postes nous communiqueCette nole :Le service de Ia poste aux arraêes slgnala queIe nombre des paquets a destination du front par-venant en raauvais état a sensiblement augmentédepuis quelque temps.L'admmistraiion rappe'le au public qu'étantdonnées les conditions spêciales aans lesqueliesfes iransports s'effectuent sur la front, il importsplus quejamais do recourir a des emballages

« solid»» el soignés» pour l'expédition de tousles paquets militaires.Le service de la poste aux armêes sigoale éga-le«ent Fintérêt qu'il y n, pour les expéditeurs. ane pes eavoyer des deorées ou des produits sus-csptibles de se corrompre rapidement sous l'in-tluecce de la chaleur.

Eeoles primairrs aupérlenrciLa distribution des prix aax éièves doFEcole primaire supérieure de jeanes fil'esaura lieu dimanche 29 juillet, 4 9 h. 1/3 dumatin, 8, ruo de Caliguy (Gercle dea Em-playés de Commerce), sous ia présidenca daM Jennequin, adjoint au Maire.La distribution des prix aiix éièves del'Ecole primaire superieure de gargftns auralieu dana le mème local, le luodi 30 juillet,4 9 h. 1/2 dn matin, sous la presidence deM. Gmliaoraot, président de l'Associationdes Anciens fiièves.

Consulat d'EspagncA psrtii' dn Ier ;;oiit prochatn, k-s bureauxdo consulat seront transfërésvard r.

Exposlilssi de Fhotrgrsplileamilifaires beige»

L'Expositlon de photographies militaires, orga¬nise*;, dans les Salons da l'Hóiel de Yiile, au pro-fit des ceuvres frsnco-belges patronnées par IaMaine du Havre, est ouverle „tous les jours aupublic.

FAITS LOCAUX— la police du réseau de l'Etat a procédé hiera trois arreatat ons.D'abord, ceile Q'une jeune fills de 17 arts habi¬tant cher. ses parents, a Gravilte, surprise déro-bant dea m.trchindises dans un wagon oü elieétait moütee, slors que lo train marebsit a uneallure trés ralenlie.Son méfait reeonnu et avoué, ello a été mise èla disposuion du commissairo de police do Gra-ville, qui a dressé procés-verbal.Ensuite, celle de deux vauriens qui tentaientd'emporter une caisse de vins fins aérobée sousIa hal'edes Messsgeries (arrivages-.Aprèxaveux recueillis, ils ont été mis a la dis¬position du commissairo spécial dc la gare duHavre qui les a dóférés au parquet.— Jeudi solr, vers six hctircs, un camion-auto¬mobile anglais conduit psr ie chauffeur Millets,passait rue Beilot, lorsqu'arrivé devant le numé¬ro 2i, le chauffeur n'étünt plus maiire de sa direc¬tion. Ie vt-hicuie monta sur le trottoir, culbutaune borne fontaine ct arracha le lesidelet du cafeLesauvage. Simples dégüls matériels.

G.CflILLfiFtD,CUBÏÏÈIÏÏ-üïliTISTl,17,f53SatisT&ét»

THMTRES_aG05CERTSSquare Saint-RochGraad doneert de elsaritéNous rappclons que le Garcle d'Eiudes Musica-les du Havre se fera a nouveau entecdre demaindimarebe 29 juillet, d trois heures, au SquareSaiat-Roch.M. Van Hoorde, le directeur, s'est assuré loconcours d'artistea tant de fois appréeiés dans no¬ire ville par leur talent et leur dévouement. L'or-cbestre a. de son cöté, préparé des eeuvres degrasd style et entre autres, la 5» syraphoDie enut mineur de Beethoven ; la iifinss macabre, deSaiut-Saëns ; si j'étu's roi, ete.-Ajoutons que la Noce normande enfanline, quia eu nn si grand succès a la kermesse do Saint-Romain, prélera sen concours a cette fète docharité.Des enfanis costumês en Ncrmands quêterontau profit des Orphelins de la Guc-rre.

(Csïbi» Ijelg» de la Sait»-BscelosaneDimaache prochain, è 4 beures de l'aprés-midi,au camn beige de Ia Sous-Bretonne, a Saicte-Adresse, Concert par la mustque des Invalides dola guerro, sous la direction de M. Léon Tancré.Programme. — f. Marche des Darabiniers, avecclatroï» (X...). — 2. Ntufrage de li Misuse, arr.par M.Kreinen. —3. Confidences, gavotte iW' Sly).4. Les Saltimbanques (Gannei. — 5. Marche solen-nelle iWesly). — 6. Faust (Gounodi. — 7. Lesdews Cimnéres (A. Labit), polka pour piston etbugle. Solistes : Maurice Tancré et Guiilauaie Po-laster. — 8. L'Africaine (Meyerbeer|. — 9. TheStar Spangled banner, hymne amöricaia.

Folies -BergèreTonraée Charley. — Ce \eiaard do

BriducheG'est une salade fort bien assaisonnéo que cestrois actes de Ilugues Delorme et Gally.Henry Lamarthelic, pendant Fabsence defemme, renouo uno liaison avec Ia capiteuseGisèle, amie du baron de MMefreid. Le noble des¬cendant des croisés surprend les smoureux etils n'ont que le temps de fuir. Ators s'êbauche taplus abracadabrante histoire qu'il sepuissecoa-cevoir. Bridache se trouve ta pour sauver La-marthelle, m.ais il est obligé de se transformer etde jouer dmérents rö'.es.Cr-ite combinaison do la comédie fait Faffaire del'excellent artiste qu'est Léon Stora. Il devientlepivot de cette fantaisie amusante et cennait unvéritable succès. MM. Benhammer, Marcel, Le-roult, Angéliaune et Gilles recueillent aussi leurEart d'ovations. ainsi que Mmes Louisa Marliny,ili Henne, Fanny Clarget, Leo Sylvine, GillesRsimbault et Marlhe Garthys.La Tournée Charley continue son excellentesérie. ____

Ce soir, 4 8 h. 40, mêmo spectacle.Demain dimanch? : inatinéo 4 2 h. 1/2 ;soiréa 4 8 b. 40.

Thêêtre-Cirque OmniaCinéma ©mnto-l'atiaó

Anjoard'hai samedi, soirée 4 8 h. 1/2,avec : La Larve du dyptiqw, instructif. 8j»L'hiuiaoti dis Feu, en qaatre parties,iaterpretee par Mme Ilobiune. 154VKX-GAR (2o épisofe: Les Boules mysterieuses);Pathé-Journal et Dernières ActuaMcs de laguerre Rigadin persécute par Octaiie. Locationou verte comme d'a age.

Select-Palace 'Le magnifique nrogrammo de cette semainedebute par ua liim documentaire, Les Lapons, d'unvif intérét.Use comédie seatimentalc,Lê Coup dutêlép'wne,a bc5ueoup amuse lo public par oivers incidentssurvoiiartt a deux nouveaux mariés, incidents dontle téléphone est la cause.Vient ensuite une scène comique, Les Amoursde Suzte, composition des plus joy cuses qui obtientun vif succes d'hilarilé.La dauxtóme partie comporiait ua cinémadrameintitulé : Quana les Amandiers refleuriront. Cetteccuvra romarquablo iuterprétée par uue excel¬lente artiste, Mils Karenne, met en scène unecharmante jeune fide qui, ne se trouvant plusd goc de d: venir la femme d'un honnête homrae,prefère se doneer la mort plutót quo de l'épouser.Un cadre merveilleux, de soinptueux decors,donnent a la reproduction de cette pièce toutesa valeur, toute sa beauté.Une trés belie attraction : Buffalo, Ie roi dulasso et de Ia bicyclette, auonné ia preuve qu'ilmeritait bien ces titres. Acrobate fantaisiste. i!execute sur sa bicyclette des exercices véritable-ment prodigieux. Quant au jeu du lasso, il ymontre une adresse sans égale. Aussi, a-l-il ététrés applauij, par le public.Les Dernières Actmlitès de la Guerre, toujour»fort eaptivantes, et une scène comique, LuséneAipin, faniaisie des plus originaies, complétentie programme de la plus egróaüle fagon.

Ce soir a 8 h. 1/2, dsmain, matinée a 3henres, soirée 4 8 h. 1/2: <£<»ai»iS leaAnieutflere reSsnrireat ; Les dernièresAcluahtés de la Guerre, etc. ; AtlraciionBalTnia. Le Roi du Lasso ct de la Bicyclettedanssesjmx amermms.

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<§emmunicaüonsgivsrsesVaccination antlvarioliquo. — Une séancegratuite de VKCCiaiitio*ct revaccination aura lieudiraHüche 29 juillet, a dix h.ures précises, au Bu¬reau d'Hygiène, a l'Hötel de Ville.

Comité de Secours aux Marios et iVavi-gateur» mohitisé» dn 1«' Arrondissementinaiitime. — Les families des navigateurs civiis(inserits marilimes ou non) actuellement mobiii-sé.s, sont iastamment priées de faire conmitred'urgence la si uation et l'adresse militaires deceax ci au aiêge du Comité, l, rue d'Estimauviile,le Havre.Appni Belg:e. —'Les dames de Fappui beigeont ie regret ü'avettir leurs amis du front de l'obii-V-aiion dans iaqu-elii»elles se irouvent do suspen¬se tous leurs services, du i" aoüt au fö sop-tembro. ■*""Il ne sera rêpondu 4 aucune demande arrivantentre oes deux dates ; les t-xi'cdit' iirs devront larenouveier vers le 15 septerabre, 21, ruc Teilbout,a Paris.

Service des Ean.v. — Arrêt d'eau — Pourreparation, ia conduite d'eau do la ruo d'Etretat,sera fermée aujourd'hui ssrn<di, a 10 heures dumatin et pendant quelques heures.— Pour remplacement d'un robinet d'abonné,la conduite d'eau de la rue de Saint-Quentin (en¬tre les rues Racine el Dicquemarej. sera ferméesujourd'bui samedi a 10 heures du matin et pen¬dant quelques heures.

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HarfleurArrestation —Mardi, vers 19 heures 30, la gen¬darmerie a mis en état d'arrestatión. dans laville, ia nommée Jeanne-CSlestine Baiihache,20 ans, sans profession, qui était signalée commese livranl 4 la débaucho. Ede n été conduite auHivre, a la disposition de M. le procureur de laRépubliqtie. AArrestation d'un êoadé. — Le 2S juillet dernier,vérs 5 heures se du matin, un gsrda des établis¬sement.» Schneider a procédé a l'arrestaiion d'unindividu, dont les allures tui avaient parues sus-P6Ct6S.Get individu a déelaré ét re Allemand, se nom-mer Mauriee Stern, figè de 28 ans, ex soidat auS3°d'infanterie de réserve et s'être évadé la veilledu dépót des pri«oaniers de guerre allemands,situé au pont 7.Stern a été remïs aux mains de Ia gendarmeried'Hsrfieur, qui l'a mis 4 la disposition do l'autoritémilitaire.

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DECÉSDu 27 juillet. — Charlotte AUBER, 1 mois 1/1,rue Thieulent, 9 ; Flavien LEMESLE, B3 ans,chaudronnier, rue Victor-Hugo, 92 ; André BAR-BEREAU, 6 mois, rue Regnard, 14 ; Viclor GA¬LAIS, B3 ans, journalier, rue de l'Eglise, 80 ;A bert AU8ERT, 10 mois, rue des viviers, 13;Rschelie BOULVRAI, épouse MAHlEft, 3* ans,journalière.rue d'Eïreia.!,!8,

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M" Célestin DERRËE; H. André LENOIR,actueliemrnt mi fron' et Madame, née DERREE;M. et Léon DERRÉE; tö. Maurice DERRËE;W' Antoinette DERRÉE; F'" Lsure et ThêrèseLENOIR;Md' Cêlina DERRËE,M" IRONDIN,ses Enfantset Pstits Enfants ; M"* Augusts DERRËE. sesEnfants et son Petit Fits ; IR. et M" ConstantJAEUES,tears Enfants et leur Petite-Fitle ; M"Léon DEVY,et sa FHte ;Mn°Cerma'ne NORD/Les Families DERRÉE,C0L30C, POUPEL etDUNEL,les Parents Amis.Ont la douleur do vous faire part de Ia perieenielie qu'ils viennant d'éprouver en ia per-sonae deMonsieur Célestin DERRÉEMidaillè de 1870 71

décéiiö le 2"?juillet. dans sa 71» année, mufiides Sacrements doi'Egiise.Et vous prient de bien voulólr assistera sescouvot, service et inhumstion qui auront lieuie dimsiche 29 juillet, a quatre heures etdemie du soir, cn I'Egiise d'HarCleur.Oa se réuni/a au domicile moriuaire, 64,rue de la République.Le présent avis tiondra lieu do lettrescl'iuvitatiOn. (5396z)

IR et ,#»■ Victor OOURNAY; M[l' ThêrèseCOUP.NAY, la Familie et les Amis,Remercieat lt s personnes qui onl bien vouluBssistfr aux convoi, service et inhumation deMonsieurJacques-René-VlcforSÖURHAY

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Argent ComptantRequê'e du gouvernement britannique.

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AVISDIVERSVISA DES ANNONCESTOUTES les PETITES ANNONCESdoivent porter le visa d'un commissairede police pour les villes, ou du msire,pour les corarqunes.

mardi <m5 a 7 heures, par ouvrierVitrier, U«» Diaaiant.- Pour le

rap&orier, prendre l'adresse au bureau du journal.— Recompense. (5375z)'■',' 1■ " "*■■'•"■1 ■ : ,".aDUimf} samedi soir, de Ia rue du Perrey a larBiyiU rue Fcédérick-Lpmailre, une bou¬ts!® «i'oi-oiiio or. Prendre Fadiesse aubureau du journal. Bonne recompense.

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