Leads generation - Seventic - Agence marketing digital B2B
Transcript of Leads generation - Seventic - Agence marketing digital B2B
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Le boom de l’Internet mobile s’observe et s’expérimente
tous les jours. Le téléphone mobile a changé profondément
la façon dont on se relie au web. Véritable extension de
nous-mêmes, ce couteau suisse des temps modernes nous
connecte au monde. Un mobinaute français passe en
moyenne 33 minutes par jour sur Internet. Il consulte en
moyenne 15 applications et visite 49 sites (Médiamétrie –
avril 2017).
Le secteur du mobile connecté va exploser dans les
années à venir. C’est la raison pour laquelle il est un
choix d’avenir chez Bfast. Jusqu’à présent, les applis
étaient bien souvent l’extension de ce qu’il y a sur le web.
Demain, nous allons avoir des concepts uniquement
mobiles. On les voit d’ailleurs déjà commencer à apparaître.
Aussi, il y a tout à repenser ! Cette mutation est plus forte
encore que celle de l’intelligence artificielle qui va
également arriver dans les apps.
Société française à capitaux français, Bfast veut
révolutionner ce marché. Pour ce faire, nous associons des
ressources techniquement très fortes et expérimentées
avec des prix raisonnables. Notre équipe est chaque jour
animée par un souci d’exigence et une volonté de
performance au service du client. Misant sur l’agilité,
l’innovation et l’efficacité, nous offrons un service à 360
degrés qui évite à nos clients de tomber dans les nombreux
pièges des apps mobiles.
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1. Penser avoir « l’idée du siècle » sans recherches
2. Mal déterminer sa cible
3. Un business plan peu poussé
4. Ne pas avoir de valeur ajoutée
5. Partir de zéro
6. Considérer une seule plateforme
7. Avoir omis le choix du parcours utilisateur
8. Oublier de s’interconnecter avec les autres applications
9. Être convaincu d’avoir le temps
10. Envisager qu’après la mise sur les stores c’est terminé
Nombreux sont ceux qui croient avoir trouvé la meilleure idée d’application mobile. Ils pensent
avoir en tête l’app que personne n’a jamais imaginé, celle à la fois unique, inédite et absolument
originale. Ils se disent : « j’ai une méga idée génialissime qui va révolutionner le monde ! ». Ils
sont persuadés d’avoir la solution mobile totalement innovante et irrésistible, celle que tout le
monde va s’arracher parce que chacun en a besoin et l’attend depuis trop longtemps. De plus, ce
n’est pas tout d’avoir la meilleure idée de toutes les idées d’app. Il faut encore qu’elle soit
réalisable ! En matière de développement, les possibilités sont nombreuses, voire très
nombreuses, mais pas illimitées. Une bonne idée est aussi une idée faisable techniquement dans
l’état actuel des connaissances.
a. Faire le tour de toutes les applications pour vérifier si elle existe déjà
Pour savoir si c’est vraiment l’idée du siècle, il faut commencer par vérifier que personne ne l’a
jamais eu avant. Il faut donc checker toutes les applis existantes à la recherche d’une solution
semblable. Si elle est déjà dans un store, elle perd de son intérêt, forcément. L’idée de génie n’est
plus si unique et novatrice que cela. Il est intéressant de regarder régulièrement les dernières
nouveautés en matière d’applications, comme la liste que propose Google Play.
b. Si elles existent déjà en national, peut-être proposer en local
Lorsqu’une idée a déjà été trouvée par un autre, plutôt que de la jeter instantanément, il peut être
possible de la garder en cherchant à se démarquer. Ne peut-elle pas être déclinée
géographiquement ? Une application mobile nationale peut être mise au point à une échelle
locale et inversement. Si elle est très utilisée au niveau national, sa transposition locale peut être
très porteuse. Et voilà, une belle façon de rebondir en mettant en avant l’identité spécifique du
territoire concerné ! L’application mobile Inside + développée par Bfast pour le groupe Canal +
permet de scanner un QR Code depuis son smartphone sur sa télévision. Grâce à cette
application, Canal + emmagasine des datas sur l’historique des films et séries visionnées
répondant ainsi à une problématique d’information sur le marché Africain. Les utilisateurs de
Canal + résidants en Afrique (ce qui représente un panel de départ de 10 000 personnes),
gagnent quant à eux, 1 mois offert sur leur abonnement. L’application réponds donc bien à une
problématique liée à la géographie !
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Pour qu’une application mobile fonctionne, il faut avoir bien défini à qui elle s’adresse.
Qui vont être les clients de l’appli ? Quels sont leurs profils sociologiques, économiques,
démographiques, etc… ?
Le mieux, c’est de se glisser dans la peau de ceux à qui l’on s’adresse. Ainsi, on perçoit mieux
leurs besoins, leurs attentes, leurs aspirations, leurs contraintes, … Par exemple, les
utilisateurs diffèrent selon les catégories d’apps (codeur.com) :
28%
72%
SPORT
Femmes Hommes
46%54%
DIVERTISSEMENT
Femmes Hommes
45%
55%
ACTUALITÉ
Femmes Hommes
51%49%
JEU
Femmes Hommes
a. Interne / externe
Avant toute chose, il faut définir s’il s’agit d’une application interne à l’entreprise ou ouverte au
public. Le nombre d’utilisateurs en sera bien différent, de même que son développement, ses
fonctionnalités, etc... Lorsqu’une personne qui souhaite créer une appli commence à détailler son
projet, c’est un point important (trop souvent oublié) à noter. Nous avons réalisé une app interne
pour l’entreprise spécialisée dans le désamiantage et le déplombage, Remove France. Exploitée
par 80 utilisateurs (salariés et externes), elle a pour but d’optimiser la gestion des chantiers en
stimulant la productivité et maximisant la sécurité.
b. BtoB / BtoC
Une appli mobile B2B ou B2C est
fondamentalement différente. Les
processus décisionnels, les intérêts, les
exigences, les ambitions, etc… d’une
clientèle professionnelle n’ont rien de
commun avec ceux d’une clientèle de
particuliers. Aussi il faut définir dès le
départ d’un projet d’appli, si elle
s’adresse aux clients particuliers ou aux
entreprises. Parmi nos derniers projets,
nous avons développé une application
spéciale BtoB dénommée My Clic CHR
qui propose de la vente de mobiliers à
destination des cafés, hôtels et
restaurants. Toujours en B2B, le Centre
de Diffusion de l’Édition nous a confié le
développement de son appli mobile
destinée aux libraires. En BtoC, nous
pouvons citer le développement de l’app
d’Audi Corée pour présenter et annoncer
la sortie de l’Audi R8. Outre un site et
une appli web, nous avons également
réalisé pour l’Institut Curie une app
mobile dans le cadre de sa campagne
de dons « Une Jonquille pour Curie »
permettant aux utilisateurs de suivre leur
activité physique.
c. Cœur de cible
Une application n’est performante que si
son cœur de cible est correctement
déterminé. Dans le cas contraire, il va être
difficile de mettre dans le mille ! Il faut
spécifier sa clientèle type, celle qui
préférentiellement adoptera l’app. Ces
cibles doivent être décrites avec le plus de
minutie possible pour pouvoir servir d’outil à
la création de l’appli mobile. Il s’agit de
donner le maximum de caractéristiques :
catégories socioprofessionnelles, tranches
d’âge, sexe, … Par exemple, l’utilisateur-
type d’une appli mobile de sport est un
homme de 37 ans qui passe 20 min par jour
sur l’app, alors que celui d’une appli de jeu
est une femme de 38 ans qui l’utilise 60 min
par jour (selon Google).
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d. Marché
Lors de la mise en route d’un projet d’application mobile, il faut se demander si le marché est
porteur. Les apps de jeu, de divertissement, d’actualité et de sport sont utilisées par les deux tiers
des mobinautes, d’après le blog de Codeur. Les marchés saturés ou en décroissance peuvent
néanmoins être abordés. Mais il faut être conscient des difficultés à venir et se préparer à une
concurrence plus féroce qu’ailleurs. L’essentiel est de savoir où on met les pieds.
e. Étude de marché auprès de sa cible
Pour être sûr de faire mouche, le mieux est de réaliser une étude de marché. Cette étape
indispensable est la seule garantie d’une appli mobile parfaitement adaptée à sa cible. Elle
permet de vérifier que l’app corresponde réellement aux aspirations des consommateurs et
qu’elle dispose d’un marché pouvant offrir suffisamment de rentabilité. Pour réaliser une bonne
étude de marché, il faut procéder à l’étude du marché visé, de la demande et de l’offre ainsi que
de son environnement (dans les aspects réglementaires, technologiques, sociaux, politiques, ...).
À partir de données statistiques, d’études et d’enquêtes, elle aboutit à l’élaboration d’un rapport
complet.
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Pour qu’une app réussisse, il est impératif de travailler son business plan (ou plan d’affaires).
Croire qu’il suffit d‘avoir une simple idée et c’est le jackpot est une erreur. Le plan d’affaires est
une réflexion préalable indispensable au développement d’une application. Il doit répondre
et étayer une question centrale : Comment va-t-elle générer des revenus ? Pour le construire, il
est nécessaire de partir de l'étude de marché et d’y adjoindre d’autres éléments, tels que la
stratégie commerciale, les moyens à mettre en œuvre et les prévisions financières. Il doit apporter
tous les éléments chiffrés permettant de réaliser le projet.
a. Comment l’application va
vous faire gagner de l’argent
(monétisation)
Il existe différentes façons de parvenir à
générer des revenus avec une appli. Ils
dépendent, et de l’activité du concepteur et
de ses choix. Une appli mobile peut, par
exemple, automatiser certaines tâches (telle
que la prise de rendez-vous d’un
professionnel de la santé) réduisant ainsi
les charges. Elle peut aussi être vendue,
intégrer des publicités, développer un m-
commerce, etc… C’est le business plan, au
regard de l’étude de marché, qui fournit la
meilleure réponse de monétisation. Le
Journal du Net a établi un classement des
applis les plus rentables de 2017 sur
Android en France. Le top 5 comprend
Clash Royale, Dragon Ball Z Dokkan Battle,
Summoners War, Clash of Clans et Candy
Crush Saga.
b. Publicité dans l’application
Pour générer des recettes, il est possible
d’intégrer des publicités dans une
application mobile. Ainsi, il s’agit de
proposer à des entreprises de communiquer
in-app. Différents types de pub existent : la
bannière qui s’affiche en bas ou en haut de
l’écran, la native advertising directement
intégrée au contenu, la notification de pub,
la contrepartie permettant à l’utilisateur de
gagner un bénéfice, l’interstitiel qui s’affiche
à l’écran à certains moments comme une
coupure pub, etc… Pour en maximiser les
retombées tant pour le propriétaire de l’appli
que pour l’annonceur, le choix du type de
publicité in-app est fondamental.
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c. Achat de l’application sur les stores / version gratuite ou premium
Les applications mobiles sont soit gratuites, soit payantes, soit freemium. Une appli freemium est gratuite
à télécharger et donne accès à certaines fonctionnalités. Puis, un espace premium peut être proposé contre
paiement, généralement de quelques euros. Il donne alors accès à des fonctionnalités plus poussées ou
permet une plus importante utilisation (par exemple, pour avoir davantage de jeux, de traductions, … ou
avoir accès à des contenus spécifiques, des bonus, …). Dernière tendance du secteur, ce type d’appli est
plutôt prisé parce qu’il permet aux utilisateurs de tester l’appli avant d’avoir à débourser le moindre euro.
d. Achat in-app
Après l’explosion du e-commerce, on observe une rapide expansion de son petit frère, le
m-commerce. Avec le développement du smartphone, les consommateurs achètent de plus en plus
depuis leur mobile. Aussi c’est une orientation prise par de nombreuses marques. Les achats in-app sont
plus fréquents sur le segment des 18-34 ans (comScore - 2017) : 23 % ont réalisés au moins 12 achats in-
app au cours de leur vie et 23 % en ont réalisés entre 5 et 11. Par contre, les 55 ans et plus sont seulement
2% à avoir acheté 12 fois et 3 % à avoir acheté entre 5 et 11 fois in-app.
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Il existe de très nombreuses applications mobiles en vente sur les stores. La concurrence est
rude ! Quel que soit le projet, il faut qu’il se distingue de ce qui existe déjà. Pour que son
appli cartonne, il est donc nécessaire de faire mieux et/ou plus que les autres. Autrement dit, il
faut offrir une valeur ajoutée capable de convaincre les consommateurs. Ils doivent la trouver
performante, originale et pertinente. Son usage doit représenter un réel bénéfice qui va satisfaire
durablement chaque utilisateur. Par exemple, l’appli MS Yachts permet aux propriétaires de yacht
de gérer en quelques clics la mise en location de leur bateau. Ils ont accès directement sur l’appli
à toutes les informations et documents concernant les locations ainsi que les statistiques
nécessaires. Un gain de temps et d’efficacité caractérise cette app !
a. Quel est votre facteur de
différenciation ?
Une analyse de la concurrence permet de
développer une app qui se distingue des
autres. Qu’est-ce que les applis existantes
ne font pas ou font mal au regard de la
cible ? La connaissance que l’on peut avoir
de ce qui existe, de son marché, des
besoins et attentes des consommateurs est
fondamentale. Le design, l’ergonomie, la
simplicité d’utilisation, … sont à optimiser
pour toucher juste.
Certaines fonctionnalités sont également
très prisées des utilisateurs : liens sociaux,
notifications push, musique, service client,
recherche, réductions, ... Par exemple, un
service de chat peut représenter un
excellent facteur de différenciation.
b. Pourquoi les utilisateurs vont
télécharger votre application ?
L’important est que l’application mobile soit
attractive pour les consommateurs. Par
exemple, lorsque l’on cherche une
application pour convertir une monnaie, il y
en a au moins 60. Il faut donc savoir se
différencier en offrant ce que les autres
n’ont pas. Les mobinautes vont télécharger
une app parce qu’elle répond à un besoin,
qu’elle est recommandée (par son
promoteur, une connaissance, une publicité,
un store, un blog, …), qu’elle est bien
placée dans les moteurs de recherche, …
De plus, il est nécessaire de convaincre
également les utilisateurs à l’usage. Selon
une infographie de StarDust (2017), 26 %
des applis téléchargées sont
abandonnées dès la première utilisation
et 58 % dans les 30 jours suivants. Le
défi de la rétention est également central !
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Lorsque l’on a une idée, la tentation est de se lancer rapidement. Par crainte de voir quelqu’un
d’autre avoir la même idée et par envie de voir son idée devenir réalité, on peut être tenté de
partir trop vite en démarrant de zéro. Mais il ne faut pas brûler les étapes. L’étude d’opportunité,
de faisabilité, le cahier des charges, etc. sont autant de documents et de cheminements
indispensables. L’idée ne se suffit pas. Il faut bâtir un projet solidement et de façon réfléchie
pour réussir.
a. À quel niveau de l’application
vous êtes
Pour créer une application mobile, il faut
partir de quelque chose de consistant : un
cahier des charges, une étude
d’opportunité, un business plan, … Aussi il
faut élaborer ces documents d’analyse
nécessaires au succès de l’appli.
Chez Bfast, nous réalisons un
accompagnement personnalisé de
chaque projet d’appli mobile.
Il peut se scinder en 6 étapes clés de
l’analyse du projet de développement à sa
mise en ligne. Ainsi tous les stades
d’avancement de projet d’app sont pris en
charge !
b. Ne pas sous-estimer le temps
de réflexion
L’idée n’est que l’étape initiale d’un bon
projet d’appli mobile. Mais il faut la
développer en se donnant un temps
suffisant pour y réfléchir. Partir bille en tête
dans le développement de l’appli sans une
phase de réflexion est une erreur. Il est
nécessaire de se questionner, d’interroger
des connaissances et de remettre en cause
certains points de vue de départ. En matière
d’appli, il est aussi recommandé d’en tester
plusieurs : celles qui sont comparables
comme les dernières nouveautés. Au fur et
à mesure, des éléments objectifs doivent
permettre de faire passer l’idée à l’état de
projet.
c. Se poser les bonnes questions et les détailler : cela vous fera gagner
de l’argent (entre autres)
Dès le départ, il est nécessaire de chercher à formaliser son idée. De nombreuses questions
doivent trouver des réponses, les plus détaillées possibles. À qui s’adresse l’appli ? À quels
besoins répond-elle ? Qu’est-ce qui la différencie des autres apps existantes ? Comment la
monétiser ? Où la distribuer ? Etc. En écrivant les réponses à toutes les questions, il est possible
de mettre en avant des incohérences ou des imprécisions qui ne seraient pas perceptibles sans
formalisation. Et au final, il faut bien reconnaître qu’un projet bien ficelé est un projet rentable !
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Trop souvent les porteurs de projet d’appli ont une plateforme en tête. Ils sont tentés de mettre
leur appli soit sur l'AppStore (pour smartphones iOS), soit sur Google Play (pour Android). Or, ne
pas déposer son app sur les deux principales plateformes revient à se couper de nombreux
consommateurs. Si on privilégie iOS, on ne va pas toucher les détenteurs de smartphone Android
qui sont pourtant les plus nombreux. Cependant, dans quelques cas particuliers, une seule
plateforme sera suffisante. Par exemple, l’application interne développée pour Remove France
n’est disponible que sur Android parce que les smartphones des salariés utilisateurs disposent
tous ce système d’exploitation.
a. Les applications mobiles iOS ne sont pas forcément compatibles
avec Android
Un novice ne le sait pas nécessairement, mais, une application mobile Android ne peut pas
forcément être installée sur un iPhone, et inversement. Il faut savoir que iOS est le système
d’exploitation destiné aux supports de la firme Apple : iPhone et iPad, alors qu’Android qui est
développé par Google est présent sur la quasi-totalité des autres marques de smartphones. Les
différences de rendu entre les 2 systèmes peuvent être minimes, mais parfois elles sont très
gênantes (un bouton qui disparait, une image qui n’est plus responsive, …). L’étape de recettage
qui est réalisée lors du développement d’une app permet notamment de s’assurer de la pleine
compatibilité d’une appli sur les deux types de système d’exploitation.
b. Créer deux applications ?
Pour être utilisable par un maximum de personnes, il faut que l’application
mobile soit téléchargeable sur un smartphone Android, comme un iPhone.
Pour autant, il n’est pas forcément nécessaire de créer deux applis. La même app (avec le même
code source) peut s’utiliser sur les deux modèles de mobiles avec un rendu quelque peu différent,
seulement, elle devra soit :
• Comporter des éléments simples et « standards » (ex : tableaux, images, …) ;
• Utiliser d’autres programmes où vous n’aurez pas la main et rendant ainsi la modification plus
compliquée (ex : Unity pour les jeux).
Pour le reste, il est préférable de créer deux applications, c’est comme si vous tentiez d’utiliser un
jeu pour Playstation sur Xbox !
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c. Utiliser combien de plateformes ?
Pour toucher un maximum de consommateurs, il est fondamental de viser les deux plateformes
principales, à savoir l'AppStore d'Apple pour iOS et Google Play pour Android. La troisième
plateforme existante, Windows Mobile (ou Windows Phone, Windows 10), peut quant à elle être
mise de côté. Elle représente un intérêt bien plus limité. L’étude de marché qui est réalisée pour
l’appli doit confirmer ce choix stratégique majeur en matière de plateformes. Si les utilisateurs
potentiels de l’app disposent d’un iPhone ou d’un Android, comme c’est le plus souvent le cas, les
deux principales plateformes sont à investir.
d. Quels pièges à éviter pour les différentes plateformes ?
iOS est pour sa part très regardant sur les éléments de validation, mettant à mal, de temps à
autre, la sortie des applications en temps et en heure. Android quant à lui est plutôt vaste sur ses
demandes, ce qui rend parfois les applications non fonctionnelles lors de la mise sur les stores. Il
faut donc se tourner vers un professionnel dédié à ces sujets.
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Le créateur de l’appli mobile n’est pas un utilisateur lambda. Autrement dit, il n’est pas forcément
la personne la mieux placée pour se mettre à la place d’un utilisateur-type de son application.
Pour correctement visualiser le parcours utilisateur, il faut arriver à dépasser ses propres envies
et ses propres besoins. Un parcours utilisateur optimisé assure un usage récurrent de
l’appli, un bon niveau de recommandation et, au final, son succès.
a. UI/UX
Pour optimiser le parcours utilisateur, il
faut parfaitement maîtriser l’UI/UX. L’UI,
c’est l’interface utilisateur (User
Interface) qui, pour faire bref, représente
le rendu visuel des différents éléments
que compose une appli (textes, icônes,
mises en page, images, …). L’UX
représente l’expérience utilisateur (User
eXperience), soit la façon dont
l’utilisateur navigue dans l’app.
Un designer UI/UX est le professionnel
qui va maximiser les deux aspects. Il est
capable d’avoir le recul nécessaire pour
se mettre dans la peau d’un utilisateur
ordinaire. Son but est d’offrir toutes les
qualités fondamentales d’une appli que
recherche tout utilisateur.
b. Facilité d’usage
Il faut que l’appli soit simple, jolie et facile d’usage. Elle doit pouvoir être prise en main
instantanément par tout mobinaute sans aucune compétence. La facilité d’usage est un critère
capital pour fidéliser les utilisateurs. Les consommateurs sont devenus extrêmement zappeurs. Si
l’appli ne leur correspond pas, si elle est trop complexe, ils en utiliseront une autre. Les
utilisateurs de l’application mobile doivent comprendre instantanément comment s’en servir et
naviguer aisément.
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c. Tourné vers l’utilisateur (et non vers ses propres envies)
Souvent, le créateur de l’appli a en tête de très nombreuses fonctionnalités (géolocalisation, m-
commerce, notifications push, GPS, …) à ajouter à son app. Mais en approfondissant le projet,
bien souvent, on se rend compte que seules quatre d’entre elles sont vraiment profitables à un
utilisateur ordinaire. Trop de fonctionnalités n’offrent pas nécessairement une application
complète, mais tendent à perdre le client. C’est pourquoi il faut se mettre dans la peau d’un
utilisateur type en ayant clairement défini son cœur de cible. Eh oui, tout se tient !
d. Intuitif
L’UI/UX doit être optimisé pour que l’app plaise aux utilisateurs. Ils doivent l’utiliser facilement
avec fluidité. L’usage de l’appli mobile ne doit pas les bloquer ou les mettre en difficulté. D’instinct,
chaque utilisateur doit trouver les fonctionnalités qu’il recherche et naviguer sans peine. Une appli
ne doit pas nécessiter un mode d’emploi ! Les cibles tactiles doivent être immédiatement
identifiables, parfaitement visibles et facilement cliquables. Il faut aussi concevoir le texte pour
une lecture sur écran de smartphone. Etc. … Tout doit être parfaitement étudié pour être des plus
intuitif.
e. Ergonomique
Dès le départ du projet d’appli, des visuels d’interface permettent d’avoir une bonne idée de
l’ergonomie. Celle-ci est utile à la rapide prise en main des mobinautes. Il faut avoir en tête la
façon dont les individus utilisent un smartphone. Quelle va être la position des mains des
utilisateurs ? Quel usage du clavier va être fait ? La taille des zones cliquables est aussi
fondamentale, comme la lisibilité du texte. Il faut jouer astucieusement avec les couleurs, les
polices, les images, les pictogrammes, … pour un design harmonieux, comme l’explique très bien
cet article Yeeply. Tous ces éléments sont à maîtriser pour optimiser l’ergonomie d’une appli.
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Il ne faut pas penser de façon isolée à une appli mobile. Le smartphone où elle est installée est
devenu un compagnon indispensable à chacun. Il sert en toute occasion à d’innombrables usages
(s’informer, se divertir, acheter, apprendre, …), mais avant toute chose, il est un canal de
communication. Aussi, une app doit être contextualisée au regard de son environnement et des
possibilités offertes par le mobile et le web. Sans interconnexion, elle perd de son intérêt pour
l’utilisateur, ne peut se développer normalement et ne va pas toucher sa cible convenablement.
a. Tous les réseaux sociaux (aimer, partager, …)
L’utilisateur d’une app doit pouvoir se rediriger vers son profil Facebook comme Google. Ainsi il a
la possibilité de liker et de partager sur les autres sites web sur lesquels il a un compte. Cela en
devient alors un outil de promotion de l’application. On peut toujours bénéficier de plus d’intérêt
de la communauté des utilisateurs de l’appli. Au final, c’est un excellent levier pour faire connaître
l’app et gagner davantage de parts de marché. Par exemple, l’app mobile que nous avons
réalisée dans le cadre de la campagne « Une Jonquille pour Curie » permet aux utilisateurs de
partager leur activité physique sur les réseaux sociaux et même de défier leurs amis.
b. Sans un processus trop long
de connexion
Si la connexion est trop longue et complexe,
l’utilisateur va fermer l’appli et en chercher une autre.
Le formulaire d’inscription, comme le temps de
connexion, doivent être optimisés. L’inscription est-
elle indispensable ? Vaut-il mieux offrir une connexion
par e-mail ou compte social ? En tout état de cause, il
faut que ça aille vite ! Pour 72,7 % des utilisateurs, la
lenteur d’une app représente le premier facteur de
désinstallation, selon le Baromètre des usages
mobiles 2017 réalisé par Open Gobal. Le mobinaute
n’a pas le temps d’attendre. Sinon, il zappe. C’est l’un
des enjeux centraux d’une appli qui peut être
rapidement mise à la corbeille dès la première
connexion.
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Lorsque l’on ne connaît pas la technique, on peut être tenté de croire qu’une application mobile se
développe rapidement. Combien d’appels téléphoniques recevons-nous demandant un
développement d’appli dans un ou deux mois ! Or, ce processus demande du temps pour que le
projet réussisse pleinement. De nombreuses étapes sont nécessaires en plus du développement
technique à proprement parler. Il faut prévoir plusieurs mois pour la création d’une bonne appli.
Prévoir une marge de manœuvre
L’important lorsque l’on a un projet d’application mobile est d’anticiper. Lorsqu’une idée émerge, il
faut immédiatement se rapprocher de ses développeurs pour connaître le temps nécessaire. Il
varie selon le type d’application et ses fonctionnalités. C’est pour cela que Bfast a mis en place un
processus de validation avant devis, votre projet est étudié avec le commercial, l’avant-vente, les
responsables de pôles et vous-même. Par exemple, pour une app de type Uber, il faut compter au
minimum sur un délai de trois mois et demi. L’essentiel est de ne pas préjuger d’un délai lorsque
l’on n’est pas spécialiste, il faut interroger les pros ! Un rétro-planning peut être défini pour que
l’appli sorte au moment voulu, comme par exemple pour les fêtes de fin d’année ou au moment
du lancement d’un produit (tel que l’application que nous avons développée pour Josh&Noa qui
surfe sur la vague des cigarettes électroniques).
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Une fois que l’appli est sur les stores, il est faux de croire qu’elle va se vendre toute seule et qu’il
n’y a plus rien à faire. Il n’est pas encore temps de se tourner les pouces. Les débuts de l’appli
après son lancement sont cruciaux. Comme on l’a déjà précisé, plus du quart des apps sont
mises au rebut après la première connexion. Aussi, il faut être présent, à l’écoute et pro-actif. Il y
a toujours une partie d’optimisation et de gestion après le lancement d’une appli.
a. Faire la promotion de l’application
Pour inciter les mobinautes à télécharger l’appli, il faut veiller à sa bonne promotion. Sur les
réseaux sociaux, les sites web, les blogs, via les médias, …, une campagne doit être déclinée.
Selon le porteur de l’appli, son activité, ses cibles, son budget, …, les canaux de communication
seront différents. Il faut savoir que les principaux critères de choix d’une app sont le bouche-à-
oreille (54,6 %), les commentaires sur les stores (50,2 %), puis la mise en avant sur les
plateformes (20,1 %) et la publicité (12,6 %), selon le Baromètre des usages mobiles 2017.
b. Prévoir un support pour la
maintenance
Après le lancement de l’appli, il faut veiller à
offrir aux utilisateurs un support pour
d’éventuels défauts de fonctionnement de
l’application mobile. Il faut savoir aussi que
des facteurs externes à l’app peuvent interférer
avec ses performances. Ainsi des mises à jour
de système d’exploitation, des modifications
dans le cloud ou autres sont capables de
perturber une appli. Par exemple, la mise à
niveau d’Android peut faire exploser le taux de
bugs de l’application. Un service de
maintenance peut s’assurer du bon
fonctionnement et éventuellement procéder
aux derniers ajustements pour maximiser les
retombées de l’app. Bfast met bien
évidemment tout son savoir-faire pour vous
épauler jusqu’au bout de vos besoins !
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Au final, il ne faut pas oublier que le secret d’une
bonne appli mobile réside dans ce qu’elle va
permettre de faire à l’utilisateur final. Et aussi
dans son marketing que dans sa technicité. Elle
doit à la fois répondre à un besoin quotidien,
simplifier le rapport qu’entretient un utilisateur
avec un sujet et apporter une satisfaction !