Sunrise अरुणोदय Press Kit (FRENCH)

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Avant l’aurore, l’inspecteur Joshi doit retrouver l’ombre qui détruit la vie des enfants. 2014 Busan International Film Festival Competition - New Currents avec ADIL HUSSAIN et TANNISHTHA CHATTERJEE Une co-production franco-indienne Durée 85 minutes Format de projection DCP 1:85 Langue Marathi Contact Ventes internationales : Nathan Fischer - Stray Dogs, Paris [email protected] Inde: Rakesh Mehra - Independent Movies, Mumbai info@sunrisethefilm.com France: Marc Irmer - Dolce Vita Films, Paris marc@dolcevita-films.com

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Press Kit en Français - Sunrise अरुणोदय - un film de Partho Sen-Gupta

Transcript of Sunrise अरुणोदय Press Kit (FRENCH)

Avant l’aurore, l’inspecteur Joshi doit retrouver l’ombre qui détruit la vie des enfants.

2014 Busan International Film Festival Competition - New Currents

avec ADIL HUSSAIN et TANNISHTHA CHATTERJEE

Une co-production franco-indienne

Durée 85 minutesFormat de projection DCP 1:85

Langue Marathi

ContactVentes internationales : Nathan Fischer - Stray Dogs, Paris [email protected]

Inde: Rakesh Mehra - Independent Movies, Mumbai [email protected]: Marc Irmer - Dolce Vita Films, Paris [email protected]

2014 Busan International Film Festival Competition - New Currents

RÉSUMÉ L’inspecteur de police Joshi, ne parvient pas à se remettre de la disparition de sa fille Aruna, kidnappée à l’âge de six ans. Malgré le temps passé depuis sa disparition, Joshi la recherche toujours désespérément. Un rêve récurrent hante ses nuits : Joshi poursuit une ombre noire qui l’amène au « Paradise », un bar de nuit où des adolescentes dansent devant un public libidineux. Joshi est persuadé que c’est là qu’il trouvera Aruna et s’est juré de la ramener à Leela, sa femme, brisée par cette épreuve.

Télécharger les photos.: http://www.sunrisethefilm.com/assets

Gulnaaz Ansari - Komal

PRESSE

« Onirique et troublant »

‘Sunrise’: Busan Review (en anglais)En savoir plus: http://www.hollywoodreporter.com/review/sunrise-busan-review-738675

« Un thriller psychologique captivant »

Busan Film Review: ‘Sunrise’ (en anglais)En savoir plus: http://variety.com/2014/film/reviews/busan-film-review-sunrise-1201321350/

“Un film noir haletant, plein de colère et de style ! ”

Busan 2014 Review: SUNRISE Plunges Us Into Noirish And Riveting Tale Of Child Abduction(en anglais)

En savoir plus: http://twitchfilm.com/2014/10/busan-2014-review-sunrise-plunges-us-into-a-noir-ish-stylish-and-riveting-tale.html#ixzz3RVGHEU00

BIOGRAPHIE DU SCÉNARISTE & RÉALISATEUR

Partho Sen Gupta est né à Mumbai, en Inde. Il a commencé sa carrière comme apprenti-décorateur aux studios de « Bollywood » à l’âge de 17 ans. Il a alors créé son propre studio de création de décors. Il a réalisé les décors et les effets spéciaux de nombreux films et publicités. Il a été le chef décorateur du film Nocturne Indien, d’Alain Corneau, tourné en Inde en 1989.

En 1993, il obtient une bourse pour étudier la réalisation à la FEMIS, L’école nationale des métiers de l’image et du son, à Paris. Il réalisa quatre courts-métrages, primés dans différents festivals eu-ropéens.

Après son diplôme, il réalise son premier long-métrage, Hava Aney Dey (Let the Wind Blow) qui a été sélectionné au Festival International du Film de Berlin en 2004. Il a été montré au MoMa à New-York dans le cadre de la présentation « Global Lens ».Son nouveau film, Sunrise (Arunoday), une co-production franco-indienne, avec Adil Hussain et Tannishtha Chatterjee dont la première mondiale a eu lieu en compétition au festival International du film de Busan dans la catégorie « New Currents».

IMDB: http://www.imdb.com/name/nm0784289/

Email: [email protected]

Entretien avec le réalisateur, PARTHO SEN-GUPTA

Qu’est-ce qui vous a inspiré pour faire ce film ?Quand j’étais petit, je vivais à Mumbai, et j’ai été l’objet d’une tentative d’enlèvement avortée. Quand les kidnappeurs m’ont enlevé, j’ai crié si fort que des ouvriers m’ont entendu et sont venus à ma rescousse. Mes ravisseurs m’ont relâché et sont partis en courant. Même si on me faisait parfois des mauvaises blagues à ce sujet, j’ai fini par oublier. Il y a quelques temps, j’ai vu en Inde une protestation silencieuse devant un commissariat. Il y a avait des gens de tous âges et de toutes classes sociales. Leurs visages étaient graves, mais ils tenaient des pancartes où l’on voyait des enfants qui souriaient. On voyait aussi les noms et les dates de disparition des enfants. Certains avaient disparu en rentrant de l’école, d’autres, pendant qu’ils jouaient dans des parcs et jardins, parfois même lorsqu’ils se promenaient avec leurs parents.

Et puis ma fille est née et je n’arrêtais pas de faire des cauchemars à propos de ce traumatisme d’enfance. J’ai ressenti le besoin de faire un film sur la sensation que cela fait d’avoir son enfant qui disparaît du jour au lendemain. Le résultat - Sunrise – n’est pas un film réaliste, mais le voyage émotionnel d’un père désespéré à la recherche de sa fille disparue. Mais le film est l’écho d’un phénomène très réel : récemment le ministère de l’Intérieur a déclaré qu’en 2013 et 2014 plus de cent mille enfants avaient été portés disparus en Inde.

Le déroulement du film n’est pas linéaire et multiplie les lignes narratives. Pourquoi avoir décidé de raconter l’histoire de cette manière ?

Sunrise n’a pas une narration linéaire : le film oscille entre la réalité et les rêves et fantasmes de Joshi. Le thème que j’essaie d’explorer dans ce film est le désir de justice ou de vengeance qui appartient à chaque être humain. On a fait subir à Joshi une épreuve terrible dans la réalité, et l’indifférence l’empêche d’obtenir justice. Il commence à dériver vers un monde imaginaire où il peut obtenir réparation. Là, il peut devenir le héros qu’il souhaiterait être, punir les méchants et retrouver sa fille. Dans cet espace mental fantasmé, il peut redresser les torts. Il voit les choses comme il voudrait qu’elles soient. Je pense que l’esprit humain, sous l’effet d’une souffrance profonde, est littéralement capable de prendre ses désirs pour des réalités, et mélanger ce qui relève du réel et du fantasme.Je ne voulais pas raconter l’histoire d’un père qui cherche sa fille ou son fils de manière linéaire, le combat des bons contre les méchants. Je voulais essayer de cerner comment l’esprit humain fait face aux injustices et aux tragédies, et comment on continue à vivre avec notre souffrance.

Entretien avec le réalisateur, PARTHO SEN-GUPTA (suite)

Comment avez-vous réussi à monter le film ?J’ai écrit le premier script de Sunrise en 2008 et il a été sélectionné au Marché du Film (AFM) de Busan. Nous devions tourner début 2009, mais les producteurs se sont soudainement retirés. Après avoir essayé de convaincre d’autres producteurs, en vain, j’ai levé 21 000 $ pour le développement sur la plate-forme Indiegogo.com et j’ai pu tourner un teaser grâce à cet argent. Le projet a alors été sélectionné au marché de Coproduction « Open Doors » de Locarno et j’ai rencontré Marc Irmer, de Dolce Vita Films à Paris. Nous avons commencé à travailler ensemble, et, grâce à l’aide de mes anciens camarades de la FEMIS nous avons réussi à mettre en place une équipe de techniciens français chev-ronnés pour la post-production. Marc a rassemblé 35% du budget. J’ai aussi postulé en 2012 pour au fonds pour les coproductions de la Société Nationale pour le Développement du Cinéma Indien (NFDC), qui nous a apporté 50% du financement. J’ai aussi amené deux coproducteurs minoritaires, Shrihari Sathe, d’Infinitum Productions, que j’ai rencon-tré sur le réseau social des industries du cinéma, slated.com, et Saaz Haque via la Page Facebook du Film.Après des mois à signer des contrats à cinq coproducteurs, nous avons commencé à tourner Sunrise en Juin 2013, pile au moment où la mousson commence à Mumbai. Le directeur de la photographie, Jean-Marc Ferrière est venu prépar-er le film avec le caméraman G. Monic Kumar, qui avait travaillé sur mon premier film. Adil Hussain, qui habite à New Delhi, est venu s’installer à Mumbai deux semaines avant le tournage, pour qu’on répète avec Tannishta Chatterjee et les autres acteurs.

Combien de temps a duré le tournage ? Où s’est-il déroulé ?Nous avons tourné trente-huit nuits, sans vraies pauses, sous la mousson torrentielle dans les banlieues au nord de Mumbai. Adil Hussain, que j’avais choisi en 2008, est tout à coup devenu très occupé par les films de Bollywood. Nous avons tourné certaines scènes en studio pour pouvoir tourner sans interruption.

Quelle est votre scène préférée dans le film ? Je n’ai pas vraiment de scène préférée, parce que j’aime toutes les scènes du film. Mais j’ai particulièrement apprécié tourner les scènes entre Adil et Tannishtha (tous les deux ont étudié à l’Ecole Nationale de Théâtre de New-Dehli). Ils avaient une belle synergie, et les scènes les plus compliquées devenaient faciles à tourner avec eux. Ils étaient tou-jours au bon endroit au bon moment. Comme ils avaient très peu de dialogues dans ces scènes, c’est un peu comme si j’avais chorégraphié leur langage corporel.

Quelles étaient les scènes les plus difficiles à tourner ?Les scènes avec Adil sous la pluie furent les plus difficiles à tourner. A cause de la mousson, nous devions ajouter de la pluie avec des rampes. En effet la vraie pluie n’était pas assez régulière et posait des problèmes de raccords entre les plans. Nous répétions sans la pluie et quand nous étions prêts à tourner, nous mettions en route les machines. Alors nous ne pouvions même plus nous entendre à cause du bruit, et parfois, la lumière devait être ajustée, car la pluie créait des éclats de lumière. Adil a été très courageux, ne se plaignant jamais d’être constamment trempé tout au long du tournage.

Parlez nous du processus de casting du film.Pour le casting de Sunrise, j’avais toujours pensé à Tannishtha pour le rôle de Leela, la femme de Joshi et mère d’Aru-na. Même si ce n’est pas un rôle très long, c’est un personnage important en terme de narration. Elle a été traumatisée par la disparition d’Aruna et elle est à un stade très avancé de dépression. Le casting de Joshi était plus difficile. J’ai rencontré beaucoup d’acteurs autour de la quarantaine, mais ils étaient tous en train de faire des séries télévisées et ne voulaient pas faire un film d’auteur. C’est Tannishtha qui m’a suggéré Adil. A ce moment là, il travaillait surtout au théâtre et avait tourné dans très peu de films. Il avait aimé mon scénario et il m’impressionnait beaucoup. Je l’avais donc choisi en 2008, mais le financement du film est tombé à l’eau et nous ne pouvions plus travailler ensemble. Nous sommes restés en contact, mais après avoir fait Le Monde selon Pi d’Ang Lee, trouver des moments de disponibilité était devenu difficile. Mais il a été très coopératif et a trouvé le temps pour faire le film, sans trop le dire à son agent. Pour les jeunes filles, ce fut très difficile. Ce n’est pas que l’Inde manque d’enfants acteurs, mais ils ont un jeu très ex-pressif, ils en font trop. Ce n’est pas vraiment de leur faute, puisque c’est ce qu’on attend d’eux dans les feuilletons et les séries dramatiques pour la télévision indienne. Nous avons eu du mal, mais nous avons fini par trouver ce que nous cherchions. Gulnaaz Ansari, l’adolescente qui joue Komal était une accompagnatrice d’enfants acteurs. Nous lui avons donné une page du scénario et lui avons demandé de jouer. Elle était parfaite pour le rôle, ainsi que les autres jeunes filles. Radhabai, la mère maquerelle, fut difficile à caster. La plupart des actrices marathies ont refusé le rôle après l’avoir lu. Elles trouvaient que c’était un personnage noir et impitoyable. Puis quelqu’un a suggéré Ashalata Wabgaonkar, une actrice chevronnée avec plus d’une centaine de films derrière elle. Elle lu le scénario et a décidé de le faire, car elle n’avait jamais joué le rôle d’une méchante auparavant. Les autres rôles furent joués par des acteurs marathis de théâtre et de télévision, dont la plupart avaient déjà travaillé avec moi sur mon premier film.

Entretien avec le réalisateur, PARTHO SEN-GUPTA (suite)

Dans quel format avez vous tourné le film ?Nous avons commencé à tourner avec une caméra RED Epic, mais elle n’a pas supporté la chaleur et l’humidité de l’Inde sous la mousson, les fichiers étaient donc corrompus après quelques heures de tournage. Nous l’avons rem-placée par une ARRI Alexa et la bonne vieille technologie allemande n’a pas failli à sa réputation. Le film a été tourné en ARRIRAW 12 bits.

Parlez nous un peu de la post-production, de la musique et du design sonore.La post-production a commencé en novembre 2013 avec la monteuse Annick Raoul, et nous avons travaillé jusqu’à Noël. Nous sommes repartis en montage à partir de la mi-janvier 2014 pour 6 semaines. Le montage image s’est fait de manière fluide : très rapidement, Annick a compris ce que je voulais faire. Nous avons fini le montage image début avril et j’ai eu de longues discussions avec le designer sonore, Nicolas Becker, et son équipe de monteurs son, dirigée par Ken Yasumoto, le chef-monteur son et les deux monteurs son, Gurwal Coïc-Gallas et Nicolas Bourgeois. Je voulais un son onirique qui représente le paysage intérieur tourmenté de Joshi. Nicolas et son équipe ont été très enthousiastes à l’idée de travailler sur une matière originale, loin du réalisme habituel des films français.

J’avais commencé à travailler sur la musique avec Eryck Abécassis en 2008, lors du processus d’écriture. Eryck était un choix naturel, car nous avons travaillé ensemble depuis 2003, lorsqu’il a composé la musique de mon premier film. J’ai toujours voulu une musique moderne et surprenante pour ce film. Après de nombreuses discussions, Eryck a composé une musique très singulière avec des bruits d’instruments étonnants… En l’absence de dialogue, la musique devient un élément principal du récit, avec les mouvements de caméra, le son et le jeu des acteurs, au lieu d’être reléguée au dernier plan comme souvent au cinéma. C’est fascinant de voir à quel point la musique minimaliste d’Eryck élève une scène et l’amène dans l’espace onirique que j’avais imaginé.

Pendant ce temps, avec le directeur de la photographie, nous avons travaillé pendant deux semaines avec l’étalonneur Elie Akoka du laboratoire Film Factory à Paris. Elie avait précédemment travaillé sur La Vie d’Adèle. Mon camarade de promotion à la FEMIS, Jérôme Wiciak, a travaillé sur le montage des excellents sons directs pris par l’ingénieur du son Hiresh Chaurasia, ce qui nous a évité les postsynchronisations, à l’exception d’un dialogue que je voulais ajouter. Jérôme a ensuite mixé le film et nous avons commencé à la montrer aux sélectionneurs de festivals.

Pour en savoir plus sur les trafics d’enfants en Inde (en anglais)

India’s Missing Children, By the Numbers (Wall Street Journal - India)http://blogs.wsj.com/indiarealtime/2012/10/16/indias-missing-children-by-the-numbers/

One lakh (100,000) children go missing in India every year: Home ministry (Times of India)http://timesofindia.indiatimes.com/india/One-lakh-children-go-missing-in-India-every-year-Home-ministry/article-show/39779841.cms

Evidence of trafficking of Indian children for illegal adoption emerges (Sydney Morning Herald)http://www.smh.com.au/national/evidence-of-trafficking-of-indian-children-for-illegal-adoption-emerg-es-20140124-31e84.html

LES ACTEURS

ADIL HUSSAIN - JoshiDiplômé de L’Ecole Nationale de Théâtre de New-Delhi, Adil Hussain a joué au théâtre en Inde et dans le reste du monde pendant 13 ans. Il a joué le père de Pi dans le film d’Ang Lee Le Monde selon de Pi et a joué dans une pro-duction italienne de Mahasweta Devi’s Gangor par Italo Spinelli, présentée au festival du Film international de Rome. Il joue à la fois dans les films de ‘Bollywood’ et les films indiens indépendants. Il enseigne également le jeu d’acteur à l’Ecole Nationale de Théâtre (NSD) de New-Dehli et à L’Institut Indien du Cinéma et de la Télévision (FTII) de Pune.

http://www.imdb.com/name/nm1300009/

TANNISHTHA CHATTERJEE - Leela Diplômée de L’Ecole Nationale de Théâtre de New-Dehli, Tannishtha Chaterjee est connue pour son rôle dans Brick-Lane (2007) de Sarah Gavon, adaptation du best-seller de Monica Ali. Elle a aussi été remarquée dans le film du réal-isateur allemand Forian Gallenberger, Les Ombres du temps. Elle était déjà présente dans le premier film de Partho Sen-Gupta, Let the Wind Blow (Hava Aney Dey) et dans bon nombre de films d’auteurs indiens.

http://www.imdb.com/name/nm1318578/

ASHALATA WABGAONKAR - RadhabaiNée en 1938 à Goa, Ashalata Wabgaonkar est une actrice chevronée qui a commencé par la scène et qui a joué dans plus d’une centaine de films en Hindi et en Marathi.

GULNAAZ ANSARI - KomalGulnaaz Ansari est une figurante professionnelle et un chaperon pour les enfants acteurs pour les films de Bollywood. Elle a été découverte par notre équipe de casting, et nous lui avons confié l’un des rôles principaux.

ESHA AMLANI - NainaA 9 ans, Esha tourne déjà pour la télévision et dans des publicités. Sunrise est son premier film pour le cinéma.

(à gauche) Gulnaaz Ansari - Komal (à droite) Esha Emlani - Naina

L’ÉQUIPE TECHNIQUEJEAN-MARC FERRIERE Directeur de la photographie

Diplômé de l’école Nationale Supérieure de Cinéma, Son et Photographie Louis-Lumière à Paris, il travaille comme photographe et directeur de la photographie. Il a travaillé aussi bien sur des films de fictions que des documentaires dans le monde entier. Il a déjà collaboré avec Partho Sen Gupta sur son premier film, Let the Wind Blow (Hava Aney Dey). http://www.jeanmarcferriere.com/

ANNICK RAOUL MonteuseDiplômée de la FEMIS et ancienne camarade de Partho Sen-Gupta, dont elle a déjà monté le premier film et les courts-métrages. Elle travaille comme monteuse à Paris.

G. MONIC KUMAR CaméramanDiplômé de l’institut du Cinéma et de la Télévision du Tamil Nadu, à Chennai, dans la section prise de vues, il fait des films à Chennai. Il travaille aussi comme caméraman de 2e équipe pour les films étrangers tournés en Inde. Il a travaillé sur Slumdog Millionnaire, La Mort dans la Peau, Mission Impossible, À bord du Darjeeling Limited… Il a tourné Sunrise en caméra à l’épaule avec une ARRI Alexa. http://www.imdb.com/name/nm2363260/

NICOLAS BECKER Design sonoreNicolas Becker a commencé sa carrière comme bruiteur dans les années 90, mais il s’est rapidement tourné vers le design sonore et les installations artistiques. Il a travaillé sur plus de 200 films avec Mathieu Kassovitz, Gaspard Noé, Jan Kounen, Roman Polanski, Alain Resnais Alejandro Amenabar, Alfonso Cuaron, Christopher Nolan, Danny Boyle… Il a rencontré Partho à la Femis dans les années 90. http://www.imdb.com/name/nm0065545/

ERYCK ABECASSIS CompositeurEryck Abécassis est un compositeur, musicien et joueur de guitare électrique qui mélange les genres, de la musique orchestrale à la musique électronique, en passant par des compositions pour le théâtre et le cinéma. Sa musique a été jouée dans des festivals internationaux un peu partout dans le monde. Son style se situe à la croisée de la musique contemporaine et de la musique électronique bruitiste, et utilise beaucoup les ordinateurs, tant pour l’écriture des morceaux qu’en tant qu’instrument. Il a participé au programme « Cultures France Hors les Murs » de la Villa Médicis en 2011. http://eryckabecassis.com/

RAVIN KARDE DécorateurFraîchement diplômé de l’Institut de Cinéma et Télévision de Pune, Sunrise est son premier film.

Adil Hussain Joshi

LES PRODUCTEURS

Marc Irmer - Dolce Vita Films, ParisMarc Irmer est un producteur français de films documentaires et de cinéma. Depuis 15 ans, il produit des films français et s’associe à des co-productions internationales. Avec sa société actuelle, Dolce Vita Films, et la précédente, 1001 productions, il a produit plus de 15 Longs-métrages dont le compétiteur berlinois Hôtel Harabati de Brice Cauvin, le documentaire césarisé Le Cauchemar de Darwin de Hubert Sauper, Témoin Indésirable de Juan Lozano, sélectioné à Toronto et à Sundance, Les sœurs Quispe de Sébastian Sepulveda primé à Venise, et Le Gand Cahier de Janos Szasz, qui a gagné le grand prix du Festival de Karlovy Vary. Sa dernière coproduction est Sunrise. http://www.dolcevita-films.com/

Rakesh Mehra - Independent Movies Ltd, Mumbai Rakesh Mahra est né à Hyderabad en Inde. Il travaillé dans l’industrie du cinéma comme directeur de production et producteur exécutif. Il a travaillé sur des films indiens comme internationaux. Il a co-fondé Independent Movies avec Partho Sen Gupta, le scénariste et réalisateur de Sunrise. http://www.imdb.com/name/nm0576492/

Nina Lath Gupta - National Film Development Corporation, MumbaiNina Lath Gupta est la directrice de la Société Nationale de développement du Cinéma en Inde. Sous sa direction, cet organisme a radicalement changé d’orientation, en aidant le cinéma d’auteur et en restant à l’écart des grosses productions. Consciente de la nécessité de renforcer le processus d’écriture, la NFDC a organisé des laboratoires d’écriture, comme le « Film Bazaar », qui, en parallèle du festival International de Cinéma de Goa, est un incubateur de talents, dont les films sont régulièrement sélectionnés en festivals. http://www.nfdcindia.com/

LES CO-PRODUCTEURS

Phillipe Akoka et Alain Peyrollaz - Good Lap Productions, ParisAvec 20 ans d’expérience comme laboratoire de post-production pour le cinéma et l’audiovisuel, Philippe Akoka a en-cadré la post-production de plus de 100 films dont La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche, Une Grande Année de Ridley Scott, Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet, Alexandre d’Oliver Stone et Rebelle des studios Pixar. Il est le directeur général du laboratoire Film Factory à Paris.http://www.imdb.com/name/nm3172581/Alain Peyrollaz a travaillé pendant plus de 20 ans comme producteur exécutif, assistant réalisateur, producteur associé et directeur de production en France. Il est le co-fondateur de Good Lap productions avec Phlippe Akoka et l’étalon-neur renommé Lionel Kopp.http://www.imdb.com/name/nm0678987/

Shrihari Sathe - Infinitum Productions, MumbaiOriginaire de Mumbai, Shrihari Sathe a produit Pervertigo, un film indé américain qui fut sélectionné aux festivals de Varsovie et Mumbai. Sa dernière production, It felt like Love, a été sélectionnée au festival de Sundance et au festival de Rotterdam, et a été soutenue par la critique. Il a réalisé son premier film en tant que réalisateur, Ek Haarachi Note (1000 Rupee Note) en 2014. http://www.imdb.com/name/nm2154797/

Saaz Haque - Aryasaa Cine productions, GuwahatiNé à Guwahati, en Inde, Saaz Haque est un cinéphile passionné et un nouvel entrant dans le monde du cinéma. Il tra-vaille entre l’Australie et L’Inde. Sunrise est sa troisième co-production.

Ecrit et réalisé par Partho Sen-Gupta

Produit par Nina Lath Gupta

Marc IrmerPartho Sen-Gupta

Rakesh Mehra

Co-producteursPhilippe Akoka & Alain Peyrollaz

Shrihari SatheSaaz Haque

Producteur exécutif Vikramjit RoyProducteur Associé Sahab Narain

Coordinatrice de production Shivani Saran

CASTINGJoshi Adil Hussain

Leela Tannishtha ChatterjeeRadhabai Ashalata Wabgaonkar

Komal Gulnaaz AnsariNaina Esha Amlani

Patil Hridaynath JadhavInspector Jadhav Ramdas Jadhav

Mira Kalyanee MulayBabu Chinmay Kambli

L’homme qui tousse Bachan PachehraVieil homme à la poupée Sumant Mastkar

L’ombre Tauqeer Alam KhanJuliette Nandita Bora

Le mac de Juliette Tejas D. ParvatkarPolicier de premanence Anil Shinde

Homme obsène dans le bar Swapnaneel JaykarAruna Komal GuptaNoor Komal GawadeManisha Megha Ratan

Salma Samruddhi SatamOuvrier Mahesh Sawant

Vaidya Rakesh MehraRomeo Ashish More

Le Père de Babu Vishwas SohoniLe Mari de MiraSwapnil Khot

Jeune garçon apportant du thé Suraj GaudAgent de police Dinkar Gavande

LISTE TECHNIQUE

ÉQUIPE TECHNIQUEDirecteur de la photographie Jean-Marc Ferrière

Montage Annick RaoulCadreur G. Monic Kumar

Dialogues Yogesh Vinayak JoshiDécorateur Ravin KardeMusique Eryck Abecassis

Design sonore Nicolas BeckerPreneur de son Hitesh Chaurasia

Costumes Kimneineng Kipgen & Chetna RawatMaquilleur Nitesh PawarCoiffeuse Farida Ansari

Assistant réalisateur Tejas D. ParvatkarChef Monteur son Ken Yasumoto

Monteurs son Nicolas Bourgeois & Gurwal Coïc-GallasMixeur Jérôme Wiciak

Dialogue Editor Jérôme Wiciak Bruiteur Nicolas Fioraso

Mixeur du bruitage Johann NalletEtalonneur Elie Akoka

Lieux de tournageMumbai et Goa, Inde

(à gauche) Tannishtha Chatterjee - Leela (à droite) Adil Hussain - Joshi

Visa CNC N° 138.760

Film développé avec

Le film a été développé avec la participation de 141 crowdfunderssur

Avec le soutien du Centre national du Cinéma et de l’image animé

Dolce Vita Films est membre de ACE.

© 2014 – Independent Movies – NFDC – Dolce Vita Films

Disponible en version sous-titrée en Anglais et français

ContactVentes internationales: Nathan Fischer - Stray Dogs, Paris [email protected]

France: Marc Irmer - Dolce Vita Films, Paris [email protected]: Rakesh Mehra - Independent Movies, Mumbai [email protected]

sunrisethefilm @sunrisethefilm