PREMIÈRE SÉANCE 2015-2016
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8/20/2019 PREMIÈRE SÉANCE 2015-2016
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La rentrée se présente immédiate, nous ne pouvons pas oublier notre appartenanceà la famille littéraire de l’ATELIER… Vous en souvenez-vous ? Les étés se passentvite, voudrions-nous qu’ils soient éternels ? Nous pourrons allonger l’été en passantpar un automne, et un printemps , et encore un autre été littéraire… Et si onreprenait nos activités… ? il y a tellement des rencontres qui nous attendent…
SERIEZ-VOUS PRÊTS À RECOMMENCER POUR LA ONZIÈME ANNÉE L’AVENTURE DEL’ATELIER… ??
Je vous encourage à le faire, et je me suis mise au travail de récupérer nossouvenirs, de revenir en arrière dans le temps et de regarder dans le futur, voilàpourquoi dans cette première séance je vous propose de :
! Tout d’abord nous raconter nos lectures d’été, pour briser la glace « ardente »de notre première séance… Qu’avez-vous lu ? dans quelle langue ?
! Ensuite, ce serait bien de pouvoir élaborer un programme des lectures. jevous avais avancé un pré-programme , c’est à partir de celui-ci que je vaisvous copier l’extrait des titres possibles à choisir. Ce seraient les « incipits »mot littéraire que j’ai appris cet été… pour faire le programme ENTRE TOUS.Je vous en expliquerai plus de chaque titre de vive voix.
• Ces deux premiers titres étaient proposés à lire cet été…- *Pas pleurer (Lydie Salvaire) (Prix Goncourt 2014)
Au nom du Père du Fils et du Saint Es prit, monseigneur l’évêque de Palma
désigne aux justiciers, d’une main vénérable où luit l’anneau pastoral, lapoitrine des mauvais pauvres. On est en Espagne, en 1936 …
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- *L’amour dure trois ans (Fréderic
Beigbeder)
L’amour est un combat perdu d’avance. Au début tout est beau, même vous. Vousn’en revenez pas d’être aussi amoureux.
Chaque jour apporte sa légère cargaisonde miracles. Personne sur Terre n’a jamais connu autant de plaisir. Lebonheur existe, et il est simple : c’est unvisage. L’univers sourit…
PRE-PROGRAMME
- Charlotte (David Foenkinos) (L’auteur vient àL’IF, le 12 novembre)
Charlotte a appris à lire son prénom su unetombe . Elle n’est donc pas la premièreCharlotte, Il y eut d’abord sa tante, la sœur de sa mère. Les deux sœurs sont trèsunies, jusqu’à un soir de novembre 1913…
- Les biens de ce monde (Irène Nemirovsky)
Ils étaient ensemble, ils étaient heureux. La famille vigilante se glissait entre eux etles séparait avec une implacable douceur, mais le jeune homme et la jeune fillesavaient qu’ils étaient proches l’un de l’autre ; le reste s’effaçait. C’était un soird’automne, au bord de la Manche, au commencement de ce siècle…
-
Nos plus beaux jours (Moha Souag , Prix Grand Atlas 2014 )La vieille gare de Casablanca, bien assise sur les souvenirs éculés de ses années defaste, débordait de dizaines de fonctionnaires attendant la navette et leur bureau deRabat. Pendant les heures de grande affluence, les voyageurs patientent sur la placede la Gare et surveillent, beaucoup plus par habitude que pour connaître l’heureprécise immuable.
- Le voyage d’Octavio (Miguel Bonnefoy, jeune écrivain de nationalitévénézuélienne.. )Dans le port de La Guaira, le 20 août1908, un bateau en provenance de La Trinidad
jeta l’ancre sur les côtes vénézuéliennes sans soupçonner qu’il y jetait aussi unepeste qui devait mettre un demi-siècle à quitter le pays. Les premiers cas seprésentèrent sur le littoral, parmi les vendeurs de pagres et les marchands decochenille. Puis suivirent les mendiants et les marins qui, aux portes des églisescomme aux portes des tavernes, éloignaient à force de prières les misères et lesnaufrages. …
- Traité sur la Tolérance (Voltaire, petit livre philosophique, 131 pages)
Le meurtre de Calas, commis dans Toulouse avec la glaive de la justice, le 9 mars1762, est un des plus singuliers événements qui méritent l’attention ee notre âge et
de la postérité. On oublie bientôt cette foule de morts qui a péri dans des bataillessans nombre, … )
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- Mersault, contre-enquête (Kamel Daoud, premier roman de cet écrivain
algérien)
Aujourd’hui, M`ma est encore vivante. Elle ne dit plus rien, mais elle pourraitraconter bien des choses. Contrairement à moi, qui à force de ressasser cettehistoire, ne m’en souviens presque plus. Je veux dire que c’est une histoire qui
remonte à plus d’un demi-siècle..- Les tribulations du dernier Sijilmassi (Fouad Laroui. 4ème des couvertures :
« comment abattre les murs que l’ignorance et l’obscurantisme érigent entre lescivilisations ?)Un jour, alors qu’il se trouvait à trente mille pieds d’altitude, Adama Sijilmassi seposa soudain cette question :Qu’est-ce que je fais ici ?Ce n’est pas qu’il volait de ses propres ailes, comme un oiseau : il était en faitrencogné dans le siège 9A d’un avion de ligne peint aux couleurs de la Luftansa. ….
-
La condition humaine (Malraux ; un classique, l’édition de mon exemplairedate de 1983, chez Folio ; Prix Goncourt 1933)
Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ? L’angoisse luitordait l’estomac, il connaissait sa propre fermeté, mais n’était capable, en cetinstant, que d’y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche quitombait du plafond sur un corps moins visible qu’une ombre, et d’où sortaitseulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même _ de la chaird’homme
- La fête de l’insignifiance (Milan Kundera, 2013)
C’était le mois de juin, le soleil du matin sortait des nuages et Alain passait lentementpar une rue parisienne. Il observait les jeunes filles qui, toutes, montraient leurnombril dénudé entre le pantalon ceinturé très bas et le tee-shirt coupé très court. Ilétai captivé, captivé et même troublé : comme si leur…
- Guerres d’une vie ordinaire (Lamia Berrada-Berca ; c’est son dernier livre,
Edition duSirocco, 2015)
C’est simple, depuis des nuits je rêve que je cherche une femme.Une grande.Brune.
Et coriace face à la vie.Depuis plusieurs mois déjà je fais la razzia dans la boutique d’Ali.
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Voici la distribution : il y a 27
chroniques
CE QUI NOUS SOMME / 100%
auteurs• Javier : L’attentat contre Charlie
Hebdo/ Un sésame pour exclure• Carmelo : Salam, Shalon / La nouvelle
absurde Babel• Fco. Javier Galán : Savoir vivre
ensemble/ Solitude de l’intellectuel deculture musulmane / L’Islam et lesdeux France
• Juan : La primauté de la personne
/L’autre et nous / Pour que tucontinues à espérer
• Paqui : Retrouver les socle des valeursuniverselles / Combattre l’indifférence /Vivre-ensemble
• Teresa : Les iconophobes de l’Islam /Marralech vs Charlie
• Irene : Mon Français n’est plus le
vôtre/ À tort et à travers
• Natalia : Le terrorisme est aussi unecaricature !/La foi à l’épreuve de laprovocation et du fanatisme
• Carolina : La France et ses sarrasins /Ces France qui viennent
• Nieves : Éloges des identités
transitoires/ Si c’est vraiment ça,l’humain.
• Inma : Mohamed peut-il être français ? / Si tout était pardonné /Le pire desamalgames
• ** Il me reste 4 chroniques à
distribuer. J’en prends une… et commeCarmelo en avait déjà fait une … J’endonne une à FRCO JAVIER, une autreà JUAN et une autre à PAQUI OK ????
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AUTEURS 1OO%
(à ce livre lui manque un index
(índice) mais ce n’est pas grave)
En fait il y a 17 récits… mais nous
avons déjà lu celui de A. Baïda…
même si on n’a pas pu encore ledéchiffrer…. Je laisse à quelqu’un
d’entre vous d’apporter ses
révélations…
• Javier : À l’enfant qui va naître /Combien de temps ?
• Carmelo : Et Ito fleurit / Ode au lapinblanc d’Alice
• Fco. Javier Galán : L’indelicatesse deMme. Colmate / La dette
• Juan : Un jeune homme (très)ambitieux /Un écrivain talentueux
• Paqui : Rose épanouie
• Teresa : Le cantique des mots• Irene. La robe blanche• Natalia : Rabat-joie• Carolina : La chouette• Nieves : Safia• Inma : Un Au revoir / La collégienne
d’ailleurs