«SECURITE ROUTIERE»...par l’auto-école TOP CONDUITE et ECLAT DE L’ILE : pièce en 5 actes,...
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L’ASSER organise sa journée
«SECURITE ROUTIERE»
pour
LA PREVENTION DU RISQUE ROUTIER PROFESSIONNEL
Dossier de presse
Jeudi 19 octobre 2017
De 7h30 à 16h30
Contact presse : Mr LAPORTE Pascal 06 92 21 82 98
[email protected] et www.asser.re
ASSER SECURITE ROUTIERE de la REUNION" rejoignez-nous !!!
PRESENTATION
L’ASSER (Association Entreprendre pour la Sécurité Routière au Travail), créée en 2002 sous l’impulsion d’une
trentaine d’entreprises et collectivités réunionnaises représentant plusieurs milliers de salariés, s’est engagée à
sensibiliser ses collaborateurs sur le risque routier.
L’ASSER, association créée pour la prévention du risque routier
Les accidents du travail sur route représentent 15 % des accidents mortels. Face à ce constat, sous l’impulsion
combinée des entreprises réunionnaises privées et publiques, des collectivités locales, des services de l’État et de la
Caisse Générale de Sécurité Sociale, est née en 2002 l’association ASSER (Association Entreprendre pour la
Sécurité Routière au Travail) afin de promouvoir une culture de la sécurité routière.
Regroupant aujourd’hui l’adhésion d’une trentaine d’entreprises issues essentiellement du secteur privé, l’ASSER a
pour objectif de prévenir les risques routiers au travail en organisant la prévention au sein des entreprises, et en
faisant connaître et partager les expériences des uns et des autres.
Liste des entreprises adhérentes à l’ASSER
Engagements des entreprises adhérentes
Les adhérents de l’ASSER se sont engagés pour :
- Se mobiliser autour d’un projet commun, - F aciliter la réflexion et l’échange d’expériences, - Valoriser les actions mises en place par les membres, - Mettre en commun des moyens d’actions, - Diminuer le coût humain et économique des accidents de la route en favorisant la promotion des actions
de sécurité routière et des campagnes de prévention et sensibilisation.
« Journée Sécurité Routière le 19 octobre 2017 »
Objectif : Favoriser les échanges et la pratique
Créer un événement moderne et interactif.
Travailler cette manifestation sous la forme d’un village dédié à la sensibilisation routière.
Mettre en situation les participants, les surprendre.
Permettre à tous de participer et se « situer » dans sa conduite & attitude au quotidien.
DEROULEMENT
Le principe est d’articuler ce village ASSER autour de 10 stands animés et/ou interactifs.
Le développement des applications pour tablette tactile permet à l’heure actuelle une interactivité accrue avec le
public, lui permettant de se mettre en scène. Il passe ainsi du rôle de spectateur au rôle d’acteur.
Comprendre le danger c’est également y être confronté: Mise en situation des participants
Proposer du virtuel (univers 2.0), du réel (conduite de véhicules)
6 stands seront équipés de : 1 tablette / 1 écran sur totem / une table 1 - Stand DANGER DE L’ALCOOL 2 - Stand SENSIBILISATION 3 - Stand CODE DE LA ROUTE 4 - Stand INFRACTION 5 - Stand QUIZ 6 - Stand EYE TEST
4 stands sur le circuit
1 - Atelier FREINAGE/EVITEMENT 2 - Atelier DISTANCE DE SECURITE 3 - Atelier TELEPHONE AU VOLANT
4 - Atelier SOMNOLENCE
Emplacement PISTE JAMAIQUE
Nos partenaires
L’ASSER S’ENGAGE
L'ASSER a répondu à l’appel national en signant le 08 novembre 2016, la convention de partenariat pour une route plus sûre, avec la Sous-Préfète de Saint-Benoit Christine GEOFFROY et le Délégué Interministériel à la Sécurité Routière Emmanuel BARBE.
L'appel engage les entreprises à tout mettre en œuvre pour que leurs collaborateurs ne prennent aucun risque au volant.
Partageant ensemble la même conviction à combattre l'insécurité routière, l'ASSER invite chacun de ses adhérents à s’inscrire sur entreprises.routeplussure.fr.
En vous y adhérant, vous soutenez les 7 engagements forts à la sécurité routière.
Une fois inscrit, merci de nous adresser un mail de confirmation
Vous recevrez des autocollants à apposer
sur vos véhicules.
Interview de Mme La Sous Préfète
• Face à ce mauvais départ constaté en ce début d'année en terme de mortalité, la sous-préfète en charge de la
sécurité routière rappelle que la lutte passe toujours par une action de l'État déroulée selon trois axes principaux :
l'éducation, la sensibilisation et la répression.
• Mme Geoffroy, au regard des chiffres de la mortalité routière, ce début d'année est le pire observé depuis 2009.
• C'est pour ça qu'on continue le travail de répression et de sensibilisation.
https://www.clicanoo.re/Faits-Divers/Article/2017/05/22/Christine-Geoffroy-ne-peut-pas-etre-fataliste-quand-des-vies-
sont#disqus_thread
L’action des pouvoirs publics, en communication, en répression est indispensable et nécessaire mais n’est efficace
que si elle est accompagnée par une vraie conviction des 850 000 Réunionnais.
http://www.linfo.re/la-reunion/societe/727373-christine-geoffroy-les-comportements-provoquent-ces-drames
Christine Geoffroy :
''On ne peut pas être fataliste quand des vies sont en jeu''
22/05/17
Christine Geoffroy :
"L’action publique a ses limites et n’a de sens que si
l’ensemble des usagers de la route se mobilise également."
25/09/17
Organiser le travail afin d’éviter ou limiter les déplacements, avoir recours à des moyens alternatifs tels
que téléconférences et audioconférences…
Évaluer les risques liés aux déplacements et qui peuvent être évités.
Utiliser les moyens les plus sûrs en priorité, lorsque les déplacements sont nécessaires.
Emprunter les itinéraires les plus sûrs en priorité, les identifier et les faire emprunter.
Utiliser des véhicules adaptés, équipés et entretenus pour les déplacements routiers de façon à permettre
des déplacements sûrs et l’exécution des autres tâches liées aux déplacements en sécurité. Faire en
sorte qu’ils soient maintenus en bon état de fonctionnement.
Planifier les déplacements et les autres activités en vue de donner au conducteur le temps nécessaire
pour conduire en sécurité, en tenant compte du temps de pause, de l’amplitude de la journée de travail et
des contraintes prévisibles (embouteillages…).
Utiliser des moyens de communication en sécurité et faire en sorte que l’utilisation de tels moyens soit
compatible avec la conduite.
S’assurer des compétences des salariés pour la conduite de véhicules routiers.
ASSER : Objectifs de prévention
Partage des informations et expériences
Depuis sa création, l’association a souhaité recueillir et présenter les opérations menées dans les entreprises. Ces
recueils d’expériences sont édités et permettent à tous les membres d’enrichir leurs connaissances, de gagner du
temps et d’acquérir de nouvelles compétences.
Chaque mois, l’ASSER fournit à ses adhérents des informations sur les nouvelles réglementations. Elle leur indique
des prestataires pouvant les aider en matière de prévention routière au travail. Certaines campagnes de prévention
peuvent être en partie prises en charge par la CGSS et s’établir en partenariat avec des assureurs, des auto-écoles,
la préfecture, la gendarmerie…
L’ASSER organise des manifestations de plus grande ampleur, des journées de sensibilisation au risque routier
professionnel, à destination des salariés des entreprises adhérentes :
- En 2009, une journée sur le thème « Alcool Taux Zéro », organisée au parc des expositions
de Saint-Paul, qui a rassemblé 200 salariés des entreprises adhérentes à l’ASSER, autour de partenaires comme la sécurité routière, la gendarmerie, le SAMU, les pompiers, et le substitut du procureur.
- En 2010, une journée sur le thème « La vitesse et l’Eco conduite » organisée au
circuit de la Jamaïque à Saint-Denis, qui a rassemblé 300 salariés des entreprises adhérentes à l’ASSER. Différents ateliers étaient proposés : simulateur de conduite, simulateur de conduite 2 roues, test choc, voiture tonneau et ateliers de conduite sur piste avec l’école de conduite Malik UNIA pour apprendre à mieux anticiper une action, à mieux adapter sa vitesse (gestion d’une vitesse, freinage d’urgence), dans le but de sensibiliser à la bonne attitude de conduite.
- En 2012, une matinée sécurité routière sur le thème « Repassons le code de la route », organisée au Multiplexe Ciné Cambaie à Saint-Paul, qui a rassemblée 300 salariés des
entreprises adhérentes à l’ASSER. Au programme de cette matinée animée par l’auto école DIJOUX et TEAT LA KOUR : test du code de la route, correction collective et interactive avec TEAT LA KOUR et sketch de sensibilisation sur le comportement du conducteur au volant.
- En 2013, participation au salon ELOISE, 1er
salon de la prévention et des risques
professionnels de l’océan indien, par l’animation d’un stand sur la prévention du risque routier et la promotion d’une culture sécurité routière, en milieu professionnel et par la tenue de conférence débat sur ces mêmes thèmes.
- En 2014, une matinée sécurité routière sur le thème « Ne fermez pas les yeux, ça n’arrive pas qu’aux autres », organisée au Multiplexe Ciné Cambaie à Saint-Paul, qui a
rassemblée 200 salariés des entreprises adhérentes à l’ASSER. Au programme de cette matinée animée par l’auto-école TOP CONDUITE et ECLAT DE L’ILE : pièce en 5 actes, introduction autour d’un enterrement, la vue, les addictions, téléphone et multimédia au volant et la vitesse.
- En 2016 : une action intitulée « Radar pédagogique ».
Cette opération avait déjà eu le soutien de Mme Christine GEOFFROY, La Sous-Préfète de St Benoit. Février 2016 : Action menée sur Cambaie, Ste Marie, pour s’achever sur St Denis. Septembre 2016 : Action menée sur l’Etang Salé.
- En 2017 : Inscrite en 2017, au PDASR, notre action Radar Pédagogique devient une action
trimestrielle dans l’agenda de la Sécurité Routière à la Réunion. Notre action du 1
er trimestre 2017 s’est déroulée le vendredi 03 mars 2017 à la Station TOTAL « Les Cafés »
de Ste Marie, RN2. Notre action du 2
ème trimestre 2017 s’est déroulée le jeudi 06 juillet 2017 à la Station TOTAL « ZAC 2000 »
du Port.
L’évaluation et la prévention des risques professionnels, une obligation des
entreprises
Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d’une
altération de leur santé qui peut se traduire par une maladie ou un accident. Il appartient à l’employeur de supprimer
ou de réduire ces risques afin d’assurer la sécurité des salariés et de protéger leur santé physique et mentale. Pour
ce faire, il doit prendre les mesures appropriées et les mettre en œuvre conformément aux principes généraux de
prévention énumérés par le Code du travail. Compte tenu de la nature de l’activité exercée, il doit ainsi évaluer les
risques professionnels, consigner les résultats dans un document unique et mettre en œuvre des actions de
prévention. Il est également tenu à une obligation générale d’information et de formation à la sécurité.
Une responsabilité de l’employeur
L'évaluation des risques professionnels (EVRP) s'inscrit dans le cadre de la responsabilité de
l'employeur, qui a une obligation générale d'assurer la sécurité et de protéger la santé de ses salariés. Pour ce faire, il
dispose d'un des principes généraux de prévention énoncé dans le Code du travail : l'évaluation des risques (articles
L.4121-2 et L.4121-3). Celle-ci englobe des actions d'identification et de classement des risques et aussi de mise en
place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures
correctives immédiates. Outre répondre à une exigence réglementaire qui s'est trouvée renforcée par le décret n°
2001-1016 du 5 novembre 2001, l'EVRP constitue l'un des principaux leviers de progrès dans l'entreprise. Elle
lui est utile puisqu'elle peut contribuer à améliorer son fonctionnement tout au long de son évolution, en consolidant la
maîtrise des risques avérés mais également en pointant l'apparition de risques à effets différés ou de nouveaux
risques, en particulier ceux qui sont liés aux nouvelles organisations (recours plus fréquent à des CDD, intérim, flux
tendus...). Dans ce contexte, la santé et la sécurité des salariés ne doivent pas être dissociés du fonctionnement de
l'entreprise (choix techniques, organisation du travail, mobilisation des compétences, formation...). La mise en place
d'une démarche de prévention contribuera à améliorer la performance de l'entreprise sur le plan humain et
économique.
Cadre législatif et document unique
Un cadre juridique depuis 1989
L'EVRP est un concept issu de la directive cadre européenne du 12 juin 1989, qui fonde les principes généraux de
prévention.
En France, l'obligation générale de sécurité qui incombe à l'employeur doit le conduire à prendre toutes les mesures
nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs (article L. 4121-1 du Code du travail).
Conçue comme une véritable "boîte à outils", cette disposition générale prévoit la mise en œuvre de mesures de
prévention, fondées sur des principes généraux qui doivent aider et guider l'employeur dans sa démarche globale de
prévention.
Figurant au nombre de ces principes généraux, l'évaluation des risques constitue un élément clé de cette démarche.
Elle en est le point de départ et permet, dans un environnement à évolution rapide, de choisir des actions de
prévention appropriées et d'apporter, face à des risques déterminés, des réponses et des solutions complètes qui ne
soient pas uniquement "techniques".
Chaque entreprise doit élaborer son document unique
Quelque soit la taille de l’entreprise et son secteur d’activité, l’employeur doit transcrire dans un document unique, les résultats de l’évaluation des risques à laquelle il a procédé dans le cadre de son obligation générale de prévention des risques professionnels.
Le document unique doit comporter un inventaire des risques identifiés dans chaque unité de travail. Pour ce faire,
l’employeur peut s’appuyer sur différentes sources d’information disponibles dans l’entreprise : analyse des risques
réalisée par le CHSCT, listes des postes de travail à risques particuliers, fiche d’entreprise établie par le médecin du
travail… Le document unique doit faire l’objet d’une mise à jour régulière (au moins une fois par an) et lorsqu’une
modification survient (transformation de l’outillage, révélation de risques non identifiés jusqu’alors, survenance d’un
accident du travail…).
Le document unique d’évaluation des risques est tenu à la disposition :
- des travailleurs
- des membres du CHSCT ou des instances qui en tiennent lieu
- des délégués du personnel
- du médecin du travail
- des agents de l’inspection du travail
- des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale
- des agents des organismes professionnels de santé, de sécurité et des conditions de travail constitués dans les
branches d’activités présentant des risques particuliers et mentionnés à l’article L. 4643-1 du code du travail
- des inspecteurs de la radioprotection mentionnés à l’article L.1333-17 du code de la santé publique et des agents
mentionnés à l’article L.1333-18 du même code, en ce qui concerne les résultats des évaluations liées à l’exposition
des travailleurs aux rayonnements ionisants, pour les installations et activités dont ils ont respectivement la charge.
Quelles actions de prévention ?
Outre l’obligation de faire respecter les consignes de sécurité, l’employeur doit mettre en œuvre des actions de
prévention appropriées, parmi lesquelles figurent l’information et la formation à la sécurité, imposées par le Code du
travail. Dans les entreprises d’au moins 50 salariés, un programme de prévention des risques professionnels doit être
établi.
Le programme annuel de prévention des risques professionnels
Le document unique doit notamment contribuer à l’élaboration du programme annuel de prévention des risques professionnels, lequel fixe la liste détaillée des mesures à prendre au cours de l’année à venir en matière de protection des salariés et d’amélioration des conditions de travail (mise en œuvre de formations, changement d’équipement…).
Ce programme, ainsi que le rapport écrit sur le bilan de la situation générale en matière d’hygiène, de sécurité et des
conditions de travail et concernant les actions menées au cours de l’année écoulée, est présenté au moins une fois
par an au CHSCT (ou à défaut aux délégués du personnel).
L’information des salariés L’employeur informe les travailleurs sur les risques pour leur santé et leur sécurité d’une manière compréhensible pour chacun. Cette information est dispensée lors de l’embauche et chaque fois que nécessaire. Elle porte sur :
- Les modalités d’accès au document unique d’évaluation des risques, mentionné ci-dessus
- Les mesures de prévention des risques identifiés dans le document unique d’évaluation des risques
- Le rôle du service de santé au travail et, le cas échéant, des représentants du personnel en matière de prévention
des risques professionnels
- Le cas échéant, les dispositions contenues dans le règlement intérieur, relatives à la sécurité et aux conditions de
travail
- Les consignes de sécurité incendie et instructions mentionnées à l’article R. 4227-37 du code du travail ainsi que
l’identité des personnes chargées de la mise en œuvre des mesures prévues à l’article R. 4227-38 du même code.
Le temps consacré à cette information est considéré comme temps de travail. L’information se déroule pendant
l’horaire normal de travail.
Le médecin du travail est associé par l’employeur à la détermination du contenu de cette information et à l’élaboration
des actions de formation à la sécurité mentionnée ci-dessous.
La formation à la sécurité
Tout salarié doit bénéficier, à l’initiative de l’employeur, d’une formation pratique et appropriée en matière de sécurité,
lors de son embauche et à chaque fois que nécessaire, par exemple, en cas de changement de poste de travail ou de
technique ou encore, à la demande du médecin du travail, après un arrêt de travail d’une durée d’au moins 30 jours.
La même obligation de formation pèse sur l’employeur à l’égard des travailleurs liés par un contrat de travail
temporaire à l’exception de ceux auxquels il est fait appel en vue de l’exécution de travaux urgents nécessités par des
mesures de sécurité et déjà dotés de la qualification nécessaire à cette intervention.
Le financement des actions de formation à la sécurité est à la charge de l’employeur.
La formation dispensée tient compte de la formation, de la qualification, de l’expérience professionnelle et de la
langue, parlée ou lue, du travailleur appelé à en bénéficier. Le temps consacré à la formation est considéré comme
temps de travail. La formation se déroule pendant l’horaire normal de travail.
CONTACTS
www.asser.re
: asser sécurité routière de la réunion
Membres du bureau de l’ASSER
Président : Eric BRODELLE – CMM.
Trésorier : Jerry MOURLON – TERALTA.
Secrétaire : Julia AUZEPY – CISE REUNION.
Trésorier Adjoint : Cyrille PASQUIER – URCOOPA.
Secrétaire adjoint : Fabrice CARLE – COROI.
Chargé de Communication : Pascal LAPORTE – SISTBI.
Chargé de Logistique : Julien BOURGAREL – SELF SIGNAL.
Assistante administrative : Séverine MASSAIN.