La clarinette castraise _ 1

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  • 8/16/2019 La clarinette castraise _ 1

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    Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

    La Clarinette castraise : journalmusical, scientifique et

    littéraire, illustré de vignettes,dessins, charges, [...]

    http://gallica.bnf.fr/http://www.bnf.fr/

  • 8/16/2019 La clarinette castraise _ 1

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    La Clarinette castraise : journal musical, scientifique et littéraire,illustré de vignettes, dessins, charges, caricatures et paysages, par

    une société d'artistes et d'amateurs / dir. Pagès. 15/11/1857.

    1

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    4re

    Année.

    N

    2

    DE

    L'ABONNEMENT.

    Dimanche

    45

    Novembre

    18S7.

    Journal Musical,

    .Scientifique

    et

    Littéraire

    Castres,

    15

    HoTeinbre.

    Une

    lettre

    anonyme

    de

    Mazamet*

    Après

    avoir

    répondu

    à

    l'Industriel,

    dont

    la maladie

    em-

    pire

    tous

    les

    jours,

    l'Aigle

    du

    Tarn

    a

    relevé

    par

    quelques

    lignes

    bien

    senties

    son

    premier

    article, écrit

    probablement

    sous

    un

    saule pleureur.

    La

    ville de

    Mazamet

    est

    industrielle,

    et

    si

    nous ne

    l'avi-

    ons

    pas

    su,

    une

    lettre

    anonyme, que

    M. leDirecteur

    a

    reçue,

    nous

    apprendraitqu'elle

    possède

    au

    moins

    trente

    filatures

    de plus

    que

    Castres.

    Avons-nous

    jamais attaqué

    les

    Maïa-

    metois

    sur

    leur

    esprit

    actif

    ou

    passif

    à

    connaître la

    qualité

    des

    laines

    ?

    Ah

     

    Dieu

    ,

    non.

    Il

    n'est

    pas

    dans le

    tempéra-

    ment

    de la

    Clarinette

    de s'occuper

    de

    leurs cuirs.

    Et,

    pour

    clore

    à

    jamais

    toute

    discussion

    sur

    le

    malencontreux

    iVette,

    nous

    allons

    répondre

    à l'avocat

    anonyme,

    défenseur

    mysti-

    que

    de l'Industriel, qui

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    k

      hâsserre

     api^mlORèfa hisx

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    LA

    CLARINETTE

    CASTRAISE.

    LE

    DIABLEAU

    MANOIR.

    C'est

    le

    Diable

    non

    cher

    lecteur,

    voyez

    plutôt la

    fin

    de

    ma

    ballade.

    J.

    BERNIER.

    Dieu

     

    quel

    tapage

     

    Entendez-vous

    ?

    Ici beau

    page

    ,

    A

    mes

    genoux....

    Noble

    dame

    ,

    Sur

    mon

    âme,

    Je

    n'ose;

    si

    monseigneur...

    Cette

    porte

    Est

    peu

    forte...

    Verrouillons—là...

    car...

    j'ai peur

    Mais le

    vacarme,

    Redoubleencor ...

    Je

    suis

    sans

    arme,

    *>

    Sortons

    d'abord...

    Gentil

    page,

    Du

    courage...

    On

    frappe...

    je

    meurs

    d'effroi

     

    Ah

     

    demeure,

    Que

    je

    meure,

    S'il le

    faut,

    auprès

    de

    toi ..

    La

    châtelaine

    Point

    n'en mourut

    ;

    Le

    page

    Arsène

    Au

    jour

    s'en

    fut;

    Puis

    du

    diable,

    '

    Quand,

    à

    table,

    On

    vint

    à

    parler

    ,

    soudain*

    Dame

    Barbe

    ,

    Dans

    sa

    barbe,

    Vit

    rire le

    châtelain.

    Car le

    vacarme

    Qui

    répandait

    Ainsi l'alarme,

    -

    Amis,

    c'était...

    Bachelette

    Qui,

    seulette,

    Chez monseigneur,

    à

    minuit

     ..

    Mais silence,

    Par

    prudence,

    Taisons-nous...

    trop

    parler nuit.

    Pour

    copie conforme.

    L.-C.

    ROBERT.

    M.

    W lDiawtDKOElLQilS3»»oo»

    PERLES

    ET

    DIAMAHTS.

    Que

    j'aime

    à voir

    tout

    fait

    de

    perles

    fines

    Un

    richediadème éclatant de beauté,

    Séduisant

    assemblageoù la

    suavité

    Semble

    couler

    des

    mains

    divines

     ...

    Un

    écrin, fait de

    diamants,

    S'épend

    de

    tous

    côtés

    en

    gerbes

    de

    lumière,

    On

    croirait voir

    pendant leur

    nocturne

    carrière

    Les

    étoiles

    lancer

    leurs feux,

    leurs

    chatoiements

    Mais je

    sais

    ici-bas plus

    beau

    que

    perles

    fines

    ,

    Plus

    pur

    parsa

    candeur, plus

    riche

    queles mines,

    D'où

    l'on

    extrait

    les

    diamants

    ou

    l'or...

    C'est

    de

    tous

    les

    trésors

    le plus

    riche

    trésor

     

    C'est

    une

    fleur belle

    et

    gracieuse,

    A corolle

    tendre

    et

    soyeuse,

    C'est

    un

    ange au

    front

    pur,

    à

    l'oeil

    doux,

    C'est

    une

    étoile

    radieuse,

    C'est.... faut-il

    achever

    ?

    c'est

    vous.

    L.-C.

    Robert,

    Correspondances.

    Castres, le 4 novembre

    1857.

    Monsieur

    le Rédacteur,

    J'ai

    eu

    l'avantage

    de faire

    connaissance

    avec

    le journal

    que

    vous venez

    de fonder. Il

    est,

    ma

    foi,

    très

    divertissant,

    et,

    sans

    être

    prophète,

    on

    peut

    lui

    prédire

    du

    succès.

    Permettez-moide

    vous

    faire

    connaître

    s'il

    se

    peut tou-

    tefois

    qu'un

    rédacteur de

    journal

    puisse l'ignorer

    un

    fait

    qui,

    je

    crois,

    sera

    digne de figurer

    sur

    la

    portée

    que

    s'a-

    muse

    à

    chanter

    votre

    sémillante

    clarinette.

    Voici

    :

    «

    Un

    des jours

    de la semainedernière,

    un

    gentleman

    est

    descendu

    en

    chaise de

    poste

    à l'hôtel Sabatié,

    et,

    sans

    pren-

    dre

    la peine

    d'occuper l'appartement

    que

    le

    maître

    d'hôtel

    venait de

    faire disposer

    pour

    lui, il

    est

    allé

    se

    poster

    de-

    vant

    la

    porte.

     

     

    s'est-il

    écrié,

    en

    faisant signe du doigt

    à

    un

    passant,

    dite

    à moâ,

    si moâ

    soui

    longtemps

    (

    s'il

    y a

    loin

    )

    dé la

    sioupe°-bé

    ville dé

    Mouzamet?

    Vous

    voulez

    parler

    de

    Mazamet,

    sans

    doute

    ?

    Yès,

    ycs,

    la

    soumptéoze

    et

    magnifique

    ville de

    Mouzamet.

    Mais

    mylord,

    car

    le

    passant

    avait

    sans

    peine

    re-

    connu

    un

    anglais dans

    celui

    qui l'interpellait

    vous vous

    exagérez,

    sans

    doute,

    la

    magnificence

    de la

    cité

    dont

    vous

    me

    parlez.

    Mazamet,

    distant

    de

    Castres

    de

    \ 8

    kil.,

    est tout

    simplementun chef-lieude canton, sans importance

    aucu-

    ne

    ,

    si

    ce

    n'est

    une

    sphère

    de

    commerce

    assez

    restreinte,

    et

    au

    sein

    de

    laquelle

    une

    population de quelques milliers

    d'habitants

    se

    meut,

    s'agite

    et

    se

    démène.

    L'anglais

    devint

    pourpre

    de

    colère, il

    pirouetta

    brusque-

    ment

    sur

    ses

    talons

    et

    rentra

    dans l'hôtel

    en

    proie

    à

    une

    rage

    épouvantable.

    Il

    ne

    fallut

    rien moins

    que

    l'interven-

    tion

    bienveillante

    du maître

    d'hôtel

    pour

    ramener

    à

    la

    mo-

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    LA

    CLARINETTE

    CASTRAISE.

    dération

    le

    bon

    gentleman,

    qui

    expliqua,

    tant

    bien

    que

    mal,

    la

    cause

    de

    son

    désappointement

    et

    de

    sa

    colère,

    mais

    qui

    fit

    parfaitement

    compiendre

    qu'il

    avait

    été

    abusé,

    mystifié

    par un

    facétieux

    habitant

    de l'heureuse

    ville.

    Ce

    Mazame-

    tois

    avait

    insinué

    au

    flegmatique

    et

    sensuel

    anglais,

    avec

    lequel

    il

    avait

    pa?sé

    à

    Bagnèresle quart de la deuxième

    saison,

    que

    la

    ville

    de

    Mazamet

    était

    tout

    ce

    qu'il

    y

    avait

    de

    plus

    beau,

    de

    plus

    extatique,

    sous

    le

    rapport

    du site,

    sous

    le

    rapport

    sous

    le

    rapport....

    sous

    le

    rapport

    sous

    tous

    les

    rapports

    ,

    et

    il

    hasaida

    même

    que

    grand nombre

    d'étrangers

    venaient

    d'outie-mer

    uniquement

    pour

    la

    vi-

    siter.

    Pauvre

    Anglais

     

    Riche

    habitant

    de

    Mazamet 

    Ajoutons

    cependant

    que

    ce

    dernier

    pouvait être de

    bonne

    foi,

    en

    parlant

    de

    sa

    ville

    natale.

    Agréez,

    etc.

    Pour

    copie

    conforme,

    L.-C. Robeit.

    A M. le Rédacteur

    en

    chef de la

    Clarinette.

    Monsieur

    le

    Rédacteur,

    Je viens

    vous

    annoncer

    la

    chose la

    plus

    utile

    et

    la plus

    imprévue

    ,

    une

    chose

    qu'on

    croit

    difficilement

    à Toulouse

    et

    qui semblera

    impossible

    à

    Castres. Une chose qui

    fait

    en-

    rager

    certains

    médecins,

    et

    qui comblede joie certains

    com-

    merçants

    ;

    une

    chose

    enfin

    parue

    depuis

    peu

    de

    jours

    et

    qu'on

    s'arrache

    des mains; je

    ne

    puis

    me

    résoudre

    à

    vous

    la

    dire,

    devinez-là,

    je

    vous

    la donne

    en

    trois; jetez

    votre

    lan-

    gue

    aux

    chiens.

    Eh bien

    il

    faut

    donc

    vous

    la dire

    :

    M.

    F.

    Gimet,

    libraire à Toulouse,

    vient de

    faire...

    Devinez

    ,

    quoi

    ?

    Je

    vous

    le

    donne

    en

    dix...

    je

    vous

    le

    donne

    en

    cent.

    Certains

    médecins disent

    c'est

    une

    impertinence.

    Point du

    tout;

    quand

    un

    autre.

    Les

    lédacteurs

    du

    canardToulousain

    ajoutent

    que

    l'oeuvre

    est

    imparfaite.

    Ils

    sont

    si

    parfaits

     

    Vous

    n'y

    êtes

    pas

    ?

    M.

    François Gimet

    ,

    l'auteur des

    Muses

    prolétaires, d'A-

    libouf,

    de

    Thérèse

    et

    Bruneite,

    de

    Zélie

    vient de faire

    un

    nouveau

    guide dans

    Toulouse

    ,

    sous

    le

    titre

    de Toulouse

    et

    son

    commerce,

    guide

    tout-à-fait

    neuf

    déforme,

    de

    rédaction,

    de renseignements

    en

    tous

    genres.

    Les

    auteurs

    de

    guides,

    plus

    ou

    moins

    bien

    faits,

    achètent

    des

    mouchoirs

    pour essuyer

    leurs

    yeux.

    Pauvres

    auteurs

     

    qui

    ne

    savent

    pas que

    la première

    con-

    dition de

    succès

    pour un

    guide,

    c'est de

    l'écrire

    bien,

    et

    de

    semer

    dans

    sa

    rédaction

    ces

    pointes

    spirituelles

    qui

    font du

    livre de M. F.

    Gimet,

    un

    de

    ces

    bijoux

    qu'un

    voyageur se

    plait à regarder, quand

    la

    route est

    longue

    et

    les voisins

    ennnuyeux.

    M. de

    Grivelle.

    COUACHS.

    11

    paraît

    que

    les

    échos

    de

    Mazamet

    n'ont

    pas

    entendu

    les

    sons

    de

    notre

    clarinette,

    du moins ils

    ne

    les

    ont

    pas

    ré-

    percutés

    jusqu'ici.

    Pour

    qu'il

    n'en soit plus

    ainsi,

    à l'avenir,

    nous

    allons

    prendre position

    sur

    la butte

    d'Augmontel.

    On

    nous

    prévient

    d'une manière,

    certes

    un

    peu

    mysté-

    rieuse,

    qu'il s'est

    formé

    à Mazamet

    une

    association de litté-

    rateurs

    qui

    ont

    pris

    la

    résolution

    d'enfoncer

    la Clarinette.

    Nous

    verrons

    bien.

    Mais,

    puisquela lutte est

    ouverte,

    nous

    prévenons

    nos

    adversaires

    que

    nous

    ne

    reculerons

    pas

    d'un

    pouce

    ,

    dans

    la

    ligne

    de

    conduite

    que

    nous

    nous sommes

    tracée.

    Ils

    ont

    levé

    le

    [lièvre,

    nous

    le suivrons, advienne

    que

    pourra.

    Un

    homme

    qui, connaît bien

    son

    monde,

    nous

    disait

    der-

    nièrement

    :

    Quand je vois MM.

    de l'Industriel

    de

    Mazamet

    chercher

    à faire de l'esprit, il

    me

    semble

    voir

    un

    boeuffessayer

    à

    dan-

    ser

    la

    gavotte

     

    On

    parle

    beaucoup de

    la

    construction

    d'une

    salle

    immen-

    se

    pour

    bals

    et

    concerts.

    La

    ville

    de

    Castres qui,

    dans

    la

    couronne

    départementale,

    figure

    comme

    un

    rubis,

    convie

    d'avance

    à

    ces

    brillantes

    fêtes

    ,

    Mazamet

    la

    perle

    du

    dé-

    partement.

     

    VAigle

    du

    Tarn

    nous

    apprend

    que

    nos

    Vestales

    de

    l'A-

    cadémie

    castraise

    viennent

    de

    rallumer

    leur feu.

    S'étein-

    drait-il

    ?

    Non.

    Ce

    corps

    savant transmettra

    à

    nos neveux

    la

    suprématie

    qu'il

    a

    trouvé

    légitimement

    acquise

    par

    les riverains de l'A-

    goût.

    Le

    travailfait

    ne m'a

    jamais fait peur,

    Le

    docteur

    X.

    rencontrant,

    l'autre

    jqur,

    une

    de

    ses

    jeunes

    clientes

    :

    Ah

     

    lui

    dit-il,

    à

    votre

    prochaine

    crise,

    je

    vous ap-

    porterai

    un

    bon

    remède.

    La

    migraine

    et

    les

    nerfs

    ne

    tardèrent

    pas

    à

    jouer leur

    rôle,

    et

    Mlle Léontine

    d'envoyer

    sa

    bonne

    au

    docteur.

    C'est

    bien,

    j'y

    cours.

    Et

    prenant

    un

    numéro

    de

    Y

    Industriel

    et

    de

    l'Echo.

    Il formula

    ainsi

    son

    ordonnance.

    Lire

    ces

    feuilles

    in

    extenso.

    La

    charmante

    malade

    a, dit-on, dormi

    trois fois

    24

    heu

    res

    sur

    celte

    piose

    calmante.

    L.-C.

    ROBERT.

    Les

    Petites Causes célèbres

    Par

    ffrédéa'ic

    Thomas,

    Apre?

    un

    léger

    relard

    occasionné

    par

    les

    vacances

    judiciai-

    res,

    les Pettles

    causes

    célèbres

    oui

    leptis

    le

    cours

    de leur

    suc-

    cès.

    A

    la

    série

    des

    procès

    importants

    qui

    ont

    fail

    de

    cette

    col-

    lection

    un

    recueil

    unique,

    le

    33B

    volume,

    dernier

    paiu,

    vient de

    joindre le

    procès

    du

    capitaine

    Itoincaaa

    qui

    a eu

    tant

    de

    re-

    tentissement

    en

    Afrique.

    Les

    avocats

    et

    les

    gens

    du monde

    se

    disputent

    ces

    petits

    livres

    les

    uns

    trouvent

    un

    délassement

    plein

    de

    curiosités

    instructives

    et

    les

    autres

    des modèles

    de

    plai-

    doiries

    des

    meilleurs

    maîtres.

    Le

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    poste

    a

    M.

    Palis,

    directeur

    de

    l'office

    des

    copies,

    autographies, rédac-

    tions

    et

    traductions,

    15,

    place

    de la

    Bourse,

    a

    Paris,

    ou un

    bon

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    avoir

    les

    années

    18S5,

    185b ,

    1857.

    Le

    Gérant

    responsable,

    PAGES.

    Castres

    ,

    Imprimerie

    de

    Veuve GRILLON.