Info-catalogue Xenia mars 2009

Info-catalogue

XENIA EDITIONSMadeleine 17

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Suisse

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PrintemPs 2009

L’internet n’est peut-être pas une prison... mais en avons-nous Les cLefs?

pour tous les usagers de l’internet, voici un aperçu des procédés et des moyens de l’espionnage généralisé.

Sitôt connecté au «réseau des réseaux», l’internaute devient une banque d’informations que diverses instances vont lui soutirer à son insu. Du hacker solitaire aux services de l’État, c’est à qui en apprendra plus sur l’autre — et il arrive bien souvent, comme le montre Me Fanti, que les arroseurs soient les arrosés.Dans le monde insaisissable de l’internet, notre liberté vaut-elle encore quelque chose?

Expert internationalement reconnu du droit des nouvelles technologies, l’avocat Sébastien Fanti révèle l’étendue des dégâts opérés par la révolution digitale dans le domaine de la vie privée. À travers des exemples vécus, des aspects théoriques et leurs effets concrets, il nous raconte la lente disparition de nos libertés individuelles. Et propose des moyens d’agir très concrets.

isBn 978-2-88892-056-4 | 192 p., cHf 30 | eur 16http://www.editions-xenia.com/livres/internet/parution avril 2009 (suisse) - mai 2009 (france).

page 1en vitrinepage 2nouveautésechospages 3-4titres disponibles

Sébastien Fanti

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DAVID LAUFER est né en 1971 à Lausanne et a obtenu une maîtrise d’Histoire de l’Université de la Sorbonne. Il a travaillé dans le domaine de la communication pendant 10 ans et vécu dans plusieurs pays du globe parmi lesquels les Etats-Unis, l’Angleterre, l’Egypte et la Turquie. En 2007, il est revenu en Suisse pour s’y établir en consultant indépendant. Il est l’auteur de deux romans publiés chez l’Age d’Homme.

ISBN : 978-2-88892-055-7

-:HSMISI=^WUZZ\:15 €

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« Voilà un livre qui va ouvrir les yeux des Suisses. Tant de gens semblent comme anesthésiés et incapables de comprendre ce qui se passe. Cette crise fi nancière est particulièrement importante pour la Suisse. Les implications en sont tout à fait substantielles puisqu’une grande partie de l’économie dépend du secteur fi nancier et de sa capacité à attirer du capital de l’étranger. Les politiciens suisses devraient s’inquiéter de cela et je suis certain que ce livre les aidera à leur faire réaliser le sérieux de cette situation. »

Prof. LUIS SUAREZ-VILLA, University of California, Irvine, 14 juillet 2008.

Sur la base d’entretiens avec des protagonistes de premier plan, ce livre enquête sur les destinées de la banque suisse dans le contexte de la crise fi nancière mondiale.

Avec :

ALAIN BERSET Conseiller aux États fribourgeois (PS)GEORGES BLUM Ancien PDG de la SBSMICHEL DÉROBERT Secrétaire général de l’Association

des banquiers privésMATTHIAS-LEONHARD LANG Directeur de succursale,

Kredietbank (Switzerland) Ltd.CHRISTOPHE REYMOND Directeur

du Centre patronal vaudoisLUIS SUAREZ-VILLA Professeur

à l’Université de Californie

www.editions-xenia.comLES LIVRES QUE VOUS ATTENDIEZ

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ENQUÊTE

Démontage HiLarant D’un Désastre au quotiDien: La vie D’entrepriseLes théories du management sont foison. Voici enfin une antithéorie du management! A moins que ce soit une théorie de l’antimanagement?Blague à part: ingénieur de haut niveau, travaillant dans les multinationales, Gabriel Fuchs n’est pas dupe du système. D’une plume désopilante et cruelle — n’est-il pas le fils d’un célèbre écrivain comique? — Il dresse un véritable inventaire de l’entreprise comme elle ne va pas.Toutes les questions «professionnellement incorrectes» sont posées ici de but en blanc. Et l’auteur y répond avec une franchise revigorante. Sous ses dehors satiriques, La Comédie du Management est une véritable anthropologie de cet univers encore mal exploré: le monde du business. Chacune des «scènes» de ce livre

illustre ses superstitions, ses rites, ses hiérarchies ouvertes ou cachées et ses codes secrets.

Gabriel Fuchs s’intéresse aux intangibles du management et de la gestion. Le plus difficile à formuler et à théoriser, mais le plus important dans ce qui détermine les carrières et le succès des organisations. (François Schaller, réd. en chef de l’AGEFI)

La Comédie du

La vérité sur votre

boîte !

ManagementGabriel FuchsPourquoi 70% de tous

les projets sont-ils condamnés à l’échec?

Pourquoi les nouveaux ascenseurs marchent-

ils toujours moins bien que les anciens?

Pourquoi l’informatique tue l’information au

lieu de la démultiplier?Et au fond: qui

commande vraiment le navire?

isBn 978-2-88892-073-1 | 192 p., cHf 30 | eur 17http://www.editions-xenia.com/livres/management/parution avril 2009 (suisse) - mai 2009 (france).

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a paraîtreà la Découverte De Zoran Živković

Encore inconnu de la fran-cophonie, Zoran Živković est pourtant aujourd’hui l’écrivain serbe — et ex-yougoslave — le plus lu dans le monde.

Partant d’une réalité pai-sible, ses romans et ses contes nous entraînent par de menus glissements dans un univers régi par d’autres lois. Bien qu’elle s’inscrive dans la lignée du fantastique mittel-euro-péen — du côté des Kafka, Boulgakov ou Lem — son oeuvre cultive une esthé-tique déconcertante qui n’est pas sans évoquer les cauchemars éveillés d’un David Lynch

Lauréat du World Fantasy Award, défendu et prisé par des auteurs tels que Michael Moorcock, Zoran Živković écrit une prose universelle, à la fois lim-pide et mystérieuse, qui envoûtera non seulement les amateurs de fantasti-que, mais encore tous les passionnés de la littérature d’exploration.En guise d’introduction à cet auteur majeur de notre temps, les éditions Xenia publieront én été 2009 Mademoiselle Tamara, lectrice.

Traduction de Svetlana Va-lenti et Slobodan Despot.

Photo N. BaBić

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http://www.editions-xenia.com/livres/lectrice/http://www.zoranzivkovic.com/

«Khomeyni Express nous propose une plongée dans l’Iran totalitaire des mollahs au travers d’un regard de femme. Le grand mérite de Fariba Hachtroudi est d’y rac-onter le géant perse par le biais de sa population ordinaire. Des portraits de famille grappillés lors d’un périlleux voy-age clandestin. Bref, un scénario de film autant qu’un roman.»Jean-François Fournier.

S. D. — Referiez-vous ce voyage aujourd’hui ?

F. H. — Sachant ce que je sais maintenant, probablement pas, mais on ne refait jamais l’histoire. Telle que je suis, je crois tout de même que je referais les mêmes « folies » dans ma vie. Aujourd’hui, en voyant les risques inconsidérés que cette jeune femme de 35 ans a pris, j’éprouve beaucoup de sympathie pour elle. Mais je me dis : quelle folle !

S. D. — Quel risque réel couriez-vous ?

F. H. — D’être arrêtés, comme nous l’avons été d’ailleurs, et exécutés sur le champ, comme corrupteurs, ennemis, espions à la solde des puissances étrangères… Il n’y avait rien de pire que d’être accusé de travailler pour l’étranger.

S. D. — Et pourtant, vous écrivez : « je ne doute pas un instant d’échapper vivante à leurs griffes ». D’où vous venait cette certitude ?

F. H. — Je ne sais pas. Peut-être à cause de ce livre de poésie trouvé chez ce trafiquant avec la préface écrite par mon père… Une sorte de talisman… J’ai eu pourtant très peur lors du voyage clandestin. La terreur sacrée est franchement terrifiante…http://www.editions-xenia.com/livres/iran/paru le 17 février 2009.

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Khomeyni Express

Née en 1951 à Téhéran, expatriée depuis 1965, Fariba Hachtroudi est la fi lle d’un illustre savant iranien. Archéologue de formation, journaliste indépendante, écrivaine et romancière, la plupart de ses livres dont Iran, Les rives du Sang (Prix littéraire des droits de l’homme 2000) ont été publiés au Seuil.

Photo de couverture :

© Edoardo Delille

Studio Lisible

PRÉFACE DE FRANÇOISE BONARDEL

LE CHAÎNON MANQUANT

En 1985, la Révolution iranienne est encore dans sa phase fanatique. Poussée par un besoin inté-rieur, Fariba Hachtroudi entreprend un voyage clandestin dans sa patrie. Pour revoir la terre de ses origines, retrouver la famille, voir et témoi-gner.

Le récit de ce périple sera comme un cliché pris au bord d’un volcan en éruption. Tout le Moyen-Orient est en effervescence. Entre le Pakistan, d’où elle part, et l’Iran, subsiste une vaste zone de trafi c et d’incertitude. Une femme seule ne s’y est sans doute jamais aventurée.

D’emblée, nous voici plongés dans le monde inter-lope des passeurs et des faussaires. Puis dans le silence du désert, la puanteur des salles de garde et des casernes, la grisaille bien connue des insti-tutions totalitaires, avec la terreur sourde qu’el-les diffusent…

Mais le regard de Fariba est un regard de femme. Elle nous fait redécouvrir toute cette population ordinaire qui, en Iran comme ailleurs, vit d’es-poir et de souffrance.

Edité à l’occasion du trentenaire de la révolu-tion iranienne, ce témoignage essentiel paraît à la suite de À mon retour d’Iran (Seuil 2007), récit de son deuxième voyage, effectué 20 ans presque jour pour jour après le voyage clandestin.

ISBN : 978-2-88892-072-4

-:HSMISI=^WU\WY:18 €


Chez le même éditeur

GÉOPOLITIQUE

JÜRGEN ELSÄSSER

COMMENT LE DJIHAD EST ARRIVÉ EN EUROPEIslamisme et services secretsPréface de Jean-Pierre ChevènementEt si le djihad terroriste était le résultat d’une « greffe » désastreuse des services occidentaux ? Une enquête captivante, en Bosnie et ailleurs, montrant comment l’Occident a lui-même établi la tête de pont islamique qui, désormais, le menace de l’intérieur.

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UNE FOIS QUE TU ES NÉ, TU NE PEUX PLUS TE CACHERChaque jour, un exode maritime amène des centaines de clandestins sur les côtes de l’Europe. Qui sont-ils ? Pourquoi risquent-ils ainsi leur vie ? Un récit-reportage bouleversant, chaleureux, sur « la dernière aventure digne de ce nom ». (Prix Lo Straniero 2004, mis en fi lm par Marco Tullio Giordana)

« Je, soussignée Fariba Hachtroudi, certifi e par la présente assumer l’entière responsabilité de mon passage clandestin en Iran. Monsieur Reza G., qui sera mon guide durant ce voyage, m’a mise en garde contre les dangers d’accidents, les risques d’arrestation, d’emprisonnement, d’exécution sommaire et autres “incidents“ éventuels. En cas de malheur, je décharge le susnommé de toute responsabilité éventuelle… »


Les livres que vous attendiez


Les livres que vous attendiez

Fariba Hachtroudi

KhomeyniExpress

Itinéraires clandestins en République islamique d’Iran

LES YEUX OUVERTS

extrait

une oDysséeiranienne

rééDitionoui, on peut comprenDre La crise Des Banques!

Paru en octobre 2008, Mon banquier m’a dit, de David Laufer qui réunit des témoignages d’acteurs et d’analystes sur la crise et les pressions exercées sur la place financière suisse, est devenu un ouvrage de référence à cause de la clarté et de la pertinence de ses informations. Une nouvelle édition mise à jour sera disponible courant avril. Elle comprendra notamment une analyse réactualisée de la politique financière des Etats-Unis par le profes-seur Luis Suarez Villa (UCLA), dont la contribution à la première édition a été très remarquée.

http://www.editions-xenia.com/livres/banque/

Distinctionun Livre xenia récompensé par Le cic

« Comme chaque année, le Conseil international de la chasse et de la conservation du gibier (CIC) a décerné différents prix reconnaissant l’importance d’un travail individuel ou collectif dans les domaines littéraire, tech-nique ou environnemental.C’est ainsi qu’en 2008, le CIC a attribué son prix de littérature au Suisse Maurice Von der Mühll pour son essai intitulé Comment l’esprit vint aux hommes.(…) [L’auteur] consacre désormais son talent à l’étude des rapports entre l’homme, l’animal et la nature tout au long de leur histoire commune. L’essai précité s’inscrit dans cette ligne et fait le point sur les connaissances actuelle dans ces domaines. Pas pédant, ni pseudo-scien-tifique, ce travail de 170 pages se lit quasiment comme un roman. »(Connaissance de la Chasse, n° 393, janvier 2009)

http://www.editions-xenia.com/livres/chasse/

Info-catalogue

Info-catalogue

Le devoir d’un éditeur ? Oser !« Pour l’Académie française, le coup est rude. D’autant plus rude qu’il est posthume et qu’il vient de Suisse. Jean Cau est mort en 1993 et ce n’est qu’aujourd’hui qu’est publié, sous le titre Le Candidat, le récit féroce et désopilant de sa tentative ratée, en 1989, d’entrer sous la Coupole. Le livre porte la signature d’un éditeur de Vevey. Gallimard et La Table ronde, éditeurs habituels de Jean Cau, ont-ils refusé de mettre leur nom sur ce brûlot, craignant de déplaire aux académiciens, à leur protecteur naturel, M. Sarkozy, président de la République, et à sa fiancée, belle amie des belles-lettres et des écrivains ? L’ouvrage a été imprimé en Serbie. On se croirait revenu au xviiie siècle, quand les textes qui sentaient le soufre étaient confiés à des imprimeurs d’Anvers ou de Rotterdam. Tout nouveau postulant à un fauteuil à l’Académie, s’il a eu quelque accointance avec Jean Cau, la Suisse ou la Serbie, devra se faire oublier pendant quelque temps, sage précaution. »

Bernard Pivot, de l’Académie Goncourt, « La Vieille Dame et le

Torero », Journal du Dimanche, 13 janvier 2008.

Diffusion France : CED/Distribution Les Belles Lettres

Diffusion Suisse :oLF

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