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Notes du mont Royal
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exposé gratuit sur la littérature.SOURCE DES IMAGES
Bibliothèque nationale de France
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EXPLIQEEs D’APRès UNE MÉTHODE NOUVELLE
PAR DEUX TRADUCTIONS FRANÇAISES,
L’UNE LITTÉRALE ET JL’XTALINÉAIRE PRÉSENTANT LE MOT A MOT FRANÇAIS
EN REGARD nEs MOTS GRECS CORRESPONDANTS
I L’AUTRE CORRECTE ET PIIECEOEE DU TEXTE GREC
avec des arguments et des notes(un UNE SOCIÉTÉ DE PROFESSEURS
ET IÙIFLLIÎNISTES
HOMÈRE rL’IIJADIC
EXPLIQL’IÏ: LII"II?I:.xI.I;III-NT
TRADI’IT ru FRANÇAIS ET ANNOTÉ
[un r. LEPRÉVOST
Troisième Chant .
PARIS .LIBRAIRIE HACHETTE ET 03° ’’19, BOLLEVABD SAINT-GERMAIN, 79
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AÀEURS GRECS1’ IN "
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EUX TRADUCTIONS FRANÇAISES
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Ce troisième chant (IL l’lliade a été expliqué, traduit et annote par
M. C. Leprévost, ancien professeur au lycée Condorcet.
40271. - Imprimerie LAlll’RE, 9, rue de Fleurus, à Paris.
LES
AUTEURS GRECSEXPLIQUÉS D’APRÈS UNE MÉTHODE NOUVELLE
PAR DEUX TRADUCTIONS FRANÇAISES
ÔQ’IÜI) f
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a3? des arguments et des notes; z I.I
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l K5 .E SOCIÉTÉ DE PROFESSEURS
ET D’IIEILENISTES
HOMÈRETROISIÈME CHANT DE L’ILIADE
PARISLIBRAIRIE HACHETTE ET 0°
79, BOULEVARD FAINTGERMAIN, 79
1899
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AVIS
RELATIF A LA TRADUCTION JUXTALTNÉAIRE
On a réuni par des traits les mots français qui traduisent unseul mot grec.
On a imprime en italique les mols qu’il était nécessaire d’ajouter
pour rendre intelligible la traduction littérale, et qui n’ont pasleur équivalent dans le grec.
Enfin, les mots places entre parenthèses, dans le français, doiventêtre considérés comme une seconde explication, plus intelligible que
la version littérale.
ARGUMENT ANALYTIQUE
DU TROISIÈME CHANT DE L’ILIADE.
Les deux armées s’avancent l’une contre l’autre. - Pâris à la tète
des Troyens provoque les plus braves «les Grecs au combat-Ménélasbrûle de le joindre; mais à son aspect, Paris épouvanté cherche un re-fuge dans les rangs des Troyens.-Reproches et malédictions d’Hector.--Réponse de Paris; il propose de soutenir contre Ménélas un com-bat singulier dont Hélène sera le prix. - Hector, plein de joie , porte(e défi de son frère au héros Gram-Discours de Ménélas.--On prépare
les sacrifices-Cependant Iris, prenant la ligure de Laodice , va trou-ver Helène, et lui annonce les dispositions des deux armées. - Hélènese rend aux portes de Scées, où elle trouve l’assemblée des vieillardstroyens, qui font l’éloge de sa beauté-Elle désigne à Priam les prin-
cipaux chefs des grecs-Portraits d’Agamemnon, d’Ulysse, de Mé-nélas et d’Ajax, parmi lesquels Hélène regrette de ne point voir Castor
et Pollux, ses frères-Sur ravis du héraut ldéus, Priam se rend avecAnténor au milieu des deux armées-Agamemnon se lève, appelle lacolère des dieux sur les parjures, et sacrifia-Discours de Priam, quiretourne vers llion pnnr n’être pas témoin d’une lutte dont un de ses
fils peut tomber victime-Apprêts et chances diverses du combat.-Paris va succomber, quand Vénus l’enlève aux coups de Ménélas , le
transporte dans la chambre nuptiale, et lui fait oublier sa défaite dansles bras d’Hélène, qui résiste d’abord , et cède enfin à la puissance de
la déesse-Cependant Ménélas cherche en vain son rival ; et Agamem-non réclame pour son frère le prix de sa victoire.
[une m. Il-sam wa-s.
OMHPOYI AIAAOZ
PAIIIQAIA r.
OPKOI. TEIXOEKOHIA. AAEEANAPOYKAI MENEAAOY MONOMAXIA.
Aôtàp Éml. xôcpsqôsv âp.’ flysuôvaaow Ë’an’TOl,
T9365; pèv flat-fifi 1’ êvorrfi ’r’ ïcav , 6’va05; (ï); ’
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ï a a l 1’ w I i if; a! fa 1’ , me ouv xEtILmva cpuyov zou macroure»; ognpov,
N I I 7 ’ ’ - Ialan?! couve «nov-rat en Qzeavoro peson , 5
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1 v ) 1 N I l a iet 8 on? taav mm (avec: nverovrsç AXŒtOt,à! Guru?) pancake; &Neîs’ptev dM-rîÀorcw.
E?!v: «a NI’. i1. c alIN.UT: 09.0; Imprimer oro, anima OniAAqv, 10morpion; OUT: film, XAEI’R’T’II] dé Ta voue: cinabre,
Lors donc qu’ils se furent rangés , chaque peuple sous les ordres deses chefs, les Troyens s’avancèrent avec des cris alTreux, comme desoiseaux; telles les clameurs des grues sons la voûte du ciel, lorsquefuyant l’hiver et les pluies cruelles , elles volent avec des cris aigustin-dessus des flots de l’Océan , et, portant aux Pygmées le carnage
et la mort, leur livrent du haut des airs de funestes combats. LesAchéens au contraire marchaient en silence; ils respiraient la fureuret brûlaient dans leur cœur de se prêter un mutuel appui.
Comme sur les sommets d’une montagne le Notus répand d’épaissei
vapeurs, odieuses au berger, mais plus favorables que la nuit cite-même aux entreprises du voleur; car la vue ne s’étend pas au delà
pris-I, Iv-’i’jl’zl.l""I ’ ’ - ’ I u se z , .
A! s . , .J51 ’ V,L’ILlADE
D’HOMÈRE.
CHANT III
SERMENTs. -VUE DU HAUT DES REMPARTS.--C0MBAT SINGULIER DE PARIS E’I DE MËNÉLAS.
Aù-ràp âne! néo-(men Ensuite quand ils furent rangés(mon: ripa Meno’vsaai, chacun avec leurs chefs,T9032; pèv taon: les Troyens d’un Côté allèrentstem 1e étui se, avec et cris et clameurs,à); apuras; - comme des oiseaux :Ris-ra 1:59 flan?) yepa’wœv comme du moins le cri des gruesmâtai 1:96 oùpavôfii , est devant le ciel ,
aire (En, lesquelles-aussi donc,ê-Irzi (pûyov lapon lorsqu’elles ont lui l’hivernui. ôpôpov &ôs’açarov, et la pluie inexprimable (abondante),
tain nérovtai flafla celles-ci du moins volent avec criséni poirat: ’Qxeavoïo , au-dessus des courants de l’Océan,çépoucou çôvov Rai Kim: portant le meurtre et la Parque&vôpâo’t noyautaiew e aux hommes Pygmées;taiye 8è zip: tir-iman or elles-d u-moins donc aériennesnpoçe’povrai Eptôa xaxfiv - leur apportent une querelle funeste;et ’Axauoi 8è ripa les Achéens de l’autre coté donc
mon: ami allèrent en silencemelons; uévea, respirant la fureur,pancarte; év Gong) désirant-ardemment dans leur cœurÜEEÉILSV ânfiloww. secourir les uns les autres.
E51: Néro; Comme le Notasxaréxeue nopuçicw 6950; a versé sur les sommets d’un mont
bubon»: , un brouillard-épais,son: oün norpéaw , ami en rien aux bergers,&pstvw ôé ce vuxtô; mais meilleur même que la nuit
uléma , pour le voîeur ,
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I I 1 I Ntooaov Tu; 1’ Êmlsocosr ô’cov 1’ ê-Iri Mm Trieur
6 il a: x .a); apex TON frira nocc’r noviaakoç dipwt’ dal-hg
Êpxope’vwv ’ poila 5’ (Inter Bténp’nocov radiera.
G7!OÎ 8’ 6’15 891 61586»: in»), ên’ àM-r’ùaraw îo’v’reç, l
t I ITpœcw un npouaflrlsv ’AXéEavSpoç Geosrôàç,
rapëotle’nv muetctv Ëyfiwv Kari. trait-ruila 10’201
and Eiçoç’ aimât? ô 801395 86m xexopuôps’vu 7:1sz
RÉÂÀŒV, ’A PYEIOW npoxah’ëero mina; âgisme;
O’WTIÏGIov naxéaacflm âv aïvfi 8nïOTîTI. 20
7 ITôt! 8’ (î); ouv Eva’rycsv ’Apniqiûxoç Mevslaoç,
Êpxo’psvov «porroïgozôsv orillon , pompât firëôvra,
d l y l l a t l l(ocre New»; 575191; navale) am empan xupeaç ,
r x y) x a v 1’ensuivi a .orçpav xapozov n cit-(910v aryen,
I I I I ï q I Rnerveux-v ’ pala 7a? Te xareaeret, enrep av aorov 2.x(redonnoit TŒZEIEÇ Te xüveç GaÂepot 1’ atënot’
(in; Élée" Mevs’laoç, ’AXs’Eavôçoa esseulée:
ôçeai’inoîctv îôu’w’ (péta 7&9 ricccôou &Nxët’TTIV’
d’un jet de pierre : ainsi s’élevaient des tourbillons de poussière sous
les pieds des guerriers qui s’avançaient, et traversaient rapidement la
plaine.A peine les deux armées, marchant l’une contre l’antre, furent«
elles en présence , qu’à la tète des Troyens on vit combattre Pâris aux
formes divines; il portait sur ses épaules une peau de léopard , un arcrecourbé et une épée; et, brandissant deux javelots armés d’airain,
il provoquait tous les plus braves des Argiens à se mesurer avec iuidans un combat terrible.
Ménélas, héros cher à Mars , l’aperçut aussitôt s’avançant à
grands pas en avant de l’armée; et, tel se réjouit un lion, quand il arencontré quelque énorme proie, qu’il a trouvé soit un cerf aux cornes
superbes, soit une chèvre sauvage, et qu’affamé il la dévore avec
avidité, malgré la poursuite et des chiens rapides et des ardents chas-seurs; tel Ménélas se réjouit , quand Paris aux formes divines s’offrit
1;- .fiuljg’CÉ-I 1-:- W .’ . w "f’
Ë;v’..t-:l ug a . *r* .
et; ce émleüaoer Tôaoov
ILlADE 111.
et chacun aperçoit aussi-loin
’1 f 3’?
600v Ta épinai 76cm *
âpor navicule;
deumôpvvto (à; 611:6 nouai
(div ëpxopévwv t
ôténpnca’ov 5è neôioro
p.604: âme.
"Ors 6è 8-31 ai Rami oxaëàv
iôvrs; êrti âïlfilormv,
’A).éEavôpoç uèv esosiôûç
npopcixLCa praiv ,ëXœV (Encre-I.
napôalénv
xzi 1651 Ramdam nazi Sise; ’aüràp à Treillwv ôüw ôoüps
nexopuôuéva primât,
npomlizsro mon; épierai);’Apyeimv ,
uaxécaroem àvri6tov
êv aniotfin ahi).Il; ôà 06v Meve’lao;
’Apntqnlo;
lvônae Tàv épxo’nevov
nportcipmôav épilai),
Btôo’wm paxpà,
d’une Aéwv êxdpn ,
xûpoa: êni orbita-ri. and)? ,eôpcbv à Elaçov xepaàv,
R GIYŒ âyprov ,
nervoiœv ’
xareoôiet TE yàp poila,sinsp m’avez; TE Taxés;
ait-gai TE (lampaiâv GEÜŒVTŒL ori’rrôv ’
. Mavôtaoç êxâpn (in,
16th ôçôalpoîow
’Ale’ëawôpov ansrôéw
ÇÉTO 1&9 flonflon.
Mit-11v °
que-loin aussi il jette une pierre;donc une poussière.pareille-anx-tourbillons-d’un-orages’élevait ainsi sous les pieds
d’eux allant;
et ils traversaient la plainetrès-vite.
Or quand donc eux furent prèsallant les uns contre les autres,d’un côté Paris à-la-forme-divine
combattait-en-avant des Troyens,ayant sur les épaulesune peau-de-léopard,et un arc recourbé, et une épée;
puis lui brandissant. deux lancesarmées d’airain,
provoquait. tous les meilleursdes Argiens,à combattre en-facedans un combat terrible.
Or lorsque donc Ménéias
cher-à-Mars
aperçut lui venanten-avant d’une foule,
marchant grandement ,comme un lion s’est réjoui,
ayant rencontré un corps grand ,ayant trouvé ou un cerfcornu,ou une chèvre sauvage,lui-même ayant faim :car et il les dévore beaucoup,si-méme et des chiens promptset des jeunes gens florissantsviennent-à-s’elancer après lui ;
Ménélas se réjouit ainsi,
ayant vu de ses yeuxParis a-la-forme divine;car il se disait devoir punirle coupable:
V. vas! 7.27. .v’zMZT r. 1j, , ,y..w, M41, . . If  7-7,." .47fifiî.’ .
fig: . . 4 .- s . , g . ah ; J 7...;
6 [AIAAOS P.aôrixa 8’ 35 ôxs’uw GIN 17567.8le 60.10 XapâCe.
Tàv 3’ à); 00v Événosv ’AAs’Eavôpo; Geoetôùç, 3o
p, êv npouoîyptat cpaws’vm , murrhin (pin frimaau 8’ éraipwv si; Ëevoç ËZÉCETO , Kip’ dkesivwv.
’52; 8’ 815 1iç 1e Bpoîxovra iôàw naNivoPooç aînée-17]
r 06950.: êv 566cm6, 6116 1e 196,110; alcazar. yole: ,
.,. ..du]; 1’ &vsxu’ipncsv , (expo; 15’ p.w sils nonpareiç r 351
(f); mon; an’ gutkov 580 Tpdiwv àYEPOI)XwV,Beiaaç ’A1pa’oç uièv ’Aké’îavôpoç anrôfiç.
T in; 5’ "Ex-w)? veixsooev îôdiv aichOÎÇ émient ’
«Aücnapt J80; (ï tGTE mon È ’ ”, p , y prow ç, nueponsura .aïô’ agnels; (havé; 1’ Ëpevau, divertira; 1’ (indécent! 40
Tmi xs 1è Souloipnv, xwÏ xev 1101?: xépôtov nev,
P 05100 M’iônv i.” Ëuevou ami. ônôrIIIov 600mm
. 1*! I I 9 A: Trou xayxalowcr xapvjxopowv-reç AX’IIOL ,t (pains; âpre-fila: 719631.03; Ëppevar, ofivaxa mûri)»;
,-’ à ses yeux : car il se flattait de punir le coupable. Aussitôt il se préci-
, pite de son char à terre , avec ses armes.Î’; Cependant, des que Pâris aux formes divines le vit paraltre à ta
tété des combattants, l’effroi glaça son cœur; et déjà il cherchait
parmi la foule de ses compagnons un refuge contre la mort. Semblableau voyageur, qui, à l’aspect d’un affreux serpent dans les halliersd’une montagne , se détourne, recule , et revient précipitamment sur
ses pas, le frisson dans les membres et la pâleur Sur les joues, Parisaux formes divines se replongeait dans la foule compacte des fiersTroyens , frappé d’épouvante à la vue du fils d’Atrée.
Mais Hector l’aperçut , et il l’accabla de ces humiliantes paroles :
a misérable Paris, Paris aux formes trop belles, amant passionné detoutes les femmes, vil séducteur! plût au ciel que tu ne fussesjamaisné, ou que tu fusses mort sans hymen! Oui, plût au ciel qu’il en
i; fût ainsi ; ce sort ne valait-il pas mille fois mieux que d’être pourL tous un objet de honte et de mépris? Sans doute ils rient aux éclats,ces Achéens à la longue chevelure , qui te croyaient un vaillant cham-l pion , à voir la beauté de tes formes, quand tu n’as dans le cœur ni
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ILIADE In. 1«irrita: 6è aùv ratifie-tv or aussitôt avec ses armesoïl-to appâte ëE ôzéwv. il sauta à terre de son char.
’AléEavôpoc 6è Oscarôù; Mais Paris à-la-forme-divine
à); 06v êvônoe lorsque donc il aperçut16v çavévra lui ayant paruèv npouo’txotat , parmi ceux-combattant-en-avanbXŒTEfiÂ’Ïim 90m i109 - fut frappé quant à son cœur :
dosable»: 6è Kfipa et cherchant-à-éviter la Parque 1.exercera été il se retirait en arrière aet; Eôvoç Étripœv. vers le peuple de ses compagnons.’94 6è été 15; 15 Or comme quand quelqu’un aussi
tôdw ôpdxov-ra ayant vu un dragonânée-m ualivopao: s’est éloigné s’élançant-en-arrière
év Bijou-p; cépée; , dans les halliers d’une montagne,
196w; Te et le tremblementt’a-nations: vota, a pris-en-dessous ses membres,àvexépnoe’ TE au, et il s’est retiré en arrière ,6196; 15 sur p.w mperoîç - et la pâleur a pris lui quant aux joues;aiguage; Oeoaôùç Paris à-la-formedivine
tau a; 0.51m s’enfonça ainsi en arrière .xarà ôprtov Tptôwv âyepu’ixwv, à travers la foule des Troyens fiers, f656cm: un ’A-rpe’oç. ayant craint le fils d’Atrée.’Ex-rwp 6è tôc’ov Or Hector l’ayant vu
veineuse 16v êrtéeaow atoxpoîç ’ insulta lui par des mots honteux :
a AÔWŒpl , n Misérable-PAris ,âpre-te 5180;, très-excellent de forme,yuvaipavèç , passionné-pour-les-femmes ,
mamans , imposteur,aies 59515.; tu aurais bien duépatai 1e &yovoç et être non-enfanté(infléchi. ra âYdlLOÇ. I et avoir péri non-marié!
Kart ne actinium, Et je voudrais ceci ,16 mi xev fie «ou. xépôtov, et c’eût été beaucoup plus profitable, ’ Ifi ëpevou. otite) 166m TE que d’être ainsi et l’affront
mi ûnôrtrov mm. et l’objet-de-sonpçnns des autres.’H ’Axouoî xapnxopo’mvraç Certes les Achéens chevelus
mamelonnai me, rient-aux-éclats sans doute,poivra; Euuevou. s’étant dit toi être1:96pm àptmîjtx , un champion vaillant,oüvexa eîôoç xa).ôv Eva r parcequ’une forme belle est à toi;
r et on,
F. Î.îrr ,,.. .w hie-e,s .r --: ï, lî’ T ’ r- f2 I ’r’ÏVVÏÏ-Ï’m
- i ...x8 IAIAAOS F. U!J80; Ën’° 0’003 06x guru pin cppsoiv , oôôs’ TLÇ sur; A
3’ I 9a a I lIl fonceras swv, av novronopowr vesce;
I a x I ê l :3 I a Inovrov marnons-ac, .TClPOUÇ .pmpotç ayezpmç ,
d 7. h ù- - , , NI, , Ntufier; aAÀooanowt, yuvoux même avnysç
v a I I s - a N , l.l Ê; (1mn; 7mm, vuov avopow «montera»! ,
I n- r ou I 1 l vs Ivra’rpi 1:5 a? paya TE’IHMX, fichu ra, navra TE «mugi, 50
ducusvs’ow pêv flippa, xa’mcpei’nv 8è coi crû-:53;
01’»: av (si peivewç ’A pniçilov Mavs’Xaov;sans.
vainc X, oïou (nono; Élu; Galepùv napoixoww.
I 05x â’v TOI. lpaiap’g xiOapiç: Toi TE 5539’ ’Azppoôirnç,
ç fi TE mais?) , 16 TE 5180;, ô’r’ Ëv xovi’go’i piysinç. 55
9 s x A r a a a s l 7 I ys-AÀAa gram lpioaç osionuovsç- n ce xsv 1,04
loiïvov ë’cao - p" î " " - ’ °’ ”A .wva , xaxwv aval 0660! eopyaç. »
Î I vf Tèv 8’ aura npocsamsv ’Alxëgcxvôpoç 6505i8fiçs
intèp aÎaav) ,I. a a r a 2’ a æ ’n; a Exrop (57:51 p.5 x21 amour evstxecaç, monIP «in To1 xpaëin , néksxuç 6x, êcriv drap-hg, 60
a 1 1’ a x x ç a a l a e r l.UT ElCW la BOUPOÇ UTC ŒVEPOÇ, 0; ou TE TELV’fl
force, ni courage! Et c’est toi, toi si lâche , qui traversas les mers
sur de rapides vaisseaux , qui, après avoir réuni des compagnonsà. dévoués , le mêlas à des étrangers , et ramenas d’une terre lointaineil l I une femme éclatante de beauté, l’épouse d’un valeureux guerrier,
pour la ruine de ton père, de la patrie et de tout ton peuple, pour letriomphe de nos ennemis et pour ta honte, a toi ! Ah! que n’atten-
dais-tu Ménélas , héros cher à Mars? Tu saurais de quel mortel tu"h; possèdes la jeune épouse ; rien ne t’eût protégé, ni ta lyre, ni les dons;l p de Vénus, ni ta chevelure, ni tu beauté, quand tu aurais été roulé dans” V la poussière. Oui, les Troyens sont trop timides ; sinon , revêtu depuis
long-temps d’une tunique de pierre , tu eusses expié les maux que tu
, nous a faits. n’ Paris aux formes divines lui répondit : a Hector, tes reproches, je
les ai mérités, ils n’ont rien d’injustc ; ton coeur, a toi, est toujours
indomptable, comme la hache qui pénètre dans le chêne sous la main
.vap- .3.q 1.! .A i. .,
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êmrrMma; uôvrovév vésaat novrortôpoww ,
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(LIXÜEÎÇ â7.)roôa7roïotv ,
ÉVÏWEÇ êx yeti-n; 6min;
yuvaîxa eüsiôs’a,
wàv àvôpc’ôv aixunroîwv ,
1:53pm péya.
ce?) TE Mimi, frôlant se,
nourri. TE Muni) ,
flippa uèv Bue-grevée: ,
mangeai-ni; 6è coi afin?) ;
0137. En: peîvsiaç 8h
Mevâaov ’Ap’rjtcptlov ;
yvoin; x5 ciao çwtôç
êta; nepâmomv Baleçrr’jv.
Kifiaptç, roi 1:5 8:13pm ’Açpoôimç,
fi ra xôpn , 16 TE eiôoç,
05x av manieur] 10L,ôte ptyeinç
Ev lOVE’IjGW.
’ADà Tpôeç poila ôstôfipoveç s
’7l Te flan
xèv Ëooo
XLTÔVŒ laîîvov,
Evsxa xaxûv ,ôta-ca. ëopyote. n
’Aléëavôpoç 6è aman;
npoaéame rèv aine ’ n
«"Ex’rop (errai êveixeaa’iç us
merda adam; ,01’267: ûrrèp aîaozv),
xpaôin âarîv citai TOI.
p champ-hg, dag nélezoç,
6ms du ôtât ôoupô;671:6 âvs’poç,
imine ut. 9mais m’ vigueur ni quelque forcen’est à ton âme.
Est-ce-que étant tel ,ayant navigué-sur merdans des vaisseaux passant-lamier.ayant réuni des compagnonsbien-unis à toi,ayant été mêlé à des étrangers,
tu emmenais d’une terre-éloignée
une femme a-la-belle-forme,jeune-épouse d’hommes belliqueux,
malheur immenseet pour ton père et pour la villeet pour tout un peuple,joie d’une part pour les ennemis,honte d’autre part pour toi-même?N’aurais-tu-pas-dû-attendre certesMénélas cher-à-Mars P
tu aurais connu de quel morteltu as l’épouse florissante.
Ta lyre , et les dons de Vénus,
et ta chevelure, et la forme,n’auraient pas servi àtoi,
loquue tu aurais été mêlé (roule)
dans la poussière.Mais les Troyens sont très timides ;sans quoi certes aussi déjàtu aurais revêtuune tunique de-pierresà cause des maux ,autant-que tu en as fait. n
Or Paris à-la-forme-diviuedit à lui à son tour:« Hector, puisque tu as insulté moiselon la justice,et non au delà de la justice,le coeur est toujours à toiindomptable comme une hache,laquelle va à travers le boispoussée par un homme,
3311;! AV
max? fige;- t’J’t’; ’ ’.
10 IAIAÀO: P.v’rîïov Ëxroîpvnaw , (ingénu 8’ âvôpèç êpœrîv ’
CI a a I a I l a Ia); ton avr môme-w arapÊ’qToç vooç son.
Mi par 863;? Ëparà npô’çspe [posé-q; ’Acppoôr’rnç
051-01 oinôÉÀ’q-r’ 861i 055v êptxuôéœ 859d, 65
aco-a xsv «ôtai 5636W, êxôw 8’ oûx div ru; glana.
a a-Nuv aur’, si p.’ 365’151; nolspiëew eaè juiZEG’Ôtxt,
caillou; pèv xoîôto’ov il’prînç mit névraç ,AZŒLOLÇ,
«1318:9 Ëp.’ êv peser? mi ’Ap’qiçpûov Msvs’laov
cupëoîÀer’ oignp’ ’Eks’vn mi XTT’thOtO’t nâal pdxsoôar 7o
ômârepoç 35’ ne vue-éon xpsiccwv ra ventoit,
xtvîjLaO’ ëkdw ad névra yuvaixoî ra , oïxaô’ dys’oôwi
oî 8’ (film, (pilât-nm mi 8pxra morà rapa’vrsç,
votions Tpoinv Éprëo’fiaxa r roi 8è vea’oôwv
l:Âpyoç ê; ïrnôgorov mai. ’Axaiiôa anh-(ôvmxa. n 75°Qç Eçaô” c’Ex-rwp 8’ 0036 êxdpn prévu, ptïîôov &xoôo’aç,
de l’habile ouvrier, et qui, secondant ses efforts , sépare de ses ra-
cines le tronc destiné aux navires ; telle est dans ta poitrine ton âmeintrépide. Mats ne me reproche pas, à moi , les aimables dons de labelle Vénus; non certes, ils ne sont point à rejeter, les dons glorieuxdes dieux, ces dons qu’eux seuls peuvent accorder, et que nul nesaurait s’arroger par sa volonté propre. Au reste, si tu veux que jecombatte , que je soutienne une lutte terrible , fais à l’instant ranger
de nouveau les Troyens et tous les Achéens; puis mettez aux prisesentre les deux armées et moi et Ménélas, ce héros cher à Mars; et que
nous combattions pour Hélène et pour tous ses trésors. Quel que soit
celui des deux que favorise la victoire, qu’il prenne avec lui cettefemme et tous ses trésors , et qu’il les emmène dans ses foyers; que
les autres cimentent par le sang des victimes une alliance fidèle, etqu’ils retournent, vous, dans la fertile Troie, eux à Argos, ville t’é-
eonde en coursiers , et dans l’Achaïe aux belles femmes. nIl dit; et ces paroles remplirent de joie l’âme d’Hector. Soudain ce
a;
r. a: j TT’TÏ’*’ :7 ï" *.’*””esses» - r 7’ v. .à"
6: (Si ra énrépmgar
râpe vfiîov ,
6957un ôè
èpmùv âvôpô; ’
vôoç àrc’tpôvjroç
écriv (à; 10v. évi meaact.Mû npôçepé p.0:
ôôpa épurât
’Açpoôi-mç musât]; a
6594 êpmuôéa ôeôv
si) TOI. êo’riv ânôôÀnra ,
5601 mâtai
xèv 656w ,
rie ôà 0137. âv Homo
étain.
Nüv cuire si 5’093;
[Le 1:0).EyJÏC5tv ses délectiez,
noiûrcov pèv
ânon; TprBaç
tu! mima: ’AZCLLOÜÇ,
mûrir: mufliers êv pécari)épie tari Msvs’Àaov ’Apntcptlov
HÉXEGÜUJL rinçai ’Els’vn
mi nier XTYIijŒGW *ômrô’repo; 55’ une vinifiez;
yévnrcti ra xpeio’awv ,
ne.» 55
mina militaire: yuvaïxa’ TE ,
àyéatiœ aimas r
et mon 6èramène; pilé-mm
irai apura matât,variai-ra Tpoinv
énamoura -
roi 5è veéofiwv
ê: ’Apyo; innôâorov
mi ,AXGLÎBG xantyüvarxa. u
(boira 63:, -’Exrmp 8è «En
chorion; püûov
lLIADE 111.
lequel certes aussi coupeavec-art du bois-a-navires ,et elle aidel’impétuosité de l’homme;
un esprit intrépideest ainsi à toi dans la poitrine.Ne reproche pas à moiles dons aimablesde Venus dorée;
les dons très-glorieux des dieuxcertes ne sont pas a-rejeter,tous-ceux-queeux-memesauront pu-donner,et que quelqu’un n’aurait pas pris
de-son-seul-gré.
Maintenant de nouveau si tu veuxmoi guerroyer et combattre ,fais-placer d’une part
les autres Troyenset tous les Achéens,puis mettez-aux-prises au milieumoi et Ménélas cher-à-Marspour combattre au sujet d’Hélène
et toutes ses possessions;et œlui-des-dcux-qui aura vaincuet sera devenu supérieur,ayant pris bientoutes les possessions et la femme,qu’il les emporte chez-lui ;
puis vous les autres,ayant taillé une amitié
et des gages-de-foi sûrs,
que vous retourniez à Troieaux-larges- mottes-de-terre; "eux ensuite qu’ils retournentà Argos nourrissant-des-chevauxetdans l’Achaïe aux-bellesfemmes.
Il dit ainsi;or Hector de son coté
ayant entendu ce discours
Il
r.»..
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fa’ïfliï’n "35”53 . Î’çîflïfi ï "fi-n 3’ tu: "’3’. 1:1): in fin; .- r.f« :,- r
.. . , . , , I , j a 1, 4....- a.r . n ’. r . r La.)
12 maso: r.’ î 3 I ai vs l a I pA a a v : r :- r;0? Ê 5C ,U- osez nov, lprowv quem. faloryyaç,
r I a tvpacson dorage; s rmW rez o tapévûnoav étraves;
T83 8’ encrorrwo * ’ s r, ’ ’YI .. ,4, vro Auquoquvrçç r fouet,
. I. ’ .iowtv ra rirocxo’psvor Asticot 1’ égailler]. 80
a v .. NAurap ô paxpov duosv diverti âvôpmv ’Avaus’pvmv’
1 . 9 a a- v 1 N , a»n lGLEO’e , Apv;L01,pn panera, xoupor AZOttùJV’
N I Y ficrantait var; ri 57:0; ëps’sw xopo0aioïoç "lzxrwp. n
au v,’03.(’vgfl l. v l ,71ç 5,91. on o colon-o pan-m, avaqi r sysvovto
, I d r. Ni , 5 l Veccugzsvcoç- LATO)P ce psr apporspoww saur5’ 85
1 1 v au ..a Kequrs par), ’l PUE; mû êoxv*r’,p.t85ç ’Ayatoi,
N a 7 I N N et -- v ipu00v Alegaaopom, rou suent vstxoç opoipsv.
v v l r v NAlibi); psv x5)rîîûtt lpwotç mai minore ’Axouob;
15615:4 noix 02710051301! êni yflovi nouleÊoreipry
a x tu a . x y J x I laorov o av prao: x1: rtpncpuov Mavslxov gooiouç 6.51.39, ilîla’v-Àr, xai infirmai nîot uiyecbzt’
67:11 ’rspoç 85’ 7.5 mitée-T, xpeiccrov ce Yév’fflït,
I 1 r v i? I - l 1 «a IxrmLaÛ slow au navra YUVÉLtXŒ ra, m7340 ayasOœ’
héros s’élance entre les deux armées, et, saisissant sa laure par le
milieu , il retient les phalanges troyennes , qui s’arrêtent aussitôt. (Je.pendant les Achéens à la longue chevelure faisaient pleuvoir" sur lui
une grêle de traits et de pierres, quand le roi des hommes, Agamem-non, élevant la voix :
a Arrêtez, Argicns , s’écrie-t-il; ne frappez point, lits des Achéens
car Hector au casque brillant semble vouloir nous parler. uCes mots tirent cesser le combat, et un profond silence s’étant
promptement rétabli , Hector s’adressa aux deux années en ces
termes :a Entendez de "la bouche , Troyens , et vous, Achéens aux belles
cnémides, les propositions de Paris, l’auteur de cette guerre. Il de-mande que tous, Troyens et Achéens , vous déposiez sur la terre fer-tile vos armes brillantes , et qu’entre les deux armées Ménélas et lui
combattent seuls pour Hélène et pour tous ses trésors; que celui desdeux, quel qu’il Soit, qu’aura favorisé la victoire , prenne avec lui
cette femme et tous ses trésors , et les emmène dans ses foyers; que
êXa’P’fl PËYŒ r
mi par idw à; pic-am,âvéepya pilonna; Tpa’xov ,
911w 60096; pèserai) ’
toi 6è iôpüvôna’av d’irrav’reç.
’Axouoi 6è xapnzopômvrçg
êrrsroEa’Llovro 16,5 ,
E5al).6v TE
rtwnôuevov.taie". laize-ci se.Aùràp ’Ayauéuvwv
ô rivai âvôpâiv
âüae uazpôv ’
a ’I 015065 , ’Apyeîot ,
un peinera ,nopal 11:1er ’’Ewrmp vàp nopueaiolo;
araire: êpésw être; n. a.’Eano il); ’
et 5è onovro pâmaéye’vovrô ra divan)
ëaavuévmç.
’Ewrmp 8è âeme
peut dupa-réparai. ’
u Kéxluté par.) , T9635;
ml. ’Aypuoi éüxvfiprôs; ,
püôov hls’ç’o’wôpoto ,
rivent 10-3 vsïxo; ôpwpe.
Kôe-ranrziv-ra; 01net); uèvTprînç nul ’Axutoùç
àfiOÜéOeŒl 156150: 7.00.3:
Ë’l’tt 160v! fiO’JÂUÊO’rEip’Ij ’
aüràv 8è êv pécari)
nazi MEVÛaOV ’Apntçrlov
flottation ciao; dupi ’Elévr,
mi mien xrfipaow aàmro’rspoç 65’ ne vivifia-g
vivra-rai ce xpeiacwv ,Hein si:mina xTÏjPaTlX vovaîxtî ra,
lLIADE lII.
fut réjoui grandement,
et donc allant au milieu
13
il arrêta les phalanges des Troyens.ayant pris sa lance ail-milieu ;or eux s’arretèrcnt tous.Cependant les Achéens cheveluslançaient-des-traits-sur lui,et cherchaient-a-le-frapper,visantavec des flèches et des pierres.Alors Agamemnonle roi des hommescria grandement :
a Contenu-vous , Argiens,ne lancez pas,fils des Achéens;car Hector au-casqne-s’agitant
semble-prêt à dire quelque parole. pIl dit ainsi;
or eux s’abstinrent du combat,et devinrent silencieuxavec-empressement.Hector alors ditentre les deux armées :
:1 Entendez de moi, Troyenset Achéens aux-lwlles-cnémides,
un discours de Paris,àcause (le qui laquerelle s’est élevée.
ll ordonne tous les autres d’une partTroyens et Achéensdéposer leurs armes belles
sur le sol nourri5sant-beaucoup;lui-même d’autre part au milieuet Ménélas cher-à-Mars
combattre seuls pour Hélène
et pour toutes ses possessions;et celui-des-deux-qui aura vaincuet sera devenu supérieur,ayant pris bientoutes les possessions et la femme.
’J
-,. , r-. -14 IAIAAO: P.ci 8’ ailler (ramât-nm xai épiera: Trio-rôt roipwjzav. ni
n d ou- fic tique ° oi 8’ (riper Troivraç oix-hv Ëva’vovro croup. 95
’- - vTaret 8a mi pariai-ira Boùv oiyorOôç Mava’Àoroç’
-. a Kéxlura vÜv Kari. être?) a profitera yèp cuve; ixoivar
o A 9 ’ . ’ h fi 0! 1:7 uuov apov cppowaw a oraxprv nuavar en]li; Âpvaiouç mi T pâme , a’rrai xaxà «me na’1rooôa
t aivax’ api; Épr8oç mi ’AAan’rv8poo ë’vax’ âpyîç. 100
il C I Q r I l ! v I *a Huawv 8 onirorapop Oavarroç un ramper raroxrorr,ra
Î raevain; ciller 8è 8raxprvôaira répara.Oie-ara 8’ dipv’, ’rapov Aauxôv, êrs’p’rjv 8è pâqrvav,
«a 1 -En ra irai. ’llaXirp’ Au. 8’ fiparç oicouav ânov.
V ç ,- t l I si, a up I rP. A,ar.-. 8s Hprorgzoro firnv, opp opina rauvn 10.)Vl’ ’ N 9 I ç oN c I t v1* auroç (anar or parsec unapçraAOt mu outrerai),"f pairle inrapêorci-g Aria; Ëpzra B-qX-rîcnrar.I
’ nous autres , nous cimentions tous par le sang des victimes une al-
liance fidèle. nil dit, et tous gantèrent un profond silence. Alors Ménélas , le plus,.
in vaillant des guerriers , éleva la voix à son tour :
v’ . . . . .2- a Mamtenant écoutez-mon; car il n est personne dont le cœur sont
p - I a u o n c I nplus affligé que le mien , et je surs d’avrs, mor aussr, que les Argrensh
Z. et les Troyens se réconcrhent enfin; oui, vous avez assez souffert de
É . .a; maux pour ma querelle, et au SUjet de l’attentat de Paris. Quel queË soit donc celui de nous deux il qui les destins réservent la mort, qu’il,.
Î. meure; et vous , halez-vous de vous séparer. Troyens, apportez un.1
4:. agneau blanc et une brebis noire , pour les immoler a la Terre et auSoleil; nous , nous apporterons un autre agneau destiné à Jupiter.Amenez aussi Priam; que lui-même , puisque ses fils sont des impies
J . . . .à; et des perfides, que lur-méme immole les victimes, afin que nul n’ose
ou . . . . .1V viroler les serments farts à la face de Jupiter. L’eSprrt des jeunes gens2.
z,
"ï;
p V - me r Mm: T’.,( mou! ’I-r .; fr a J’y T’H”***’!Êjtt
,. , ..’ r .-- a, 4 a Va? l
ILIADE HI. 15 lMâcon, aimas c qu’il les emporte chez-lui;o! 8è in g ensuite nous les autres10’:pr çùôm’ta frappons concluons) une amitiéml 69m: maté. n et des gages-de-foi sûrs. n’Etparo a); t Il dit ainsi;
et 8è &ch mina; et eux donc tousÊyéwwro àxùv alun-a, devinrent avec-calme en silence.Mevélco; 8è àyaôb; fioùv Or Ménélas bon dans-la-melée
gageure nui raïa-p dit aussi parmi eux : l«xénon ml égara vüv- a Écomez aussi moi maintenant: p 44
5.170; 75:9 car l’alfliclion Vmas; gym 9.49m Fatma. vient à mon cœur surtout;www 5è or je suis-d’avis
vous Argiens et Troyensvous séparer dès-a-présent ,
puisque vous avez soulTertdes maux nombreux
men épi: ëplao; àtczàause de Îalnuerelle. d Pâ .
I î ne Q I r .mu aven «mon Ahgavôpou. e eau-se e entreprise e us.. Or cela: auquel-des-de ux de nousOmrorépcp 6è 1*.va ,e, v - , mon et destin a été préparé,ava-to; au: pompa TEWXTGI , ,
, que celuz-lâ meure;reôvam’ t .anet 8è e tous autres , .séparez-vous au plus vite.Or vous apporterez deux-agneaux,l’un-des-deux blancs,et l’autre noir,
et pour la Terre et pour le Soleil;
- h. . et nous , nous en apporteronsmm: a: clama un autre our Ju itermm Ait. P p , °. , Vous amenerez aussnA5515 85 .la force de Priam,
pour que lui-uiéme frappe (immole) .des gages-de-foi,
’A msieu; un! T9631;
Staxpsz-r’anvat i811 ,
êrraî flâna-Os
muât 1:01)?!
ôtaxpwfleîrs 1&Xl011.
Oie-axe 8è âpve ,
Eraçov lauxbv,étépnv 6è polatvav ,
Fi) me nazi Hello) t
Binv Uptâpoxo,59m :1616: TâpN’l
ÊPMÏ’ -5: I puisque des enfants sont à lui.5115! 7,"? r4 o d’un-orgueil-qui-déborde itampon: .ot
et sans-foi;pour que nul ne violepar une transgressionles gages-de-foi de Jupiter.
mi. aima-rat ,)p.73 u; Enlficmîatfan-spécifia
ôpXtd Atôç.
2’34. a": .v .t .-. .
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4:. à.
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ce.
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1 6 IAIAAO: F.l t r I s a N 3AÎet 8 onlorepwv avopwv çps’vs; ’rgpëôovmr
î a! ô I Il a I v Io c o yspœv paragow, «(La npocaœ xat ômocw
r a ail r v’ÀEUO’G’Et, 0711.0; 0L apte-rat psr’ oipuyors’potct YEN-11ml. u 1 la
Il V à A!Q; 5490:6" oî (3’ ËXdpncdv ’Aygnoï ra prs’ç ce,
I .. N IêÀrrorLewt naücaaôat ôtCupou nolsporo.
l 1 d l V v IKan?) LTT’NOUÇ par epuEav En «vos s’x 8’ 562v «oral,
I Ntaupé 1’ êEeoüovro, rôt ptàv xaréôsvr’ êni vain
, I a 1 r a, ° a .filoutov annulent], (5)47?) o 731v auçlç 01900911.. 115
a -.Exrwp 85 npofl dia-ru 85m xfipum; Emma,
I Vxaprrahpw; apvrzç ce gospew Hpîapâv ce xaÀs’oaat.
Aôtàp ô ToÛtôôô’tov rrpoiu xpat’wv ’Ayape’pnww,
vioc tînt flaçupàç is’vazt, fiô’ oïpv’ êxe’lausv
oies’psvat’ ô 8’ oip’ 00x a’nriOrp’ JÀYazJÆIlLVOVt ôitp. me
ï c - l r a! ’â’Iptç’ 3’ (1:0, 1115W, lauxwlsvo) (177510; 7,1055
d’ailleurs est toujours inconstant et léger; quand au contraire un
vieillard intervient, il a en vue à la fois le passé et l’avenir, et n’oublie
rien pour procurer aux deux partis le plus d’avantages possible. n
Ainsi parla Ménélas, et tous se réjouirent, Achéens et Troyens ,
dans l’espoir de voir cesser cette déplorable guerre. 11s retirent leurs
coursiers dans les rangs, descendent eux-mêmes des chars, se dé-
pouillent de leurs armes, et les déposent sur la terre, près les unes
des autres. Les deux armées ne sont séparées que par un étroit espace. t
Hector envoie à la ville deux hérauts , chargés d’apporter prompte-
ment des agneaux et de prévenir Priam. Le roi Agamemnon de son
côté dépêche Taltliybius vers les vaisseaux creux , avec ordre d’en
rapporter le troisième agneau; et Talthybius obéit sur-le-champ au
divin Agamemnon. .Cependant Iris volait près d’Hélène pour lui annoncer ce qui se
(Dm-Ève; 5è &vôpôv
ôrrlore’pwv
fispéôovrat criai ’
k 5è
japon parafiez,leurras: épia
npôoaw and. (miaou),
am; yévnmt51a âme-cet
p.516: àuçorépowtv.»
’Eçat’ro à; ’
ci 6è êxâpnoav
’Axatoi ra Tptîiéc; ra,
Darôpevor nouage-Batnok’pom ôiÇupoÜ.
Kari par épuisez ê-rri mixa;
innove p.ÈV,aurai 6è êEéô’av,
ëëeôt’aovrô TE 1561561,
tôt pèv xaréôevro
êrri vain
ulnoîov (infilwv,âpoupat 8è olim fiv &uçt’ç.
iExrmp 8è
Enzyme npofi dort)660) ufipuxaç,oépew ce &pvctç
xapnalipwç
nom-focal. TE Hpiotpov.Aùtàp 6 npaîœv ’Ayapépvœv
nectar. TŒÂÜÛ6L0V,
(évent êni. nia; floupupà; ,
fiôè énflauev oicépevott
âpvs’
à ôà ripa aux doriens-av
’Ayapépwovt ôitp.
’lptç 5è. aoûts
files! 577510;’Eh’vn leuxmlévtp,
eîôoue’vn voûtée),
Imam: Ill.
lLIADE [Il .
Or les esprits des hommesplus-p ropressau x-ar mesflottent-incertains toujours;mais les choses auxquellesle vieillard sera intervenu,il regarde à la foisen avant et en arrière,comment ces choses seront devenuesde beaucoup les meilleuresentre les deux partis. n
Il dit ainsi;or eux furent réjouiset Achéens et Troyens ,espérant devoir cesser
la guerre lamentable.Et certes ils tirèrent dans les rangsleurs chevaux d’une part,
17
eux-mêmes d’autre part descendirent,
et se dépouillèrent des amies,lesquelles certes ils déposèrent
sur la terreprès les unes des autres,et une plaine petite était entre.
Hector cependantenvoyait vers la villedeux hérauts ,
et pour apporter des agneauxrapidementet pour appeler Priam.De son côté le roi Agamemnon
envoyait Talthybius,pour aller vers les vaisseaux creux,et ordonnait lui devoir apporterdeux-agneaux ;or lui donc ne désobéit pas
à Agamemnon divin.Iris cependant d’autre part
vint messagèreélène aux-bras-blancs,
w’r; . . J’y 1’, . -r .I- . .r. . -- . w- r ,e . -. a j . , , k V . I .L ,1, fifiw4 , l v s; t
. l È18 IAIAAOS P.flaquai-r. une), ’Avrnvopt’ôao 61:90:91.1,
trip; ’Avrr,vopi81,c et]; xpsww iEAtxoËwv,Âaoaixnv, Hptoigtozo Ôuïarpâiv sida; épicrnv.
Tint 8’ egp’ E» purifioi- fi 8è gré-(av icïôv Üpawe, x 25
ôinkaxa: nopzpupa’nv- fioles; 8’ êvénacoev démon;
Tpo’awv 0’ innoôoïpwv and ’Axau’îiv la)txoztrtilvoiru,
03s 505v eïvex’ Ëwaozov ûrr’ ’Apnoç adoption.
a a. n ”’Ayxou 8’ tempêter; araméen veine émeut ’Iptç’
à. a AeÜp’ tût, nippa 90m, ive: ÜécxeAa Ëpya ici-qui x30Ï. Tpu’ww 0’ îmoôduwv xai ’Axatïiv xaÀxoxtrdiv0)w
4’
r et api» ën’ o’tAA’r’jAowt pépov TroMEotxpuv I’Apmt
Ev faîte), 6100M kilotonne: woks’yow,
. on vUv garou (fifi (râlage; 8è rémanent)ç
i. I . ..atome: xaxhyœ’vor, noçât 8’ 571:0: pompât rrÉTr’qyev. l 5’)5.. At’nàp ’Ale’îav’ôpoç mi ’Ap-qïçpzloç Mevélao;
.:.0 .pompât; tigrai-pot (satyrisme-ou tapi osiervif) de x5 vrxvjootv-rt c907, XEX).TîG*5 d’xomç. u
:.-.-r- .
passait; elle avait pris la forme de la belle-sœur de cette princesse ,de la femme du roi Hélicaon, fils d’Anténor, de Laodice , ta plus
belle des tilles de Priam. Elle la trouva dans le [mais , occupée a un
v
3:.7’
.;. immense ouvrage, a tisser un voile de pourpre a double tissu, surlequel elle se plaisait a semer les combats que soutenaient pour sacause , sous la direction même de Mars , les Troyens dompteurs decoursiers , et les Achéens revêtus d’airain. S’étant donc approchée.la Déesse aux pieds légers lui dit :a Viens ici, nymphe chérie; viens contempler les merveilleuses ac-* fions des Troyens dompteurs de coursiers et des Achéens revêtusa2
d’airain : eux qui naguère dans la plaine , ne respirant que la guerre
meurtrière , se portaient les uns aux autres les larmes et la mort, in).mobiles maintenant et silencieux (car la guerre a cessé), ils restent ap-puyés sur leurs boucliers, etprès d’eux leurs longues lances sont licitées
dans le sol. Seuls, Paris et Ménélas cher a Mars vont pour toi s’atta-quer avec leurs longues lances , et tu seras appelée l’épouse chérie du
4: . z: sans. 1’
vainqueur. a.
rail? 1’ 7* i T- ’* ”
tv i . I .1
ôéuap’rt ’Avmvopiôao,
rap ’Avrnvopiônç
aptien ’Eltxo’twv sils,
AMixnv, émia-mu ciao;Owarpôv Hpta’mow.
Étape 8è 113v év (guipa) t
il 8è Üçutvev lorôv péyazv,
affilant nopçupe’nvi
êvénaaae 6è
démon: mitée;
Tpu’xnv TE irruoôoipwv
nazi ’Azattôv xanoztrdwwv,
06; Erraazovelvexa ëôev
fluo «dupoient ’A pnog.
’Io’tatLe’vn 6è âyxoü
’Ipt: (buée: nodal;
npoae’çn’
« "lût ôcüpo, vôpcpa par],
(va iônattème: Gémeau:
Tpo’mv TE Imoôo’mwv
ami ’Axoudiv xanoztrévmv’
et 7:in pépov
éni éviderai»:
.3me noléôaxpuv
ëv mâta),
Atlanôttevot nole’pow Manie,et ô’à vÜv
Etna: qui(tuileau: 6è arénaurai)
xahpe’voz àmdotv,
ËYXSŒ 6è pompât
terrine napâ.’AÀÉEavôpo;
ni Marianne ’Apnfçptlo;
pux’ôaovrai Rapt oei’o
ËYZEÎTJO’I paxpiç’
unifiera 8è diton-t; 90m
up x5 varieront. n
ILIADE HI.
épouse du fils-d’Anténor,
laquelle le fils-d’Anténor,
le roi Hélicaon avait,
19
Laodice , la plus excellente de formedes tilles de Priam.Or elle trouva elle dans le palais ;et elle tissait une toile grande,double-voile (le-pourpre;et elle saupoudrait-dedansdes combats nombreuxet des Troyens dompteurs-de-chevauxet des Achéens à-tunique-d’airain ,
combats qu’ils souffraientà cause d’elle
par les mains de Mars.Or se tenant près d’elle
Iris légère quant aux pieds
dit à elle :a Viens ici, nymphe chérie,
pour que tu voiesles œuvres divineset des Troyens dompteurs-dechevauxet des Achéens à-tunique-d’airain ;
eux-qui avant portaientles uns contre les autresMars aux-nombreuses-larmesdans la plaine ,désirant la guerre pernicieuse,ceux-la certes maintenantsont assis en silence(or la guerre a été cessée),
appuyés sur leurs boucliers,et leurs lances longuesont été fichées en terre à côté.
De leur côté Pâris
et Ménélas clicha-Mars
combattront au sujet de toiavec des lances longues;et tu seras nommée épouse chérie
à celui ayant pu-vaincre. u
l v a, s n v - n «agars
20 IAIAAOÈ r.ç etrro’ù’ooc fiait yluxbv ïpepov Epôake Guru?)
, ’ f I t Y lavôpoç ra «ravagera xou «avec; fias tronçon. 140
a I a, 1 a; 1Aucun o apyevvyot xaltuxjpaptëvn demi-gour,
d N ’ 3 I I h I Î(apport ex OaAaporo, repev natron ôaxpu 750cm °
V ne06x 0m, direct mye ml àpçirrolor 86’ Ënovro,
v A [ uAtOpn, Hirôno; Goya-:119, KÂupe’v’q ce pOÙJTEtÇ.
À l, * N,I Attila 3’ Erratô’ t(Montoir ô’0t Exatati raillai fiscal. 145OÎ 3’ oiwpl "piapov xai Héveoov 7’781; (doucirait,L3..- Aoiimov ce KÀuriov 6’ ’Ixeroiovoi 1’, 550v ’Apnoç,
"t Oôxakéyœv TE mal ’Avr-rjva, renvoyât» (lippu),d’un ônpoys’povraç âni Encart-riot surfil-fiat ’ t
y’rîpai’ a?) no) ËtLOtO nenaups’vor , &ÀÀ’ choppai 150
êoôloi, recriysoow ËOtxoteç, oies xaÛ’ fil-11v
Sexisme) êtpsCo’psvor, 57m Actpto’scoav iglouTOÎOL (ripa T9030»! fiy’qropeç Ëvr’ Ërri nôpyq).
Oi 8’ à); 05v eîôov tInternat: sui. nôpyov îo’ù’cav,
fixa wpoç CDxÂYIjÀOUÇ 5mm mepo’evr’ &ydpsuow 155
à». a Où vapeur; T9531; mi. Euripide; ’Axatobç
La Déesse, en parlant ainsi, avait jeté dans le cœur d’Hélène le
doux désir de revoir son premier époux , sa ville et ses parents. Elles’enveloppa aussitôt de voiles d’une éclatante blancheur, et s’élança
de la chambre nuptiale, en versant de tendres larmes; elle n’étaitpoint seule: deux femmes suivaient ses pas, Ethra , fille de Pitthée ,et Clymène , aux grands yeux. Elles eurent bientôt atteint les lieux ous’élevaient les portes Scées.
La Priam , Panthoüs , Thymétès , Lampus, Clytius , Hicétaon , re-
jeton de Mars, Ucalégon et Anténor, tous deux inspirés par la Sagesse,
siégeaient réunis en conseil alu-dessus des portes Scées : forcés par
l’âge de renoncer aux combats, mais orateurs habiles, ils ressem-blaient aux cigales qui, dans les forets , sur la cime des arbres, [Outentendre une voix mélodieuse; tels les chefs troyens siégeaient auhaut de la tour. Or, dès qu’ils virent Hélène s’avancer vers la tour,
ils échangèrent entre eux à voix basse ces paroles volantes :a Il ne faut pas s’indigner que les Troyens et les Achéens ambelles
acteurs-Mn me t H v
055: sinoüaa (à;
Euëaûle Guru]? ipspov fluai»!
601696; ce aporépom
and darse; fiôè vox-fion.Kalutlzapévn 6è enfarina
ôôo’vyotv âpycvv-îjotv ,
dippâro êv. 61)iây.0to,
xaraZE’OUO-u Bizpurs’psv’
0-37. 03mmi 860 appâtentEmvro raye étant,
Aiôpn, Guyo’trnp litre-7.0:,
Klupe’vn ra Badiane.
"lmvov 6è ailla Errata:5th vrillai Entrent fiance
0! 8è rimai Hpiauovml Hévôoov fiôà Gouda-m,
Adamov TE Klutvïov railxeroiovoî 1:5, ôCov VA p-nog,
Oôxaléywv TE xai ’Avrx’ivcop,
rinça) nemuuévw,
sierra ônuoyépovra;
Ê’îtl millage-t Entier
nennwpévm noléporo
vfipaî En,
dolât âyopnrai étreint,
êotxôteç retriyeocw,
si ce mirât (nmépelâpevor 55vôpa’ip
taïaut 61m lapidassent irotor. éprit Ü’YfiTOpE; Tpu’xnv
fivro eut nûpyqs.
Cl 5è 05và); çîôovro ’Ek’vm
toüaav êrri nupyov,
âyôpeuov in 1:96; à).7:f,).ou;
ânier mepôewa t
a Où vêtu-.01;
T9641;mi lazaret); èüxvfipttôa;
lLIADE Il].
La déesse ayant dit ainsijeta dans son cœur un désir d0uxet de son époux premieret de sa ville et de ses parents.Or s’étant enveloppée aussitôt
de voiles blancselle s’élançait de sa chambre,
répandant une larme tendre;non seule ,aussi deux servantessuivaient elle en même temps,Éthra, tille de Pitthée ,
et Clymène aux-yeux-de-bœuf.Or elles venaient aussitôt ensuiteou les portes Scées étaient.
Or ceux autour de Priamet de Panthoüs et de Thymétès,
et de Lampus et de Clytius ,et d’Hicétaon, rejeton de Mars,
et Ucalégon et Anténor,
tous deux inSpires-de-sagesse,siégeaient anciens-du-peupleau dessus des portes Scées;ayant cessé la guerre
par la vieillesse certes,mais harangueurs habiles,ressemblant à des cigales ,lesquelles aussi dans un boisassises-sur un arbreenvoient une voix douce-comme-lis;tels donc les chefs des Troyenssiégeaient sur la tour.
Or eux donc,quand ils virent Hélène
allant vers la tour,disaient bas les uns aux autresdes paroles ailées :
a Il ne faut-pas-s’indigner
les Troyenset les Achéens aux-belles-cnémides
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uivôç amincir-gai 65?]; sic; dinar goumi.
381M: mi (in, coin 7:59 êoÜc’ , ëv muai ver-5604:) ,
un? ’51va taxésooi ’r’ ôrrt’oow nitra Macao. n 160
°Qç cip’ 590w- Hpt’apoç 8’ cÉlu-Évry êxaAe’o’aotro (peut?
c A5590 néporO’ 31605005 (pilori réxoç, l’Csu ëueîo,
cippe: tan «961596»: ce m’ont mode ce (pilou; ce
(orin par. alvin êoal, 650i v6 p.0! aimai sial»,
et par. êqaoSppmoav nôleuov nolôôaxpuv ’Axouïiv), 165
il); p.01 ml. ro’vô’ 86:8ch 7T8)x0’)Pl0V êEOVOjJJ’jV’nÇ,
861:1; 88’ Est-tv ’Axatôç oivùp fifi; ce tuf-(oz; 15’
fiTOI pâti Hem)? mi. psiCoveç ciller goret,
3(1on 8’ otite) Ëyàw 051w) iôov ôpOalpoio-tv,
ot’aô’ otite) yepapdv- IBothfiï 7&9 âvôpi 50m5. n 1 7o
Tèv 8’ iEÀe’v 600mm et aigrit-o 82a uvatxôîv-
7l F ils 2 Ycnémides souffrent tant de maux depuis longtemps pour une tellefemme; elle ressemble terriblement de visage aux déesses immor-telles. Mais malgré cela, et quelle que soit sa beauté, qu’elle s’en
retourne sur les vaisseaux des Achéens, et qu’elle nelaisse de malheurs
pour l’avenir ni à nous ni à nos enfants! n
Ainsi s’exprimaient les vieillards. Cependant Priam appela Hélène à
lui : a Viens , o ma tille chérie , viens t’asseoir près de moi ; viens
contempler ton premier époux, tes parents et tes amis (car tu n’espoint à mes yeux la cause de nos maux; non , les Dieux en sont lesauteurs , eux qui ont suscité contre moi la guerre des Achéens, si fé-
conde en larmes):viens m’apprendre le nom de cet homme imposant,de ce héros achéen si noble et si grand; d’autres sans doute le sur-
passent en hauteur, mais jamais mes yeux n’ont vu un homme sibeau , ni si majestueux ; il est semblable a un roi. w
a Hélène, la plus divine des femmes, lui répondit-z a Père chéri de
.3 *-dt"Ï r:.f a *v* f’-- .
ndcxew me;xpâvov nokùv
filmai 106516: yuvatxi’
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4l Téxoç 90m,
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mimi: te(pilou; te(lac-i ovin citrin p.01. ,
050i v6 aie-tv aimai pat,o’î épéppnccîv pat
nôlepov nokôôaxpw’AXatôv),
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81m; émiv 665 divin) ’AXouàç
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54m mi palmite; moulin ,Eyàw 6è d’une» 150v
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0151m xalàv,
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Emacs 181p âvôpi paradât. »
’Eh’vn 8è,
au vuvatxâw,digamma 16v püôotatv’
ILIADE 111. 23souffrir des mauxun temps nombreuxau sujet d’une telle femme;
elle ressemble terriblementpour le visageaux déesses immortelles.Mais même ainsi,étant pourtant telle,qu’elle retourne dans des vaisseaux.et que ruine n’ait pas été laissée
a nous et à nos enfants après. nIls dirent donc ainsi;
Priam cependantappela de sa voix Hélène :a Enfant chérie,étant venue ici ,
assieds-toi devant moi,afin que tu voieset ton époux premier
et tes parents-par-allianceet les amis(tu n’es en rien coupable à moi,
les dieux certes sont coupables à moi,eux-qui ont lancé sur moila guerre aux-nombreuses-larmesdes Achéens) ,
pour que tu nommes à moiaussi cet homme prodigieux,quel est cet homme Achéenet remarquable et grand;certes il est vrai d’autressont même plus grands de la tête;mais moi je n’ai pas encore vu
de mes yeuxun homme tellement beau ,ni tellement vénérable;
car il ressemble à un homme roi. nHélène alors,
divine entre les femmes,répondit à lui par ces paroles :
ne :7. ’
p.5. .«J
.r-
’ :.v’l ..I’ .1, Tilrxfivi
2 IAIAAOS F.I
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a Aiôoîôç 75’ (Loi 36m, goûts êxupè, êewo’ç ses
É): épelai! Gabon-0’; par âôsiv xaxôç, ômro’re 85590
uis’ï 683 âno’imv, Oeikauov varoûç ra ÀtnoUccx
A l ’NInanisa TE TnXuys’rnv x11 ôunltxi-qv ËP’ITEWTIN! I7 L’!
ha s t I y a a I a a a I IAlla Tory aux sysvovrot 10 xou murmura 15mm.To510 85’ 10v. épée) g pH o’wetpeatt fias ustaüâjç’
f" I aaïno; y’ Arpeiô’ng, eûpuxpsiwv ’Ayaps’iivow,
I&uçorepov, bataillai: 1’ oiyoiôb; xpœtspo’ç 1’ aile-4115,;-
Êaàp 0:51” Ëpôç En: xuvo’mtëoç, aïnor’ 54v «(a n 180
6 (2c poirat rôt: 8’ ô ys’pwv fiyoio’cozro, Qu’iv-qcs’v ra-
c: ’12 pain? ’Arpsiô-q, (Latp-qysvèç, ôitô’to’îatptov,
T r l I v N x a. a a.7; a vu 101 7C0)l)xOl ôsouna’ro xoupm AZath.
71511 nui (Dpuyi’nv sicvîÀuôov âunslo’scaav,
Ëvôu iâov alaisrouç (DPLSYŒÇ, civs’pozç aïoXorro’ùouç, 18.)
lutoit; ’Orp’fio; Mati. MÔ-fôovoç’âv-rLOÉOLo,
aï pat 1’61? êcrparôow’co Trap’ 516d; Xayyapiom”
mon époux, vous êtes pour moi à la fois majestueux et terrible; plût
au ciel que la cruelle mort m’ont souri , le jour où je suivis ici votrefils, abandonnant la couche nuptiale , mes frères, une fille chérie etmes aimables compagnes. Mais il n’en fut point ainsi, et c’est pour-
quoi je me consume dans les larmes. Pour répondre toutefois à votredésir et à vos questions , ce héros , c’est le fils d’Atrée, le très-puis-
sant Agamemnon , à la fois grand roi et redoutable guerrier. Il futjadis mon beau-frère, si cependant il l’a jamais été. a
Elle dit; le vieillard, plein d’admiration pour lui, s’écria : a Heu-
reux fils d’Atrée , roi né sous de favorables augures, roi vraiment
fortuné, c’est donc a toi qu’obéissent les nombreux enfants des
Achéens! Je pénétrai jadis dans la Phrygie féconde en vignes; j’y
vis la foule des Phrygicns aux magnifiques coursiers, les peuplesd’Otrée et de Mygdon semblable à un Dieu. campés alors sur les rives
«’Eoo’i par, (pila ëzopè,
aîôoîô; vs ôewô; 15’
à); Sahara; moto;épelai: âôei’v par,
aman ânonna: et?) niât ôeüpo,
hircine: (ladanumvue-:06; TE,mŒôc’t TE Inituyérnv
lori. épr.)n.i*nv êpotretw’w.
’ADà naïve 067. àyévovm’
16 mi fluioumzTÉTTMa.
’Epe’w ôé TOL TOÜTO,
a àvetpeoti p.5
7’135 garanti:
oôrô; va ’Alrpeiônç,
’Ayctpéuvœv süpuzpsiwv,
âuzpôtepov
pactisé; vs àyaôè;
alzunrh; te nocivepôç’
ëG’IEV «in au); Sonne
anô-ruôoç,
sinon Env 75.»
(Poire 63:-
6 Yépuw 8è Mécano 16v,Çévnas’v 16’
a ’Q. mixa? ’A’rpaiôn,
potpnysvèç,
Ôlôtôôctttmv,
ï; dei vu
1:0).th xoüpm ’Axoutîw
ôaôpaâœrô son.
’Ilôn mi aie-filuôov (bpuvinv
àunelôaco’av,
Ëvôœ iôov (DPÛYŒ; n)tsictou;,
àvs’pa; atolovrtiûouç,
lutoit: ’Orp-îjo;
nul Mfivôovoç àvnôs’ono,
ol’ du Êtnparrômvro 1615
impôt 6162; Envgyapiow’
ILlADE lll. 25
a Tu es pour moi, cner beau-père,et vénérable et terrible;
comme la mort mauvaisedevait avoir plu à moi,lorsque je suivais ton fils ici,ayant laissé mon lit-nuptialet mes frères ,et mon enfant très-chèreet mes égales-en-age aimables!Mais ces-choses-ci ne furent pas;pour quoi aussi pleurantje me suis fondue.Mais je dirai à toi ceci,que tu demandes à moiet recherches :celui-ci certes est le fils-d’Atrée,
Agamemnon largement-puissant ,l’une et l’autre chose (a la fois)
et roi bonet guerrier fort;il était d’autre part mon beau-frère
de moi au-regard-de-chienne ,si-donc il l’a été du moins. n
Elle dit ainsi;et le vieillard admira lui ,et parla :a O heureux fils-d’Atrc’e ,
né-sous-d’heureuxdestins ,
jouissant-d’une-heurelise-fortune,certes donc assurémentbeaucoup de fils des Achéensavaient été soumis a toi.
Déjà aussi je vins dans la Phrygieféconde-en-vignes ,
on je vis les Phrygiens très-nombreux,hommes aux-coursiers-bigarrés,peuples d’Otre’e
et de Mygdon semblable-à-un-dieu,lesquels donc campaient alorsle long des rives du Sangarius ;
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26 lAIAAOS r.7 la au! l si a t - a I. .nui. 7&9 eynv snixoopo; son une: www slalom!
1 a! Ï 1manu vip 81’s r’ 1,16m: ’A uaÇoveç’ oivrtoîvatpav
a ! I ’*’in 068 ai. sont nous: 6601. élimons; ,AZŒtOi. n 190
I ” aAeurspov aûr’ aCabana: iôdw, s’ps’aw’ ô yepato’ç
1 Y- Em’ ayez par. mi ro’vôe, (900v réxoç, éon; 85’ Écrit
v a N agnian psv xsçpowg Ayaus’pvovoç ’A-rpsiôozo,
Iêôptnepoç 8’ épatai» iôè arépvowtv iëe’côai.
I -Taupe p.53) oî XELTŒL êrri. xôovi nouluëorsipn, 195
b ., Naéro: 8è, x1004 63;, êm-iroilattat mixa; o’wôpuw ’
N .1âpvsto) un; ê’ywye êta-mu nnyeotjtoinq),
1 l N.-30’: (3th psys: mon ôtëpxemt oipyevvoiwv. n
V ba ul ov 6’ ’ijpiiëer’ Ërrst’ ’Ele’vn , me); s’xyeyamw
N aa 051:0; ’3’ au Aasprtoiônç, Romani; ’Oôuaasbç, 200
a T l c, «fil ,lôfl A r un a I ’q poum -v cage.) mac, Navet-q; m9 sonom,
,Nb I ’ i [h Iitou): TIŒVTOlO’Jt; ce 80Mo; mu gnose: mima. I
du Sangarius; j’étais au nombre de leurs auxiliaires, le jour où se
présentèrent les Amazones au mâle courage; mais leur nombre n’é-
galait pas celui des Achéens au regard terrible. n
Apercevant ensuite Ulysse , le vieillard adressa à Hélène une se-
conde question : «Allons, ma tille chérie, dis-moi encore quel est cet
autre : sa taille est moins élevée que celle d’Agamemnon , fils d’A-
trée, mais ses épaules et sa poitrine semblent plus larges. Ses armes
reposent sur le sol fertile; et lui, semblable à un bélier, parcourtles rangs des guerriers; je le compare au bélier à l’épaisse toison qui
traverse un grand troupeau de blanches brebis. nHélène , issue de Jupiter, reprit en ces termes : a Celui-ci , c’est le
fils de Laérte, Ulysse riche en inventions; quoique nourri dans lesein de l’apre lthaque, il connaît toutes les ruses , et la sagesse règne
dans tous ses conseils. n ’
a??? .7 .
mi vip êydw à)»: êuixoupoç
E7.ÉX011V p.516: 1oïaw
a?) fluant, 615 15fluatôvecErma’tvstpat.
ilôov’
5004i 02’365 oi
idem 160m5601 ’Aypuoi
Ëlianaç. a»
A5615pov «615
iôc’ov ’Oôuafia
à yepatà; épéetvev r
«’Aye, 15’105 90m ,
ciné p.0: ni 16v85,
ion; êo-riv 685-
.1.5in très: moulinAyauéuvovoç ’A195iôao,
56961590; 85 tôécôou.
(humant me GTÉPVOLGL.
Teôx5a p29: KEÎTŒÏ oi
ê11i xôovi nouluôoreipn,
aù1à; 65,
il): mile; ,Ëfit’n’w).EÎTat mixa: âvôpd’w’
Eywye étau) un:
51mm?) nnyectuânq),5:15 Biepxeminôü pive:
bio»: àpyevvciwv. n’E).5’vn 65,
ëxyeyauîa A165,
315155510 émirat 16W
a 0610C 5è a6Aa5p1ioiônç,
’Oôueoeùç stroma-4119
54 redan ëv être)166m1]; , ânée-ac 1159 xpowaïjç,
tiédi; 861w; 15 mondai);sont M1654 muni. n
lLlADE Ill. 27
et en effet moi étant auxiliaireje fus compté parmi euxen ce jour lorsque aussiles Amazoneségales-a-des-hommes
vinrent ;mais pas même euxn’étaient aussi-nombreux
que-nombreux sont les Achéensaux-yeux-roulant-vite. w
Secondement ensuiteayant vu Ulysse,le vieillard interrogeait tet Allons, enfant chérie,
dis à moi celui-ci aussi,quel est celui»ci;moindre à la vérité par la tête
que Agamemnon fils-d’Atrée,
mais plus large à avoir été vu
par les épaules et par la poitrine.Les armes d’une part gisent a luisur la terre très-nourricière ,lui-même d’autre part,
comme un bélier,
parcourt les rangs des hommes ;moi-du-moins j’assimile luià un bélier à-épaisse-toison,
qui va à traversun troupeau grandde brebis blanches. n
Hélène alors,
née de Jupiter,répondait ensuite à lui:
a Celui-ci donc à son tourest le fils-de-Laërte,Ulysse fécond-en-sagesse ,
qui fut nourri dans le peupled’Ithaque étant pourtant rude,
sachant et des ruses de-toutes-sorteset des conseils sages. n
28 . IAlAAOÈ F.v 1 11’ijv 8 dut, 381’171va 71511vup.5’voç dv1iov 1158W
7 I ’3’ l A.t Q yuvat, "r, palet 1ou1o 57mg v7;p.5ç.1èç 55m5;
Y b N s N- N7,87] yap ml ôsupo’ nor’ initia mac ’Oouccsbç, 205
N ’ V .. laceu gvex dyyslinç, cbv ’A P’f,t’.?tl.(:) Msvsloiqr
a fi, b ame: o En» ëîst’vwca, mi ëv payoipowt (piment,
3 lapanager: 35 CPUqu êâoi-qv xai 31.73350! mimai.
’ i a x s r aA 015 37; rl PMEG’O’W 5’v aypous’vowtv ËthZÛ5v,
I ic1av1wv un Msve’laoç ôueipeyev sôps’aç (intox, 210
v ’2’agape) 8’ êCoue’vw, yeçaço’napoç 7,5V ’Oauaaeôç.
3 a a d , t NAXA 015 En radeau; xai guidez TTEXGW Üpawov,
V bn10t p.5v Msvs’Xao; Eut1pozoiônv âyo’psus,
m i sa s v A l a ! a Inappa p.511, une: pour: le son. 57151 ou woÀuyuûoç,
sa! a, . x et x z (I "Ç yovo (1,?t1ltLŒPTOflt’nç, v, xou YSVEL uc15poç 7,5V- 21.)
a ! l x n .un 615 81j rendu-qu; oivoziîetsv ’Oôuccsbç,x
lI ni a!craaxsv, 67m ce 1355315, mini: 700vè;5p.y.a1a réions,
A ces mots, le sage Anténor élevant la voix à son tour: a 0 femme,
dit-il, ce que tu viens de dire est vrai; car autrefois déjà le divinUlysse vint ici en ambassade a ton sujet, accompagné de Ménélas,
ce héros cher à Mars; ce fut moi qui leur donnai l’liospitaiité,qui les
reçus dans mon palais , et je pus étudier la nature de chacun d’eux
et apprécier la sagesse de leurs conseils. Lors donc qu’ils sa mêlaient
aux Troyens rassemblés, si tous deux se tenaient debont , Ménélas
l’emportait par la largeur de ses épaules; si tous deux au contraire
restaient assis , Ulysse était le plus majestueux. Mais quand ils pre-
naient la parole et développaient en présence de tous quelque pro-
position, Ménélas parlait en courant ; ses paroles étaient peu nom-
breuses, mais pleines de clarté; soit que naturellement il fut ennemi
des longs discours et des digressions, soit que plus jeune il futplus réservé. Le sage Ulysse se levait-il ’a son tour , il se tenait immo-
.Av’râva 8è 61513
xsmuuévo;néant &wîov r’r’jv’
a T2 YÛVdL,
1j émirs; roüzo En;
nous: vnuep’re’:
’Oâvo-o-sù; yàp ôîo;
ilfis’ nota
flan 7.1i. 55590,
Eva: (hyalin; GEÜ,65v Malaisie) ’Apnîçîltp’
èyd) 6è êîsïvwaot 1m34,
mi 903,60:èv payo’tpoww,
liai-(w 8è çuùv
mai. imam maniât&uçors’pwv.
’ADà 615 fifi
Env-65vEn: Tpu’œaaw &ypoue’vomi,
oîdvtwv p.èv
Mevûao; üneïpszsv
(hum; eûpa’aç,
imam 61: élouévw ,
’Oôusceù; in yepaptfirapoç.
303d: ôte Eh ücpmvov flac-L
www; mi imam,4310!. Mavâaoç [inâyôçauav êmrpoxo’nônv,
1:06.391 923v,
dam: pâlot Inc-1(1);.
brai fiavoù nolûuueoç,
oôôà hanap-rosaisfi nul ÜGTSpOÇ yéva.
’ADtàL ôte M
’Oôuo-ceù: nolüunrrç
àVŒtEElE,
ordo-Lev,
162m 8è frirai.
z? qVÂN iû f u fi L1P)R
, s i -lLlADE 11L 2901- Anténor de son côté
inspiré-en-sagesseparlait en-réponse-à elle z
a 0 femme,certes tu as dit ce mottrès-vrai.
Car Ulysse le divinest venu autrefoisdéjà aussi ici ,
pour mission au sujet de toi,avec Menélas clier-à-Mars ;
or moi je reçus-en-hôte eux,
et les traitai-en-amidans mes palais ,et je fus instruit de la natureet des conseils sagesde tous les deux.Mais quand certesils tu rent mêlés
dans les Troyens rassemblés,eux se tenant-debout d’une part,Ménélas avait-le-dessns
quant à ses épaules larges;tous deux d’autre part s’asseyant,
Ulysse était plus majestueux.Mais quand certes ils tissaient à tousdes discours et des conseils,certes Ménélas il est vrai
haranguait couramment,peu-de-choses à la vérité,
mais fort clairement;attendu que il était1mn liomnie-à-beaucoup-de-paroles,ni s’égarant-dans-ses-discours ,
ou même ultérieur par la naissance.Mais quand certesUlysse à-la-grande-sagesses’était élancé pour parler,
il se tenait-debout ,puis regardait en dessous
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r . a I i am s I vE;OA0Ç Apyezwv xstpaknv ne supsozç napalm; n
t N) t I .. NTov o [Du-W7] ravürtsnloç dystëaro, ôta yuvatxww
a 0610; 8’ Ain; 361i flânâmes, ê’pxoç ’Ayattôîv
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, r xlaottevebç 8 Ets’pwôev êvi. Kp’ârscat, 050g ôç, 230
Ëcrnx” des. 65’ 514v [(97,1ti otyoi fiyspa’Ûov-ratt.
ÜOÂÀÉXt ttw E’ivwcsv ’Ap-qiçtloç Msvs’Âuo;
bile, les yeux baissés, les regards attachés sur la terre; il ne portait
son sceptre ni en avant , ni en arrière, mais il le tenait en repos,semblable à un homme inexpérimenté; vous eussiez dit un homme
égaré par la fureur ou privé de raison. Cependant, des qu’il faisait
sortir de sa poitrine sa forte voix , et répandait ses paroles semblablesaux flocons de la neige d’hiver, nul antre mortel ne l’eût diSputé à
Ulysse; alors nous ne songions plus!) nous étonner de sa petite taille.Pour la troisième fois, à la vue d’Ajax, le vieillard interrogea Hé-
lène : a Et cet autre Achéen, si noble et si grand, qui surpasse lele reste des Argiens et parla hauteur de sa tète et par la largeur deses épaules, que] est-il P »
Hélène au long voile, la plus divine des femmes, reprit encore :t c’est ce prodige de valeur, Ajax , le rempart des Achéens; et c’estldoménée qui se tient de l’autre côté parmi les Crétois, semblable à
un Dieu; autour de lui tu vois se presser les capitaines de la Crète.Maintes fois Ménélas , cher à Mars , lui donna l’hospitalité dans notre
mfiEotç «Sunna murât xeovôç,
êvoôtta 6è cxiucpav
côte oraison 0615 «ponpnvèç,
me ëzeaxsv àmepçèg,êontd); peut àîôpéî’
(patin; 7.5 Ennemi mm(tintât! TE âçpovo’t TE abîme.
’Anà ÔTE 67’] pat
tu éx arêtier);
61m ce usydlnv ,nui ému èomôrtx
mâtais-a: lazueptzjctv,aïno; Bporà; ëmtraovin âtv ÉPÎO’O’EtEV
’Oôuo-it ya-
ro’ïe 75
lôôvre; ciao; ’Oôuo-fio;
067. àyatcao’ttteûot (nôs. n
T6 tçitov ouïra
lôdw Atavta,
à 159m6; épeire
« Tiç TE tipa 655 603.0;
âvùp ’Azattà;
in); ra péyat; TE,
E5010; ’Apyetwv
nepakhv i522 (ânon; Eùpéa;;))
iElâv-n ôà tuvüttsttloç,
(Tint WVŒLMÏW,
àuetôsro rêve
a 051:0; à êativ Ah;neléptoç,
épata: ’Axotuîw -
’lôottsvzù: 8è
laminai: étépmôev
à); 626cêv’t Kpr’jraa-aw’
àyo’t 8è Kpntâ’w
ÎYeptôovrat âuçt pu.Mivûtaoç ’Ap’rjtçtlo;
Eeïwnaé un: «allaita
"JADE Il]. 3!ayant attaché ses yeux sur la terre,et dirigeait son sceptrem derrière ni en-avant,mais l’avait immobile,
semblable à un mortel sans-savoir;vous diriez lut être quelqu’un
et très-furieux et insensé de même.
Mais quand donc certesil envoyait de sa poitrineet une voix grande,et des paroles ressemblantà des neiges d’-hiver,
un autre mortel ensuitene l’eût pas disputé
à Ulysse certes;alors du moinsayant vu la forme d’Ulysse
nous ne nous étonnions pas ainsi. nEn troisième lieu encore
ayant vu Ajax ,le vieillard interrogeait :a Qui aussi donc est cet antrehomme Achéen
et remarquable et grand ,supérieur aux Achéens
quant à la tête et les épaules larges P-Alors Hélène an-long-voile,
divine entre les femmes,répondait à lui :
a Celui-ci d’autre part est Ajax
le prodigieux,rempart des Achéens ;ldoménée ensuite
se tient de l’autre côté
comme un dieuparmi les Crétois;
et les chefs des Crétoissont rassemblés autour de lui.Ménélas cher-à-Mars
donna-l’hospitalité à lui souvent
rajah-g.» sa: 1- a
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32 IAIAAOEoïxo) êv figere’pq), ôrrôts Kprîrnôsv titan-o.
Nîv 8’ cillent; uèv névrotç 6963 éliminait; ’Axottoùç,
cl a; I x a! ,ou; xsv au YVOt’nV, X1! convoya uoôncattt’qw 2358oub 8’ où 8r3v0tttott îêéstv ZOGtLYîTOPE MEISV,
Koictopot 6’ innéôotttov mati niai oiyotOèv [loÀuô’aôxsa’
3 I IOtUTOKCXGtYVTfiu), Tu) tont pica yetvaro prît-49.
a NH 0131 êottécO-qv Actxsdott’ttovo; 35 êparatv-qç;
à a N t et K I p a! I7; supo p.5v navra ISSGG evt TTOVîOTt’OPOLG’t, 240
a» 1’ v a a l I a: a a n.vw «et: oux eOeXouct puy-av X’XTCXGUpÆVat CAVOPOW,
«tafia 85t8to’rs; mû ôvetîaa "moly, il (Lot émut; n
6 I 7’Q; (potto TJÎJÇ 8’ flan xars’ysv CPUGLCOOÇ aux ,
Ëv Auxe8aitt0vt OtiJOt, (par, ëv warptôt 71(7).
Krîpuxeç 8’ âvàt d’art) 055v (195’908! 39m9: matât , 9.45’1’ ..
oïpvs 860) xai 0tvov êôçopovat, xzpitôv égotiste,
’N””M..-.N,u.clamp av æquo.) gap; O; qutrjpat (poteur):
a - axfipuî [80mg fiôè 796auto: xôneÀMt’
1 i l w I(DTPUVSV 85 YEPCVTEZ WŒPLGTOZILEVOI, ERSEGGLV’
palais, quand il venait de la Crète. Je découvre également en cemoment tous les autres Achéens au regard terrible; il me serait aisé
de les reconnaitre et d’en dire les noms. Il en est deux pour-tant que je ne puis voir, deux chefs de peuples , Castor, le dompteurde coursiers , et Pollux , si habile au pugilat, mes frères germains,nés tous deux de la même mère que moi. Ne seraient-ils pas sortisavec les autres de l’aimable Lacédémone, ou plutôt, transportés avec
eux sur cette terre dans de rapides vaisseaux , refuseraient-ils au-jourd’hui de se mêler aux combats des guerriers, dans la crainte de
participer à mon opprobre et a ma honte? nPendant qu’elle parlait ainsi, déjà la terre féconde les tenait en-
fermés dans son sein, à Lacedémone même , dans leur chère patrie.
Cependant les hérauts portaient à travers la ville les gages fidèles
de l’alliance future , les deux agneaux , et, dans une outre de peaude chèvre, un vin délectable , doux fruit de la terre. Un brillant cra-tère et des coupes d’or étincelaient dans les mains du héraut Idem,
qui , s’approchant du vieillard , l’excite par cesparoles :
à: ùperépop cinq),
Ô’lIÔTE ÎKOtTO Kpfimôev.
Nüv 8è 6963
névra; uèv omet); 11mm);élixomaç,
05; xev yvoim 5:5,nui guenoottttnv 18 avoueret) aÛVŒtLat 8è îôéew
ôotd) marrâmes lottîw,
Kémopo’t TE innôôattov
ami Hokuôeüzea àycztiàv qui,
otûroxototyvfirœ ,
1d) piot ufimp yeivarô pot.’H oüx âonéoônv
En Aaxeôoittovo; êpaxswïjg;
9, êtrovro pèv 650,00
êv’t véeaat ucvrorrôpom’t,
vüv cuire
0in êôflOUGl
xaraâôttevat prix-av âvôptîw,
ouatera; «taxentzani. ôvaiôea nom,ü ëmi par. ;»
(potto Ôç’
mît: 3è ouailoo:
navré-Lev i611 rob;
êv Actzeôaipîow coïtât,
èv fi, notrpiôt (pian.
Kfipuxsç 5è
qépov à’là dans
591w quo-rot 656v,sa» &pvs
mi oivov èÜppova,
12197:8: ipoüpnç,
èv 6:on 017.75quxrîpuE ’lôaîo; 5è
géo: notifiez: cotatvôv
fiôà minima xpûo’em’
taptmdusvo; 3ècomme yéçovra ênéeootv’
la"): Il!.
lLIADE m. 33dans notre maison ,quand il venait de Crète.Maintenant ensuite je voistous les autres Achéens d’une part
au-regard-roulant-vite ,lesquels j’aurais reconnus bien,et j’aurais dit le nom d’euæ;
mais je ne puis voirles deux chefs de peuples ,et Castor dompteur-dechevauxet Pollux bon quant au poing,mes deux-frères-germains , (moi.lesquels une seule mère engendra àOu bien ne suivirent-ils pas l’arméede Laeédémone l’aimable?
ou bien suivirent-ils d’une part ici
dans les vaisseaux passant-la-mer,et d’autre part maintenantne veulent-ils pasentrer-dans le combat des hommes,craignant des honteset des opprobres nombreuxlesquels sont à moi P n
Elle dit ainsi;mais la terre donnant-la-viecontenait déjà eux
dans Laeédémone lia-même ,
dans la terre paternelle chérie.Les hérauts cependant
portaicït à travers la villeles gages-de-foi sûrs des dieux,deux agneaux,et un vin réjouissant-l’âme,
fruit de la terre-labourable ,dans une outre de-peau-de-cbèvre;le héraut ldéus aussi
portait un cratère brillantet des coupes d’-or;
et se tenant auprèsil poussait le vieillard par des mots:
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w Tic»? æ ’- Æ" 1’" :5 7’ ’ v” V Ï’TÎ’ÎÏ’Ê ’3’; 7??"
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3 ï mono: r.a ’Opaeo, Aaopeôovrtoîân- xaxéouow oïptcrcor 250a T po’mw 0’ ÎfifioaoitLüw mi. ’AthuÏw [:11on t’ro’wœv,
t. ê; 7:58t’0v xarotëîvott , Îv’ ô’pxmt mat-à coïtant-5°
dÔ’t’àP ’AÀsÏEotvôpo; and ’A pnitptlo; Mevs’Xotoç
ELOtXp’ëÇ 5’715?th poux-rîGOW’ époi yuvottxi.
T553 85’ x5 varie-ava yovij xod xr’rîttaô’ ê’rrorrt)’ 255
oî 8’ caillot, amochant and ô’pxm mord rattôvreç,
vationtsv Tpoi’rjv s’ptëo’ùaxot- roi à vécvratt
ç "A9704 ê; innéêorov mati. ’Axotti8at xantyt’avatxot. u* v (’94 (Pal’t’O’ piynoev 8’ 6 yépmv, s’xe’leocs 8’ êtaïpmq
ï’lTTEOUÇ Ceuyvtipavour Toi 8’ ôrpaks’wç étri00vro. 260’Av 8’ o’t’p’ râle-r, Hpt’attoç, muât 8’ ’Fjvtot raîvav (inciseur
l. d Qà rap 85’ et Avr-five)? TCSPIXŒÂ)..-:’a parfont-o 8itppov.
Ttb 8è 8d Exotttîiv ne8tov 8’âyov âixa’otç Î’7TTÉOUÇ.
’AKX’ du 8er] ê’ ïxovro parât Tpôiotç mi ’itxatobç,
d x I .’ ËË, Imrwv o’t’rtoËoÊvrz-zç élut 106m ROUAUCOTELPŒV, 26 QW
, I r V l a ) N 1 la; ueooov l penny un AXŒLOJV EGïtXOUWTO.
a Lève-toi, fils de Laoinédon : les plus vaillants des Troyens,Ê dompteurs de coursiers , et des Achéens , revêtus d’airain , t’invitent. à descendre dans la plaine, pour immoler des victimes , gages d’unej, inviolable alliance. Pâris et Ménélas, cher à Mars, combattront pour3 Hélène , armes de leurs longues lances : la femme et ses trésors sui-’ vront le vainqueur; et nous autres, après avoir cimenté par le sang
des victimes une solide alliance, nous retournerons tous, les unsdans la fertile Troie , les autres a Argos, riche en coursiers , et dans
5 l’Acha’ie aux belles femmes. uü I Il dit, et le vieillard frémit en donnant l’ordre a ceux de sa suite
d’atteler ses chevaux au char; ils obéirent promptement. Priammonte aussitôt et tire a lui les rênes; Autéuor prend place à ses côtés
sur le char magnifique; et tous deux , traversant la porte Scée , di-
rigent vers la plaine les rapides coursiers.Pat-venus bientôt près des Troyens et des Achéens , ils descendent
du char sur la terre fertile , et s’avancent au milieu des deux armées.x
a: carrer-Ve
Hg,J" -ÎI’
nI
tatas???.tavfl’v’ a l- 1
a ’Opoeo, Aarotteôov-rto’vôn,
tipttîtm Tpu’uov ce
irritoôo’tttœv
mi ’Axatuîiv XŒÂIOXLÎÔW
ulémas-t,
ataraôfivat à; mâtoit,
tvot râpure
épura mon?aÛ’tàp ’AÀs’Eotvôpoc
ml Mevs’ho; ’Apntptloç
pŒX’ÏjtSOVTat époi 7mm!
émince WWÏK’
yin-ù ôà mi minutaënotrô ne ru") vtxr’jcav’n’
et ôà cillai.
rondins; adonnamati 69net 1:th8: ,voti0tp.sv Tpoinvâptôdilotxa’
vol 8è véovtar.
à; ’Apyo; inuôômov
mi ’AxatÎSat xantyôvatxa. n(boira d’iç’
à 8è yépwv (Simon,
ËXËÂEUO’E 8è étaipot;
leoyvüuewt ÏMOUÇ’
roi 8è étrifiovto ôrpaléœç.
Upioqto; 8è âvéôn âpa,
matèrewe 8è fivtat onicow’
’Avrfiva 8è napot et
Mono ôtoçov «cananéenTri) 8è ôtât ZxattIiv
Exov neôtovôe
timon; thxéatç.
and 6T6 87’] par
ixovro p.516: Tptîiotç nazi ’Axatoùç,
àrtoëo’tv’re; éî imam
titi. 166m nouleâé’rëtpatv,
ËO’TtZÔwVTO ê; néo-60v
Tpu’rwv mi lynch.
[DADE l". 35a Lève-toi, filsde-Laomédon,
les plus excellents et des Troyensdompteurs-deochevauxet des Achéens a-tunique-d’airain,
appellent toi,pour descendre dans la plaine,afin que vous frappiez (immoliez)des victimes-gages-de-foi fidètes;ensuite Pariset Ménélas cher-a-Mars
combattront pour cette femmeavec des lances longues; Ialors la femme et ses bienssuivraient celui ayant vaincu;nous les autres d’autre partayant frappé (conclu) une ainitlé
et des gages-de-foi sûrsnous retournerions à Troieaux-larges-mottes-de-terre ;eux au contraire retournentà Argos nourrissanbdes-chevauxet dans l’Achaïe à-belles-femmes. 1l
Il dit ainsi;le vieillard alors frissonna,et ordonna à ses compagnonsd’atteler-au-jong ses chevaux;
or eux obéirent promptement.Puis Priam monta donc,et étendit les rênes en arrière;et Anténor près de lui
monta le char très-magnifique.Puis eux-deux par les portes Scéesdirigeaient vers la plaineles chevaux rapides.
Mais quand certes doncils vinrent vers Troyens et Achéens .étant descendus des chevauxsur la terre très-nourricière,ils marchèrent Vers le milieudes Troyens et des Achéens.
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89net matât 055w adveyov, xpnrïpt 8è oivov
pioyov, &ràp Modem-tv 38(1)? ën’t 157.921; ëysuotv. 2-0
’Ar Ei8 8è 5’ ucooiusvo ’ c ’* ’p 1]; -, p p çxstpxrot potAatva,
et t I I x a! sir, ot tu? Ettçeo; psya xou7tsov ottsv adopta,
u N a r I ’z a i vapvmv ex X5?Ot)x&0)V comme TPtZdÇ’ aurap ETtStTot
I V î I t 3 N a 3 IX’qpuxeç [potion mu AZatmv VEttLŒV aptGTOlÇ.
EnToîo’tv 8’ ’Arpsi8nç peyoîÀ’ 567.510, Zsîpaç âVdGZUIW’ 27
tu l 1 N «I IN Ia Zeu TEŒŒP, 101,09; pacson, ZUGtG’TE, pavana,
’ ’ ’ A!Hâte; 6 , 8g mÉV-r’ écopa; mi névr’ êrraxoôuç,
mi Hompo’t and l’aria , mi si ôrtëvspôs xap.o’v1:otç
3 I I cl i ’ t 7 IavOptonouç TWUO’OOV, ont; x enropxov OtLOCG’n,
ôtai; pop-noçai âcre, peloteurs 8’ 89net maroi° 280et tLE’v xev Meve’erov ’Ak’îowîpoç muni-529*213 ,
«intis Ëtratô’ ’EÀs’vnv élérw xai Niagara notvra ,
Sur-lc-champse lèvent et le roi des hommes Agamemnon , et le sageUlysse; puis les hérauts illustres rassemblent les victimes destinéesà cimenter l’alliance à la race des Dieux , mélent le vin dans le cra-
tère, et versent de l’eau sur les mains des rois. Le fils d’Atrée saisit
et tire le glaive sacré, toujours suspendu le long du fourreau de salongue épée , coupe au sommet de la tète des agneaux quelques poils
que les hérauts s’empressent de distribuer aux principaux chefs desTroyens et des Achéens; et, tenant les mains élevées, il prononce à
haute voix cette prière solennelle :« Jupiter, père de l’univers, toi qui règnes sur nous du haut de
l’lda , Dieu trèsglorieux et très-grand , et toi, Soleil, qui vois tout
et qui entends tout, et vous, Fleuves et Terre, et vous enfin, qui,dans les ablmes souterrains, punissez après leur mort les hommesparjures , soyezonous tous témoins, et veillez a la foi de nos serments :si Pâris tue Ménélas, que Paris retienne désormais Hélène et tous ses
lLlADE lll. 37Adrian 8è Exact:’Ayauéttvœv âvaE âvôptîw
épurera,
’Oôuceù; 8è wolfram; river
011619 xfipuxeç àyauot
cûvayov
épina matât
085w,
gin-10v 8è oivov xpnrfipt ,âtàp Élevav Üôwp Bactiteüo’tv
étri xsïpaç.
’A’rpatônç 8è,
Ëpuaaâttsvo; ZEÎPEO’G’L mixantpotv ,
à impro otiév et
traçât 7.02215th péyot 26950:,
rime mixa;En moulée»: àpvtîav’
achat) ËTtEtTŒ râpons:
vaincu; àçtGTOt;
Traction mi ’Axatd’w.
’A’rpsiô-nç 8è,
àvaoxt’ov ZEÎPŒ; ,
eüxa-ro paprikaTOÎO’L’
a Zeü naîtëp,
p.58
miam-ra, payons,
zson ’lonOav,
’Hâ «.6; TE , ô; épopcî; train-a.
ont snaxoüstç mina, 8x
itou montai zani l’aria,v.0.1 et Û’nÉvERÔE
tivuaôov âvôpdmov:
nattôvrotç,
ôçrt; 15v ÔtLÔO’O’TJ êniopxov,
tapai; êarë pipwpor,j palémons 81: ôçxtat matât
et pèv ’À).ÉEŒVÔ.GOÇ
ana-tram 25v Msvs’lotov ,aïno; Errata ÊZËîw ’E).évr,v
mi minot influant,
Aussitôt d’autre part ensuite
Agamemnon roi des hommesse levait,Ulysse très-sage se levait aussi;puis des hérauts illustresamenaient-ensembleles gages-de-foi fidèlesdes dieux ,et mêlèrent du vin dans le cratère,puis versèrent de l’eau aux rois
Sur les mains.Le fils-d’Atrée alors,
ayant tiré de ses mains le glaive,qui était suspendu toujours à luile long du fourreau grand de l’épée,
coupait des poilsdes tètes des agneaux;puis ensuite les hérautsles distribuèrent aux meilleursdes Troyens et des Achéens.Alors le fils-d’Atrée,
ayant élevé les mains,
priait de grandes chosesau milieu d’eux.
« Jupiter père,régnant de l’lda ,
très-glorieux , très-grand ,
et toi Soleil, qui aperçois toutet entends tout;et vous Fleuves et Terre,et vous qui en dessous de terrepunissebtous-deux les hommesayant péri,
quiconque aura juré un parjure,vous, soyez témoins,e gardez nos gages-de-foi fidèles:si d’une part Pâris
a tué Ménélas ,
lui-même ensuite qu’il ait Hélène
et toutes ses possessions,
’ ,rntvrrrrî * ’ "a"
à gr g v (in 3 . . Ï"? r ’. ,. .v .r- I j 2* .Vfirîg’îsâcviîæirsî
A I i .t,ç. t
Ï 38 IAIAAOE r.i -.
flpeîç 8’ Ëv vison vau’opeôa novronâpowwr
l.- ei 31 x’ ’AÀÉEavôpov mini-g Eavaç Mevs’Âaoç,
T piliez; ê’rrete’ cEle’vnv mi mignot mîw’ àrroôo’üvac, 285
. enfin 8’ ’Apyaiozç ânorwe’pev, SéVTlV’ è’omev,
l in ml. ÈGGOpé’IOLoL p.513 âvepdmowt nûment.
1,, Et 8’ av époi tipi)»: Upiapoç [19:dein ce naiôsç; rivaw oint êôflwcw, ’AÀEÉaËvSpOLo rasoir-roc,
’ «518:9 ëyài xoà Érato: paxfiooszat eïvsxa norvfiç, 290l «501. pévœv , eî’wç x5 15’104; nole’pow xrxeiw. n
r ’H , mi âne empilai); &pviîw râpe vnle’ï 131leÉ mû rob; pèv xare’finxev s’rrl. xeovbç âcnaipovmç,
Gupoü’ 85u0pévouq° (in?) 7&9 pévo; raflera xakxoç.
’ OÏvov 8’ Ex xpnrïpo; âcpuoooîpsvor Senâsoow, 295, Ëxxsov, 1’18’ eüxovro 650i; aîeryevémow’
(588 85’ 1v.; aimons; ’Axatôv ce Tpo’xov 15’
ç « ZeÜ xüôtora, pépon, mi àôoïvaron 6501 Mm,E ômro’repm aponpor ônèp 39men nnpvîvatav,A. 585’ oq)’ s’yxs’çaloç Xapoîôt: (55m à); 885 oÏvoç, 300a,
tresors; nous, nous regagnerons nos foyers sur nos vaisseaux à lay: course rapide : si, au contraire , Pâris succombe sous les efforts du’ blond Ménélas, que les Troyens rendent Hélène et tous ses trésors,, et qu’ils payent aux Argiens une amende convenable , dont le sou-? venir se conserve jusque chez les générations à venir. Que si, Parisi i venant à succomber, Priam et les fils de Priam refusent de me payer
l’amende , moi, Agamemnon , je combattrai désormais pour l’amende,
et je ne sortirai point d’ici que je n’aie vu la fin de cette guerre. nIl dit, et d’un fer sans pitié, il égorge les agneaux; puis il les dé-?! pose Sur la terre, palpitants, sans vie, privés de mouvement par le
glaive meurtrier. On puise alors le vin dans le cratère, on fait desa libations avec les coupes, et l’on adresse des prières aux Dieux éter-"y nels : chacun des Achéens et des Troyens s’écrie :,r u Jupiter très-glorieux et très-grand, et vous tous, Dieux immor-A tels, quels que soient ceux qui les premiers violent la foi de ces ser-t
ure-fax, [me]; .y .:
ments, que leur cervelle s’épanche sur la terre comme ce vin, leur
ILlADE 111. 39amuï; 8è vampées:
èv Mesa: novronôponaw’
si. 8è Msvéhzo; Eava;naîtra nev ’AÂs’Eavôpov ,
Tpüa; Errata ânoôoüvat
iEÀévnv nui m’ont: xrfipara,
âfiOTlVE’lLEV ôà ’Apyeim;
lupin, fivrwo: ËOtKEv ,
five mû nûmentparât àvÜpcôTrowtv èaoopévoww.
El 6è Hpiapo;naïôéç TE 119101me
00x âv êôâmov.
tivew époi npfiv,’AXeEo’wôpozo necôvroç,
«11316:9 êyd) mû Ë’KELTŒ
paxfioopar five-4a norvfiç,pévcov culer,
En); 7.5 fixait.)tâte; fidéisme. n
îH, mi ànéraue
1(1le v’nléî
aroudxou; àpvu’w
and narrai-nus pàv èni xôovà;
un); âmraipovraç,êeuops’vov; ôupoü ’
x0016; Yàp ôter-:0510 pévoç.
Àçua’oa’tuevm 5è oïvov
tu xpmipo; Saucisson:Exxeov,
iêè 561mm 650i;aistyeve’moi’
Il; 5è ’AXatûv se Tpu’mw n
511156er ôôa- Z56 w’JôtGTE, lLÉYLGTE,
mi aïno: 050i àôâvatom,
morspor. npô’repor
rapinai; ûnèp ’o’pma,
Mécano; (Béa 6ch xapâôtç
686 à); 666 oîvoç,
et nous que nous retournionsdans nos vaisseaux passant-lamer;si d’autre part Ménélas blond
a tué Paris,
il faut les Troyens ensuite rendreHélène et toutes ses possessions,
payer ensuite aux Argiensl’amende qu’il est-convenable de
laquelle aussi puisse-exister [payer,parmi les (dansla mémoire des) hom-
Puis si Priam [mes devant être.et les enfants de Priamn’ont pas voulu
payer à moi l’amende ,
Paris ayant succombé ,mais d’autre part même ensuite
je combattrai à cause de l’amende,
restant ici-même ,jusqu’à ce que j’aurai rencontré
la fin de la guerre. »Il dit, et coupa
avec un fer sans-pitié
les gorges des agneaux ;et déposa d’une part sur le sol
eux palpitants,manquant de vie;car le fer leur enleva la force.Puis avant puisé du vindu cratère avec des coupesils le versaient,et priaient les dieuxexistant-toujours;et chacun et des Achéens et des
disait ainsi : [Troyensa Jupiter très-glorieux, très-grand,
et autres dieux immortels,lesquels-des-deux les premiersauraient transgressé les serments,que la cervelle coule à eux à terreainsi comme ce vin ,
a me: A v n. . ,v. »WTT.’WP Ta". . s l h. v I ’. t 4’ . ’ x
t .I 4o IAIAAOE r.É ’ aôrïôv, x06. rexe’wv, (30101 8’ dirimai émpeîev. n»
x d1 Q; Ëçuv’ oûô’ riper 1rd) ocpw êrtexpaiawe Kooviow.
l T . I I x N y .(p 0th .. Aapôavrônç Hptapoç par»! putier» aux?« Ks’xÀu-rs’ par), T9835; mi êüxv-rîprôsç ’AXouoi’
,’ hot êvôw situ «pari "Dam ravaudasse»: 305
1 - N1’41, (37:21 051m) TÀ’rÇcotL’ êv ôçfialponsw ÔP’IO’Ôat
papvoîpevov (poum uîôv ’Apnïzpilo) Malaisie).
v ’î’leu; pév TCOU tÔYE mas mû o’tÔoîvœror. 650i aillez,
euro-repu) Omnium vélos nenpmpe’vov s’oriv. ». .0» - wr-
?H par, ml s’ç ôiçpov driva; 0&0 imitiez); qflôç’ 310au 8’ îp’ Ëôouv’ «Greg, imitât 8’ irait: reîvev ôniocto’
113:9 35’ oî ’Avr’rîvmp myxome"; [31363110 ôiçpov-
1d) pèv aïp’ agrippez fige-ri. ’Duov o’move’ovro.
"Enta? 8è, Hptoîumo mîïç, mi Sic; ’Oôuacsbç
-.....,..--v
xâipov pèv «pâmw Sieuérpsow aôrèp étama 3:3xÀ’r’jpouç êv une?) Zonlx’rîpaï flânai: ÉMVTEÇ,
I. ômro’repoç sa, upooôev riser-q 100mm âmes:
, cervelle et celle de leurs enfants, et que leurs épouses subissentË les lois d’une couche étrangère! n, Tels étaient leurs vœux; mais le fils de Saturne ne les exauça point.Cependant Priam , fils de Dardanus, s’adressa ainsi aux deux armées :
a Écoutez-moi , Troyens, et vous , Achéens aux belles cnémides :
, moi, je retourne dans la haute mon; car je ne saurais contempler demes propres yeux le combat de mon fils chéri contre Ménélas le favori
de Mars. Seuls, Jupiter et les autres Dieux immortels , savent pourlequel des deux les destins ont marqué l’heure du trépas. n
.;:.. v
3 Il dit, et, mortel semblableàun Dieu, il place sur le char les agneauxË immolés; puis il monte lui-même, tire les rênes , fait placer Anténorprès de lui sur le char magnifique,et tous deux, retournant en arrière,reprennent le chemin d’llion.Hector, fils de Priam , et le divin Ulysse, commencèrent par mesu-Ç rer le terrain ; ensuite ils agitèrent les sorts dans un casque d’airain ,Ç. pour décider qui des deux lancerait le premier son javelot. Pendantif
à.
4’!
a me; -,æ;a::;
a
r”’vî?**"*.";*:æw---.r, x. ,, :Un, 4, 4V p. n I . ü. 7.." r. a... si
. à.ILIADE HI. 4laûrd’w nui rexémv, d’eux et de leurs enfants,
6101m 6’: et que leurs épouses 1 jdouterai ânotcw. n soient domptées par d’autres! n I’anv diç’ Ils dirent ainsi; ’oürîè Kpoviwv âpot et le fils-de Saturne donc
ênexpaîawé 7rd) GÇLV- n’exauça pas encore eux.
"piano; 5è Aapôavïôn: Or Priam fils-de-Dardanusparsema püôov TOÎO’L’ dit un discours à eux :a Kéx).uré peu, TptÎrE; a Écoutez-1110i, Troyens ,
ml ’Aypuoî ÊÜXV’ÎitLLÔE; r et Achéens aux-belles-cnémides;
hot Ëyàlv sur; 6:42 certes moi j’irai en-arrièrenpori "Dam! iveuôeo’oav, vers llion battue-des-vents,Ë’lîëi rifle-opta: com car je ne supporterai pas encoreôpâoôott ëv assumeras, de voir sous mes yeuxuiàv 4963m papvo’tuavov mon fils chéri combattant
Melchior ’ApnîoOor contre Menelas clrer-à-Mars ; ,la); pèv oîôé me rêve Jupiter d’une part sait certes ceci ,
Mai omet Geai àôa’tvarot, et les autres dieux immortels, .vennorépcp râle; Bavoir-etc à qui des deux la fin de la mortèati nsnpwps’vov. n est donnée-par-les-destins. »
’11 par, Il dit donc,mi et)»; icôôso; et mortel égal-à-un-dieuaéro oignon; ê; ôtçpov r il plaça des agneaux sur son char; l’àva’ôauva 6è âpot «1016;, puis monta donc lui-même,
tarérswa 81: fivia orties-w puis tendit les rênes en arrière;’Awmfivmp 8è mp6: et Anténor ensuite près de lui
picaro ôiçpov monta le char-à-deux-plaees Anepzm).).a’a: très-magnifique; ’1th pèv oison tous deux d’une part donc lEnfiler retournant-enarrièreàrrovs’ov-ro maori ’lhov. retournèrent vers llion.
"EXTŒQ 8è, Hector d’autre part, -m’ai; llptc’tpow, fils de Priam , ’,mi ’Oôva’rsù; ôîoç, et Ulysse divinôteus’rpaov p.ÈV npôrov xd’ipov- mesurèrentà la vérité d’abord le lieu,
cob-rap Errata flâne; magot]; purs ensuite ayant pris des sortsminer: âv nové-ç, xalxr’zpeî, ils agitaient dans un casque d’-aîrain ,
Marécage; 8-), pour soir lequel des deux certes . lrinçai-q arpégea; lancerait avant l’autreme; Zâlzeov. la lance d’-airain.
fruhr v 7’ t "** v r’-*« r .ï .u . * z ’ ’îvaîrîî:
5 42 IAIAAOE F.i, [moi 8’ fiprîo’avro, Osoîot 8è pipa; e’wz’crxov.
L ’ a n . tf m8: 85’ n; eirreoxev ’Aypuoov 1:5 l péon 15’
’1’ n ZeÜ noirsp, l’I8-rjôsv p.585’wv, x68tore, tLEIYtO’TE 320ômro’repoç «585 5970: per’ o’tpcporépotow 5611m,
18v 88g àrrocpfitptevov 8Üvou 8651.0v "A180: siam,
fixait: 8’ and cptlôrn’rat mû. gpxta mord: YEVE’O’Üdt! n
: I ’Qç o’t’p’ gour tramai: 8è trêve; xopueaioixoç "Exrœp,
.1’ au]; ôpâoiv’ Héptoç 8è 6053; êx xkfipo; dpouoev. 325’ OÎ (têt: Ërtstfi’ î’Çov-ro xorrà ort’xaç, âzt exécrai
trimer. àepo’i’no8eç xa’t norxiÀot rsôze’ ËXELTO.
E, A5189 57’ o’tpç’ époro’w Ë8Ôoaro TEÜ’AEæ m1181
F 8î04 ’AÀe’Eav890ç, ’EÂs’vnç nous; fiüxôpow.
Kvnttîôaç pt», 71-98310: rapt xw’th’gew Ëônxe 330
. stalag, o’tp’yupe’oww êmocpupiorç (imputa;-
’ 8eôrspov et; Ûo’ipnxa «spi orifisoow ë8uvev.ï oie xactyw’jtow Auxeîovoç” flppooe 8’ «L’a-1:83.
g, ces préparatifs , les peuples priaient, les mains élevées vers les’ I Dieux; et chacun des Achéens et des Troyens s’écriait :ç a Jupiter, père de l’univers , toi qui règnes sur nous du haut de
l’lda , Dieu très-glorieux, très-grand , permets que celui qui le pre-
. mier fit naltre ces hostilités entre les deux peuples , immolé aujour-i d’hui , descende dans les demeures de Pluton , et que nous , fidèles’ à nos serments , nous vivions dans une heureuse alliance! na Tels étaient les vœux de tous , pendant que le grand Hector au cas-que brillant, agitait les sorts en détournant les yeux ; soudain du cas-l que sortit celui de Pâris. Les troupes se placèrent aussitôt en rang,Ï chacun près de ses chevaux aux pieds rapides et de ses armes brillan-
tes. Alors le divin Paris , époux d’Hélène à la belle chevelure, jeta
autour de ses épaules sa superbe armure; et d’abord il entoura sesjambes de magnifiques cnémides , attachées avec des agrafes d’argent;
’ . puis il couvrit sa poitrine de la cuirasse de son frère Lycaon , quis’adaptait parfaitement à sa taille: puis il jeta autour de ses épaulesJanv m-p- .4.
725.,j,
nua; I -.., f
Autel. 8è ip-âoowro ,
àvéoxov 8è xsîpa; (isoton-
ti; 8è ’Axauûm ra Tptômv se
(ÎfiEG’XEV 638?
a la") misse,p.58éoiv ’Iônfiev,
1681m5, pépon,ômôrepoç ëônxs me; ëpya
p.516: àpxporépotot ,
ôàç 18v àrroçflipevov
ôüvau store
8611m ’Aiôoç,
ÇtÂÔTnTa 8è ab
mi ôpZtŒ mord:yeve’oôou. ipïv! u
’Eçtav tîpot (hg t
"Exrwp 8è péyaç
nopuôaiolo;traîna,ôpo’tov dip-
û’îjpoç 8è [laieras
ëëôpouoe 006k.
Oî pàv Errata
tCovro narrât otixaç,
il: Î’II’JEOL dapoinoôeç
mi 156x50: mutila:lustre surdorer.Aù’ràp 615 ’Ale’iowôpoç 8’170;
fiôctç ’Elévm fiüxôpato
éôüoz-ro époi (figaro:
ÎEÛXEŒ mm.
’Eônxe [L’EV apion
nepi xw’jpcgot
ampîôaç xaûtàç,
iLlADE 111. 43Les peuples alors prièrentet élevèrent les mains aux dieux z
et chacun et des Achéens et des
disait ainsi : f(Troyensa: Jupiter père,
régnant de l’Ida.
très-glorieux, très-grand ,Cdui-des-deux-qui a mis ces œuvresparmi les deux partis,donne celui-la tuédescendre dans l’intérieur
de la demeure de Pluton,puis amitié en revancheet gages-de-foi fidèlesêtre à nous! n
Ils dirent donc ainsi;alors Hector grandau-casque-brillantagitait le casque pour les sorts ,regardant en arrière;or le sort de Pariss’élançadehors promptement.
Les autres à la vérité ensuite
s’asseyaient par rangs,
ou les chevaux aux-pieds-vifset les armes variées
reposaient à chacun.Puis celui-là Paris divinépoux d’Hélène aux-beaux-cheveux
revêtit autour des épaulesses armes belles.Il mit à la vérité d’abord
autour de ses jambesdes cnémides belles,
épapuiaç êmocpupiorç âpyupéotcr adaptées par des agrafes d’argent;
ôeôtepov a5
ëôws nspî oîfiôeoot
069mm Avxo’tovoç
oie XŒO’tYV’Ïj’EOtO’
fippoos 8è airai).
secondement d’autre part
il revêtit autour de sa poitrinela cuirasse de Lycaonson frère;or elle s’adapta à lui.
ri . v t . r , v vs r ’ i?f λ N w K A t t ’ fic .à.)
Ë - ,
il ’
5 44 IAIAAOE r.v x v a! i a! I ü! IAmar. 8 a9 entons-tv perlera «Je; o’t9yu9ovjkov,
r a t v rg. latiniser 10m9 errata oeixoç pré-(1 ra ortÊapôv res 535
K x vu a 3 a r I si a!Ë X9111 o en crampe) xuvs-qv suruxrov cônxsv,
’ I a x Nt a I I vË î’ltTt’OUpw’ cervov os AOÇPOÇ anLmapOav eveuev.
s p: m v v KLasso o «imam ayfiog, ô’ oî 7C1)xalll.:fi?lv (5972951.
o N , ,.in Q; o’ crétois; Matelote; ’A9v’poç ëvre’ Ë8uvev.
tr 1 a ’1’g Oî 8 sitar env âxoîte905v épiler; Ooiprîyfinoav, 340
’3’ s I r l v a N 3 l, E; p.eooov Î9wtov mu Ayant)» Ecïl’lOùWTO,
1 x l, 8Etvov 8E9xotuavotr morde; 8’ 515v sioo9o’wvra;
A T N I a p N I t 3.. l a ) l: 9mm; 0 rît-trompeur mu suxvnutoaç Alerter);
K I î 9 .A -ll . h N , l I,1: ou. 9 EY(UÇ o.r,rr,v montrai-9mm avr xw9tp,oeiovr’ ÊYZEVÏOLÇ, o’tÂÀ’rQrOLow zoréovre. 345
Ë I «a J.le Upoo05 o’ ’A)té7;otv89oç TrPOLEl 8o).ryéoxrov 571M,
a. i 1 s IN a a 1x I i al.. mu [flaira Arpztoao mu: ozonisa navroo Etc’flv’
la 11v, r .’ I.s,kl’,«;ç,.9; GUS 599,714»; Albret) aisrvoqaffir, e- 0l suffirai
5. N m N, dard? êv’t x9ate9-g. ’O ce 8561590; dipvuro labre.)Il
P
une épée d’airain , ornée de clous d’argent, et un large et solide bou-
t clier; ensuite sur sa tôle robuste, il plaça un casque admirablement5 travaillé, ombragé d’une superbe queue de cheval , et surmonté d’une
i7 aigrette qui s’agitait d’une manière formidable; enfin il Suisit une1* forte lance, que ses mains brandissaient sans effort. De son «été,Î’ Ménélas le brave se revêtait également de ses armes.
Ï Lers donc qu’ils se furent armés, chacun du côté des siens, ilsï" s’avance-relit au milieu des Troyens et des Achéens, en se lançant des,
ç regards terribles , qui firent frissonner tous les spectateurs , Troyens,.8 ’ dompteurs de COIH’hit’l’S , et Achéens aux belles cnémides. Puis , tous
Ë» deux s’arrétèrent à peu de distance, dans l’espace mesuré, agitant
Ï leurs lances, et furieux l’un contre l’autre. Alors Paris, le pzemier,Ï lance son longjavelot; il atteint le bouclier parfaitement arrondi du’ fils d’Atre’c, mais sans en rompre l’airain : la pointe se recourbe surà T
in.Çà
Mare 8è &9o81in mirotonEiooç dpyxæpôniov
librem-at’nàp Emma ooîxoç
péya ra ortâot96v ra t
érii xpari 8è icpôiuq)
E6111: xuvénv eüruxrov,
hampe; auntOürrepOav 8è
7.6390; Eva):ôstvôv.
Eïlaro 8è 5710; âlxtttov,
ô àpripst nodâprgçiv ot.
Marlène; 8è ’A9r’.io;
ëôuvev Ernest (à; cuire);
Ci ôè 05v,
être! Ôwp’âzenoav
êxo’trepôev épiler),
êortxôwvro ê; péooov
Tçtfimv ra zani ’Axoutîw,
ôspzo’uevor Banni-J -
(lainée; 6è
ëxsv sloopôwvrot;
T9691; ra timoôo’tpouç
and Kyoto-b; ârîazvfiutôotç,
Kari par orin èyyùçêvi 10390,) 8taper9mç),
osions êyxeiot; ,
toréons nidifieront.’Als’Eowôpo; 8è arpôoee
npotu ème:Boltxôoxtov ,ml. poile narrât àorriôa
êta-11v mîvrooe
’Arpsiôoco-
oüôè 5991155 xalxôv r
«qui; 8è àvayao’tttçôn et
êvi àoniôt x9areçfi.
’0 8è Bohème
[LIADE Ill.
Il se jeta d’autre part doncautour des épaulesune épée à-clous-d’argent,
d’-airain;
puis ensuite un bouclieret grand et solide;puis sur sa tète forteil plaça un casque bien-fabriqué ,à-queuecde-cbeval;et d’en dessus
une aigrette s’agitaitd’une-taçon-terrible.
Il prit ensuite une lance forte,qui s’adaptait à la main à lui.
Ménélas le Martial d’autre part
revêtait ses armes ainsi de même.Creux donc,
lorsqu’ils se furent armés
des deux côtés de la foule,
marchaient vers le milieuet des Troyens et des Achéens ,regardant d’une-façon-terrible;
un trouble alorsavait ceux contemplant auxet Troyens dompteurs-dechevauxetAehéens aux-belles-cnémides.
Et donc ils se tinrent-tous-deux prèsdansle lieu mesuré,agitant-tous-deux leurs lances ,irrités-tousdeux l’un contre l’autre.
Or Pâris avant l’autre
envoyait-en-avant sa lanceà-la-longue-ombre ,
et il frappa sur le bouclierégal en-tous-sensdu fils-d’Atrée,
et n’en rompit pas l’airain;
mais. la pointe fut courbée à lui
sur le bouclier solide.Celui-là d’autre partie second
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46 IAIAAOE I’.’Ar95i873ç Msvs’Àuo;, êrreuîoîpsvoç Ami nar9f* ’ 350
a 255 civet, 8o; riootoôou, ô’ p.5 updra9oç xoix’ 50975,
8Îov ’A’Aëëav890v, and êpfiç 67:8 filao-l. Ségaooov’
dopa ru; êêpiyrjot ml ôrjatyo’voiv dvôpo’mwv
Eatvo86xov murât péîat, 6’ xsv traduit-nm vra9oîoyfl’5. n
’H par, xai âpuenahbv rr9oist 8oltxôoztov 5710;, 355nui [Seille ÏI9tapti8uo xar’ oiorri8a mivroo’ Ë’io-qv.
Atà pèv o’tom’ôoç 31105 (parmi; 569mm: 5779;,
ml. 8rd Odipnxoç noAu8at8oiÀou 7’;91îpstor0°
o’tvrtx9iJ 8è Tra9ai louroiçnv 8to’tpnoe xtrtîivot
ëyxoç’ ô 8’ êxlivfin, xui oilsdotro K290i pûatvav. 360’Ar95i8-r,ç 8è, 5’9uoooïpevoç Eigooç ei9yu9o’rÀov,
trÀfiE v âvaoxo’pevoç xo’9uôoç poiler duel. 8’ o’ip’ ouin?
rptxôoî ra xu’t rsrpuxôà 8tur9ucpèv Ëxneoe 15506:.
’Ar9ei8’qç 8’ (ïJELUJEEV, i8div si; oûpuv’ov sû96v’
« Z55 mirsp, 05m; osîo 053w ôÀoo’ire9oç à’À’Aoç" 365
le solide métal. A son tour, Ménélas, fils d’Atrée , se précipite la lance
en avant; et, s’adressant à Jupiter, père de l’univers :
a Puissant Jupiter, s’écrie-Hi, permets que je punisse le divinParis, qui , le premier, m’a outragé, et qu’il succombe, dompté par
ma main, afin que , jusqu’à la postérité la plus reculée, chacuntremble d’outragcr l’hôte qui l’aura reçu avec amitié. n
En disant ces mots, il brandit vivement et lance son long javelot,qui vient frapper le bouclier parfaitement arrondi du fils de Priam.Le trait vigoureux traverse le bouclier brillant, pénètre dans la cui-rasse admirablement travaillée, et, ressortant à l’autre extrémité,
déchire la tunique le long du flanc; mais Paris se courbe, et se dé-robe ainsi à la sombre Parque. Aussitôt le fils d’Atrée tire son épée
ornée de clous d’argent, la lève, et frappe le cimier du casque; maisl’arme, brisée par l’airain en trois et quatre éclats, s’échappe de sa
main. Le fils d’Atrée ne peut contenir ses gémissements.
c Jupiter, père de l’univers , dit-il, en levant les yeux vers les
.l’.” ’- .. ’ . l ’n* 1 prix in;
ILIADE III.
Mevâaoç 11956811;
épine 7511m?) ,
a ç I a. hensuguevoç AL. nougat
a Zeü du ,ôàç ricana-6a:
’Als’Eavôpov Nov
ô apérspo; ëopye’ ne mutât ,
ut ôduaaaov ÔTtÔ épi]: xepo-iv ’
I 5 Ioçpa n; apparût".mû àvôpu’mwv ÔqILYÔVLOV
ëéEatxaxà
Eewoôôxov,
ô xav newton] çtlôtn’ra. in
’H (3a,
zou auna-tralmv 1rpotetE710; ôoltxôaxtov ,
mi. pas navrât doutanttéta-71v «évacue Hptapiôao.
’nyoç uèv 669mm
i165 ôtât ào-vrïôo; çzetvfiç ,
lai ûpfipemtoôlà. 80391110.:
noluôatôâlou ’
E710; ôè ôtâpmoe
1116»): âvnxpù fiïpà ).a1ro’tpnv’
ô 5è êx).iv6:q
ml édifiante Kim: uflawav.’A’rpeiônç 6è
êpuoao’tuavoç Eiqao;
àpyvpôflov ,
avala-légauxarlfiEs ço’ùov xôpuôo; ’
ôtarpuzpèv 6è 0’:ch âne! airai)
éEs’mae lapé:
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afin; âne; 056wbleui-tapa: ceîo e
Ménélas fils-d’Atrée
s’élançait avec son fer,
ayant prié Jupiter père :
a Jupiter roi,donné-moi de punirParis divin ,
xrzr, J4 v 7
47
qui le premier a fait à moi du mal,et dompte-le par mes mains;afin que chacun frissonnemême des hommes nés-plus-tardde faire du malà l’liOte-rccevant-lui,
lequel aura offert à lui amitié. nIl dit donc ,
et axant brandi il envoyait-en-avantsa lance a-longue-ombre,et il frappa sur le bouclierégal en-tous-sens du fils-de-Priam.La lance forte d’une part
alla à travers le bouclier brillant,et s’était adaptée
à travers la cuirassetrès-artistement-travaillée ;la lance déchira d’autre part
la tunique en face le long du flanc;lui alors s’inclina
et évita la Parque noire.Le fils-d’Atrée ensuite
ayant tiré son épée
à-clous-«l’argent
l’ayant tenue-en-liaut
frappa le cimier du casque;mais brisée donc autour de luielle tomba de sa mainet en-trois et en-quatre.Or le fils-d’Atrée gémit
ayant regardé vers le ciel large :a Jupiter père,
pas un autre des dieuxn’est plus pernicieux que toi ;
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xàô 8’ sîc’ Ëv exhaure.) aôtôôeï, xniôevu.
vastes plaines du ciel, non , il n’est point d’autre Dieu plus cruelque toi : je m’étais flatté (le faire expier à Paris sa scélératesse , et
voilà que mon épée se brise entre mes mains, et que mon iavelot,lancé vainement, n’atteint point le perfide! n
Il dit, s’élance , saisit son adversaire par son casque ombragé d’uneépaisse crinière , se retourne. soudain , et l’entraîne parmi les Achéens
aux belles cnémides ; la courroie , richement brodée, qui s’étendsous le menton du héros et retient sur sa téta le casque à trois aigret.les. serre sa gorge délicate. C’en était fait; Ménélas l’entralnait, et
se couvrait d’une gloire indicible , si la tille de Jupiter, si Vénus nes’en fût aperçue à l’instant, et n’eût brisé la courroie , dépouille d’un
taureau tué violemment. Le casque seul suivit la main vigoureuse deMénélas. Il le fait pirouetter en l’air, et le lance au milieu des Achéensaux belles cnémides , ou il est aussitôt relevé par les compagnons dé-minés du héros. Cependant Paris s’élancait de nouveau, impatientd’enfoncer son javelot d’airain dans les flancs de son ennemi; maisVénus l’enlève sans peine, en sa qualité de déesse, le cache au milieud’un nuage épais, et le dépose bientôt dans la chambre nuptiale,où brûlaient des parfums odorants. Delà, elle va elle-mêmeappclcr
il ce Muni:rio-556m ’Ale’Eatvôpov macéra-to; ’
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finaud): 5’; &ch
ùépt atoll?) ,
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eùmôeî, ïflŒEY’tt.
Imam: III.
ILIADE Il]. 49certes je m’étais dit
devoir punir Paris de sa méchanceté;or maintenant l’épée
a été brisée à moi dans les mains;
et la lance s’est élancée vaine à moi
de la paume-de ma main,et je n’ai pas frappé lui. n
Il dit, et s’étant élancé
il saisit lui par son casqueà-épaisse-crinière-de-cheval,
et s’étant retourné il traînait lui
vers les Achéens a-bellcs-cnémides ;
la courroie au x-nombreuses-broderiessous son cou tendreétranglait lui,laquelle avait été tendue a lui
sous le mentonlien du casque-à-trois-pointes.Et certes et il eût entraîné tut
et eût enlevé une gloire indicible,si Vénus fille de Jupiterne l’eût aperçu donc vivement,
laquelle rompit à lui la courroied’un bœuf tué violemment;
le casquesuivit en mêmetemps la main robuste.Ensuite le héros d’une part
ayant fait-tourner jeta luiparmi les Achéens à-bellescnémides,
et des compagnons très-unis à luiemportèrent ce casque.Puis lui s’élança de nouveau,
désirant-avec-passion l’avoir tué
de sa lance d’-airain.
Mais Vénus, comme déesse,
enleva celui-là très-aisément;
et elle l’enveloppa doncd’un brouillard abondant,
et le déposa dans sa chambre-nuptialeà-bonne-odeur, à-parfums-brûlés.
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épleaô’, et zapoio vÉov Myovm xaôtÇew. n
°Qç (potto. 8’ riper Gupèv s’vt orfiôeootv ôptve. 395
Kari 8’ (in 03v évêque 658i; neptxa’ltls’a 8etpijv,
crucifiai 6’ 341.8969101 xa’t dunette: nappaipovra,
ôâpfinos’v 1’ oip’ Entra, 51:0: 7’ Ëçær’, Ex. 1’ ôvo’uaCS’
Hélène : elle la trouve sur le haut de la tour, environnée d’une foule
de Troyennes ; elle la saisit par sa robe, d’où s’exhale un parfum
doux comme le nectar; et, prenant la forme d’une vieille d’un grand
âge , qui, lorsqu’elle habitait encore lacédémone , préparait pour
elle des laines magnifiques, et qu’elle aimait tendrement, la (IlVllltà
Vénus lui adresse ces paroles :
a Venez ici; Paris vous invite a revenir au palais; déjà dans lachambre nuptiale, assis sur un lit magnifique , il vous attend, écla-tant de beauté et de parure; vous ne diriez point qu’il revient decombattre un héros , mais qu’il se rend à un chœur de danse, ouqu’il se repose au retour d’un chœur de danse. n
Ces mots t’ont palpiter le cœur d’Hélène jusqu’au fond de sa poi-
trine; mais des qu’elle a reconnu la déesse a son cou de toute beauté,
, à sa gorge qui fait naître les désirs , et a ses veux étincelants, frappéed’étonnement , elle prend la parole et s’écrie : r
A61?) 8è 0.50:
i5 ulémas: ’Eitéwjv c
Exixave 6è rfivêrt’t mina) ûwlqî’
Tpma’t 8è
ici-av «cpt dite.’ErtvaEs 85 xeipî.
MËOÜG’Œ. éotvoïa
vampât: ’
«passeurs 8è un
aimiez ypnt«claquât ,
sipoxôuq) ,
fi fimw âpre: mita.et vate’rau’img Aaxeôaipovr. ,
(9055015 85’ un: pékan ’
fi) êeto’aue’vn
’Aqapoôivn 8ïa npoaaqarbveé p.w ’
c’lôt ôeüpo’ NéEavôpoç 1005?: a
véeoôat aixôv85.
K5îvoç 6-15
Év Gallium
mi ÂÉXEO’Œ ôwunoîm ,
0&va millet cemi. sinua-tvoôôé ne (pain; 16:75
émiât uaxncuiuevov àvôpi ,
tillât prsaôat Zopôvôe ,
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(bâte d’3; ’
69mn à «in ra
09W tv! 611365061.Kilt du à: cira âvôno’a
Sapin: neptan 055.: ,unifiai tu 111.5969110: ,
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5.9".
lLlADE lll. 51Puis elle-même ensuiteallait appelant Hélène ;
or elle rencontra ellesur la tour élevée;
des Troyennes d’autre part
étaient autour abomlaminent.Or elle la secoua de la mainl’ayant saisie par sa robeembaumée-comme-lc-nectar ;puis elle dit à elleressemblant à une vieillenée-depuis longtemps ,
travaillant-la-laine ,qui s’exerçait sur des laines belles
pour elle habitant à Lacédémone,
or elle aimait elle surtout;à laquelle s’étant assimilée
Vénus divine disait à elle :
« Viens ici; Paris appelle tmipour venir à la maison.Celui-là lui-du-moinsest dans la chambre-nuptiale,et dans les lits faits-au-tour ,brillant et par la beautéet par les vêtements;et tu ne dirais pas lui-du-moinsêtre venu ayant combattu un homme ,mais aller à une danse,ou s’asseoir
cessant récemment une danse. uElle dit ainsi;
or elle émut donc à celleci
le cœur dans la poitrine.Et certes quand donc elle aperçutle cou très-beau de la déesse,
et sa poitrine donnant-des-désirs,et ses yeux brillants ,et elle fut saisie donc ensuite,et elle pensaet elle prononça cette parole :
1.,
4
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t 52 lAIAAOE r.Ï « Aatuovirj, ri p.5 1545m ÀtXaiaat ’I’jTtEPOTEEÔEtV;v
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f r N&ÇELÇ (Dpuyt’nç,’?1 Mineur]; êporrstvn;,
I’ a! l x - p s r,4 Et ne 101 mu 75.61 (pile: papotent avOpomwv;
I Av unOÜv5xot 81h vuv 810v ’Ake’îow8pov Mevs’laoç
l a! [À t 3 a 1 «D il 6.1 voracer; 5-15 Et cruyspnv 551.5 orme avec ou,
1A v C xt un «ca. a X ’ 1 c; . 53 sauvant: on vuv o.upo o oppoveoucz trap-cr-qç, [.0à filao Trap’ «urbi; îoÜo’ot, 6563i; 8’ oino’5tx5 xsleüôov
Ë N) Y r I t I Yv; une en GOLG’t arc-856m»; UTIOG’TPEKIJELŒ; O7tuu1rov ,
’ a J.l5 0’003 (zist flapi xswov ôtÇus, mi 5 CIDÜÀOtO’GE,
’I sic-6x5 O” oiloypv novée-rat, Ë, 8’75 806km.
K5îo’5 8’ âyôiv aux aigu. (veusouqrèv 85’ x5v sin) [.10
id l Ï V 7’. xewou nopauvéoum livet lpwa’t dé p.’ artisan;
.1 u - j’ 7’ Nin natron; pwpncovrat’ 51m 8’ a’xa’ à’xptra Outre). n
h n:5 Tùv 8è [ohoicapts’v-r, apoa5çprôv55 8U ’A’ppo8it’rj’
’h M, ’ Ë, cÛ ’ M ” " a uc’v- ce 61,0)a r, p -p. 5, 07.51: n, un La) a, - q p.5 .-. ,h t «I y w - I r m y a a 1 r-a; To): 05 a ansyflrjgœ tu; vuv emmyk E?l)x’f,GŒ° [41.)LÏ"
t a Cruelle, pourquoi vouloir me tromper encore? Veux-tu donci
. p.1»;
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a, sa: .- «A u
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ça: fra” a: "a" a”. w
il 1:57.” 4.1!”.- ’4n fidéiste” .4
m’entraîner encore plus loin , dans quelqu’une des villes populeuses,
soit de la Phrygie , soit de l’aimable Méonie , ou se trouve quelqu’un
des mortels à la voix articulée , sur lequel tu aies reposé les affec-tions? Est-ce parce que Ménélas, vainqueur aujourd’hui du divin
Pâris, consent a ramener dans ses foyers une épouse qui ne mériteque sa haine , que tu te présentes en ce montent devant moi, méditant
quelque ruse nouvelle? Va trouver ce mortel chéri : près de lui,et"), la route du céleste séjour : que tes pieds ne foulent plus dé-sormais les voies de l’Olympe : gémis a jamais a ses côtés, et ne le
quitte point qu’il n’ait fait de toi son épouse , ou du moins son esclave.
Pour moi , je n’irai point (loin de moi une conduite si indigne!) pré-
parer et partager sa couche; non; toutes les Troyennes me méprise-raient trop, et déjà d’assez amers chagrins déchirent mon cœur. u
La divine Vénus lui répondit d’une voix courroucée r a Ne m’irrite
pas , misérable; crains que je ne t’abandonne dans ma colère, et queje ne te haïsse autant que je t’ai aimée jusqu’ici avec fureur; crains
I Aatuovtn ,ri hlai5iztàrrepmreôsw p.5 mâta;’71 liter: ne
1:9; fige-râpa)
1:07.in EÜVŒLOjLEVd’œV
il d’puyinç
fi Mnoiiin: éparetvfi; ,et ne âvtipcîmwv
9.596anxai me; pila; rat;Oüvexa vüv av, Mevâao;vitrifieront; ’Akéîavôpov 8îov
mana In. 53a Cruelle,pourquoi désires-tu
tromper moi quant à ces-choses?est-ce que tu mèneras moiquelque part plus avantdes villes bien-habitées
ou de la Phrygieou de la Méonie aimable,si quelqu’un des hommes
ayant-en-partage-la-voixest la aussi ami à toi?Parce que maintenant certes Ménélas
ayant vaincu Paris divinèôéleiâyaaeato’tmôe âpè awyep-Pjv, veut emmener chezolui moi odieuse,
TOÜVEXŒ vüv 8?;
napée-In; âeüpo
ôoloçpméouo-a;
’loücat fion mp6: œÏrtèv ,
â’JtÔEt’KE 8’5 x515660u 656w *
9.1185 ërt Once-médiator;
’OÀuu-rtov
cotai. nôôeactv ,
me 6K1): 01511t5pi xsîvov ,
nui. (pébroc-5’ à,
516625 ôy5 novée-ami ce
fi choyer in 801.3)th .’Eydw 65 oui-I. 5ïp.t 157.65
(sin 85’ 15v ven5ccnràv)
nopauvéouaot 7.510; 7.56101) t
Tpœai. 8’5 durion-w
artison. umufiaov’rczt u5 ’
éxo) 85 dilua âZpLTŒ Guidé.»
’Acppoôim 8è ôta
Iolœaatua’vn «pompâmes. ripa ’
a Mi) 59505 us, 61551.67),
9:), chauévn
p.565im 65 ,(influença) 65’ ce 1(1);,
à); 75v épinant
à cause de cela maintenant certest’es-tu présentée ici
méditant-des-ruses-perfidesPAllant assieds-toi près de lui,et éloigne-toi du chemin des dieux;
et ne retourne plusà l’Olympe
avec tes pieds ,mais lamentetoi toujoursautour de celui-làet garde lui ,jusqu’à ce que luindu-moins fera toi
ou épouse ou esclave.Mais moi je n’irai pas la
(or ce serait chose blâmable)devant préparer le lit de celui-là;les Troyennes d’ailleurs ensuite
toutes blâmeront moi;or j’ai des douleurs infinies au cœurm
Vénus la divine alorss’étant irritée disait à elle :
n N’irrite pas moi, misérable;de peur que m’étant fâchée
je n’abandonne toi,
et ne haïsse toi ainsi,comme maintenant je t’ai aimé
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i.- a I X 1 v - 0 N a x a! la, «tupi-no Ot un errera owç 5m apvu rpourovro,’Îj 8’ si; billôpotpov Oeilxauov xis 8h yuvatxôîv.
Ë . ou Na: T’a 8’891 8i’ppov flouant çtÀopp5t8àç ’Azppo8inj,
g; âV’tt’ ’Aleîoiv8pow 056c xaréônxe (pipeuse; 415rivez: xoÉOLZ’ ’EÀs’vn, x0691] me; aiyto’xow,
8m75 TroiÂLv filma-a, nôctv 8’ vivifiants uéôqr« ’Hhaôsç 57. nols’uow (in drapeau aôréô’ ôÂe’oôat ,
à: a h t N i, N a, 2 a ’ I l F ’3’ !5. :vopt 0151.54 xpwrepq), , chOÇ nporspoç tout, 115v.
r .. til, H p.81 81’] 71:in 7’ 587.5 ’Ap-qtçc’lou M5v5)taîou 430Ï ai 15 pin mai [spot mi Ëyx5ï qs’ptspo; eîvat’
it.2; queje ne suscite des haines terribles entre les deux peuples, entreÇ les Troyens et les fils de Danaüs, et que toi-mémé tu ne périsses
2’73" ;-fl’.’i’n-i?’îït and? r r."ï’.-.’... w: a .7l-eçv- gtffime Ipv-mo "r- : --
31.4 est.
d’une mort cruelle. n
Ces paroles tirent frissonner Hélène, issue de Jupiter; s’étant enve.
Ioppée d’un voile d’une éclatante blancheur, elle marcha en silence,
et passa inaperçue au milieu des Troyennes; la déesse guidaitses pas
Elles arrivèrent bientôt au superbe palais de Pâris; la, pendant que
ses suivantes se hâtent de retourner à leurs ouvrages, Hélène, laplus divine des femmes , monte à la chambre nuptiale au toit élevé.Vénus, la déesse aux doux sourires, prend un siégé, le porte elle-
méme de ses mains divines , le place en face de Pâris , et y fait as-seoir Hélène, fille de Jupiter, du Dieu qui tient l’égide. Détournant
alors ses yeux, Hélène adresse à son amant d’amers reproches :
a Te voici donc de retour du combat! Plût au ciel que tu y eussestrouvé la mort des mains du vaillant héros à qui le premier je don-nai le nom d’époux! Ah! tu le vantais auparavant de l’emporter sur
llénélas, ce héros cher a Mars, et par ta force, et’par ton bras, et
ILIADE Il].
lxnayla,pardonnai 8è Exôsa luypàpréau-(p àpxpotépmv
Tpdmn xai Aavaâw ,où dé xsv 61mn
cirer. zen-46v. n’Eçaa’ro (1’); -
’Elévn 8è , êzyeyauîa me); ,
ëôôswet
[3’71 ds xataaxopévn
éocvdp àpyîm (pastvq),
ou?10165 6è mica; pra’nç t
ôaïpwv 5è imam
Ai 5è 515 ïxov’ro
doum nepmane’a ’Aleëo’wëpmo ,
àpçî’nolm p.èv émana
rpoîrrovro 60(1); ê-rri ëpya,
î] ôà Sion yuvomuîw
xisv et; Oâkauovbiglôpocpov.
’Acppoëim 8è âpa orloupstôù;
êloüco: 15,] ôiçpov ,
Osà palpeurs-a
xa’réônxev abria ’Ale’ç’âvôporo’
.Ele’vn 306p?) Au); aîytôxow ,
nomma èvôa,
divan-a 6665 néhv,Mineure 5è néo-w
m3049 ’
a ’I-Duôs; èx «alérion ’
du; chapela; oléfiant m3160: ,
Baud; âv’ôpi. xpatqu’) ,
ô; iev épi); «601: «9613904!
’H pèv En
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EÏVŒL (péprepoç
a?) TE Bit) mi lapaix01 Ëyxei.
Mevelàou ’Apnîqaîlou’
55
d’une-inanière-frappante,
et queje ne médite des haines tristesau milieu des deux partis,des Troyens et des Achéens,et que toi tu ne périssesd’une mortmauvaise.»
Elle dit ainsi ;et Hélène, née de Jupiter,
craignit;or elle marcha s’étant couverte
d’un voile blanc brillant,
en silence;or elle fut cachée à toutes Troyennes;la déesse d’autre part précédait.
Or elles quand elles vinrentà la maison très-belle de Paris,les servantes à la vérité ensuite
se tournèrent vite à leurs ouvrages,mais elle, divine entre les femmes,allait à la chambre-nuptialeau-toit-elevé.
Or donc Vénus aimant-les-«sourires
ayant pris pour elle un siège,Juoique déesse, le portant,le déposa en face de Paris;Hélène fille de Jupiter ayant-égide,s’asseyait la ,
ayant tourné les yeux en arrière,et elle gourmandait son épouxpar des mots :
a Tu es venu de la guerre;comme tu aurais dû périr là-meme,dompté par un homme fort,qui fut mon époux premier!Certes d’une part donc
tu te vantais avant du moinsd’être plus excellent
et par la force et par ta mainet par la lanceque Ménélas cher-à-Mars;
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76) yèv cip’ êv rom-oie; xarsüvaaôev lsxësaow.
par ta lance; va donc maintenant provoquer Ménélas, cher à Mars,
à se mesurer de nouveau avec un adversaire tel que toi! Mais non,cesse plutôt, je te l’ordonne , et ne va point follement lutter contrele blond Ménelas, et engager avec lui un combat terrible, de peurque tu ne. sois promptement abattu par sa lance. u
Paris lui répondit : « Femme, épargne à mon âme de cruels re-proches :si Ménélas est vainqueur en ce moment, c’est avec l’aide
de Minerve; une autre foisj’aurai mon tour; car nous aussi , nousavons des Dieux pour nous. Mais allons, rassasions-nous de plaisir .sur cette couche; car jamais l’amour ne s’empara si vivement demon âme, pas même quand pour la première fois , ravisseur heureux,je t’entralnai loin de l’aimable Lace’démone sur mes vaisseaux à la
course rapide, et que, dans l’île de Cranae, nous nous unîmesamoureusement sur une couche charmante; non jamais je ne t’aimaicomme en cet instant; jamais désir si doux ne captiva mon cœur. u
Il dit, et le premier se dirige vers la couche; son amante le suit,et tous deux se livrent au repos sur le lit sculpté avec art.
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[LIADE III. 07mais va maintenant appelerMénélas cher-à-Mars,
pour combattre de nouveauen face de lui;mais moi-dn-moinsj’ordonne loi cesser,
et ne pas guerroyercontre Ménélas blond
une guerre opposée à lui,
et combattre follementde pour que tu n’aies été dompté vite
par la lance par lui. nParis dit à elle alors
répondant par des paroles :n Femme , ne gourmande pas moiquant à l’âme
par des reproches pénibles.Car Menélas maintenant d’une part
a vaincu avec Minerve ;moi d’autre part a mon tour lui;car des dieux sont aussi près de nous.Mais allons certes, nous étant couchésraSSasions-nous d’amour.
Car jamais-encore l’amourn’enveloppa moi ainsi quant à l’âme;
pas même quand d’abord
ayant enlevé toi je naviguaisde Lacédémone l’aimable
dans des vaisscaux passant-lamer,et que je fus uni à toid’amour et de couchedans l’île de Cranaé ,
comme maintenant j’aime. toi
et un désir doux prend moi.Il dit donc ,
et il précédait allant vers le lit;or son épouse suivait en même temps;tous deux d’une part donc
se couchèrentdans les lits sculptés.
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Ëxôore xod u ù»: ’ ’ s " ’ ”, p. entonnent, nvnv sonxsv,51’175. aux”. écoouëvowt p.56 «imprimerai. nûment. a (.60
tu; Ëçat’ ’Arpeiô’qç- Ën’t 8’ fiveov aillai ,AZ’ILOt’.
Cependant le fils d’Atréc , semblable à une bête fauve, courait ça
et la , cherchant à découvrir a travers la foule Paris aux formes di-vines. Mais nul, ni des Troyens, ni de leurs illustres auxiliaires, neput alors indiquer Paris à Ménélas , ce héros si cher à Mars. Et pour-
tant. nul ne l’eût caché par affection, s’il l’eût aperçu; car tous le
tarissaient à l’égal de la sombre Parque. Le roi des hommes, Agamem-
non, fit alors entendre ces paroles :et Écoutez-moi, Troyens, Dardaniens et alliés : la victoire de Mé-
nélas cher a Mars est évidente; rendez donc Hélène l’Argienne, et
avec elle tous ses trésors , et payez une amende convenable , dont lesouvenir passe à la dernière postérité. v
Ainsi parla le fils d’Atrée; et tous les Achéens applaudirent.
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Tpâier, m Aipôavmàôè énixoupo; ’
vinai ne: En ÇŒÎVETŒt
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(mai: 61: èzôa’re
’E).Éw;v ’Apyeinv
mi WPÂlLITŒ étira dût?) ,
and àflOTt’VÉtLEV titrai; ,
buvez E0113):
fit: usinaimi p.516: àvôpdmorow
Ëaaolxévmo’w. n
’Aïpaiô-n; écura d’y;
2).).0L 8è ’Axaioî êmjveov.
Le fils-d’Atrée d’autre par!
allait à travers la foule ,ressemblant à une bête-féroce,
pour voir s’il aurait vu quelque partParis à-forme-divine;mais pas-un des Troyenset des auxiliaires illustresne pouvait alorsmontrer Parisà Ménélas cher-à-Mars.
Car certes ils ne le cachaient paspar amitié du moins,si quelqu’un l’eût vu;
car il était liai par eux tousà-l’égal-de la Parque noire.
Or Agamemnon roi des hommesaussi dit-parmi eux :
a Entendez-moi .Troyens et Dardanienset auxiliaires :la victoire certes est-évidemmentde (à) Ménélas cher-à-Mars;
vous donc rendezHélène l’Argienne
et ses possessions avec elle,et payez l’amende ,
laquelle il semble-bon ,et laquelle puisse-existermême chez les hommesdevant être.
Le fils-d’Atrée dit ainsi;
or les autres Achéens l’en louaient.
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NOTESson LE TROlSlÈME CHANT DE L’lLIADE.
Page 2 : 1. ’Avôpa’is: llvypzinmt. Les Pygmées, peuple fabuleux. (tout le nom a fait dire qu’ils n’avaient pas plus d’une coudée de haut.l On suppose que cette nation, qui, dans l’opinion des Grecs, avait ha-
bité la’l’hrace,n’est autre que celle (les Pérhmiens, en Éthiopie, dontle nom a aussi quelque analogie avec celui (les Pygmées, et qui étaient
, d’une petite taille. Les grues se retirant tous les hivers (lansleur pays,ce peuple s’asscmhlaiit pour leur faire pour et les mnpéchcr de séjour-ner dans leurs champs. De la cette comparaison d’Homcre.
Page S: l. M’a-m» En!) 1116371. Allusion au supplice (le la lapida-tion fort en usage chez les anciens. D’autres supposent que ixièmeZt’.(Î)*17.Illtâslfllt’illll! périphrase pour exprinn-r tout simplement tom-beau, Un sait que les Grecs construisaient leurs tombeaux en pierre.
Page tu: l. ’ 92:. lris. IIIchaginvr (les (lieux et en particulier (le Ju-. non. Pausanias fait dériver son nom de 592;. distante, parce que IrisF portait les lllt’hSllgi’s «le guerre, routine Mercure, les Illi’wsilgvh «le paix.k’ Page Il) : 1.241.167: tu) m2. Les portes (le la tille de Troie , près
desquelles se (routait le tombeau de Laonn’rilon.Page 2l : l. A2051. ’():oi,o: 7.7i ilôydmoz.f)lrée. roi (les Phrygicns,
fils du (lissée; tri-ru (le vagilon et d’llérulw, et [une de l’antliéc.-- 1’. 111’129920. Le Sqngnrius, fleure de Phrygie, qui se jette par
’ la Bithynie dans le l’ont-Iduxin.Page tu: l. ’t’rïl’nîi. Peuple «le femmes. Les auteurs ne sont pas
(l’accord sur le E)«l)’wtlll.t’lltîï habitaient. Un a prétendu que les Scythesvenusiles l’illllfl-dlt’ifll’ll’s et misant iles lilClll’sltHIx dans i’.’tsic-)liiururc,
onttlonné llt’ll a cette fable. (l’llllllll’ tous lt’a peuples lll)lll.’l les, ilsvnt-
menaient a lagmi-ru leurs enfants et leurs tommes; et, Comme celles-. ’ Ci se distinguaient par leur acliarnvinuzit dans la "pilée, l’imagination’ destines en il fait un". tullion du fournils chu, lusqlltlllœi IrishominesL l, étaient charges des soins (l1)lllt’NllIIllt’S, mimis que leurs épouses va-
quaient aux ollaires publiques et aux Sflllla (le la guerre.’ Page 132: l. Katanga... liai-Jaguar. Castor et Pollux, tous deux fils35 (le ’l’yndurc et du Léda Sf’lfnl Homère, étaient, par leur mère, frèresd’Hélénc, fille de Jupiter et (le Léda.ne Page i2 : t. A’IlJi’I’Iüi, Lycaon, fils de Priam et (le Laothoé , prisg, par Achille, vendu a Leinnos, fut racheté par l.élion , revint a lrorcI et retomba entre les mains (l’Achille, qui le tua.3C Page 56 : l. Rond-g. Cranué, aujourd’hui Mac-roumi, à peu desi" distance du cap Snnium (lape Gouine).’ On prétend que son nom lui vint ne la nature et de l’aspect sauvage
de son sol. Strabon (lit que dans la suite elle fut appelée Hélène en; mémoire de l’union d’llélcne et de Paris.r,
4.-A”?!
t, * ’il:
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