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1 madrigaux gospel spirituals classique folk songs Syracuse Beatles A capella À travers le temps, autour du monde NOVO GENERE direction JACKY LOCKS

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madrigaux • gospel • spirituals • classique folk songs • Syracuse • Beatles

A capellaÀ travers le temps, autour du monde

NOVO GENEREdirection

JACKY LOCKS

LE pROGRAmmE

1 Elijah rock Gospel anonyme, harm. Jester Hairston 2:12

2 Danny Boy Frederic Weatherly (1848 -1929), arrgt. P. Night & P. Lawson 3:35

3 Yesterday Paul Mc Cartney (né en 1942), harm. Bob Chilcott 2:48

4 Fair Phillis I Saw Sitting All Alone John Farmer (1570-1601) 1:32

5 Deep River Spiritual anonyme, harm. Jacky Locks 4:50

6 Syracuse Henri Salvador (1917-2008), harm. Jacky Locks 3:28

7 Il est bel et bon Pierre Passereau (?1509-1547) 1:22

8 Nachtlied Max Reger (1873-1916) 2:58

9 Time was Folk anonyme, harm. Jacky Locks 3:10

10 You’ve got to hide John Lennon (1940-1980), harm. Andrew Jackmann 2:22

11 Pater noster Nikolay Kedrov (1871-1940) 3’00

12 Neskatx’ ederra Xabier Sarasola (né en 1960) 3:40

13 Back in the USSR J. Lennon & P. Mac Cartney 2:33

14 Weep o mine eyes John Bennet (1575-1614) 2:40

15 Steal away Spiritual anonyme, harm. Jacky Locks 5:00

16 Dein Herzlein mild Johannes Brahms (1833-1897) 2:34

17 Go tell it anonyme, harm. Ken Burton 3:30 > minutage total : 52:15

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ENSEmbLE VOCAL

NOVO GENERESopranos

Sabrina Rouget, Marie-Thérèse Kalus/Winter, Mélanie Romer, Chloé Coulemon, Marie Foetz

MezzoAnne Victorion, Liliane Kuhnen

AltosCynthia Dreistadt, Sophie Leininger, Marie Marcillat

TénorsJacky Locks, Guillaume Gosley

BarytonsJean-Paul Faber, Jacques Emery

BassesFrançois Hoen, Philippe Goerig

direction

JACKY LOCKS

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A capellaÀ travers le temps, autour du monde

1. ELIJAH ROCKSi le Negro spiritual s’inspire surtout des récits de l’Ancien Testament et particulièrement de ceux où l’on voit Dieu libérer son peuple de l’esclavage ou de l’exil, le gospel song, « chant de l’évangile », est plus récent. Apparu dans les villes et s’inspirant davantage du Nouveau Testament dans lequel les Noirs puisent dorénavant leur espérance, le soutien, l’amitié et l’appel à la fraternité de Jésus succèdent, en s’y mêlant parfois, à l’invocation de Moïse libérateur de son peuple. Dans l’une des mélodies les plus célèbres du gospel, « Elijah rock », qui fait justement allusion à un épisode de la bible dans lequel Moïse frappe un rocher et fait jaillir de l’eau, porteuse de vie, on retrouve cette force, cet enthousiasme, cette jubilation caractéristiques de l’expression de la foi des Noirs.

2. DANNY BOYLes paroles écrites en 1910 par l’avocat anglais et parolier Frederick Weatherly pour une autre chanson ont été modifiées en 1913 par sa propre sœur pour les adapter au « Londonderry Air », hymne de la diaspora irlandaise, l’exode massif causé par la grande famine en Irlande au XIXème siècle. Interprétée par certains comme le message d’un parent à un fils parti à la guerre, la chanson est considérée comme un véritable hymne Irlandais, symbole d’un mouvement de plus de deux millions d’habitants vers d’autres pays anglophones, en quête de survie et de prospérité.(Soliste : Guillaume Gosley)

3. YESTERDAYTout commence par un rêve : celui de Paul Mc Cartney, éminent bassiste compositeur des Beatles. À son réveil, Paul se jette sur le piano et commence à jouer pour ne pas oublier cette mélodie si parfaite qui lui est venue dans son sommeil. Il racontera plus tard : « Tout était là : une chanson complète. Je ne pouvais pas y croire ! ». Il n’y croit d’ailleurs tellement pas, qu’il se demande s’il n’a pas

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inconsciemment plagié une chanson déjà existante. Mais le rêve devient très vite réalité. Parue sur l’album « Help ! » le 6 août 1965 au Royaume-Uni, cette chanson qui se démarque par sa tonalité triste tant dans les paroles que dans la musique, débouche sur un des plus gros succès musicaux du XXème siècle. C’est l’histoire d’un rêve avec une part de chance… Mais probablement aussi avec une grande part de talent !(Soliste : Cynthia Dreistadt)

4. FAIR PHYLLIS I SAW SITTING ALL ALONEUn madrigal considéré de nos jours comme étant l’œuvre la plus célèbre de John Farmer. Le poème raconte une charmante pastorale et le compositeur illustre de nombreux éléments du poème (anonyme) par des effets musicaux : la solitude de Phyllis, au premier vers, est figurée par les sopranos seules ; le troupeau des moutons par toutes les voix chantant ensemble et la recherche d’Amyntas par triple canon entre les trois voix supérieures… Tout ceci contribue à donner à ce madrigal une fraîcheur et une légèreté irrésistible.

5. DEEP RIVERChanson anonyme spirituelle d’origine Noire américaine, dont l’image du fleuve et de la traversée du Jourdain est évocatrice de la nostalgie de l’Afrique ancestrale et le témoin silencieux des douleurs d’un peuple réduit à l’esclavage, chantant sa peine et ses espoirs en une vie meilleure après la mort.(Soliste : Jean-Paul Faber)

6. SYRACUSENé le 18 juillet 1917 à Cayenne (Guyane), Henri Salvador fit ses adieux à la scène au Palais des Congrès à Paris en décembre 2007, au terme d’une carrière d’une longévité et d’un éclectisme exceptionnels. Considéré comme un monument de la chanson française et guitariste de jazz reconnu, ses chansons populaires restent fredonnées par des générations de français. Parmi celles-ci, « Syracuse » née d’une complicité avec le poète Bernard Dumey, chanson passée inaperçue qui se transforme en grand succès en 1964, grâce à Yves Montand qui accepte de la mettre à son répertoire, sur conseil de Simone Signoret.

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7. IL EST BEL ET BONSur Pierre Passereau, on ne sait pratiquement rien. Curé à Saint-Jacques-de-la-Boucherie à Paris, ses chansons ont été publiées par Pierre Attaingnant entre 1529 et 1555. « Il est bel et bon », chanson « parisienne » écrite dans le style de Clément Janequin l’a rendu célèbre en son temps à Venise, mais aussi à travers les siècles, puisqu’elle figure encore très souvent au répertoire des chorales d’amateurs et de professionnels. Si la popularité des chansons de Passereau est probablement due à leur rythme entraînant et à leurs thèmes, elle est aussi le fruit de l’utilisation d’un langage très populaire.

8. NACHTLIEDChant nocturne composé en 1914 sur un poème de Petrus Herbert (mort en 1591), par Max Reger, compositeur allemand , musicien exceptionnellement doué, pédagogue éminemment respecté et maître de l’écriture polyphonique et harmonique, qui a perpétué la tradition classique et romantique. « Nachtlied » est une prière implorant la protection divine pendant le sommeil. Une composition au trait dense, dans laquelle chaque note est investie d’un poids. Des articulations et nuances parsèment le moindre mot dans un souci constant d’expressivité et le ton s’intensifie jusqu’au point culminant, sur le mot « Schutzherr » (« protecteur »), avant que se réinstalle la paix nocturne.

9. TIME WASLe folklore des irlandais, c’est l’histoire de leur pays, chantée et mise en scène, avec des facettes riches et variées, un concentré de la vie de tout un peuple qui réunit le passé et le présent et se grave dans la mémoire, bien mieux que tous les livres d’école. Si des chansons rebelles racontent le vieux conflit avec l’Angleterre, des polkas fabuleuses débordent de joie de vivre, des chansons à boire plutôt dévergondées constituent le cœur de ce riche folklore, « Time was », une balade d’amour qui exprime la nostalgie du pays contribue à faire de la musique irlandaise, l’une des musiques traditionnelles les plus vivantes dans le monde.

10. YOU’VE GOT TO HIDE YOUR LOVE AWAYChanson des Beatles, parue le 6 août 1965 au Royaume-Uni sur l’album « Help ! », suite à son inclusion dans le film du même nom . Entièrement écrite par John Lennon, elle s’inspire, tant pour les paroles que pour la musique, du style de Bob Dylan, pour qui John Lennon porte alors une

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grande admiration. Elle raconte l’histoire d’un homme angoissé et suspicieux, qui sent que tout le monde se moque de lui à cause d’un amour qu’il cache. Essentiellement acoustique et intimiste, ce morceau a surtout été, pour John, une de ses premières chansons « autobiographiques » avec lesquelles il trouvait enfin un moyen de mettre des mots sur ses angoisses.

11. PATER NOSTERNicolas Kedroff (père), né en 1871 à Saint-Pétersbourg, aîné d’une famille sacerdotale, choisit néanmoins la carrière musicale. Membre fondateur du célèbre quatuor qui porte son nom et dont le répertoire était essentiellement constitué d’airs d’opéras et de romances, il fait prendre à sa formation, jusque-là inédite en Russie, une nouvelle orientation : le répertoire liturgique, inspiré des épreuves traversées par lui-même et sa famille durant la révolution et la guerre civile qui les ont obligés en 1923, à émigrer successivement à Berlin et à Paris. Parmi ses compositions, on lui doit notamment le célèbre « Notre Père » qui a dépassé les frontières de l’Orthodoxie et est entrée aujourd’hui dans le répertoire de nombreux ensembles vocaux.

12. NESKATX’EDERRALes occasions de chanter ne manquent pas en Pays Basque. Dans l’intimité familiale, la camaraderie, les ambiances festives, nombreux sont les moments de vie célébrés ou vécus au travers du chant. Même dans ses formes les plus contemporaines, le chant basque continue de nous raconter et de nous rappeler notre histoire. Cependant, les chansons qui restent dans la mémoire collective sont celles qui allient au mieux la beauté du texte à celle de la musique. « Neskatx’ederra », composée en 2003 par Xabier Sarasola en est une illustration parfaite.

13. BACK IN THE USSRLors de leur stage de méditation en Inde, les BEATLES côtoient d’autres artistes en vogue, dont Mike Love des Beach Boys, qui fait remarquer un jour à Paul Mc Cartney qu’il serait plutôt amusant de faire une version soviétique de « Back in the U.S.A. ». Mc Cartney suit finalement son conseil et écrit « Back in the USSR ». Dans cette chanson, il raconte à la première personne l’histoire d’un homme qui rentre en URSS. à bord d’un avion de la compagnie aérienne BOAC, en provenance de Miami Beach. Il évoque la beauté des femmes soviétiques, le son du balalaïka et le plaisir de revenir sur sa terre natale. Un titre qui finit par déclencher rapidement l’hostilité des milieux conservateurs américains qui voient là une preuve de propagande communiste par le groupe.

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14. WEEP O MINE EYESCompositeur de la Renaissance, membre de l’Ecole anglaise de madrigal, un groupe de compositeurs qui ont participé à l’intense développement de ce genre musical en Angleterre entre 1588 et 1627, John Bennet publie en 1599 un recueil de 17 pièces Madrigals to Four Voices, parmi lesquelles la lamentation « Weep o mine eyes » qui rend hommage à son contemporain John Dowland et à sa célèbre pièce « Flow my tears », qui constitue l’un grands succès du XVIIème siècle, ponctué par un sentiment de mélancolie très présent dans la musique de cette époque.

15. STEAL AWAYArrachés de leur terre puis débarqués comme du bétail sur le sol américain, les esclaves noirs exploités dans des champs de coton n’avaient qu’une seule liberté : chanter, pendant qu’ils travaillaient. Ces « worksongs », qui leur permettaient de communiquer entre eux sans que leurs maîtres s’en aperçoivent, leur permettaient de s’encourager mutuellement en reprenant des cantiques tels des messages codés, qui leur redonnaient un peu d’espoir et parmi lesquels le célèbre « Steal away » : « Je ne resterai pas longtemps ici » (dans les champs de coton).(Solistes : Jean-Paul Faber et François Hoen)

16. DEIN HERZLEIN MILDJohannes Brahms est un poète romantique modulant sur la force qu’est l’amour et les mystères de l’Humain. Les chants d’amour Brahmsien touchent et déchirent le cœur humain. En effet, Brahms ne se contente pas d’un thème amoureux et passionné : il fera en sorte de faire chanter la détresse par la dramaturgie, le bonheur par l’harmonie, l’obsession par le thème et la volupté par la mélodie. La force et la difficulté des sentiments humains est traduite par des œuvres riches et très denses mêlant des harmonies très complexes. « Dein Herzlein mild » s’inscrit également dans cette tradition dans laquelle la nature inspire et transporte le compositeur.

17. GO TELL IT ON THE MOUNTAINTelle une jubilation naïve pour le temps de Noël, ce chant anonyme annonce la liberté pour les esclaves de pratiquer leur foi et marque tout en gaieté les débuts d’un gospel issu du Nord des Etats-Unis au début du XXème siècle, inspiré du Nouveau Testament et empreint de rythme et de solennité.

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L’ENSEmbLE VOCAL NOVO GENERE

C’est en 2006 que naquit à Faulquemont (Moselle) l’ensemble Novo Genere, sous l’impulsion de Jacky Locks. En s’entourant de seize choristes, musiciens de métier ou amateurs éclairés, son objectif était de pouvoir interpréter a cappella un répertoire musical aussi varié qu’inépuisable, source infinie de plaisir et de pureté musicale. La solide formation vocale de tous les membres de Novo Genere permet à l’ensemble d’explorer aussi bien la musique ancienne (comme en témoignent ici les deux madrigaux anglais ou encore le célèbre « tube » de Passereau) que la musique romantique, illustrée ici par Brahms puis Reger, en passant par les « standards » des gospels et des spirituals, conduisant tout naturellement à notre époque contemporaine. En effet, quel purisme conduirait à bouder ce que l’on appelle « la variété » (mais qu’était un Passereau en son époque ?) lorsqu’elle prend les formes subtiles de « Syracuse » de Henri Salvador ou encore de nombreux titres des Beatles qui trouvent ici un nouvel éclairage du fait de leur interprétation strictement a cappella et avec bon nombre d’harmonisations et arrangements réalisés par Jacky Locks ce qui est en propre la « signature » de Novo Genere.

JACKY LOCKS

Pour aussi paradoxal que cela puisse paraître, peu d’artistes se montrent aussi rétifs au jeu de la biographie que Jacky Locks. Rien de plus ardu, en effet, que de soutirer les éléments d’un curriculum vitae à cet incomparable batteur d’estrade, capable d’affronter avec brio et extraversion les milliers de choristes qu’il réunit régulièrement, mais pudique à l’extrême lorsqu’il s’agit d’évoquer son parcours et les émotions artistiques qui en firent ce chef de chœur hors normes. On ne sera pas vraiment étonné d’apprendre qu’une de ses premières émotions musicale, à l’âge de douze ans, devait être « l’Adagio d’Albinoni », génial pastiche (car composé en réalité en 1945 par le musicologue italien Remo Giazotto), que le jeune Jacky, malgré un bagage théorique encore bien léger – six mois de solfège - s’empressa d’arranger pour chœur tant le thème principal avec ses descentes mélodiques poignantes et comme survolées par des réponses en écho, lui semblaient destinées autant aux voix qu’aux instruments. L’arrangeur – dérangeur (dans le bon sens du terme)

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perçait déjà sous le jeune élève de l’école de musique de Merlebach où un certain M Deroubaix, professeur de formation musicale, lui apprenait « à mettre du sens sur chaque note ». Vint ensuite le temps des études supérieures et de la Faculté de Musique de Strasbourg et de la rencontre avec Pierre Cao dont il devint l’élève en direction chorale et d’orchestre : « le regarder, l’écouter, chanter dans son chœur « la Psallette de Lorraine », travailler la direction avec lui, être l’un de ses amis, fut de toutes façons déterminant - reconnaît-il aujourd’hui encore - et c’est là que j’ai réellement appris ce dont j’avais depuis bien longtemps le pressentiment et l’envie, lorsqu’à l’âge de 14 ans je mobilisais déjà les copains du chœur de jeunes pour expérimenter et sculpter mes petites harmonisations ».

… De là à en arriver à devenir le grand animateur du festival « Les fous chantants d’Alès » dont il assure la direction artistique depuis 2002 ou encore le rassembleur des « 500 choristes » (qui deviendraient 2000 quelques années plus tard avec la bénédiction de la Région Lorraine et de son président dont Jacky Locks est le conseiller), il y a un grand écart nourri par l’admiration qu’il porte à la diversité ses maîtres à penser ; et s’il dirige avec bonheur le Requiem de Mozart, le Messie de Haendel ou encore l’Oratorio de Noël de Bach, jamais Jacky Locks ne s’interdira pour autant d’inviter en son Panthéon personnel le Golden Gate Quartet, Pink Floyd, Goldman, Cabrel, William Sheller ou encore I Muvrini : « L’éclectisme est pour moi une qualité naturelle enrichissante et la bonne chanson, qu’elle soit actuelle ou non, a toujours été un art à part entière ».Le présent enregistrement en est le vivant témoignage.

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La Moselle et «Le Couvent» de Saint Ulrich

Qu’un Centre de ressources consacré aux musiques baroques de l’Amérique latine ait vu le jour en Moselle et rayonne au-delà des frontières et des océans, ne laisse point de surprendre. On peut y voir l’un des signes, nombreux, d’un engagement du Conseil Général aux côtés des initiatives les plus originales, pourvu qu’elles soient fécondes et porteuses d’ouverture vers de nouveaux horizons culturels.

Cette initiative innovante, que vient prolonger l’activité éditoriale discographique de K617, parti-cipe ainsi à une démarche plus large de développement culturel bénéficiant de l’attention perma-nente de notre Assemblée.

Il suffit ici de rappeler les actions menées pour la mise en valeur du patrimoine musical dans le département, l’accompagnement fidèle des amateurs regroupés en sociétés de musique, des ensembles instrumentaux professionnels ainsi que des festivals, sans omettre enfin les écoles de musique qui ont un rôle prépondérant dans la formation des jeunes musiciens.

Puisse « Le Couvent », Centre International des Chemins du Baroque de Saint Ulrich, poursuivre son développement dans un environnement aujourd’hui en pleine mutation et en plein épanouisse-ment, avec le musée de Sarrebourg, le site archéologique de la villa gallo-romaine de Saint Ulrich, le Festival international de musique…

« Le Couvent », porté par une société d’économie mixte innovante née de l’initiative du Conseil Général de la Moselle et de la Ville de Sarrebourg, rassemblant désormais le Centre International des Chemins du Baroque et le Label discographique K617, est aujourd’hui un véritable site culturel, riche de projets et promis au plus bel avenir.

Le Conseil Général de la Moselle est fier de son engagement aux côtés de ceux qui font et feront de ce lieu, un terrain de découvertes et de rencontres, un espace de développement artistique et culturel.