LIVRE DES TRADITIONS POPULAIRES BOOK OF POPULAR...
Transcript of LIVRE DES TRADITIONS POPULAIRES BOOK OF POPULAR...
LIVRE DES TRADITIONS POPULAIRES
BOOK OF POPULAR
TRADITIONS
LIVRE DES TRADITIONS POPULAIRES
BOOK OF POPULAR TRADITIONS
LA TRADICIÓN POPULAR “LOS CABALLOS DEL VINO”
LA LA TRADITION POPULAIRE: “LES CHEVAUX DU VIN”
THE FAMOUS TRADITION: "THE WINE HORSES"
La Chandeleur
Candlemas
tradizione locale: “O BEN D’I MORTI “
la tradition locale : “LE BIEN DES MORTS“
LOCAL TRADITION THE DEAD’S GOOD
Кукерски обичай Le Carnaval des Koukeri
The Koukeri Carnaval
Velyku medis
L‘ARBRE DE PâqUES
„THE EASTER TREE“
Tradição“ O DIA DA ESPIGA”
Tradition Le jour de l'épi"
Tradition“THE ESPIGA DAy”
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Présentation du livre des TRADITIONS POPULAIRES
Chaque école partenaire a recherché une tradition du patrimoine culturel de sa région. Pour cela, les
écoles ont fait appel à l’ensemble de leur communauté éducative et des légendes ont été lues aux
enfants ou bien lues par eux-mêmes, pour ceux des grandes classes. Une tradition a été choisie par
l’ensemble des élèves.
A partir de cette tradition, les élèves ont dû créer une affiche pour la montrer ; les affiches produites
dans les différentes écoles seront présentées à l’exposition finale du projet qui se déroulera en
Espagne.
A travers ce projet, les élèves ont développé des compétences disciplinaires : écouter un texte et le
comprendre, lire un texte et le comprendre, identifier les caractéristiques d’un type de texte
(traditions populaires), écrire des didascalies, s’exprimer à l’oral et argumenter, ainsi que des
compétences transversales : participer à des échanges dans des situations diversifiées, coopérer avec
des pairs, s’exprimer et respecter l’expression d’autrui.
Ce livre rassemble des traditions populaires des six écoles partenaires de notre projet Erasmus Plus.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
LA TRADICIÓN POPULAR “LOS CABALLOS DEL VINO”
Según la tradición popular, estando sitiada la fortaleza templaria de Caravaca por los moros
granadinos, hacia 1250, y necesitando los moradores de la misma agua para abastecerse, ya que los
aljibes estaban exhaustos, un grupo de valerosos caballeros templarios atravesaron el sitio
musulmán, con el consiguiente riesgo que ello entrañaba. Cargaron pellejos de vino a lomo de sus
corceles y al no poder conseguir agua en los alrededores, volvieron de nuevo, en veloz y
espectacular carrera, a burlar el cerco enemigo para llevar el líquido elemento al defensor del
castillo, donde ya se guardaba, desde 1231, la Reliquia de la Stma. Cruz. Al llegar fueron recibidos
por el consiguiente alborozo, ofreciendo y ataviando las mujeres a los mozos y a los caballos con
ricos mantos bordados y ramilletes de flores, considerándolos, de esta forma, héroes y salvadores de
la situación. El festejo tiene lugar durante la mañana de cada 2 de mayo, víspera de la fiesta de la
Cruz, fecha en que Caravaca se convierte en la capital de la alegría, la belleza y de la participación
festera. El festejo comienza de madrugada con el lavado y enjaezamiento del caballo. Participan
alrededor de 70 caballos enjaezados con fastuosos mantos bordados a mano, en oro y seda, en los
que se representan escenas de la historia de la Cruz así como personajes y escenas típicas de las
fiestas y de sus rituales. El primer desfile organizado comienza a las 8 de la mañana y parte de la
Plaza Nueva y Plaza del Arco, donde previamente se han concentrado las peñas y los bandos moro y
cristiano que preceden a los múltiples caballos que toman parte en el mismo. Estos primeros
recorridos acaban en el Templete-Bañadero. Aquí se asiste a la Misa conmemorativa de la Aparición
de la Cruz. Es un intervalo de sosiego y descanso en medio de la intensidad de la mañana, porque
inmediatamente los caballos inician el recorrido hacia el Castillo en donde van a discurrir las dos
confrontaciones máximas, los momentos culminantes del festejo. El último tramo de la ascensión al
recinto de la fortaleza amurallada que se prolonga en unos 80 metros, es el lugar en donde se
desarrolla la carrera individual de los caballos. Dirigidos por sus cuatro caballistas, van abriendo
paso entre la multitud hasta llegar a la cima. Se valora el tiempo empleado para conceder el
PRIMER PREMIO DE CARRERA. Es difícil hacer una buena carrera pasando entre la gente que se
agolpa y sin perder el ritmo llegar a la cima.
La carrera y la cuesta crean un ambiente de características épicas: hombre, caballo, competición,
esfuerzo, lucha contra el tiempo, ascensión al galope, multitud, sol radiante del mediodía, cielo azul,
montes cercanos que, como inmensos telones de fondo, cierran el escenario del ritual caballístico.
Al comenzar la subida del primer caballo tiene lugar en el Santuario, ubicado dentro del recinto de la
fortaleza, el rito de la Bendición del Vino y de las Flores, origen del festejo. Después de la carrera,
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
los caballos van pasando a la explanada interior, amplio recinto de la fortaleza en donde tiene lugar
la segunda competición por el PREMIO DE ENJAEZAMIENTO.
Un jurado va llamando a cada uno de los participantes, que acuden veloces, exhibiendo sus
cualidades y haciendo alardes de demostración. Se conceden los premios de CARRERA y
VESTIMENTA o ENJAEZAMIENTO. La gente se agolpa con los caballos. Es el momento pasional
cumbre. Al anunciarse el primer premio, la explosión de aplausos y alegría contrasta con la
desilusión y protesta de otros. La música suena triunfante y el caballo ganador corre victorioso entre
la multitud.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
LA TRADITION POPULAIRE: “LES CHEVAUX DU VIN”
Selon la tradition populaire, vers 1250, la forteresse templière de Caravaca de la Cruz fut assiegée
par les maures grenadins. Les habitants de celle-ci ayant besoin d´eau pour s´approvisionner,
puisque les réservoirs étaient vides, de courageux chevaliers templiers traversèrent le siège
musulman au péril de leur vie. Ces chevaliers chargèrent des outres de vin sur leurs chevaux car ils
n´avaient pas pu trouver de l´eau aux alentours. Ensuite ils sont rentrés en traversant le siège ennemi
au grand galop rapportant ainsi le précieux liquide aux défenseurs du Château où était gardée,
depuis 1231, la Relique de la Sainte Croix. Quand les chevaliers arrivèrent, ils furent très bien
accueillis. Les femmes ornèrent les jeunes hommes et les chevaux avec de riches manteaux brodés et
des petits bouquets de fleurs, et ils furent considérés comme des héros et les sauveurs de la situation.
Chaque année, les festivités ont lieu pendant la matinée du 2 mai, veille de la fête de la Croix, date à
laquelle Caravaca devint la capitale de la joie, de la beauté et de la paticipation “festera”. Les
festivités commencent à l´aube avec le lavage et le harnachement du cheval. Le premier défilé
organisé commence à 8 heures. Environ 70 chevaux harnachés de riches manteaux brodés à la main
d´ or et de soie y participent.
Ce premier parcours prend fin au Templete-Bañadero, point de rencontre des chevaux, des
chevaliers et de toutes les “peñas” (groupe de personnes qui acompagnent les chevaux). Là, on
assiste à la Messe commémorant l´Apparition de la Croix. C´est une pause de tranquillité et de repos
au milieu de l´intensité du matin, car immédiatement après, les chevaux commencent le parcours
vers le Château où vont avoir lieu les deux grandes confrontations, les moments forts des
festivités.Le dernier tronçon de l´ascension de l´enceinte de la forteresse fortifiée qui mesure environ
80 mètres est l´endroit où se déroule la course individuelle des chevaux. Dirigés par leurs quatre
écuyers, les chevaux s´ouvrent un passage parmi la multitude de spectateurs jusqu´à l´arrivée au
sommet de la pente. C´est le moment le plus émouvant, le moment de la verité. La compétition est
source de passion et de rivalité parmi les “Peñas”. C´est la rapidité qui désigne le vainqueur.
La course et la pente créent une ambiance aux caractéristiques épiques: homme, cheval, compétition,
effort, lutte contre le temps, montée au galop, foule, murs historiques, soleil radieux du midi, ciel
bleu, montagnes proches qui, comme d´inmmenses rideaux de fond, ferment la scène du rituel
chevalier.
Après la course, les chevaux passent à l´esplanade intérieure de la forteresse où a lieu la seconde
compétition pour le prix du plus bel harnachement. Un jury appelle chacun des participants qui vient
exhiber ses qualités et faire sa démonstration.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
On vérifie la présentation et on accorde les Prix de Course et de Tenue (harnachement). Les gens se
rassemblent avec les chevaux. C´est le moment où chacun attend avec impatience. La passion est à
son comble. Lorsque le premier prix est annoncé, l´explosion d´applaudissements et de joie contraste
avec la déception et la protestation des perdants. La musique sonne triomphante et le cheval gagnant
court victorieux parmi la foule.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
THE FAMOUS TRADITION:
"THE WINE HORSES"
According to popular tradition, the Templar fortress of Caravaca was besieged by the Granada
Muslims, around 1250, and the inhabitants needed the same water to supply themselves, since the
reservoirs were exhausted. A group of valiant Templar knights crossed the Muslim site, with the
consequent risk that this entailed. They filled containers made of leather with wine on the back of
their horses and when they could not get water in the surroundings, they returned again, in a fast and
spectacular race, to evade the enemy siege to bring the liquid element to the defender of the castle,
where the heirloom of the Holy Cross of Caravaca had been kept since 1231. When they arrived,
they were greeted with enormous joy. The women offered and dressed the young men and their
horses with rich embroidered mantles or dresses for the horses as well as bouquets of flowers,
considering them, in this way, heroes and saviors of the complicated situation.
The celebration takes place on the morning every year on May 2nd, the eve of the Feast of the Cross,
the date which Caravaca became the capital of joy, beauty and festive participation.The celebration
begins at dawn with the washing and harnessing of the horses. Around 70 horses participate dressed
with lavish embroidered mantles made by hand, in gold and silk, which are represented with scenes
from the history of the Holy Cross as well as characters and typical scenes of the festivities and their
rituals. The first organized parade begins at 8 o'clock in the morning and starts from the Plaza
Nueva and Plaza del Arco (the Town Hall square), where the different horse groups and the Muslim
and Christian groups have previously concentrated, which precede the multiple horses that take part
in it. These first parades end at the Templete-Bañadero, which is an old monument with beautiful
fountains. Here we attend the commemorative Mass of the Apparition of the Cross. It is a break of
calm and rest amid the intensity of the morning, because immediately the horses begin the journey to
the castle where the most exciting and climactic moments of the celebration will take place. The last
section of the ascent to the enclosure of the walled fortress to the castle which extends about 80
meters, is the place where the individual race of the horses takes place. Each horse is guided by four
riders (two on each side) that make their way through the crowd steering their horse in the right
direction until they reach the top of the hill. The fastest time up the hill will grant the first prize
winner of the race. It is difficult to make a good timed race up the hill while passing hundreds of
people who are crowding the space. The race and the slope create an atmosphere of epic
characteristics: man, horse, competition, effort, fight against time, climb at a gallop, crowd, radiant
sun at midday, blue sky, nearby mountains that, like immense backdrops, close the scenario of the
horse race ritual. At the beginning of the race of the first horse, the ritual of the Blessing of Wine and
Flowers, which the origin of the celebration, takes place inside the castle in the Sanctuary, located
within the fort's enclosure. After the race, the horses go on to the inner terrace which is a large
enclosure of the fortress where the second competition takes place for the prize of the best-dressed
horse based on their elaborate embroidered hand-made mantles. A jury calls each of the participants,
who come fast, exhibiting their qualities and demonstration their proud mantles. These best-dressed
prizes are awarded. People crowd around the horses. It is the peak passionate moment. When
announcing the first prize, the explosion of applause and joy contrasts with the disappointment and
protest of others. The music sounds triumphant and the winning horse runs victorious among.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
La Chandeleur
Nous avons choisi la Tradition de la Chandeleur qui a lieu en Février.
Nous nous sommes interrogés sur pourquoi nous mangions des crêpes lors de cette fête. A l'époque
des Romains, il s'agissait d'une fête en l'honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient
les rues de Rome en agitant des flambeaux.
En 472, le pape en fait une fête religieuse, qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au
temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une
technique précise : chaque croyant doit récupérer un cierge à l'église et le ramener chez lui en
faisant bien attention à le garder allumé !
Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la
chandeleur, le blé serait carié pour l'année.
D'ailleurs, en faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d'or. Les
paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d'or dans la
main gauche.
Ensuite, la pièce d'or était enroulée dans la crêpe avant d'être portée en procession par toute la
famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l'armoire jusqu'à l'année suivante. On
récupérait alors les débris de la crêpe de l'an passé pour donner la pièce d'or au premier pauvre venu.
Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d'avoir de l'argent toute l'année.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Candlemas
Our school chose Candlemas which happens in February.
Candlemas is celebrated in the churches on February 2. It is also considered the day of crêpes. But
why do we eat a lot of crepes during this period? Tradition attributes this custom to Pope Gelasius I,
who had pancakes distributed to pilgrims arriving in Rome, but as mentioned earlier one can also see
it as a vestige of the custom of Vestal Virgins making offerings of cakes at the time of the
Lupercalia.
To celebrate Candlemas, all the candles in the house should be lit. Tradition also says manger scenes
should not be put away until Candlemas, which is the last feast of the Christmas cycle.
It is also said that the pancakes, with their round shape and golden color reminiscent of the solar
disc, refer to the return of Spring after the dark and cold of Winter.
Even today there is a certain symbolism associated with the preparation of the crêpes. A tradition
dating back to the late fifth century and linked to a fertility rite is to flip the crepes in the air with the
right hand while holding a gold coin (such as a Louis d'or) or some other coin in the left hand, in
order to have prosperity throughout the year.
One has to ensure that the pancake lands properly back in the pan. It is also said that the first crepe
made should be kept in an armoire to ensure a plentiful harvest later in the year.
It is sometimes specified that it be placed at the top of the armoire, and the pancake will supposedly
not get moldy and will keep misery and deprivation far away.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
La tradizione locale
IL BEN D’I MORTI Il giorno dei morti è la festività che la Chiesa cattolica dedica alla commemorazione dei defunti. La
festa ha origini antiche, che uniscono paesi lontani per epoche e distanze. La data del
festeggiamento, il 2 novembre, non è casuale. Civiltà antichissime già celebravano la festa degli
antenati o dei defunti in un periodo che cadeva proprio tra la fine di ottobre e i primi giorni di
novembre. Questa data sembra riferirsi al periodo del grande Diluvio, di cui parla la Genesi. Quello
per cui Noè costruì l’arca che, secondo il racconto di Mosè, cadde nel "diciassettesimo giorno del
secondo mese", che corrisponderebbe al nostro novembre.
La Festa dei Morti nacque dunque in "onore" di persone che Dio stesso aveva annientato, col fine di
esorcizzare la paura di nuovi eventi simili. Da qui in poi, la storia, che è ovviamente sospesa tra
religione e leggenda, diventa più chiara. Il rito della commemorazione dei defunti sopravvive alle
epoche e ai culti: dall’antica Roma, alle civiltà celtiche, fino al Messico e alla Cina, è un proliferare
di riti, dove il comune denominatore è consolare le anime dei defunti, perché siano propizie per i
vivi. La tradizione celtica fu quella che ebbe maggiore eco.
La celebrazione più importante del calendario celtico era la "notte di Samhain", la notte di tutti i
morti e di tutte le anime, che si festeggiava tra il 31 ottobre e il 1° novembre. All'epoca dei primi
cristiani, queste tradizioni erano ancora molto presenti: la Chiesa cattolica faticava a sradicare i culti
pagani. Così, nel 835, Papa Gregorio II spostò la festa di "Tutti i Santi" dal 13 maggio al 1°
novembre, pensando, in questo modo, di dare un nuovo significato ai culti pagani. Nel 998 Odilo,
abate di Cluny, aggiungeva al calendario cristiano il 2 novembre, come data per commemorare i
defunti. In memoria dei cari scomparsi, ci si mascherava da santi, da angeli e da diavoli; inoltre, si
accendevano falò . In Liguria la tradizione vuole che il giorno dei morti si preparino i "bacilli" (fave
secche) e i "balletti" (castagne bollite). Tanti anni fa, alla vigilia del giorno dedicato ai morti i
bambini si recavano di casa in casa per ricevere il "ben dei morti" (fave, castagne e fichi secchi), poi
dicevano le preghiere e i nonni raccontavano storie e leggende paurose.
Una leggenda di Bolano narra che, in questa unica notte, le anime dei morti che non hanno ancora
trovato pace, tornino alle loro case e quindi per accoglierli al tramonto si riunisce una lunga
processione di bambini vestiti di bianco che percorrono le vie del borgo partendo dal piazzale della
chiesa.L'antico racconto dice che questi spiriti tornano sulla Terra e si mostrano camminando con un
cero in mano, in dialetto vengono chiamati "Mna", termine probabilmente derivato da Meneadi. Essi
cercano il Ben' D'i morti che viene preparato dagli abitanti del posto.
Gli Mna cantano "S'A' N' DARE' 'R BEN' D'I MORTI, A PRGREN'PR'I VOSTRI MORTI, CHI 'N
GHEN' DA' GI'EN TUTI PORCHI "(Se ci darete il Ben' D'I Morti, pregheremo per i vostri morti e
tutti quelli che non lo faranno son porci).
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Dopo questa richiesta vengono aperte le finestre e, oggi come un tempo, dalle case scendono ogni
tipo di offerta. Nello stesso tempo, nella piazza principale del centro storico è preparato un tavolo
con pane, vino e le offerte e si accende una lanterna in attesa delle anime.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
la tradition locale
LE Bien DES MORTS
Le jour des morts est la fête que l'Église catholique consacre à la commémoration des morts. Le
festival a des origines anciennes qui unissent les pays lointains à travers les âges et les distances. La
date de la célébration, le 2 novembre, n'est pas accidentelle. Les civilisations anciennes célébraient
déjà la fête des ancêtres ou des morts à une période qui tombait entre la fin d'octobre et les premiers
jours de novembre. Cette date semble se référer à la période du Grand Déluge, dont parle la Genèse,
celui pour lequel Noé a construit l'arche qui, selon le récit de Moïse, est tombé le "dix-septième jour
du deuxième mois", ce qui correspondrait à notre Novembre. La fête des morts est donc née en
«l’honneur» des personnes que Dieu lui-même avait anéanties, dans le but d'exorciser la peur de
nouveaux événements similaires.
A partir de là, l'histoire, qui est évidemment suspendue entre la religion et la légende, devient plus
claire. Le rituel de commémoration des morts survit aux âges et aux affaires religieuses: de la Rome
antique à la civilisation celtique, du Mexique à la Chine, existe une prolifération de rituels dont le
dénominateur commun est la consolation des âmes des morts, pour qu’elles soient bienveillantes
envers les vivants. La tradition celtique était celle qui avait le plus d'écho. La célébration la plus
importante du calendrier celtique fut la «nuit de Samhain», la nuit de tous les morts et de toutes les
âmes, célébrée entre le 31 octobre et le 1er novembre. A l'époque des premiers chrétiens, ces
traditions étaient encore très présentes: l'Église catholique luttait pour éradiquer les cultes païens.
Ainsi, en 835, le pape Grégoire II a déplacé la fête de « All Saints » du 13 mai au 1er Novembre,
pensant ainsi donner un sens nouveau à des cultes païens. En 998, Odilo, abbé de Cluny, a ajouté au
calendrier chrétien le 2 novembre comme date pour commémorer les morts. En mémoire des êtres
chers perdus, on se masquait en saints, anges ou démons; de plus, des feux de joie étaient allumés.
En Ligurie, la tradition veut que le jour des morts on prépare les "bassines" et les "ballets". Il y a
plusieurs années, à la veille de la journée consacrée à des enfants morts, ces bassines sont passées de
maison en maison pour recevoir le « bien des morts » (haricots, châtaignes et figues sèches), puis on
dit les prières et les grands-parents racontent des histoires effrayantes et des légendes.
A Bolano, la légende raconte que pendant cette nuit-là, les âmes des morts qui n'ont pas encore
trouvé la paix, rentrent chez elles et qu’au coucher du soleil elles rencontrent une longue procession
d'enfants vêtus de blanc qui marchent dans les rues de l’entrée du village jusqu’à la place de l'église.
L'histoire ancienne dit que ces esprits reviennent sur Terre et se montrent en train de marcher avec
une bougie dans leurs mains, en dialecte ils sont appelés "Mna", un terme probablement dérivé de
Meneadi. Ils recherchent les morts de Ben 'D'i qui sont préparés par les habitants. La Nina chante «
Si « N » DARE « » R BEN « des morts, un PRGREN'PR'I VOTRE MORT, QUI N » Ghen « DA »
GI'EN Tuti Porcs »
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
(Si vous nous donnez le bien des morts, nous prierons pour vos morts et tous ceux qui ne le feront
pas sont des cochons).
Après cette demande, les fenêtres sont ouvertes et, aujourd'hui comme autrefois, toutes sortes
d'offres descendent des maisons. Dans le même temps, une table avec du pain, du vin et des
offrandes est préparée sur la place principale de la vieille ville et une lanterne est allumée en
attendant les âmes.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Local tradition
The DEAD’S GOOD
“All Soul’s Day” is the holiday that the Catholic Church dedicates to the commemoration of the
deaths. The celebration has ancient origins, which unite different and distant countries. The date of
the celebration, the 2nd
November, is not accidental. Ancient civilizations were already celebrating
the feast of ancestors or the dead in a period that fell between the end of October and the first days of
November.
This date seems to refer to the period of the Great Flood, spoken about in the Genesis. The ritual of
commemoration of the dead survives in different ages and religions: ancient Rome, Celtic
civilization, but also in Mexico and China, it is a proliferation of rituals, where the common
denominator is to comfort the souls of the dead, so that they could be favourable for the people still
alive. The Celtic tradition was the most echoed in Europe.
The most important celebration of the Celtic calendar was the "night of "Samhain ", the night of all
the dead and all souls, celebrated between the 31st of October and the 1
st of November .
In the early Christian period, these traditions were still very present: the Catholic Church struggled
to eradicate the pagan cults.
Thus, in 835, Pope Gregory II moved the feast of "All Saints" from the 13th
of May to the 1st
November, to give a new meaning to the pagan cults. In 998 Odilo, abbot of Cluny, added the 2nd
of
November to the Christian calendar, as a date to commemorate the dead. In memory of the lost loved
ones, people dressed up like saints, angels and demons and bonfires were lit.
On All Soul’s Day in Liguria the tradition is to cook "bacilli" (dry beans) and "baletti" (boiled
chestnuts). Several years ago, on All Soul’s Day Eve children used to go from house to house to
receive the "good of the dead" (beans, chestnuts and dried figs), then they acted the worship and the
grandparents used to tell them scary stories and legends.
A legend in Bolano tells that on this night, the souls of the dead who are still looking for peace
come back home and at sunset they are welcomed by a long procession of children dressed in white
who walk about the village streets.
According to the story, these spirits come back to Earth and show themselves walking with a candle
in their hands; in the local dialect they are called "M'na", a term probably derived from Maenads.
They look for the Good of the dead that is prepared by the inhabitants.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
The "M'na" sing: - "S'A' N' DARE' 'R BEN' D'I MORTI, A PRGREN'PR'I VOSTRI MORTI, CHI
'N GHEN' DA' GI'EN TUTI PORCHI "-
(If you give us the Good of the dead, we will pray for your dead, if you don’t you are pigs). After
this request, the windows are open and still today different offers come from houses. Meanwhile, in
the main square of the old village a table with bread, wine and offers is laid and a lantern is lit,
waiting for souls.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Кукерски обичай
Всеки народ има своите традиции и обреди, сътворявани от хората и завещавани на идните
поколения. Един от най-ярките, най-типичните и най-интересни моменти в традиционния
български календар са кукерите.
В различните краища на България кукерите излизат по различно време - на Васильов ден, на
Песи понеделник след Сирни Заговезни, през месец март. Имат и различни имена: бабугери,
песяци, мечкари, старци, сирвискари, кукове.
Кукерите се обличат със смесица от мъжки и женски дрехи и страшни маски, окачат по себе
си звънци и хлопки, и носят мечове или тояги за да изплашат и прогонят безплодната зима и
злите духове и орисници, та да дойде пролетта и да е плодородна настъпващата стопанска
година.
По стар обичай те излизат в периода между Месни и Сирни Заговезни в Източна България и
между Коледа и Богоявление в Западна България.
В наши дни Кукеров ден е весел празник, чието значение е да пресъздаде миналото и да
събере хората за всеобща радост и веселба.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
La tradition
Le Carnaval des Koukeri
Chaque pays possède ses propres traditions et ses rituels, créés par le peuple et légués aux
générations suivantes. Une des traditions les plus brillantes et typiques du calendrier traditionnel
bulgare est la tradition des Kukeri.
Dans les différentes parties de la Bulgarie, les Kukeri sortent à des moments différents de l’année –
au début de janvier, pendant la semaine grasse il y a le carnaval des Koukeri. On les appelle avec
des noms différents dans les différentes parties de la Bulgarie- babugeri, pesiatsi, mechkari,
vieillards, sirviskari et kukove.
Les Kukeri sont des hommes bulgares costumés qui effectuent des rituels traditionnels ayant pour
but d'effrayer les mauvais esprits. Des traditions similaires existent ailleurs dans les Balkans,
en Grèce, en Roumanie et dans la région du Pont en Anatolie. Les costumes couvrent la plupart du
corps et incluent des masques d'animaux en bois décorés et de grosses cloches attachées à la
ceinture. Autour du Nouvel an et avant le Carême, les Kukeri marchent et dansent dans les villages
pour faire fuir les mauvais esprits à l'aide de leurs costumes et du bruit de leurs cloches.
De nos jours la fête de Kukeri est une fête amusante dont l'importance est de recréer le passé et de
rassembler les gens dans la joie. Les Kukeris assurent de bonnes récoltes, la santé et la joie pour
toute l'année.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
The Koukeri Carnaval
Each country has its own traditions and rituals, created by its people and transmitted to next
generations. One of the most amazing and typical traditions in the bulgarian calendar is the one of
the Kukeri.
In the various areas of Bulgaria, the kukeri come out at different periods of the year – at the
beginning of January, during the fat week, there is the carnaval of Koukeri. According to where you
are in Bulgaria, they can be called babugeri, pesiatsi, mechkari, old men, sirviskari and kukove.
Kukeri are costumed bulgarian men who perform traditional rituals supposed to frighten evil spirits.
Similar traditions exist elsewhere in the Balkans, in Greece, in Romania and in the regions of the
Anatolia Bridge.
Costumes cover most of the body and include decorated wooden animal masks and big bells
attached at the belt. During the New Year period and before Lent, the kukeri, with their costumes
and bells, stroll and dance around villages to frighten the evil spirits away.
Nowadays, the kukeri feast is a fun one aiming to recreate the past times and get people together in
a joyful atmosphere. The kukeri assure good harvests, health and happiness all year round.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Velyku medis
Velykos-gamtos atbudimo, pavasario džiaugsmo ir linksmybių šventė. Senovės lietuviams tai buvo
didžioji pavasario šventė, kuri dabar atitinka krikščionių Velykų laiką, kuris simbolizuoja Kristaus
prisikėlimą iš numirusiųjų po nukryžiavimo. Jos švenčiamos pirmą mėnulio pilnaties sekmadienį po
pavasario lygiadienio. Velykų data, nustatoma pagal mėnulio kalendorių, todėl ji gali kisti nuo kovo
22 iki balandžio 25 dienos. Jų pavadinimas kilęs iš žodžio ,,vėlės“. Seniau buvo tradicija tą dieną
lankyti mirusiųjų kapus, nunešti jiems maisto-kiaušinių. Mūsų protėviai tikėdavo, kad atėjus
pavasariui, vėlės atsikelia iš žemės. Pirmasis perkūnas jas priversdavo sugrįžti į kapus. Tikėta, kad
mirusiųjų vėlės išlenda su atgimstančia gamta, o pasitraukia po pirmojo perkūno.
Šeduvos lopšelis-darželis turi tradiciją-kasmet likus kelioms savaitėms iki Velykų puošia Velykų
medį. Jį margučiais išpuošia darželinukai ir visa miestelio bendruomenė. Kiaušinis nuo pagonybės
laikų simbolizuoja gyvybės atsiradimą, vaisingumą. Nuo seno tikėta, kad margintas kiaušinis turėjo
magiškų galių. Ištisus metus visa darželio bendruomenė renka pustus kiaušinius, juos dekoruoja įvairiomis technikomis ir laukia didžiosios pavasario šventės-Velykų. Kiekvienais metais sveiki
išlikę kiaušiniai yra nukabinami nuo medžio, sudedami į dėžes ir saugomi iki kitų Velykų. Prie
medžio puošybos kasmet prisideda Šeduvos gimnazijos mokiniai ir mokytojai, Globos namų
gyventojai ir administracija, Šeduvos pagyvenusių žmonių klubo ,,Svajokliai“ nariai ir Šeduvos
kultūros ir amatų centro bei Šeduvos seniūnijos darbuotojai. Ant Velykų medžio kabinami
išskirtiniai kiaušiniai, nes vienodų nėra. Kiaušiniai marginami pačia įvairiausia technika. Ant jų
vaikai piešia saulutes, tikėdami, kad ateinantys metai bus šilti ir saulėti, aplipdo juos plastilinu,
modelinu, išgaudami gražiausius raštus. Puošiant kiaušinius darželio bendruomenei netrūksta
fantazijos. Vieni juos apklijuoja įvairiais akmenukais, karoliukais, blizgučiais, kiti apsuka įvairių
spalvų siūlais ar juostelėmis. Turintys puikius piešimo įgūdžius margina kiaušinius vašku arba
išskutinėja įvairiausius ornamentus peiliuku. Mėgstantys rankdarbius kiaušinius apmezga arba
apneria įvairių spalvų siūlais. Labai gražūs margučiai gaunasi panaudojant dekupažo techniką,
apklijuojant juos įvairiaspalvėmis stalo servetėlėmis. Vaikai labai mėgsta ant kiaušinių piešti
įvairiomis piešimo priemonėmis, klijuoti lipdukus. Kiaušinių puošybai panaudojami ir maisto
produktai-įvairios kruopos, sėklos, grūdai. 2018 metais mūsų valstybė minėjo atkurtos Lietuvos
šimtmetį, todėl nemažai margučių pasipuošė mūsų trispalvės vėliavos spalvomis. Vaikams patinka
marginti kiaušinius, pasakoti patirtus įspūdžius, skaičiuoti, kiek jų pagražino. Papuošti margučiai
saugomi dėžėse iki Velykų medžio puošimo šventės. Šventės dieną visa darželio bendruomenė
susirenka puošti darželio teritorijoje esantį abrikosmedį. Tuomet darželio kieme skamba vaikų
atliekamos dainos, šokami lietuvių liaudies šokiai, susirenka gausybė svečių iš Šeduvos miestelio
įstaigų padėti sukabinti papuoštus kiaušinius. Papuoštas medis džiugina ne tik per Velykas, bet dar ir
keletą savaičių po šios šventės. Šiemet darželio bendruomenė jau aštuntą kartą papuošė Velykų
medį, ant kurio sukabino net 7017 margučių.
Velykų medis kasmet ne tik džiugina akis, bet ir užburia šventine nuotaika belaukiant gražiausios
pavasario šventės-Velykų. Margučiais išpuoštas medis jau tapo turistų traukos centru, per Velykas į
Šeduvą pritraukia daug svečių, kurie susirenka pažiūrėti margučių gausos, pasisemti jų marginimo
įdėjų. Velykų medžio puošyba tapo gražia Šeduvos lopšelio-darželio tradicija, kurią kartosime dar ne
vienais metais.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
L‘ARBRE DE PâqUES
Pâques, c‘est la joyeuse fête du réveil de la nature et du printemps. Pour nos ancêtres lituaniens
païens, il s‘agissait de la grande célébration du printemps dont le sens d‘aujourd‘hui correspond au
temps chrétien de Pâques qui symbolise la résurrection du Christ après la crucifixion. On le célèbre
le dimanche de la première pleine lune après l‘équinoxe de printemps. La date de Pâques ext fixée
selon le calendrier lunaire, elle peut donc être située entre le 22 mars et le 25 avril. Le nom lituanien
de Pâques provient du mot qui signifie „âme“, cela est dû au fait qu‘autrefois on avait pour tradition
de visiter les tombes des proches ce jour- là et de leur apporter de la nouriture : des oeufs. Nos
ancêtres croyaient que lorsque le printemps arrivait, les âmes sortaient de la terre et que le premier
coup de tonnerre les forçait à y retourner.
Chaque année, l‘école maternelle de Šeduva décore un arbre de Pâques pendant les quelques
semaines qui précèdent cette belle fête. Les petits enfants de la maternelle et toute la communité de
la ville décorent des oeufs peints puis les mettent sur l‘arbre de Pâques.
Au temps des païens, l‘oeuf symbolisait l‘émergence de la vie, la fertilité. Aux temps anciens, on
croyait qu‘un oeuf peint avait des pouvoirs magiques.
Tout au long de l‘année, toute la communauté de l‘école maternelle fait la collecte des oeufs vidés,
les décore avec des techniques différentes et attend la plus belle fête du printemps : la fête de
Pâques. Après cette fête, on détache les oeufs de l‘arbre, on les place dans des boîtes et on les garde
jusqu‘aux Pâques suivantes. Chaque année, les élèves et les professeurs du lycée de Šeduva, les
habitants et l‘administration de la Maison de retraite, les membres du club des personnes âgées „Les
Rêveurs“, le personnel du Centre de la culture et de l‘artisanat de Šeduva et celui de la mairie de la
ville, tout le monde contribue à la décoration de l‘arbre.
Tous les oeufs sont différents, il n‘y a pas deux oeufs identiques. Les enfants dessinent le soleil sur
les oeufs en espérant que l‘année sera chaude et ensoleillée. Ils utilisent la pâte à modeler pour créer
les plus beaux motifs sur les coquilles d‘oeufs. De toute évidence, la communauté de la maternelle
ne manque pas d‘imagination pour décorer ces oeufs : les uns les recouvrent de pierres, de perles ou
de paillettes, les autres les enfilent avec des fils ou des bandes de différentes couleurs. Ceux qui ont
d‘excellentes compétences en dessin travaillent avec de la cire, ils l‘étalent sur les oeufs avec une
variété d‘ornements. Ceux qui aiment l‘artisanat les vêtissent avec du tissu ou avec des fils colorés
tricotés. On produit aussi de très beaux oeufs avec la technique du découpage utilisant une variété
de serviettes de table en papier. Les petits adorent peindre avec divers outils de dessin, coller des
autocollants. Pour la décoration des oeufs, on utilise également des produits alimentaires comme des
gruaux, des graines, des céréales. En 2018, la Lituanie a célébré le centenaire de l‘Etat restauré et
plusieurs oeufs ont été colorés aux couleurs du drapeau.
Les enfants aiment décorer les oeufs, raconter et échanger leurs impressions, calculer combien ils en
ont produit. On garde tous les oeufs décorés dans des boites jusqu‘à la fête de la décoration de
l‘arbre de Pâques où toute la communauté se rassemble pour orner l‘abricotier. Dans la cour de la
maternelle, les enfants chantent, dansent des danses folkloriques lituaniennes; beaucoup d‘invités
des institutions de la ville de Šeduva viennent pour aider à accrocher les oeufs sur l‘arbre. On peut
jouir de l‘arbre orné non seulement pendant Pâques mais aussi quelques semaines après la fête.
Cette année l‘arbre de Pâques a été orné pour la huitième fois par 7017 oeufs décorés !
Chaque année, l‘arbre de Pâques ravit les yeux, répandant une ambiance festive tout au long de
l‘attente de la plus belle fête du printemps : Pâques.
L‘arbre orné d‘oeufs est déjà devenu un centre d‘attraction touristique, il attire en effet à Šeduva de
nombreux visiteurs qui viennent le regarder et prendre de nouvelles idées pour la décoration des
oeufs. La décoration de l‘arbre de Pâques, qui s‘est dévéloppée depuis plusieurs années, est devenue
une belle tradition de l‘école maternelle de Šeduva.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
„The EastER TREE“
Easter- the celebration of nature awake, spring joy and fun. For the ancient Lithuanians this was the
great spring festival, which now corresponds to the Christian Easter time, which symbolizes Christ's
resurrection from the dead after the crucifixion. Easter is celebrated on the first full moon on Sunday
after the spring equinox. The Easter Date is based on the lunar calendar, so it can change from March 22 to April 25. Its name came from the word "sole". In the past, it was a tradition to visit the
dead tombs on that day, to bring them food-eggs. Our ancestors believed that when spring came, the
soles of dead would rise up from the earth. The first thunder forced them to return to the grave. It is
believed that the soles of the dead are flowing with a reviving nature, and they are going back after
the first thunder.
The Šeduva kindergarten has a tradition - every year few weeks before Easter they are decorating
an Easter tree. The children and the entire community of the town are decorating the free with Easter
eggs. The Egg from the times of paganism symbolises the emergence of life, fertility. From ancient
times, it was believed that the decorated egg had magical powers. Throughout the year, the entire
community of nursery collects pounding eggs, decorates them with various techniques and looks
forward to the great spring holidays-Easter. Every year, any undamaged eggs are collected from the
tree, placed in boxes and stored until next Easter. Every year, the students and teachers of the Šeduva
Gymnasium, the residents and administration of the Retirement House, members of the Seduva
Seniors' Club and Šeduva Culture and Crafts Center and Šeduva County Governorate contribute to
the decoration of the tree. There are no identical eggs on Easter tree. On them, children draw the sun,
believing that the coming year will be warm and sunny, wrap them up with plastilines, modeling,
producing the most beautiful patterns. When decorating eggs, the community of the kindergarten has
no limits imagination. Some covers them with different stones, beads, glitter, others wrap them with
different colored threads or stripes, ribbons. Those who have excellent drawing skills draw on eggs
with wax or blade scratch various ornaments. Others even knit the colourful eggs. Kids love to paint
on eggs with various drawing tools, sticking stickers, using napkins techniques. Food products-
various groats, seeds, grains are also used for egg decoration. In 2018, our country celebrated the
century of the restored Lithuania, and so many eggs were decorated with the colours of our national
flag. Children like to paint eggs, tell their experiences, calculate how much they have been painted.
Decorated Easter eggs are kept in boxes until next Easter tree decorations. On the celebration day,
the entire community of nursery gathers to decorate the apricot tree in the nursery garden. Then in
the yard of the nursery children's songs are performed, gathered for Lithuanian folk dances and a
large number of guests from the institutions of the town of Šeduva help to hang the decorated eggs.
The decorated tree delights not only during Easter, but even a few weeks after this holiday. This
year's nursery community has decorated Easter tree for the eighth time, on which 7017 decorated
eggs have been made.
The Easter tree not only delights the eyes every year, it also enchants the festive mood while
waiting for the most beautiful spring holiday - Easter. The tree decorated with Easter eggs has
already become a tourist attraction, attracting many guests to celebrate Easter in Seduva, who gather
to see the beautiful eggs and get happy experience. The Easter tree decoration has become a
beautiful tradition of the Seduva nursery, which will be continued for many years
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Tradição
“ O DIA DA ESPIGA”
O Dia da Espiga ou Quinta-feira da Ascensão festeja-se quarenta dias depois da Páscoa.
Neste dia é tradição fazer piqueniques no campo e apanhar a espiga.
A espiga é um ramo composto por um malmequer, uma papoila, um raminho de oliveira e uma
espiga de trigo. As flores (malmequer e papoila) simbolizam a alegria; o raminho de oliveira
representa o azeite, a luz e a paz; a espiga de trigo significa o pão.
A espiga depois de apanhada é colocada atrás da porta durante um ano, até à sua substituição porque
se acredita que o sustento, a paz e a alegria no lar podem depender da sua simbologia.
No concelho de Torres Novas, este dia é Feriado Municipal. Antigamente, os campos eram
abençoados para serem férteis todo o ano. O leite dos animais não era coalhado para o fabrico do
queijo e era oferecido à população, havendo a tradição de confecionar arroz-doce. Este era um dia
marcante e culturalmente rico (com danças, cantares e jogos tradicionais) permitindo o convívio
entre as diferentes gerações.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Tradition
"Le jour de l'épi"
Le jour de l'épi ou le jeudi de l'Ascension est célébré quarante jours après Pâques.
En ce jour, on a la tradition de faire des pique-niques dans les champs et de ramasser l'épi.
L'épi est composé d'une branche d’un souci, d'un coquelicot, d'un brin d'olivier et d'un épi de blé.
Les fleurs (souci et coquelicot) symbolisent la joie ; la branche d'olivier représente l'huile, la lumière
et la paix; l'épi de blé signifie le pain.
Le bouquet après avoir été cueilli est placé derrière la porte pendant un an, jusqu'à ce qu'il soit
remplacé parce qu'on croit que la subsistance, la paix et la joie dans la maison peuvent dépendre de
son symbolisme.
Dans la municipalité de Torres Novas, cette journée est un jour fériée. Autrefois, les champs étaient
bénis pour être fertiles toute l'année et le lait du jour était offert à la population, qui en faisait du riz-
au-lait. Il fut un temps où le jour de l’épi était une journée remarquable et culturellement riche (avec
des danses, des chants et des jeux traditionnels) permettant la convivialité entre les différentes
générations.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
Tradition
“THE ESPIGA DAy”
The Espiga day or also called Ascension Day, is celebrated forty days after Easter.
The tradition in this day is to do outdoor picnics, in fields, parks and lakesides to collect the Espiga.
The Espiga is a bunch made of a marigold flower, a poppy flower, a small olive branch and an ear of
wheat. The flowers (marigold and poppy), mean happiness; the small olive branch symbolizes olive
oil, light and peace; and the ear of wheat symbolizes the bread.
After being collected the Espiga, is kept behind a door for a year until is replaced. By doing it, it is
people’s belief that livelihood, peace and happiness is brought to their homes.
In Torres Novas county, this day is a bank holiday. In the old days, the fields were blessed to be
fertile and good to be planted all year. The milk from the animals wasn’t used to produce cheese but
instead, was offered to the population. With that milk, woman would prepare a traditional dessert
called sweet rice. This was a very important day with many cultural traditions (with dances, songs
and traditional games), allowing different generations to interact with each other.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3
CEIP Cervantes
Caravaca de la Cruz
SPAGNA
Ecole Paul Ricoeur
Louvres
FRANCIA
I.C.S. Manzoni-UNGARETTI”ISA 20
Bolano
ITALIE
S.P. St Sofronii Vrachanski
Vratsa
BULGARIA
RADVILIškIO RAjONO šEDUVOS LOPšELIS-darželis
šEDUVA
LITUANIE
Agrupamento de Escolas Gil Paes
Centro Escolar Da Serra De Aire
Torres Novas PORTuGAL
Ce projet est financé avec le soutein de l’UE par Erasmus +. Cette publication reflécte
uniquement les opinions de l’auteur, et l’UE ne sont pas responsables de l’utilisation des
informations contenues dans celui-ci.
Erasmus + 2017-1-ES01-KA219-037870_3