Rentabilisation de P-Bouge Learning to Leverage : Opérationnalisation de P-Bouge à CARE Burundi...
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Rentabilisation de P-Bouge
Learning to Leverage:
Opérationnalisation de P-Bouge à CARE Burundi
Michael Drinkwater and Diana Wu15 Février 2011
Objectif de la visite d’apprentissage
• La documentation et l’analyse du processus P-Bouge
• Appuyer les prochaines étapes de l’opérationnalisation P-Bouge au Burundi
• Identifier les implications de P-Bouge pour CARE International
• Appliquer les leçons apprises de Burundi pour le conseil global par rapport à P-Bouge
Contexte de Burundi• L’insécurité
– la guerre civile et un paix ténu – les élections ni démocratiques ni pacifiques
• Sous-développement– Le 166ieme de 169 pays par rapport à IDH (2010); qui montre le moins
progrès dans les indicateurs MDGs dans la région. – De chaque 5 personnes, 3 souffrent de sous-alimentation, et l’espérance
de vie reste à 51 ans
• Population – 92 percent de la population (7.8 milliers) dépendent de la terre (11,880
km2). – Taux de croissance annuel: 3 percent.
• Sous-prioritisé– Négligence des bailleurs et de la communauté internationale
Contexte de BurundiEnfants• Presque 1 de chaque 10
Burundais est un enfant classifié comme OEV
• 84 percent des enfants (5-14 ans) travaillent.
• En contraste, moins d’un demi des enfants du même âge vont à l’école
• Près de 1 de 5 enfants (7-14 ans) combinent les études avec le travail
Femmes• Femmes sans héritage
dépendance sur le mariage/ compétition et conflit entre épouses polygames
• 1 de chaque 16 femmes meurent de complications d’accouchement
• Disproportionnément affecté par HIV/SIDA, le mauvais santé, la malnutrition; exclusion de l’éducation
Evolu
tion
de P
-Bou
ge
2002-03 2004-05 2006-07 2008-09 2010-11Stratégie/ Vision
Plan stratégique
Voyage Stratégique - Femmes
Valeur d’expertise de staff ajouté dans le plan stratégique P-Bouge
Finalisation des 2 cadres programmatiquesStratégies: SMIA, Gouvernance, Partenariat
Structure Secteur d’Urgence remplacéNouveaux unités: Livelihoods, Gouv/Soc. Civil
Position QP établi
Impact Group-structure
CTs communesL’équipe PQL forméPosition de plaidoyer au niveau du programme (femmes)
QPA positions: Suivi/Eval.; Info/Comm; Epargne/CréditGrants et ContratsConsolidation de CTs
Appui de staff, ressources humaines
Étude: Climat Organisa-tionelle
Formation: GED, RBARéforme de RecrutementJours sportives
Jours d’apprentiss-age
Etude: GED (CPS)Formation: SAA
Formation: GED, SAA Révision des DPs
Façon de travail, Activités
Ne focalise plus sur les biens tangibles;Etude: café
Expertise locale
Abatanga-mucoNawe Nuze Etude: indicateurs pour EF
Communauté impliqué dans la conception des projetsEtudes: HIV et EF; Engaging Men; Mariage; Causes profondes
Planification conjoint entre projets; projets complémentairesPlaidoyer: SasaEvolution d’approche Abatangamuco
Conception de la P-Bouge
Gouvernance
THEMES
L’Nord
ENFANTSFEMMES
Genre
Epargne-Crédit
Paix et Conflit
ACTIVITES PRINCIPALES
• Plaidoyer• Abatangamuco• Nawe Nuze• Sensibilité de Conflit• Dialogues Valorisants
Apprentissage L’OuestLa Centre
REGIONS
Rég
ion
s Pro
gra
mm
ati
qu
es
Projet/Initiative WEP CEP
Paix/ Conflit Girijambo Giriteka Great Lakes Advocacy Initiative Inabigega (food security) Inkerebutsi Inkingi Ishaka Izere Kirumara LAGAFA (food security) Men Engage/Sasa! Nabacu Pamoja Umwizero
Pro
jets e
t Initia
tivesLégende
WEP = Programme d’empowerment de femme
CEP = Programme d’empowerment des enfants
= Associé Primairement avec le programme = Contribue au programme, Secondairement
Primaire
Secondaire
WEP 6 6CEP 5 5
Status Programmatique• L’expertise et la réputation au
niveau nationale est plus fort pour WEP
• Le niveau dont les manières de travail de CEP et centrée sur les conditions, les intérêts, et les besoins uniques des enfants n’est pas encore bien précisé
• Les approches de Nawe Nuze et d’Abatangamuco restent basée au niveau communautaire.
– Le travail systématique à travers les niveaux différents (colline-commune-province-pays)?
Programme Femmes vulnerable et pauvres
OEVs (6-18 years)
Analyses
Groupes d’impacte
Groupes cibles
Domaines de changement
Voies
Percées ? ?
SMIA En processus En processus
Position WEP CEPCoordinateurs d’empowerment (enfants, femmes, gouvernance/DRM)
Coordinateur de Grants et Contrats Plaidoyer CTs Coordinateur de qualité programme et d’apprentissage Conseilleur genre et apprentissage Conseilleur suivi et évaluation Coordinateur de partenariat
Conseilleur de l’information et de la communication Conseilleur paix et conflit Conseilleur d’épargne et crédit
Op
era
tion
alissa
tion
de
P-Bou
ge
Envisager l’avenir: 5 ans après…dans une environnement qui devient plus stable, petit à petitLa Programmation
• 2 programmes bien définies, bien comprises, bien opérationnalisées
• Les partenaires sont plus responsables pour le travail opérationnel. – La rôle de CARE: la renforcement des capacités, l’assurance du qualité,
le suivi d’impact, le plaidoyer (dans les coalitions)
• Les GS et les communautés sont plus responsables pour leurs propres opérations et initiatives.
• Les systèmes de l’appui aux programmes – particulièrement par rapport à finance – sont alignés a l’approche programme
• CARE peut démontrer son efficacité de coûtes : bénéfices (et l’évidence d’impacte) de ses activités
• CARE appuie les mouvements des femmes et leurs propres initiatives de plaidoyer
Relations externes, Réputation
• Recognition nationale de l’expertise de CARE Burundi par rapport à la programmation des femmes et des enfants
• Coalition effectives des organisations pour collaboration concernant les 2 programmes (les associations des jeunes, des garçons/filles en plus des associations des femmes)
• L’évolution de CARE Burundi à devenir le leader pour sa modèle de l’approche programme dans CARE International….par des meilleurs capacités pour la synthèse et la partage de l’information
• Systèmes simplifiées pour la gestion des partenariats, et les relations entre CARE et ses partenaires deviennent plus égales
• Les bailleurs acceptent un rapport par programme et ne focalise plus sur les projets individuels
Envisager l’avenir: 5 ans après…dans une environnement qui devient plus stable, petit à petit
Questions clés: P-Bouge
1. Opérationnalisation
2. Finance, financement, marketing
3. Partenariat
4. Démonstration de l’impacte
5. Ressources humaines
6. P-Bouge et les urgences
OpérationnalisationLes stratégies et les modelés programmatiques
• Développement des modèles effectives et uniques à CARE qui continuent à évoluer, par rapport à l’empowerment des femmes
• Pas encore une stratégie claire pour atteindre l’impact au niveau provincial/national, la mise en réseau des Abatangamuco a commencé
• L’expertise et les stratégies spécifiques aux conditions, besoins , intérêts et l’empowerment des jeunes/ les enfants, pas bien préciser.
• Le plaidoyer et les stratégies de gouvernance/plaidoyer focalise plus sur la gestion des ressources, la représentation des femmes, et les droits des femmes. Pourtant, les aspects fondamentaux pour la bonne gouvernance est moins discuté: la redevabilité, la transparence ou l’allocation des ressources.
OpérationnalisationL’identité et la gestion des initiatives
• Commencement à développer les complémentarités entre projets/ initiatives et consolidation des CTs de la même zone
• Planification conjoint à travers les projets du même programme
• Coordinateurs d’empowerment balancent les tâches stratégiques et aussi la supervision des projets quotidiennes
• L’identité de staff reste au niveau de projet
OpérationnalisationRecommandations Stratégiques – 1
Notre travail au niveau des communes
La Groupe d’impact
Innovation, développement des modèles
Influencer les politiques
Plus large diffusion
• Se levier et diffuser les modèles programmatiques à travers les niveaux (micro-macro)
• Définir plus claire les percées et les modèles uniques pour faciliter la développement des stratégies concrètes pour les 5 ans suivants
• Renforcer le travail de gouvernance, utilisant les méthodologies basées aux communautés pour augmenter la transparence et le redevabilité des processus pour l’allocation des ressources (e.g. Les feuilles de marques communautaires)
• Il faut développer le CEP à trouver son créneau distinct: c’est difficile parce qu’il englobe touts les deux enfants et adolescents
OpérationnalisationRecommandations Stratégiques – 2
OpérationnalisationRecommandations pour la gestion de P-Bouge - 1
• Séparer les rôles stratégiques des rôles de gestion (ne surcharger pas les responsabilités de gestion quotidiens des coordinateurs des programmes)
• CARE doit focaliser plus en plus sur le développement des modèles et leur évolution/innovation.
– Les partenaires et les autres peuvent se concerner avec la réplication
• Les rôles des partenaires et leurs importance va agrandir – il faut que nous pratiquons la transparence et les principes d’empowerment avec les partenaires, aussi!
OpérationnalisationRecommandations pour la gestion de P-Bouge - 2
• Les positions de CTs peuvent devenir plus redevable au chaque programme, même s’ils sont financés par des projets.
– Il faut clarifier le lien entre les activités/ initiatives quotidiens du programme avec les voies du cadre programmatique
• Pour faciliter cette transition, il faut que les CTs développent plusieurs compétences et plus de spécialisation comme formateurs et comme les responsables de suivi
• Les rôles des partenaires et leurs importance va agrandir – il faut que nous pratiquons la transparence et les principes d’empowerment avec les partenaires, aussi!
Financement et marketing
• L’environnement des bailleurs est limité (les bailleurs primaires sont, les pays européens, l’Union Européenne et les Etats-Unis. L’appui de DFID diminue, et la présence du secteur privée est minimale)
• WEP est bien appuyé, financé et connu dans le pays
• Trouver les fonds pour CEP est encore un défi – le profil n’est pas équivalent en comparaison avec WEP
Bailleurs: FY09 – FY12Bailleur FY09 FY10 FY11 FY12
EU 1,246 188,868 1,118,482 845,872 Austria 380,223 392,262 842,789 611,063 Norway 1,226,934 1,335,029 3,455,598 2,358,351 CIUK 151,107 54,882 38,343DFID 552,522 293,656 266,548Netherlands 788,494 1,432,972 370,925 734,041 CARE USA (BGE:PC/PW) 183,108 222,860 280,650 102,300 USAID 348,918 175,260 Nike 404,331 713,141 743,666 645,506 Buffet Foundation 412,434 497,813Autres Sources 76,207 22,989 11,591Totale 4,113,090 5,244,353 7,555,815 5,297,133
Budget par bailleur (1000s)
EU
Austria
Norway
CIUK
DFID
Netherlands
CARE USA (BGE:PC/PW)
USAID
CARE Denmark
Nike
Buffet Foundation
Others
- 500,000 1,000,000 1,500,000 2,000,000 2,500,000 3,000,000 3,500,000 4,000,000
FY12FY11FY10FY09
• Renforcement du plaidoyer pour faire du marketing de CEP avec les bailleurs et avec le gouvernement
– L’Utilisation de leurs mots pour communiquer avec eux!
• Developpement d’un strategie plus claire pour la gestion de connaissances/apprentissage au bureau de pays
– Le système de la gestion de connaissances doit rejoindre les fonctions des communications, du plaidoyer, de l’évaluation et du marketing
Financement et marketingRecommandations
Finance
• Système financière focalise sur les projets, les FC, et les bailleurs
• Les ‘cost pools’/ paniers des fonds existent seulement pour le staff au siège (Buja), limité aux staff individuellement pour chaque programme
• La rôle pour comptabilité financier est fait, mais CARE Burundi ne fait pas d’analyse financière systématiquement pour mesurer l’efficience et l’efficacité de travail
• Le bureau de pays a besoin de établir les ‘cost pools’ ou un panier de fonds + des ressources flexibles pour chaque programme (jusqu’à $0.5 million/programme)
• Plaidoyer aux CAREs Norvège et Autriche pour les fonds pour appuyer WEP avec ce panier de fonds
• Incorporer la fonction pour l’analyse financière pour appuyer les programmes
– Intégration des coordinateurs de grants/ contrats dans l’unité de la finance
FinanceRecommandations
Partenariats Stratégiques
• CARE a cultivé des bonnes relations et communications avec partenaires
• L’inégalité de pouvoir entre CARE et ses partenaires
• Bénéfices incongrus entre GS ordonné par le staff ou par les partenaires
• Dépendance techniques et financières de partenaires
• Duplication des rôles entre le staff et les partenaires, le besoin pour meilleur coordination/consolidation
• Planification conjoint avec les partenaires à la conception des initiatives
• Alignement des approches aux GS à travers CARE et les partenaires
• Impliquer les partenaires dans toutes les formations à devenir moins dépendant sur les compétences organisationnelles et techniques de CARE
• Encourager les partenaires à innover – augmenter leur sens de propriété des programmes!
Partenariats StratégiquesRecommandations
Démonstration de l’impact
• Ressources compréhensives et complètes sur les concepts clés de P-Bouge et SMIA
• La capacité et l’expérience avec les dialogues valorisants, et l’autres aspects de recherches qualitatives
• Engagement de CARE Burundi à poursuivre l’apprentissage et la réflexion
• Moins d’expertise dans la suivi-évaluation ou l’analyse quantitative (chiffres participatives?)
• Équipe de QPA pour appuyer l’organisation dans l’application de SMIA et des thèmes globales
• Outils sur le suivi d’impact développés, mais risques de surcharge – peu d’expérience ou de confiance à utiliser ces outils parmi le staff/les
partenaires
Démonstration de l’impactRecommandations
• Notre travail voudrait contribuer au changement social dans des manières plus sensibles et effectives.
– Il faut affronte le complexité social du monde réel et ne soit pas seché avec les modèles rigides/ linéaires de changement
• Engager une diversité de méthodes pour trouver les histoires d’impacte plus robuste, et les communiquer systématiquement
• Construire SMIA sur le fondement et l’expérience de l’apprentissage à CARE Burundi (dialogues valorisants, recherche d’action, etc.)
Démonstration de l’impactRecommandations
• Eviter se limiter avec les indicateurs déjà définis dan les cadres prog-rammatiques, rassurer l’espace pour découvrir les changements imprévus
• Faire attention de ne pas surcharge le staff avec les attentes pour SMIA, et balancer l’application des outils avec les capacités de staff
Ressources humaines• Staff trouve le travail intégratif entre projets problématique par
rapport leurs obligations contractuelles de bailleurs
• Liens peu clair par rapport à P-Bouge et l’implication d’Appui aux programmes
• P-Bouge et son implications sur le travail de staff (particulièrement les CTs) restent mal compris – la surcharge.
• Crainte des nouvelles tâches et compétences requises
• Pas encore une stratégie claire pour la gestion de talent et la rétention de staff
• Départ de staff après clôture des projets
Ressources humainesRecommandations
• Revu des descriptions de postes à travers P-AP à chaque niveau organisationnel
• Réflexion sur les rôles stratégiques des CTs par rapport aux partenaires et au cadre programmatique
• Formation sur P-Bouge partout CARE, focalisé sur son implication sur les postes
• Fonds au niveau programme pour retenir de staff entre les projets
P-Bouge et les urgences • Récemment, CARE Burundi n’a pas répondu aux aucun
d’urgences, et il n’y a pas encore l’équipe pour la distribution alimentaire. Il n’y a que le travail du sécurité alimentaire
• Le bureau de pays a un coordinateur de gouvernance et la réduction/gestion des risques de désastre.
– La réduction / gestion des risques de désastre est interprété comme «la renforcement de la préparation, l’empowerment et la résilience des gens »
• CARE Burundi n’a pas encore un processus sur « Go/ No Go » par rapport aux urgences
P-Bouge et les urgencesRecommandations
• Désastre vulnerabilité.
• La réduction des risques de désastre la réduction des risques de vulnérabilité par rapport à nos groupes d’impactes
• Avec la compréhension et la travail sur les causes profonds des conditionnes humanitaires, on peut répondre aux les urgences qui affectent les 2 groupes d’impactes (pas les symptômes seulement).
• La réponse aux urgences doit adresser les fonciers/la protection des moyens de vie, et rassurer l’avancement des droits pendant les crises.
Learning to Leverage - 1• Jusqu’ici, CARE Burundi a achevé beaucoup dans une contexte .
– Développement de l’expertise concernant les modèles discursives/ réflectives au niveau communautaires
– La conception du WEP
• Les stratégies diffusés: – Ce n’est pas claire sur quoi les stratégies focalisent dans le futur
immédiat (les priorités d’ici 5 ans?)
– Définir plus claire les percées et les modèles uniques pour faciliter la développement des stratégies concrètes pour les prochaines 5 ans
• Il faut développer le CEP à trouver son créneau distinct: c’est difficile parce qu’il englobe touts les deux enfants et adolescents
Learning to Leverage - 2
• CARE doit focaliser plus en plus sur le développement des modèles et leur évolution/innovation. – Les partenaires et les autres peuvent se concerner avec la réplication
• Pour faciliter cette transition, il faut que les CTs développent plusieurs compétences et plus de spécialisation comme formateurs et comme les responsables de suivi
• Renforcer le travail de gouvernance, utilisant les méthodologies basées aux communautés pour augmenter la transparence et le redevabilité des processus pour l’allocation des ressources (e.g. Les feuilles de marques communautaires)
• Les rôles des partenaires et leurs importance va augmenter – il faut que nous pratiquons la transparence et les principes d’empowerment avec les partenaires, aussi!
Learning to Leverage - 3• CEP est essential au Burundi et sa contexte – voyez les chiffres!! – mais il
faut convaincre les bailleurs et le gouvernement. Utilisez leurs mots!
• Etablissement des paniers de fonds pour les programmes – négocier avec les CAREs Européennes
• Apprendre a démontrer vos succès – SMIA est une ressource excellente mais ce n’est pas la solution complète. (suivi annuel, chiffres participatives or analyse quantitative pour illustre la contribution de CARE au changement social)
• Le plaidoyer, le mesure d’impact, les communications et le marketing sont touts associés – il faut d’avoir une système de la gestion de connaissances qui les rejoindre, et qui adapte aux contraints de IT au Burundi
• La P-Bouge et pour tous, concernant tous de CARE Burundi et de ses partenaires. Tous doivent savoir leurs rôles.