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Etape 2 bis- Version révisée après demande du CS en étape 2 du 8 juin 2007 M.A.E., F.S.P. « Sud-Expert-Plantes » Composante 3 : « Projets de recherche » FICHE RÉSUMÉ Réservé au Secrétariat exécutif Numéro Recevab le Signatu re Avis CR SCAC Avis Expert 1 Avis Final K€ Avis CS K€ Rapporteur Avis Expert 2 Avis Dossier 393 Titre court Forêts denses de Centrafrique Titre comple t Déterminants anthropiques de la biodiversité végétale des forêts denses de Centrafrique : approche ethnoécologique Thème Usage, politiques et gouvernance des ressources naturelles Mots clés Enquête, ethnologie, phytoécologie, forêt dense, savoirs traditionnels, Pygmées. Région( s) Afrique centrale Pays Centrafrique Coordina teur Dr. Olga Diane YONGO Institut ion Faculté des Sciences. Université de Bangui. Courriel [email protected] Télépho ne +(236) 05 10 94 % temps 10 0 Page 1 sur 62

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Etape 2 bis- Version révisée après demande du CS en étape 2 du 8 juin 2007

M.A.E., F.S.P. « Sud-Expert-Plantes »Composante 3 : « Projets de recherche »

FICHE RÉSUMÉ

Réservé au Secrétariat exécutifNuméro Recevable Signature Avis CR SCAC Avis Expert 1 Avis

Final K€ Avis CS K€ Rapporteur Avis Expert 2 Avis

N° Dossier 393

Titre court Forêts denses de Centrafrique

Titre complet

Déterminants anthropiques de la biodiversité végétale des forêts denses de Centrafrique : approche ethnoécologique

Thème Usage, politiques et gouvernance des ressources naturellesMots clés Enquête, ethnologie, phytoécologie, forêt dense, savoirs traditionnels, Pygmées.

Région(s) Afrique centrale Pays Centrafrique

Coordinateur Dr. Olga Diane YONGOInstitution Faculté des Sciences. Université de Bangui.Courriel [email protected] Téléphone +(236) 05 10 94 % temps 100

Equipes Pays Nb chercheurs & enseignants

Total chercheurs &

enseig. cherch. en équivalent temps plein

Nb d’ingénieurs &

techniciens

Nb étudiants en Master

Nb étudiants en Thèse

1 Centrafrique 2 0,6 0 2 22 France (Amiens) 2 0,4 0 2 03 France (Lille) 1 0,3 0 0 0

(inscrire en 1 l’équipe du coordinateur ; ajouter autant de lignes que nécessaire)

Budget total (€) Contribution SEP Autres financements57 052,17 30 000 27 052,17

Utilisation de la contribution SEP (€)Total Salaires Bourses Equipement Missions

terrainAutres

missionsFonctionnement

hors missions

30 000 1 920 4 900 11 480 8 700 3 000

Durée (années) 3 (maximum 3 ans)

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Noms des autres personnes impliquées dans ce projet

Mr, Mme

Nom Prénom Institution & Laboratoire Statut1 Courriel % temps

Mr BALIGUINI Joseph Université de Bangui. Département d’anthropologie.

Enseignant-chercheur titulaire

[email protected] 10

Mr DECOCQ Guillaume Université de Picardie Jules Verne. Laboratoire de biodiversité végétale et fongique.

Enseignant-chercheur titulaire

[email protected]

10

Mr de FOUCAULT Bruno Université de Lille 2. Laboratoire de Botanique et Cryptogamie.

Enseignant-chercheur titulaire

[email protected]

30

Mme CLOSSET-KOPP Déborah Université de Picardie Jules Verne. Laboratoire de biodiversité végétale et fongique.

Enseignant-chercheur titulaire

[email protected]

30

Mr BÉINA Denis Université de Bangui. CERPHAMETA.

Étudiant en thèse [email protected] 20

Mr KOSH-KOMBA Ephrèm Université de Bangui. CERPHAMETA.

Étudiant en thèse [email protected] 40

Mme SALAMATÉ Francine Université de Bangui. Faculté des Sciences.

Étudiante en master [email protected] 50

Mr TOUCKIA GORGON

Igor Université de Bangui. Faculté des Sciences.

Étudiant en master [email protected] 50

Mr SIGUIGUI Bernard Para-taxonomiste 30

1 Indiquer le statut, parmi la liste suivante : Chercheur titulaire Enseignant-chercheur titulaire Ingénieur ou technicien titulaire Chercheur en vacation, CDD ou post-doc Enseignant-chercheur en vacation, CDD ou post-doc Ingénieur ou technicien en vacation ou CDD Etudiant en thèse Etudiant en Master

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Noms des autres personnes impliquées dans ce projet (suite)

Mr BÉKA Joseph Para-taxonomiste 30

Mr POUBANDA NDOMORO

David Para-taxonomiste 30

(Insérer autant de lignes que nécessaire)

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DESCRIPTION

1. Contexte et justificationLes forêts tropicales humides sont les écosystèmes forestiers les plus complexes et les plus

diversifiés de la planète (Puig, 2001), au point qu’un nombre important d’entre-elles fait partie des « points chauds » de la biodiversité mondiale et constitue une priorité en matière de conservation de la nature (Myers et al., 2000). Certaines de ces forêts sont encore parfois présentées comme des forêts « vierges », c’est-à-dire non significativement influencées par l’homme, puisque seules des « sociétés primitives » y vivent. Selon la trilogie fondamentale des relations entre l’homme et son environnement naturel, ces sociétés appartiennent à la « civilisation de la Silva » (Kuhnholtz-Lordat, 1938) et développent surtout une économie reposant sur la chasse, la pêche et la cueillette, ce qui est associé à une certaine nomadicité. Du fait du caractère très extensif de ces activités, ce type de civilisation est supposé avoir un impact négligeable sur les écosystèmes et, donc, sur la biodiversité (de Foucault, 1990). D’un strict point de vue écologique, c’est ce qui le différencierait des sociétés de pasteurs (civilisation du Saltus) et d’agriculteurs (civilisation de l’Ager), pour lesquelles l’impact des activités socio-économiques et culturelles sur le milieu « naturel » n’est plus à démontrer. Mais cette hypothèse n’a jamais été testée à ce jour et a été récemment controversée (Decocq, 2006a). En effet, même un mode de vie nomade implique la création de campements, voire de villages plus ou moins temporaires, de clairières artificielles, etc. Ces activités peuvent avoir des impacts locaux sur le milieu, e.g. tassement du sol, feux de camp, défrichement, enrichissement en matières organiques, et donc, modifier durablement la végétation en place. Cet impact peut encore être amplifié lorsque ces pratiques s’accompagnent d’autres, empruntées aux civilisations du Saltus (e.g. petits troupeaux nomades d’animaux domestiques) ou de l’Ager (e.g. culture de plantes utiles dans l’environnement immédiat du village). C’est le cas, en particulier, de sociétés nomades développant des relations économiques avec des sociétés sédentaires, établies dans ou hors de la forêt.

Replacée dans un contexte historique -voire préhistorique-, les interactions continues entre sociétés humaines nomades de chasseurs-pêcheurs-cueilleurs et leur environnement naturel amènent à s’interroger sur la place des facteurs humains parmi les déterminants du fonctionnement des écosystèmes forestiers réputés « primaires » et de la biodiversité qu’ils hébergent. Cette question a déjà été abordée à l’échelle du paysage, par exemple pour expliquer l’origine des savanes incluses dans une matrice forestière ou, inversement, pour expliquer l’origine des îlots forestiers dans les savanes (Fairhead & Leach, 1996). Elle a également été abordée à l’échelle des espèces, à travers de nombreux travaux d’ethnobotanique ou d’ethnozoologie, qu’il serait trop long d’énumérer ici (pour une synthèse récente des connaissances ethnobotaniques en Afrique, voir Dounias, 2000). En revanche, l’échelle intermédiaire de l’écosystème et, donc, de la communauté végétale, n’a été que rarement explorée, spécialement en Afrique tropicale. Pourtant, des données récentes sont venues suggérer un rôle non négligeable des activités humaines du passé sur la biodiversité actuelle des forêts tropicales (van Gemerden et al., 2003). C’est le mythe de la forêt « vierge » qui s’émiette au fur et à mesure de l’accumulation des connaissances archéologiques dans les pays des régions tropicales (Willis et al., 2004). Pour prendre un exemple parmi les plus remarquables, Campbell et al. (2006) ont montré qu’au sein de la forêt guatemaltaise, la diversité des communautés végétales forestières et leur agencement spatial était principalement déterminé par l’histoire de la civilisation Maya, qui allait jusqu’à pratiquer certaines formes de sylviculture en forêt. D’une manière générale, ce sont surtout les impacts négatifs des sociétés humaines sur la biodiversité qui ont été étudiés (élimination d’espèces, destruction d’habitats, etc.), les impacts « positifs » étant beaucoup plus timidement reconnus (augmentation de la productivité de certains habitats, accroissement de l’hétérogénéité, etc.) (Balée & Erickson, 2006).

Dans le cas particulier des forêts tropicales africaines qui, contrairement à leurs homologues américains, asiatiques ou océaniens, ne sont pas soumis aux cyclones, aux incendies ou aux éruptions volcaniques, les perturbations naturelles sont quasiment limitées aux chablis. Ce sont elles qui sont mises en avant pour expliquer la haute biodiversité des forêts du Bassin du Congo. Pourtant, ces forêts ne font

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pas exception ; il est désormais admis que nombre d’entre elles ont été le siège d’une activité humaine relativement intense : villages, cultures sur brûlis, pâturage extensif occupaient l’espace il y a 3 000 et jusqu’à il y a 1 600 ans, espace aujourd’hui occupé par la forêt « vierge » (Weber et al., 2001). Ce que nous prenions hier comme une forêt primaire, doit aujourd’hui être considérée comme une vieille forêt secondaire (van Gemerden et al., 2003 ; Willis et al., 2004) et en l’absence de perturbations naturelles de type catastrophique, il faut s’attendre à ce que les pratiques humaines historiques et préhistoriques soient un déterminant de la végétation actuelle encore plus important que dans le cas des forêts néotropicales.

Si l’impact des activités humaines du passé sur la végétation forestière actuelle commence a être bien documenté pour les régions tempérées (Decocq, 2006b) et néotropicales (Balée & Erickson, 2006), il n’en est pas de même pour les forêts afrotropicales, pour lesquelles les approches historiques et écologiques restent largement deconnectées. L’irréversibilité des altérations anthropogènes suggérées pour les forêts tempérées (Dupouey et al., 2002) et néotropicales (Campbell et al., 2006) mérite d’être examinée dans le cas des forêts afrotropicales, dans la mesure où leur extraordinaire capacité de résilience vient changer la donne. Il est en effet essentiel de comprendre tous les déterminants de la biodiversité végétale actuelle pour ces écosystèmes, qui figurent parmi les plus menacés de la planète, afin de fournir les bases d’un aménagement et d’une gestion durables, respectueux des sociétés humaines qui en dépendent.

2. ObjectifsL’objectif principal du travail est d’analyser la flore et la végétation de certains secteurs forestiers

plus ou moins anciennement influencés par l’homme et aujourd’hui occupés par la forêt dense semi-décidue. Il s’agit de tester l’hypothèse nulle d’une absence d’impact de l’homme sur la végétation dans le cas d’une civilisation de la Silva, c’est-à-dire que les capacités de résilience des écosystèmes forestiers du secteur étudié sont suffisantes pour que ces derniers se reconstituent à l’identique une fois que l’homme y a cessé ses activités. Plus spécifiquement, l’étude vise à apprécier la durabilité des modifications du complexe sol-végétation induites par un habitat humain en système de forêt dense semi-décidue et ses conséquences sur la biodiversité végétale.

Les objectifs opérationnels visés sont les suivants :- réaliser une typologie des principales communautés végétales forestières présentes dans les

secteurs étudiés- contribuer à une meilleure connaissance de la flore vasculaire de cette région et enrichir

l’herbarium national de RCA- analyser l’influence des processus d’exploitation de l’espace et des ressources naturelles par

les Pygmées sur la répartition et la dynamique des communautés végétales- préciser le degré d’anthropisation des communautés végétales et, au-delà, dégager des

indicateurs de perturbations anthropiques.

3. RésuméLes forêts denses du Bassin du Congo sont considérées comme un « point chaud » de la

biodiversité mondiale, en raison de leur caractère supposé « primaire ». Pourtant, ces forêts restent parmi les plus mal connues à l’échelle planétaire et, en même temps, parmi les plus menacées. Ces menaces pèsent non seulement sur la forêt elle-même et les espèces qu’elles renferment, mais aussi sur les sociétés indigènes (essentiellement des Pygmées) et leur savoir traditionnel.

Dans ce contexte, nous avons construit un projet de recherches visant à mieux connaître les relations homme-forêt et leurs conséquences sur la biodiversité végétale, à l’échelle écosystémique, sur un secteur de forêt dense semi-décidue de République de Centrafrique. Plus précisément, nous cherchons à répondre aux deux questions de recherche suivantes : 1) Comment le mode de vie et les activités des Pygmées (ethnie Aka) influencent-ils la composition floristique et la répartition dans l’espace des

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communautés végétales ? 2) La forêt est-elle suffisamment résiliente vis-à-vis de ces influences pour restaurer sa composition initiale une fois désaffectée par l’homme ou conserve-t-elle l’empreinte des activités humaines du passé ?

Pour satisfaire ces objectifs, nous adopterons une approche croisant les concepts et techniques issus de la phytosociologie, de l’ethnoécologie et de l’écologie historique. Nous combinerons une enquête ethnologique auprès des populations indigènes à une analyse phytoécologique des écosystèmes forestiers. L’enquête ethnologique s’appuiera sur questionnaires relatifs à l’utilisation des ressources naturelles et sur des entretiens semi-directifs afin de préciser le mode de vie des indigènes, leurs rapports à la forêt et leur stratégie d’exploitation de l’espace. Toutes les plantes utilisées seront identifiées en vue de la constitution d’une base de données ethnobotaniques. L’analyse phytoécologique reposera sur un échantillonnage stratifié apparié, visant à comparer les communautés végétales et le biotope entre des zones d’occupation humaine plus ou moins anciennes (campements, villages) et des zones forestières « vierges » (i.e., n’ayant été ni habitées, ni cultivées d’après les données archéologiques et les enquêtes de terrain). Les analyses statistiques combineront des méthodes exploratoires multidimensionnelles pour l’étude des communautés végétales et des méthodes géostatistiques sous système d’information géographique (SIG) pour l’analyse de l’occupation de l’espace.

D’un point de vue fondamental, une meilleure compréhension des relations que les sociétés indigènes entretiennent avec leur environnement est attendue, ainsi qu’une meilleure connaissance de la flore et de la végétation. L’importance des facteurs anthropiques dans le déterminisme de la biodiversité des forêts denses tropicales à l’échelle écosystémique devrait être éclaircie. D’un point de vue appliqué, une base de données ethnobotaniques sera élaborée, permettant de synthétiser des connaissances jusque-là orales et transmises de manière traditionnelle, et de compléter les données ethnobotaniques déjà disponibles pour la RCA. L’herbarium national de RCA pourra être enrichi de nouveaux échantillons (voire de nouvelles espèces), de même que d’autres herbiers localisés en France et en Belgique. Des recommandations sur l’aménagement durable de la forêt dense et la gestion intégrée des ressources naturelles pourront être dérivées.

4. MéthodologieSituée à l’interface des sciences écologiques et des sciences humaines, ce sujet de recherche

impose une approche résolument transdisciplinaire. Nous avons donc choisi de combiner des concepts et techniques issu de trois disciplines : la phytosociologie, l’ethnoécologie et l’écologie historique. De la phytosociologie, nous tirerons les techniques d’étude de la végétation sur le terrain et les méthodes d’analyse interprétative (analyses statistiques exploratoires multidimensionnelles des données recueillies sur le terrain, les communautés végétales étant les variables à expliquer et les facteurs physiques et humains étant les variables explicatives). De l’éthnoécologie, nous retiendrons les techniques d’enquête auprès des populations indigènes et les nombreux acquis en matière d’ethnobotanique pour l’aire d’étude considérée. Il ne s’agit pas ici d’analyser les fondements écologiques des pratiques sociales, mais plutôt d’appréhender les fondements sociaux des pratiques écologiques, donc les interactions et changements sous-jacents. Enfin, à l’écologie historique, nous emprunterons la démarche d’une reconstitution de l’évolution de la végétation forestière en fonction de la dynamique historique des pratiques humaines ; il s’agit surtout d’une mise en perspective historique, plutôt que d’une reconstitution archéologique.

Cette recherche est centrée sur l’écosystème forestier et la biodiversité végétale (flore vasculaire) qu’il héberge, l’homme étant considéré comme une « espèce-clé » de cet écosystème et comme un mécanisme susceptible d’en expliquer la dynamique. En aucun cas, il ne s’agit d’une étude ethnologique ou anthropologique des rapports des Pygmées à leur environnement ou de la manière dont l’environnement naturel influence leur développement culturel.

Aire d’étudeL’étude se déroulera dans la partie sud-ouest de la République de Centrafrique, qui appartient au

secteur de la forêt dense semi-décidue. Cette forêt est habitée par plusieurs tribus de Pygmées, dont le

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mode de vie s’apparente à celui des civilisations de la Silva. Les investigations de terrain se dérouleront dans les forêts de Mokinda, de Ngotto et de Loko. Ce choix a été guidé par les données déjà disponibles concernant l’ethnographie des Pygmées (Bahuchet & Guillaume, 1979 ; Encyclopédie des Pygmées Aka), l’archéologie locale (synthèse dans Gotilogue, 2000) et la botanique (Yongo, 2002).

Travaux de terrainLa méthode reposera sur une approche résolument empirique et prospective, qui combine une

enquête ethnologique à une analyse phytoécologique et dynamique de la flore et de la végétation (Decocq, 2006a).

L’étude ethnologique visera à comprendre les relations existant entre l’homme et le milieu naturel : quelles utilisations et dans quel but ? L’accent sera mis sur les plantes « utiles » récoltées dans la forêt (e.g. plantes alimentaires, plantes médicinales, plantes artisanales) en s’attachant à décrire les modalités de la récolte et de la préparation. Pour chaque « morphotaxon », plusieurs échantillons seront récoltés pour identification botanique ultérieure et mise en herbier, et une fiche descriptive sera remplie, qui comportera les renseignements suivants : nom scientifique, nom vernaculaire, type biologique, type morphologique, type de fruit, état phénologique, type de station, localisation GPS, date.

L’introduction volontaire de plantes « cultivées » en forêt sera recherchée (e.g. plantes alimentaires, plantes ornementales, plantes symboles). Les activités autres que la cueillette seront également étudiées (e.g. cultures vivrières, élevage) dès lors qu’elles sont susceptibles d’avoir un impact sur le milieu naturel. Les modalités de l’aménagement du territoire seront analysées et cartographiés : implantation des campements et villages (incl. critères de choix du site, densité des habitations, matériaux de construction, occupation de l’espace, etc.), territoires de chasse-pêche-cueillette, éventuellement zones de cultures et/ou de pacage, etc. Enfin, la dynamique spatiale et temporelle de ces aménagements sera reconstituée (e.g. temps de séjour moyen dans un site, rayon d’influence d’un village, longueur des déplacements pour implanter un nouvel habitat).

Deux fiches de questionnaires ont été établies, l’une sur les usages des plantes, l’autre sur l’aménagement du territoire. Pour chaque village ou tribu, ces deux fiches seront remplies par l’investigateur principal (OY) lors d’une interview personnalisée, qui ciblera en priorité le chef du village et le tradipraticien (personne dépositaire de la capacité à soigner). Les entretiens semi-directifs concerneront un échantillon élargi de la population et représentatif des différents statuts. Ils auront une durée d’au moins 10 minutes et seront enregistrées à l’aide d’un dictaphone sur le terrain ; les enregistrements seront analysés ultérieurement en laboratoire.

L’analyse phytoécologique reposera sur un plan d’échantillonnage établi en fonction des résultats de l’enquête ethnologique. Celui-ci inclura prioritairement des anciens habitats, dont l’âge aura préalablement été déterminé grâce aux interrogatoires et, éventuellement, par des mesures dendrochronologiques complémentaires. Le principe est d’établir une chronoséquence régressive, partant d’habitats actuels pour remonter le temps vers des habitats de plus en plus anciens. Pour chaque site inclus seront réalisés : 1) Un relevé phytosociologique centré sur la zone habitée (1 500 m2 pour les synusies arborescentes, 1 000 m2 pour les synusies arbustives, 400 m2 pour les synusies herbacées), 2) un inventaire floristique itinérant complémentaire de manière à compiler l’ensemble de la flore occupant le site, 3) des mesures de la structure forestière au sein de la placette de 1 500 m2 (mesure des tiges de dbh ≥ 5 cm : nombre, diamètre, hauteur), 4) des mesures de variables environnementales : compacité du sol, luminosité, prélèvement d’un échantillon composite de sol. Une parcelle « témoin » sera ensuite choisie aléatoirement dans la matrice forestière environnante, à proximité directe du site dans les mêmes conditions topographiques, édaphiques et microclimatiques, mais en dehors de tout contexte archéologique et en évitant des zones trop récemment perturbées (Decocq, 2004). Sur cette parcelle témoin, les mêmes mesures que précédemment seront réalisées, sur les mêmes surfaces.

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Analyse des donnéesA l’issue des travaux de terrain et de laboratoire, une liste d’observations appariées (anciens

habitats versus sites témoins) sera disponible et soumises aux analyses statistiques. Celles-ci viseront 1) à quantifier et à caractériser les différences floristiques entre les deux types de situations (comparaison sur séries appariées, classification hiérarchique, ordination) ; 2) à reconstituer les différentes étapes de la régénération forestière après désaffection d’un habitat humain.

Les données phytoécologiques seront croisées avec les données ethnologiques, de manière à dégager un modèle des relations homme-forêts dans le cas des Pygmées, intégrant la dynamique spatio-temporelle de la végétation et celle de la civilisation qui y est attachée. Ce modèle sera confronté aux modèles existant sur l’agencement de la biodiversité à différentes échelles d’espace et de temps au sein d’un paysage forestier (e.g. Condit et al., 2002 ; Mouquet et al., 2003), de manière à faire ressortir le rôle de l’homme dans la biodiversité de la forêt tropicale étudiée. Parallèlement, une base de données ethnobotanique des plantes utilisées par les indigènes sera constituée, comprenant l’identification botanique (genre, espèce, famille selon APG II, référence des échantillons d’herbier), les noms vernaculaires, les utilisations avec, pour chacune d’elles, un descriptif des parties utilisées et du mode de préparation, les éventuelles propriétés attribuées, ainsi que toute autre information jugée pertinente qui aura été collectée sur le terrain.

Dans la mesure du possible, nous construirons des cartes numériques destinées à être intégrées à un système d’information géographique (SIG) couplé à une base de données, qui intégreront les données écologiques et humaines tout en les spatialisant. Ceci sera éventuellement supplémenté par des analyses géostatistiques, visant à quantifier la dépendance spatiale entre les activités humaines en forêt et les communautés végétales.

5. ActivitésLe présent programme de recherches est prévu pour une durée de 3 ans, soit 6 semestres

numérotés de S1 à S6 ci-après. D’un point de vue opérationnel, ce projet est organisé en 8 activités.

1) Pré-étude bibliographique (S1)À partir des rapports d’études, des mémoires d’ingénieur et de techniciens, des cartes, des archives

et de divers entretiens avec la population, nous recueillerons le maximum d’informations possible sur les sites étudiés, notamment sur la géographie, la géologie, la pédologie, l’hydrographie, la flore, la climatologie, l’archéologie, les activités humaines qui s’y déroulent et, bien sûr, sur leur histoire. En collaboration avec l’équipe d’archéologie de l’Université de Bangui, des sites d’intérêt archéologique en pleine forêt pourront être sélectionnés.

Des réunions seront organisées pour informer les personnes impliquées dans le projet des méthodes des recherches. Tous les contacts nécessaires au bon déroulement des campagnes de terrain seront pris.

2) Enquêtes ethnologiques (S2, S4)Les enquêtes ethnologiques seront conduites auprès des Pygmées et des villageois non Pygmées

réputés pour leur connaissance de la forêt et des usages traditionnels de plantes, selon la méthode des questionnaires et entretiens semi-directifs.

Deux fiches de questionnaires ont été établies, l’une sur les usages des plantes, l’autre sur l’aménagement du territoire. Pour chaque village ou tribu, ces deux fiches seront remplies par l’investigateur principal (OY) lors d’une interview personnalisée.

Les entretiens semi-directifs, d’une durée d’au moins 10 minutes, seront enregistrés à l’aide d’un dictaphone lors de conversations plus ou moins informelles. Le principe général est l’immersion temporaire dans le contexte de la tribu ou du village, afin d’en partager le quotidien.

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3) Inventaires et collectes botaniques (S2, S4)En même temps que l’enquête ethnologique, durant les missions sur le terrain, toutes les plantes

faisant l’objet d’une utilisation par les indigènes (quel qu’en soit l’usage) seront répertoriées et échantillonnées. Les échantillons seront récoltés si possible en trois exemplaires, dont deux sont destinés à l’Herbarium de Centrafrique. Un troisième exemplaire de tous les échantillons récoltés est emporté pour la détermination et la vérification rigoureuses et déposé au Muséum national d’histoire naturelle de Paris. Des photos des spécimens rencontrés seront également réalisées à l’aide d’un appareil photo numérique. Chaque échantillon récolté sera accompagné de sa fiche descriptive, remplie sur le terrain.

Sur le terrain, pour identifier les espèces, nous utiliserons le manuel de dendrologie des forêts denses de Centrafrique (Souane, 1989), le guide d’identification pratique des principaux arbres de la forêt dense d’Afrique centrale (Tailfer, 1989a, 1989b), le guide pratique des arbres de la Guinée équatoriale (Wilks & Issembé, 2000), les manuels de botanique forestière de l’Afrique tropicale (Letouzey, 1982, 1983), le guide des arbres et arbustes de la région de Kinshassa-Brazzaville (Pauwels, 1993), le guide de la végétation de la réserve de la Lopé au Gabon (White & Abernethy, 1996). Nous serons aidés dans la reconnaissance des espèces sur pied par des prospecteurs maîtrisant les noms vernaculaires, la concordance avec les noms scientifiques pouvant s’obtenir à partir des lexiques établis par Souane (1989) et par le projet FAC pour l’appui à la recherche forestière de Mbaïki (Morel & Tandeau de Marsac, 1995).

4) Identification botanique des échantillons (S3, S5)Pour les plantes qui n’auront pu être identifiées sur le terrain ou pour celles dont la détermination

est douteuse, l’identification se fera en laboratoire. Au laboratoire, une partie des échantillons est déterminée à l’aide des flores (flore du Cameroun, flore du Gabon, flore de l’Afrique centrale) ou en comparant avec les herbiers de référence de l’Afrique centrale (Centrafrique, Cameroun, Gabon, Guinée Équatoriale, Congo-Brazzaville et Congo-Kinshassa) disponibles à l’herbarium de Centrafrique, au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, au laboratoire de botanique systématique et de phytosociologie de l’Université Libre de Bruxelles et à l’herbarium du Jardin botanique national de Belgique à Meise. Nous ferons appel également à plusieurs spécialistes, dont Dr. T. Haevermans (Muséum national d’histoire naturelle de Paris), Pr. J. Lejoly (Université Libre de Bruxelles), Dr. P. De Block (Jardin Botanique National de Belgique), Monsieur L. Pauwels (Jardin Botanique National de Belgique).

5) Analyse phytoécologique (S2, S4) Le plan d’échantillonnage sera établi au fur et à mesure de l’acquisition des données

ethnologiques. Pour chaque site retenu, des mesures de variables environnementales seront effectuées (compacité du sol, luminosité, prélèvement d’un échantillon composite de sol). Les analyses des sols seront réalisées au Laboratoire de biodiversité végétale et fongique de l’Université de Picardie Jules Verne. La structure des peuplements forestiers sera décrite et un relevé complet de l’ensemble des espèces végétales présentes sera compilé au sein des placettes-échantillons. Nous comptons faire un relevé complet de végétation par jour de terrain.

6) Analyse statistique des données (S5, S6)Les données issues de l’enquête ethnologique seront dépouillées et analysées en laboratoire. Les

données des questionnaires seront principalement utilisées pour la constitution d’une base de données ethnobotaniques, ainsi que pour quelques analyses statistiques descriptives. Les données des entretiens semi-directifs seront analysées, éventuellement à l’aide du logiciel SPHYNX.

Les données recueillies sur la flore, la végétation et les facteurs environnementaux seront soumises à différentes analyses statistiques exploratoires multidimensionnelles (classification, ordination, analyse des espèces indicatrices, MRPP, à l’aide des logiciels PC-Ord® et SPSS®).

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7) Elaboration des outils et rédaction de publications (S3-S6)La base de données ethnobotanique sera constituée progressivement tout au long du programme,

au fur et à mesure des identifications botaniques. La rédaction d’au moins trois publications de niveau international est également programmée ; l’une portant sur les résultats ethnobotaniques et l’autre sur le rôle des activités humaines sur la biodiversité végétale.

L’ensemble des données sera intégré à des couches d’information cartographique (logiciel Arcview®) couplées à une base de données (logiciel Access®).

8) Rédaction du rapport final (S6)L’ensemble des résultats sera synthétisé dans un rapport final qui sera largement diffusé au sein de

la communauté scientifique franco-africaine et des utilisateurs.

9) Suivi du projet (de S1 à S6)Un Comité scientifique de suivi du projet sera mis en place, dont le rôle sera une expertise

permanente du déroulement des travaux et une validation semestrielle des travaux réalisés. Ce Comité sera composé, outre des 4 investigateurs principaux, des personnalités suivantes : Prof. Bernard KALAORA (UPJV) Sociologue et ethnologue ; Prof. Jean LEJOLY (ULB – Bruxelles) Botaniste tropicaliste ; Dr. Michel SOKOLOWSKI (UPJV) Psychologue du comportement ; Dr. Jean-Pierre NICOLAS (Université de Lille 2) Ethnobotaniste ; Prof. Philippe RACINET (UPJV) Archéologue et historien ; Dr Frédéric ROULIER (UPJV) Géographe, ainsi que des 2 parrains : Prof. Bonaventure SONKÉ, Dr. Gaston ACHOUNDONG. Ce Comité pourra être complété en cours de programme selon les besoins, notamment par des scientifiques centrafricains ou des pays voisins.

Le programme de mise en œuvre des différentes activités retenues est schématisé dans le tableau de planification ci -après :

Chronogramme de mise en œuvre

Activités Année 1 Année 2 Année 3S1 S2 S3 S4 S5 S6

1) Pré-étude bibliographique +

2) Enquêtes ethnologiques + +

3) Inventaires et collectes botaniques + +

4) Identification botanique des échantillons

+ +

5) Analyse phytoécologique + +

6) Analyse statistique des données + +

7) Élaboration des outils et rédaction de publications

+ + + +

8) Rédaction du rapport final +

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Rôle des différents partenaires dans les activités :- Olga YONGO : co-pilotage du projet, coordination générale, missions de terrain et collecte des

données, identification botanique, analyses des données, rédaction des rapports- Guillaume DECOCQ : co-pilotage du projet, participation aux missions de terrain et à la

collecte des données, analyses phytoécologiques, aide à la rédaction des rapports- Déborah CLOSSET-KOPP : participation aux missions de terrain et à la collecte des données,

analyses phytoécologiques- Bruno de FOUCAULT : participation aux missions de terrain et à la collecte des données,

identifications botaniques, aide à la création de la base de données ethnobotaniques.- Joseph BALIGUINI : participation à la collecte des données, analyses ethnologiques.

6. Résultats attendusLes résultats attendus se situent sur deux plans, l’un fondamental, l’autre appliqué.D’un point de vue fondamental, l’impact des civilisations de la Silva sur la biodiversité des forêts

tropicales est très mal connu. Notre étude devrait permettre une avancée significative des connaissances sur ce point, en précisant la part des activités humaines traditionnelles dans la biodiversité des écosystèmes de forêt dense semi-décidue. A l’issue de ce programme, une meilleure connaissance le la flore de RCA est attendue, puisqu’il s’agit d’une aire d’étude largement sous-explorée et méconnue sur le plan floristique. De même, les facteurs responsables de l’assemblage des espèces en communautés pourront être précisés. Ce travail apportera également une contribution essentielle à la connaissance des modes d’aménagement de l’espace et les stratégies d’exploitation collective des ressources naturelles ; à cet égard, nos résultats pourront être confrontés aux modèles de distribution libre et idéale.

D’un point de vue appliqué, nous aurons élaboré une base de données ethnobotanique directement utilisable, qui sera une première formalisation des connaissances relatives aux diverses utilisations des ressources végétales par l’homme, incluant en partie la pharmacopée traditionnelle des Pygmées. un tel outil permettra, outre d’orienter des recherches à venir (e.g., approche pharmacognosique et phytochimique de certaines espèces à potentiel thérapeutique), de mettre en évidence d’éventuels phénomènes de surexploitation de certaines espèces. D’un point de vue botanique, nous aurons enrichi l’herbarium national de RCA, ainsi que les collections du MNHN, améliorant ainsi les outils déjà disponibles et apportant une contribution à la connaissance des aires de répartition de nombreuses espèces. Sur le plan phytoécologique, nous espérons pouvoir identifier des indicateurs d’anthropisation (espèces ou communautés végétales) qui pourront être utilisés au-delà de l’aire d’étude, par exemple pour repérer d’anciennes zones d’implantation humaine en prospection archéologique.

7. Indicateurs mesurables de succès du projetLe succès du projet pourra être évalué à l’aide des indicateurs suivants :- nombre de publications scientifiques : nous nous fixons un nombre minimal de 3 publications

internationales dans des journaux à facteur d’impact. Une première publication pourrait être relative à l’utilisation traditionnelle des plantes (e.g. Economic Botany, Acta Botanica Gallica) ; une seconde concernerait les aspects floristiques, phytogéographiques et phytosociologiques (e.g., Belgian Journal of Botany, Biodiversity and Conservation, Phytocoenologia) ; une troisième démontrerait l’impact des activités humaines sur la biodiversité végétale (e.g., Ecology, Ecosystems, Journal of Ecology). Les aspects ethnologiques pourraient faire l’objet d’une publication en français dans la revue Natures, sciences, Sociétés. De même, le nombre de communications orales ou écrites à des Congrès internationaux sera un bon indicateur.

- nombre de données mises en base : la taille de la base de données pourra servir à quantifier le nombre d’observations colligé ; par exemple, le nombre de taxon ou le nombre d’utilisation exprimeront simplement la réussite de l’entreprise. Cette base de données sera d’abord valorisée localement, en RCA,

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de manière à ce que les premiers bénéficiaires de la recherche entreprise soient les autochtones ; à cet égard, une version « papier » de la base de donnée sera éditée. Pour le fichier informatique, une mise en ligne avec accès libre est envisagée sur le site web du Laboratoire de Biodiversité végétale et fongique de l’UPJV. Dans le cadre de la convention existant entre l’UPJV et l’Université de Bangui, cette base de données pourra être exploitée et son alimentation pourra être poursuivie. Pour les plantes médicinales le CEPHARMETA (Centre de recherche sur les Pharmacopées traditionnelles de l’Université de Bangui) pourra exploiter directement cette base.

- nombre de planches d’herbier produit : les échantillons d’herbier seront tripliqués et déposés conjointement à l’Herbarium national de RCA et au MNHN. Le nombre de triplicats sera un indicateur simple de la quantité de travail fournie sur le terrain et en laboratoire pour améliorer les connaissances sur la flore de RCA. Le nombre estimé de triplicats est au minimum de 1000.

- nombre de taxons nouveaux pour la RCA : deux niveaux pourront être distingués le cas échéant : le nombre de taxons « nouveaux pour la science », dont on ignore a priori s’il y en aura ; et le nombre de taxon nouvellement décrit pour la RCA qui devrait être non nul, puisque l’aire d’étude retenue pour ce projet est particulièrement mal connue.

- consultation du rapport final : le rapport synthétisant l’ensemble des résultats acquis sera mis en ligne sur le site web du Laboratoire de Biodiversité végétale et fongique de l’UPJV. Il sera dès lors facile de comptabiliser le nombre de visites sur la rubrique du site et le nombre de fois où le document aura été téléchargé. Ce sera un bon indicateur de l’intérêt suscité par cette recherche.

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Etape 2 bis- Version révisée après demande du CS en étape 2 du 8 juin 2007DÉPENSES ET BUDGET (MISSIONS DE TERRAIN)

Noms des participants effectuant des missions de terrainLes partenaires expatriés viendront de France pour effectuer leurs missions de terrain.

Mr, Mme

Nom Prénom Moyen de transport Distance entre l’institution et le

terrain (km)

Nombre de jours de terrain

Mme YONGO Olga Automobile 150 à 300 90

Mr DECOCQ Guillaume Automobile 150 à 300 15

Mr de FOUCAULT Bruno Automobile 150 à 300 15

Mr BÉINA Denis Automobile 150 à 300 90

Mr KOSH-KOMBA Ephrèm Automobile 150 à 300 90

Mr BALIGUINI Joseph Automobile 150 à 300 15

Mme SALAMATÉ Francine Automobile 150 à 300 90

Mr TOUCKIA GORGON Igor Automobile 150 à 300 90

Mr SIGUIGUI Bernard Automobile 150 à 300 90

Mr BÉKA Joseph Automobile 150 à 300 90

Mr POUBANDA NDOMORO David Automobile 150 à 300 90

(Insérer autant de lignes que nécessaire)

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DÉPENSES ET BUDGET (SUITE)

Indiquez dans le tableau ci-dessous pour chaque partenaire et chaque catégorie de dépense (voir liste des dépenses éligibles ci-dessous) le montant total et le montant pris sur la contribution demandée à Sud Expert Plantes. Indiquez en bas du tableau le montant total pour l’ensemble des partenaires et des dépenses.

Le tableau ci-dessus détaille le budget global du projet. Les dépenses de fonctionnement concernent essentiellement des indemnités de personnel temporaire (prospecteurs…), du petit matériel et du matériel informatique, ainsi que des consommables. Sur le total estimé à 57 052 €, 27 052€ seront pris en charge par les fonds propres des laboratoires français partenaires ; la subvention accordée par « Sud Experts Plantes » s’élève à 30 000 €.

Budget général

Partenaire / Catégorie de dépense Montant total (€) Contribution de Sud Expert Plantes

(€)Fonctionnement Institution porteuseFournitures 4 500 900Equipement informatique et réseau 5 080 2 000Equipement autres (matériels de collecte d’herbiers, de camping, appareil photo, GPS)

5 061 2 000

Salaires de personnel temporaire 2 562 1 920Missions de terrain (déplacements et frais de mission) 18 051 11 480Autres missions (voyages et frais de mission) 3 600 3 600Fonctionnement hors missions 6 000 3 000

Partenaire 1Autres missions (voyages et frais de mission) 5100 2 550Analyse des sols 2 000

Partenaire 2Autres missions (voyages et frais de mission) 5 100 2 550

Total 57 052,17 30 000

Les catégories de dépenses éligibles sont les suivantes :

Fournitures ; Equipement informatique & réseau ; Equipement autres (préciser) ; Salaires de personnel temporaire recruté pour le projet ; Missions de terrain (déplacements et frais de mission) ; Autres missions (voyages et frais de mission).Indiquez dans le tableau ci-dessous pour chaque partenaire la répartition annuelle de la contribution demandée à Sud Expert Plantes. Indiquez en bas du tableau le montant total pour l’ensemble des partenaires.

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Dépenses annuelles sur la contribution Sud Expert Plantes

Partenaire Contribution de Sud Expert Plantes (€)Année 1 Année 2 Année 3

Institution porteuse 8 771 9 865 6 265Partenaire 1 2 550Partenaire 2 2 550Total 11 321 12 415 6 265

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SIGNATURES

N° Dossier

393

Titre court Forêts denses de Centrafrique

Titre complet

Déterminants anthropiques de la biodiversité végétale des forêts denses de Centrafrique : approche ethnoécologique

Thème Usage, politiques et gouvernance des ressources naturelles

Région(s) Afrique centrale Pays Centrafrique

Coordinateur Dr. Olga Diane YONGOInstitution Faculté des Sciences. Université de Bangui.

Nom et fonction du responsable habilité de l’institution porteuse du projet

Date, signature et cachet

Nom et fonction du Chef de projet

Date et signature :

TRES IMPORTANT

Les dossiers complétés doivent être envoyés sous forme électronique avant le 15 mai à [email protected]. Une seule version doit être envoyée, par le coordinateur du projet ou à défaut par une personne mandatée par le coordinateur à cet effet.

De plus, une copie papier, signée par le coordinateur et par l'autorité habilitée à engager l'institution porteuse, doit être postée le 22 mai au plus tard (le cachet faisant foi) à l’adresse suivante :

Secrétariat SEPIRD5 rue du Carbone45072 Orléans cedex 2France.

L’absence de l’une ou l’autre de ces deux versions (papier ou électronique) conduira au rejet du dossier.

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BIBLIOGRAPHIE DES ÉQUIPES IMPLIQUÉES RELATIVE AU PROJET

BALIGUINI J., 2004 - « Schéma Directeur de Développement de la zone d’intervention du programme ECOFAC-Ngotto », financée par SECA (Société d’Eco-Aménagement), ECOFAC-RCA.BALIGUINI J., 2001. Les droits de propriété intellectuelle liés aux ressources biologiques et aux connaissances des populations locales autochtones. Communication au Séminaire organisé par le Projet CAF/96/ G-31 - STRATEGIE NATIONALE ET PLAN D’ACTION EN MATIERE DE DIVERSITE BIOLOGIQUE.BALIGUINI J., 2001. Les pharmacopées traditionnelles centrafricaines comme ensemble de connaissances locales valorisables. Communication au 11ème Colloque de CAMES sur les Médecines et Pharmacopées traditionnelles africaines.BALIGUINI J., 1999. Etudes de l’organisation sociale et de la structure économique de l’ethnie Bakota de la zone d’intervention du projet ECOFAC-RCA.BALIGUINI J., 1999. Etude anthropologique des structures traditionnelles et des mécanismes politiques de gestion de l’espace chez les Boffi de la zone d’intervention du projet ECOFAC-RCA.BALIGUINI J., 1991-1993. Etude de la structure de la médecine traditionnelle chez les Nzakara en R.C.A.BALIGUINI J., 1990. Etude de l’organisation sociale et des pratiques thérapeutiques traditionnelles chez les Banda-Linda d’Ippy en RCA.CHABRERIE O., ROULIER F., HOEBLICH H., SEBERT-CUVILLIER E., CLOSSET-KOPP D., LEBLANC I., JAMINON J., DECOCQ G., 2007. Defining patch mosaic functional types to predict invasion patterns in a forest landscape. Ecological Applications, 17 (2) : 464-481. CLOSSET-KOPP D., CHABRERIE O., VALENTIN B., DELACHAPELLE H., DECOCQ G., 2007. When Oskar meets Alice: does a lack of trade-off in r/K-strategies make Prunus serotina a successful invader of European forests? Forest Ecology and Management (sous presse)SCHNITZLER A., CLOSSET D., GAFTA D., CRISTEA V., SCHWOEHRER C., 2004. Dynamique des populations et mosaïque forestière en hêtraie-sapinière naturelle préservée. Une comparaison entre Vosges et Carpates. Rev. Écol. (Terre Vie), 59 : 213-228.SCHNITZLER A. and CLOSSET D., 2003. Forest dynamics in unexploited birch (Betula pendula) stands in the Vosges (France) : structure, architecture and light patterns. Forest Ecology and Management 183 : 205-220.

DECOCQ G., 2007a. De l’ethnophytosociologie à l’écologie historique : comprendre les successions secondaires pour gérer la biodiversité. In : Pedrotti F. (ed), Biodiversity, Landscape dynamics and Management of protected areas. Sous presse.DECOCQ G., 2007b. Communauté végétales révélatrices de sites archéologiques dans les forêts du nord de la France. In : Dupouey J.L., Dambrine E. (eds), La mémoire de la forêt. Sous presse.DECOCQ G., 2004. Utilisation de la flore et de la végétation actuelles en prospection archéologique. In : RACINET P. & SCHWERDROFFER J. (eds), Méthodes et initiations d’histoire et d’archéologie. Editions du Temps, Nantes, pp. 55-71.DECOCQ G., 2003. Phytosociologie, syndynamique et archéologie du paysage. Contributii Botanice, XXXVIII, (2) : 13-21DECOCQ G., AUBERT M., DUPONT F., BARDAT J., WATTEZ-FRANGER A., SAGUEZ R., de FOUCAULT B., ALARD D., DELELIS-DUSOLLIER A., 2005.

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Silviculture driven vegetation change in a European temperate deciduous forest. Annals of Forest Science, 62 : 313-323.DECOCQ G., AUBERT M., DUPONT F., ALARD D., SAGUEZ R., WATTEZ-FRANGER A., de FOUCAULT B., DELELIS-DUSOLLIER A. and BARDAT J., 2004. Plant diversity in a managed temperate deciduous forest : understorey response to two silvicultural systems. Journal of Applied Ecology 41 : 1065-1079.KASSI J.K., DECOCQ G., 2007a. Postcultural secondary succession in a tropical semi-deciduous forest of Ivory Coast: integrated phytosociological and systemic analyses. Phytocoenologia, 37 (in press)KASSI J.K., DECOCQ G., 2007b. Régénération de la forêt dense semi-décidue dans les stades post-culturaux en forêt classée de Sanaimbo (Côte d’Ivoire). Acta Botanica Gallica, (sous presse)ENDELS P., ADRIAENS D., BEKKER R.M., KNEVEL I., DECOCQ G., HERMY M., 2007. Groupings of life-history traits are associated with distribution of forest plant species in a fragmented landscape. Journal of Vegetation Science 18: 499-508. ENDELS P., ADRIAENS D., BEKKER R.M., KNEVEL I., DECOCQ G., HERMY M., 2007. Groupings of life-history traits are associated with distribution of forest plant species in a fragmented landscape. Journal of Vegetation Science 18: 499-508. PARMENTIER I., OUMOUROU M., POREMBSKI S., LEJOLY J., DECOCQ G., 2006. Ecology, distribution, and classification of xeric monocotyledonous mats on inselbergs in West Africa and Atlantic central Africa. Phytocoenologia 36 (4) : 547-564.DENGUEADHÉ KOLONGO TS, DECOCQ G, ADOU CY, BLOM E, VAN ROMPAEY RSAR. Plant species diversity in the southern part of the Taï National Park (Côte d’Ivoire).Biodiversity and Conservation 2006 ; 15 : 2123-2142.de FOUCAULT B. (1990) Introduction à une ethnophytosociologie. Leujeunia 134 : 1-60.YANGAKOLA J.-M., de FOUCAULT B., YONGO O., LEJOLY J., 2004. Analyse phytogéographique comparative des savanes et des forêts de Ngotto (République Centrafricaine). Acta Botanica Gallica, 151 (2) : 221-229.YONGO O.D., 2006. Analyse floristique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). In Taxonomy and ecology of african plants : their conservation and sustainable use. Royal Botanic Gardens Kew , 667-678.YONGO O.D., 2005. Recherches à Batalimo, Motomato, Yassaka (Centrafrique).Rapport de missions de terrain mars - mai 2005. Université de Bangui, Université de Picardie Jules Verne, 12 p.YONGO O.D., 2005. Sortie Ethnobotanique à Gbabiyolo. (Centrafrique). Université de Bangui, Université de Lille 2, 13 p.YONGO O.D., 2003. Contribution aux études floristique, phytogéographique et phytosociologique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Acta Botanica Gallica, 150 (1): 119-124.YONGO O., de FOUCAULT B. 2001. Analyse phytogéographique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Systematics and Geography of Plants 71 : 847-857.YONGO O.D., de FOUCAULT B, 2007 Contribution à la caractérisation de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Acta Botanica Gallica.

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BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE RELATIVE AU PROJET

AKE ASSI L. & ABEYE J., GUINKO S., GIGUET R., BANGAVOU X., 1985. Médecine traditionnelle et pharmacopée. Contribution aux études ethnobotanique et floristiques en République Centrafricaine. A.C.C.T, 4-13.BAHUCHET S., BLEY D., PAGEZY H., VERNAZZA-LICHT N. (eds). 1999. L’homme et la forêt tropicale. APFT-Société d’Ecologie Humaine, Châteauneuf de Grasse, Editions de Bergier. BAILEY R.C., HEAD G., JENIKE M., OWEN B., RECHTMAN R., ZECHENTER E., 1989. Hunting and Gathering in Tropical Rain Forest: Is It Possible? American Anthropologist 91 : 59-82BALÉE W. 1998. Advances in historical ecology. New York, Columbia University Press. BALÉE W & ERICKSON CL (eds), 2006. Time and complexity in historical ecology. Studies in the Neotropical lowlands. Columbia University Press, New YorkCAMPBELL DG, FORD A, LOWELL KS, WALKER J, LAKE JK, OCAMPO-RAEDER C, TOWNESMITH A & BALICK M, 2006. The Feral Forests of the Eastern Petén In: BALÉE W & ERICKSON CL (Eds) Time and complexity in historical ecology. Studies in the Neotropical lowlands. Columbia University Press, New York, pp 21-56CASAGRANDE D.G., 2004. Conceptions of Primary Forest in a Tzeltal Maya Community: Implications for Conservation. Human Organization 63: 189 – 202CHAZDON R.L., 2003. Tropical forest recovery: legacies of human impact and natural disturbances. Perspectives in Plant Ecology, Evolution and Systematics 6 : 51-71.CLARK D.B., 1996. Abolishing Virginity. Journal of Tropical Ecology 12 : 735-739CONDIT R., PITMAN N., LEIGH E.G., CHAVE J., TERBORGH J. et al., 2002. Beta-diversity in tropical forest trees. Science 295 : 666-669.Coll. (eds) Encyclopédie des Pygmées Aka, chasseurs-collecteurs de Centrafrique.CORLETT R.T., 1994. What is Secondary Forest? Journal of Tropical Ecology 10 : 445-447CRUMLEY CL (ed), 1994. Historical ecology: cultural knowledge and changing landscapes. School of American Research Press, Santa FeDENEVAN W.M., 1992. The Pristine Myth: The Landscape of the Americas in 1492. Annals of the Association of American Geographers 82 : 369–385.DOUNIAS E, 2000. Revue de la literature ethnobotanique pour l’Afrique centrale et l’Afrique de l’ouest. Bulletin du réseau Africain d’Ethnobotanique, 2, 5-117.DUFOUR D.L., 1990. Use of Tropical Rainforests by Native Amazonians BioScience 40 : 652-659DUPOUEY J.L., DAMBRINE E., LAFFITE J.D., MOARES C., 2002. Irreversible impact of past land use on forest soils and biodiversity. Ecology 83: 2978-2984.EGAN D. and HOWELL E.A., 2001. The historical ecology handbook. A restorationist’s guide to reference ecosystems. Island Press, Washington, Covelo, London, 459 p.FAIRHEAD J & LEACH M, 1996. Misreading the African landscape: Society and Ecology in the forest-savanna mosaic. Cambridge University Press, CambridgeFlore du Cameroun. 1963-1991. 1-2, 4, 8-19, 24-25, 27-29, 32-33 Muséum National d’Histoire Naturelle, Paris ; M.E.S.I.R.S., Yaoundé, Cameroun.FUJISAKA S., ESCOBAR G., VENEKLAAS E., 1997. Plant community diversity relative to human land uses in an Amazon forest colony. Biodiversity and Conservation 7 : 41-57.GILLET F., 2000. La phytosociologie synusiale intégrée. Guide méthodologique, Université de Neuchâtel, Neuchâtel, 68 p.

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GOTILOGUE S., 2000, Etat des recherches archéologiques en République Centrafricaine, Recent research into Stone Age of Northeastern Africa, Studies In African Archaelogy n°7, Archaeological Museum, Poznan, pp.239-257.HONNAY O., VERHEYEN K., BOSSUYT B. & HERMY M., 2004. Forest biodiversity: lessons from history for conservation. CABI Publishing, IUFRO, Oxfordshire, Cambridge, 285 p.KIRBY J. & WATKINS C., 1998. The ecological history of European forests. Cab International, Oxon, New York, 373 p.KUHNHOLTZ-LORDAT G., 1938. La terre incendiée. La Maison carrée, Nîmes.LEBRUN J.-P. & STORK A. L., 1991. Énumération des plantes à fleurs d’Afrique tropicale. Vol. 1. Généralités et Annonaceae à Pandaceae. Conservatoire et Jardin botaniques, Genève, 249 p.LEBRUN J.-P. & STORK A. L., 1992. Énumération des plantes à fleurs d’Afrique tropicale. Vol. 2. Chrysobalanaceae à Apiaceae. Conservatoire et Jardin botaniques, Genève, 257 p.LEBRUN J.-P. & STORK A. L., 1995. Énumération des plantes à fleurs d’Afrique tropicale. Vol. 3. Monocotylédones: Limnocharitaceae à Poaceae. Conservatoire et Jardin botaniques, Genève, 341 p.LEBRUN J.-P. & STORK A. L., 1997. Énumération des plantes à fleurs d’Afrique tropicale. Vol. 4. Gamopétales: Clethraceae à Lamiaceae. Conservatoire et Jardin botaniques, Genève, 712 p.LETOUZEY R., 1982. Manuel de botanique forestière. Afrique tropicale. Tome 2A. CTFT, Nogent-sur-Marne, 210 p.LETOUZEY R., 1983. Manuel de botanique forestière. Afrique tropicale. Tome 2B. CTFT, Nogent-sur-Marne, 461 p.MANN C, 2000. Earthmovers of the Amazon. Science 287 : 786-789.MCKEY D, 2000. Tropical forest peoples and biodiversity. In : Bahuchet S. (ed). Les peuples des forêts tropicales aujourd’hui. Volume II : une approche thématique. Bruxelles, Programme Avenir des Peuples de Forêts Tropicales, pp. 12-32. MOUQUET N., MUNGUIA P., KNEITEL J.M., MILLER T.E., 2003. Community assembly time and the relationship between local and regional species richness. Oikos 103 : 618-626.MYERS N., MITTERMEIER R.A., MITTERMEIER C.G., da FONSECA G.A.B., KENT J., 2000. Biodiversity hotspots for conservation priorities. Nature 403 : 853-858.POSEY D.A., 1985. Indigenous management of tropical forest ecosystems: the case of the Kayapó indians of the Brazilian Amazon. Agroforestry Systems 3 : 139-158PUIG H., 2001. La forêt tropicale humide. Belin, Paris.RACINET P. & SCHWERDROFFER J. (eds), Méthodes et initiations d’histoire et d’archéologie. Editions du Temps, Nantes, pp. 55-71.RISWAN S., HARTANTI L., 1995. Human impacts on tropical forest dynamics. Plant Ecology 121 : 41-52SOUANE THIRAKUL S.B., 1989. Manuel de dendrologie des forêts denses. République Centrafricaine. Poulin Thériault, Québec, 683 p.SWETNAM T.W., ALLEN CD, & BETANCOURT J., 1999. Applied historical ecology: Using the past to manage for the future. Ecological Applications 9(4):1189-1206.THOMPSON J., BROKAW N., ZIMMERMAN J.K., WAIDE R.B., EVERHAM E.M., LODGE D.J., TAYLOR C.M., GARCIA-MONTIEL D, FLUET M., 2002. Land use history, environment, and tree composition in a tropical forest. Ecological Applications: Vol. 12, No. 5, pp. 1344–1363.TISSERANT C., 1950. Catalogue de la flore de l’Oubangui-Chari. Mémoire de l’Institut d’Etudes Centrafricaines, Brazzaville. 2: 1-165.

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van GEMERDEN B., OLFF H., PARREN M.P.E., BONGERS F., 2003. The pristine forest ? Remnants of historical human impacts on current tree species composition and diversity. Journal of Biogeography 30 : 1381-1390.VIVIEN J. & FAURE J.J., 1985. Arbres des forêts denses d’Afrique Centrale. Espèces du Cameroun. ACCT, Paris, 568 p.WEBER B., WHITE L.J.T., VEDDER A., NAUGHTON-TREVES L., 2001. African rain forest ecology and conservation. Yale University Press, New Haven.WHITE L. & ABERNETHY K., 1996. Guide de la végétation de la Réserve de la Lopé (Gabon). Multipress-Gabon, Libreville, 224 p.WILKS C. & ISSEMBÉ Y. 2000. Guide pratique d’identification. Les arbres de la Guinée équatoriale. Région continentale. Prépresse Communications, France, 546 p. + photosWILLIS K.J., GILLSON L., BRNCIC T.M., 2004. How « virgin » is virgin rainforest ? Science 304 : 402-403.

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CURRICULUM VITAE DES CHERCHEURS ET ENSEIGNANTS-CHERCHEURS

(CV en forme libre, limités à l’essentiel. Les joindre sous forme électronique au présent fichier, à la suite de cette page,)

ÉTAT CIVILOlga Diane YONGONée le 21 juin 1971Nationalité centrafricaineCélibataire sans enfant

ADRESSE PROFESSIONNELLE Université de BanguiFaculté des SciencesBP 908 Avenue des MartyrsBangui – [email protected]

FONCTIONEnseignante-chercheur, Maître-assistante.

DIPLÔMES ET FORMATION2002 : Doctorat nouveau régime en Sciences biologiques et végétales, Université de

Lille 2 (France)2002 : Doctorat au grade académique en Sciences biologiques, Université Libre de

Bruxelles (Belgique)2001 : D.E.A. en Sciences biologiques, Université Libre de Bruxelles (Belgique)2001 : Formation en Ethnobotanique appliquée (Université de Lille 2, France)1998 : D.E.A. en Sciences biologiques appliquées, option Biologie et Écologie

végétales, Université de Ouagadougou (Burkina Faso)

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES2005-2006 : Post doctorante au Département de Botanique

Faculté de Pharmacie, Université de Picardie Jules Verne – FranceDepuis 2004 : Maître-assistante, enseignante-chercheur de biologie et d’écologie végétale

Université de Bangui – Centrafrique1999-2004 : Assistante, enseignante-chercheur de biologie et d’écologie végétale

Université de Bangui – Centrafrique2005 : Consultante au projet DIVERSITRAITS

Cirad-Forêt – France 2002-2004 : Consultante au projet DIVEAC – Centrafrique2004 : Enseignante vacataire de botanique

École Charles de Gaulle – Centrafrique2000- 2001 : Enseignante vacataire de botanique

École Normale Supérieure - Centrafrique

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ACTIVITÉS ASSOCIATIVESDepuis 2003 Vice-présidente de l’Association Spiral Labo PromotionDepuis 2000 Point Focal pour le Centrafrique du réseau des botanistes de l’Afrique

centraleDepuis 1997 Monitrice des enfants

LANGUESAnglais : lu, écrit, parléSango : lu, écrit, parlé

PUBLICATIONS :ArticlesYONGO O.D., 2003. Résumé de thèse d’État. Contribution aux études floristique,

phytogéographique et phytosociologique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Acta Botanica Gallica, 150 (1): 119-124.

YONGO O.D, 2006. Analyse floristique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). In Taxonomy and ecology of african plants : their conservation and sustainable use. Royal Botanic Gardens Kew , 667-678.

YONGO O. & FOUCAULT B. (DE) 2001. Analyse phytogéographique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Systematics and Geography of Plants 71 : 847-857.

YONGO O.D. & FOUCAULT B, 2007 Contribution à la caractérisation de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Acta Botanica Gallica.

YANGAKOLA J.-M., FOUCAULT B. (DE), YONGO O. & LEJOLY J., 2004. Analyse phytogéographique comparative des savanes et des forêts de Ngotto (République Centrafricaine). Acta Botanica Gallica, 151 (2) : 221-229.

Mémoires et thèseYONGO O.D., 2002. Contribution aux études floristique, phytogéographique et

phytosociologique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Thèse de Doctorat, Université de Lille 2, Université Libre de Bruxelles, Lille, 346 p.

YONGO O.D., 2001. Contribution à une analyse phytogéographique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Mémoire de D.E.A., Université Libre de Bruxelles, 74 p.

YONGO O.D., 1998. Étude des nectaires extrafloraux de quelques espèces apicoles du genre Acacia et de la famille des Malvaceae (Burkina Faso). Mémoire de D.E.A., Université de Ouagadougou, 71 p. + annexes.

YONGO O.D., 1996. Monographie sur Solanum tuberosum (Solanaceae) et Eleusine indica (Poaceae). Faculté des Sciences, Université de Ouagadougou, 50 p.

RapportsYONGO O.D., 2003. Compte-rendu de missions à Boukoko (du 14 au 19 Décembre 2002 et

du 16 Janvier au 1er Février 2003). Projet DIVEAC, Bangui, 4 p.YONGO O.D., 2003. Compte-rendu de la participation au XVIIe Congrès de l’AETFAT

(Addis Ababa, Éthiopie, 21 au 26 septembre). Faculté des Sciences, Université de Bangui, 6 p.

YONGO O.D., 2001. Étude phytosociologique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Rapport d’activités de terrain. Octobre 2000 à janvier 2001. Université de Lille 2, Université de Bangui, 10 p.

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YONGO O.D., 2000. Étude phytosociologique de la forêt de Ngotto (République Centrafricaine). Rapport général d’activités. Université de Lille 2, Université Libre de Bruxelles, 24 p. + annexes.

AutresLEJOLY J., YANGAKOLA J..M. & YONGO O., 2002. Inventaire des collections d’herbier

en forêt de Ngotto (RCA) dans le cadre du programme ECOFAC. Université Libre de Bruxelles, Bruxelles, 249 p.

STAGE, COLLOQUE, CONGRÈS :Colloque SUPCA, du 16 au 17 décembre 2004. Bangui, République Centrafricaine.

Thème : Recherche en Centrafrique.XVIIe Congrès international de l’AETFAT du 21 au 26 septembre 2003. Addis Abeba,

Éthiopie.Thème : Taxonomie et écologie des plantes africaines pour leurs conservations et utilités durables.

Colloque international de phytosociologie et dynamique des végétations de montagne du 7 au 13 juillet 2002. Peyresq/Annot, Alpes de Haute Provence, France.

XVIe Congrès international de l’AETFAT du 28 août au 1er septembre 2000. Jardin Botanique National de Belgique, 1860 Meise, Belgique.Thème : La systématique des plantes et la phytogéographie pour une meilleure compréhension de la biodiversité africaine.

Stage d’écologie végétale et aménagement du territoire du 5 au 13 juillet 1999 organisé sous l’égide de Peyresq Foyer d’Humanisme. Peyresq/Annot, Alpes de Haute Provence, France.

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Nom et Prénom : BALIGUINI Joseph Date et lieu de naissance : le 16 juin 1962 à BangassouNationalité : CentrafricaineSituation matrimoniale : Célibataire avec quatre (4) enfantsExpérience profession elle : 15 ans d’enseignement et de rechercheAdresse personnelle : B.P. 2428 BANGUIAdresse E-Mail : [email protected]éléphone personnel : (236) 04 - 90 - 81

1990/ 95 : Doctorat nouveau régime d’anthropologie Sociale et d’ethnologie à l’Ecole desHautes Etudes en Sciences Sociales à Paris (France).

1989/ 90 : D.E.A. ( Diplôme d’Etudes Approfondies) d’Anthropologie Sociale et Ethnologie à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris en France.

1986/ 88 : Maîtrise d’Ethnologie à l’Université de Paris-X-Nanterre en France.

1985/ 86 : Licence d’Ethnologie à l’Université de Paris-X-Nanterre en France.

1983 : Obtention du Baccalauréat série A3 au Lycée Moderne de Bangassou .

- I – CONSULTATIONS

2003-2004 : 1°) Du mois de mai 2003 au mois de mars 2004, consultation sur le thème : « Schéma Directeur de Développement de la zone d’intervention du programme ECOFAC-Ngotto », financée par SECA (Société d’Eco-Aménagement), ECOFAC-RCA.

2°) Du mois de juillet 2003 au mois de janvier 2004, Consultation sur « L’impact socio-économique du VIH/SIDA sur les secteurs du développement en République centrafricaine ». Financée par le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement), Bangui.

2000-2001 : Du 21 juin 2000 au 10 janvier 2001 : Analyse anthropologique de la situation

de l’enfant et de la femme en République centrafricaine ; UNICEF : Fonds desNations Unies pour l’Enfance ; Bangui, République Centrafricaine.

1999 : Mai et juin : Etudes de l’organisation sociale et de la structure économique de l’ethnie Bakota de la zone d’intervention du projet ECOFAC-RCA.

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FORMATION DE BASE

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES

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1998-1999 : De juin 1998 à avril 1999 : Etude anthropologique des structurestraditionnelles et des mécanismes politiques de gestion de l’espace chez les Boffi de la zone d’intervention du projet ECOFAC-RCA.

1997 : Mars : Etudes MARP (Méthode Accélérée de Recherche Participative) desstratégies des parties prenantes socio-économiques impliquées dans l’exploitation du diamant à Bouanda au front est de la réserve de Zanga-Sangha( Bayanga-Sangha-Mbaéré).

1995-1996 : Du mois de décembre 1995 au mois de mars 1996 : Etude des structures deprise en charge des malades et des personnes infectées et affectées par leVIH/SIDA à Bangui.

1991-1993 : Etude de la structure de la médecine traditionnelle chez les Nzakara en R.C.A.

1990 : Etude de l’organisation sociale et des pratiques thérapeutiques traditionnelleschez les Banda-Linda d’Ippy en RCA.

- II - ENSEIGNEMENT  

2003 – 2007 : Depuis le 25 août 2003 : Chef de Département d’anthropologie à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université de Bangui.

2001-2003 : Chef de Département d’Anthropologie et Législation au CERPHAMETA, FACSS, Université de Bangui ;

1995 – 2007 : Enseignant à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Université deBangui.

Domaines enseignés  :

Méthodologie de la recherche en Sciences Sociales Anthropologie politique Organisation des sociétés africaines Les théories anthropologiques Structures traditionnelles, cultures et problèmes de développement Anthropologie et Développement Anthropologie de la santé.

-

- III - PUBLICATIONS   :

1°) - Rapports de consultations :

2006 : Juillet : « Impact des projets sur les populations forestières de la Lobaye », GEPAC, Université de Bangui ;

2004 : Mars : « Impact Socio-économique du VIH/SIDA sur les secteur de développement en RCA », PNUD, Bangui ;

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2003 : Décembre : « La situation ethno-socio-économique de la zone d’intervention du projet ECOFAC-Forêt de Ngotto », SECA, ECOFAC-RCA, Bangui ;

2000 : Mai : « Organisation sociale et structures socio-économiques chez les Bakota », ECOFAC-RCA, Bangui.

1999 : Avril : Les mécanismes politiques de la gestion de l’espace chez les populationsBoffi de la zone d’intervention du projet ECOFAC-RCA, ECOFAC-RCA,Bangui.

1996 : Les structures de prise en charge des malades et des personnes infectées etaffectées par le VIH/SIDA à Bangui, PNLS, Bangui.

2°) - Articles de revues :

1994 : Organisation de la médecine traditionnelle chez les Nzakara, Bulletin d’Ethnomédecine, n° 4, EHESS, Paris.

1990 : Médecine familiale et système thérapeutique chez les Banda-Linda de Ippy(RCA),Bulletin d’Ethnomédecine, n° 2, EHESS, Paris.

o INFORMATIONS DIVERSES

Langues  : Bonne lecture et compréhension de l’anglais  ; parler courant du sango et du français.

Informatique : Bonne maîtrise des logiciels de traitement de texte Word et WordPerfect sous Windows. Initiation au tableur Exell. Initiation à

l’Internet.

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CURRICULUM VITAE

Etat civil

DECOCQ Guillaumené le 02 février 1971, à Saint-Quentin (Aisne)Nationalité françaiseMarié, 2 enfants

Adresse professionnelle :

Université de Picardie Jules VerneFaculté de Pharmacie

1, rue des LouvelsF-80037 AMIENS Cedex

tel. : 03 22 82 77 61 ou 03 22 82 74 82fax : 03 22 82 74 69

e-mail : [email protected]

Cursus universitaire

Depuis septembre 2005 : Professeur des Universités en « Biodiversité végétale et Sciences de la végétation » à la Faculté de Pharmacie d’Amiens (Université de Picardie Jules Verne)

1999-2005 : Maître de Conférences en « Botanique, Dynamique des écosystèmes et Environnement » à la Faculté de Pharmacie (Université de Picardie Jules Verne)

1997-1999 : ATER en Botanique à la Faculté de Pharmacie (Université de Picardie Jules Verne)1993-1997 : Diplôme d’Etudes Spécialisées en Pharmacie spécialisée à la Faculté de Pharmacie

(Université de Picardie Jules Verne), interne en Pharmacie spécialisée au Centre Hospitalier et Universitaire d’Amiens

En parallèle   : 1994-1997 : Doctorat d’Université à la Faculté des Sciences Pharmaceutiques et

Biologiques de Lille (Université de Lille II)1993-1994 : DEA « Génie Enzymatique, Bioconversion, Microbiologie » à l’Université de

Technologie de Compiègne

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1988-1993 : Etudes de Pharmacie à la Faculté de Pharmacie (Université de Picardie Jules Verne) : - 1992-1993 : Cinquième année, mention Très Bien ; Certificat MSBM de Chimie extractive des

substances naturelles- 1991-1992 : Quatrième année, mention Bien ; Concours National de l’Internat- 1990-1991 : Troisième année, mention Bien ; Certificat MSBM de Bactériologie- 1989-1990 : Deuxième année, mention Assez Bien- 1988-1989 : Concours de Première année

Titres, Diplômes, Qualifications

2005Qualification aux fonctions de Professeur des Universités

41ème section « Sciences Biologiques »

2004 Université de Picardie Jules Verne, Ecole Doctorale Sciences et Santé

Habilitation à Diriger des Recherches(Mémoire soutenu le 30 septembre 2004)

Référence   : Analyse des dynamiques anthropogènes, spatiales et temporelles, des communautés végétales en système forestier ; élaboration d’une « écologie historique » de la biodiversité. Mémoire HDR, Amiens, 2004 : 87p.

1998 Qualification aux fonctions de Maître de Conférences

41ème section « Sciences Biologiques »

1997Université de Lille II, Faculté des Sciences Biologiques et Pharmaceutiques

Doctorat d’Université en BotaniqueMention Très Honorable avec Félicitations du Jury

(Thèse soutenue le 19 décembre 1997)

Référence   : Contribution à l'étude phytosociologique de l'actuelle Theoracia Sylva (Thiérache, Aisne, France). Essai d'analyse systémique des phénomènes phytodynamiques. Thèse Doctorat, Lille, 1997 : 442 p. + 42 tab. + 6 fig.

Université de Picardie Jules Verne, Faculté de Pharmacie d'Amiens

Diplôme d'Études Spécialisées (DES) en Pharmacie spécialiséeMention Très Honorable

(Mémoire soutenu le 2 décembre 1997)

Référence   : Pharmacovigilance et Pharmacie clinique D.E.S. Pharmacie spécialisée, Amiens, 1997 : 129 p.

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1994Université de Picardie Jules Verne, Faculté de Pharmacie d'Amiens

Diplôme d'Etat de Docteur en PharmacieMention Très Honorable

(Thèse soutenue le 12 septembre 1994)

Référence   : Flore et végétation des anciennes carrières de phosphates du nord de la France : importance, menaces et conservation. Thèse Pharmacie, Amiens, 1994 : 131 p.

Université de Technologie de Compiègne

Diplôme d'Etudes Approfondies (DEA)en Génie Enzymatique, Bioconversion et Microbiologie

Mention Bien (Mémoire soutenu le 9 septembre 1994)

Référence   : La végétation recolonisatrice des anciennes carrières de phosphates du nord de la France : étude phytosociologique et syndynamique. D.E.A, Compiègne, 1994 : 148 p.

1993

Université de Picardie Jules Verne, Faculté de Pharmacie d'Amiens

Maîtrise de Sciences Biologiques et Médicales (C1, C2 et CNIP)

Certificat de Bactériologie médicale (C1)Certificat de Chimie extractive des substances naturelles (C2)

Concours National de l'Internat en Pharmacie (CNIP)

1988 Lycée Pierre de la Ramée à Saint-Quentin (02)

Baccalauréat série D (Mathématiques et Sciences de la Nature)

mention Assez Bien

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PUBLICATIONS INTERNATIONALES

I1- DECOCQ G.Données phytosociologiques récentes sur les forêts de la Thiérache (Aisne, France). I- Les forêts mésophiles de la Thiérache argilo-calcaire.Acta Botanica Gallica 1998 ; 145 (2) : 125-147.

I2- DECOCQ G.Importance phytogénétique des anciennes carrières de phosphates du nord de la France.Acta Botanica Gallica 1998 ; 145 (2) : 175.

I3- BOTINEAU M, DELELIS-DUSOLLIER A, WATTEZ-FRANGER A, FOUCAULT B de, FROISSART D, DECOCQ G.Contribution à la connaissance phytosociologique du bocage de l’Aunis (France) : la lisière arbustive et les haies à Acer monspessulanum.Acta Botanica Gallica 1998 ; 145 (2) : 99-108.

I4- DECOCQ G.Données phytosociologiques récentes sur les forêts de la Thiérache (Aisne, France). II- Les forêts mésophiles de la Thiérache schisto-gréseuse.Acta Botanica Gallica 1998 ; 145 (3) : 219-231.

I5- DECOCQ G.Données phytosociologiques récentes sur les forêts de la Thiérache (Aisne, France). III Les forêts hygrophiles.Acta Botanica Gallica 1999 ; 146 (3) : 187-205.

I6- DECOCQ G.La dynamique de recolonisation végétale des anciennes carrières de craie phosphatée du nord de la France : analyse phytosociologique et systémique.Belgian Journal of Botany 1999 ; 132 (1) : 77-94.

I7- DECOCQ G.Un problème de phytogéographie forestière : la présence de Ceratocapnos claviculata (L.) Lidén dans le nord de la France.Acta Botanica Gallica 2000 ; 147 (2) : 143-150.

I8- DECOCQ G.The « masking effect » of silviculture on substrate-induced plant diversity in oak-hornbeam forests from northern France.Biodiversity and Conservation 2000 ; 9 : 1467-1491.

I9- DECOCQ G.La végétation forestière de la haute vallée de l’Oise (Belgique et France) : approche phytosociologique intégrée.Belgian Journal of Botany 2000 ; 133 (1-2) : 53-83.

I10- DECOCQ G, VIEILLE V, RACINET P.Influence des facteurs historiques sur la végétation actuelle : le cas des mottes castrales en milieu forestier (Picardie, France).Acta Botanica Gallica 2002 ; 149 (1) : 197-215.

I11- DECOCQ G.Patterns of diversity in plant species and communities at different spatio-temporal organization levels along a forested riparian landscape.Journal of Vegetation Science 2002 ; 13 : 91-106.

I12- DECOCQ G, HERMY M.Are there herbaceous dryads in temperate deciduous forests ?Acta Botanica Gallica 2003   ; 150(4)   : 373-382.

I13- DECOCQ G, BORDIER D, RACINET P, WATTEZ JR.A practical approach to examine the native status of a rare plant species : the controverse of Buxus sempervirens L. in northern France revisited.

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Plant Ecology 2004 ; 173 : 139-151. I14- DECOCQ G, VALENTIN B, TOUSSAINT B, HENDOUX F, SAGUEZ R, BARDAT J.Soil seed bank composition and diversity in a managed temperate deciduous forest.Biodiversity and Conservation 2004 ; 13(13) : 2485-2509

I15- DECOCQ G.Mécanisme de la dynamique naturelle des végétations forestières de montagne : essai de synthèse et conséquences en phytosociologie.Acta Botanica Gallica 2005 ; 152(4)

I16- DECOCQ G, AUBERT M, ALARD D, DUPONT F, WATTEZ-FRANGER A, de FOUCAULT B, DELELIS-DUSOLLIER A, BARDAT J,.Plant diversity in a managed temperate forest : understory response to two silvicultural systems.Journal of Applied Ecology 2004   ; 41   : 1065-1079.

I17- DENGUEADHÉ KOLONGO TS, DECOCQ G, ADOU CY, BLOM E, VAN ROMPAEY RSAR.Plant species and community diversity in the southern part of Taï National Park (Côte d’Ivoire).Biodiversity and Conservation 2006

I18- DECOCQ G, AUBERT M, BARDAT J, WATTEZ-FRANGER A, DUPONT F, LALANNE A, FOUCAULT B de, FRESNAIS S, DELELIS-DUSOLLIER A.Environmental controls patterning understory vegetation in a managed forest.Annals of Forest Science

I19- KASSI JK, DECOCQ GRégénération de la forêt dense semi-décidue dans les stades post-culturaux en forêt classée de Sanaimbo (Côte d’Ivoire)Acta Botanica Gallica 2006 (sous presse)

I20- CHABRERIE O, DECOCQ GDéterminisme et conséquences écologiques de la dynamique invasive du cerisier tardif (Prunus serotina Ehrh.) sur les communautés végétales de la forêt de CompiègneActa Botanica Gallica 2006 (sous presse)

I21- SEBERT-CUVILLIER E, PACCAUT F, CHABRERIE O, ENDELS P, GOUBET O, DECOCQ G.Local population dynamics of an alien tree species with a complex life cycle : a stochastic matrix modelling approach.Ecological Modelling 2006 (in press)

I22- CHABRERIE O, ROULIER F, HOEBLICH H, SEBERT E, CLOSSET-KOPP D, LEBLANC I, JAMINON J, DECOCQ G.Definig patch mosaic functional types (PMFTs) to predict invasion patterns in a heterogeneous forest landscape.Ecological Applications 2006 (in press)

I23- PARMENTIER I, OMOUROU M, POREMBSKI S, LEJOLY J, DECOCQ GResurrection plant communities of West African inselbergs : phytosociology and ecologyPhytocoenologia 2006 (in press)

I24- KASSI JK, DECOCQ GPostcultural secondary succession in a tropical semi-deciduous forest of Ivory Coast: integrated phytosociological and systemic analysesPhytocoenologia 2007 (in press)

I25- ENDELS P, ADRIAENS D, BEKKER R, KNEVEL IC, DECOCQ G, HERMY MDo life-history traits of forest plant species explain presence-absence patterns in forest fragments of different age in Northern Belgium ?Journal of Vegetation Science 2007 (in press)

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I26- PLUE J, HERMY M, VERHEYEN K, THUILLIER P, SAGUEZ R, DECOCQ GDo forest vegetation and seed banks ever recover after former human settlement ?Ecosystems 2007 (in press)

I25- CLOSSET-KOPP D, CHABRERIE O, VALENTIN B, DECOCQ G.When Oskar meets Alice : does the lack of trade-off between r and K strategies make Prunus serotina a successful invader of European forests ?Forest Ecology and Management 2007 (in press)

CONTRIBUTIONS À DES OUVRAGES COLLECTIFS

C1- DECOCQ G, FOUCAULT B de, AMAT JPFlore et végétation impliquées dans la recolonisation de l'ancien fort de Mayot (Aisne, France)In : DÉSIRÉ EP, REGRAIN R. "Sociétés humaines et milieux humides en Picardie". Paris : Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1996, 216 p : 171-82.

C2- DECOCQ G, FOUCAULT B deFlore et végétation de la mare de "la Fosse aux Dames" : un exemple de conservation d'une mare anthropogène en moyenne vallée de l'Oise (Aisne, France).In : TEISSIER-ENSMINGER A, SAJALOLI B."Radioscopie des mares". Paris : L'Harmattan, 1997 : 179-92.

C3- DECOCQ G, FOUCAULT B de, AMAT JP.Le fort de Mayot (Aisne, France) : sa recolonisation par les végétaux.In : "L'impact de la guerre sur la végétation et la régénération du tapis végétal", Mémoires de la Société Linnéenne Nord Picardie, III, 1996, 45p. : 19-21.

C4- DECOCQ G.Espèces végétales rares ou protégées en milieu forestier : l’exemple des forêts de la Thiérache (Aisne).In : JL Mériaux & J Duvigneaud (Edts). Espèces végétales rares et protégées de la région Picardie.Raismes : A.M.B.E., 1998, 99-107.

C5- DECOCQ G.Apports de l'approche systémique des phénomènes phytodynamiques en phytosociologie forestière.In : Géhu JM (Edt). Les données de la phytosociologie sigmatiste : structure, gestion, utilisation. Berlin : J. Cramer, 2000 : 767-788.

C6- DECOCQ G.Importance et limites de l'observation en phytosociologie.In : Viret J (Ed). L’observation dans les sciences. Paris : Editions du CTHS, 2001, 181-191.

C7- DECOCQ G, WATTEZ JRObservations archéophytosociologiques dans la vallée marécageuse de l’Authie (Somme et Pas-de-Calais, France).In : Géhu JM (Edt). La végétation postglaciaire du passé et du présent : syngénèse, synécologie, synsystématique. Berlin : J. Cramer, 2004.

C8- DECOCQ G.Synchronisme, diachronisme et isomorphisme spatio-temporel : intérêt de l’approche archéophytosociologique en systémique végétale.In : Géhu JM (Edt). La végétation postglaciaire du passé et du présent : syngénèse, synécologie, synsystématique. Berlin : J. Cramer, 2004.

C9- DECOCQ G.L’évolution de l’Ager dans le nord de la France depuis le XIXième siècle : notule d’archéoagronomie.

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In : Géhu JM (Edt). La végétation postglaciaire du passé et du présent : syngénèse, synécologie, synsystématique. Berlin : J. Cramer, 2004.

C10- DECOCQ GUtilisation de la flore et de la végétation actuelles en prospection archéologique.In : Racinet P & Schwerdroffer J (eds) Méthodes et Initiations d’Histoire et d’Archéologie. Paris : Editions du Temps, 2004, pp. 55-71.

C11- DECOCQ GDeterminism, chaos and stochasticity in plant community successions : consequence for phytosociology and conservation ecology.In : Gafta D & Akeroyd J (eds) nature conservation. Berlin : Springer, 2006, pp. 254-266.

C12- DECOCQ GFlore et végétation des forêts de la Thiérache : aspects phytogéographiques, historiques et dynamiques.In : Buridant J (ed.) La forêt dans l’Aisne : forêt carrefour, forêt frontière (sous presse)

CONFÉRENCES SUR INVITATION

CONF1- DECOCQ G« Données floristiques et phytosociologiques récentes sur les forêts de la Thiérache (Aisne) »prononcée à la Société Botanique de France en sa séance ordinaire de janvier 1997

CONF2- DECOCQ G« La végétation forestière de la haute vallée de l’Oise (Belgique et France) 30 ans après les observations de Lucien DURIN »prononcée à la Société Botanique de France en sa séance ordinaire du 28 janvier 2000

CONF3- Professeur « visiteur » à l’Université libre de Bruxelles au titre de l’année académique 2000-2001. Circuit de conférences d’une durée totale de 15 heures sur le sujet de « La Phytosociologie comme méthode d’étude de la végétation ».

CONF5- DECOCQ G« Mécanismes de la dynamique naturelle des végétations forestières de montagne : essai de synthèse et conséquences en phytosociologie »prononcée au Colloque International de Phytosociologique de Peyresq (France) en juillet 2002.

CONF5- DECOCQ G« Phytosociologie, syndynamisme et archéologie du paysage »prononcée au Colloque International de Phytosociologique de Cluj-Napoca (Roumanie) en mai 2003.

CONF6- Animateur et modérateur du colloque « Water conditions of the substrate and vegetation mapping » (avec L. MUCINA)Dans le cadre du 44th Symposium of the International Association of Vegetation Science (Naples, Italie) en juin 2003.

CONF7- DECOCQ G« Stochasticity, chaos and determinism in vegetation dynamics : implications for phytosociology »prononcée à l’International Symposium « Conceptions and methods of nature conservation in Europe » de Cluj-Napoca (Roumanie) en septembre 2004.

CONF8- DECOCQ G« La botanique au service de l’écologie »prononcée au Colloque du Cent cinquantenaire de la Société Botanique de France (Paris, France) en octobre 2004.

CONF9- DECOCQ G« Communautés végétales révélatrices de sites archéologiques dans le nord de la France »

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prononcée au Colloque INRA « La mémoire des forêts : Forêt, Archéologie et Environnement » (Nançy, France) en décembre 2004.

CONF10- DECOCQ G« Flore et végétation des forêts de la Thiérache : aspects phytogéographiques, historiques et dynamiques »prononcée au Colloque du Groupe d’Histoire des Forêts françaises « Forêt carrefour, forêt frontière» (Laon, France) en mars 2005.

CONF11- DECOCQ G« Anthropogenic disturbance-induced secondary successions : from historical ecology to ecosystem conservation management »prononcée au Congrès « Biodiversity, Ecological processes and Landscape dynamics » (Trente, Italie) en septembre 2005.

COMMUNICATIONS ORALESCongrès internationaux

OI1- DECOCQ G.La végétation forestière : un objet d'étude floristique et écologique complexe.Présentée au Deuxième Colloque International des Sciences de l'Environnement (Saint-Quentin, France ; novembre 1995).

OI2- DECOCQ G.Mise en évidence d'une dynamique interne de l'écosystème forêt et introduction à une systémique forestière.Présentée au Deuxième Colloque International des Sciences de l'Environnement (Saint-Quentin, France ; novembre 1995).

OI3- DECOCQ G.Apports de l'approche systémique des phénomènes phytodynamiques en phytosociologie forestière.Présentée au IIème Congrès de la Fédération internationale de Phytosociologie (Bailleul, France, octobre 1997).

OI4- DECOCQ G.Synchronisme, diachronisme et isomorphisme spatio-temporel : intérêt de l’approche archéophytosociologique en systémique végétale.Présentée au XXVIIIième Colloque Phytosociologique (Camerino, Italie, septembre 1998)

OI5- DECOCQ G.L’évolution de l’Ager dans le nord de la France depuis le XIXième siècle : notule d’archéoagronomie.Présentée au XXVIIIième Colloque Phytosociologique (Camerino, Italie, septembre 1998)

OI6- WATTEZ JR, DECOCQ G.Observations archéophytosociologiques dans la vallée marécageuse de l’Authie (Somme et Pas-de-Calais, France)Présentée au XXVIIIième Colloque Phytosociologique (Camerino, Italie, septembre 1998)

OI7- DECOCQ G.Influence of the geological heterogeneity on plant diversity within oak-hornbeam forests.Présentée au 42nd annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Bilbao, Espagne, 1999)

OI8- DECOCQ G.Integrated synusial phytosociology as a basic typology for further ecological studies : application to the forest vegetation of the upper Oise valley (Belgium and France).Présentée au 43rd annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Nagano, Japon, 2000)

OI9- DECOCQ G, VIEILLE V, RACINET PHistorical determinants of forest dynamics : a case study in northern France.Présentée au 45th annual symposium of the International Association for Vegetation Science (Porto Allegre, Brésil, 2002)

OI10- DECOCQ G, AUBERT M, WATTEZ-FRANGER A, DUPONT F, BARDAT J

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Comparison o the effects of two silvicultural systems on plant diversity in a temperate deciduous forest.Présentée à l’International symposium of the International Union of Forest Research Organizations « History and Forest biodiversity » (Leuven, Belgique, 2003)

OI11- DECOCQ G, AUBERT M, DUPONT F, BARDAT J, DELELIS-DUSOLLIER AImpact of two silvicultural systems on the hydrologic cycle evaluated by understory species and guild composition.Présentée au 46th annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Naples, Italie, 2003)

OI12- DECOCQ GLocal versus global drivers of vegetation changes in an ancient forest from 1890 to 2000Présentée au 48th annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Lisbon, Portugal, 2005)

COMMUNICATIONS AFFICHÉESCongrès internationaux

AI1- DECOCQ G.Examples on the use of protected plants for evaluation of the silviculture impact on forest flora and vegetation.Présentée au congrès Planta Europa 1998 (Upsalla, Suède, juin 1998)

AI2- DECOCQ G, DELELIS A.Role of borders and hedges into preserving management of biodiversity.Présentée au 42nd annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Bilbao, Espagne, 1999)

AI3- DECOCQ GHierarchical structure of plant diversity along a forested riparian landscape and its relationships with ecological processes.Présentée au 44th annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Freising, Allemagne, 2001)

AI4- PANNIER M, LANGLET C, MAIRESSE G, DECOCQ GHow trees control understorey vegetation in Carpinus betulus-forest stands ?Présentée au 45th annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Porto Allegre, Brésil, 2002)

AI5- CHABRERIE O, DECOCQ GLinking plant species diversity to American Black Cherry (Prunus serotina Ehrh.) invasion in a European temperate forest. Présentée à la Conférence internationale « Biodiversité : science et gouvernance ». (UNESCO, Paris, France, 2005).

AI6- CHABRERIE O, ROULIER F, DECOCQ GPatterns of Prunus serotina invasion at the landscape and community scales in a French forest.Présentée au 48th annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Lisbon, Portugal, 2005)

AI7- SEBERT E, PACCAUT F, CHABRERIE O, GOUBET O, DECOCQ GModelling the American black cherry invasion at two spatial scales in a forest landscapePrésentée au 48th annual symposium of the International Association of Vegetation Science (Lisbon, Portugal, 2005)

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NOTICE INDIVIDUELLECURRICULUM VITAE

Nom patronymique : M. de FOUCAULTPrénoms : Bruno, Marie, ChristianDate et lieu de naissance : le 23 juillet 1951 à TOURNEBU (Calvados)Adresse personnelle : 4 allée des Acacias, 59840 PERENCHIESTélephone : 03 20 22 43 46Adresse professionnelle : Département de botanique

Faculté des Sciences pharmaceutiques et biologiquesBP 83, 59006 LILLE Cedex

Fonctiondepuis 01-09-2002 : maître de conférences hors classe 5e échelon.

Téléphone : 03 20 96 40 40, poste 4270 ; e-mail : [email protected]

Docteur d'État et Habilité à diriger des recherches

TITRES UNIVERSITAIRES

. Baccalauréat série C (juin 1969)

. Ingénieur Agronome de l'Institut National Agronomique Paris-Grignon (septembre 1974)

. Diplôme d'Études Approfondies de la Faculté des Sciences d'Orsay, Écologie végétale (septembre 1974)

. Thèse de 3e Cycle en Sciences Pharmaceutiques, Faculté de Pharmacie de Lille (mars 1979) ; a reçu le prix de thèse R. MERVILLE offert par la Société de Pharmacie. Thèse d'État ès Sciences Naturelles : "Systémique, structuralisme et synsystématique des prairies hygrophiles des plaines atlantiques françaises", 26 juin 1984, Faculté des Sciences de Rouen ; directeurs de thèse : Professeur P.-N. FRILEUX et Professeur J.-M. GÉHU. Habilitation à diriger des recherches, 23 mars 1987.

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CURRICULUM VITAE

CLOSSET-KOPP Déborah

Âge: 30 ansDate et lieu de naissance   : 13-07-1977 à Sarreguemines, Moselle (Nationalité française) Statut familial : mariée

- Adresse personnelle 224 rue de Verdun80 000 AMIENS

- Adresse professionnelle (Amiens)Université Picardie Jules VerneFaculté de Pharmacie Dpt. Botanique1 rue des Louvels80037 AMIENS03-22-82-74-82

Adresse électronique : [email protected]

SITUATION ACTUELLE

Maître de conférence à l’Université de Picardie Jules Verne à Amiens (Profil Botanique et Ecologie végétale) dans le Dpt de Botanique en Faculté de Pharmacie sous la direction du Professeur G. Decocq, en 41ème section.

Qualification CNU : 67ème section Février 2005, 68 et 41ème sections Février 2006.

CURSUS UNIVERSITAIRE

2004/2006 : ATER à temps complet à l’université de Picardie Jules Verne à Amiens (botanique, biologie végétale, phycologie-mycologie, santé-environnement)

2000/2004 : Préparation d’une thèse de doctorat à l’Université de MetzThèse soutenue le 15 novembre 2004

Ecole doctorale : Ressources, Procédés, Produits, Environnement (RP2E)

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Mention : Très honorableTitre : Sylvigenèse de la hêtraie-sapinière dans le contexte vosgienFinancement : Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges

Composition du Jury :

- Président du Jury : Pr. W. Bücking Univ. Freibourg (Allemagne)- Rapporteurs: Pr. J.F. Ponge. Museum National Hist. Nat. Paris

Pr. C. Urbinati Univ. Ancona (Italie)- Examinateurs: Dr. D. Aran Univ. Metz

Pr. R. Carbiener Univ. Strasbourg- Directeur de thèse: Pr. A. Schnitzler Univ. Metz

Modules suivis dans le cadre de la formation de l’école doctorale de Nancy : Communication scientifique en anglais, Gestion de Projet, Modélisation des Ecosystèmes, Analyse des risques

1999 / 2000 : Diplôme d’Etudes Approfondies de Sciences Agronomiques à l’Institut National Polytechnique de Lorraine-ENSAIA –INPL à NancyEcole doctorale : RP2EMention : Assez BienTitre : Sylvigenèse de la hêtraie d’altitude dans la Réserve Naturelle du Frankenthal Missheimle

1998 / 1999 : Maîtrise de Biologie, mention Biologie des écosystèmes et des populations à l’Université de Metz, mention Assez Bien

1997 / 1998 : Licence de Biologie, mention Biologie des organismes à l’Université de Metz

1995 / 1997 : DEUG de Biologie à l’Université de Metz

DIVERS

LanguesAllemand : bilingue et bon niveau à l’écritAnglais : lu, parlé et écrit de manière correcte

InformatiqueTraitement de données expérimentales, traitements de texte, de graphiques et statistiques (Statistica, PCord).

Formations2004 : Formation de 2 mois à la dendrologie et dendrochronologie à l’INRA de Champenoux sous la direction de J.L. Dupouey.

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1999 : Stage de 5 semaines à l’ONF de Bitche (Moselle). Découverte des habitats sensibles (tourbières, rochers, pinèdes sur tourbe) et des relations sylvo-cynégétiques dans les forêts des Vosges du Nord.

Associations Membre de l’Association des secouristes Actifs de la Protection Civile de Moselle (ADPC 57).

Membre de la société d’Histoire Naturelle et d’Ethnologie de Colmar depuis 2001.Membre de la Société Linnéenne Nord Picardie depuis 2005.Scouts Unitaires de France : Directrice de camps durant 6 ans (1995-2000) et Assistante Chef de Groupe depuis 2000.

II. PUBLICATIONS, RAPPORTS D’ETUDES

Publications

Chabrerie O., Roulier F., Hoeblich H., Sébert E. Closset-Kopp D., Leblanc I., Jaminon J., Decocq G. 2007. Defining patch mosaic functional types (PMFTs) to predict invasion patterns in a heterogeneous forest landscape. Journal of applied Ecology. Vol.17 pp464-481

Closset-Kopp D., Schnitzler A., Aran D., Schwoehrer C. 2006. Dynamics in natural mixed-beech forest of the upper Vosges. Biodiversity and Conservation. Vol. 15, 1063-1093

A. Schnitzler, D. Closset, D. Gafta, V. Cristea, C. Schwoehrer. 2004. Dynamique des populations et mosaïques forestières en hêtraie-sapinière naturelle préservée. Une comparaison entre Vosges et Carpates. Rev. Ecol. (Terre et Vie), vol. 59, pp 213-228

A. Schnitzler, D. Closset. 2003. Forest dynamics in unexploited birch (Betula pendula) stands in the Vosges (France): structure, architecture and light patterns. Forest Ecology and Management 183: 205-220

Closset-Kopp D., Chabrerie O., Decocq G. When Oskar meets Alice : the lack of trade-off in r/K-strategies makes Prunus serotina Ehrh. a successful invader of European forests. Forest Ecology and Management. Sous Presse

Closset-Kopp D., Schnitzler A., Muller S. Contribution à l’étude des groupements végétaux de deux Réserves Intégrales forestières dans les Vosges cristallines. Phytocoenologia. Soumise

Séminaires et participations aux colloques

Mars 2006:Communication par posterColloque “Le réveil Dodo 2” colloque francophone, Muséum national Histoire naturelle Paris, 7-8-9 mars 2006.Does Prunus serotina lack the usual trade-off between r- and K-strategies ? A synthesis of demographical traits

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Avril 2006: Communication oraleSymposium "Ecologie des Communautés végétales" ECOVEG 2 5-6-7 avril 2006, Institut Universitaire de Technologie de l'université d'Avignon (France)D’Oskar à Alice ou les clefs du succès d’une espèce ligneuse invasive

Mai 2003 : Work-shop (Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Baden Württemberg (FVA) "Störer" im Bannwald: Jäger und Besucher? Workshop Jagd und Öffentlichkeitsarbeit im Bannwald, Itzelberg. Allemagne (2 jours)

Avril 2002 : Colloque FVA. Mehr Naturnähe in den Wäldern Baden-Württembergs. Freiburg

Avril 2000 : Séminaire « Leadership et communication » sur le thème de la forêt (6jours)

Mémoires universitaires

M1 : Closset-Kopp D. 2004. Sylvigenèse de la hêtraie-sapinière dans le contexte vosgien. Thèse de doctorat, Université de Metz, 156 pages

M2 : Closset D. 2000. Sylvigenèse de la hêtraie d’altitude dans la Réserve Naturelle du Frankenthal-Missheimle. DEA Sciences agronomiques. Université de Metz, 34p + annexes

RAPPORTS DE CONTRATS DE RECHERCHES

Closset-Kopp D., Schnitzler A. 2004. Dynamique forestière en hêtraie-sapinière dans la Réserve Naturelle du Massif du Grand Ventron. PNRBV-Université de Metz, 99 pages + annexes

Closset-Kopp D., Schnitzler A. 2004. Dynamique forestière en hêtraie-sapinière dans la Réserve Naturelle du Frankenthal-Missheimle. PNRBV-Université de Metz, 55 pages + annexes

Closset D., Schnitzler A. 2001. Etude comparative des différents protocoles de recherche appliqués aux forêts d’Europe à caractère naturel. PNRBV-Université de Metz, 34 pages + annexes

Closset D., Schnitzler A. 2000. Naturalité de la hêtraie d’altitude dans la Réserve Naturelle du Frankenthal-Missheimle. Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges (PNRBV) -Université de Metz, 37 pages + annexes

Closset D., Molter D., Schnizler A. 1999. Etude architecturale de la hêtraie-sapinière d’une parcelle forestière (46b), dans la Réserve Naturelle du Frankenthal-Missheimle. Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges-Université de Metz, 12 pages + annexes

Contribution à des ouvrages collectifs

2004 : Rédaction d’un chapitre dans le livre « Forêts à caractère naturel ». Guide ATEN 2004. Gilg Olivier 96p

2002 : Publication d’une de mes études concernant l’architecture forestière (Profil architectural) dans : Schnitzler 2002. Ecologie des forêts naturelles d’Europe. Editions Tec et Doc

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Activités de vulgarisation

2000-2003 : 3 présentations orales de mes travaux de recherche au sein du réseau Réserves Naturelles de France, Groupe forêts

Septembre 2003 : Intervention aux mercredis du Patrimoine « les forêts Vosgiennes »

III. ACTIVITES D’ENSEIGNEMENT

Filière Type Nb Heures eq.TD

Botanique générale 1ère année TD 72 h

Mycologie-Phycologie 2ème année TD 12h Mycologie-Phycologie 2ème année TP 27h

Botanique générale 2ème année TD 6hBiologie végétale 2ème année TP 18h

Interaction santé environnement 5ème année TD 15h

Mycologie 6ème année TD 6h

Ecologie fondamentale et appliquée Master 2 CM 9h

Ecologie fondamentale et appliquée Master 2 TD 3h

Sciences de l’environnement Master 1 CM 9hSciences de l’environnement Master 1 TD 15hOption écologie TD 3h

IUP CM 7,5h

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