Université de Tours - DU GRAND LYON AMICA MISE EN...
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GRAND LYON ÉcoIe poIytechniuede! Uruversite reTours
COMMUNAUTE URBAINE DE LYON- \
\ DépartementArn4n3çen-t
Tuteur: M. CREPEAUX Charlène ANGUIS
Rapport de stageStage individuel de fin d’études
ÉLABORATION DU DIAGNOSTIC DUPLAN CLIMAT TERRITORIAL
DU GRAND LYON
MISE EN OEUVRE DU PROGRAMME EUROPÉEN AMICAADAPTATION AND MITIGATION, AN INTEGRATED CLIMATE POLICYAPPROACH
Jury de soutenance:
M. AUGER, enseignant chercheur au DA de l’École Polytechnique de l’Université de ToursM. THIBAULT, enseignant chercheur au DA de l’École Polytechnique de l’Université de Tours
Mai - Septembre 2006
REMERCIEMENTSJe tiens tout d’abord à remercier très chaleureusement mon commanditaire,
M. Pierre CREPEAUX, chargé de mission air-bruit-énergie à la Mission Écologie Urbaine duGrand Lyon qui m’a fait confiance tout en me conseillant pendant ces quatre mois de stage.
Je souhaite aussi adresser mes remerciements à l’ensemble des personnes qui ontpris sur leur temps de travail pour me recevoir ou me communiquer des informations paremail et par téléphone:M. ALLIX, chargé de mission développement économique, DGDEI, CLMme BONO, chargée de mission à la MCT, GLM. BOUVIER, directeur de CoparlyM. BROCARD, directeur des services techniques de la municipalité de DARDILLYMme CAILLOT, chargée de mission au service habitat, DODU, CLM. CHAPGIER, responsable du service développement durable de la Direction de l’Eau, CLMme CHARBONNIER, UT secteur Ouest, UT, DODU, CLM. CHOCAT, responsable du service hydrologie, INSA LyonMme COUTURIER, chargée de mission développement durable à la DODU, CLMme DEGUILHEM, documentaliste de l’Agence d’Urbanisme de l’Agglomération LyonnaiseM. DELACRETAZ, chargée de mission risques, MEU, DODU, GLM. DUMURGIER, au Service Navigation Rhône-SaâneMme DUBUISSON, documentaliste, GLMme FABRY, à la Direction Interrégionale Centre-Est de Météo-FranceM. GODINOT, responsable espace info énergie et services aux collectivités, HESPULMme GREFFIER, SYGERLYMme HARTMANN, chargée de mission espaces naturels et agricoles, MEU, DODU, GLM. JUSOT, Département Santé-Environnement/InVS, CIRE Rhône-AlpesM. KHALADI, Compagnie Nationale du RhôneM. LABROSSE, chargé de mission à l’unité LVL, DLB, CLM. LAURENT, chargé de mission à la mission déplacement DODU, CLMme MABILLE, chargée de mission Agenda 21/ développement durable à la DPSA, CLM. MAGNAN, responsable du centre d’échange, DLB, CLMme MARCHAND, chargée d’opération, service Espaces Publics, DODU, CLM. NICOLAS, au BRGMM. PACCALIN, directeur des services techniques de la municipalité de VILLEURBANNEMme PERRAUDIN, responsable du service des finances (DFGC), CLM. PICARD, contrôleur d’opérations à la direction de la Voirie, GLMme PICARD, chargée d’opération, service Espaces Publics, DODU, CLM. POUGET, responsable du service R&D de la Direction de la Propreté, CLM. REMY, responsable de la subdivision sud, service DFI, DGDEI, GLM. SAULNIER, chargé d’études en environnement, Agence d’Urbanisme de l’agglomérationlyonnaiseMme SERVILLAT, coordinateur territorial, secteur Nord, MCT, CLM. SLIMANI, direction de la voirie, Grand LyonM. SOULOUMIAC, responsable de la subdivision hydraulique, Ville de LyonMme TARDIEUX, chargée de Mission Habitat DGDU, CLMme TUPIN, responsable du service bâtiment DLB, CLM. VALENTIN, mission cohérence des politiques d’agglomération, DODU, Grand LyonM. VALLEE, à la Direction lnterrégionale Centre-Est de Météo-FranceMme VAZETTE, documentaliste, CLMme VILAIN, secrétaire de la MEU, DODU, CL
1Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
SOMMAIRE
REMERCIEMENTS.1
SOMMAIRE 2
INTRODUCTION 3
1. LA VULNÉRABILITÉ URBAINE OU GRAND LYON FACE AU CHANGEMENTCLIMATIQUE 4
1.1 Méthodologie 4
1.2 Les risques sur le territoire grand lyonnais 5
1.3 La médiatisation du phénomène 17
2. L’AUDIT DES SERVICES COMMUNAUTAIRES 24
2.1 Méthodologie 24
2.2 Les éléments d’une politique climatique non formalisée 28
2.3 Synthèse: les mesures d’atténuation et d’adaptation au changementclimatique 35
3. ÉCHANGES DE BONNES PRATIQUES 37
3.1 Spécificités de la ville de Dresden (Allemagne) 37
3.2 Spécificités de la région Haute Autriche 38
CONCLUSION 40
GLOSSAIRE 41
BIBLIOGRAPHIE 42
TABLE DES ILLUSTRATIONS 43
TABLES DES MATIÈRES 44
ANNEXES (document joint)
Annexe 1 : Liste des interviewésAnnexe 2: Recensement des mesures d’atténuation du changement climatique (matrices
d’évaluation complétées)Annexe 3 Mitigation Scan Dresden report 2006
2Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
INTRODUCTION
Conscient des enjeux environnementaux actuels, le Grand Lyon s’est formellementengagé, en 2005, dans une démarche de développement durable en adoptant unAgenda 21. La lutte contre l’effet de serre à l’échelle locale est une des cinq priorités définiespar la collectivité dans ce cadre. Ce phénomène entraînant une évolution du climat, le GrandLyon souhaite aujourd’hui élaborer une politique climatique qui permettra de répondre entermes d’objectifs et de moyens à cette grande orientation.
La réalisation d’un Plan Climat Territorial (PCT) a débuté par le diagnostic de lasituation énergétique du Grand Lyon bilan des émissions de C02, bilan du potentiel enénergies renouvelables, etc. Le programme européen AMICA (Adaptation and Mitigation, anlntegrated Climate policy Approach) participe à la réalisation de celle phase de diagnostic1.En effet il propose d’une part d’analyser la vulnérabilité des territoires face au changementclimatique, et d’autre part, de dresser l’état des lieux des mesures communautairesengagées dans le but de réduire les émissions locales de GES ou d’adapter le territoire aufutur climat
Ce programme européen INTERREG offre par ailleurs la possibilité aux collectivitésterritoriales partenaires d’échanger leurs expériences dans le domaine de l’atténuation et del’adaptation au changement climatique. Le regard extérieur des partenaires sur les actionsde chacun est riche puisqu’il entraine une réflexion commune mutualisant les expériences etgénérant ainsi de nouvelles perspectives.
Les résultats de la mise en oeuvre du programme AMICA pour la CommunautéUrbaine de Lyon sont présentés dans ce rapport. Le bilan de la vulnérabilité urbaine duGrand Lyon sera exposé dans une première partie. La seconde partie présentera l’audit desservices communautaires. Et enfin, la troisième partie s’attachera à développer lesenseignements des séminaires de regards croisés relatifs aux politiques climatiques despartenaires européens du programme AMICA.
1 Se référer à la note de présentation pour de plus amples informations relatives à l’élaboration duPCT du Grand Lyon et au programme AMICA
Charléne ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
1. La vulnérabilité urbaine du Grand Lyon face au changement
climatique
1.1 Méthodologie
1.1.1 Contexte
flans le cadre de l’élaboration du diagnostic du Plan Climat Territorial del’agglomération lyonnaise, le programme AMICA (Adaptation an Mitigation, an lntegratedClimate policy Approach) cherche appréhender précisément la vulnérabilité du territoire faceau changement climatique. Il est donc nécessaire de définir quels sont les risques auxquelsle Grand Lyon est susceptible d’être confronté, à quel degré et à quelle échéance (court,moyen et long terme). L’étude cherche donc à montrer si le territoire grand lyonnais estexposé à trois principaux risques retenus:- le manque de ressource en eau- les inondations- les températures extrêmes (pics de chaleur, accompagnés de pics de pollution)
Ce recueil d’informations a été effectué à travers la réalisation d’entretiens auprès dedifférents professionnels et une recherche bibliographique. Les contacts et références sontrésumées dans le tableau et la bibliographie ci-dessous.
1.1.2 Experts référents
NOM ORGANISME COORDONNEES OBJETKAPGIER Grand Lyon 04-78-95-89-30 Risque « ressource en eau »
Service eau - stratégie et ichaDgier(grandlvon.orpdéveloppement durable
‘COLAS BRGM 04-72-82-11-55 Risque « ressource en eau »-JALADI Compagnie Nationale du 04-72-00-18-03 Risque « inondations»;
Rhône débordements par cruesJMURGIER Service Navigation 04-72-56-59-00 Risque « inondations »
Rhône-SaôneELACRETAZ Grand Lyon ydelacretazcprandlvon.orp Risque « inondations » et
Mission écologie « ressource en eau »-IOCAT INSA Lyon 04-72-43-81-89 Risque « inondations »
service hydrologieJULOUMIAC Ville de Lyon 04-78-69-60-70 Risque « inondations »
subdivision hydrauliqueFABRY Météo France marie-helene.fabrvcmeteo.fr Risque « pics de chaleur »\LLEE Météo France iean-louis.valleemeteo.fr Risque « pics de chaleur»,
« inondations » et « ressource eneau »
SOT DRASS - CIRE Risque « pics de chaleur » etFrancois.JUSOT(sante.gouv.fr « pics de pollution
atmosphérique »)UVIER Coparly 1bouviertatmo-rhoneaIoes.ora Risque « pics de chaleur » etPASSERA nnasseraatrno-rhonealoes.ora « pics de pollution
atmosphérique »DEGUILHEM Agence d’urbanisme y.deaullhemCurbaIvon.orc Revue de presse
VAZETTE et Grand Lyon 04-26-99-37-15 Revue de presseJISSON documentation
4Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
1.1.3 Bibliographie
InVS, Vague de chaleur de l’été 2003 : relation entre températures, pollution atmosphériqueet mortalité dans neuf villes françaises, 2004, 44p.Géosciences, Le changement climatique, BRGMéditions, 2006, 1 12p.Grand Lyon, Agenda 21, volet environnemental, état des lieux, diagnostic et premièrepropositions, 2004M. DEPROST, «eau: pourquoi le niveau baisse dans l’Est lyonnais), Le Progrès, août 2006Service Navigation Rhône Saône, Grand Lyon, Amélioration de la prévention et de laprotection vis-à-vis du risque inondation sur le territoire du Grand Lyon, étude de l’aléainondation induit par les crues du Rhône et de la Saône (étude préalable à la réalisation duPPRi de l’agglomération lyonnaise), 2005
1.2 Les risques sur le territoire grand lyonnais
1.2.1 L’approvisionnement en eau
Le territoire du Grand Lyon est alimenté en grande majorité par un captage principal(Crépieux Charmy) qui offre une production d’environ 500 000 m31jour dans la napped’accompagnement du Rhône (soit 98% de la production d’eau potable du Grand Lyon). Lesite de Miribel Jonage et les captages périphériques sur les nappes de l’Est et le Val deSaône correspondent aux sites secondaires de la production en eau potable du Grand Lyonet peuvent produire jusqu’à 230 000 m3fjour.
D’après le référentiel de l’Agenda 21 du Grand Lyon, la ressource en eau peut êtreconsidérée comme suffisante et de bonne qualité, puisqu’on peut la trouver dans les fleuves,les nappes alluviales et la nappe mollassique. Cependant, le territoire est rendu vulnérablecar il n’est approvisionné presque exclusivement que par un seul site de captage (risque denon approvisionnement en cas de pollution du site).
1.2.1.1 P[ØVLSQn_LÇ_QUEtS1nQYÇItQCrn.A l’heure actuelle, les études menées n’ont pas permis de repérer des conséquences
liées au changement climatique à l’échelle locale en ce qui concerne les ressources en eau.En effet, les données actuelles relatives aux précipitations ne sont pas significatives d’unpoint de vue statistique. La plupart des séries présente des tendances â la hausse nedépassant cependant pas 10 % sur le siècle. On observe en général une augmentation despluies hivernales et une diminution des pluies estivales qui se compensent partiellement. Lessuivis de la nappe de l’Est Lyonnais n’ont pas montré de baisse du niveau des eaux. On amême assisté, lors de la canicule de 2003, à l’augmentation du niveau de la napped’accompagnement du Rhône, augmentation due à la hausse des températures entrainantune fonte plus importante des glaciers suisses.
La Direction de l’eau du Grand Lyon est actuellement en cours de réalisation descénarii tendanciels de production. Des modèles permettent d’effectuer des simulations deproduction avec un niveau d’eau plus faible dans la nappe de l’Est, bien que les chercheursne sachent pas si cela peut se produire. Les conséquences prévisibles liées au changementclimatique seraient donc, d’après la Direction de l’eau du Grand Lyon, plus de l’ordre d’unemétéorologie contrastée, avec des événements violents (périodes de forte sécheresse etpériodes de pluies intenses), mais qui n’aurait pas de conséquences importantes sur lanappe d’accompagnement du Rhône. On observe déjà aujourd’hui des décalages de
5Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
pluviométrie : autrefois, les périodes orageuses étaient estivales (de juin à août) alorsqu’elles se produisent désormais à l’automne (octobre à décembre).
Ainsi, à court et moyen terme, la ressource en eau n’est pas considérée comme unrisque sur le territoire grand lyonnais.
1.2.1.2 .P[VNQp$iJpn2SçrmCompte tenu des simulations météorologiques qui prévoient, à long terme (2070-
2100), une forte hausse des températures (+ 4 à 7°C en été à Lyon ; environ +3°C en hiver àLyon), il est nécessaire d’étudier de manière plus approfondie le risque de diminution deressource en eau auquel l’agglomération lyonnaise pourrait être confrontée.
D’après les années passées, on est aujourd’hui en mesure d’affirmer que le territoiredu Grand Lyon est confronté à des périodes de sécheresse, notamment au printemps et enété. Par ailleurs, la tendance des pluies efficaces (pluies hivernales en quantité s’infiltrantdans le sol jusqu’à la nappe souterraine) est à la baisse sur le territoire grand lyonnais. Alorsque l’on observe une augmentation des pluies hivernales, ces dernières sont de plus courtedurée et de faible intensité. De ce fait elles sont absorbées par le couvert végétal ou stagnedans le sol sans atteindre la nappe. « En avril 2006, le déficit en pluie efficace à la rechargedes nappes, même amoindri reste particulièrement important (supérieur à 50%) sur unepartie importante du territoire qui intègre une grande partie de Rhône-Alpes f.. .J La quantitéd’eau disponible depuis 2005 pour l’écoulement des cours d’eau et le remplissage desnappes souterraines est largement inférieure à la moyenne sur le territoire du Grand Lyon.f...) En comparaison avec le début de printemps 2005, la situation apparaît encore très endeçà pour les grandes nappes très capacitives à fluctuations pluri-annuelles situées au coeurdu bassin de Paris f.. j ou en Rhône-Alpes. » (bulletin de situation hydrologique du 07 avril2006, BRGM).
Les cartes ci-dessous illustrent bien ces tendances.
L’augmentation des températures prévues et les difficultés apparentes à rechargernaturellement les nappes souterraines aujourd’hui laissent donc fortement supposer que laressource en eau sur le territoire grand lyonnais deviendra problématique à long terme. Onpeut donc certainement craindre d’importantes conséquences des fortes chaleurs, dessécheresses probables et de la diminution des pluies efficaces:- diminution des glaciers suisses (qui, à long terme, ne seront plus des réservoirs d’eau
pour les nappes phréatiques)- modification des comportements vis-à-vis de l’eau et particulièrement ceux des
agriculteurs qui auraient plus massivement recours à l’irrigation (nécessité d’un volumed’eau disponible plus conséquent)
Par ailleurs, la qualité de la nappe mollassique diminue du fait des rejets dans celledernière si bien que la Préfecture rédige un document veillant à une utilisation très restreintede celle dernière, en application du principe de précaution.
sCharlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
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1.2.2 Les inondations
La vulnérabilité actuelle du Grand Lyon face au risque d’inondation, par crues, n’estpas négligeable puisque, par exemple:- pour des crues de retour 10 ans, certaines voies de communication sont considérées en
zones d’aléa fort- pour des crues de retour 30 ans, la zone de Crépieux-Charmy est submergée, et ce pour
une durée conséquente (entraînant probablement des problèmes pour l’alimentation eneau potable de l’agglomération).
D’après les données de Météo Franco, on relève dans la période 1922-2005 uneaugmentation des précipitations en automne et en hiver, et une diminution des pluies en étésur le territoire grand-lyonnais (voir les cartes ci-après). Cela laisse donc supposer uneprobable augmentation des risques d’inondations en hiver sur le territoire du Grand Lyon.
Cependant, le risque inondation par crue du Rhône reste peu probable, car destravaux d’aménagement réalisés par la CNR ont permis de modifier le profil du Rhône, luipermettant ainsi d’accueillir des débits plus importants. Les inondations de la Saône sontdonc plus à craindre que celles du Rhône sur le territoire du Grand Lyon.
Par ailleurs, les études qui ont jusqu’à présent été réalisées ont principalement prisen compte le Rhône et la Saône. L’influence des autres ruisseaux situés sur le Grand Lyonn’a donc pas été étudiée. Certains cours (comme le ruisseau du Ravin) font toutefois l’objetde PPRi particuliers.
Il existe en revanche un risque d’inondation par ruissellement pluvial important sur leterritoire du Grand Lyon, puisque la surface des terrains imperméables augmente. Desaccidents ont effectivement eu lieu en 2003, 2004, 2005 en des endroits différents. Desétudes sont prévues par le Grand Lyon pour évaluer les aléas. Les résultats de ces étudesdevraient paraître dans trois ans environ. Il semblerait que les tendances des inondationspar ruissellement soient à la hausse sur le territoire grand lyonnais.
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par hiver de 1922 à 2005
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8Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
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Carte 3: évolution des précipitations enautomne à Bron (1922-2005)
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Carte 5: évolution des précipitations en été à Bron (1922-2005)
A plus long terme, aucune étude n’a encore été réalisée pour évaluer lesconséquences du changement climatique par rapport au risque inondation par crue sur leterritoire du Grand Lyon. Aucun élément scientifique ne permet aujourd’hui d’affirmer quellesera la tendance qui touchera localement la région Rhône Alpe à long terme. li n’y a pas descénario local de changement climatique consensuel au niveau infra national.
Cependant, d’après les données prospectives de Météo France (2070-21 00) dans lecadre d’un scénario A22, les précipitations hivernales devraient augmenter d’environ 25 %par rapport au niveau actuel. De plus, les débits hivernaux devraient augmenter de 10 à 30%. Ces éléments devraient très probablement entraîner une augmentation des inondationshivernales.
Pour se préparer à l’évolution de ces inondations, le Grand Lyon est donc seulementen mesure de réaliser des scénarii prenant en compte les prévisions de précipitations
2 Les scénarios M et A2 correspondent à la continuité de la situation des derniéres décennies avecdes émissions de C02 qui continuent à croître. Dans la première variante (M), la croissance estextrême, elle est de 2% par an comme elle a été ces vingt dernières années. Dans la deuxièmevariante (A2), la croissance des émissions est réduite à 1% par an. Dans les deux cas, lacroissance reste exponentielle et le taux de gaz carbonique atteint vers 2050 le double de saconcentration avant la révolution industrielle, situation qui nécessite de remonter de plusieursmillions d’années en arrière afin de trouver l’équivalent.
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Stage de fin d’étudesGrand Lyon
Rapport de stage
I
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Carte 6: changement de précipitations pour 2070-21 00 (mmljour) — prudence 2004 scénario A2
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
La moyenne des2005 (plus d’un siècle).
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
InStage de fin d’études
Grand LyonRapport de stage
élaborées par Météo France, et des scénarios « fictifs » (sans base scientifique) luipermettant d’évaluer les conséquences sur le Rhône et la Saône selon différenteshypothèses (augmentation de 10%, 50%, etc., des crues de retours différents (10 ans, 100ans, 1000 ans, etc) ou encore écalage des pluies cévenoles de 100 km au Nord, etc.).
1.2.3 Les pics de chaleur et pics de pollution
L’augmentation conjointe des températures et de la pollution atmosphérique constituefinalement le risque majeur auquel le territoire grand lyonnais sera confronté.
1.2.3.1Vaumentation certaine températures
Les relevés de température effectués par Météo France de 1922 à 2005 sur leterritoire Grand Lyonnais permettent d’affirmer que les températures augmententconsidérablement.
Les graphiques suivants permettent de visualiser ce phénomène de réchauffementglobal de l’agglomération.
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Carte 7: évolution des températures moyennes sur l’agglomération lyonnaise : moyennesannuelles (1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône, Bron
températures a progressé d’environ 1.5°C sur la période de 1922 à
Carte 8 : évolution des températures maximales sur l’agglomération lyonnaise: moyennesannuelles (1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône, Bron
La tendance de l’évolution des températures maximales correspond aussi à unehausse d’environ 1°C de 1922 à 2005.
Carte 9: évolution des températures minimales sur l’agglomération lyonnaise: moyennesannuelles (1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône, Bron
Enfin, il en va deconsidérablement accrues deconfirment lorsque l’on analysevoient leur nombre à la hausse.
même pour les températures minimales qui se sont1922 à 2005 (environ 2°C). Toutes ces évolutions seles jours de canicule entre 1922 et 2005 qui, eux aussi,
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11Stage de fin d’études
Grand LyonRapport de stage
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nOmbre de jours mbredejLs avec une température maximale
Carte 10: évolution des fortes chaleurs sur l’agglomération lyonnaise : moyennes annuelles(1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône, Bron
La canicule de l’été 2003 a constitué unconstitue un indicateur frappant du phénomène
D’autres indicateurs tels que la périodeaussi des exemples qui permettent d’illustrerdonc nécessaire dès aujourd’hui de prendrevagues de chaleur dans un futur proche
phénomène météorologique exceptionnel quide changement climatique.des vendanges ou celle de pollinisation sont
que le climat évolue à la hausse et qu’il estdes mesures afin d’anticiper les probables
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Figure I : date des vendanges en Beaujolais
période de vendanges en Beaujolais aisidérablement avancé à partir des années80: elle se situait auparavant aux alentours
24 septembre et a été anticipé jusqu’àiron un mois en 2003 (14 août).
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FIgure 2 : date des vendages à Châteauneuf du Pape
La période de vendanges à Chateauneuf du Pape est enprogression continue depuis 1945: en moyenne auxalentours de début octobre il y a un demi siècle, elledébute à présent dans la première moitié du mois deseptembre.
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12Stage de fin d’études
Grand LyonRapport de stage
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supérieure à 25 ou 30 °c en été (de juin â aout)de 1922 â 2005
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La canicule qui s’est produite lors de l’été 2003 a permis une prise de consciencegénérale des possibles variations du changement climatique et des conséquences que lahausse des températures pouvait provoquer sans préparation des collectivités locales.
L’étude de l’lnVS a permis d’établir, d’une part, la relation entre mortalité et expositionà l’ozone et à la chaleur D’autre part, il a été possible d’évaluer la part relative de chacundes facteurs dans leur effet conjoint, lors de la canicule de l’été 2003. Elle a été réaliséedans 9 villes françaises (Bordeaux, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Rouen,Strasbourg et Toulouse). Celle canicule a été caractérisée à Lyon par une augmentationbien plus marquée de la chaleur par rapport aux étés 1996-2002 et des pics d’ozone3
- les températures journalières moyennes ont augmenté de 19.6%- les températures minimales ont augmenté de 21%;- les concentrations d’ozone ont augmenté d’environ 20% comparativement aux étés
précédents à Lyon (la médiane des concentrations augmente de plus de 20% àLyon). Ces plus fortes concentrations d’ozone se présentent majoritairement sousforme de pics d’ozone.
Les impacts sanitaires de la canicule de l’été 2003 sur la santé (ozone et chaleur) ontété, à Lyon, très importants. Lyon présente effectivement le second risque relatif journalierde mortalité spécifiquement liée à la vague de chaleur (risque relatif estimé sur une périodeallant du 22/07/03 au 02/09/03). Le différentiel de mortalité, c’est-â-dire l’excés de mortalitépar rapport aux trois étés précédents la canicule de 2003, est de 80% à Lyon (après Paris:142%).
L La pollution atmosphérique estivale à Lyon est caractérisée, en règle générale depuis 1996, par desconcentrations estivales en ozone (avec la survenue de dépassements réglementaires) plus élevéequ’en hiver
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Figure 3: RIsque relatif journalier de mortalité spécifiquement liée à la vague de chaleur(22107102-02109103) - lnVS
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
Stage de fin d’étudesGrand Lyon
Rapport de stage
A Lyon, la relation entre l’augmentation de la concentration d’ozone et l’augmentationde la mortalité est négative, mais elle n’est pas statistiquement significative. L’étude neparvient pas à montrer que l’ozone constitue un facteur de risque de décès.
En comparaison aux huit autres villes, le taux de mortalité du à une augmentation dutaux d’ozone est le plus faible à Lyon (0.9 pour 100 000 habitants). Dans l’effet conjoint desdeux facteurs sur la mortalité, la part de l’ozone est minime à Lyon par rapport à celle destempératures: elle s’élève à 2.6%.Cela se perçoit bien sur la figure suivante.
Figure 4: excès de risque (%) liés à l’ozone et à la température. Représentation des partsrelatives de chacun des facteurs pour la population tous âges (03-1 7108103)- InVS
L’analyse des relations entre pollution, température et mortalité qui a été réaliséepour la période 1996-2003 (incluant la vague de chaleur) fait ressortir que l’excès de risquede mortalité à court terme lié à l’ozone est légèrement augmenté (en moyenne sur les neufvilles étudiées) par rapport aux estimations antérieures, obtenues en l’absence de vague dechaleur (augmentation statistiquement non significative). Il semble que les excès de mortalitéobservés les plus élevés soient liés dans leur quasi totalité à un effet prédominant de lachaleur dans l’effet conjoint ozone-température: c’est ce que l’on observe à Paris et Lyon.Dans ces villes, les fortes températures semblent avoir un effet persistant à court terme (troisjours) sur la mortalité.
Enfin, les analyses ont recherché l’existence d’une sous-mortalité immédiatementconsécutive à l’excès de décès observé pendant la vague de chaleur (phénomène appelé «déplacement de mortalité » ou harvesting). Dans les trois semaines qui ont suivi le pic demortalité (12-13 août), ce phénomène n’a pas été observé à Lyon. Les décès survenuspendant la vague de chaleur ne semblent donc pas avoir été anticipés de quelques joursseulement, mais d’un délai plus long, supérieur à trois semaines.
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
14Stage de fin d’études
Grand LyonRapport de stage
Excès de risque (%)
Le Havre
Strasbourg
ç:,
1.2.3.2 ?syL1QQLLonatQrmLes graphiques suivants permettent d’illustrer le caractère exceptionnel des
températures de la canicule de 2003. Bien qu’il faille toujours se montrer prudent en matièred’extrapolation à long terme, les modélisations de Météo France ou de IPSL (l’institut PierreSimon Lapiace) montrent que ces chaleurs très élevées devraient correspondre à lamoyenne des températures estivales à long terme (2070-2100) si la tendance observée semaintient à long terme (figure 3).
Le territoire grand lyonnais devrait voir un décalage des températures d’au moins unmois. De fait, les températures de janvier correspondraient aux températures actuelles defévrier (figure 4). Ainsi, Météo France a pu attribuer à quelques villes françaises les climatsactuels elles seraient confrontées pour la période 2070-2100. Lyon aurait alors en principe leclimat d’Alger (figure 5).
Ha
Plusieurs études épidémiologiques ont permis de montrer qu’un manque depréparation et d’organisation (relais sociaux, prise en charge des personnes à mobilitéréduite, refroidissement des pièces, etc.) était à la base de la forte responsabilité de lachaleur dans l’augmentation des décès. Rappelons que la part de la chaleur dans l’effet
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
15Stage de fin d’études
Grand LyonRapport de stage
1Sc I s
L El97I-2 IE2070.2W0
I,
jI j s
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‘970 flEJ 903 2D 1210 2013 21Y) 2).0 2350 20(2 2070 1120 22e2
5: Moyennes estivales mesurées (+) et modélisées(.) - source: Météo France J- 1i kMI i -I L— S.pt
Fiqure 6: Réchauffement à l_von - source: Météo France
Oa N... n
Figure 7: réchauffement estival (prévisions pour 2070-2100)- source: Météo France
conjoint température-ozone est moritaire à Lyon par rapport à celle de l’ozone elle s’élèveà 97.4 %.
Compte tenu de la situation actuelle et des prévisions à court, moyen et long terme,on peut affirmer que le territoire Grand Lyonnais est considérablement confronté au risquede « pics de chaleur ». Il est donc indispensable que les collectivités locales (Grand Lyoninclus) se mobilisent et prennent des mesures d’adaptation à de fortes chaleurs, sur leterritoire lyonnais particulièrement.
Il est cependant intéressant de poser la question suivante: si des efforts en termed’adaptation et de préparation à ces fortes chaleurs sont réalisées, la part de la chaleur danscette mortalité sera réduire. En conséquence, la part de l’ozone dans la mortalitén’augmentera-t-elle pas?
Répondant au principe de précaution, il est donc aussi nécessaire de prendre dèsaujourd’hui, des mesures de réduction des polluants atmosphériques afin de contrôlerl’impact sanitaire provoqué par l’ozone.
1,2.4 Synthèse la vulnérabilité du Grand Lyon face au changement climatique
1.2.4.1 $vbs__f_r_a_n_QJ5En conséquence du changement climatique, seuls les pics de chaleur et pics de
pollution constituent un risque évident pour le Grand Lyon.
En effet à travers l’étude épidémiologique de la canicule de l’été 2003 et desdonnées météorologiques, on peut conclure au rôle majeur du changement climatique dansl’augmentation considérable du risque de « pics de chaleur » à Lyon. Ce phénomène a eu unfort impact sur la population (augmentation des décès de 80%). lI est donc indispensableque les collectivités locales du Grand Lyon (y compris l’agglomération) se mobilisent etprennent des mesures d’adaptation, sur le territoire lyonnais particulièrement D’après lesdonnées prospectives de Météo France, il est à prévoir une augmentation considérable destempératures à long terme.
L’étude épidémiologique a montré que les « pics d’ozone » largement associés àcette vague de chaleur constituent une part négligeable de l’effet conjoint température-ozonedans l’augmentation des décès. Malgré cette faible responsabilité dans les décès liés àl’épisode caniculaire de 2003, il est nécessaire de prendre des mesures pour réduire lapollution atmosphérique particulièrement importante lors des vagues de chaleur, puisquel’impact de l’ozone sur la santé sont nombreux et nocifs à long terme.
En revanche, on ne peut pas affirmer que l’agglomération lyonnaise soit sujette àcourt terme à l’augmentation du risque inondation qu’elle connaît déjà aujourd’hui. A longterme, les prévisions de Météo-Franco laissent supposer une forte augmentation des pluieshivernales, et donc très probablement lié à un risque d’inondations par ruissellement plusimportant qu’actuellement.
De même, il n’est sans doute pas nécessaire de considérer que le Grand Lyon estvulnérable face au risque relatif au manque de ressource en eau à court ternie, enconséquence du changement climatique. En effet la nappe d’accompagnement du Rhônequi alimente la quasi-totalité du territoire grand-lyonnais n’est pas sujette aux risques desécheresse, puisque cela signifierait que le Rhône est asséché. De plus, si cela venait à seproduire, le territoire grand lyonnais pourrait recourir à une autre nappe (la nappemollassique) où l’eau se trouve en abondante quantité et de bonne qualité. Les études deMétéo France indiquent en revanche que le Grand Lyon sera très probablement confronté àde fortes sécheresses à long terme (prévisions pour 2070-2100). Bien que la ressource
1gCharlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyan2005-2006 Rapport de stage
existe en grande quantité dans les sous-sols lyonnais, il est certain qu’il faille finementétudier cette problématique (tant pour la diversification des sources que pour en définirl’utilisation) afin d’anticiper les conséquences des fortes sécheresses à venir.
1.2*2Alliance
The climate change vulnerability cf the Greater Lyon territory depends essentially onthe heatwaves risk.
kiatwaves rlsk sunrnIt has been demonstrated through scientific studies mat climate change is a major
cause cf the heat rise in Lyon. AIl ffie meteorological forecast models a temperaturesincrease of 2 to 6°C by 2100, and heatwaves as well as the one et 2003 will become normalsummer temperatures. During me summers te come, droughts and their consequences(torest tires, irrigation restrictions, etc.) have to be considered. Heatwaves risk is a majorissue in the city cf Lyon: during August 2003, the heatwave was associated with a largeincrease in the number of deaths (80% more). The part of ozone in this conjoinedtemperature-air pollution effect is insignificant (less than 2%). Therefore, the city cf Lyon haste adapt its heat behaviour and practices and its politics of monitoring and network.Ozone waves are aise a health issue. Policies must aim to reduce them and adapt behaviourcf the population.
f1QoJ.rJa.sximrnarY.With climate change, we cannot anticipate an intensification cf flood risk in the city cf
Lyon. This is due te the improvement cf the bed cf the Rhône which is now larger and so, itaccepts a bigger flow. But this risk is nevertheiess present and may have majorconsequences in certain parts of the urban area. Hcwever, ail the meteorological forecastmodeis announce a winter ram growth cf about 25 % by 2100. Therefore, the flood risk bystreaming should considerabiy increase in the urban area. Studies on this issue are beinglaunched te evaluate the evolution of this risk’s level and the actions te implement in order tereduce it in the future.
M&t.e spIv..rIsE..s.u.mmarvThe Lyon urban area is not exposed to a water supply risk: the climate change should
net affect the water table cf accompaniment cf the Rhone. Moreover, another water table(deep, full and in high quaiity) called “la nappe molassique” is available if the first one isaffected by drought. However, the water table cf accompaniment of the Rhone is almost theonly water supply of the Greater Lyon. Therefore, it is important te diversify this sourcebecause cf its potential water net collecting damages (pollution, floods, etc.).
1.3 La médiatisation du phénomène
1.3.! Pourquoi la réalisation d’une revue de presse ?
1.3.1.1 Contexte de l’étudeDans le cadre de l’élaboration du diagnostic du Plan Climat Territorial de
l’agglomération lyonnaise, le programme AMICA cherche appréhender précisément lavulnérabilité du territoire face au changement climatique. li est donc nécessaire de définirquels sont les risques auxquels le Grand Lyon est susceptible d’être confronté, à quel degré
17Chariène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
et à quelle échéance (court, moyen et long terme). Une première partie du programmeAMICA cherche donc à montrer si le Grand Lyon est exposé à trois principaux risquesretenus (les inondations, le manque de ressources en eau, les températures extrêmes [picsde chaleur, accompagnés de pics de pollution]).
La seconde partie du programme consiste à constituer une revue de presse pourappréhender la maniére dont les médias abordent cette problématique du changementclimatique, et de l’adaptation à ce phénoméne.
1.3.1.2 MgjaiQpJç.iLes articles parus dans la presse locale (Le Progrès et Lyon Capitale) et dans la
presse nationale (Le Monde, Libération, Le Figaro, Les Echos) et relatifs au changementclimatique, aux mesures de réduction des émissions de GES et à celles d’adaptation ont étéanalysés. Les recherches ont été effectuées aux services de documentation du Grand Lyonet de l’Agence d’Urbanisme de Lyon, services qui ont archivé les articles depuis le début desannées 1990.
Les dossiers consultés correspondent aux suivants:- « actions des collectivités locales et des associations en faveur de
l’environnement))- « politiques et actons du Grand Lyon et de la Ville de Lyon »- « pollution de l’air »- « environnement et industrie en Rhône-Alpes »- « tempêtes, chutes de neige »- « inondation, risques naturels, sécheresse »- « climat: revue de presse régionale 1989-2006 »- « canicule, pic de chaleur, revue de presse nationale, 2003-2005 »- « canicule, pic de chaleur, revue de presse régionale, 2003-2005 »
Parallèlement, nous avons cherché à analyser si la presse professionnelle (laGazefte des Communes, Le Moniteur et TechniCités) et la presse grand public abordaientces problématiques de façons différentes. Le cas échéant il s’agissait de comprendre dequelle manière et dans quel but. Nous avons choisi d’analyser les archives de la presseprofessionnelle à travers le service Internet pour tenter d’être le plus exhaustif possible.
Il est important de préciser que les revues de presses des services de documentationdu Grand Lyon et de l’Agence d’urbanisme n’ont pas la prétention d’être exhaustives.Cependant, elles offrent un panel représentatif des articles qui ont pu être édités depuis unequinzaine d’années sur le thème de l’évolution du climat
Nous avons centré nos recherches sur ces thèmes en s’efforçant, d’une part,d’évaluer comment les articles traitaient de ces problématiques (but et démarche de lamédiatisation). D’autre part, nous avons tenté de recenser les mesures d’adaptation à cesévénements de changement climatique et de réduction des émissions de CES d’ores et déjàmises en place par les collectivités territoriales (et particulièrement par le Grand Lyon).
1gCharlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
Des mots clefs ont été retenus pour effectuer les recherches:
1.3.2 La prise en compte du changement climatique dans la presse grand public
De nombreux articles traitent du « changement climatique », notamment â travers lesconséquences que ce phénomène provoque sur les territoires (événements climatiquesextrêmes, conséquences sur les écosystèmes) et sur la santé humaine. Ainsi, lesévénements climatiques dits « extraordinaires » sont analysés par la presse depuis 1994environ, avec une nette accélération de la fréquence de ce genre d’articles depuis 2000.
Ces événements météorologiques sont considérés, certes, exceptionnels, et c’estpourquoi de nombreux articles leur sont consacrés. Cependant les analyses de cesdocuments ne font pas explicitement état de la thése qui implique la responsabilité duchangement climatique dans l’apparition de plus en plus fréquente de ces événementsmétéorologiques extrêmes. On peut tout de même juger que depuis 2001 environ, la thèsedu changement climatique comme cause de ces événements est de plus en plus souventavancée par rapport à celle du hasard.Ce lien (changement climatique - événements météorologiques extrêmes) semble êtrefinalement implicite â travers la lecture de l’ensemble des articles où le lecteur est informé:- par certains articles, que le climat évolue du fait des pollutions atmosphériques (émissions
de SES);- par d’autres articles, que les activités humaines sont responsables de pollutions
atmosphériques (nuisibles à l’homme et à l’environnement) via l’industrie et lesconsommations énergétiques dans les transports et l’habitat;
- par une troisième catégorie d’articles, que des événements climatiques extrêmes seproduisent chaque année, mais pour lesquels on ne mentionne pas la ou les causespotentielles.
1.3.2.1Plusieurs orages particulièrement violents ont été recensés sur le territoire
grand lyonnais (octobre 2000, juin 2000, janvier 1995, juin-juillet-août 1994 par exemple). Demême, quelques tempêtes ont violemment touché les forêts et l’agriculture du territoirelyonnais (décembre 1999, février 1994). On peut aussi trouver dans la presse locale desarticles relatifs aux inondations engendrées par crues de la Saône ou par ruissellement etremontée des nappes (mars 2002 ou encore mai2001).
Le territoire a ainsi pu être jusqu’alors régulièrement confronté aux événementsclimatiques suivants : inondations de la Saône, coulées de boues, grêle, orages violents.
19Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
politiques Événements Actionschangement climatique canicule, températures énergies renouvelables
extrêmes
réchauffement climatique inondation(s) architecture bio-climatiquepolitique d’adaptation au pollution(s) atmosphérique(s) transport(s) durable(s)changement climatique (péage urbain, zones 30,
biocarburant, etc.)adaptation au changement pluies intenses - orages Agriculture, filière biologique,climatique violents - grêle filières locales, etc.réduction des émissions deSES
Cependant, les articlent ne mentionnent pas explicitement le changement climatique commepotentielle cause de leur fréquence de plus en plus élevée.
1.3.2.2
Généralement les articles analysant les pics de chaleur lient celle thématique â cellede la pollution atmosphérique, et notamment à la pollution à lozone. Par ailleurs, la majoritédes articles ne semble pas spécifiquement lier les fortes chaleurs estivales â laproblématique du réchauffement climatique. On évoque en effet la répétition annuelle de cesphénomènes de températures élevées: « tous les étés, c’est pareil: des grosses chaleurs,peu de vent et des pics de pollution » (Le Progrès, 27/07/1999), «comme chaque année,avec le beau temps, les pics de pollutions », «une fois n’est pas coutume : la moitié nord del’hexagone a d’avantage souffert à la hausse du mercure que la partie méridionale. Denombreux records de chaleur ont été battus, provoquant la hausse de la pollution de l’air »(Le Progrès, juin 1996).
1.3.2.3 Les sécheressesEn revanche, d’après l’échantillon d’articles consultés, des rubriques relatives aux
sécheresses révèlent, dès 1997, un possible lien de causalité entre le phénomène deréchauffement climatique et les sécheresses. Deux articles du Monde parus en avril 1997 enfont état : « les causes de ce phénomène [de sécheresse) pourraient être recherchées ducôté du réchauffement climatique » et « à la demande du Ministre, une étude est par ailleursen cours pour déterminer l’incidence de l’effet de serre qui provoque le réchauffementclimatique, mais il est encore trop tôt, selon Mme Lepage, pour en tirer des conclusions‘une chose est sure, c’est que la situation s’aggrave d’année en année’ a-t-elle conclu. »
Il est toutefois intéressant de souligner qu’en novembre 1991, l’hebdomadaire LeTout Lyon expliquait par le fruit du hasard, et non pas par la thèse du réchauffementclimatique, la succession exceptionnelle des trois années de sécheresse (étés 1989-1991).
1.3.2.4 QPJtLQQSmp5pJELcua@Parallèlement, les articles qui traitent de la pollution atmosphérique sont
principalement en lien, non pas avec les augmentations extrêmes de températures, maisavec les impacts sanitaires (diminution de la fonction respiratoire, aggravation asthmique parl’exposition â l’ozone, et sur le long terme, augmentation de la probabilité de cancerpulmonaire), la sécurité et la problématique de l’amélioration de l’environnement et de laqualité de vie.
Alors qu’il est aujourd’hui établi que l’ozone est responsable d’impacts sanitairespouvant entraîner des décès, il est intéressant de constater que cela ne paraissait pas aussi« évident » il y a moins d’une dizaine d’années. En effet un article Progrès datant du13/08/1999 était intitulé « l’ozone n’a jamais tué personne». Il en va de même pour l’articledu 19108/1997 paru dans Libération : « Inhaler l’ozone est irritant, guère plus ».
Ces articles font référence aux transports (routier et aérien) et à l’industrie commesecteurs responsables de ces pics de pollution atmosphérique ; ils évoquent trèsminoritairement les secteurs du bâtiment et du tertiaire, puisque la responsabilité de cesderniers a été prise en compte plus tardivement par les pouvoirs publics français.
20Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
1.3.3 L’adaptation au changement climatique, une problématique tout justeémergente dans la presse grand public
Lorsque les articles traitent de mesures relatives au changement climatique, il s’agittoujours d’actions de lutte contre ce phénomène. La presse évoque des mesures permettantde réduire les émissions de SES (tant dans les domaines de l’industrie, des transports, del’habitat ou encore plus minoritairement de l’agriculture).
La médiatisation de ces mesures avait, au départ, plus un but de protection del’environnement en général. Ainsi, les articles relatifs aux actions menées par le Grand Lyonet la Ville de Lyon dans ce cadre sont pour la plupart de l’ordre de:- l’information et la sensibilisation des citoyens à la problématique environnementale. Les
conférences, expositions ou encore sorties sur le terrain proposées par les communes etl’intercommunalité permettent d’éduquer la population à des gestes respectueux del’environnement, et à prendre conscience de la nature qui les entoure;
- mesures de nettoyage pour la propreté du territoire afin d’améliorer la qualité de vie deshabitants. Ces actions sont effectuées par les communes en y associant fréquemment lescitoyens (gestion des espaces verts, nettoyage de la ville (graifs, trottoirs, etc.), nettoyagede printemps des rivières, des sentiers, etc.). En plus de l’amélioration du cadre de vie, ilne faut pas négliger la vocation éducative de ces actions qui correspondent à un réelprogrammede sensibilisation à l’environnement des habitants:
- mesures concernant le tri des déchets ménagers (mesures en faveur del’environnement)
- lutte contre les pollutions de l’eau, de l’air (actions sur la valorisation des transports encommun et des efforts de l’industrie) et des pollutions sonores.
On peut tout de même remarquer aujourd’hui que la thématique de lutte contre lesémissions de SES dans le but d’enrayer la tendance du changement climatique apparaît deplus en plus. Des politiques écologiques relatives au <développement durable » sontlargement mises en avant avec:- la réalisation d’Agenda 21 (Feyzin, Lyon, Rieux-la-Pape)- le recours à des énergies renouvelables (installation de panneaux solaires à Villeurbanne
ou à Corbas, mise en place de chaufferies bois à Vénissieux, utilisation de biocarburants,etc.).
En revanche, aucun des articles traitant de ces actions ne met en lien ces politiquesou ces actions à des mesures d’adaptation au changement climatique. Le terme d’adaptationn’est lui-même d’ailleurs jamais évoqué dans la presse grand public.
Cette constatation montre bien que le changement climatique est un phénomène prisen compte par la société, et les réponses politiques apportées quelque peu décalées parrapport aux connaissances actuelles sur ce sujet En effet, le consensus scientifique affirmedepuis peu qu’une augmentation des températures est inévitable d’ici à 2050 du fait de larétroactivité du C02. Les réponses en terme de lutte contre le changement climatique neconcerneront que les évolutions post-2050. De fait, ces politiques sont à compléter par desmesures d’adaptation à cette évolution climatique irréversible. Le fait de ne pas médiatisercette « nouvelle donne » prouve sa prise en compte tardive par la France que ce soit auniveau national ou à l’échelle locale de l’agglomération lyonnaise.
21Charlêne ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
1.3.4 Le changement climatique et la presse professionnelle
Tout comme pour la presse destinée au Grand Public, la presse professionnellepropose des sujets qui sont relatifs à la problématique de la lutte contre le changementclimatique, c’est-à-dire à la réduction des émissions de GES Très peu font l’objet dediscussions concernant l’adaptation au changement climatique.
En revanche, des solutions y sont décrites plus spécifiquement que dans la pressegrand public (zoom sur les modes de transport durables, sur les éco-architectures, etc.) desdossiers sont consacrés aux mesures exemplaires, aux bonnes pratiques prises parcertaines communes. De plus, la presse professionnelle propose toute une série d’articlesrelatifs à l’évolution de la réglementation (textes de loi, plans et programmes européens etnationaux), des codes juridiques (Code de l’Habitat et de la Construction par exemple), etc.
Seul un article de la Gazette des communes traite de l’adaptation au changementclimatique: « L’adaptation au changement climatique, l’affaire de tous ». Il a été publié endécembre 2005 par le président de I’ONERC, Paul VERGES.
Les 28 autres articles traitant explicitement du changement climatique décrivent tousdes mesures de « lutte contre le changement climatique » (biogaz, nucléaire, architecturebio-climatique, mesures sur l’éclairage public, mesures sur les transports, etc.). Sans citerexactement l’expression « adaptation au changement climatique », plusieurs articles traitentdes politiques d’aménagement et d’urbanisme des communes littorales qui subissent dès àprésent les conséquences du changement climatique sur leurs territoires en bord de mer
TechniCités ne propose aucun article référençant directement l’< adaptation » auchangement climatique. En revanche, de plus en plus d’articles relatifs à la maîtrise del’énergie sont publiés, et ce pour tous les secteurs. A en voir l’évolution de leur fréquence depublication, il est aussi possible d’affirmer que les thèmes du changement climatique et de lalutte contre les pollutions sont de plus en plus ciblés par ce magasine. Cette problématiquedu changement climatique est donc en train d’être peu à peu prise en compte dans lespratiques d’aménagement-urbanisme.
Il en va de même pour le magazine Le Moniteur, puisqu’aucun article ne traitedirectement de la problématique de l’<c adaptation » au changement climatique. Denombreux articles relatifs au changement climatique sont d’ordre réglementaire. Laconception et la gestion des bâtiments économes, ainsi que leur portée en matièred’économies d’énergie et donc de réduction des émissions restent le sujet principal desarticles du Moniteur
1.3.5 Synthèse
1.3.5.1 rLQQfr?n.iLa problématique du changement climatique est effectivement prise en compte par
les médias locaux et régionaux, progressivement depuis une dizaine d’années, et demanière plus régulière depuis 2001. Cependant, la presse (professionnelle ou grand public)reflète les discours politiques puisque, l’adaptation au changement climatique n’étant unsujet considéré que récemment, il n’en est pas encore réellement question dans les articlesde presse, à l’inverse de la lutte contre le changement climatique qui est une problématiquetraitée depuis plus longtemps. On se rend d’ailleurs compte que les seuls articles traitant de
22Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistére 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
la problématique de l’adaptation au changement climatique sont publiés par I’ONERC qui estl’organisme en charge d’étudier ce sujet
La presse grand public cherche essentiellement à expliquer scientifiquement lephénomène : qu’est-ce que le changement climatique, peut-on l’appréhender, quelles ensont les causes et les conséquences ? Pour démontrer ce phénomène, les événementsmétéorologiques extrêmes (températures extrêmes, intempéries) sont listés, comparés d’uneannée à l’autre et ont valeur de preuve de ce changement du climatToutes les solutions proposées ont pour but de lutter contre le changement climatique iln’est aucunement question d’adaptation. Ces solutions sont d’ordre global : actions sur lestransports (TC essentiellement, biocarburants, recherches techniques relatives aux moteursalternatifs), le secteur de l’habitat (énergies renouvelables essentiellement) et l’industrie. Lesexpérimentations pour lutter contre le changement climatique (recours aux énergiesrenouvelables essentiellement) à l’initiative des collectivités locales sont elles-aussimédiatisées.
Étonnamment, il en va de même dans la presse professionnelle : le concept deI’< adaptation au changement climatique » n’est pas traité seul un article du président deI’ONERC explique dans la Gazette des Communes ce possible volet d’actions dans ledomaine du changement climatique. Il est en revanche grandement question de la luttecontre le changement climatique. Les articles réglementaires et juridiques (lois, plans etprogrammes, évolution des codes juridiques) y ont une place importante. On trouve aussidans la presse professionnelle de nombreux articles plus techniques spécialisés dans lesmodes alternatifs de transports (biocarburants, hydrogène, etc.), de conception de l’habitat(architecture bio-climatique, avis d’experts, etc.).
1.3.5.2The general public press and professional press as well deal more and more often
since 2000 with the climate change issue. They publish lots of articles about causes of thisphenomenon (human activities: transports, agriculture, industry, etc.) and its consequenceson the planet (rise of the CO2 emissions, etc.).
The largest majority of these articles deal with mitigation of climate change:programs, tools, techniques, etc., allowing the reduction of the power consumption and theC02 emissions. For instance, the written press explains which kinds of action people coulddo in the fields of transport (using public transport, biofuel, etc.), buildings (bioclimaticarchitecture, using renewable energies, control of energy in residences, etc.), industry,energy, etc.
On the other hand, the theme cf the adaptation to climate change is not really oftentranslated to the press. In fact, this subject (adaptation to clirnate change) is new in publicpolicies and therefore, it is not yet a subject tackled by the press. Only two articles deal withadaptation te climate change, but they corne from the institute in charge of these problems.
The topic of adaptation to climate change is becoming increasingly current in publicpolicies, and the press should also be interested in it in future.
23Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
2. L’audit des services communautaires
2.1 Méthodologie
2.1.1 Objectifs de l’enquête
Le second volet du programme AMICA consiste en la réalisation d’un audit de lacollectivité territoriale, Il s’agit d’établir un état des lieux des actions et mesures en matièrede climat menées actuellement par la structure tant dans ses politiques publiques que pourson fonctionnement interne. En cours d’élaboration, la politique climatique du Grand Lyonn’est évidemment pas formalisée. Cet audit permet donc de recenser les actions en faveurdu climat qui sont dores et déjà mises en oeuvre sectoriellement afin de créer une base dedonnées de l’existant, socle de la future politique climatique.
Cet exercice avait pour vocation non seulement d’appréhender les politiquesde chaque service dans le domaine du climat, les pratiques qui s’y effectuaient, mais ausside sensibiliser le personnel communautaire au plan climat territorial (PCT) en cours deréalisation. Des employés des différents services communautaires ont donc été invités à unentretien sem i-directif .
Dans le cadre du programme AMICA, cet audit est aussi réalisé dans le but decc comparer » les différentes collectivités partenaires dans l’avancement de leurs politiquesclimatique. Il ne s’agit aucunement d’une comparaison visant à établir une hiérarchie entreles partenaires, mais plus d’une manière de réaliser un regard croisé entre les institutionsparticipantes. En cela, il est possible d’échanger sur leurs méthodes respectives et parl’expérience de chacune, d’en faire ressortir les potentiels leviers d’actions permettantl’élaboration de la politique climatique intégrée.
2.1.2 La méthode utilisée: les matrices de Climate Compas
La méthodologie employée pour réaliser cet audit, Climate Compass, a été élaboréepar l’association Climate Alliance, leader du programme AMICA.
Cette méthode « imposée)) dans le cadre du programme AMICA est spécifique. Eneffet, la plupart des méthodes assistant à la réalisation des politiques climatiques intégréessont conçues pour des collectivités importantes qui ont les moyens logistiques et financiersd’exiger une analyse précise de leurs émissions de GES et de définir un réel programmepour leurs réductions. Par exemple, dans le cadre du programme REVE, la méthodeemployée, European Energy Award® (EEA)5 est plus complexe à mettre en oeuvrepuisqu’elle est plus précise du fait de la notation des actions analysées. A l’inverse, ClimateCompass est conçue pour fournir une approche rapide et rentable, appropriée à descollectivités de toute taille, pour élaborer un programme d’actions complet dans le cadred’une politique climatique.
En effet, cette méthodologie ne nécessite pas l’élaboration d’études par des expertsexternes qui engendreraient des coûts importants et allongeraient les délais. De plus, leprogramme d’actions a été élaboré et expérimenté par d’autres collectivités, ce qui en assurela faisabilité et le résultat
La liste des interviewés se trouve en annexehttp:llwww.hespul.orp/Propramme-RE\1E-Jura.Lemanhtml
24Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
L’outil-support de cette méthodologie, la matrice dévaluation, a été élaboré lors d’unprogramme européen de trente mois, s’appuyant sur des retours d’expériences (sur unequinzaine d’années) des collectivités-partenaires de Climate Alliance.
2.1.2.1
L’outil de la méthode Climate Compass, appelé the compendium measures, seprésente sous forme de plusieurs matrices d’évaluation des politiques climatiques localesactuelles. Chaque matrice correspond l’analyse d’un secteur où la collectivité a la possibilitéd’agir pour réduire les émissions de GES. Ainsi, dix secteurs ont été considérés et font doncl’objet d’une évaluation spécifique:
- la politique climatique- l’urbanisme- les transports- l’énergie
- l’agriculture- la forêt- l’eau- les déchets
- l’approvisionnement en fournitures- la coopération globale
Les matrices de Climate Compass offrent une structure de base pour sélectionner lesmesures potentielles d’un programme d’actions local du climat. Elles proposent desstratégies à suivre pour développer une politique climatique cohérente et complète àl’échelle locale. Chaque matrice tente de fournir la gamme complète des mesurespotentielles dans le domaine pour lequel elle a été élaborée, composant ainsi une vued’ensemble des leviers d’actions par secteur.
Chaque ligne de la matrice (ABC,...) correspond à une action stratégique. Lespremières actions sont globales. Plus l’on progresse dans la matrice, et plus les actionsdeviennent spécifiques.
Chacune des actions stratégiques est subdivisée en mesures qui correspondent àleur niveau d’ambition. Ainsi, quatre niveau d’avancement sont déterminés: démarrer,progresser, travailler dans une vision à long terme, et enfin, atteindre une politiqued’excellence.
Le tableau suivant correspond à un extrait de la matrice d’évaluation de la politiqueclimatique dans l’urbanisme. Son explication permettra d’illustrer l’utilisation de l’outild’évaluation.
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Identifer les leviers d’aconset les obstacles liés à la miseen wuure d’une pohbauece
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lntéger et améliorer lescompétences au regard deschangements cimahques
6 Afin de rendre l’outil exploitable pour l’audit, il a tout d’abord été nécessaire de le traduireintégralement de l’anglais au français. Nous reviendrons plus tard sur les problèmes engendrés parcette étape de traduction.
_______________
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?‘ renvironnementFigure B: Extrait de la matrice d’évaluation dans le domaIne de l’urbanisme (source; Cilmate Alliance)
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
Stage de fin d’étudesGrand Lyon
Rapport de stage
La première action stratégique dans e domaine de l’urbanisme consiste en ladéfinition d’objectifs pour l’ensemble des domaines d’intervention liés à l’aménagement (*1).Pour réaliser celle action, la première mesure proposée consiste à recenser l’existenced’éléments relatifs à la réduction des émissions de GES dans les politiques publiques del’occupation des sols, des transports et de l’environnement (*2). Pour continuer cette action,la méthode propose d’identifier les leviers d’actions et les obstacles liés à la mise en oeuvred’une politique climatique (*3). L’étape suivante revient à recenser les structuresopérationnelles compétentes pour porter les démarches de lutte contre le changementclimatique (*4). Et enfin, une politique d’excellence pour mettre en oeuvre cette stratégiecorrespond à intégrer et améliorer les compétences des métiers au regard des changementsclimatiques (*5)
L’évaluation de la politique climatique du Grand Lyon a ainsi été élaborée encomplétant cet outil-support. li s’agissait de savoir, secteur par secteur, si chacune desmesures était totalement ou partiellement réalisée, en cours de réalisation ou en réflexion,ou si rien n’avait été mis en place jusqu’à ce jour.
Les matrices ont donc été remplies selon un cade visuel défini par le Grand Lyon(voir la figure ci-dessous) permettant de faire apparaître l’état d’avancement de chaquemesure au sein du Grand Lyon. Une brève note permet d’expliquer comment chaque mesureest appliquée dans la politique de la Communauté Urbaine de Lyon.
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Figure 9: Intégration des informations dans les matrices d’évaluation
Pour remplir ces documents, une première série de recherches a été effectuée dansles documents d’urbanisme (PLU, POU, PLH, etc.) et dans les politiques en lien avecl’environnement (Agenda 21 et son référentiel notamment). L’audit des servicescommunautaires a permis de compléter les premières informations retenues, notamment ausujet des pratiques de chaque direction.
2.1.2.2
L’évaluation de la politique climatique du Grand Lyon est une démarche récente etqui n’a pas de précédent. Dans le temps qui était imparti pour réaliser cet audit, il était aiséd’avoir recours à une méthode déjà déterminée et qui plus est, expérimentée et reconnuepar d’autres collectivités européennes.
Cet outil est intéressant principalement parce qu’il a permis d’avoir rapidement unevision globale et la plus exhaustive possible des mesures de réduction des émissions de
26Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
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GES qu’une collectivité pouvait entreprendre. De plus, il permettait de balayer l’ensembledes services communautaires, et de cibler les questions spécifiquement autours des actionsqui correspondaient significativement à leurs domaines d’intervention respectifs.
Par ailleurs, toutes les collectivités partenaires réalisent leur audit de manièresimilaire, c’est-à-dire en complétant le compendium measures. Cette base commune rendplus efficace les regards croisés qui constituent le troisième volet du programme AMICA. Eneffet, alors que les réglementations, les instances ou encore les pratiques sont différentesselon les pays, la matrice d’évaluation permet de les objectiver et d’en ressortir les pointscommuns ainsi que les éléments divergents.
Bien qu’il soit globalement très performant, cet outil présente aussi plusieursinconvénients dans sa nature et dans son application.
Comme tout dispositif, le compendium measures n’est pas parfait et peut être critiquéen plusieurs points. Ces critiques relévent essentiellement de « conflits de cultures » entreles partenaires européens.
Tout d’abord, cet outil a été réalisé par l’association Climate Alliance, dont la plupartdes membres sont des collectivités allemandes. De ce fait, il retranscrit une certaine manièrede penser les politiques et les pratiques qui ne correspond pas toujours à l’ensemble despartenaires. En effet, on peut se rendre compte que contrairement à un raisonnement« français », la logique germanique est empirique. En Allemagne, on commencegénéralement par mettre des actions pragmatiques en place, pour ensuite en dégager deplus larges orientations, voire une stratégie. En revanche, l’étape de conceptualisation estprioritaire en France: on réfléchira en premier lieu aux grandes directions que l’on souhaiteentreprendre, directions que l’on déclinera ensuite par un programme d’actions.
Cette différence apparaît à de nombreuses reprises dans la matrice, ce qui a parfoispu gêner les interviewés pour compléter la matrice. En effet, il semblait illogique d’atteindreune politique d’excellence sans avoir réalisé les premières étapes du processus de mise enoeuvre des actions stratégiques. Cela étant, une fois celle subtilité relevée, il était possiblede passer outre et de préciser qu’en France les pratiques sont différentes.
De la même manière, certaines stratégies ou mesures peuvent correspondre à despratiques allemandes alors qu’elles sont antagonistes à des pratiques françaises. Un desexemples les plus frappants concerne le secteur du traitement des déchets. Alors que lapolitique d’excellence pour la collecte et le tri des déchets serait, en Allemagne, de fermertoutes les décharges municipales, l’objectif du Grand Lyon est au contraire de les valoriser,puisque l’on considère en France que la décharge est un maillon à part entière de la filièrede traitement (voir figure suivante).
« La déchargea nu avenir: le centre de stockage>:- « C’est un maillon incontournable de toute filière de traitement »- Le stockage est un mode de traitement à part entière (et non par défaut) un vrai mode
de traitement assorti de règle de l’art, qui s’intègre dans un savoir éliminer>- « Ce mode de traement est économiquement compéfltif, techniquemént évolué et
performant au niveau de l’impact environnemental>
Figure 10: Importance des décharges (extrait de la revue Techniques - Sciences et Méthodesde I’AGTHTM)
27Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
Par ailleurs, il est parfois difficile de comprendre la logique qui lie les actionsstratégiques les unes aux autres. Cela rend plus complexe non seulement la compréhensionglobale de la politique, mais aussi la manière de répondre et donc d’analyser l’étatd’avancement de la collectivité. Par exemple, la mise en place d’un système de taxation pourinstaurer une politique climatique en matière de déchets est déclinée par trois premièresmesures concernant l’application de taxes et de redevances. Or, la politique d’excellence decette action stratégique fait référence à l’amélioration de techniques de ramassage et de tri,ce qui n’a finalement rien à voir avec un système de financement.
Enfin, l’outil a été conçu pour s’appliquer facilement à toutes les collectivités. Or, il estévident que d’un pays à l’autre, les compétences attribuées aux collectivités territorialesdivergent. Il en va de même entre les collectivités de chaque pays. De ce fait, en contrepartied’un outil global, les mesures proposées ne sont pas forcément toutes adaptées à lastructure auditée, ce qui n’en facilite pas la compréhension, et encore moins l’applicationdirecte par la suite. Cela semble cependant logique puisqu’une « politique climatique clé enmain » reste du domaine de l’utopie. Chaque collectivité doit donc réaliser un travailcomplémentaire pour adapter plus précisément les matrices à chaque type de collectivité.
2.2 Les éléments d’une politique climatique non formalisée
L’audit a permis de remplir la matrice le plus exhaustivement possible7. Denombreuses actions de réduction des émissions de CES ont alors été recensées. Etantdonné qu’il n’existe pas de politique climatique clairement définie à l’heure actuelle, cesactions ne sont généralement pas en lien les unes avec les autres.
Les matrices sectorielles complétées répertorient l’ensemble de ces actions8.Cependant, plusieurs actions phares de réduction des émissions de CES ont été mises enavant par les services. La plupart concernent les politiques engagées par le Grand Lyondans le cadre de ses compétences (habitat, transport et agriculture). D’autres visent plusparticulièrement l’organisation et le fonctionnement mêmes de l’institution.
2.2.1 Des éléments sectoriels phares dans les politiques publiques menées par leGrand Lyon
2.2.1.1
Les constructions ont de fortes conséquences sur les territoires (consommationsd’énergies fossiles non renouvelables, pollutions atmosphériques, effet de serre, gestion desdéchets de chantiers, risques sanitaires, etc.). Après celui des transports, le logement est lesecond secteur à avoir vu ses consommations d’énergie et d’émissions de CES augmenterentre 1990 et 2002 (la corrélation directe entre les consommations énergétiques et lesproductions de CES étant prouvée). Le Grand Lyon a donc choisi de s’engager dans unepolitique « durable » de l’habitat pour répondre à l’enjeu énergétique et ses conséquencesdans le champ de la construction.
La liste des services qui n’ont pas été audités est consultable en annexes.Les matrices complétées sont consultables en annexes.Référentiel pour la 0E dans la construction de logements neufs, consultable sur le site Internet del’ALE de l’agglomération lyonnaise: httD:llwww.ale-lvon.orp/HQE.htm
28Charlêne ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
Pour réduire les émissions de C02 dans ce secteur, il est important d’agir â la foissur l’offre (diversification des sources) et sur la demande en énergie (politique de sobriétéénergétique). Ce second levier d’actions repose sur une réflexion territoriale globale, c’est-â-dire sur l’imbrication de plusieurs échelles d’actions: celle de la politique d’expansion (lienentre périurbanisation et densification), celle de la typologie de l’habitat (impact de l’habitatcollectif, alternatif et individuel), celle de la parcelle (implantation du bâtiment) et celle dubâtiment (qualité environnementale du bâtiment: choix techniques).
Les modes de construire ont aujourd’hui évolués et l’on est en mesure de construiredes bâtiments de grande qualité environnementale (QE), énergétiquement performants. Ils’agit principalement en France de la démarche HQE (d’autres démarches similaires existentcomme Minergie ou Passiv’Haus),
Le Grand Lyon cherche donc aujourd’hui à répondre aux enjeux environnementauxdans le secteur de l’habitat de manière systématique, à travers une politique en matière dequalité environnementale des bâtiments. Basé principalement sur l’expérimentation RESTART (programme européen pour la construction de logements sociaux HQE), unréférentiel pour la construction durable a été élaboré par le Grand Lyon, l’ALE del’agglomération lyonnaise et I’ADEME. Il s’appuie sur trois principes:
- une grande qualité du bâti à travers un niveau de performances à atteindre,correspondant aux 14 cibles de la démarche HQE;
- une approche synthétique et transversale: les quatre échelles de réflexion doiventêtre prises en compte;
- un système de management environnemental (SME) porté par le maître d’ouvrage,garantissant le respect de la prise en compte de la QE et des moyens mis en oeuvrepour y parvenir à chaque étape de l’opération (garantie de la procédure et non pasdes résultats).
Un niveau de performances â atteindre, notamment concemant la gestion del’énergie et la gestion de l’eau, est clairement défini et doit être respecté. Ce niveau minimald’exigences est basé sur les performances effectives des meilleures opérations duprogramme d’expérimentation RE-START. Celle base d’exigences est supérieure à celles dela réglementation 2005. Les maîtres d’ouvrage sont invités à dépasser ces exigences enapportant des réponses plus ambitieuses ou en traitant d’autres thèmes non obligatoires.
Ce « référentiel pour la QE dans la construction de logements neufs)) (ou RéférentielHabitat Durable) correspond â (‘un des trois outils opérationnels mis en place par le GrandLyon pour répondre à cet engagement de réduction des émissions de GES dans le secteurdu logement Porté par la mission Habitat du Grand Lyon, validé politiquement en 2004, leréférentiel est aujourd’hui annexé au PLH : dès 2007, l’ensemble des logements construitssur des terrains communautaires ou avec l’aide financière du Grand Lyon devront désormaisrespecter les exigences du Référentiel Habitat Durable.
Ainsi, pour la vente de terrains à vocation de construction de logement, des modalitésde cession ont été ajoutées dans les documents de consultation : l’engagement du maîtred’ouvrage relatif au respect du référentiel est aujourd’hui un critère incontournable dansl’acquisition d’un terrain communautaire. La DGDEI travaille aujourd’hui à l’élaboration d’unsystème de contrôle du respect de cet engagement.
L’ALE et le Grand Lyon travaillent aujourd’hui sur l’élaboration de référentiels dumême type pour les bureaux et pour la réhabilitation.
29Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
2.2.1.2 .L’AkLLJ Q_O_U J2[iit?flt?SiQDL’Analyse Environnementale et Urbaine (AEU) est un outil d’aide à la décision
soutenu par la délégation Rhône-Alpes de I’ADEME, Axée sur sept thèmes (choix d’énergie,gestion des déplacements, des déchets, de l’eau, environnements sonore et climatique, solspollués), I’AEU vise à croiser aménagement urbain et environnement pour définir les prioritésà atteindre en vue d’un aménagement répondant aux critères du développement durable.
Sous forme d’une assistance à maîtrise d’ouvrage, I’AEU allie diagnosticenvironnemental et recommandations urbanistiques et architecturales pour une plus grandecohérence des projets urbains. Cette démarche est testée depuis 2002 sur les ZACpubliques du Grand Lyon.
Les premiers retours d’expérience montrent que l’AEU permet une meilleure prise encompte des atouts et contraintes du site, ainsi que des nuisances susceptibles de naitre àl’occasion d’un projet et contribuer à terme à une amélioration du cadre de vie, du confort etde la santé des habitants, tout en réduisant l’impact de l’urbanisation sur l’environnement etl’effet de serre. L’AEU est aujourd’hui inscrite dans l’Agenda 21 du Grand Lyon et s’appliquesystématiquement aux opérations publiques d’aménagement. Celle démarche doitmaintenant, s’étendre dans le cadre de conventions publiques d’aménagement etd’opérations diffuses.
Alors que le Grand Lyon engageait les AEU au niveau des études mises en oeuvrepar le service urbanisme opérationnel (SUO), la Communauté Urbaine cherche depuis 2005à les instaurer plus en amont des projets. En effet, plusieurs exemples ont montré que leurintégration au niveau de l’opérationnel arrivait trop tard, engendrant souvent la modificationde la trame-même du programme. Il revient donc aujourd’hui au niveau de l’urbanismeterritorial (UT) de les inclure lors de la définition du schéma de composition urbaine. LesAEU font donc dès lors partie des invariants des opérations.
2.2.1.3
Avec la Loi sur l’Air et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie (LAURE, 1996),l’élaboration d’un PDU (Plan de Déplacements Urbains) est une obligation légale pour lesagglomérations de plus de 100.000 habitants. «Le PDU définit les principes de l’organisationdes transports de personnes et de marchandises, de la circulation et du stationnement, dansle Périmètre des Transports Urbains (...). Il vise â assurer un équilibre durable entre lesbesoins en matière de mobilité et de facilité d’accès, d’une part, et la protection del’environnement et de la santé, d’autre part. »°
Il s’agit donc d’un outil opérationnel contribuant à la réduction des émissions de GESdont le Grand Lyon s’est doté en 1997. Ce document affichait alors deux objectifsprincipaux: d’une part, la promotion d’une autre image de la ville à travers la coexistenceharmonieuse de tous les modes de transports, et d’autre part, créer une réelle alternative àla voiture individuelle en améliorant le réseau de transports en commun.
C’est dans le cadre du POU que les deux premières lignes de tramway ont été crééessur l’agglomération lyonnaise, que l’intermodalite a été promue par la création de parcsrelais, et que l’on a cherché à développer les modes de transports doux (marche à pied,vélos, rollers, etc.). Une charte d’aménagement des espaces piétons et un plan vélo ontdonc vu le jour.
Le Plan de Protection de l’Atmosphère (PPA) en cours de réalisation au Grand Lyonest, lui aussi, une obligation légale pour les villes de plus de 250 000 habitants. Il concerne la
ID LAURE, extrait de l’article 1430
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
réduction des poflutions locales et ne prend donc a priori pas en compte les émissions deCES. Toutefois, les orientations qui seront prises dans le cadre du PPA, notamment auniveau des transports, impacteront aussi sur les CES. En outre, le PPA s’imposent au PDU.
Révisé dés 2003 et approuvé en 2005, le second PDU de l’agglomération lyonnaiseprésente une plus forte politique encore en matière de déplacements doux. En effet, en plusd’améliorer le réseau TC existant, le PDU intègre différents outils opérationnels visant à laréduction des émissions de GES dans le secteur des transports.
Tout d’abord, le Plan de Développement des Modes Doux (datant de 2003) reprenantles documents cadres existants (la charte de développement de l’usage du vélo et la chartepiétons) fait aujourd’hui partie intégrante du PDU (actionl7). Ce document donne le cadred’actions et définit les moyens financiers de la promotion des modes doux de transport. Ilpermet entre autres de créer de nouvelles pistes cyclables et d’encourager le citoyen à sedéplacer en vélo en améliorant la sécurité sur le réseau existant. La promotion du serviceVélo’v mis en place en 2005 (mise à disposition des citoyens un parc de vélos de ville enlocation court terme) est un des outils expérimenté par le Grand Lyon pour inciter àl’utilisation des modes doux. Des études sur le report modal de ce service sont en cours. Onpeut toutefois déjà annoncer que le report de l’utilisation de la voiture sur le vélo est faible;les utilisateurs de vélo’v correspondent en effet principalement aux utilisateurs des autrestypes de TC. Cependant, cette opération est loin d’être sans effets sur la représentation destransports en ville le vélo y occupe maintenant une place à part entière, ce qui devraitcontribuer, à terme, au changement des pratiques de transport dans l’agglomération.
Par ailleurs, le Grand Lyon a adopté un Plan de Déplacement Administration (PDA).Ce dernier vise à limiter l’usage de la voiture pour les déplacements « domicile — travail » parun ensemble de mesures portant sur les déplacements tous modes des salariés. Parexemple, en contrepartie d’une voiture de service, la Communauté Urbaine, en partenariatavec le SYTRAL, peut prendre partiellement en charge l’abonnement au TC de l’employé.Une offre de covoiturage est aussi développée. Ainsi, plusieurs options s’offrent à l’employépour éviter d’utiliser son véhicule personnel et contribuer, entre autres, à la réduction desémissions de GES de l’administration. Toutefois, il faut relativiser les résultats du PDA misen place par le Grand Lyon en 2005, puisque peu d’employés s’y sont investis jusqu’àprésent. Cependant, il existe des signes encourageant la mise en oeuvre du PDA, comme unnombre important d’achats de cartes de TC via le partenariat collectivité - SYTRAL.
Enfin, un troisième programme incitant à réduire l’utilisation de la voiture individuellea été mis en place depuis 2001 par le Grand Lyon. Les Plans de Déplacements DomicileEcole (PDDE), qui s’illustrent principalement la réalisation de projets Pédibus. Ces dernierscorrespondent à la mise en place d’itinéraires piétons ou cyclables empruntésquotidiennement par des groupes enfants accompagnés par quelques parents: « LePédibus a tout du bus : ligne, arrêts, passagers mais pas de moteur A tour de rôle, desparents volontaires conduisent â pied un groupe d’enfants vers l’école, tout en faisant desarrêts sur le trajet pour récupérer des enfants qui rejoignent le convoL Ce type de ramassagescolaire peut également être effectué à vélo)> (Lettre d’info du Pedibus n°1, 2006). Ceprogramme a non seulement pour but de réduire les émissions de CES dues aux nombreuxdéplacements de ce type, mais aussi de sensibiliser parents et enfants aux alternatives dedéplacement.
31Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
2.2.1.4
Le maintien de l’agriculture périurbaine fait aujourd’hui partie des préoccupations desacteurs politiques de la Communauté Urbaine lyonnaise. En effet, la pression foncièreimportante et le cours national d’achat des céréales rendent la pérennité des exploitations detailles modérées difficile.
De ce fait, les agriculteurs du GEDA (groupe d’études et de développement agricole)cherchent des voies de diversification pour leurs cultures et de nouveaux débouchés. Cesagriculteurs sont ainsi prêts, dans le cadre du développement durable, à développer desmodes expérimentaux de relations entre les espaces périurbains et urbains dont ilsdépendent.
C’est dans ce contexte que le GEDA a entrepris l’étude d’un projetd’approvisionnement des chaufferies des communes du territoire par du grain-énergie. Celleétude compare les bilans énergétiques et l’impact de différentes sources d’énergies (grainénergie, granulé-bois et combustibles fossiles). Il en ressort finalement que le projet grain-énergie est particulièrement intéressant d’un point de vue climatique puisque ce combustibleest aujourd’hui reconnu comme un bio-combustible avantageux. En effet, son efficacitéénergétique et son bilan effet de serre sont intéressant et compétitifs par rapport au granuléde bois et aux combustibles fossiles. Par ailleurs, il est démontré que le grain-énergie trouvetout son intérêt dans les filières courtes, ce qui est le cas pour le territoire du Grand Lyon.
Le projet grain-énergie étant bien avancé, le GEDA cherche aujourd’hui unechaudière pour l’expérimenter en pratique sur le terrain.
2.2.1.5
A travers la réalisation de son Agenda 21, le Grand Lyon a formalisé en 2005 ladémarche de développement durable dans laquelle il s’inscrit depuis une quinzained’années. Cet engagement dans le développement durable concerne les politiquespubliques, l’action collective, mais aussi les pratiques individuelles. De ce fait, tous lesacteurs du territoire doivent comprendre les enjeux d’un développement respectueux del’environnement et agir en conséquence. Cela entraînera nécessairement l’évolution descomportements de chacun ; le Grand Lyon s’est donc doté d’un Plan Local d’Education auDéveloppement Durable (PLEDD) afin d’épauler le grand public et les professionnels dansces changements.
Cet outil, opérationnel à partir de septembre 2006, permettra une action pédagogiqueà destination des particuliers, pour permettre de diffuser une culture commune dudéveloppement durable sur le territoire. En partenariat avec de nombreux acteurs duterritoire (communes, éducation nationale, associations, etc.), le PLEDD décline en quinzeactions une politique pédagogique pour faire évoluer les représentations sociales etculturelles et responsabiliser les acteurs dans leurs pratiques individuelles et collectives.
La plupart des actions traitent globalement de la protection de l’environnement, àtravers notamment des thématiques comme la réduction des déchets, le respect de laressource en eau, ou la place de la nature en ville. Une des actions proposées estdirectement en lien avec la problématique de l’effet de serre. La fiche S « éduquer à lamobilité durable » a pour objectif de faire prendre conscience de la nécessité de réduire lapart de la voiture dans les déplacements et d’éduquer aux transports alternatifs.
Consulter l’étude valorisation de la biomasse céréalière en bioénergie (Chambre de l’Agriculture duRhône, GEDA de l’Ozon, Hespul) www.heseul.org
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Dans un même objectif, le diagnostic des énergies renouvelables du Grand Lyori visepour partie à produire des outils de sensibilisation pour les personnes en charge del’élaboration et de la mise en oeuvre des PLU.
2.2.2 Des actions d’atténuation du changement climatique pour le Grand Lyon
2.2.2.1
Le Grand Lyon possède un large patrimoine communautaire consommateurd’énergie: un patrimoine bâti (ses locaux et les équipements dont il a la compétence), uneflotte de véhicules légers (véhicules de service et de fonction), une flotte de véhicules lourds(camions de ramassage des ordures ménagères, etc.). Conscient d’être actif à part entièredans la production d’émissions de GES sur son territoire, le Grand Lyon possède un servicespécifiquement compétent en matière de gestion des consommations énergétiques au seinde la Direction Logistique des Bâtiments (DLB).
Dans ce cadre, les agents communautaires de la DLB sont au fait de l’évolution desconsommations énergétiques précises pour chaque bien. Aujourd’hui, le Grand Lyonsouhaite diminuer ses factures énergétiques et par la même occasion réduire les GES qu’ilémet sur son territoire.
Ainsi, des actions sont réalisées, d’une part, dans le domaine des bâtiments. Il fautbien préciser que la plupart de ces mesures concernent majoritairement des bâtimentsanciens (réhabilitations). Une réflexion est entreprise pour intégrer les énergiesrenouvelables dans les constructions et réhabilitations des équipements communautaires.Par exemple, le toit de l’hôtel de communauté devrait se voir doter prochainement depanneaux solaires pour l’eau chaude du restaurant communautaire et de panneauxphotovoltaTques. Lors de la construction de nouveaux bâtiments, il est très probable que laDLB intègrera le futur référentiel durable concernant les bureaux.
D’autre part, la OLS lance une politique d’amélioration de la gestion du parc devéhicules légers. Depuis 2006, chaque direction reçoit trimestriellement un compte rendudétaillé des consommations énergétiques de tous ses véhicules et une comparaison globaleavec les autres directions. Cela permet ainsi de repérer l’évolution des consommations d’untrimestre â l’autre et d’avoir une base de données pour prendre les mesures de réductionnécessaires. Par ailleurs, dans le cadre du renouvellement du parc de véhicules légers, laDLB s’est engagée à augmenter la part des véhicules doux (GPL essentiellement) à 20%.Enfin, une politique de mise en pool des véhicules de service est lancée afin d’inciter lesemployés à utiliser d’autres modes de transports (et notamment les TC ou les modes doux)cette politique participe à la mise en place du PDA du Grand Lyon. L’objectif souhaité vise laremise de 50 véhicules de services « personnels » en pool.
Enfin, pour s’engager de manière plus « médiatique », le Grand Lyon réfléchitactuellement à son adhésion dans la bourse d’échange de C02 de Chicago (ChicagoClimate Exchange)12.Cette bourse est l’équivalent, pour les collectivités territoriales, dumarché des quotas d’émissions de C02 pour les industries (marché défini par le PlanNational d’Affectation des Quotas). Le Grand Lyon s’engagerait alors pour la période 2007-2010 à réduire ses émissions de 1.5% par an. Les discussions se concentrent aujourd’huisur la définition des émetteurs à considérer (qu’inclut-on dans le patrimoinecommunautaire ?).
12 D’autres bourses du même type existent(European Climate Exchange (ECX), Powernext Carbon,par exemple). Le Grand Lyon a choisi de s’intéresser à la Bourse de Chicago â la suite d’une visitede Gérard COLLQMB, président du Grand Lyon, à Chicago.
33Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
2.2.2.2 L’gmernt5enbjntêdessvJçecqirnunalresajgyçLQppn’.ntLbjç.
Sans un personnel sensibilisé et mobilisé dans une démarche de développementdurable, il est impossible d’envisager que les politiques environnementales puissent êtrevéritablement portées au sein des structures décisives. La dynamique dans ce domainedépend effectivement de la motivation de tous les acteurs.
Bien que le Grand Lyon soit engagé dans une politique de développement durable àtravers son Agenda 21, on ne peut pas affirmer aujourd’hui que cette dernière soit le filconducteur des pratiques au sein de la structure communautaire. En effet, si lasensibilisation des agents à la problématique environnementale émerge doucement dans lesservices, il faudra encore un certain temps avant que les comportements et modes de travailévoluent vers des « éco-habitudes ». Cependant, il faut bien préciser que la sensibilisationconcerne la notion large de développement durable, intégrant la problématique climatique demanière indirecte.
Pour ce faire, une des actions (n°59) de l’Agenda 21 a pour but de « former audéveloppement durable ». Dans ce cadre, un plan de formation évolutif est ouvert aux élus,aux agents communautaires et communaux pour favoriser l’appropriation de cette notion parles acteurs et pour permettre une prise de conscience de l’enjeu et du râle de chacun. Ceplan se décline sous formes de groupes de travail sur base de volontariat depuis 2005.
La plupart des directions sont au même état d’avancement dans la sensibilisation etl’intégration de pratiques durables des agentes communautaires. Des gestes simples quiparaissent a priori futiles mais qui représentent une part importante des consommationsénergétiques illustrent la lente évolution des comportements. Par exemple, alors que lesveilles et l’éclairage sont responsables d’une part importante des consommations électriquesdans les administrations, de nombreux agents communautaires n’ont pas le réflexed’éteindre leurs postes informatiques ou les lumières en sortant d’une salle.
Cependant, dans ce cadre, la direction de l’eau est tout de même à mettre en avantpuisqu’on y trouve un réel investissement tant dans les pratiques professionnelles que dansle cadre de la sensibilisation du personnel. En effet, la direction de l’eau réfléchit de maniéreactive à des solutions d’amélioration des process à tous ses niveaux d’action en formulantdes propositions innovantes (par exemple, un système de curage mobilisant l’énergie del’eau utilisée à cette fin a été mis en place et breveté par la Direction de l’Eau).
Par ailleurs, celle direction s’efforce de multiplier des actions de sensibilisationauprès de son personnel communautaire. Un guide de bonnes pratiques (gestes adaptablesà toutes les directions, et gestes spécifiques aux pratiques dans la direction de l’eau) est encours de réalisation. De plus, celle direction s’est engagée dans un système de comparaisondu critère de durabilité des services d’assainissement à l’échelle de plusieurs agglomérationseuropéennes, ce qui lui permet de pointer les domaines où des améliorations sontenvisageables.
Pour conclure, il est important de préciser que la dynamique est lancée et que lasensibilisation au développement durable est « vue d’un bon oeil » par la Direction Généraleet dans la malorité des services communautaires. Le changement des comportements sefera au fil du temps à force d’actions de sensibilisation, et avec la rotation des agentscommunautaires où les anciens laisseront la place à la génération suivante qui sembleraitêtre plus sensibilisée à celle notion.
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
2.2.3 Prémisse des mesures d’adaptation au changement climatique
A l’heure actuelle, la réflexion sur l’adaptation au changement climatique au GrandLyon en est à ses prémisses. Elle repose principalement sur une thématique portéenationalement, à savoir l’adaptation aux fortes chaleurs.
Ainsi, les communes du Grand Lyon se sont efforcées de meUre en oeuvre le PlanCanicule à l’échelle de son territoire, en particulier à travers la climatisation de salles dansles hôpitaux et l’amélioration de la chaîne d’alerte. De plus) le Plan Canicule propose unrecensement de toutes les personnes en difficultés (personnes à mobilité réduite, personnesâgées, etc.) afin de les prendre en charge en cas de canicule, ce qui a été fait pour lescommunes de l’agglomération. On a pu se rendre compte de l’efficacité de ce plan degestion à travers la l’exemple de la canicule de juillet 2006 qui a engendré, à l’échellenationale, 112 décès anticipés comparée à celle d’août 2004 responsable de près de 15000décès anticipés.
Par ailleurs, le Grand Lyon a entamé une réflexion spécifique â l’adaptation auchangement climatique dans sa politique de végétalisation urbaine. En effet, des groupes detravail ont été mis en place en 2005 pour réfléchir aux incidences du changement climatiquesur la faune et la flore. Le service d’ingénierie arbres et paysages de la direction de la voirieorientent maintenant leurs commandes en fonction des espèces qui seront adaptées au futurclimat lyonnais (plus sec et plus chaud) pour évoluer dans les prochaines décennies surl’agglomération. De ce fait, la direction de la voirie cherche à adapter la palette végétaleplantée. Il est nécessaire de choisir des essences dont les besoins en eau sont moinsimportants et c’est pourquoi des espèces méditerranéennes (chênes verts, Sophoras duJapon ou encore Micocouliers) sont privilégiées à celles d’Europe du Nord (érable, ou tilleurspar exemple).
2.3 synthèse: les mesures d’atténuation et d’adaptation auchangement climatique
La réflexion sur le développement durable est déjà bien engagée à l’heure actuelle auGrand Lyon et a été formalisée en 2005 par l’adoption d’un Agenda 21. La thématique duclimat a été prise en compte à travers la seconde orientation du plan d’action de ce dernier,à savoir « l’engagement du Grand Lyon dans la lutte contre l’effet de serre ».
Plusieurs mesures de réduction des émissions de GES dans les secteurs destransports, des bâtiments, des énergies renouvelables ou encore de l’énergie y sontrépertoriées. L’audit des services du Grand Lyon, basé sur la méthode Climate Compass etson outil-support « the compendium of measures », a permis de compléter le recensementde ces mesures13. La plupart des actions d’atténuation du changement climatique sontponctuelles et ne concernent qu’un service ou qu’une direction. En revanche, quelques-unesd’entre elles ont été systématisées (référentiel de l’habitat durable par exemple), ou leursystématisation est en projet (AEU).
Pour porter une politique de développement durable, la sensibilisation du personnelcommunautaire à celle problématique est nécessaire. L’audit des services a fait ressortir lefait que l’évolution des pratiques professionnelles est certes lente et parfois
13 Par manque de temps et de disponibilité du personnel communautaire, cet état des lieux n’a pas laprétention d’être tout à fait exhaustif, bien qu’il s’en rapproche.
35Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
difficile. Cependant, on assiste aujourd’hui à une prise en compte de l’environnement dansles métiers, montrant que la dynamique est lancée et qu’elle est bien accueillie dans lesservices.
Par ailleurs, on a pu s’apercevoir que la réflexion sur le changement climatiqueconcernait presque exclusivement l’atténuation du phénoméne; l’adaptation au changementclimatique commence tout juste à être prise en compte (notamment par l’entrée du GrandLyon dans le programme européen AMICA). Seule la direction de la voirie s’y intéressedirectement à travers sa politique d’essences végétales adaptées à un climat prévisionnelplus chaud et plus sec.
36Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
3. Échanges de bonnes pratiques
AMICA, programme européen INTERREG III C, propose un volet importantd’échanges de bonnes pratiques entre les collectivités partenaires. Ces regards croiséspermettent aux différents membres d’alimenter les réflexions en mutualisant les expériences.Ces échanges sont riches, puisque les contextes et les pratiques diffèrent entre les pays.
Ces regards croisés s’apparentent, dans le cadre du programme AMICA, à desséminaires dans la collectivité auditée (deux à quatre jours). Chaque partenaire doitparticiper à trois audits au minimum.
La collectivité auditée présente le contexte dans lequel elle se trouve (Status quo inlocal C02-reduction) et les mesures qu’elle a adoptées ou qu’elle a en projet. Un journée estconsacrée à la visite des sites intéressants qui permettent d’illustrer en pratique ces mesures(usines de cogénération, bâtiment Passiv Haus, etc.). L’ensemble des partenaires participeensuite à l’audit de la collectivité d’accueil (Climate Scan) ou l’ensemble des matricescomplétées est passé en revue. La réflexion commune permet enfin de formuler deux outrois mesures supplémentaires à mettre en oeuvre, qu’elles soient des mesures d’atténuationou d’adaptation. Un rapport est rédigé par l’ensemble des partenaires européens présentslors de l’audit.
Deux séminaires d’échanges de bonnes pratiques se sont déroulés entre mai etseptembre 2006. Le Grand Lyon a participé à ces deux audits qui lui ont permis de prendreexemple pour organiser son audit en décembre 2006.
3.1 Spécificités de la ville de Dresden (Allemagne)
L’audit de la ville Dresden s’est déroulé les 21 et 22juin 2006. Il s’agissait du premierpartenaire européen à mener ce séminaire dans le cadre du programme AMICA. De ce fait,l’organisation de cette rencontre avait valeur d’expérimentation, en plus de la vocationd’audit de la politique climatique de la collectivité.
La région de la Haute Autriche, la ville de Stuttgart et le Grand Lyon ont audité la villede Dresden. Plusieurs membres de Climate Alliance ont aussi participé au séminaire pourvoir l’application de la méthode de Climate Compass.
C’est à cette occasion que les partenaires se sont rendus compte qu’il étaitinenvisageable, faute de temps, de passer en revue de manière exhaustive la politiqueclimatique des collectivités. Le groupe a alors décidé que le Climate Scan (analyse desmatrices d’évaluation) concernerait uniquement deux champs. Nous avons donc analysé lesmatrices concernant les mesures entreprises dans les domaines de l’énergie et del’urbanisme.
La municipalité de Dresden a choisi de faire visiter trois sites particulièrementintéressant du point de vue de l’adaptation et de l’atténuation du changement climatique: unsystème de climatisation par utilisation de l’énergie thermique, une station d’épuration(station de lagunage) et enfin, une maison associative pour la promotion des panneauxsolaires et la sensibilisation aux pratiques environnementales et aux énergies renouvelables.
Deux éléments importants ressortent de celle première étude de cas.Tout d’abord, la ville de Dresden est située dans la région de Saxe, au Centre-Est de
l’Allemagne. Appartenant anciennement à l’Allemagne de l’Est, celle ville a subi une forte
37Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
influence soviétique, avec entre autres, la construction de nombreuses installationsindustrielles. Lors de la réunification et de l’intégration de l’ex-Allemagne de l’Est dansl’Europe, un programme de mises aux normes et de modernisation du matériel a été lancé,Cela s permis de réduire considérablement les émissions de GES de la ville depuis lesannées 1990, malgré l’augmentation de la population (retour positif du solde migratoire en1999).
Par ailleurs, comme nous l’avons précédemment expliqué14, les méthodes etréflexions allemandes diffèrent des françaises. Alors que la conceptualisation précèdel’action en France, les collectivités allemandes privilégient la mise en oeuvre de programmesd’action avant de réfléchir à une stratégie globale d’action. Dresden fait partie de cescollectivités « expérimentales ».
L’enjeu principal de cette collectivité dans le domaine de la réduction des émissionsde SES se concentre dans la redensification de son centre ville. En effet la ville connaît unphénomène de périurbanisatiori important qu’elle ne parvient pas à résoudre. Or, cela nel’empêche pas de lancer de grands programmes en attendant de pallier à ce problème.Ainsi, après la réunification de l’Allemagne, la ville de Dresden a lancé un programme deremplacement de 90% des fenêtres des bâtiments pour installer des double-vitrages et ainsiréduire ses consommations énergétiques.
Le Grand Lyon pourrait peut-être prendre exemple sur un fonctionnement de ce typeet tenter d’avoir une approche plus expérimentale dans la mise en oeuvre de ses politiques.
Enfin, l’analyse des matrices d’évaluation pour les secteurs de l’énergie et del’urbanisme a montré que la ville menait de nombreuses actions dans ces domaines, Il a étédifficile de faire émerger trois mesures supplémentaires, c’est pourquoi les séminairessuivants n’auront sans doute plus à produire un nombre de mesures définies. Les mesuresadditionnelles retenues pour la collectivité de Dresden sont les suivantes:
- améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments;- améliorer la gestion de la mobilité;- améliorer la communication auprès des citoyens.
Le rapport de synthèse relatif à l’audit de Dresden est joint en annexes, Il reprendl’état des lieux de la réduction des émissions de SES, puis l’analyse du compendium ofmeasures et précise enfin les trois actions que Dresden devrait mettre en place pouraméliorer sa politique.
32 Spécificités de la région Haute Autriche
Le séminaire pour la Haute Autriche s’est déroulé à Bad lschl, à une centaine dekilomètres à l’est de Salzburg, lors du congrès de la Haute Autriche sur le changementclimatique. Pour des raisons pratiques, nous n’avons pas pu assister à l’audit (analyse desmatrices d’évaluation) de la Haute Autriche, mais seulement à l’état des lieux de la réductiondes émissions de GES, présenté en conférence dans un atelier de travail. Les politiquesclimatiques des autres partenaires du programme AMICA présents à ce séminaire (la ville deVenise, la province de Fen-ara, la ville de Stuttgart, la ville de Dresden et le Grand Lyon) ontaussi été exposées.
Membre depuis 1991 de l’association Climate Alliance, la Haute Autriche est trèsengagée dans une politique climatique. De fait, des mesures d’atténuation et d’adaptation auchangement climatique sont prises en considération dans le code de la construction, dans
14 Paragraphe 2.1.2.2: critique de l’outil-support de Climate Compass38
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
les politiques de transports, dans l’urbanisme, etc. Un programme d’adaptation auxinondations a été mis en place (projets de réaménagement des lits des fleuves, un systèmed’alerte poussé en cas de montée des eaux, l’équipement des ménages d’un plan de gestiond’une crue, etc.). Enfin, un important effort dans la communication sur le changementclimatique est réalisé, à travers un programme nommé « rescue the ciimate » (sauver leclimat).
C’est d’ailleurs sur la communication que la France (et le Grand Lyon en particulier)pourrait prendre exemple. En effet, la Haute Autriche a développé une forte culture de lacommunication sur la thématique du changement climatique, de ses conséquences et desmesures d’adaptation et d’atténuation à mettre en oeuvre. Cet effort en matière de pédagogiea fortement été mis en avant lors des visites de site présentant les bonnes pratiques de laHaute Autriche.
D’une part, la visite d’une petite centrale hydro-électrique a été complétée parl’accessibilité des équipements une fois la présentation terminée, l’installation a été ouverteet le groupe a pu voir la turbine et le système de maintenance en fonctionnement. D’autrepart, les visites des autres sites étaient préparées de manière très professionnelle. La plusimportante chaufferie bois de la Haute Autriche (30MW) possède une salle de conférenced’une capacité d’accueil d’une cinquantaine de personne et d’un support vidéo présentantles enjeux climatiques d’aujourd’hui, ainsi qu’une exposition pédagogique très bien réalisée.Il en était de même lors de la visite de la Passiv Haus.
Cet effort de communication est un des piliers pour une sensibilisation efficace nonseulement du grand public, mais aussi des professionnels.
3gCharlène ANGUIS Stage de tin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
CONCLUSION
La mise en oeuvre du programme européen AMICA a permis au Grand Lyon deconnaître la vulnérabilité à laquelle son territoire sera soumis en conséquence duchangement climatique. Les pics de chaleur et pics de pollution sont les risques majeursauxquels le Grand Lyon sera confronté. Il faut tout de même prendre en considération etétudier finement l’ampleur des risques relatifs aux inondations par ruissellement et aumanque de ressource en eau potable qui pèsent secondairement sur la CommunautéUrbaine.
Non sans avoir terminé l’élaboration de sa politique climatique, le Grand Lyon a déjàmis en place de nombreuses mesures qui contribuent à la lutte contre l’effet de serre. Cesactions de réduction des émissions de GES sont répertoriées dans des matrices sectoriellesd’évaluation des politiques climatiques des collectivités territoriales européennes. Cet outil,mis à disposition des partenaires européens dans le cadre du programme AMICA, thecompendium of measures, a été élaboré par l’association Climate Alliance elle même leaderdu programme. Quelques mesures dans lesquelles on peut compter le référentiel habitatdurable du Grand Lyon, la mise en oeuvre expérimentale des AEU, les mesures visant lestransports (POU, PDA, etc.) ou encore la gestion du patrimoine énergétique communautaire,peuvent correspondre aux piliers de la politique climatique en cours de réalisation.
La fin de la mise en oeuvre du programme AMICA (octobre 2006 — décembre 2007)s’attachera, d’une part, à terminer le recensement des mesures d’atténuation duchangement climatique et à les présenter aux partenaires européens en décembre 2006 lorsde l’audit de la politique climatique du Grand Lyon. D’autre part, un grand volet sera dédié àétudier la compatibilité de ces mesures avec des actions d’adaptation au changementclimatique et à alimenter la réflexion sur celle récente thématique.
40Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
GLOSSAIRE
ACV Analyse de Cycle de VieAEU Analyse Environnementale et UrbaineAFPA Association pour la Formation Professionnelle des AdultesALE Agence Locale de l’ÉnergieAMICA Adaptation and Mitigation, an lntegrated Climate policy ApproachAPPEL Association pour la Promotion des Eco-entreprises LyonnaisesBRGM Bureau de Recherches Géologiques et MinièresCSDU Centre de Stockage des Déchets UltimesDFI Direction du Foncier et de l’ImmobilierDGDU Direction Générale au Développement UrbainDGDEI Direction Générale au Développement Economique et InternationalDLB Direction Logistique des BâtimentsDPSA Direction Prospective et Stratégie d’AgglomérationGRAIE Groupe de Recherche Rhône Alpes sur les Infrastructures et l’EauGL Grand LyonINSA Institut National des Sciences AppliquéesMCT Mission Coordination TerritorialeMEU Mission Écologie UrbaineOPAI-I Opération Programmée d’Amélioration de l’HabitatPCT Plan Climat TerritorialPDA Plan de Déplacement AdministrationPDE Plan de Déplacement EntreprisePMR Personne à Mobilité RéduitePNAQ Plan National d’Affectation des QuotasPPA Plan de Protection de l’AtmosphèrePRE Plan de Respect de l’EnvironnementREAL Réseau Express de l’Aire urbaine de LyonSCoT Schéma de Cohérence TerritorialeSIGERLY Syndicat Départemental des Énergies du RhôneSUO Service Urbanisme OpérationnelSYTRAL Syndicat des TRansports en commun de l’Agglomération LyonnaiseTC Transports en CommunUIOM Usine d’incinération des Ordures MénagèresliT Urbanisme Territorial
41Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
BIBLIOGRAPHIE
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42Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
Figures
TABLE DES ILLUSTRATIONS
Figure 1 : date des vendanges en Beaujolais 12Figure 2: date des vendages à Châteauneuf du Pape 12Figure 3: Risque relatif journalier de mortalité spécifiquement liée à la vague de chaleur(22107/02-02109/03) - InVS 13Figure 4: excès de risque (%) liés à l’ozone et à la température. Représentation des partsrelatives de chacun des facteurs pour la population tous âges (03-17/08/03) - InVS 14Figure 5: Moyennes estivales mesurées (+) et modélisées (.) - source: Météo France 15Figure 6: Réchauffement à Lyon - source: Météo France 15Figure 7: réchauffement estival (prévisions pour 2070-21 00)- source: Météo France 15Figure 8: Extrait de la matrice d’évaluation dans le domaine de l’urbanisme (source: ClimateAlliance) 25Figure 9: Intégration des informations dans les matrices d’évaluation 26Figure 10: Importance des décharges (extrait de la revue Techniques - Sciences etMéthodes de I’AGTHTM) 27
Cartes
Cartel: La situation des nappes en avril2006 -source: BRGM 7Carte 3: Volume des précipitations efficaces (depuis le début de l’année hydraulogique) -
source: BRGM 7Carte 4: évolution des précipitations en automne à Bran (1922-2005) 8Carte 5: évolution des précipitations en hiver à Bron (1922-2005) 8Carte 6: évolution des précipitations en été à Bron (1 922-2005) 9Carte 7: changement de précipitations pour 2070-2100 (mm/jour) — prudence 2004 scénarioA2 9
Charlène ANGUISMagistère 3 (CESA)2005-2006
43Stage de fin d’études
Grand LyonRapport de stage
Carte 8: évolution des températures moyennes sur l’agglomérationannuelles (1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône,Carte 9: évolution des températures maximales sur l’agglomérationannuelles (1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône,Carte 10: évolution des températures minimales sur l’agglomérationannuelles (1922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône,Carte 11: évolution des fortes chaleurs sur l’agglomération lyonnaise
lyonnaise : moyennesBron 10lyonnaise : moyennesBren 11lyonnaise : moyennesBron 11
moyennes annuelles(1 922-2005) — Météo France, Centre départemental Rhône, Bron 12
TABLES DES MATIÈRES
REMERCIEMENTS.1
SOMMAIRE 2
INTRODUCTION 3
LA VULNÉRABILITÉ URBAINE DU GRAND LYON FACE AU CHANGEMENTCLIMATIQUE 4
1.1 Méthodologie 41.1.1 Contexte 41.1.2 Experts référents 41.1.3 Bibliographie 5
1.2 Les risques sur le territoire grand lyonnais 51.2.1 L’approvisionnement en eau 5
1.2.1.1 Prévisions à court et moyen terme 51.2.1.2 Prévisions à long terme 6
1.2.2 Les inondations 81.2.3 Les pics de chaleur et pics de pollution 10
1.2.3.1 Prévisions à coud et moyen terme 10L’augmentation certaine des températures 10Relations entre mortalité, pics de chaleur et pics de pollution 13
1.2.3.2 Prévisions à long terme 151.2.4 Synthèse: la vulnérabilité du Grand Lyon face au changement climatique 16
1.2.4.1 Synthése en français 161.2.4.2 Version anglaise document remis à l’association Climate Alliance 17
Heatwaves risk summary 17Flood risk summary 17Water supply risk summary 17
1.3 La médiatisation du phénomène 171.3.1 Pourquoi la réalisation d’une revue de presse 9 17
1.3.1.1 Contexte de l’étude 171.3.1.2 Méthodologie 18
1.3.2 La prise en compte du changement climatique dans la presse grand publici 91.3.2.1 Intempéries (inondations, tempêtes, orages, grêle, etc.) 191.3.2.2 Les pics de chaleur 201.3.2.3 Les sécheresses 201.3.2.4 La pollution atmosphérique 20
1.3.3 L’adaptation au changement climatique, une problématique tout justeémergente dans la presse grand public 21
1.3.4 Le changement climatique etla presse professionnelle 221.3.5 Synthèse 22
1.3.5.1 Version française 221.3.5.2 Press review summary (document remis à Climate Alliance) 23
44Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
2. L’AUDIT DES SERVICES COMMUNAUTAIRES.24
2.1 Méthodologie 242.1.1 Objectifs de l’enquête 242.1.2 La méthode utilisée: les matrices de Climate Compass 24
2.1.2.1 Présentation dola méthode: the compendium ofmeasures 25Comment utiliser le compendium measures 7 25Comment remplir le compendium measures 2 26
2. 1.2.2 Critique de l’outil-support de Climate Compass 26Un outil d’évaluation globalement performant 26Quelques difficultés d’application 27
2.2 Les éléments d’une politique climatique non formalisée 282.2.1 Des éléments sectoriels phares dans les politiques publiques menées par le
Grand Lyon 282.2.1.1 Le référentiel Habitat Durable du Grand Lyon 282.2.1.2 L’AEU: un outil en expérimentation 292.2.1.3 La politique des modes doux de transports 302.2.1.4 Le projet grain-énergie 312.2.1.5 La mise en oeuvre d’une politique de sensibilisation 32
2.2.2 Des actions d’atténuation du changement climatique pour le Grand Lyon 332.2.2.1 Gestion énergétique du patrimoine communal 332.2.2.2 L’émergente sensibilité des services communautaires au développement
durable 342.2.3 Prémisse des mesures d’adaptation au changement climatique 35
2.3 Synthèse: les mesures d’atténuation et d’adaptation au changementclimatique 35
ÉCHANGES DE BONNES PRATIQUES 37
3.1 Spécificités de la ville de Dresden (Allemagne) 37
3.2 Spécificités de la région Haute Autriche 38
CONCLUSION 40
GLOSSAIRE 41
BIBLIOGRAPHIE 42
TABLE DES ILLUSTRATIONS 43TABLES DES MATIÈRES 44
ANNEXES (document joint)
Annexe I : Liste des interviewésAnnexe 2 Recensement des mesures d’atténuation du changement climatique (matrices
d’évaluation complétées)Annexe 3 : Mitigation Scan Dresden report 2006
45Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Rapport de stage
GRANDLYON
__
École polytechnicueCOMMUNAUTE URBAINE DE IXON deIUniyr3i1dTcn:rs
“i Oép.Tletr.en:kne,a;e,re,l
Tuteur: M. CREPEAUX Charlène ANGUIS
ANNEXESStage individuel de fin d’études (mai-septembre 2006)
ÉLABORATION DU DIAGNOSTIC DUPLAN CLIMAT TERRITORIAL
DU GRAND LYON
PROJET EUROPÉEN AMICAADAPTATION AND MITIGATION, AN INTEGRATED CLIMATE POLICY APPROACH
ANNEXE 1:Liste des interviewés
ANNEXE 2:Recensement des mesures d’atténuation duchangement climatique(matrices d’évaluation complétées)
ANNEXE 3:Mitigation Scan Dresden report 2006
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Annexes
ANNEXE 1: LISTE DES INTERVIEWES
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Annexes
PERSONNES INTERROGEES OBJECTIFS DEL’INTERVIEW
M. ALLIX - « éco-entreprises » etchargé de mission développement économique, amélioration des processDGDEI, GL - sensibilisation du personnelMme SONO - Mesures prises par leschargée de mission à la MCT, GL collectivités territoriales du GLM. BROCARDdirecteur des services techniques de la municipalité de - Agenda 21 de DardillyDARD ILLYMme CAILLOT - Référentiel habitat durablechargée de mission au service habitat, DGDU, GL - sensibilisation du personnel
- amélioration des process dans leM. CHAPGIER domaine de l’eauresponsable de la Direction de l’Eau, GL - coopération décentralisée
- sensibilisation du personnelMme CHARBONNIER - AEUresponsable du secteur Ouest, liT, DGDU, GL - sensibilisation du personnelMme COUTURIER -AEUchargée de mission développement durable à la - référentiel habitat durableDODU, GL - sensibilisation du personnelMme GREFFIER - éclairage public « vert»SYGERLY - consommations énergétiquesMme HARTMANNchargée de mission espaces naturels et agricoles, - projet grain énergie
MEU, DODU, GL - gestion des forêts
M. LABROSSE- flotte de véhicules légers du GLchargé de mission à l’unité LVL, DLB, GL
M. LAURENT- POUchargé de mission â la mission déplacement, DGOU,- PDAGL
Mme MABILLEchargée de mission Agenda 21 I développement - Agenda 21 du Grand Lyon
- sensibilisation du personneldurable à la DPSA, GL- gestion du patrimoine
M. MAGNAN communautaire (bâtiments, floueresponsable du centre d’échange, OLE, GL de véhicules, etc.)
- sensibilisation du personnelMme MARCHAND - amélioration des process dans leChargée d’opérations service Espaces Publics, DODU, domaine des espaces publicsGL
- sensibilisation du personnel- mesures prises par lamunicipalité de Villeurbanne
M. PACCALIN PDA, modes doux de transport,directeur des services techniques de la municipalité de gestion des consommationsVILLEURBANNE énergétiques, plan canicule
(horaires différents l’été), réflexionHQE systématique, etc.
M. PICARD - amélioration des process dans le
chargé de mission à la direction de la Voirie, OL domaine de la voirie (constructionet rénovation)
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Annexes
Mme PICARD - amélioration des process dans leChargée d’opérations service Espaces Publics, DGDU, domaine des espaces publicsGL - sensibilisation du personnelM. POUGET - amélioration des process dans leresponsable du service R&D de la Direction de la domaine des déchetsPropreté, GL - sensibilisation du personnelM. REMY
- référentiel habitat durableresponsable de la subdivision sud, service DFI, DGDEI,- sensibilisation du personnelGL
Mme SERVILLAT - élaboration de l’Agenda 21 duresponsable du secteur Val de Saône, MCT, CL Val de SaôneM. SLIMANI - plan de développement desdirection de la voirie, CL modes doux de transportsMme TARDIEUX - amélioration de l’habitat dans lechargée de Mission Habitat, DGDU, GL privé (OPAH, etc.)Mme TUPIN
- flotte de véhicules légersresponsable du service bâtiment, DLH, GLM. VALENTINmission cohérence des politiques d’agglomération, - prospective des politiques
environnementales (SCoT)DGDU, CL
INTERVIEWS COMPLÉMENTAIRES
PERSONNES INTERROGEES OBJECTIFS DE L’INTERVIEWM. CHARDON - gestion énergétique du parc immobilierResponsable d’unité, domaine affecté, - approvisionnement (fournitures, alimentation,DLB, GL etc.)M. CLANCYChargé de mission planification et - intégration des principes énergétiques dans les
documents de planificationurbanisme réglementaire, DGDU, CLM. RAMPIGNON
- amélioration des processResponsable de l’unité laboratoire, R&D,- sensibilisation du personneldirection de la voirie, CL
M. SEGUR- amélioration des process dans le domaine desResponsable de l’unité arbres etplantations d’alignementplantations, Direction de la Voirie, CL
Mme TODINIDirection des Affaires Juridiques et - intégration de clauses environnementales
Commande publique spécifiques dans les marchés publics
Mme TORTELDGS, Grand Lyon - adaptation des horaires de travail
Direction des relations internationales - coopération décentralisée- mesures et politiques des communes en terme
Les municipalités du Grand Lyon d’atténuation et d’adaptation au changementclimatique
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Annexes
ANNEXE 2 : RECENSEMENT DES MESURESD’ATTÉNUATION DU CHANGEMENT CLIMATIQUE
- MATRICES D’ÉVALUATION COMPLÉTÉES -
Les matrices originales (version anglaise) sont suivies des matrices traduites enfrançais et remplies grâce à l’audit.
- politique climatique- urbanisme - tourisme durable- transports- énergie- agriculture- forêt- eau- déchets- approvisionnement- coopération décentralisée
Charlène ANGUIS Stage de tin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Annexes
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ANNEXE 3 : MITIGATION SCAN DRESDEN REPORT2006
Charlène ANGUIS Stage de fin d’étudesMagistère 3 (CESA) Grand Lyon2005-2006 Annexes
CLIMATE ALLIANCE North East South WEST
.NINTERREG HICALIANZA Df L CLIMA L
ADAPTATION and MITIGATION — an INTERGRATED
CLIMATE POLICY APPROACH
Mitigation Scan Dresden
report 2006regarding the 1st climate scan workshop in Dresden at 21122 June
Content of the chapters and responsibilities(Leader ofthe Dresden Climate Scan Team: Norbert Rainer, Upper Austria)
1. Status quo in localC02-reduction (quantitative indicators, Fritz Pielenz, City ofDresden)2. Description ofactivities in Dresden (Fritz Pielenz, City of Dresden)3. Mitigation Scan (Charlène Anguis, Pierre Crepeaux, Grand Lyon)4. Identification of 3 additional measures (Ulrike Janssen, Antonella Daniele,
Dr. Andreas Kress, Climate Alliance — European Secretariat)
1. Status quo in localC02-reductionIt is a cominon practice to use indicators for energy consumption to describe the
current suite ofthe local results in mitigation activities. The following set of quantitativeindicators was suggested:
Nr fleld value in 2005 ieasuring unit002-equiv. 4,9 Aio tCO2,quj.
Dr 10,1 C02.equivJcapita1 C02/capita (includes nearly 2 t002.equv/capit2 (for the aciditional warming potentia
)f national, international anc f CC2 by aviation a factor of 4:ranscontinental aviation!) ised te get the amount of tco2.jy.)
share cf different local )ercentage of electricit39 enewables: PV 3,028% Donsumption in the City
(average in Germany) (0,16%) (ofpowergeneraticn in Germany)
b hydroelectric power 3,029%
andfill gas 3,45%
I biogas 3,17%biomass 2,12%
e (average in Germany) (0.86%) ‘ofpowergeneration in Gerrnany)
r windmills 0,00%
m2(PV)fcapita (area of workinç‘ area solar collecter (PV,°’°13 :hermal collectors s net available)
hornmal)f capita 1 .72 Nak/capita
1
1•share of energy sources fo.heating of dweHings
% of households
(average in West Germany Iowe.district heating 48 % han 10%)as 41%
C ou 6%d electricity 2,4 %e ;oal-burning stoves 1,9 %
?lectricity consumption in 1090 kWh!capita p. e.5 households/capita (1500 .. 1600) (average in Germany)
energy consumption in thL6 ransport sector! capita ?
energy consuniptiori ir7 households/ capita3 modal split - passengers n 2003a by cars 43,0% % of ways
public transport 20,3 % ‘M s working deyby bicycle 12,3%
3 by foot 24,4 %9 modal spiit - freight10 assenger cars! capita $50 cars/1000 capita
But flot ail data are available for the City of Dresden. For an estimation of suchindicator values it is necessary to get a national standard (see 2a, 2e, 4a or 5 in the table)or comparative values from other Cities. For the modal split it is shown in the left figure.In other cases it would be better to look at the development in time series.
comparison for modal spiit Dresden 1991-2003(only the internai traffic of the City,
without commuters)
D public traffic
by bicycle
Ilby foot
passengersin cars
Eiby cars
In the City of Dresden the increase ofpassenger cars per capita could be stopped. Thisis shown in the following figure in comparison to the development in Germany generaland in Saxony. So a combination of time series and the development of comparable valuesin other Cities and regions should deliver the best picture of the current state in localclimate policy. But this can’t be done for ail indicator values.
100%
90%80%70%
60%50%
40%
30%
20%
10%
0%
100%
90% j22 2480% -L
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35,8,
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22 21
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-n,) oo, Oc’J
1991 1994 1998 2003
2
800
C,
D.C,C)ooOrI8)D.0
I
The best indicator for local climate protection activities seems to be the value of C02-emission of the City. Base value is the whole energy consumption per capita. The totalvolume ofC02-emission bas reached a constant level since 2001. Because the number ofinfiabitants is increasing currently the emission of C02 equivalent decreases continually. Theexception is 2002 when the big flooding interrupted the high efficient electricity supply bythe CHP-power-plant.
CO.qijinjtlcap/a
The specific emission per capita could be reduced by about 35 % between 1987 and2005.
The comparison of development in C02-emisission balance should be complementedby an analyses of the local potentials in C02-reduction measures. This potential analysiscould become the most suitable basis for the C02-reduction program and an adequatereporting. The bars show the total potential in the most important sectors. Only the firstone or two measures with the largest mitigation power in each sector are named. The
200—
1955 1990 1995 2000 2005 2010
Since 2000 in Dresden the use of cars and the consumption of motor fûcls basdecreased. But this advantage for the emission balance in traffic bas beenovercompensated by the rapid increase in the emission of aviation, where the globalwarming potential of emitted C02 is more than 3 times higher.
Inhabitantsmua t.&d.r*s)
la-00
1987 1988 1989 1990 1991 1982 1993 1993 1995 1996 1997 1998 1999 0 2001 2002 2C3 2004 2005
3
volume ofresults should be sufficiently to fulfil the “minus 50 percent C02—target” oftheClimate Alliance by 2010. But the graphs show fora better comparison the total reductionvolume over the full durat ion time ofthe decjs ions have been taken in each sector. So youare able to see the high importance of measures in infrastructure and urban developmentfor a sustainable climate protection. Here we can fmd effecting periods of more than 50years!
The most potentials have been underachieved since 1998. Only about 30 % of themeasures in the C02 frame program are implemented until now. If you look only to theindicators (compare the table at the beginning of this chapter) for a benchmarking youhave to estimate that you will fincl the same potentials in ail Cities. Only under thisassumption it is justified to compare such indicators between different Cities.
2. Description of some activities in DresdenThe local C02-reduction frame-program was decided
measures. Single model measures are supported by“Innovation-Fund” with abudget of about I Mio. € p. a.The last implementationreport for the frame-programwas given in 2003 (seewnw’.dresden.dc/uninelt,pdf-file, 652 kB). The nextupdate ofthis program shouldbe done in 2007. Then thenew C02-reduction targets ofthe Climate Alliance decidedin 2006 for the period afler2010 should be considered.
in 1998. It contains more than 30a ban program the so called
Comparison ofC02-Reduction Potentials(considering the whole use period of each measure)
t,
1995 1996 1091 1999 1090 2000 2001 2002 2003 2004 2005
4
The oniy overachieved sector above is the use of Renewabie Energy Sources (“RES”).In Dresden the most important measures for C02-reduction by RES are the uses ofbiomass and landfiui gas. The most rapid increase we can find in the installation ofphotovoitaic areas now. A standard contract vas developed for the roofs of themunicipaiity. By this manner everybody and not only the owners of a house is abie to usepublic roofs for his photovoltaic investments.
By the way the highest output of thermal solar energy is delivered by the windows ofdwellings. Ibis energy amount can reach more than 100 GWh during one heating period.But this contribution of RES is generaiiy not detected by RES-statistics, because it isn’tmeasured and we haven’t to pay for it.
But the retrofitting of buildings is much more important for the reachedC02-reduction(see figure “Comparison ofCO2-Reduction Potentials”). One the one hand more than 70%of ail residential houses were reconstructed and about 90% of ail windows weresubstituted by such of higher thermal insulation in the 1 990s. Unfortunateiy not ailmodernized buildings reached a good ievel in specific demand of heating energy.Therefore a support program was estabiished from 1998 to 2003, where more than 30speciai skilled architects were integrated.On the other hand the mean living area per capita bas been increased from about 24 m2 tomore than 37 m2 now. So the most of decreasing energy consumption by buildings wascompensated by increasing dweliing and shopping areas and the doubied stock of offices.So the build-up of new bouses with an extraordinary high energy standard will not reachthe reduction potentiai by decreasing the energy consumption of existing buildings duringthe next 10 or 20 years. The first “passive-bouse-buildings” were erected between 2001and 2004. Even a kindergarten was constructed with a demand ievei of a passive-bouse.
Nevertheiess nearly 1/3 of ail C02-reduction (-35 % between 1987 and 2005) could bereached in the heating sector. At first more than 45 % of ah dwellings are connected to thedistrict heatingsystem now. The Demand in district heatingthermal energy 15 (fixed in costumer contracts)supplied by very
_______ ______________
efficientcombined gas andsteam turbines.More than 70 % !.of needed ._ 1000
electricity in dieCity is delivered ,
by cogeneration ofheat and power(“CHP”). Somelarge new areasbas been
12*4 1900 1901 1392 1933 ‘394 ‘321 112* III? 4*4* 1129 2000 2004 1002 2003 2024 2005 200* 2047 2009connected to theheating system in the I 990s. The length of the pipeline network bas increased from 340km in 1992 to 475 km in 2004. But the acquisition of new costumers in district heatingcouldn’t compensate the decreasing demand of heat for exampie in the industrial sectorand for residentiai buildings.
Beside die reduced demand in heating power a main problem for the efficiency oftraditional district heating systems is the very how demand in summertime. Tn Dresden for
1400
1200
800
600
400
200
new costumers
D former costumer base
5
more than 12 years this system bas been used for new air conditioning equipments (seeAMICA-Best-Practice: “Air-Conditioning Service by Using Thermal Energy from CHP”).Here we find an excellent connection between adaptation and mitigation measures.
Regardless of the success in some of this fieldssustainability in climate protection (target of 2,5 t inbe found in the land use planningof the Cities. Here we bave toconsider that in the currentdirection of urban development thelevel of energy demand will befixed for about one century. This isvalid for the higher traffic effortand also for the needed heatingenergy in one-family bousespredominant outside of the formerCities (see chapter 3).Therefore the new IntegratedConcept of Urban Developmentshows the favoured areas for newbuildings (red and orange colouredin the figure) in the centre ofDresden and along the main routesof public traffic (esp. bybrownfields restoration).
above the keyCO2cquivaIent per
measures to reach acapita and p. a.) can
An useflil overview of well implemented and of missed mitigation measures can youfind in some sheets of the climate compass in the next chapter.
3. Mitigation Scan
Introduction
The organisation of the first day in Dresden enables us to understand the urban andenvironmental isues of the city of Dresden. Afler a theoretical presentation of the city ofDresden, we saw examples of the city’s best practices as empirical answers of thesesissues (air conditioning by use of thermal energy, the energy concept for the sewage plan,the environmental association’s bouse, etc.).
Alter that, we were able to analyze the global climate poliey of Dresden, with theclimate compass matrix, during the second day. We will analyse in this chapter thediscussion about its style and substance, first of aI], the framework of the matrix, andsecondly, the climate scan of Dresden.
General Analysis of the framework of the matrix
We agreed about the necessity to relate the experiences of the city, in order toillustrate the matrix. The question was about the form: should we add a new colunm to
6
relate the measures of the city. or should we indicate in each box relevant experiences. Wechose to precise a suminary ofthese measures in each box.
We also discussed about reporting of «worst experiences» as well as «bestpractices » in the matrix. Ail oftheses measures have to be considered at the same level inorder to estimate the policy in its integrality, and see where te city has to improve itseif.
Dresden bas to complete its matrix with theses bit-detailed examples of ils adaptingand mitigating measures. It will send this recomposed matrix to the other Europeanpartners.
Another point discussed during te meeting (about the framework of the matrix) wasthe comparison of te partner’s advancement. To conclude, it has been showed that it isnot relevant to compare chies, because there adaptation and mitigation policies aretraditionaily too different. For instance, the step 3 in France (“forging ahead”) maycorrespond to a step I (“getting started”) in Germany. Therefore, the most important is:
to help other cities giving them advices about adding good practices to carry outto analyze for each cil)’ the strides made from a designated national (or regional)«standard point » throughout the AtvIICA Project.
Climate scan o! Vie city of dresden
The city of Dresden presented its work about the thematic of « urban development»and «energy ». We discussed about the application of te measures proposed by teClimate Compass Matrix.
a) Urban developmcnt
First of ail, it is important to precise tat Dresden proposed a « under evaluation» ofits actions in te matrix. We can probably expiain this «under evaluation» through itsdifficulties to evaluate te nuances between te measures proposed by the ClimateCompass Matrix. Therefore, it is possible to confuse the different steps.
Secondly, te peer review dredged up te major malfianctioning ofthe city of Dresden:te iack of involvement of citizen in urban planning policies involves different kinds ofissues:
- An urban density issue and a raise of individual cars trafficAlthough it knew a rise of population from two years again, the cil)’ of Dresdendoes not manage to attract inhabitants enough in te town centre. In fact, lots of newand old buildings are empty. People prefer to settle in the suburbs. Dresden studiesexpose tat living outskirts represents a traffic raise of 80 % (traffic to go to theactivities and shopping areas) and a heating raise of 60 % (individual habitats arelarger energy consumers tan collective habitats and need larger supplies). Therefore,this invoives a large problem about te growth of C02 trafic emissions.
- involvement in urban major yrojectsThe city has different kind of legal forms to involve te consultation of people, but asoften seen in such big city te people are hardly interested on it. In te case of climatechange topic’s like te new brigde over te river elbe te people are often deciding tovote against climate policy because of a lalce of awareness.
7
So, the matrix does proof that Dresden’s urban development policy considering thereduction of emissions is technically excellent, but it is very important to notice that it willbe difflcult to continue urban development without inhabitant will.
b) Energy
The original way to ff1 the matrix ofenergy (more detailed explanations) is interestingand could be generally adopted for the AJ’vIICA project. They define a scaling inside eachbox ofthe matrix with the next levels
- partly implemented- temporarily set into action- bridge to adaptation measures for climate change could be found
Dresden also thought about three “additional measures” about CFIP, cooling andinside companies. Development of efficient cooling systems in te field of nonelectric airconditioning is an excellent link between mitigation and adaptation.
Secondly, the “B row” (institutionalize your energy policy) is a very hard question toanalyze and to answer, because some staffs need to add the energy responsibility in theirworking load.
Another point raised was the thematic of consultation and information of citizenswhich does not seem very highly supported by Dresden. We could explain that because:
the city is late with the recognition of this problematic (of consultation andinformation), or maybe,
there are other kinds of structures not included in the matrix (associations by instance)which have this role of information and consultation. Therefore, we can not evaluate theirprogress in term ofmeasures to consuit and inform population with this matrix.
With te help of the LA21-process (see: www.dresdner-agenda2l.de, only inGerman) which is not implemented in the administration structure te information andconsulting processes are supported. (round table for energy topics since 1999, manydiscussion events for possible strategies in traffic and te so called “future workshops” forDresden)
Conclusion
The filling of te matrix has pointed up very good and ver>’ interesting technicalmeasures adopted by Dresden. The presentation of those measures was excellent too withpedagogical and teclmical value, It was shown that some activies about climate changeworked better in futher days, so it might make seens to reactivate this knowledge andpractice. Also some steps of te climate compass mafrix haven’t been taken but others ofahigher level where flulfilled.
8
The major hard subject to improve that we noticed corresponds to te consultation andinformation of the population. Therefore, te city should make efforts to involvepopulation in policies. They have to sensitize them about:te impacts of teir modem lifestyle (individual housing) increasing traffic and heatingC02 emissionste good individual practices that they could do every day at them scalessharing of impacts ofpoliticaldecision (i.e. bridge construction)
A good measure to improve this point should be to create an “officiai ideas conveyorbelt” between city policies and citizen life.
9
4. Identification of 3 additional measures
Recommendations
I Energy saving in buildings
1.1 Implement the municipal energy efficiency standard for buildings (theinsulation standard is 25% than the national level).
Consult legisiation for new buildings to develop the standards (see ClimateAlliance Report Energy efficiency and solar energy use in building planning).
1.2 Vocational training cf local workers in building sector as well as architectsand planners
1.3 Setting contraI procedures to let the energy regulations being respected(personal capacity, fining systems, etc)
A good exarnp?e is the •Energy forum banks and office ‘from the city of Frankturt. Aim cf the projeci, with the co-operation cfarchitects, speciahsed technical and internai investors, is decreasing the heat and eieclhc consumption in big offices and banksbuiidings reaching the best European standards,
The City of Frankfurt air Main, Germany, has canied eut the projeot: ‘energy efficiency n pubkc buiidings’ reaching 54% energysavings, with a pay back of 8 years for the initiai lnvestments.
1.4 Realtime display cf energy consumption in public buildings
V 124 European tawns end cities cf 21 countries paîticipate in (ha disp!ay campaign (www. display-campalgn. org) whose aim (s taencourage local euthorities ta pubticly display the energy and envircnmentat
1.5 Emis.sion trading scheme for trading cf 002 within (fie administration
2. Mobility management
In the field of traffic management there have been many discussion in Dresden.There’s a plan to build a new bridge which would facilitate individual cars traffic,rather then discourage it, therefore it is important to be careful when makingproposais of mobility management (are they feasible, adequate to the currentsituation?).
2.1 Awareness raising campaign for clever mobility (i.e. family party — mobiiitymarket, company newsletter on mobility) - See examples cf EumpeanMobility Week 2005
2.2 Pilot project in public administration (car pooling or job ticket)
2.3 Analysing institutional cooperation among municipal (and private?)companies (i.e. INFINIONin Dresden) te bring downticket prices.
2.4 Free test ticket (one or two weeks long) for the journey ta work.
2.5 Commuters’ forums te self organise car pooling solutions
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3.1 Awareness raising campaign for living in the city
3.2 Making the inner city more attractive and more liveable providing thenecessaiy infrastructures(water supply, districtheating supply, schools,free time activities, etc.)
3.2 Living streets initiatives
Example: Camden London City District, committed to close every year onemore street to cars traffic,as a traffic calmingmeasure in the area.
Ii
11