IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d...
Transcript of IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d...
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Première édition - juillet 2003
Réf. US : SC32-1278-00
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© Copyright International Business Machines Corporation 2002,2003. All rights reserved.
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Table des matières
Avis aux lecteurs canadiens . . . . . vii
Avant-propos . . . . . . . . . . . . ix
A qui s’adresse ce manuel ? . . . . . . . . . ix
Que contient ce manuel ? . . . . . . . . . . ix
Publications . . . . . . . . . . . . . . xii
Publications concernant IBM Tivoli Workload
Scheduler . . . . . . . . . . . . . . xii
Publications concernant IBM Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS . . . . . . . . . . xii
Kit de collecte des versions électroniques pour
IBM Tivoli Workload Scheduler for z/OS . . . xiii
Publications connexes . . . . . . . . . . xiv
Accès en ligne aux publications . . . . . . xiv
Commande de publications . . . . . . . . xiv
Commentaires sur les publications . . . . . xv
Accessibilité . . . . . . . . . . . . . . xv
Contact du service de support d’IBM . . . . . . xv
Conventions utilisées dans ce manuel . . . . . xv
Conventions typographiques . . . . . . . xv
Variables et chemins dépendants du système
d’exploitation . . . . . . . . . . . . xvi
Partie 1. Installation commune et
tâches de configuration . . . . . . . 1
Chapitre 1. Généralités sur le produit . . 3
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli
Workload Scheduler for Applications . . 5
Procédures d’installation . . . . . . . . . . 6
Utilisation de l’assistant d’installation . . . . . 7
Utilisation de l’installation automatique . . . . 18
Utilisation de Tivoli Configuration Manager . . 21
Désinstallation du produit . . . . . . . . . 25
Suppression d’une installation via ISMP . . . . 25
Suppression d’une installation via Tivoli
Configuration Manager . . . . . . . . . 25
Suppression manuelle des éléments restants lors
du retrait de la méthode d’accès pour Oracle
e-Business Suite . . . . . . . . . . . . 26
Chapitre 3. Définition des options à
l’aide de l’Editeur d’options . . . . . . 27
Création d’un fichier d’options locales . . . . . 30
Héritage des valeurs des options . . . . . . . 30
Chapitre 4. Définition des postes de
travail d’agent étendu . . . . . . . . 31
Création d’un poste de travail avec Job Scheduling
Console . . . . . . . . . . . . . . . . 31
Création d’un poste de travail à partir de la ligne de
commande . . . . . . . . . . . . . . 33
Définition de postes de travail pour une
planification de bout en bout . . . . . . . . 34
Création de l’instruction CPUREC . . . . . . 34
Définition d’un poste de travail avec ISPF . . . 35
Chapitre 5. Définition des travaux
d’agent étendu . . . . . . . . . . . 37
Définition des travaux avec Job Scheduling Console 37
Définition des travaux à partir de la ligne de
commande Tivoli Workload Scheduler . . . . . 40
Définition des travaux pour une planification de
bout en bout . . . . . . . . . . . . . . 41
Partie 2. Méthode d’accès Oracle
e-Business Suite . . . . . . . . . 43
Chapitre 6. Introduction . . . . . . . 45
Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . 45
Configuration logicielle requise . . . . . . . . 45
Tâches post-installation . . . . . . . . . . 45
Programmes d’interface . . . . . . . . . . 47
Chapitre 7. Informations sur la
définition des travaux . . . . . . . . 49
Définition des travaux dans Oracle Applications . . 49
Exécutions simultanées d’un même travail . . . 49
Définition des travaux Oracle Applications dans
Tivoli Workload Scheduler . . . . . . . . . 49
Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux
Oracle Applications . . . . . . . . . . . 49
Etats des travaux Tivoli Workload Scheduler et
Oracle Applications . . . . . . . . . . . . 52
Chapitre 8. Informations de référence
sur le fichier d’options MCMAGENT . . 53
Fichier d’options . . . . . . . . . . . . . 53
Syntaxe des entrées . . . . . . . . . . . 53
Exemple . . . . . . . . . . . . . . 54
Chiffrage des mots de passe utilisateur Oracle
Applications . . . . . . . . . . . . . 54
Partie 3. Méthode d’accès
PeopleSoft . . . . . . . . . . . . 55
Chapitre 9. Introduction . . . . . . . 57
Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . 57
Principes de fonctionnement . . . . . . . . . 57
Travaux du planificateur de traitements PeopleSoft 58
Suivi des travaux PeopleSoft dans Tivoli
Workload Scheduler . . . . . . . . . . 58
Sécurité . . . . . . . . . . . . . . . . 58
Remarques sur le support PeopleSoft Version 8.x . . 58
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 iii
Chapitre 10. Planification
d’implémentation . . . . . . . . . . 61
PeopleSoft version 7.5 ou antérieure . . . . . . 61
Configuration requise pour l’hôte . . . . . . 61
Configuration logicielle requise . . . . . . . 61
Configuration de l’utilisateur Windows . . . . 61
Vérification de l’environnement PeopleSoft . . . 62
Création d’un ID de traitement par lots dans
PeopleSoft . . . . . . . . . . . . . . 62
Fichiers installés . . . . . . . . . . . . 62
PeopleSoft version 8.x . . . . . . . . . . . 62
Configuration requise pour l’hôte . . . . . . 62
Configuration logicielle requise . . . . . . . 63
Création d’un ID de traitement par lots dans
PeopleSoft . . . . . . . . . . . . . . 63
Fichiers installés . . . . . . . . . . . . 63
Chapitre 11. Tâches post-installation 65
Configuration utilisateur pour Windows . . . . . 65
Création du fichier d’options . . . . . . . . 65
Modification manuelle des fichiers d’options . . 68
Connexion à plusieurs bases de données
PeopleSoft . . . . . . . . . . . . . . 69
Configuration d’un environnement PeopleSoft,
version 7.5 ou antérieure . . . . . . . . . . 69
Personnalisation du serveur de processus . . . 69
Configuration du client . . . . . . . . . 71
Exécution du script de l’outil Déplacement de
données . . . . . . . . . . . . . . 72
Configuration d’un environnement PeopleSoft
version 8.1x . . . . . . . . . . . . . . 74
Personnalisation du serveur d’applications . . . 74
Configuration du client . . . . . . . . . 75
Configuration d’un environnement PeopleSoft
version 8.4x . . . . . . . . . . . . . . 75
Chapitre 12. Définition des travaux
PeopleSoft . . . . . . . . . . . . . 77
Création de définitions de travaux PeopleSoft dans
Tivoli Workload Scheduler . . . . . . . . . 77
Paramètres des chaînes de tâches des travaux
PeopleSoft . . . . . . . . . . . . . . 77
Configuration de dépendances OPENS 7.x
uniquement . . . . . . . . . . . . . . 78
Exemple de dépendances OPENS . . . . . . 80
Mappage de statut des travaux IBM Tivoli Workload
Scheduler et PeopleSoft . . . . . . . . . . 80
Partie 4. Méthode d’accès R/3 . . . 83
Chapitre 13. Introduction . . . . . . . 85
Champ d’application . . . . . . . . . . . 85
Processus de planification pour l’agent étendu R/3 85
Support d’interface XBP 2.0 . . . . . . . . . 86
Chapitre 14. Installation . . . . . . . 87
Configuration logicielle requise . . . . . . . . 87
Généralités sur l’installation . . . . . . . . 87
Installation sur des plateformes Tier2 . . . . . . 88
Chiffrement des mots de passe utilisateur R/3 . . 89
Chapitre 15. Configuration de
l’environnement R/3 . . . . . . . . . 91
Présentation . . . . . . . . . . . . . . 91
Création de l’utilisateur RFC pour IBM Tivoli
Workload Scheduler . . . . . . . . . . . 91
Création du profil d’autorisation pour l’utilisateur
Tivoli Workload Scheduler . . . . . . . . . 91
Utilisation de la transaction SU02 pour la
création manuelle du profil . . . . . . . . 92
Utilisation de la transaction PFCG (Générateur de
profils) . . . . . . . . . . . . . . . 92
Copie des fichiers de correction et de transfert . . . 94
Importation de modules ABAP/4 dans R/3 . . . 94
Installation des modules ABAP r3batch sur le
système R/3 . . . . . . . . . . . . . . 95
Identification et résolution des incidents . . . . . 96
Modification du mot de passe de l’ID
utilisateur RFC au niveau de Tivoli Workload
Scheduler . . . . . . . . . . . . . . . 97
Migration à partir de versions précédentes . . . . 97
Utilisation du support d’interface XBP 2.0 . . . . 98
Création du profil d’autorisation pour
l’utilisateur Tivoli Workload Scheduler . . . . 99
Incidents dus aux paramètres d’impression et à la
classe de travail . . . . . . . . . . . . . 99
Chapitre 16. Définition des travaux
d’agent étendu R/3 . . . . . . . . . 101
Définition d’un travail dans R/3 . . . . . . . 101
Définition d’un travail dans Tivoli Workload
Scheduler . . . . . . . . . . . . . . . 101
Utilisation des fenêtres SAP de Job Scheduling
Console . . . . . . . . . . . . . . 102
Paramètres de chaîne de tâches pour les
travaux R/3 . . . . . . . . . . . . . 109
Etats des travaux dans Tivoli Workload Scheduler
et dans R/3 . . . . . . . . . . . . . . 111
Chapitre 17. Réexécution de travaux 113
Ancienne et nouvelle copies d’un travail à
réexécuter . . . . . . . . . . . . . . 113
Chapitre 18. Business Information
Warehouse . . . . . . . . . . . . 115
Prise en charge de Business Information
Warehouse - InfoPackages . . . . . . . . . 115
Autorisations utilisateur . . . . . . . . . 115
Composants Business Information Warehouse . . 115
Définition des travaux d’agent étendu pour BIW 116
Options de planification R/3 d’un InfoPackage . . 116
Chapitre 19. Connexion au
système R/3 . . . . . . . . . . . . 117
Connexions à un serveur d’applications spécifique 117
Groupes de connexion . . . . . . . . . . 118
iv IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 20. Fichiers d’options de la
méthode d’accès R/3 . . . . . . . . 119
Options de configuration . . . . . . . . . 119
Options globales . . . . . . . . . . . 119
Options locales . . . . . . . . . . . . 120
Options générales . . . . . . . . . . . 121
Utilisation des options de configuration . . . . 123
Migration des fichiers de configuration . . . . . 124
Chapitre 21. Attente BDC . . . . . . 127
Utilisation des noms de session BDC . . . . . 127
Utilisation des ID de file d’attente BDC avec le
rapport BDCRECXX . . . . . . . . . . . 128
Utilisation des ID de file d’attente BDC avec le
module fonctionnel BDC_OPEN_GROUP . . . . 129
Chapitre 22. Fonctions d’interception
des travaux et fonctions parent-enfant 131
Interception des travaux . . . . . . . . . . 131
Implémentation de l’interception de travaux . . 131
La fonction parent-enfant . . . . . . . . . 134
Chapitre 23. Support de la langue
nationale . . . . . . . . . . . . . 137
Options de support de la langue nationale . . . 137
Pages de codes R/3 prises en charge . . . . . 138
Configurations prises en charge et limites . . . . 138
Partie 5. Méthode d’accès z/OS 139
Chapitre 24. Introduction . . . . . . 141
Fonctions . . . . . . . . . . . . . . . 141
Configuration logicielle requise . . . . . . . 141
Présentation de l’installation . . . . . . . . 141
Installation sur des plateformes de niveau 2 . . 142
Installation sous z/OS . . . . . . . . . 142
Définition des autorisations sous z/OS . . . . 144
Remarques supplémentaires . . . . . . . 144
Version de la passerelle z/OS . . . . . . . 149
Chapitre 25. Configuration et
fonctionnement . . . . . . . . . . 151
Fichiers d’options de méthode . . . . . . . . 151
Fichiers d’options de méthodes sur les
plateformes de niveau 2 . . . . . . . . . 151
Définition de travaux dans z/OS . . . . . . . 152
Définition de travaux z/OS dans Tivoli Workload
Scheduler . . . . . . . . . . . . . . . 153
Syntaxe de définition de tâche pour les travaux
z/OS planifiés avec Tivoli Workload Scheduler . 153
Syntaxe de définition de tâche pour les travaux
z/OS . . . . . . . . . . . . . . . 155
Syntaxe des dépendances de fichier (OPENS)
sur les fichiers z/OS . . . . . . . . . . 156
Chapitre 26. Informations de référence 159
Présentation technique . . . . . . . . . . 159
Fonctionnement sous JES . . . . . . . . 159
Fonctionnement avec CA-7 . . . . . . . . 160
Autres conseils pour CA-7 . . . . . . . . 161
Fonctionnement avec l’interface OPC ou avec
Tivoli Workload Scheduler pour z/OS . . . . 162
Vérification des fichiers sur z/OS . . . . . 163
Considérations de délais . . . . . . . . . 163
Informations relatives au diagnostic . . . . . . 164
Messages de la passerelle . . . . . . . . . 164
Partie 6. Maintenabilité commune 169
Chapitre 27. Référence aux agents
étendus . . . . . . . . . . . . . . 171
Que sont les agents étendus ? . . . . . . . . 171
Définition de poste de travail . . . . . . . 171
Interface de méthode d’accès . . . . . . . . 171
Syntaxe de la ligne de commande de la
méthode . . . . . . . . . . . . . . 171
Messages de réponse de méthode . . . . . 174
Fichier d’options de méthode . . . . . . . 175
Exécution de méthode . . . . . . . . . . 175
Tâche de lancement d’un travail (LJ) . . . . 176
Tâche de gestion du travail (MJ) . . . . . . 176
Tâche de vérification d’un fichier (CF) . . . . 177
Tâche d’obtention d’un état (GS) . . . . . . 177
La commande cpuinfo . . . . . . . . . 178
Identification et résolution des incidents . . . . 178
Messages d’erreur de la liste standard d’un
travail . . . . . . . . . . . . . . . 178
Méthode non exécutable . . . . . . . . . 179
Messages du gestionnaire de consoles . . . . 179
Messages du programme Composer et Compiler 179
Messages de Jobman . . . . . . . . . . 179
Chapitre 28. Bibliothèque de mappage
de code retour . . . . . . . . . . . 181
Fichier de mappage du code retour . . . . . . 181 181 181 182 182
Mappage du code retour pour Psagent et
MCMAGENT . . . . . . . . . . . . 182
Noms de fichier de mappage de code retour 186
Chapitre 29. Configuration de
l’utilitaire de trace . . . . . . . . . 187
Chapitre 30. Identification et
résolution des incidents . . . . . . . 189
Identification des incidents lors de l’installation de
la méthode d’accès PeopleSoft . . . . . . . . 190
Chapitre 31. Fichiers installés . . . . 191
Partie 7. Annexes . . . . . . . . . 195
Remarques . . . . . . . . . . . . 197
Marques . . . . . . . . . . . . . . . 199
Glossaire . . . . . . . . . . . . . 201
Table des matières v
Index . . . . . . . . . . . . . . . 207
vi IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Avis aux lecteurs canadiens
Le présent document a été traduit en France. Voici les principales différences et
particularités dont vous devez tenir compte.
Illustrations
Les illustrations sont fournies à titre d’exemple. Certaines peuvent contenir des
données propres à la France.
Terminologie
La terminologie des titres IBM peut différer d’un pays à l’autre. Reportez-vous au
tableau ci-dessous, au besoin.
IBM France IBM Canada
ingénieur commercial représentant
agence commerciale succursale
ingénieur technico-commercial informaticien
inspecteur technicien du matériel
Claviers
Les lettres sont disposées différemment : le clavier français est de type AZERTY, et
le clavier français-canadien de type QWERTY.
OS/2 et Windows - Paramètres canadiens
Au Canada, on utilise :
v les pages de codes 850 (multilingue) et 863 (français-canadien),
v le code pays 002,
v le code clavier CF.
Nomenclature
Les touches présentées dans le tableau d’équivalence suivant sont libellées
différemment selon qu’il s’agit du clavier de la France, du clavier du Canada ou
du clavier des États-Unis. Reportez-vous à ce tableau pour faire correspondre les
touches françaises figurant dans le présent document aux touches de votre clavier.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 vii
Brevets
Il est possible qu’IBM détienne des brevets ou qu’elle ait déposé des demandes de
brevets portant sur certains sujets abordés dans ce document. Le fait qu’IBM vous
fournisse le présent document ne signifie pas qu’elle vous accorde un permis
d’utilisation de ces brevets. Vous pouvez envoyer, par écrit, vos demandes de
renseignements relatives aux permis d’utilisation au directeur général des relations
commerciales d’IBM, 3600 Steeles Avenue East, Markham, Ontario, L3R 9Z7.
Assistance téléphonique
Si vous avez besoin d’assistance ou si vous voulez commander du matériel, des
logiciels et des publications IBM, contactez IBM direct au 1 800 465-1234.
viii IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Avant-propos
Le manuel IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
explique comment installer, configurer et utiliser les méthodes d’accès à
l’application IBM Tivoli Workload Scheduler qui exécutent et gèrent les travaux
des applications suivantes :
v Oracle e-Business Suite
v PeopleSoft
v R/3
v z/OS
Ce guide aborde le contenu des manuels ci-dessous :
v IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications Version 8.1.1 - Guide d’utilisation pour
Oracle e-Business Suite
v IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications Version 8.1.1 - Guide d’utilisation pour
PeopleSoft
v IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications Version 8.1.1 - Guide d’utilisation pour
R/3
v IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications Version 8.1.1 - Guide d’utilisation pour
z/OS
A qui s’adresse ce manuel ?
Ce manuel est destiné aux planificateurs de travaux qui souhaitent exécuter et
gérer les travaux des applications citées plus haut à l’aide d’IBM Tivoli Workload
Scheduler. Les lecteurs doivent posséder des connaissances sur :
v IBM Tivoli Workload Scheduler
v Tivoli Job Scheduling Console
v L’environnement propre à l’application
Que contient ce manuel ?
Ce manuel comprend les sections suivantes :
1ère partie - Installation commune et tâches de configuration
La partie 1 comprend les chapitres suivants :
v Chapitre 1, «Généralités sur le produit», à la page 3
Ce chapitre décrit le fonctionnement de base d’un agent étendu.
v Chapitre 2, «Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications», à la
page 5
Ce chapitre explique les différentes manières d’installer et de désinstaller le
produit, ainsi que les plateformes prises en charge et les composants prérequis.
v Chapitre 3, «Définition des options à l’aide de l’Editeur d’options», à la page 27
Ce chapitre explique comment utiliser l’éditeur d’options.
v Chapitre 4, «Définition des postes de travail d’agent étendu», à la page 31
Ce chapitre présente la manière de définir les postes de travail d’agent étendu
pour toutes les méthodes d’accès.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 ix
v Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent étendu», à la page 37
Ce chapitre explique comment définir des travaux d’agent étendu pour toutes
les méthodes d’accès.
2ème partie - Méthode d’accès Oracle e-Business Suite
La partie 2 comprend les chapitres suivants :
v Chapitre 6, «Introduction», à la page 45
Ce chapitre décrit les fonctions, la configuration requise pour le logiciel, les
tâches post-installation et le logiciel d’interface spécifiques de la méthode d’accès
à Oracle e-Business Suite.
v Chapitre 7, «Informations sur la définition des travaux», à la page 49
Ce chapitre fournit des informations pour la définition des travaux de Tivoli
Workload Scheduler spécialement pour cette méthode d’accès.
v Chapitre 8, «Informations de référence sur le fichier d’options MCMAGENT», à
la page 53
Ce chapitre décrit les options utilisées par cette méthode d’accès.
3ème partie - Méthode d’accès PeopleSoft
La partie 3 comprend les chapitres suivants :
v Chapitre 9, «Introduction», à la page 57
Ce chapitre décrit les fonctions, les fonctionnalités et d’autres informations
générales relatives à la méthode d’accès PeopleSoft.
v Chapitre 10, «Planification d’implémentation», à la page 61
Ce chapitre présente la configuration requise pour l’hôte et le logiciel ainsi que
des informations relatives aux différentes versions de PeopleSoft prises en
charge par cette méthode d’accès.
v Chapitre 11, «Tâches post-installation», à la page 65
Ce chapitre présente les tâches post-installation pour cette méthode d’accès.
v Chapitre 12, «Définition des travaux PeopleSoft», à la page 77
Ce chapitre fournit des informations sur la définition des travaux de Tivoli
Workload Scheduler spécialement pour cette méthode d’accès.
4ème partie - Méthode d’accès R/3
La partie 4 comprend les chapitres suivants :
v Chapitre 13, «Introduction», à la page 85
Ce chapitre décrit les fonctions de la méthode d’accès à R/3.
v Chapitre 14, «Installation», à la page 87
Ce chapitre fournit des informations concernant l’installation de cette méthode
d’accès et explique comment installer les plateformes de niveau 2.
v Chapitre 15, «Configuration de l’environnement R/3», à la page 91
Ce chapitre explique comment configurer cette méthode d’accès pour qu’elle soit
utilisée avec R/3.
v Chapitre 16, «Définition des travaux d’agent étendu R/3», à la page 101
Ce chapitre fournit les informations sur la définition des travaux de Tivoli
Workload Scheduler spécialement pour la méthode d’accès à R/3.
v Chapitre 17, «Réexécution de travaux», à la page 113
Ce chapitre explique le mécanisme de réexécution des travaux.
x IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
v Chapitre 18, «Business Information Warehouse», à la page 115
Ce chapitre fournit des informations sur la manière d’utiliser la méthode d’accès
avec l’entrepôt de données métier R/3.
v Chapitre 19, «Connexion au système R/3», à la page 117
Ce chapitre décrit les connexions et les groupes de connexion R/3.
v Chapitre 20, «Fichiers d’options de la méthode d’accès R/3», à la page 119
Ce chapitre décrit les options utilisées par cette méthode d’accès.
v Chapitre 21, «Attente BDC», à la page 127
Ce chapitre fournit des informations détaillées sur l’attente BDC.
v Chapitre 22, «Fonctions d’interception des travaux et fonctions parent-enfant», à
la page 131
Ce chapitre décrit les fonctions parent-enfant et les fonctions d’interception de
travaux de XBP 2.0.
v Chapitre 23, «Support de la langue nationale», à la page 137
Ce chapitre décrit le support de la langue nationale pour cette méthode d’accès.
5ème partie - Méthode d’accès z/OS
La partie 5 comprend les chapitres suivants :
v Chapitre 24, «Introduction», à la page 141
Ce chapitre répertorie les fonctions de la méthode d’accès à z/OS, explique
comment installer l’environnement réparti sur les plateformes de niveau 2 et
comment installer le composant passerelle sur z/OS.
v Chapitre 25, «Configuration et fonctionnement», à la page 151
Ce chapitre présente les options de cette méthode d’accès et fournit des
informations concernant la définition des travaux pour cette méthode.
v Chapitre 26, «Informations de référence», à la page 159
Ce chapitre fournit des informations de référence à destination des planificateurs
de travaux autorisés et répertorie les messages relatifs à la passerelle.
6ème partie - Maintenabilité commune
La partie 6 comprend les chapitres suivants :
v Chapitre 27, «Référence aux agents étendus», à la page 171
Ce chapitre fournit des informations de référence pour le développement d’une
méthode d’accès Tivoli Workload Scheduler.
v Chapitre 28, «Bibliothèque de mappage de code retour», à la page 181
Ce chapitre explique comment utiliser l’utilitaire de mappage de code retour.
v Chapitre 29, «Configuration de l’utilitaire de trace», à la page 187
Ce chapitre explique comment configurer l’utilitaire de trace.
v Chapitre 30, «Identification et résolution des incidents», à la page 189
Ce chapitre fournit des informations générales sur l’identification des incidents.
v Chapitre 31, «Fichiers installés», à la page 191
Ce chapitre répertorie les fichiers installés en fonction de la plateforme et de la
fonction.
Avant-propos xi
Publications
Cette section répertorie les publications dans la bibliothèque IBM Tivoli Workload
Scheduler et explique comment accéder en ligne aux publications Tivoli, comment
les commander et transmettre vos commentaires.
Publications concernant IBM Tivoli Workload Scheduler
Cette section répertorie les publications présentes dans la bibliothèque de IBM
Tivoli Workload Scheduler et dans les documents qui s’y rapportent. Elle explique
aussi comment accéder aux publications Tivoli en ligne et comment les
commander.
v IBM Tivoli Workload Scheduler - Guide de planification et d’installation, SC11-2008
Décrit comment planifier un réseau Tivoli Workload Scheduler et comment
installer et personnaliser Tivoli Workload Scheduler ainsi que le logiciel qui lui
est associé.
v IBM Tivoli Workload Scheduler - Guide de référence, SC11-2009
Explique la ligne de commande de Tivoli Workload Scheduler, le fonctionnement
des agents étendus et des agents de réseau et l’intégration de Tivoli Workload
Scheduler dans NetView et dans Tivoli Business Systems Manager.
v IBM Tivoli Workload Scheduler Troubleshooting and Error Messages, SC32-1275
Interprète les messages d’erreur de Tivoli Workload Scheduler et fournit des
sources d’information pour vous aider à résoudre les problèmes relatifs à cette
application.
v IBM Tivoli Workload Scheduler Job Scheduling Console - Notes d’édition, SC11-2007
Fournit des informations sur la manière de travailler avec Tivoli Workload
Scheduler à partir d’une interface graphique commune, quelle que soit la
plateforme utilisée.
v IBM Tivoli Workload Scheduler Job Scheduling Console - Guide d’utilisation,
SC11-2006
Fournit des informations sur la manière de travailler avec Tivoli Workload
Scheduler à partir d’une interface graphique commune, quelle que soit la
plateforme utilisée.
v IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications Release Notes, SC32-1279
Fournit les informations à jour sur les agents étendus de Tivoli Workload
Scheduler.
v IBM Tivoli Workload Scheduler AS/400 Limited Fault-tolerant Agent User’s Guide,
SC32-1280
Décrit l’installation, la configuration et l’utilisation sur l’AS/400 des agents de
Tivoli Workload Scheduler tolérants aux pannes.
v IBM Tivoli Workload Scheduler - Guide de l’utilisateur du module Plus, SC11-2010
Explique comment configurer et utiliser le module Plus de Tivoli Workload
Scheduler.
v IBM Tivoli Workload Scheduler Release Notes, SC32-1277
Explique les informations à jour sur Tivoli Workload Scheduler.
Publications concernant IBM Tivoli Workload Scheduler pour
z/OS
Les documents ci-dessous sont disponibles dans la bibliothèque d’IBM Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS :
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Customization and Tuning, SC32-1265
xii IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Explique comment personnaliser Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Diagnosis Guide and Reference, SC32-1261
Fournit des informations d’aide au diagnostic et à la correction des incidents lors
de l’utilisation du produit.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS - Informations générales, SC11-2005
Présente les avantages de la suite complète Tivoli Workload Scheduler.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Getting Started, SC32-1262
Décrit les concepts et la terminologie d’IBM Tivoli Workload Scheduler for z/OS
et donne des instructions pour vous permettre de travailler avec le produit le
plus rapidement possible.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Installation Guide, SC32-1264
Explique comment installer Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Licensed Program Specifications, GI11-4208
Fournit des informations sur la planification concernant Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Managing the Workload, SC32-1263
Explique comment planifier la charge de travail et comment contrôler et
surveiller le plan actuel.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Memo to Users, GI11-4209
Fournit un résumé des modifications pour l’édition actuelle du produit.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Messages and Codes, SC32-1267
Explique les messages et les codes.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Program Directory, GI11-4203
Fourni par la bande d’installation de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, il
décrit tous les supports d’installation et donne des instructions d’installation
correspondant au niveau d’édition du produit et au numéro de la fonction.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Programming Interfaces, SC32-1266
Fournit les informations permettant d’écrire les programmes de l’application.
v IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS Quick Reference, SC32-1268
Fournit un moyen de référence facile et rapide pour consulter comment
fonctionne le produit.
Kit de collecte des versions électroniques pour IBM Tivoli
Workload Scheduler for z/OS
Tous les manuels de la bibliothèque, à l’exception des publications sous licence,
peuvent être affichés via leur version électronique dans les kits de collecte
suivants :
v IBM Online Library Omnibus Edition OS/390 Collection Kit, SK2T-6700.
v IBM Online Library z/OS Software Products Collection Kit, SK2T-4270.
Vous pouvez la version électronique des manuels sur CD-ROM à l’aide de ces
logiciels IBM sous licence :
v Softcopy Reader
v BookManager READ/2
v BookManager READ/DOS
v BookManager READ/6000
Tous les logiciels de type BookManager requièrent un ordinateur équipé d’un
lecteur de CD-ROM (capable de lire des CD-ROM de norme ISO 9660), ainsi qu’un
Avant-propos xiii
adaptateur et un câble correspondants. Pour plus d’informations concernant les
matériels et les logiciels requis, reportez-vous à la documentation concernant le
produit BookManager spécifique que vous utilisez.
Les mises à jour des manuels intervenant entre deux éditions sont uniquement
fournies sous forme de copie électronique.
Publications connexes
Le glossaire des logiciels Tivoli (Tivoli Software Glossary) comprend les définitions
de nombreux termes techniques relatifs aux logiciels Tivoli. Il est disponible à
l’adresse suivante (en anglais uniquement) :
http://publib.boulder.ibm.com/tividd/glossary/termsmst04.htm
Accès en ligne aux publications
Le CD de documentation contient les publications présentes dans la bibliothèque
du produit. Le format des publications est PDF, HTML ou les deux. Pour accéder
aux publications à l’aide d’un navigateur Web, ouvrez le fichier infocenter.html,
qui se trouve dans le répertoire des publications approprié sur le CD du produit.
IBM crée des publications pour tous les nouveaux produits Tivoli et à chaque
nouvelle mise à jour, et les met à disposition sur le site Web Tivoli Software
Information Center. Le Tivoli Software Information Center est situé à l’adresse
suivante :
http://publib.boulder.ibm.com/tividd/td/tdprodlist.html
Cliquez sur le lien Tivoli Workload Scheduler pour accéder à la bibliothèque de
produits.
Remarque : Si vous imprimez des documents PDF sur un format autre que le
papier à lettre, cochez la case Ajuster à la page dans la fenêtre
Imprimer d’Adobe Acrobat. Cette option est disponible lorsque vous
cliquez sur Fichier → Imprimer. L’option Ajuster à la page garantit
que les dimensions d’une page au format lettre s’impriment sur le
format de papier que vous utilisez.
Commande de publications
Vous pouvez commander en ligne un grand nombre de publications Tivoli sur le
site Web suivant :
http://www.elink.ibmlink.ibm.com/public/applications/publications/cgibin/pbi.cgi
Vous pouvez aussi passer votre commande par téléphone en appelant l’un des
numéros suivants :
v Aux Etats-Unis : (1)800-879-2755
v Au Canada : (1)800-426-4968
Pour les autres pays, consultez la liste des numéros de téléphone sur le site Web
ci-dessous :
http://www.ibm.com/software/tivoli/order-lit/
xiv IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Commentaires sur les publications
Si vous avez des commentaires ou des suggestions concernant les produits Tivoli et
leur documentation, répondez à l’étude client disponible sur le site Web à
l’adresse :
http://www.ibm.com/software/sysmgmt/products/support
Accessibilité
Les fonctions d’accessibilité permettent aux utilisateurs possédant un handicap
physique, tel qu’une mobilité réduite ou une vision à champ limité, d’utiliser les
produits logiciels de manière efficace. Grâce à ce produit, vous pouvez utiliser les
technologies d’assistance pour naviguer dans l’interface. Vous pouvez également
utiliser le clavier de préférence à la souris pour exécuter toutes les fonctions de
l’interface graphique.
Pour plus d’informations, consultez l’annexe relative à l’accessibilité dans le
manuel IBM Tivoli Workload Scheduler Job Scheduling Console - Guide d’utilisation.
Contact du service de support d’IBM
Si vous rencontrez un problème avec un produit Tivoli, vous pouvez contacter le
service de support d’IBM. Consultez le IBM Software Support Guide sur le site Web
suivant :
http://techsupport.services.ibm.com/guides/handbook.html
Ce guide vous indique comment contacter le service de support d’IBM, en fonction
de la gravité du problème et vous fournit les informations suivantes :
v Inscription et validité
v Les numéros de téléphone et les adresses de courrier électronique, en fonction
du pays où vous vous trouvez
v Les informations que vous devez avoir à votre portée avant de contacter le
service de support d’IBM
Conventions utilisées dans ce manuel
Ce manuel utilise plusieurs conventions concernant les actions et les termes
spécifiques, ainsi que les chemins et les commandes spécifiques du système
d’exploitation.
Conventions typographiques
Ce manuel utilise les conventions typographiques suivantes :
Gras
v Commandes en minuscules et utilisation de caractères
majuscules et minuscules (sauf ceux qui sont tous en lettres
majuscules) dont la distinction s’avérerait par ailleurs difficile à
partir du contexte
v Contrôles de l’interface (cases à cocher, boutons de fonction,
boutons radio, sélecteurs rotatifs, zones, dossiers, icônes, boîtes à
liste, éléments compris dans les boîtes à liste, listes
multi-colonnes, conteneurs, options de menu, noms de menu,
Avant-propos xv
onglets, feuilles de propriétés), libellés (tels que Conseil : et
Considérations du système d’exploitation :)
v En-têtes de colonnes dans un tableau
v Mots clés et paramètres dans le texte
Les commandes (sauf celles qui apparaissent en lettres majuscules)
sont affichées en caractères gras.
Italique
v Citations (titres de manuels, disquettes et CD)
v Mots définis dans le texte
v Mise en évidence des mots (mots en tant que tels)
v Lettres en tant que telles
v Nouveaux termes dans le texte (sauf dans une liste de définition)
v Variables et valeurs à fournir
Espacement fixe
v Exemples, exemples de code et résultat
v Noms de fichier, mots clés de programmation et autres éléments
difficiles à distinguer en contexte
v Texte et invites de messages destinés à l’utilisateur
v Texte que l’utilisateur doit entrer
v Valeurs pour les arguments ou les options de commande
Les exemples de code, les résultats, le texte que vous devez entrer
et les messages système sont affichés en police en espacement
fixe.
Barres de révision
Les modifications d’ordre technique apportées au texte sont
indiquées par une ligne verticale située à gauche de la
modification.
Variables et chemins dépendants du système d’exploitation
Ce manuel utilise la convention UNIX pour spécifier les variables d’environnement
et pour la notation des répertoires.
Lorsque vous utilisez la ligne de commande de Windows, remplacez $variable par
% variable% pour les variables d’environnement, et remplacez chaque barre oblique
(/) par une barre oblique inversée ( \) dans les chemins des répertoires.
Remarque : Si vous utilisez le shell bash sur un système Windows, vous pouvez
utiliser les conventions UNIX.
xvi IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 1. Généralités sur le produit
Les agents étendus (XA) permettent d’étendre les fonctions de planification de
travaux de IBM Tivoli Workload Scheduler à d’autres systèmes et applications. Un
agent étendu est un poste de travail disposant d’un hôte et d’une méthode d’accès.
L’hôte est un agent tolérant aux pannes (FTA) ou un agent standard (SA) de Tivoli
Workload Scheduler.
La méthode d’accès est un programme exécuté par le poste de travail hébergeant
lorsque Tivoli Workload Scheduler doit interagir avec le système externe, via sa
ligne de commande ou via Tivoli Job Scheduling Console. Tivoli Workload
Scheduler for Applications inclut les méthodes d’accès suivantes :
v méthode d’accès pour Oracle e-Business Suite (MCMAGENT),
v méthode d’accès pour PeopleSoft (psagent),
v méthode d’accès pour R/3 (r3batch),
v méthode d’accès pour z/OS (mvsca7, mvsjes et mvsopc).
Pour lancer et contrôler un travail sur un agent étendu, l’hôte exécute la méthode
d’accès en transmettant les informations relatives au travail sous la forme d’options
de ligne de commande. La méthode d’accès communique avec le système externe
pour lancer le travail et renvoie le statut de ce travail.
Un poste de travail d’agent étendu n’est qu’une entité logique associée à une
méthode d’accès hébergée par le poste de travail physique Tivoli Workload
Scheduler. Plusieurs postes de travail d’agent étendu peuvent être hébergés par le
même poste de travail Tivoli Workload Scheduler et utiliser la même méthode
d’accès. L’agent étendu (ou x-agent) est défini dans le cadre d’une définition de
poste de travail Tivoli Workload Scheduler standard, laquelle attribue un nom à
l’agent étendu et identifie la méthode d’accès.
Le schéma ci-après illustre comment ces éléments interagissent dans le cas d’une
configuration type d’agent étendu.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 3
Pour lancer un travail dans un environnement externe, Tivoli Workload Scheduler
exécute la méthode d’accès associée à l’agent étendu et fournit à cette dernière le
nom du poste de travail d’agent étendu ainsi que les informations relatives au
travail. La méthode analyse le fichier correspondant, nommé
<NOM_POSTE_DE_TRAVAIL>_ <nom_méthode>.opts, pour déterminer l’instance
d’environnement externe à laquelle elle se connectera. La méthode d’accès peut
alors lancer des travaux sur cette instance et les contrôler tout au long de leur
exécution en écrivant la progression du travail et les informations d’état dans le
fichier stdlist du travail.
Les agents étendus peuvent également être utilisés pour exécuter des travaux dans
un environnement semi-fermé, où la planification et le contrôle des travaux
s’effectuent à partir d’un contrôleur IBM Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
Figure 1. Fonctionnement des agents étendus.
4 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for
Applications
Sur la plupart des plateformes prises en charge, toutes les méthodes d’accès d’IBM
Tivoli Workload Scheduler for Applications décrites dans ce guide sont installées
via un processus d’installation commun. Ce processus permet d’installer une
instance de Tivoli Workload Scheduler for Applications (où une instance
correspond à l’association d’au moins une méthode d’accès à une installation
existante de Tivoli Workload Scheduler) et de sélectionner une ou plusieurs
méthodes d’accès à partir des composants d’installation.
Le processus d’installation commun est disponible pour les plateformes suivantes,
lorsque celles-ci sont prises en charge par une méthode d’accès :
v Microsoft Windows NT ou 2000,
v IBM AIX,
v HP-UX,
v Environnement d’exploitation Sun,
v Linux pour Intel,
v Linux/390.
Pour les plateformes suivantes, le processus d’installation reste identique à celui
décrit dans la documentation des différentes méthodes, dans les chapitres
suivants :
v Compaq Tru64
v SGI Irix
v IBM Sequent Dynix
Le tableau ci-dessous répertorie les plateformes prises en charge par cette version
d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications :
Tableau 1. Plateformes prises en charge
Méthode d’accès
Plateforme z/OS
(passerelle)
z/OS
(serveur de transactions)
R/3 PeopleSoft Oracle eBusiness
Suite
IBM OS/390 V2R10
et supérieures
X
IBM z/OS V1R1 et
supérieures
X
IBM AIX Versions
4.3.3, 5.1, 5.2
X X X
IBM Sequent Dynix
Version 4.5.1
X
Environnement
d’exploitation Solaris
Versions 7, 8, 9
X X X
Hewlett Packard
PA-RISC Versions
11.0, 11i
X X X
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 5
Tableau 1. Plateformes prises en charge (suite)
Méthode d’accès
Plateforme z/OS
(passerelle)
z/OS
(serveur de transactions)
R/3 PeopleSoft Oracle eBusiness
Suite
SuSE Linux
Enterprise Server
Version 7 pour
OS/390 et zSeries
(noyau 2.4)
X X
RedHat Linux pour
OS/390 et zSeries
Version 7
X X
RedHat Linux (Intel)
Versions 7.2, 7.3
X
SuSE Linux (Intel)
Enterprise Server
Version 8
X
Microsoft
Windows NT
Version 4.0 avec
Service Pack 6a
X X X
Microsoft
Windows 2000 avec
Service Pack 3
Professional, Server,
Advanced
X X X
Compaq Tru64
Version 5.1
X X
SGI Irix Version 6.5.x X
Procédures d’installation
Vous avez le choix entre trois méthodes pour installer Tivoli Workload Scheduler
for Applications :
v Utiliser l’assistant InstallShield Multi-Platform (ISMP),
v Exécuter l’option d’installation automatique d’InstallShield,
v Utiliser le composant Software Distribution de Tivoli Configuration Manager.
Avant d’installer le produit à l’aide de l’une des procédures susmentionnées,
vérifiez que vous remplissez les conditions suivantes :
v Vous devez avoir une installation valide d’IBM Tivoli Workload Scheduler,
Version 7.0 ou supérieure, sur votre ordinateur avant d’installer l’une des
méthodes d’accès.
v Vous devez disposer de droits Root (sous Unix) ou Administrateur (sous
Windows) pour exécuter l’installation.
v Vous devez arrêter tous les services Tivoli Workload Scheduler avant de
démarrer le processus d’installation.
v Dans le cas de la méthode d’accès destinée à PeopleSoft, l’installation de cette
dernière requiert que le ou les environnements PeopleSoft correspondants soient
déjà installés et entièrement accessibles à partir du poste de travail où vous
effectuez l’installation.
6 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
v Dans le cas de la méthode d’accès pour Oracle eBusiness Suite, le serveur Oracle
e-Business Suite doit être situé sur le même noeud physique que la méthode
d’accès et l’hôte Tivoli Workload Scheduler.
v Vérifiez que le processus d’installation n’a pas déjà été lancé sur le poste de
travail. Ce scénario peut se produire sur un réseau où plusieurs connexions
Telnet ont été ouvertes sur une même station Unix par des utilisateurs autorisés
à commander à distance l’installation d’une méthode d’accès. Lancez la
commande suivante pour déterminer si le processus d’installation est déjà actif
sur l’ordinateur où vous voulez procéder à l’installation :
ps -ef | grep setup.bin
De même, si votre poste de travail exécute plusieurs instances de Tivoli
Workload Scheduler, veillez à ne pas exécuter le processus d’installation sur plus
d’une instance à la fois.
v Avant d’installer des instances supplémentaires du produit ou de mettre à jour
des instances existantes, vérifiez que l’Editeur d’options n’est pas en cours
d’exécution, sinon l’installation pourrait échouer.
Reportez-vous au Chapitre 31, «Fichiers installés», à la page 191 pour consulter la
liste des fichiers que vous devriez trouver sur votre ordinateur à l’issue de
l’installation.
Utilisation de l’assistant d’installation
Pour utiliser l’assistant d’installation ISMP sur votre ordinateur, votre système
d’exploitation doit pouvoir exécuter l’environnement d’exécution Java (JRE)
Version 1.3.1. Certaines plateformes requièrent des niveaux de maintenance pour
prendre en charge JRE 1.3.1. Reportez-vous au tableau ci-dessous pour savoir si
votre système d’exploitation doit (ou non) être mis à jour. Aucun correctif
supplémentaire n’est requis pour les plateformes prises en charge, non
mentionnées dans ce tableau.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 7
Tableau 2. Correctifs requis pour exécuter JRE 1.3.1
Système d’exploitation Correctif requis pour exécuter JRE 1.3.1
IBM AIX Version 4.3.3 Niveau de maintenance recommandé AIX 4330–10.
IBM AIX Version 5.1 Niveau de maintenance recommandé AIX 5100–02. Ce
niveau de maintenance requiert que le correctif
APAR IY19375 ait été précédemment appliqué et validé.
Si vous utilisez l’un des paramètres locaux CKJ non-UTF8
pris en charge, vous devez disposer de l’un des ensembles
de fichiers suivants (disponibles sur le CD d’AIX 5.1
base) :
v X11.fnt.ucs.ttf (pour ja_JP ou Ja_JP)
v X11.fnt.ucs.ttf_CN (pour zh_CN ou Zh_CN)
v X11.fnt.ucs.ttf_KR (pour ko_KR)
v X11.fnt.ucs.ttf_TW (pour zh_TW ou Zh_TW)
Pour les utilisateurs japonais : si vous utilisez la méthode
d’entrée propre au japonais, vous pouvez appliquer les
PTF suivants pour éviter certains incidents liés à la
méthode d’entrée :
v jkit.Wnn6.base 2.2.0.2 (PTF U479697 ou APAR IY22917)
(uniquement utilisateur de Wnn6),
v X11.motif.lib 5.1.0.15 (PTF U479604 ou APAR IY22933)
(uniquement utilisateur d’AIX 5.1).
Environnement d’exploitation
Solaris Versions 7, 8, 9
Ensembles de correctifs datés du mois de janvier 2002 ou
ultérieurs.
Hewlett Packard PA-RISC
Versions 11.0, 11i
Les correctifs du système d’exploitation doivent être
installés avant le produit. Pour déterminer les correctifs à
installer sur votre ordinateur, connectez-vous en tant que
Root et exécutez :
/usr/sbin/swlist -l produit
Pour prendre en charge JRE 1.3.1.05, vous devez avoir :
v pour HP-UX 11.0, le Quality Pack QPK1100,
v pour HP-UX 11i, le Quality Pack GOLDQPK11i.
Pour installer une ou plusieurs méthodes d’accès de Tivoli Workload Scheduler for
Applications sur votre ordinateur, procédez comme suit :
1. Arrêtez tous les services Tivoli Workload Scheduler.
2. Exécutez la commande d’installation à partir du CD du produit ou d’une
image, à savoir :
v setup.bin sous Unix, ou
v setup.exe sous Windows.
La fenêtre Bienvenue s’affiche.
8 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
3. Cliquez sur Suivant pour continuer. La fenêtre Contrat de licence logicielle
apparaît.
4. Sélectionnez le bouton correspondant pour accepter le contrat et cliquez sur
Suivant pour continuer. La fenêtre Sélectionnez un type d’installation
apparaît.
Figure 2. Fenêtre Bienvenue.
Figure 3. Fenêtre Contrat de licence logicielle.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 9
5. Déterminez si vous voulez procéder à une nouvelle installation de Tivoli
Workload Scheduler for Applications ou mettre à jour une installation
existante. Si vous installez une méthode d’accès supplémentaire, sélectionnez
Mettre à jour une instance.
v Si vous choisissez Créer une nouvelle instance, le programme d’installation
détecte et énumère toutes les installations de Tivoli Workload Scheduler
présentes sur votre ordinateur.
v Si vous choisissez Mettre à jour une instance, le programme d’installation
détecte et énumère toutes les installations de Tivoli Workload Scheduler for
Applications présentes sur votre ordinateur.
Cliquez sur Suivant pour continuer.
Si vous avez sélectionné Créer une nouvelle instance, une fenêtre similaire à
la figure 5 à la page 11 apparaît.
Figure 4. Fenêtre Sélectionnez un type d’installation
10 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Le programme d’installation sonde le système et répertorie toutes les instances
existantes de Tivoli Workload Scheduler.
Remarques :
a. Si le processus d’exploration ne détecte aucune instance existante, une
fenêtre s’affiche, vous permettant d’entrer le chemin d’installation et le
nom d’une instance.
b. Si vous êtes sous Unix et avez plusieurs installations de Tivoli Workload
Scheduler, version 7.0 ou 8.1, qui n’ont pas été correctement installées
dans un répertoire de base /home/ utilisateur_TWS, la fenêtre affiche
alors, au hasard, une seule de ces instances et l’appelle <unknown>. Parmi
ces instances, celle-ci sera la seule que vous pourrez marquer pour
l’installation. Reportez-vous au tableau 24 à la page 189 pour plus de
détails.
Si vous avez sélectionné Mettre à jour une instance, une fenêtre similaire à la
figure 6 à la page 12 apparaît.
Figure 5. Fenêtre Instances installées de Tivoli Workload Scheduler.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 11
Le programme d’installation sonde le système et répertorie toutes les instances
existantes de Tivoli Workload Scheduler for Applications.
6. Sélectionnez une ou plusieurs instances et cliquez sur Suivant pour continuer.
Une fenêtre apparaît, répertoriant toutes les méthodes d’accès définies dans
Tivoli Workload Scheduler for Applications. La liste varie en fonction de la
plateforme sur laquelle vous procédez à l’installation : les installations sous
Unix ne proposent pas la méthode d’accès pour PeopleSoft, alors que les
installations sous Windows ne proposent pas la méthode d’accès pour Oracle.
Voici un exemple d’installation sous Windows.
Figure 6. Fenêtre Instances installées de Tivoli Workload Scheduler for Applications.
Figure 7. Fenêtre de sélection des composants Tivoli Workload Scheduler for Applications sous MS Windows.
12 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Voici un exemple d’installation sous Unix.
7. Sélectionnez la ou les méthodes d’accès que vous voulez installer sur votre
ordinateur et cliquez sur Suivant pour continuer. En fonction du nombre et
des méthodes d’accès que vous avez sélectionnées, une ou plusieurs fenêtres
supplémentaires apparaîtront, vous demandant d’entrer des informations
spécifiques à l’une ou l’autre de ces méthodes, à savoir :
v Pour toutes les méthodes d’accès : le nom de l’utilisateur Tivoli Workload
Scheduler qui exécutera la méthode sélectionnée. Il peut s’agir du même
nom que celui défini lors de l’installation de Tivoli Workload Scheduler.
v Pour la méthode d’accès PeopleSoft : la version de l’environnement
PeopleTools ainsi que l’un des chemins suivants :
– pour les versions PeopleSoft 7.0x ou 7.5x, le chemin du répertoire
d’exécution COBOL (généralement <racine_PS>\cblbin),
– pour la version PeopleSoft 8.1x, le chemin des API PeopleSoft externes
(généralement <REP_API_EXT>\bin\client\winx86_extapi),
– pour la version PeopleSoft 8.4x, le chemin du répertoire client PeopleSoft
(généralement <racine_PS>\bin\client\winx86).
Voici la fenêtre de la méthode d’accès R/3.
Figure 8. Fenêtre de sélection des composants Tivoli Workload Scheduler for Applications sous Unix.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 13
Voici la première fenêtre de la méthode d’accès PeopleSoft.
Voici la deuxième fenêtre de la méthode d’accès PeopleSoft.
Figure 9. Fenêtre supplémentaire d’informations utilisateur pour la méthode d’accès R/3.
Figure 10. Première fenêtre supplémentaire d’informations utilisateur pour la méthode d’accès PeopleSoft.
14 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Voici la fenêtre de la méthode d’accès z/OS.
8. Entrez les informations requises et cliquez sur Suivant pour continuer. Une
fenêtre d’informations récapitulatives apparaît. La figure 13 à la page 16
représente un exemple d’informations récapitulatives pour l’installation de la
méthode d’accès R/3.
Figure 11. Deuxième fenêtre supplémentaire d’informations utilisateur pour la méthode d’accès PeopleSoft.
Figure 12. Fenêtre supplémentaire d’informations utilisateur pour la méthode d’accès z/OS.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 15
9. Cliquez sur Suivant pour continuer. Le processus d’installation commence à
installer les méthodes d’accès sélectionnées sur votre ordinateur. Une fenêtre
de progression s’affiche.
Une fois l’installation terminée, la fenêtre suivante apparaît, vous demandant
si vous voulez (ou non) exécuter l’Editeur d’options. Il s’agit d’un éditeur de
fichiers Java qui permet de définir des options pour les méthodes d’accès que
vous avez installées. Si vous choisissez de ne pas exécuter l’Editeur d’options
immédiatement, vous pourrez le faire, à tout moment, ultérieurement.
Figure 13. Fenêtre d’informations récapitulatives pour l’installation.
Figure 14. Fenêtre de progression de l’installation.
16 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
10. Cliquez sur le bouton d’option approprié pour exécuter (ou non) l’Editeur
d’options immédiatement et cliquez sur Suivant pour continuer.
Si vous cliquez sur Oui, l’Editeur d’options s’ouvre, vous permettant de
définir les options des méthodes que vous avez installées. Reportez-vous au
Chapitre 3, «Définition des options à l’aide de l’Editeur d’options», à la page
27 pour plus de détails sur l’utilisation de l’Editeur d’options.
Lorsque vous avez fini d’utiliser l’Editeur d’options (ou que vous aviez
sélectionné Non dans la fenêtre précédente), la fenêtre de fin d’installation
s’affiche.
Figure 15. Fenêtre de lancement de l’Editeur d’options .
Figure 16. Fenêtre de fermeture de l’assistant d’installation.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 17
11. Cliquez sur Terminer pour quitter l’assistant d’installation.
Le journal d’installation, nommé TWS4APPS.LOG, est enregistré dans le
répertoire maestro.
Utilisation de l’installation automatique
Cette méthode permet d’installer le produit sans recourir à l’assistant d’installation
ISMP. Pour installer via cette méthode, vous devez préparer auparavant un fichier
d’options et spécifier son nom dans une commande d’installation.
La procédure d’installation automatique vous permet d’installer, si vous le
souhaitez, toutes les méthodes d’accès simultanément.
Le journal d’installation, nommé TWS4APPS.LOG, est enregistré dans le répertoire
maestro.
Syntaxe : Pour installer Tivoli Workload Scheduler for Applications avec la
méthode automatique, utilisez la commande suivante :
v sous Windows
setup.exe -silent -options chemin_et_nom_du_fichier_options
v sous Unix
setup.bin -silent -options chemin_et_nom_du_fichier_options
Paramètres :
-silent Spécifie que l’installation ne s’exécute pas via une interface utilisateur, mais
via un fichier d’options.
-options chemin_et_nom_du_fichier_options
Fournit le chemin ainsi que le nom du fichier contenant les options
d’installation. Ce fichier d’options est un fichier texte, du nom et de
l’extension de votre choix. Les options sont écrites séparément, ligne par
ligne.
Un modèle permettant d’exécuter une installation automatique est livré
avec le produit. Ce modèle, appelé silent.txt, se trouve dans le répertoire
RESPONSE_FILE du CD-ROM du produit.
Le tableau suivant répertorie les options disponibles pour piloter
l’installation :
Tableau 3. Options requises pour la procédure d’installation automatique.
Option Description Valeur
-P TWS4APPS.installLocation Chemin où vous souhaitez
installer Tivoli Workload
Scheduler for Applications.
Cette option est obligatoire.
Chemin absolu.
-P TWS4APPS.name Nom de cette instance de Tivoli
Workload Scheduler for
Applications. Cette option est
obligatoire.
Nom, à inclure entre des
guillemets s’il contient un
blanc.
-P MCMAGENT_FEATURE.active Spécifie que la méthode d’accès
pour Oracle eBusiness Suite
doit être installée.
True ou False.
18 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 3. Options requises pour la procédure d’installation automatique. (suite)
Option Description Valeur
-W LJUSER_MCMAGENT_INPUT_BEAN.LJUSER Nom de l’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler qui doit
exécuter la méthode d’accès
pour Oracle eBusiness Suite.
Cette option est obligatoire si
vous installez cette méthode.
Nom d’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler, à
inclure entre des
guillemets s’il contient un
blanc.
-P R3BATCH_FEATURE.active Spécifie que la méthode d’accès
pour R/3 doit être installée.
True ou False.
-W LJUSER_R3BATCH_INPUT_BEAN.LJUSER Nom de l’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler qui doit
exécuter la méthode d’accès
pour R/3. Cette option est
obligatoire si vous installez
cette méthode.
Nom d’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler, à
inclure entre des
guillemets s’il contient un
blanc.
-P ZOSAGENT_FEATURE.active Spécifie que la méthode d’accès
pour z/OS doit être installée.
True ou False.
-W LJUSER_ZOSAGENT_INPUT_BEAN.LJUSER Nom de l’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler qui doit
exécuter la méthode d’accès
pour z/OS. Cette option est
obligatoire si vous installez
cette méthode.
Nom d’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler, à
inclure entre des
guillemets s’il contient un
blanc.
-P PSAGENT_FEATURE.active Spécifie que la méthode d’accès
pour PeopleSoft doit être
installée.
True ou False.
-W LJUSER_PSAGENT_INPUT_BEAN.LJUSER Nom de l’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler qui doit
exécuter la méthode d’accès
pour PeopleSoft. Cette option
est obligatoire si vous installez
cette méthode.
Nom d’utilisateur de Tivoli
Workload Scheduler, à
inclure entre des
guillemets s’il contient un
blanc.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 19
Tableau 3. Options requises pour la procédure d’installation automatique. (suite)
Option Description Valeur
-W LJUSER_PSAGENT_INPUT_BEAN.BEND_TYPE Spécifie la version de
l’environnement PeopleTools.
Cette option est obligatoire si
vous installez cette méthode.
Il peut s’agir de l’un ou de
plusieurs des
environnements suivants :
PS70MR2
PeopleTools 7.0x
et Merant
NetExpress 2.x
PS70MR3
PeopleTools 7.0x
et Merant
NetExpress 3.x
PS70WB4
PeopleTools 7.0x
et MF COBOL
Workbench 4.x
PS75MR2
PeopleTools 7.5x
et Merant
NetExpress 2.x
PS75MR3
PeopleTools 7.5x
et Merant
NetExpress 3.x
PS81 PeopleTools 8.1x
PS84 PeopleTools 8.4x
Les entrées multiples
doivent être séparées par
des points-virgules.
-W PS70MR2_CBLDIR.DIRNAME Chemin du répertoire COBOL
pour PeopleTools 7.0x et
Merant NetExpress 2.x. Utilisez
ce chemin si vous avez spécifié
cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<racine_PS>\cblbin.
-W PS70MR3_CBLDIR.DIRNAME Chemin du répertoire COBOL
pour PeopleTools 7.0x et
Merant NetExpress 3.x. Utilisez
ce chemin si vous avez spécifié
cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<racine_PS>\cblbin.
-W PS70WB4_CBLDIR.DIRNAME Chemin du répertoire COBOL
pour PeopleTools 7.0x et
MF COBOL Workbench 4.x.
Utilisez ce chemin si vous avez
spécifié cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<racine_PS>\cblbin.
-W PS75MR2_CBLDIR.DIRNAME Chemin du répertoire COBOL
pour PeopleTools 7.5x et
Merant NetExpress 2.x. Utilisez
ce chemin si vous avez spécifié
cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<racine_PS>\cblbin.
20 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 3. Options requises pour la procédure d’installation automatique. (suite)
Option Description Valeur
-W PS75MR3_CBLDIR.DIRNAME Chemin du répertoire COBOL
pour PeopleTools 7.5x et
Merant NetExpress 3.x. Utilisez
ce chemin si vous avez spécifié
cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<racine_PS>\cblbin.
-W PS81_APIDIR.DIRNAME Chemin du répertoire des API
externes pour PeopleTools 8.1x.
Utilisez ce chemin si vous avez
spécifié cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<REP_API_EXT>\bin\client\
winx86_extapi.
-W PS84_APIDIR.DIRNAME Chemin du répertoire client
PeopleSoft pour
PeopleTools 8.4x. Utilisez ce
chemin si vous avez spécifié
cet environnement.
Chemin d’accès complet à
ce répertoire, généralement
<racine_PS>\bin\client\
winx86.
Exemples : L’exemple suivant utilise un fichier d’options appelé
silent_options.txt pour installer automatiquement Tivoli Workload Scheduler for
Applications sur un ordinateur Windows :
setup.exe –silent –options c:\tmp\silent_options.txt
L’exemple suivant utilise un fichier d’options appelé silent_options.txt pour
installer automatiquement Tivoli Workload Scheduler for Applications sur une
station Unix où X-Server n’est pas disponible :
setup.bin –silent –options /tmp/silent_options.txt
L’exemple suivant est un fichier d’options utilisé pour piloter l’installation de
Tivoli Workload Scheduler for Applications sur un ordinateur Windows. Les
méthodes d’accès pour R/3 et pour PeopleSoft sont définies comme composants
d’installation.
# EMPLACEMENT D’INSTALLATION et NOM D’INSTANCE
-P TWS4APPS.installLocation=C:\win32app\maestro
-P TWS4APPS.name=SILENT
# PARAMETRES R3BATCH
-P R3BATCH_FEATURE.active=true
-W LJUSER_R3BATCH_INPUT_BEAN.LJUSER=utilisateur_tws
# PARAMETRES PSAGENT
-P PSAGENT_FEATURE.active=true
-W LJUSER_PSAGENT_INPUT_BEAN.LJUSER=tws
-W LJUSER_PSAGENT_INPUT_BEAN.BEND_TYPE=PS70MR2;PS75MR3
-W PS70MR2_CBLDIR.DIRNAME=M:\PSDIRS\PS70Merant2
-W PS75MR3_CBLDIR.DIRNAME=N:\PSDIRS\PS75Merant3
Utilisation de Tivoli Configuration Manager
Il est également possible d’installer chaque méthode d’accès en distribuant un
groupe de logiciels (SPB), à partir du bureau Tivoli ou de la commande winstsp du
composant Software Distribution d’IBM Tivoli Configuration Manager, Version 4.2.
La distribution et l’installation des SPB peut s’effectuer via des ordinateurs
exécutant Tivoli Management Framework.
Le déploiement de Tivoli Workload Scheduler for Applications via un format
regroupé présente les avantages suivants :
v Déploiement non seulement de fichiers et de répertoires, mais aussi d’éléments
d’environnement, tels que fichiers INI, registres, icônes, etc.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 21
v Utilisation de la commande UNDO au lieu de REMOVE pour chacun des
éléments ci-dessus, intégrés au groupe de logiciels.
v Utilisation de variables (intégrées, spécifiques à une cible ou prédéfinies) dans le
groupe de logiciels.
v Utilisation de paramètres d’environnement dans le groupe de logiciels, via des
sections spécifiques pour des plateformes spécifiques.
v Utilisation illimitée de programmes utilisateur génériques, pour différentes
phases d’exécution, et gestion personnalisée des codes retour des programmes.
v Réamorçage ou redémarrage à un point de contrôle durant l’exécution des
actions du groupe de logiciels.
Ce format ne vous permet toutefois d’installer qu’une seule méthode d’accès par
groupe de logiciels (SPB). Si vous utilisez plusieurs SPB pour installer d’autres
méthodes d’accès, veillez à attribuer des noms différents aux groupes de logiciels.
Si vous choisissez de piloter le processus d’installation à partir du bureau Tivoli et
que le moteur Tivoli Workload Scheduler du poste de travail cible est une
version 8.2, vérifiez que vous connaissez le nom du répertoire d’installation du
moteur avant de démarrer.
Pour être installés par voie de distribution logicielle, tous les SPB de Tivoli
Workload Scheduler for Applications requièrent les options suivantes :
Tableau 4. Options requises pour installer tous les SPB de Tivoli Workload Scheduler for
Applications via le module Software Distribution.
Option Description
INSTALL_DIR Chemin d’accès au répertoire maestro (qui contient les
méthodes).
LJUSER Nom de l’utilisateur de Tivoli Workload Scheduler qui doit
exécuter la méthode d’accès.
22 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
De plus, le SPB de la méthode d’accès PeopleSoft requiert les options suivantes :
Tableau 5. Options supplémentaires requises pour installer la méthode d’accès du SPB
PeopleSoft via le module Software Distribution.
Option Description
INSTALL_BEND Spécifie la version de l’environnement PeopleTools. Il peut s’agir
de l’un ou de plusieurs des environnements suivants :
PS70MR2
PeopleTools 7.0x et Merant NetExpress 2.x
PS70MR3
PeopleTools 7.0x et Merant NetExpress 3.x
PS70WB4
PeopleTools 7.0x et MF COBOL Workbench 4.x
PS75MR2
PeopleTools 7.5x et Merant NetExpress 2.x
PS75MR3
PeopleTools 7.5x and Merant NetExpress 3.x
PS81 PeopleTools 8.1x
PS84 PeopleTools 8.4x
Les entrées multiples doivent être séparées par des
points-virgules.
PS70MR2_CBLDIR Chemin du répertoire COBOL pour PeopleTools 7.0x et Merant
NetExpress 2.x. Utilisez ce chemin si vous avez spécifié cet
environnement.
PS70MR3_CBLDIR Chemin du répertoire COBOL pour PeopleTools 7.0x et Merant
NetExpress 3.x. Utilisez ce chemin si vous avez spécifié cet
environnement.
PS70WB4_CBLDIR Chemin du répertoire COBOL pour PeopleTools 7.0x et
MF COBOL Workbench 4.x. Utilisez ce chemin si vous avez
spécifié cet environnement.
PS75MR2_CBLDIR Chemin du répertoire COBOL pour PeopleTools 7.5x et Merant
NetExpress 2.x. Utilisez ce chemin si vous avez spécifié cet
environnement.
PS75MR3_CBLDIR Chemin du répertoire COBOL pour PeopleTools 7.5x et Merant
NetExpress 3.x. Utilisez ce chemin si vous avez spécifié cet
environnement.
PS81_APIDIR Chemin du répertoire des API externes pour PeopleTools 8.1x.
Utilisez ce chemin si vous avez spécifié cet environnement.
PS84_APIDIR Chemin du répertoire client PeopleSoft pour PeopleTools 8.4x.
Utilisez ce chemin si vous avez spécifié cet environnement.
Le produit inclut également un SPB contenant une machine virtuelle Java, fort utile
pour installer l’Editeur d’options avec cette méthode. Cette machine virtuelle Java
ne peut toutefois pas remplacer celle requise pour l’exécution du produit
PeopleSoft.
Pour installer un groupe de logiciels, vous devez exécuter les actions suivantes, en
utilisant soit une ligne de commande, soit le bureau Tivoli :
1. Importez le SPB dans un profil de groupe de logiciels. Procédez ainsi pour les
SPB :
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 23
v des méthodes d’accès que vous voulez installer,
v de la machine virtuelle Java (JVM),
v de l’Editeur d’options (requiert, pour l’exécution, que les deux autres SPB
aient été installés).2. Installez le profil de groupe de logiciels sur les noeuds finaux gérés par Tivoli
Framework.
L’exemple ci-dessous illustre comment installer le SPB de la méthode d’accès R/3
sur un poste de travail Windows.
1. Importez le fichier SBP TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.SPB dans un profil de groupe
de logiciels de Tivoli Framework appelé, par exemple,
TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.8.2. Utilisez la commande suivante :
wimpspo -c PROFILE_MANAGER -f <CHEMIN_SOURCE>/TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.SPB -t build
-p <CHEMIN_DEST_LOCAL>/TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.SPB TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.8.2
Dans cet exemple, le fichier CHEMIN_SOURCE/TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.SPB est
importé dans un profil de groupe de logiciels appelé
TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.8.2, lequel appartient à un gestionnaire de profil
PROFILE_MANAGER de Tivoli Framework.
TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.8.2 doit faire référence au fichier
<CHEMIN_DEST_LOCAL>/TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.SPB en tant que fichier local
contenant les informations requises.
Remarque : Pour installer une instance supplémentaire de ce SPB sur le même
poste de travail, vous devez renommer le SPB.
2. Installez le profil de groupe de logiciels TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.8.2 sur un
ordinateur ayant pour nom d’hôte epw2000 (qui doit également être défini
comme noeud final de Tivoli Framework). Utilisez la commande suivante :
winstsp -D INSTALL_DIR=racine_TWS -D LJUser=utilisateur_TWS
TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.8.2 epw2000
Lorsque le journal d’installation, dans ce cas, un fichier nommé
$BINDIR/../swdis/work/TWS4APPS_R3BATCH_I386NT.log, affiche le message
Opération réussie, le processus d’installation peut être considéré comme terminé.
L’exemple ci-dessous illustre comment installer le SPB de la machine virtuelle Java
pour AIX sur un système AIX. Notez qu’il existe un groupe de logiciels JVM
différent pour chaque plateforme.
1. Importez le groupe de logiciels ayant pour nom JRE131_AIX.SPB dans un profil
de groupe de logiciels appelé JRE131AIX.8.2. Utilisez la commande suivante :
wimpspo -c PROFILE_MANAGER -f <CHEMIN_SOURCE>/JRE131_AIX.SPB -t build
-p <CHEMIN_DEST_LOCAL>/JRE131_AIX.SPB
JRE131AIX.8.2
2. Installez le profil de groupe de logiciels JRE131AIX.8.2 sur un ordinateur ayant
pour nom d’hôte epAIX. Utilisez la commande suivante :
winstsp
-D INSTALL_DIR=racine_TWS -D LJUser=utilisateur_TWS
JRE131AIX.8.2 epAIX
L’exemple suivant illustre comment installer le SPB de l’Editeur d’options sur le
même système AIX. Notez que le SPB de l’Editeur d’options est le même pour
toutes les plateformes.
1. Importez le groupe de logiciels ayant pour nom OPTED.SPB dans un profil de
groupe de logiciels appelé OPTED.8.2. Utilisez la commande suivante :
24 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
wimpspo -c PROFILE_MANAGER -f <CHEMIN_SOURCE>/OPTED.SPB -t build
-p <CHEMIN_DEST_LOCAL>/OPTED.SPB OPTED.8.2
2. Installez le profil de groupe de logiciels OPTED.8.2 sur un ordinateur ayant
pour nom d’hôte epAIX. Utilisez la commande suivante :
winstsp
-D INSTALL_DIR=racine_TWS -D LJUser=utilisateur_TWS
OPTED.8.2 epAIX
Désinstallation du produit
Pour désinstaller Tivoli Workload Scheduler for Applications d’un poste de travail,
vous devez suivre la même procédure que celle que vous avez utilisée lors de
l’installation :
v Si vous avez utilisé l’assistant d’installation ISMP, vous devez utiliser une
méthode compatible ISMP pour la désinstallation.
v Si vous avez procédé à l’installation par voie de distribution logicielle, vous
devez désinstaller par la même méthode.
Si vous envisagez de désinstaller la méthode d’accès pour Oracle eBusiness suite,
notez que vous devrez achever manuellement le retrait du produit. Reportez-vous
à la section «Suppression manuelle des éléments restants lors du retrait de la
méthode d’accès pour Oracle e-Business Suite» à la page 26.
Dans certains cas, lorsque vous désinstallez complètement le produit, le processus
de désinstallation peut laisser un répertoire nommé _xauninst. Si tel est le cas,
supprimez ce dernier manuellement.
Suppression d’une installation via ISMP
Pour désinstaller le produit suite à une installation effectuée via ISMP :
v Sous Windows :
1. Sélectionnez Ajout/Suppression de programmes dans le Panneau de
configuration.
2. Recherchez IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications (nom
d’utilisateur).
3. Cliquez sur Supprimer. Une fenêtre de désinstallation s’ouvre, vous
proposant de supprimer le produit dans son intégralité, ou une ou plusieurs
méthodes d’accès qui avaient été installées en tant que fonction(s) du
produit.v Sous Unix :
1. Accédez au répertoire <racine_TWS>/methods.
2. Lancez la commande suivante :
../_xauninst/uninstaller
Une fenêtre de désinstallation s’ouvre, vous proposant de supprimer le
produit dans son intégralité, ou une ou plusieurs méthodes d’accès qui
avaient été installées en tant que fonction(s) du produit.
Suppression d’une installation via Tivoli Configuration
Manager
Pour supprimer le produit suite à une installation effectuée par distribution de
logiciels, utilisez le bureau Tivoli ou la commande wremovsp.
Chapitre 2. Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications 25
Pour consulter la liste des groupes de logiciels installés sur l’ordinateur suite à
distribution, utilisez l’une ou l’autre des procédures suivantes :
v Utilisez Tivoli Inventory, inclus dans la version 4.2 de Tivoli Configuration
Manager, pour exécuter la requête CM_STATUS_QUERY et répertorier les méthodes
d’accès installées sur les postes de travail. Reportez-vous à la documentation de
Tivoli Inventory pour plus de détails.
v Affichez les fichiers journaux générés par Software Distribution sur l’ordinateur.
Chaque groupe de logiciels distribué a son propre fichier journal, c’est-à-dire un
fichier texte qui enregistre l’historique d’installation et de désinstallation de ce
groupe. Par exemple, le fichier journal du groupe de logiciels de la méthode
d’accès R/3 sur un système AIX, à savoir r3batch_tws_aix.log, est enregistré
dans le répertoire $BINDIR/../swdis/work (où $BINDIR représente une variable
d’environnement de Tivoli Framework qui est initialisée via la commande
/etc/Tivoli/setup_env.sh).
Reportez-vous à la documentation de Tivoli Software Distribution pour plus de
détails.
Suppression manuelle des éléments restants lors du retrait de
la méthode d’accès pour Oracle e-Business Suite
Une fois le processus de désinstallation terminé, exécutez les étapes suivantes :
1. Restaurez le contenu original d’APPLSYS.env en supprimant la chaîne MCM des
variables APPLSHAR et APPLFUL. Par exemple :
APPLSHAR=’ALR FF MCM’
doit devenir
APPLSHAR=’ALR FF’
2. Supprimez les fichiers suivants :
v <racine_TWS>/methods/MCMAGENT
v <racine_TWS>/catalog/C/mcm.cat
v MCMLJ, MCMSTAT et MCMTJ situés dans le répertoire $MCM_TOP/bin
v MCMprod.txt situé dans le répertoire $APPL_TOP/admin
v Tous les fichiers d’options
26 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 3. Définition des options à l’aide de l’Editeur
d’options
Un fichier d’options est un fichier texte contenant un ensemble d’options de
configuration requises pour exécuter un agent étendu. Ces options sont écrites à
raison d’une par ligne et se présentent sous le format suivant :
OPTION=VALEUR
sans espace autour des mots clés ou entre les mots clés.
Les options sont utilisées pour modifier les propriétés d’exécution de la méthode
d’accès, telles que le mot de passe requis pour se connecter à un système externe
(par exemple, SAP R/3) ou le nom de connexion.
Toutes les méthodes d’accès utilisent deux types de fichiers d’options, à savoir :
Fichier d’options globales
Il s’agit d’un fichier de configuration commun, propre à une instance
particulière d’une méthode d’accès, dont les paramètres affectent tous les
postes de travail d’agent étendu définis dans cette instance. Ce fichier
contient des options qui sont, en partie, entrées au moment de
l’installation, par exemple : LJuser (qui fournit le nom de l’utilisateur qui
exécute la méthode d’accès) ou IFuser (qui fournit le nom de l’utilisateur
qui exécute la méthode pour extraire les informations relatives aux travail).
Le nom de ce fichier est <nom_méthode_accès>.opts.
Par exemple, pour une installation de la méthode d’accès R/3, le nom du
fichier d’options globales est r3batch.opts.
Fichier d’options locales
Il s’agit d’un fichier de configuration, spécifique à chaque poste de travail
d’agent étendu au sein d’une instance particulière d’une méthode d’accès.
Chaque poste de travail d’agent étendu (sauf pour z/OS) doit avoir un
fichier d’options locales avec ses propres options de configuration. Le nom
de ce fichier est Nom du poste de travail_<nom_méthode_accès>.opts.
Par exemple, si une installation de la méthode d’accès R/3 comporte deux
postes de travail d’agent étendu, CPU1 et CPU2, les noms des fichiers
d’options locales seront respectivement CPU1_r3batch.opts et
CPU2_r3batch.opts.
Les fichiers doivent résider dans le sous-répertoire methods d’installation de Tivoli
Workload Scheduler et sont lus lorsque l’agent étendu est initialisé. Les options
sont spécifiques à chaque méthode d’accès. Pour connaître les options de chaque
méthode d’accès, reportez-vous aux chapitres suivants :
v Chapitre 8, «Informations de référence sur le fichier d’options MCMAGENT», à
la page 53 pour Oracle,
v Chapitre 11, «Tâches post-installation», à la page 65 pour PeopleSoft,
v Chapitre 20, «Fichiers d’options de la méthode d’accès R/3», à la page 119 pour
R/3,
v Chapitre 25, «Configuration et fonctionnement», à la page 151 pour z/OS.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 27
Vous pouvez écrire les fichiers d’options à l’aide d’un éditeur de texte de votre
choix ou les créer avec l’Editeur d’options fourni avec le produit.
Avant de terminer l’installation, Tivoli Workload Scheduler for Applications vous
propose de démarrer l’Editeur d’options pour vous permettre de définir des
options locales, alors que certaines valeurs que vous avez entrées durant le
processus sont utilisées pour créer un fichier d’options globales. Pour démarrer
l’Editeur d’options à tout autre moment, accédez au sous-répertoire methods de
votre installation Tivoli Workload Scheduler et exécutez la commande (Windows)
opted.exe ou (Unix) opted.bin.
Si vous avez installé le produit via Tivoli Configuration Manager, lancez l’Editeur
d’options à l’aide de l’une de ces commandes :
v racine_TWS\methods\opted\opted.bat sous Windows,
v racine_TWS/methods/opted/opted.sh sous Unix.
L’Editeur d’options charge automatiquement tous les fichiers d’options globales et
locales existants. Vous pouvez ainsi modifier les fichiers existants et créer des
fichiers d’options locales pour les postes de travail d’agent étendu nouvellement
définis.
L’Editeur d’options fournit trois vues possibles d’un fichier d’options :
Simple
Affiche les options sous forme de séquence d’onglets, vous permettant de
modifier une option à la fois. Pour afficher ou modifier une option,
sélectionnez l’onglet portant le nom de l’option pour afficher la zone de la
valeur. Il s’agit de la méthode la plus aisée pour modifier les options,
puisque vous ne voyez que la valeur réelle qui sera utilisée dans le fichier.
Les valeurs héritées et les valeurs par défaut ne sont pas affichées. Les
options obligatoires apparaissent en jaune et sont caractérisées par un
astérisque (*).
Table Fournit une vue en forme de tableau de toutes les options d’un fichier
sélectionné. Pour chaque option, les colonnes suivantes sont affichées :
Valeur Valeur spécifiée dans le fichier.
Valeur par défaut
Valeur utilisée par la méthode si aucune autre valeur n’est
disponible.
Valeur héritée
Valeur provenant du fichier d’options globales, si l’héritage est pris
en charge par la méthode.
Valeur réelle
Valeur réellement utilisée lors de l’exécution. L’ordre d’utilisation
est le suivant : valeur, si disponible ; valeur héritée, si prise en
charge ; valeur par défaut.
Les options obligatoires sont affichées sur fond jaune.
Texte Affiche les fichiers d’options dans un format classique, ne présentant que
les options ayant une valeur. Cette vue est généralement utilisée à des fins
de prévisualisation, car les fichiers sont affichés en mode Lecture seule. Les
zones relatives aux mots de passe apparaissent sous forme codée.
28 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
La fenêtre de l’Editeur d’options se compose de trois zones principales, comme
illustré à la figure 17, à savoir :
Arborescence des fichiers d’options
Affiche la liste de tous les fichiers d’options existants, regroupés par
méthode.
Descripteur d’options
Donne une description de la sélection en cours.
Vue du fichier d’options
Affiche les options d’un fichier sélectionné dans l’une des trois vues
disponibles.
Vérifiez que l’Editeur d’options n’est pas en cours d’exécution avant d’ajouter ou
de mettre à jour des paramètres ou des instances d’une installation existante de
Tivoli Workload Scheduler for Applications.
Vous devez restreindre l’accès au fichier exécutable de l’Editeur d’options. Dans le
cas de multiples installations d’un agent étendu, vous pouvez améliorer la sécurité
en ne conservant qu’une seule copie de l’Editeur d’options (sur le poste de travail
principal, par exemple). Grâce à FTP, vous pouvez gérer tous les fichiers d’options
chiffrés à partir d’un même emplacement.
Figure 17. Editeur d’options
Chapitre 3. Définition des options à l’aide de l’Editeur d’options 29
Création d’un fichier d’options locales
Alors que les fichiers d’options globales sont générés automatiquement à chaque
installation d’une instance de méthode d’accès, vous pouvez créer des fichiers
d’options locales à tout moment, avant ou après avoir défini un poste de travail
d’agent étendu. Pour créer un fichier d’options locales avec l’Editeur d’options :
1. Cliquez sur Fichier→Nouveau dans la barre de menus. La fenêtre Nouveau
fichier d’options s’affiche.
2. Entrez le nom d’un poste de travail d’agent étendu que vous venez de définir
ou envisagez de définir.
3. Sélectionnez une méthode d’accès parmi celles proposées dans le menu
déroulant. Le nouveau fichier d’options aura pour nom :
<nom_poste_de_travail_agent_étendu>_<nom_méthode>.opts.
4. Commencez à entrer les valeurs des options.
Héritage des valeurs des options
Cette propriété n’est actuellement disponible que pour r3batch. Elle permet aux
fichiers d’options locales de pouvoir hériter, pour des options identiques, des
valeurs existant dans le fichier d’options globales (r3batch.opts). En fait, pour une
même méthode d’accès, les options sont listées deux fois : une fois en tant que
globale, une autre fois en tant que locale. Si l’option locale n’a pas de valeur
propre, celle de l’option globale est utilisée. A l’inverse, si elle existe, la valeur de
l’option locale prévaut toujours sur la valeur globale.
Par exemple, vous pouvez vouloir définir les mêmes utilisateur et mot de
passe R/3 pour tous vos systèmes R/3. Grâce à cette propriété, au lieu d’écrire les
mêmes valeurs dans chaque fichier d’options locales, il vous suffit de les entrer
une fois dans le fichier d’options globales.
30 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 4. Définition des postes de travail d’agent étendu
Une définition de poste de travail d’agent étendu est requise pour chaque entité de
méthode d’accès utilisée par Tivoli Workload Scheduler pour planifier et lancer des
travaux. Les postes de travail d’agent étendu sont définis de manière standard et
incluent le nom de l’hôte de l’agent étendu ainsi que le nom de la méthode.
Pour lancer un travail sur un poste de travail d’agent étendu, Tivoli Workload
Scheduler exécute la méthode d’accès et transmet les informations relatives au
travail. La méthode d’accès communique avec l’instance du système considéré
(z/OS, R/3, PeopleSoft ou Oracle) et contrôle le travail tout au long de son
exécution, consignant la progression de celui-ci et les informations d’état dans le
fichier stdlist du travail.
Création d’un poste de travail avec Job Scheduling Console
Pour définir un poste de travail d’agent étendu avec Job Scheduling Console,
suivez les étapes ci-après :
1. Dans la fenêtre principale, sélectionnez l’icône Nouveau poste de travail dans
la barre d’outils supérieure ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur le
nom du moteur Tivoli Workload Scheduler, puis sélectionnez Nouveau poste
de travail dans le menu déroulant. La fenêtre Propriétés - Poste de travail dans
la base de données s’affiche.
2. Complétez les zones en vous aidant des informations données dans le tableau 6
à la page 32.
3. Cliquez sur OK pour enregistrer et fermer la fenêtre.
Figure 18. Définition d’un poste de travail avec Job Scheduling Console
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 31
Le tableau ci-après indique comment compléter les zones de la fenêtre des
propriétés du poste de travail en fonction du poste de travail d’agent étendu que
vous voulez définir.
Tableau 6. Comment compléter les zones de la fenêtre Propriétés - Poste de travail dans la base de données
Zone Description par méthode d’accès
PeopleSoft z/OS Oracle eBusiness Suite R/3
Nom Nom du poste de travail d’agent étendu. Pour toutes les méthodes d’accès (sauf pour la
méthode z/OS pour laquelle il est toujours limité à 8 caractères), le nom peut contenir
jusqu’à 8 ou 16 caractères alphanumériques, en fonction des bases de données (étendues ou
non étendues) que vous utilisez. Il peut contenir des tirets et des traits de soulignement,
mais il doit commencer par une lettre.
Pour toutes les méthodes d’accès, ce nom doit être cohérent avec celui du fichier d’options
associé au poste de travail, c’est-à-dire que, si le fichier d’options (que vous avez
normalement créé avec l’éditeur d’options) s’appelle <ma_cpu>_<ma_méthode>.opts, alors
ma_cpu et le paramètre Nom doivent être identiques.
Noeud Non défini. Nom du noeud ou
adresse IP du système
z/OS. Seuls les noms
de domaine complets
sont acceptés.
Non défini. Non défini.
Port TCP Tout nombre autre
que 0.
Adresse TCP (numéro
de port) de la
passerelle z/OS dans
le système z/OS.
Entrez la même
valeur que la variable
SYSTSIN PORT
décrite dans le
tableau 21 à la page
146.
Tout nombre autre que
0.
Tout nombre autre
que 0.
Système
d’exploitation
Sélectionnez AUTRE.
Domaine Nom du domaine Tivoli Workload Scheduler du poste de travail hôte. Si vous avez besoin
d’aide pour le trouver, cliquez sur les points de suspension (...) pour afficher la liste des
domaines existants. Cliquez sur Utiliser le maître si vous savez que le poste de travail hôte
se situe dans le même domaine que le gestionnaire de domaine principal.
Fuseau horaire Si le réseau Tivoli Workload Scheduler utilise l’option Fuseau horaire, sélectionnez le fuseau
approprié dans la liste déroulante. Si ce n’est pas le cas, laissez cette zone vide.
Description Description textuelle facultative, à format libre, du poste de travail (40 caractères
maximum).
Communication SSL Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
Pare-feu Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
Port sécurisé Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
Type de poste de
travail
Sélectionnez Agent étendu.
Liaison automatique Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
Ignorer Sélectionnez cette option uniquement si vous souhaitez que Tivoli Workload Scheduler
ignore cette définition de poste de travail. Cette option permet de prédéfinir les flux de
travaux, les travaux et les objets d’un système qui n’est pas encore opérationnel.
Statut intégral Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
32 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 6. Comment compléter les zones de la fenêtre Propriétés - Poste de travail dans la base de
données (suite)
Zone Description par méthode d’accès
PeopleSoft z/OS Oracle eBusiness Suite R/3
Résolution des
dépendances
Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
Serveur Non utilisé sur les postes de travail d’agent étendu.
Méthode d’accès psagent L’une des méthodes
suivantes, en fonction
de votre interface de
planification des
travaux :
mvsca7 Pour lancer
et contrôler
les travaux
z/OS via
CA-7.
mvsjes Pour lancer
et contrôler
les travaux
z/OS via
JES2 ou JES3.
mvsopc
Pour lancer
et contrôler
les travaux
z/OS via
OPC ou
Tivoli
Workload
Scheduler
pour z/OS.Remarque : Le nom
est sensible à la casse
sous UNIX (il doit
être en minuscules).
MCMAGENT
Remarque : Le nom est
sensible à la casse sous
UNIX (il doit être en
minuscules).
r3batch
Remarque : Le nom
est sensible à la
casse sous UNIX (il
doit être en
minuscules).
Hôte Nom Tivoli Workload Scheduler du système hôte. Il s’agit de l’agent tolérant aux pannes ou
de l’agent standard Tivoli Workload Scheduler sur lequel l’agent étendu est installé. Cliquez
sur les points de suspension (...) pour afficher la liste des hôtes existants.
Création d’un poste de travail à partir de la ligne de commande
Les définitions de postes de travail d’agent étendu peuvent également être créées à
partir de la ligne de commande de Tivoli Workload Scheduler via le programme
Composer. L’exemple suivant illustre une définition de poste de travail d’agent
étendu z/OS, appelé MVSCPU, qui utilise la méthode d’accès mvsjes.
cpuname MVSCPU description "agent étendu zOS"
os other
node mvsesa36.rome.tivoli.com
tcpaddr 5000
domain masterdm
for maestro
Chapitre 4. Définition des postes de travail d’agent étendu 33
type x-agent
host ROCIOUS
access mvsjes
end
Consultez le manuel IBM Tivoli Workload Scheduler - Guide de référence pour
plus de détails sur la définition des postes de travail avec Composer.
Définition de postes de travail pour une planification de bout en bout
Planifier dans un environnement de bout en bout signifie que, dans Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS, vous planifiez et contrôlez des travaux qui
s’exécutent physiquement sur des postes de travail Tivoli Workload Scheduler.
Pour ce faire, les postes de travail d’agent étendu doivent être définis en tant que
postes de travail tolérants aux pannes dans Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
Un poste de travail tolérant aux pannes correspond à la définition Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS d’un agent Tivoli Workload Scheduler existant dans le réseau
réparti. L’agent Tivoli Workload Scheduler se trouve là où le travail associé au
poste de travail tolérant aux pannes sera réellement exécuté dans le réseau réparti.
Pour définir un poste de travail d’agent étendu dans Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS, vous devez :
1. Définir le poste de travail dans l’instruction d’initialisation CPUREC.
2. Ajouter la même définition de poste de travail à la base de données, via ISPF
ou Job Scheduling Console. Pour plus de détails sur la procédure à suivre pour
définir un poste de travail à l’aide de Job Scheduling Console, consultez le
manuel Tivoli Job Scheduling Console - Guide d’utilisation.
Création de l’instruction CPUREC
Commencez par créer l’instruction CPUREC pour le poste de travail dans
l’instruction d’initialisation TOPOLOGY. Cette dernière est utilisée pour définir les
paramètres relatifs à la topologie du réseau Tivoli Workload Scheduler connecté.
Une telle topologie est composée d’une ou plusieurs instructions DOMREC (une pour
chaque domaine) qui décrivent la topologie du réseau réparti et de plusieurs
instructions CPUREC (une pour chaque poste de travail tolérant aux pannes).
L’exemple ci-après illustre une instruction CPUREC pour un poste de travail d’agent
étendu R/3 du nom de R3XA. L’agent étendu est hébergé par un agent Tivoli
Workload Scheduler appelé TWSA, qui est également le gestionnaire de domaine de
DOMAINE1.
**************** MEMBRE TPLGINFO ***************************
/*********************************************************************/
/* DOMREC : Définition du domaine */
/*********************************************************************/
DOMREC DOMAIN(DOMAINE1)
DOMMNGR(TWSA)
DOMPARENT(MAITREDM)
/*********************************************************************/
/* CPUREC : Définition du poste de travail d’agent étendu */
/*********************************************************************/
CPUREC CPUNAME(R3XA)
CPUOS(OTHER)
CPUNODE(NOEUD1)
CPUDOMAIN(DOMAINE1)
CPUHOST(TWSA)
34 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
CPUTYPE(XAGENT)
CPUACCESS(r3batch)
CPUUSER(utilisateur_TWS)
CPUTZ(’Europe/Rome’)
/*********************************************************************/
/* CPUREC : Définition du poste de travail gestionnaire de domaine */
/*********************************************************************/
CPUREC CPUNAME(TWSA)
CPUNODE(NOEUD1)
CPUAUTOLINK(ON)
CPUDOMAIN(DOMAINE1)
CPUTYPE(FTA)
CPUUSER(utilisateur_TWS)
CPUTZ(’Europe/Rome’)
Les mots clés suivants définissent R3XA comme agent étendu :
CPUACCESS
Méthode d’accès associée à l’agent étendu. Pour R/3, il s’agit de r3batch.
CPUHOST
Nom du poste de travail Tivoli Workload Scheduler hébergeant l’agent
étendu. Il ne peut pas s’agir d’un autre agent standard ou étendu.
CPUTYPE
Type de poste de travail, à savoir XAGENT pour un agent étendu.
Pour plus d’informations sur CPUREC, consultez le manuel Tivoli Workload Scheduler
for z/OS Customization and Tuning.
Définition d’un poste de travail avec ISPF
La figure 19 à la page 36 illustre une définition ISPF pour R3XA.
Dans ISPF (ou dans Job Scheduling Console), définissez le poste de travail comme
Ordinateur Automatique, puis entrez Y dans la zone FT Work station. C’est
l’instruction CPUREC avec les trois mots clés décrits dans la section précédente qui
fournit la spécification de l’agent étendu.
Chapitre 4. Définition des postes de travail d’agent étendu 35
Remarque : Veillez à écrire l’instruction CPUREC avant de créer la définition ISPF ou
Job Scheduling Console, car ni l’un, ni l’autre n’a d’effet sans
l’instruction CPUREC.
--------------
CREATION D’INFORMATIONS GENERALES SUR UN POSTE DE TRAVAIL
--------------
Commande ===>
Entrez la commande R pour ressources, A pour disponibilité ou M pour méthode d’accès
ci-dessus, ou entrez les données ci-dessous :
WORK STATION NAME ===> R3XA
DESCRIPTION ===> Agent étendu pour méthode d’accès R/3____________________
WORK STATION TYPE ===> C G Général, C Ordinateur, P Imprimante
REPORTING ATTR ===> A A Automatique, S Démarrage et exécution manuels
C Exécution uniquement, N Pas de génération d’états
FT Work station ===> Y Poste de travail FT, Y ou N
PRINTOUT ROUTING ===> SYSPRINT Nom de domaine de l’ensemble des données du plan quotidien
SERVER USAGE ===> N Utilisation des serveurs parallèles C , P , B ou N
Options :
SPLITTABLE ===> N Interruption d’opération autorisée, Y ou N
JOB SETUP ===> N Modification de JCL autorisée, Y ou N
STARTED TASK, STC ===> N Support des tâches en cours, Y ou N
WTO ===> N WTO automatique, Y ou N
DESTINATION ===> ________ Nom de la cible
Valeurs par défaut :
TRANSPORT TIME ===> 00.00 Délai à partir du poste de travail précédent HH.MM
DURATION ===> ________ Durée d’une opération normale HH.MM.SS
Figure 19. Définition d’un poste de travail d’agent étendu
36 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 5. Définition des travaux d’agent étendu
Ce chapitre explique comment définir les travaux Tivoli Workload Scheduler
associés aux travaux externes que vous voulez exécuter via des agents étendus.
Pour exécuter et contrôler un travail PeopleSoft, R/3, Oracle ou z/OS avec Tivoli
Workload Scheduler, l’agent étendu (ou la méthode d’accès) requiert une définition
de travail Tivoli Workload Scheduler, où vous spécifiez le travail externe que vous
envisagez de planifier, le poste de travail (également défini dans Tivoli Workload
Scheduler) sur lequel il est supposer s’exécuter ainsi que les actions de
récupération souhaitées. Pour définir le travail, vous pouvez utiliser :
v Tivoli Job Scheduling Console,
v la ligne de commande Tivoli Workload Scheduler.
Si vous planifiez dans un environnement de bout en bout, vous devez utiliser les
boîtes de dialogue ISPF de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS pour définir le
travail. De plus, vous devez créer un membre dans le fichier SCRIPTLIB avec une
instruction JOBREC pour le travail.
Les travaux d’agent étendu sont ajoutés aux flux de travaux et planifiés comme
tout autre travail dans Tivoli Workload Scheduler et Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS.
Définition des travaux avec Job Scheduling Console
Les étapes décrites ici pour définir un travail d’agent étendu sont communes à
toutes les méthodes d’accès. En outre, la méthode d’accès pour R/3 propose des
fonctions supplémentaires, si vous utilisez la procédure de substitution décrite à la
section «Utilisation des fenêtres SAP de Job Scheduling Console» à la page 102.
Pour toutes les méthodes d’accès, suivez les étapes ci-après :
1. Dans la liste Actions de la fenêtre principale de Job Scheduling Console,
sélectionnez Nouvelle définition de travail.
2. Sélectionnez un moteur Tivoli Workload Scheduler et, dans la liste affichée,
cliquez sur Tâche d’agent étendu. La page Général de la fenêtre Propriétés -
Définition du travail s’affiche.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 37
3. Cette page vous permet de fournir des informations sur le travail Tivoli
Workload Scheduler qui gérera le travail externe. Complétez les zones de cette
fenêtre à l’aide de la table suivante.
Tableau 7. Page Général de la fenêtre Propriétés - Définition du travail (Description des
zones).
Zone Description
Type de tâche Zone en lecture seule devant afficher Tâche d’agent étendu.
Nom Nom du travail Tivoli Workload Scheduler que vous définissez. Ce
travail est destiné à gérer le travail de l’application externe dont vous
spécifierez le nom dans la prochaine page de cette fenêtre. Le nom
peut contenir jusqu’à 8 caractères alphanumériques si la base de
données n’est pas étendue, ou 40, si elle est étendue. Il peut inclure
des tirets et des caractères de soulignement, mais doit débuter par
une lettre. Les espaces imbriqués ne sont pas autorisés. Il peut être
identique au nom du travail externe, dans la mesure où celui-ci est
valide dans Tivoli Workload Scheduler.
Poste de travail Nom du poste de travail d’agent étendu sur lequel le travail est censé
s’exécuter. Vous pouvez cliquer sur les points de suspension (...) pour
afficher une fenêtre de recherche et sélectionner un poste de travail
disponible.
Description Description du travail ne devant pas excéder 64 caractères
alphanumériques. Cette zone est facultative.
Figure 20. Page Général de la fenêtre Propriétés - Définition du travail.
38 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 7. Page Général de la fenêtre Propriétés - Définition du travail (Description des
zones). (suite)
Zone Description
Connexion Nom d’utilisateur nécessaire à l’exécution du travail dans Tivoli
Workload Scheduler. Normalement, il s’agit de la valeur du
paramètre LJuser, spécifiée lors de l’installation de Tivoli Workload
Scheduler for Applications, qui se trouve dans le fichier d’options de
la méthode. Ce doit être un utilisateur valide sur le poste de travail
hôte Tivoli Workload Scheduler, qui doit également pouvoir accéder
au produit externe. Ce paramètre est requis pour planifier le travail
dans Tivoli Workload Scheduler, où il apparaît dans différents écrans.
Si nécessaire, cliquez sur Ajouter un paramètre pour ajouter des
paramètres prédéfinis à l’ID de connexion.
Options de
récupération
Réponse automatique de Tivoli Workload Scheduler si le travail
s’arrête de manière anormale. La valeur par défaut est Arrêter. Pour
plus d’informations sur les options de récupération, reportez-vous au
manuel Tivoli Workload Scheduler - Guide de référence.
Message Message facultatif devant apparaître lorsque le travail s’arrête de
manière anormale. Aucun message prédéfini n’est accepté ici.
Travail Nom du travail de récupération devant démarrer automatiquement
lorsque le travail s’arrête de manière anormale. Cliquez sur les points
de suspension (...) pour afficher une fenêtre de recherche et
répertorier les travaux existants.
Poste de travail Nom du poste de travail propriétaire du travail de récupération.
4. Cliquez sur Tâche pour accéder à la page suivante. La page Tâche de la fenêtre
apparaît.
5. Cette page vous permet de fournir des informations sur le travail (ou tâche)
externe qui sera géré par le travail défini à la page précédente. Notez que la
Figure 21. Page Tâche de la fenêtre Propriétés - Définition du travail.
Chapitre 5. Définition des travaux d’agent étendu 39
tâche doit déjà avoir été définie dans l’application externe. Complétez les zones
de cette fenêtre à l’aide de la table suivante.
Tableau 8. Page Tâches de la fenêtre Propriétés - Définition du travail (Description des
zones).
Zone Description
Type de tâche Zone en lecture seule devant afficher Tâche d’agent étendu.
Commande Spécifications du travail externe (tâche). Chaque application
externe utilise un jeu de paramètres différents :
v Pour les travaux Oracle Applications, reportez-vous à la
section «Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux
Oracle Applications» à la page 49.
v Pour les travaux PeopleSoft, reportez-vous à la section
«Paramètres des chaînes de tâches des travaux PeopleSoft» à la
page 77.
v Pour les travaux R/3, reportez-vous à la section «Paramètres
de chaîne de tâches pour les travaux R/3» à la page 109.
v Pour les travaux z/OS, reportez-vous à la section «Syntaxe de
définition de tâche pour les travaux z/OS planifiés avec Tivoli
Workload Scheduler» à la page 153.
Ecrivez les paramètres dans une chaîne se présentant sous le
format suivant :
-paramètre1 valeur1 -paramètre2
valeur2...-paramètren
valeurn
Cliquez sur Ajouter un paramètre... pour afficher une fenêtre de
recherche de paramètres où vous pouvez répertorier et ajouter
des paramètres Tivoli Workload Scheduler prédéfinis à la zone
Commande.
Expression du mappage
de code retour
Expression logique définissant les codes retour qui indiquent la
réussite de la tâche. Vous pouvez utiliser des opérateurs de
comparaison et des opérateurs logiques. Par exemple,
l’expression RC≥6 indique qu’un code retour supérieur ou égal
à 6 signifie que la tâche a été exécutée avec succès.
6. Cliquez sur OK pour enregistrer la définition du travail.
Définition des travaux à partir de la ligne de commande Tivoli
Workload Scheduler
Il est également possible de définir les travaux dans une ligne de commande
Composer de Tivoli Workload Scheduler. L’exemple suivant illustre un travail
Tivoli Workload Scheduler appelé orajob2 qui s’exécute sur un poste de travail
d’agent étendu Oracle Applications appelé ora002. Il se connecte à UNIX en tant
que orajobs et lance un travail sous Oracle Applications. Le travail Oracle
Applications est appelé poxacr et son propriétaire est global. En cas d’incident,
Tivoli Workload Scheduler exécutera le travail de récupération recov2, puis
continuera le traitement.
ora002#orajob2
streamlogon orajobs
scriptname "-user global
-job fnd ’application developer’ po poxacr
40 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
-prn ps4 2
-v1 ’abc’"
description "oracle apps job #2"
recovery continue after recov2
Notez que les arguments de scriptname diffèrent d’une application à l’autre. Pour
référence, reportez-vous aux sections :
v «Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux Oracle Applications» à la page
49.
v «Paramètres des chaînes de tâches des travaux PeopleSoft» à la page 77.
v «Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux R/3» à la page 109.
v «Syntaxe de définition de tâche pour les travaux z/OS planifiés avec Tivoli
Workload Scheduler» à la page 153.
Pour plus d’informations sur la définition des travaux via une ligne de commande,
reportez-vous au manuel Tivoli Workload Scheduler - Guide de référence.
Définition des travaux pour une planification de bout en bout
Les travaux d’agent étendu planifiés pour s’exécuter dans un environnement de
bout en bout ne peuvent pas être définis via une ligne de commande Job
Scheduling Console ou Tivoli Workload Scheduler. Ils doivent être ajoutés au
fichier SCRIPTLIB de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
Dans l’écran ISPF OPERATIONS de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, les travaux
d’agent étendu sont définis comme tout autre travail, mais le choix d’un poste de
travail d’agent étendu révèle leur type. L’exemple suivant illustre la définition d’un
travail appelé SAPJOB. Il s’agit du travail Tivoli Workload Scheduler pour z/OS
destiné à gérer l’exécution d’un travail R/3 (appelé BAPRINT46B comme vous le
verrez dans l’exemple suivant). Il s’avère être un travail d’agent étendu,
uniquement parce que le poste de travail associé est un poste de travail d’agent
étendu appelé R3XA.
Pour chaque travail, un membre doit être créé dans le fichier SCRIPTLIB de Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS, les détails relatifs au travail étant spécifiés dans
une instruction JOBREC. Un membre SAPJOB a été créé pour le travail de l’exemple
précédent, avec une instruction JOBREC se présentant comme suit :
JOBREC
JOBCMD(’/-job BAPRINT46B -user MAESTRO -i 14160001 -c C’)
JOBUSR(twsila)
--------------------------------- OPERATIONS -----------------Row 1 to 1 of 1
Command ===> Scroll ===> PAGE
Enter/Change data in the rows, and/or enter any of the following
row commands:
I(nn) - Insert, R(nn),RR(nn) - Repeat, D(nn),DD - Delete
S - Select operation details, J - Edit JCL
Enter the TEXT command above to include operation text in this list, or,
enter the GRAPH command to view the list graphically.
Application : APLL1 FTW appl
Row Oper Duration Job name Internal predecessors Morepreds
cmd ws no. HH.MM.SS -IntExt-
’’’’ R3XA 001 00.00.01 SAPJOB___ ___ ___ ___ ___ ___ ___ ___ ___ 0 0
******************************* Bottom of data ********************************
Figure 22. Définition d’un travail d’agent étendu dans le cadre d’une planification de bout en bout.
Chapitre 5. Définition des travaux d’agent étendu 41
La chaîne incluse dans JOBCMD est lue et interprétée par la méthode d’accès,
préalablement à l’exécution du travail. Le travail de cet exemple, BAPRINT46B, a été
précédemment défini dans R/3 et associé à l’ID 14160001, manuellement transcrit
dans JOBCMD.
L’exemple suivant concerne un travail PeopleSoft. Notez que la chaîne qui suit le
mot clé JOBCMD doit figurer entre des guillemets doubles plutôt qu’entre des
guillemets simples. Ceci ne s’applique que dans le cas de travaux PeopleSoft
complexes, où des guillemets simples sont déjà utilisés dans la chaîne.
JOBREC
JOBCMD("/-operator PS -process XRFWIN -type ’SQR Report’ -runcontrol TWS")
JOBUSR(PsBuild)
Les arguments de JOBCMD diffèrent d’une application à l’autre. Pour référence,
reportez-vous aux sections :
v «Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux Oracle Applications» à la page
49.
v «Paramètres des chaînes de tâches des travaux PeopleSoft» à la page 77.
v «Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux R/3» à la page 109.
v «Syntaxe de définition de tâche pour les travaux z/OS planifiés avec Tivoli
Workload Scheduler» à la page 153.
42 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 6. Introduction
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour Oracle e-Business Suite vous
permet de planifier des travaux Oracle e-Business Suite grâce aux fonctions de
planification évoluées de Tivoli Workload Scheduler.
Tout au long de ce manuel, les termes Oracle Applications et Oracle e-Business
Suite sont utilisés indifféremment pour se référer au même produit.
L’hôte Tivoli Workload Scheduler, l’agent étendu Tivoli Workload Scheduler pour
Oracle e-Business Suite et l’instance Oracle e-Business Suite doivent être installés
sur le même noeud physique.
Fonctions
v Utiliser les dépendances de travail standard de Tivoli Workload Scheduler (à
l’exception des dépendances Open File).
v Planifier des travaux Oracle e-Business Suite devant s’exécuter à des jours et
heures spécifiques, dans un ordre déterminé.
v Définir des interdépendances entre les travaux Oracle Applications et ceux
s’exécutant sur des systèmes différents, tels que R/3 et PeopleSoft.
v Définir des interdépendances entre les travaux Oracle Applications et ceux
s’exécutant sur des plateformes différentes.
v Personnaliser les codes retour d’exécution des travaux.
Configuration logicielle requise
Pour installer et utiliser IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour
Oracle e-Business Suite, vous devez disposer des éléments suivants, à savoir :
v Un des systèmes d’exploitation pris en charge suivant :
– HP-UX 11.0 ou 11.i,
– Environnement d’exploitation Solaris Versions 7, 8 ou 9,
– IBM AIX 4.3.3 ou 5.1.v Les logiciels installés suivants &:
– IBM Tivoli Workload Scheduler version 7.0 ou supérieure,
– Oracle Applications 10.7 ou Oracle e-Business Suite version 11.0 ou 11.i,
– Pour les utilisateurs AIX et HP uniquement, le compilateur gcc pour la
plateforme considérée. Les fichiers binaires du compilateur gcc peuvent être
téléchargés à partir de différentes sources sur le Web.
Pour obtenir une liste mise à jour des plateformes prises en charge, contactez le
service d’assistance à la clientèle.
Tâches post-installation
Une fois le produit installé selon la procédure décrite au Chapitre 2, «Installation
d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications», à la page 5, exécutez les étapes
suivantes pour terminer l’installation de la méthode d’accès pour Oracle e-Business
Suite :
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 45
1. Connectez-vous avec un ID d’utilisateur Unix Oracle Applications ayant accès
à tous les fichiers dans le répertoire principal d’Oracle Applications.
2. Accédez au répertoire d’installation :
cd <racine_TWS>/methods/OracleTMP
Remarque : Si vous utilisez la base de données de démonstration d’Oracle
Applications, remplacez le fichier indiqué aux étapes 3 et 4 par
APPDEMO.env. 3. Modifiez le fichier Oracle Applications APPLSYS.env comme suit :
a. Ajoutez MCM aux variables APPLSHAR et APPLFULL.
APPLSHAR=’ALR FF MCM’
APPLFUL=’FND AD AX AK GL RG INV OP MCM’
b. Définissez et exportez la variable de shell MCM_TOP :
MCM_TOP=$APPL_TOP/mcm/integration
export MCM_TOP
c. Ajoutez $MCM_TOP/bin à la variable PATH en entrant les lignes suivantes au
bas du fichier APPLSYS.env :
PATH=$PATH:$MCM_TOP/bin
export PATH
4. Exécutez le fichier APPLSYS.env pour définir l’environnement :
. APPLSYS.env
Remarque : Vérifiez que la connexion Oracle Applications dispose des droits
requis pour écrire dans les répertoires racine_TWS et methods. 5. Modifiez les caractéristiques de propriété Utilisateur et Groupe des fichiers
installés en leur attribuant celles du propriétaire Oracle Applications.
6. Accédez au répertoire /temp/usrxit.
7. Pour les utilisateurs AIX et HP uniquement :
v Etant donné le format des objets MCMxxx.o, vous devez utiliser le
compilateur gcc pour que votre plateforme puisse exécuter les étapes
suivantes. Les fichiers binaires du compilateur gcc peuvent être téléchargés
à partir de différentes sources sur Internet.
v Pour les utilisateurs AIX uniquement : personnalisez le script adrelink
fourni par Oracle pour les options de réédition de liens gcc :
a. Localisez la ligne suivante :
AIXRIOS) LDFLAGS=’-s -H512 -T512 -bhalt:4
-brtl -L$(ORACL ....’
b. Supprimez l’expression
-H512 -T512 -bhalt:4 -brtl
de cette ligne, afin qu’elle se présente comme suit :
AIXRIOS) LDFLAGS=’-s -L$(ORACL ....’
v Vérifiez que le compilateur gcc est configuré dans le chemin d’accès à
l’environnement du propriétaire de l’application. Vous pouvez également
modifier le fichier mcm.mk fourni avec le produit en y insérant le chemin
d’accès complet à gcc dans la ligne
CC="gcc"
Remarque : IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour Oracle
e-Business Suite prend uniquement en charge la version 2.x du
compilateur gcc. La version 3.x n’est pas prise en charge.
46 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
8. Exécutez le script d’installation mcminstall à partir du répertoire Temp.
Utilisez la commande suivante :
sh mcminstall
Un écran Tivoli Oracle apparaît.
9. Répondez aux questions de l’écran en fonction de vos paramètres Oracle
Applications et de ceux de votre installation Tivoli Workload Scheduler.
Le processus d’installation tente à présent de créer des liens entre les
exécutables Tivoli Workload Scheduler for Applications et les bibliothèques
partagées d’Oracle Applications.
Une fois le processus d’édition des liens terminé, les exécutables ci-dessous
doivent se trouver dans le répertoire $MCM_TOP/bin :
v MCMLJ
v MCMSTAT
v MCMTJ
Ces fichiers binaires sont créés par l’utilitaire adrelink pour Oracle
Applications, qui enregistre également MCM comme module dans AOL.
Si vous rencontrez des problèmes lors de l’édition des liens, vous devez
absolument les corriger et réexécuter l’étape, car celle-ci est essentielle pour la
création des fichiers binaires qui permettent à Tivoli Workload Scheduler for
Applications d’interagir avec Oracle Concurrent Manager au niveau de la
soumission et du contrôle des travaux.
10. Editez le fichier d’options. Reportez-vous au Chapitre 8, «Informations de
référence sur le fichier d’options MCMAGENT», à la page 53 et au Chapitre 3,
«Définition des options à l’aide de l’Editeur d’options», à la page 27 pour plus
de détails.
L’installation est à présent terminée. Consultez la documentation IBM Tivoli
Workload Scheduler pour plus de détails sur le démarrage de Batchman, la
définition des postes de travail, des travaux et des autres opérations Tivoli
Workload Scheduler.
Programmes d’interface
L’interface entre Tivoli Workload Scheduler et Oracle e-Business Suite comprend
les programmes suivants :
MCMAGENT
Méthode d’accès d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour
Oracle e-Business Suite.
MCMLJ
Soumet un travail à Oracle Concurrent Manager (OCM).
MCMSTAT
Surveille l’état du travail soumis.
MCMTJ
Termine le travail soumis, lorsque Tivoli Workload Scheduler envoie un
signal ″kill″.
mcm.mk
Utilitaire makefile permettant de lier les programmes ci-dessus avec Oracle
Applications.
Chapitre 6. Introduction 47
MCMAGENT.opts
Fichier d’options globales contenant les paramètres de configuration de la
méthode d’accès. Ce fichier est créé par le processus d’installation de Tivoli
Workload Scheduler for Applications, avec certaines valeurs que vous avez
entrées durant l’installation. Reportez-vous au Chapitre 8, «Informations de
référence sur le fichier d’options MCMAGENT», à la page 53 et au
Chapitre 3, «Définition des options à l’aide de l’Editeur d’options», à la
page 27 pour plus de détails.
<NOM_POSTE_DE_TRAVAIL>_MCMAGENT.opts
Fichier d’options locales contenant les paramètres de configuration de
l’agent étendu. Ce fichier est obligatoire pour chaque poste de travail
d’agent étendu que vous définissez. Reportez-vous au Chapitre 8,
«Informations de référence sur le fichier d’options MCMAGENT», à la
page 53 et au Chapitre 3, «Définition des options à l’aide de l’Editeur
d’options», à la page 27 pour plus de détails.
48 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 7. Informations sur la définition des travaux
Ce chapitre fournit des informations sur la définition des travaux Oracle
Applications dans Tivoli Workload Scheduler.
Définition des travaux dans Oracle Applications
Dans Oracle Applications, les travaux qui doivent être planifiés via Tivoli
Workload Scheduler sont définis de la même manière que les autres travaux Oracle
Applications (et peuvent être soumis dans OCM). Lorsque vous soumettez un
travail dans OCM, vous devez spécifier les informations de planification et de
resoumission. Lorsque vous soumettez le travail via Tivoli Workload Scheduler,
celui-ci prend en charge les informations de planification et de resoumission.
Pour définir un travail, utilisez les exécutables et les formulaires Define Concurrent
Program et entrez les informations générales sur le travail. Le travail peut alors
être planifié à partir de Tivoli Workload Scheduler ; il peut également être soumis
dans OCM.
Exécutions simultanées d’un même travail
Si un travail Oracle Applications est planifié pour s’exécuter plusieurs fois dans
Tivoli Workload Scheduler et que Tivoli Workload Scheduler lance les différentes
instances en parallèle, les travaux s’exécuteront normalement. Toutefois, si
l’utilisateur Oracle Applications a spécifié que plusieurs instances du travail ne
pouvaient pas s’exécuter simultanément, le deuxième travail sera mis en attente
(état WAIT) jusqu’à ce que le premier travail soit terminé.
Définition des travaux Oracle Applications dans Tivoli Workload
Scheduler
Une définition de travail Tivoli Workload Scheduler est requise pour chaque travail
Oracle Applications que vous envisagez de planifier. Les travaux Oracle
Applications sont définis dans Tivoli Workload Scheduler comme tout autre
travail ; ils incluent un nom de travail, un nom d’utilisateur et des options de
récupération. Reportez-vous au Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent
étendu», à la page 37.
Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux Oracle
Applications
Cette section décrit les paramètres des chaînes de tâches qui gèrent l’exécution des
travaux Oracle Applications. Vous devez les spécifier aux emplacements suivants
lorsque vous définissez les travaux Tivoli Workload Scheduler qui leur sont
associés :
v Dans la zone Commande de la page Tâche de la fenêtre Propriétés - Définition
du travail, si vous utilisez Job Scheduling Console.
v En tant qu’arguments du mot clé scriptname dans l’instruction de définition du
travail, si vous utilisez la ligne de commande Tivoli Workload Scheduler.
v En tant qu’arguments du mot clé JOBCMD dans l’instruction JOBREC du fichier
SCRIPTLIB de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, si vous planifiez dans un
environnement de bout en bout.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 49
Ces paramètres sont décrits dans le tableau ci-après.
Tableau 9. Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux Oracle Applications.
Paramètre Description
-user appslogin
Nom d’un utilisateur Oracle Applications valide
(Appslogin).
-job jobspecs
Attributs du travail Oracle Applications. Quatre
attributs doivent être spécifiés dans l’ordre suivant,
à savoir :
v le nom du module Applications utilisé pour se
connecter à Oracle Applications (par exemple,
FND),
v une autorité valide pour le module Applications
(par exemple, ‘développeur d’applications’, à
inclure entre des guillemets simples),
v le nom de l’application qui a enregistré le travail
(par exemple, PO),
v le nom du travail (par exemple, POXACR). Le nom
du travail doit être en majuscules.
Par exemple :
-job FND ’développeur d’applications’ PO POXACR
-prn printopts
Options d’impression du travail, au nombre de
deux. Ces options doivent être entrées dans l’ordre
suivant :
v nom de l’imprimante (facultatif). En cas
d’omission, l’imprimante par défaut spécifiée
dans le fichier d’options sera utilisée,
v nombre de copies.
Par exemple :
-prn ps4 2
50 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 9. Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux Oracle Applications. (suite)
Paramètre Description
[-vn (’valeur’|null|:paramètre)]
Paramètres du travail, s’ils existent. Cette chaîne est
facultative si aucun paramètre n’est spécifié pour le
travail dans Oracle Applications.
v n correspond au numéro du paramètre (v1, v2,
etc.),
v l’une des options suivantes :
valeur Valeur réelle. Faites figurer la valeur
entre des guillemets simples si elle
contient des caractères spéciaux.
:paramètre
Nom d’un paramètre Tivoli Workload
Scheduler déjà défini. Pour plus
d’informations sur les paramètres Tivoli
Workload Scheduler, reportez-vous au
manuel Tivoli Workload Scheduler - Guide
de référence.
La méthode d’accès ajoutera automatiquement
tous les paramètres que vous n’avez pas spécifiés
dans la définition en leur associant la valeur
null.
Voici deux exemples :
-v4 ’abc’
-v15 :p1
Voici, à titre d’exemple, comment peut se présenter une chaîne de tâches
complète :
-user GLOBAL -job FND ’Développeur d’applications’ PO POXACR -prn ps4 2 -v1
’abc’
Chapitre 7. Informations sur la définition des travaux 51
Etats des travaux Tivoli Workload Scheduler et Oracle Applications
Lorsqu’un travail Oracle Applications est lancé par Tivoli Workload Scheduler,
vous pouvez surveiller sa progression grâce à Conman. Les transitions d’état
utilisées dans Tivoli Workload Scheduler et leurs correspondances dans Oracle
Applications sont répertoriées ci-dessous.
Etats d’Oracle Concurrent Manager Etats de Tivoli Workload Scheduler
Request Failure ou Request not Found UT (unsup. task - tâche non prise en charge)
Inactive SUSP
Pending WAIT
Pending Normal ADD
Running Normal EXEC
Completed Normal SUCC
Completed Warning SUCC
Completed Error ABEND
Completed Terminated ABEND
Completed Canceled ABEND
Pour plus d’informations sur la gestion des travaux, reportez-vous au manuel
Tivoli Workload Scheduler - Guide de référence.
52 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 8. Informations de référence sur le fichier d’options
MCMAGENT
Cette section fournit des informations de référence détaillées sur le fichier
d’options IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour Oracle e-Business
Suite.
Fichier d’options
Toute instance installée de la méthode d’accès Oracle doit avoir un fichier
d’options dédié. Celui-ci peut être créé au cours ou à l’issue de l’installation de la
méthode d’accès, avec l’Editeur d’options (voir Chapitre 3, «Définition des options
à l’aide de l’Editeur d’options», à la page 27) ou un quelconque éditeur de texte. Il
doit, en outre, répondre à la convention de dénomination
<NOM_POSTE_DE_TRAVAIL>_MCMAGENT.opts et être situé dans le répertoire
racine_TWS/methods. Si vous ne créez pas de fichier d’options, l’agent utilisera, par
défaut, le fichier d’options globales appelé MCMAGENT.opts.
Syntaxe des entrées
Le tableau suivant répertorie les options de la méthode d’accès MCMAGENT.
Tableau 10. Options MCMAGENT.
Option Description
ORACLE_HOME Répertoire Unix où le logiciel Oracle est installé.
ORACLE_SID Identificateur système Oracle de l’instance de base de
données à laquelle vous vous connectez. Correspond à la
valeur de la variable Oracle Applications $ORACLE_SID.
ORA_APP_TOPDIR Répertoire Unix où Oracle Applications est installé.
FND_TOPDIR Répertoire principal FND où réside la bibliothèque
Application Object.
PATH Paramètre de la variable PATH, incluant le chemin
existant, le chemin du répertoire bin d’Oracle
Applications, le chemin du répertoire include en aval du
répertoire principal FND et d’autres, le cas échéant.
ENV Fichier d’environnement à exécuter. Chaque instance
d’Oracle Applications a son propre fichier
d’environnement (APPLSYS.env ou APPDEMO.env). Le
nom de fichier .env attribué ici sera utilisé pour définir
dynamiquement l’environnement lorsque Tivoli
Workload Scheduler exécutera des travaux sur l’agent
étendu Oracle Applications.
USERID ID utilisateur de base de données ayant accès à tous les
modules Oracle Applications. Cet ID doit pouvoir lancer,
gérer et terminer des travaux dans Oracle Applications.
PASSWORD Mot de passe associé à l’ID utilisateur sélectionné. Pour
obtenir la valeur codée, utilisez l’utilitaire enigma fourni
avec le produit. Reportez-vous à la section «Chiffrage des
mots de passe utilisateur Oracle Applications» à la page
54.
PRINTER_NAME ID de l’imprimante par défaut.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 53
Tableau 10. Options MCMAGENT. (suite)
Option Description
MIN_TIME Nombre de secondes à ajouter au précédent délai
d’invitation à émettre, à l’issue duquel le statut du travail
doit être contrôlé.
MAX_TIME Nombre de secondes à l’issue duquel le délai d’invitation
à émettre ne sera pas incrémenté.
Toutes les options sont obligatoires et doivent être écrites à raison d’une par ligne,
selon le format :
OPTION=VALEUR
sans aucun espace.
Exemple
Le fichier HP113_MCMAGENT.opts est un exemple de fichier d’options :
ORACLE_HOME=/general/ora716
ORACLE_SID=DEMO106
ORA_APP_TOPDIR=/apps106
FND_TOPDIR=$APPL_TOP/fnd/*
PATH=$PATH:$ORACLE_HOME/bin:$FND_TOP/include
ENV=$APPL_TOP/APPDEMO106.env
USERID=APPS_US
PASSWORD=APPS_US
PRINTER_NAME=PRINTER1
MIN_TIME=10
MAX_TIME=200
Chiffrage des mots de passe utilisateur Oracle Applications
Lorsque vous entrez des paramètres dans le fichier d’options, la valeur du mot de
passe est automatiquement chiffrée avant d’être écrite dans le fichier. Si vous
modifiez le fichier avec un éditeur de texte, vous devez exécuter le programme
enigma pour chiffrer le mot de passe avant de l’écrire dans le fichier. Exécutez le
programme enigma comme suit :
enigma [mot_de_passe]
Vous pouvez inclure le mot de passe dans la ligne de commande ou l’entrer dans
une réponse à une invite. Le programme renvoie une version chiffrée que vous
pouvez alors entrer dans le fichier d’options.
54 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 9. Introduction
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour PeopleSoft vous permet
d’exécuter et de contrôler des travaux PeopleSoft à partir de l’environnement Tivoli
Workload Scheduler. Ces travaux peuvent être exécutés dans le cadre d’un
calendrier ou soumis en vue d’un traitement ponctuel. Les travaux d’agent étendu
PeopleSoft peuvent bénéficier des mêmes dépendances et options de récupération
que les autres travaux Tivoli Workload Scheduler. Les travaux PeopleSoft doivent
être documentés dans Tivoli Workload Scheduler pour être exécutés et contrôlés
dans l’environnement Tivoli Workload Scheduler.
Fonctions
v L’agent étendu pour les versions 7.0, 7.5 et 8.x de PeopleSoft a été certifié par
PeopleSoft sous Windows NT 4.0 avec le Service Pack 6 et sous Windows 2000.
v Prise en charge de PeopleSoft 8.x.
v Utiliser les dépendances de travail Tivoli Workload Scheduler standard pour les
travaux PeopleSoft.
v Planifier des travaux PeopleSoft devant s’exécuter à des jours et heures
spécifiques, dans un ordre déterminé.
v Définir des interdépendances entre les travaux PeopleSoft et les travaux Tivoli
Workload Scheduler s’exécutant sur des applications différentes, telles que R/3
et Oracle.
v Définir des interdépendances entre les travaux PeopleSoft et ceux s’exécutant sur
des plateformes différentes.
v Personnaliser les codes retour d’exécution des travaux.
Principes de fonctionnement
Tivoli Workload Scheduler peut lancer et contrôler des travaux dans le
planificateur de traitement PeopleSoft à partir d’un poste de travail d’agent étendu
PeopleSoft. L’agent étendu PeopleSoft est décrit dans une définition de poste de
travail Tivoli Workload Scheduler standard. Cette définition est un nom de poste
de travail logique qui spécifie la méthode d’accès en tant que psagent. La méthode
d’accès est utilisée pour communiquer les demandes de travaux au planificateur de
traitement PeopleSoft.
Pour lancer un travail PeopleSoft, Tivoli Workload Scheduler exécute la méthode
psagent et lui transmet les informations relatives au travail. Un fichier d’options
fournit la méthode avec le chemin, l’exécutable et d’autres informations sur le
planificateur de traitement PeopleSoft et le serveur d’applications utilisé pour
lancer le travail. L’agent étendu peut alors accéder à la table des demandes de
traitement PeopleSoft et insérer une entrée dans la table pour lancer le travail. La
progression du travail et les informations de statut sont reportées dans le fichier
Stdlist du travail.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 57
Travaux du planificateur de traitements PeopleSoft
Le planificateur de traitements PeopleSoft utilise les entrées de la table des
demandes de traitement (PSPRCSRQST) pour gérer ses décisions. Ces entrées
décrivent les traitements qui seront lancés par l’agent serveur du planificateur de
traitements. Elles contiennent également les informations requises pour déterminer
le statut du traitement. La méthode d’accès PeopleSoft peut insérer des entrées,
interroger le contenu et modifier les informations de statut à l’intérieur de cette
table (PSPRCSRQST).
Lorsqu’il documente un travail PeopleSoft dans Tivoli Workload Scheduler,
l’utilisateur définit de fait une demande de traitement qui sera insérée dans la table
des demandes de traitement (PSPRCSRQST). Une demande de traitement émanant de
Tivoli Workload Scheduler doit contenir trois éléments de données valides :
v une définition de traitement avec deux paramètres :
– type de traitement,
– nom du traitement,v un ID opérateur (non requis pour une exécution sous PeopleSoft 8.x),
v un ID de contrôle d’exécution.
Tous ces éléments sont requis pour qu’un travail PeopleSoft puisse s’exécuter. La
méthode d’accès PeopleSoft met directement à jour la table PSPRCSRQST pour
PeopleSoft 7.x (connexion à 2 niveaux), alors que pour PeopleSoft 8.x elle exploite
le serveur d’applications PeopleSoft via l’interface exposée par l’interface du
composant PROCESSREQUEST (connexion à 3 niveaux).
Notez que le planificateur de traitements et le serveur d’applications s’exécutent
sous Unix et sur les postes de travail FTA Windows pris en charge, alors que
l’agent étendu ne s’exécute que sous Windows NT ou sous Windows 2000.
Suivi des travaux PeopleSoft dans Tivoli Workload Scheduler
Dans PeopleSoft, un travail est constitué d’une collection de traitements qui
s’exécutent ensemble en tant qu’unité unique. Les travaux Tivoli Workload
Scheduler peuvent être définis à l’aide de l’une des méthodes suivantes :
v En tant que travaux PeopleSoft, c’est-à-dire sous forme de collection de
traitements PeopleSoft. Dans ce cas, le système effectue le suivi du statut du
travail PeopleSoft, et non de chaque traitement constituant le travail.
v En tant que traitement PeopleSoft. Dans ce cas, le suivi du statut de chaque
traitement est effectué et les calendriers Tivoli Workload Scheduler peuvent être
définis de manière à créer des interdépendances complexes et des options de
récupération entre les traitements PeopleSoft.
Sécurité
La sécurité des travaux PeopleSoft est traitée au niveau de la sécurité Tivoli
Workload Scheduler standard.
Remarques sur le support PeopleSoft Version 8.x
Le support PeopleTools 8.x comporte quelques modifications que vous devriez
connaître si vous envisagez d’utiliser la méthode x-agent dans votre
environnement.
58 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
v Le mot clé -operator utilisé dans les spécifications de travaux Tivoli Workload
Scheduler et le paramètre correspondant sont actuellement ignorés par la
méthode psagent et le contexte d’exécution. En conséquence, les travaux seront
soumis et s’exécuteront avec le même ID d’opérateur PS que celui utilisé pour la
connexion avec PeopleSoft. Vous n’avez pas à modifier vos définitions de
travaux Tivoli Workload Scheduler si vous migrez de PeopleTools 7.x vers
PeopleTools 8.x. La seule différence sera que tous les travaux soumis à un agent
étendu PeopleSoft 8.x s’exécuteront sous le même ID que celui spécifié dans le
fichier <NOM_CPU>_psagent.opts.
v Il n’est pas nécessaire d’installer la connectivité de base de données sur les
agents tolérants aux pannes hébergeant des agents étendus PeopleSoft, étant
donné que la méthode utilise actuellement l’architecture PeopleSoft à 3 niveaux.
Toutefois, vous devrez configurer au moins un serveur d’applications PeopleSoft
pour que l’agent étendu fonctionne. Le serveur d’applications doit être actif afin
de pouvoir soumettre les travaux au planificateur de traitements PeopleSoft.
v Il est inutile de charger TVPUPSFT.dms dans la base de données PeopleSoft 8.x
lorsque vous travaillez en mode 3 niveaux.
v Pour PeopleSoft 8.1x, la méthode requiert l’installation du support d’API externe
PeopleSoft sur l’agent tolérant aux pannes qui héberge la méthode d’agent
étendu. Le répertoire d’installation de l’API externe est utilisé durant les
traitements d’installation et de configuration de l’agent étendu, lorsque vous
devez spécifier le répertoire de base PeopleSoft ou le répertoire racine COBOL.
Pour installer l’API externe, utilisez l’exécutable setup.exe situé dans le
répertoire du serveur de fichiers PeopleSoft 8.1x appelé :
<racine_PS>\setup\PsExtAPI. L’installation de l’API externe PeopleSoft doit
s’effectuer avant celle de Tivoli Workload Scheduler for Applications. Vérifiez
l’installation de l’API externe selon les instructions de PeopleSoft, à savoir en
utilisant l’outil jnitest.exe situé dans le répertoire d’installation de l’API
externe PS. Vous devrez redémarrer votre poste de travail avant de pouvoir
utiliser l’installation de PsExtAPI. Si vous ne redémarrez pas votre poste de
travail, vous verrez apparaître une fenêtre (générée par TVPUPSFT.exe) avec le
message suivant :
"The application failed to initialize properly (0xc0000005). Click on OK to
terminate the application"
Chapitre 9. Introduction 59
Chapitre 10. Planification d’implémentation
PeopleSoft version 7.5 ou antérieure
Cette section décrit la planification d’implémentation de l’agent étendu avec
PeopleSoft version 7.5 ou antérieure.
Configuration requise pour l’hôte
Le poste de travail hébergeant l’agent étendu doit répondre aux exigences
suivantes, à savoir :
v Etre un agent tolérant aux pannes (FTA) ou un agent standard (SA) de Tivoli
Workload Scheduler s’exécutant dans une version prise en charge de Windows.
v Disposer d’un accès réseau à la base de données PeopleSoft.
v Pouvoir être un poste de travail PeopleSoft.
v Avoir accès aux bibliothèques de support PeopleSoft et COBOL. Le support
COBOL doit être compatible avec le compilateur utilisé pour l’environnement du
planificateur de traitements NT.
Configuration logicielle requise
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour PeopleSoft requiert les
logiciels suivants :
v Windows NT 4.0 avec Service Pack 6 ou Windows 2000 avec Service Pack 2,
v IBM Tivoli Workload Scheduler version 7.0 ou ultérieure,
v PeopleSoft version 7.0 ou 7.5,
v Compilateur COBOL PeopleSoft.
Remarques :
1. L’agent étendu pour PeopleSoft versions 7.0 et 7.5 est disponible avec
MicroFocus NetExpress 2.1 et MicroFocus NetExpress 3.1.
2. L’agent étendu pour PeopleSoft version 7.0 était également compilé avec le
compilateur COBOL MicroFocus version 4.1.
3. Pour les versions Peoplesoft 7.x, vous devez recompiler le planificateur de
traitements PeopleSoft sous Windows si vous voulez l’utiliser pour les travaux
gérés via Tivoli Workload Scheduler.
Configuration de l’utilisateur Windows
v Créez un ID utilisateur de domaine, ou local, ayant accès à la fois au logiciel
PeopleSoft et à Tivoli Workload Scheduler, ou configurez l’utilisateur existant
pour qu’il puisse accéder au logiciel PeopleSoft et à Tivoli Workload Scheduler.
Reportez-vous à la section «Configuration utilisateur pour Windows» à la page
65 pour plus de détails.
v Connectez-vous avec ce nouvel ID.
v Connectez-vous aux unités appropriées pour PeopleSoft et vérifiez que l’option
Se reconnecter à l’ouverture de session est sélectionnée. L’indicatif d’unité doit
être identique à celui que vous avez spécifié pour PSDRIVE dans le fichier
psagent.opts .
v Effectuez la configuration au niveau de PeopleSoft. Suivez les instructions
fournies avec votre logiciel PeopleSoft.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 61
Vérification de l’environnement PeopleSoft
Vérifiez que votre environnement PeopleSoft est correctement configuré et que les
travaux PeopleSoft peuvent être exécutés sans incident par le planificateur de
traitements.
Remarques :
1. Vérifiez la connectivité avec la base de données PeopleSoft à l’aide de l’ID
utilisateur Windows créé précédemment. Pour tester la connexion, exécutez une
commande de base de données à partir d’un quelconque utilitaire ODBC.
2. Vérifiez l’accès au serveur de fichiers PeopleSoft ou la présence d’une copie
locale des exécutables.
Création d’un ID de traitement par lots dans PeopleSoft
Vous pouvez créer, dans PeopleSoft, un ID d’opérateur dédié à la planification des
lots. Tous les travaux soumis par Tivoli Workload Scheduler peuvent utiliser cet ID
d’opérateur.
Fichiers installés
Les fichiers suivants sont installés dans les répertoires Tivoli Workload Scheduler
et PeopleSoft lors de l’installation de Tivoli Workload Scheduler for Applications :
Destination Fichiers Propriétaire
racine_TWS
\methods\PeopleSoft
v TVPUPSFT7xx.dms, où xx
spécifie l’édition de
PeopleSoft version 7.
v PTCUDCOP.cbl
Utilisateur Tivoli
Workload Scheduler
racine_TWS\methods v psagent.exe
v enigma.exe
Utilisateur Tivoli
Workload Scheduler
<PSDRIVE_PSVER>\cblbin v TVPUPSFT.exe
v TVPUPSFT.gnt
Propriétaire de
PTPUPRCS.exe
Remarque : racine_TWS représente le nom du répertoire où vous avez installé
Tivoli Workload Scheduler.
PeopleSoft version 8.x
Cette section décrit le planning d’implémentation de l’agent étendu avec
PeopleSoft version 8.x.
Configuration requise pour l’hôte
Le poste de travail hébergeant l’agent étendu doit être un agent tolérant aux
pannes (FTA) ou un agent standard (SA) de Tivoli Workload Scheduler s’exécutant
sur une plateforme Windows prise en charge.
Si votre site compte plusieurs serveurs de processus pour une seule base de
données PeopleSoft, vous pouvez configurer un poste de travail d’agent étendu
(avec plusieurs fichiers d’options) pour traiter les travaux sur les différents
serveurs de processus.
62 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Configuration logicielle requise
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour PeopleSoft requiert les
logiciels suivants :
v Windows NT 4.0 avec Service Pack 6 ou Windows 2000 avec Service Pack 2,
v IBM Tivoli Workload Scheduler version 7.0 ou supérieure,
v PeopleSoft version 8.1x ou 8.4x,
v Pour PeopleSoft version 8.1x : API externes de PeopleTools version 8.1x.
v Pour PeopleSoft version 8.4x : accès à PeopleSoft File Server 8.4x ou présence
d’une copie locale des exécutables.
Création d’un ID de traitement par lots dans PeopleSoft
Vous pouvez créer, dans PeopleSoft, un ID d’opérateur dédié à la planification des
lots. Cet ID d’opérateur doit pouvoir utiliser l’interface de composants dans
l’environnement PeopleTools. Tous les travaux soumis par IBM Tivoli Workload
Scheduler peuvent utiliser cet ID d’opérateur.
Fichiers installés
Les fichiers suivants sont installés dans les répertoires IBM Tivoli Workload
Scheduler et PeopleSoft lors de l’installation de IBM Tivoli Workload Scheduler for
Applications pour PeopleSoft :
Destination Fichiers Propriétaire
racine_TWS\methods v psagent.exe
v enigma.exe
Utilisateur Tivoli Workload
Scheduler
répertoire PSAPI TVPUPSFT.exe Utilisateur Tivoli Workload
Scheduler
Remarque : racine_TWS représente le nom du répertoire où vous avez installé
Tivoli Workload Scheduler.
Chapitre 10. Planification d’implémentation 63
Chapitre 11. Tâches post-installation
Ce chapitre décrit les tâches importantes qui doivent suivre l’installation de la
méthode d’accès.
Configuration utilisateur pour Windows
Lorsqu’un client PeopleSoft est utilisé pour soumettre des travaux via IBM Tivoli
Workload Scheduler for Applications pour PeopleSoft dans l’environnement à trois
niveaux, à l’aide d’une ressource partagée sur un serveur de fichiers PeopleSoft, la
connexion au flux (Streamlogon) spécifiée lors de la soumission du travail doit être
″connue″ à la fois du client soumettant le travail et du serveur de fichiers
PeopleSoft. Ce doit donc être :
v Soit un utilisateur de domaine.
v Soit un utilisateur local défini sur le serveur de fichiers PeopleSoft et sur le client
PeopleSoft avec les mêmes nom et mot de passe. L’utilisateur doit alors être
défini dans la base de données Tivoli Workload Scheduler.
Si cette condition n’est pas respectée, les événements suivants se produiront :
v Les travaux s’arrêteront de manière anormale.
v Deux messages d’erreur avec le texte suivant seront envoyés par le système
d’exploitation au fichier Stdlist du travail :
Logon failure: unknown user name or bad password.
procwork.cpp(328): The pipe has ended.
L’utilisateur doit également faire partie du groupe Administrateur sur le client
PeopleSoft. Si tel n’est pas le cas, les événements suivants se produiront :
v Les travaux passeront à l’état INTRO (et un signe Plus ″+″ sera ajouté, indiquant
un travail actif).
v Une fenêtre en incrustation apparaîtra sur le poste de travail Tivoli Workload
Scheduler hébergeant l’agent étendu, avec le titre psagent.exe - Application
Error et le texte suivant :
The application failed to initialize properly (0xc0000005).
Click on OK to terminate the application.
v Une fois que vous aurez cliqué sur le bouton OK, les travaux passeront à l’état
ABEND et le fichier Standlist du travail affichera uniquement la bannière du
programme JOBLNCH.
Création du fichier d’options
Les fichiers d’options d’agent étendu PeopleSoft spécifient, entre autres,
l’utilisateur avec lequel la méthode se connecte à la base de données PeopleSoft. Ils
sont également utilisés pour spécifier la fréquence d’interrogation appliquée au
module PeopleSoft pour la vérification du statut des travaux.
Ce fichier doit résider sur l’ordinateur hôte de l’agent étendu, dans le répertoire
racine_TWS\methods.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 65
Pour créer un fichier d’options, vous pouvez utiliser soit le programme Editeur
d’options fourni avec ce produit, soit un éditeur de texte de votre choix.
Reportez-vous au Chapitre 3, «Définition des options à l’aide de l’Editeur
d’options», à la page 27 pour plus de détails sur la création ou la modification de
fichiers d’options avec l’Editeur d’options et à la section «Modification manuelle
des fichiers d’options» à la page 68 pour consulter des exemples de fichiers
d’options propres à cette méthode d’accès.
Le tableau suivant décrit les options de la méthode d’accès psagent :
Tableau 11. Options Psagent.
Option Description
LJuser ID de l’utilisateur Windows qui lance les travaux IBM Tivoli Workload
Scheduler. Cet utilisateur Windows doit être un utilisateur Tivoli Workload
Scheduler valide sur le poste de travail hôte.
CFuser ID de l’utilisateur Windows qui exécute un contrôle de fichiers. La valeur
par défaut correspond à celle de LJuser.
CheckInterval Intervalle de temps entre les vérifications de statut lors du contrôle d’une
demande de traitement. La valeur par défaut est de 2 minutes. Utilisez
l’option CheckIntervalUnits pour passer de minutes en secondes.
CheckIntervalUnits Spécifie que l’intervalle entre les vérifications de statut est en secondes
(valeur = 1) ou en minutes (valeur = 60).
PSXA_TRACE Entrez la valeur 1 pour activer l’exécution de la trace ou 0 pour la
désactiver.
PSDRIVE Identificateur d’unité Windows pour les fichiers PeopleSoft (par exemple,
N:).
PSVER Répertoire de base des fichiers PeopleSoft (par exemple, \PT7.5 ou \PT8)
pour toutes les version PeopleSoft, sauf 8.1x. Dans ce cas, il s’agit du
répertoire où le fichier TVPUPSFT.exe est installé (par exemple,
\PT817\bin\client\winx86_extapi).
COBROOT Pour PeopleSoft 7.x : chemin d’accès au répertoire principal des
bibliothèques COBOL Micro Focus (par exemple, N:\PT7.5).
Pour PeopleSoft 8.x : chemin d’accès au répertoire principal des API
externes PeopleSoft, qui est identique au répertoire de base PeopleSoft.
66 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 11. Options Psagent. (suite)
Option Description
CONNECT Chaîne contenant les entrées suivantes :
Type de connexion
Type de SGBDR PeopleSoft. Choisissez l’une des options suivantes :
v APPSERV (PeopleSoft 8.x uniquement)
v ORACLE
v MICROSFT (Microsoft SQL Server)
v DB2 (DB2 for MVS)
v DB2UNIX
v SQLBASE
v DB2ODBC
v DB2400
v INFORMIX
v SYBASE
v DB2MDI
Nom du serveur de bases de données
Nom du serveur de bases de données, uniquement pour Informix et
Sybase. N’est pas utilisé pour PeopleSoft Version 8.x.
Nom du serveur
Nom (adresse IP) du serveur spécifié comme Type de connexion.
Pour APPSERV, cette entrée doit être, soit adresse IP:port TCP, soit
le nom IP.
Vous pouvez spécifier plusieurs entrées, dans la mesure où elles
sont séparées par des virgules.
ID d’opérateur
ID d’opérateur utilisé pour la connexion avec la base de données
PeopleSoft.
v Pour PeopleSoft version 7.x, les travaux ne seront pas exécutés
sous cet ID, mais sous l’ID spécifié dans la définition du travail
Tivoli Workload Scheduler.
v Pour PeopleSoft version 8.x, tous les travaux seront exécutés sous
cet ID.
Mot de passe opérateur
Mot de passe chiffré pour l’ID d’opérateur. Si vous utilisez un
éditeur classique pour écrire le fichier d’options, vous devez
d’abord utiliser l’outil Enigma pour chiffrer ce mot de passe. Si
vous utilisez l’Editeur d’options, celui-ci s’en charge à votre place.
Serveur de processus par défaut
Serveur de processus par défaut exécutant les travaux dans
PeopleSoft.
Les entrées sont séparées par des barres obliques (/), de manière à ce que la
chaîne se présente sous la forme item1/item2/.../item6, et doivent être
répertoriées dans l’ordre où elles ont été décrites dans cette page.
Toutes les entrées sont obligatoires, à l’exception du Nom du serveur de
bases de données.
TWSXA_PT84_JVMPATH Chemin d’accès à Java Virtual Machine. Cette option n’est disponible
qu’avec PeopleTools version 8.4x.
Chapitre 11. Tâches post-installation 67
Tableau 11. Options Psagent. (suite)
Option Description
UTF8cmdline Si la valeur est 0, cela signifie que la méthode d’agent étendu attend de
Tivoli Workload Scheduler qu’il envoie les données nécessaires au lancement
du travail dans la page de codes locale. Sinon, elle attend les données au
format UTF8. La valeur par défaut est 1 (par exemple, format UTF8).
TWSXA_CP Page de codes utilisée par la méthode d’agent étendu pour communiquer
avec l’application externe. Si cette option est absente ou comporte une valeur
non valide, la page de codes locale sera utilisée.
TWSMETH_CP Page de codes utilisée par la méthode d’agent étendu pour générer la sortie
standard. Si cette option est absente ou comporte une valeur non valide, la
page de codes locale sera utilisée.
TWSMETH_LANG Langue utilisée par la méthode d’agent étendu pour la sortie standard (à
savoir, le catalogue de messages spécifié qui sera ouvert). Si cette option est
absente ou comporte une valeur non valide, la langue locale sera utilisée.
TWSXA_LANG Non pris en charge pour l’agent étendu PeopleSoft.
Les noms d’option tiennent compte de la différence Maj./min. et doivent être
écrits, tels qu’ils apparaissent dans la colonne de gauche du tableau 11. Avant
d’utiliser un fichier d’options créé manuellement, vérifiez que tous les noms
d’option sont écrits correctement. Les options non conformes seront ignorées.
Modification manuelle des fichiers d’options
Outre l’Editeur d’options, vous pouvez utiliser un éditeur de texte classique pour
créer ou modifier un fichier d’options.
Voici deux exemples de fichier d’options, destinés à vous aider à déterminer les
exigences spécifiques à votre site. Votre fichier d’options peut différer des exemples
ci-dessous.
N’oubliez pas d’enregistrer le fichier dans le répertoire racine_TWS\methods.
Exemple pour PeopleSoft 7.x
LJuser=TwsUsr
CFuser=TwsUsr
PSDRIVE=N:
PSVER=\PS750
COBROOT=N:\PS750
CONNECT=ORACLE/HR75/PSUSA/#oqola4O7lxp5refgbAreV/PSNT
CheckInterval=15
CheckIntervalUnits=1
PSXA_TRACE=0
Exemple pour PeopleSoft 8.1x
LJuser=TwsUsr
CFuser=TwsUsr
CheckInterval=15
PSDRIVE=D:
PSVER=\pt81x\bin\client\winx86_extapi
COBROOT=D:\pt81x\bin\client\winx86_extapi
CONNECT=AppServ/PSOFT81X:9000/PSDEV/jp5l83nlWe7wh5jxk46qeV/PSUNX
CheckIntervalUnits=1
PSXA_TRACE=1
68 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Connexion à plusieurs bases de données PeopleSoft
La méthode psagent doit parfois se connecter à plusieurs bases de données
PeopleSoft. Par exemple, une même installation de PeopleSoft peut avoir un
environnement TEST, DEMONSTRATION et PRODUCTION, chacun avec une base
de données séparée, ce qui implique que la méthode psagent utilise une chaîne de
connexion distincte pour chaque base de données.
Afin de prendre en charge cette connexion multiple, vous pouvez configurer
plusieurs postes de travail d’agent étendu PeopleSoft qui se connectent à la même
méthode, mais utilisent différents fichiers d’options. Lorsqu’un poste de travail
démarre la méthode, il commence par rechercher le fichier d’options avec le nom
du poste de travail d’agent étendu précédant psagent.opts. Par exemple, un agent
étendu PeopleSoft nommé jupiter sera associé au fichier d’options :
jupiter_psagent.opts
La méthode psagent recherche d’abord un fichier d’options avec le nom du poste
de travail d’agent étendu, puis le fichier par défaut psagent.opts. Ceci permet à
l’utilisateur de configurer un agent étendu pour chaque base de données
PeopleSoft.
Pour vous connecter à une seule base de données, utilisez le nom par défaut du
fichier d’options, à savoir psagent.opts.
Configuration d’un environnement PeopleSoft, version 7.5 ou
antérieure
La section ci-après explique comment configurer l’environnement PeopleSoft si
vous utilisez l’agent étendu avec PeopleSoft version 7.5 ou antérieure.
Personnalisation du serveur de processus
Indépendamment du type de système d’exploitation sur lequel les travaux Tivoli
Workload Scheduler seront exécutés, vous devez personnaliser l’exécutable du
serveur de processus correspondant à l’aide du source COBOL PTCUDCOP.cbl
fourni par IBM.
Vous devez remplacer le fichier PTCUDCOP.cbl fourni par PeopleSoft par son
équivalent fourni par IBM et recompiler le planificateur de traitements.
Vous trouverez des instructions complètes sur la recompilation du planificateur de
traitements dans les manuels d’installation PeopleSoft. Lorsque vous recevrez des
correctifs de PeopleSoft, vous devrez peut-être répéter le processus de
personnalisation du serveur, si le fichier PTCUDCOP.cbl est écrasé lors de
l’installation du correctif.
Vous trouverez, ci-après, la procédure à suivre pour personnaliser le serveur de
processus sous Windows et sous UNIX.
Personnalisation sous Windows
Si le planificateur de traitements PeopleSoft s’exécute sous Windows, reportez-vous
à la section ″Configuration de l’environnement de traitement par lots sous
Windows NT/2000″ dans le manuel d’installation PeopleSoft, pour accéder à des
informations mises à jour. Vous devez avoir installé un compilateur COBOL sur
votre serveur de lots et compiler à partir de cet emplacement. L’ordinateur
exécutant la compilation doit disposer d’un compilateur COBOL et pouvoir
accéder en écriture au serveur de fichiers.
Chapitre 11. Tâches post-installation 69
Pour configurer un serveur de processus sous Windows :
1. Ouvrez une fenêtre avec une invite de commande DOS.
2. Définissez deux variables d’environnement, PS_HOME et COBROOT, sur
l’ordinateur à partir duquel vous envisagez de compiler le source COBOL.
Utilisez les commandes suivantes :
set PS_HOME=n:\PS750
set COBROOT=c:\netexpress\base
3. Vérifiez que le répertoire de compilation c:\temp\compile existe ; il doit déjà
exister si vous avez exécuté CBLBLD.BAT. S’il existe, supprimez les fichiers qui
y résident, par mesure de sécurité. S’il n’existe pas, créez-le à l’aide de la
commande suivante :
mkdir c:\temp\compile
Remarque : Assurez-vous que vous avez accès en écriture au répertoire de
compilation puisque le processus de compilation s’effectuera à cet
emplacement.
4. Accédez au répertoire <racine_PS>\setup.
5. Exécutez la commande suivante pour copier tous les fichiers du source COBOL,
du répertoire <racine_PS> vers le répertoire de compilation :
cblsrc <répertoire_source> <répertoire_compilation>
où <répertoire_source> représente l’unité et le répertoire où réside la source
(qui doit être identique à <racine_PS>) et <répertoire_compilation> représente
l’unité et le répertoire où les fichiers source doivent être copiés.
Par exemple, la commande suivante prendra la source COBOL de <racine_PS>
et copiera tous les fichiers nécessaires à l’emplacement où le processus de
compilation s’effectuera.
cblsrc <racine_PS> c:\temp\compile
6. Copiez le fichier PTCUDCOP.cbl fourni par IBM dans le répertoire de
compilation à l’aide de la commande suivante :
copy <racine_TWS>\PeopleSoft\PTCUDCOP.cbl c:\temp\compile
7. Une fois la commande CBLSRC terminée, accédez au répertoire de compilation
à l’aide de la commande suivante :
cd c:\temp\compile
8. Compilez à l’aide de la commande suivante :
CBLMAKE.BAT PTPUPRCS EXE
LIST
En cas d’incident lors de la compilation, consultez le fichier PTPUPRCS.lis pour
plus de détails et relancez la commande après avoir traité l’incident.
9. Une fois la commande CBLMAKE.BAT terminée, copiez les fichiers EXE, GNT
ou INT dans le répertoire <racine_PS>\cblbin à l’aide des commandes
suivantes :
copy
PTPUPRCS.exe <racine_PS>\cblbin
copy PTPUPRCS.gnt <racine_PS>\cblbin
Personnalisation sous UNIX
Si le planificateur de traitements PeopleSoft s’exécute sous UNIX, reportez-vous à
la section ″Configuration de l’environnement de traitement par lots sous UNIX″
dans le manuel d’installation PeopleSoft, pour accéder à des informations mises à
jour. Vous devez avoir installé un compilateur COBOL sur votre serveur de lots et
70 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
compiler à partir de cet emplacement. L’ordinateur exécutant la compilation doit
disposer d’un compilateur COBOL et doit pouvoir accéder en écriture au répertoire
<racine_PS>/cblbin.
Pour créer le serveur de processus sous UNIX :
1. Connectez-vous au serveur UNIX.
2. Accédez au répertoire principal PeopleSoft.
3. Exécutez le script psconfig.sh.
4. Accédez au répertoire $PS_HOME/src/cbl.
5. Renommez le fichier PTCUDCOP.cbl en PTCUDCOP.old à l’aide de la
commande suivante :
mv PTCUDCOP.cbl PTCUDCOP.old
6. Copiez PTCUDCOP.cbl depuis l’agent étendu (racine_tws/PeopleSoft) via FTP.
7. Exécutez les commandes suivantes :
cd ../../install
pscbl.mak PTPUPRCS LIST
8. Une fois l’exécution du script terminée, vérifiez la présence des nouveaux
fichiers dans les répertories de destination
<racine_PS>/src/cbl/int
<racine_PS>/src/cbl/lst
<racine_PS>/cblbin
Ils doivent avoir une longueur supérieure à zéro ainsi qu’un horodatage
correspondant aux paramètres horaires en cours. En cas d’incident lors de la
compilation, consultez le fichier PTPUPRCS.lis pour prendre connaissance des
erreurs, corrigez-les et relancez l’étape de compilation.
Configuration du client
Pour exécuter la méthode d’accès PeopleSoft pour un environnement
PeopleTools 7.x, vous devez travailler dans un environnement PeopleSoft à deux
niveaux et utiliser un poste de travail avec une connectivité appropriée à votre
base de données.
Vous devez installer le logiciel client de votre base de données sur le poste de
travail hébergeant l’agent étendu et devez le configurer pour qu’il puisse
communiquer en mode ODBC. Testez votre connexion à l’aide des outils de test
ODBC accompagnant votre logiciel client (par exemple test 32 bits ODBC pour
Oracle).
Vous devez également pouvoir accéder au serveur de fichiers PeopleSoft. Mappez
la ressource partagée du serveur de fichiers à une unité réseau de votre poste de
travail Windows.
Pour installer un poste de travail pour un environnement PeopleSoft 7.x:
1. Accédez à \\<serveur_fichiers>\<partage> en tant qu’unité partagée <d>: sur
votre ordinateur.
2. Définissez PS_HOME comme répertoire approprié sur la nouvelle unité
partagée, à l’aide de la commande :
set PS_HOME=<d>:\PS750
3. Exécutez :
%PS_HOME%\bin\CLIENT\WINX86\pscfg.exe
Chapitre 11. Tâches post-installation 71
Une fenêtre de configuration, comme celle représentée à la figure 23, s’ouvre.
4. Sélectionnez l’onglet Configuration du client, spécifiez les valeurs requises et
vérifiez que la case Installer le pilote ODBC PeopleSoft est cochée. Si vous
exécutez SQL Server, vous devez également cocher la case Installer le
gestionnaire de pilotes ODBC 3.0.
Remarque : L’option Installer le pilote ODBC PeopleSoft installe un nom de
source de données utilisateur. Si vous avez besoin d’accéder à la
source de données d’un autre profil utilisateur, vous devrez créer
une source de données système correspondante (via ″Panneau de
configuration″-> ″Sources de données ODBC″) sur votre poste
WinNT/2000, ou exécuter à nouveau l’étape de personnalisation
pour tous les autres utilisateurs que vous voulez utiliser pour
soumettre des travaux d’agent étendu Tivoli Workload Scheduler.
Une fois l’opération terminée, le menu ″Démarrer/Programmes″ de votre
ordinateur devrait compter une nouvelle entrée (intitulée PeopleSoft 7.5).
Exécution du script de l’outil Déplacement de données
Une fois la séquence d’installation terminée, l’outil Déplacement de données
PeopleSoft est utilisé pour mettre ne place les procédures stockées pour l’agent
Figure 23. Fenêtre du gestionnaire de configuration 7.5.
72 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
étendu PeopleSoft. Pour plus d’informations sur le script de l’outil Déplacement de
données, consultez votre documentation Peoplesoft.
1. Cliquez sur l’icône Outil Déplacement de données dans le groupe PeopleSoft.
La fenêtre de connexion Peoplesoft apparaît.
2. Sélectionnez la base de données appropriée et cliquez sur OK. Une fenêtre de
connexion s’ouvre.
3. Complétez les zones et cliquez sur OK. La fenêtre de l’outil Déplacement de
données s’affiche.
4. Dans le menu Fichier de cette fenêtre, sélectionnez la commande Ouvrir.
Ouvrez le fichier suivant dans la fenêtre de l’outil Déplacement de données :
racine_TWS\PeopleSoft\TVPUPSFT.dms
5. Exécutez les scripts, après les avoir chargés dans la fenêtre de l’outil
Déplacement de données.
La fenêtre de l’outil Déplacement de données est scindée en deux sections. La
section supérieure affiche les instructions du script de l’outil Déplacement de
données. La section inférieure affiche le statut des instructions du script, telles
qu’elles s’exécutent.
6. Vérifiez que le script s’exécute correctement.
Figure 24. Fenêtre de connexion PeopleSoft.
Chapitre 11. Tâches post-installation 73
Si certaines instructions échouent, vérifiez que les valeurs indiquées dans la
fenêtre de démarrage pour le nom de la base de données, l’ID de connexion et
le mot de passe sont correctes, puis répétez le processus. Si le script de l’outil
Déplacement de données ne s’exécute toujours pas correctement, contactez
votre administrateur de base de données pour déterminer si le problème ne
réside pas dans votre base de données.
Remarque : Le script de l’outil Déplacement de données doit être exécuté sur
chaque base de données que l’agent étendu PeopleSoft doit utiliser.
Pour exécuter les scripts sur une autre base de données, modifiez le
nom de la base de données et/ou le SGBDR dans la séquence de
connexion.
Configuration d’un environnement PeopleSoft version 8.1x
La section ci-après explique comment configurer l’environnement PeopleSoft si
vous utilisez l’agent étendu avec PeopleSoft version 8.1x.
Personnalisation du serveur d’applications
La méthode d’accès prenant en charge PeopleTools 8.1x ne peut fonctionner
qu’avec une architecture PeopleSoft à 3 niveaux. Vous devez donc déployer une
architecture PeopleSoft à 3 niveaux conformément aux instructions PeopleSoft. Du
fait du déploiement complet de l’architecture PeopleSoft, avec au moins un serveur
d’applications PeopleSoft et un serveur de processus, les contraintes en termes de
configuration logicielle et de dépendances seront réduites sur le poste de travail
d’agent étendu. Il n’est pas nécessaire d’installer la connectivité de la base de
données sur le poste de travail hébergeant l’agent étendu. De plus, il n’est pas
nécessaire de personnaliser le serveur de processus, comme cela était le cas avec
PeopleTools version 7.x, ni d’exécuter des scripts supplémentaires de l’outil
Déplacement de données pour personnaliser la base de données. Le serveur
d’applications doit être actif afin de pouvoir soumettre les travaux au planificateur
de traitements PeopleSoft.
Figure 25. Fenêtre de l’outil Déplacement de Données
74 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Pour configurer correctement la méthode d’accès, vous devez obtenir les
informations suivantes de votre administrateur PeopleSoft :
v Nom d’hôte (ou adresse IP) du serveur d’applications,
v Port Jolt du serveur d’applications (généralement 9000),
v Nom du serveur de processus.
L’ID d’opérateur doit avoir les droits requis pour utiliser l’interface de composants
dans l’environnement PeopleTools.
Configuration du client
Pour exécuter l’agent étendu dans un environnement PeopleTools 8.1x, vous devez
installer le support d’API externe PeopleSoft sur le poste de travail Tivoli
Workload Scheduler hébergeant l’agent étendu.
L’installation de l’API externe PeopleSoft doit s’effectuer avant celle de Tivoli
Workload Scheduler for Applications pour PeopleSoft.
Les manuels d’installation PeopleSoft contiennent des informations sur cette étape
d’installation. Reportez-vous à la documentation PeopleSoft appropriée pour
prendre connaissance des instructions les plus récentes, en fonction de votre
version de PeopleSoft. Pour PeopleTools 8.17, vous devez appeler l’exécutable
setup.exe situé dans le répertoire %PS_HOME%\setup\PsExtAPI du serveur
d’applications PeopleSoft 8.
Notez le nom du répertoire où vous installez l’API externe, car vous en aurez
besoin lors de l’installation de l’agent étendu et lors de la configuration, quand le
système vous demandera le répertoire PSHome ou le répertoire racine Cobol.
Avant d’utiliser l’API externe, vérifiez votre installation conformément aux
instructions de PeopleSoft, à l’aide de l’utilitaire jnitest.exe situé dans le répertoire
de l’API externe. L’utilitaire jnitest.exe vérifie que vous avez MicroSoft Java Virtual
Machine for Java 3.2, version 5.00.3167 ou supérieure. Si jnitest.exe détecte une
version acceptable, vous pouvez charger MicroSoft Java Virtual Machine. Sinon,
vous pouvez avoir des difficultés à le charger correctement. L’API externe ne
fonctionnera pas tant que vous n’aurez pas une version correcte de MicroSoft Java
Virtual Machine.
Vous devrez également redémarrer votre poste de travail avant de pouvoir utiliser
l’installation de l’API externe PeopleSoft. Dans le cas contraire, lorsqu’un travail
PeopleSoft sera soumis via ITWS, vous verrez apparaître une fenêtre (générée par
TVPUPSFT.exe) avec le message suivant :
"The application failed to initialize properly (0xc0000005).
Click on OK to terminate the application."
Configuration d’un environnement PeopleSoft version 8.4x
Dans le cas de PeopleTools version 8.4x, il n’est plus nécessaire d’installer
séparément les API externes de PeopleSoft, celles-ci faisant partie intégrante du
client Windows standard ; vous pouvez y accéder via le répertoire
racine_PS\bin\client\winx86 du serveur de fichiers PeopleSoft. De plus,
conformément à l’ID de résolution 704309 de PeopleSoft, vous devez :
v Pouvoir accéder au répertoire racine_PS\class contenant le fichier psjoa.jar.
v Avoir accès à une JVM valide.
Chapitre 11. Tâches post-installation 75
Remarque : La JVM fournie avec ce produit n’est pas valide dans le présent cas.
Vous devez utiliser une JVM prise en charge par PeopleSoft.
La méthode psagent.exe se chargera de définir/mettre à jour les variables
d’environnement CLASSPATH et PS_HOME, si elles ne le sont pas déjà dans
l’environnement où le travail est lancé. Si votre environnement de variables
système contient déjà un accès valide à jvm.dll, vous n’avez pas besoin d’y ajouter
d’autres détails. Sinon, vous devez spécifier une nouvelle option dans le fichier
psagent.opts à l’aide d’un éditeur de texte, afin que le fichier psagent.exe puisse
mettre à jour le chemin d’accès à la JVM. Pour ce faire, ajoutez la ligne suivante au
fichier d’options :
TWSXA_PT84_JVMPATH=<chemin d’accès à jvm.dll>
Les JVM valides sont déjà fournies par PeopleSoft avec les serveurs d’applications
qui prennent en charge l’architecture PIA, tels que ″BEA WebLogic Server″ (dans le
sous-répertoire jdk131\jre\bin\classic ou jdk131\jre\bin\hotspot) ou ″IBM
WebSphere Application Server″ (dans le sous-répertoire Java13\jre\bin\classic).
Par exemple, vous pouvez mettre à jour le fichier d’options à l’aide de l’une des
commandes suivantes :
v TWSXA_PT84_JVMPATH=D:\Program Files\IBM\Java13\jre\bin\classic
v TWSXA_PT84_JVMPATH=D:\bea\jdk131\jre\bin\classic
v TWSXA_PT84_JVMPATH=D:\bea\jdk131\jre\bin\hotspot
Si vous n’avez pas ce mot clé, ni une variable système valide permettant d’accéder
à jvm.dll, vous obtiendrez l’un des messages suivants :
v AWS140020078E Exception caught in file TVPUPSFT.cpp(#) during function Main
v AWS140020076E The problem encountered may be related to the environment settings:
please verify the following:
1) Your path contains a valid Java Virtual Machine directory or options file
contains TWSXA_PT84_JVMPATH
2) Your CLASSPATH environment variable contains a valid path to psjoa.jar
3) Your target Application Server is up and running
4) you have defined PS_HOME environment variable
76 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 12. Définition des travaux PeopleSoft
Ce chapitre fournit des informations sur la définition des travaux utilisant l’agent
étendu PeopleSoft.
Création de définitions de travaux PeopleSoft dans Tivoli Workload
Scheduler
Des définitions de travaux Tivoli Workload Scheduler sont requises pour chaque
travail PeopleSoft que vous envisagez de contrôler. Un travail Tivoli Workload
Scheduler est associé à un travail PeopleSoft déjà défini ; sa définition inclut :
v le nom du travail,
v le nom du propriétaire,
v les spécifications de fichier script,
v les options de récupération.
Pour plus de détails, reportez-vous au Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent
étendu», à la page 37.
Paramètres des chaînes de tâches des travaux PeopleSoft
Cette section décrit les paramètres des chaînes de tâches qui règlent l’exécution des
travaux PeopleSoft. Vous devez les spécifier aux emplacements suivants lorsque
vous définissez les travaux Tivoli Workload Scheduler qui leurs sont associés :
v Dans la zone Commande de la page Tâche de la fenêtre Propriétés - Définition
du travail, si vous utilisez Job Scheduling Console.
v En tant qu’arguments du mot clé scriptname dans l’instruction de définition du
travail, si vous utilisez la ligne de commande Tivoli Workload Scheduler.
v En tant qu’arguments du mot clé JOBCMD dans l’instruction JOBREC du fichier
SCRIPTLIB de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, si vous planifiez dans un
environnement de bout en bout. Notez que, dans ce cas, l’intégralité de la chaîne
suivant le mot clé JOBCMD doit figurer entre guillemets (″).
Le tableau ci-après liste les paramètres.
Tableau 12. Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux PeopleSoft.
Paramètre Description Version PeopleTools
-operator ID de l’opérateur PeopleSoft
qui lance le travail.
7.x, 8.1x
-process Nom du traitement dans le
travail PeopleSoft.
7.x, 8.1x, 8.4x
-type Type de traitement dans le
travail PeopleSoft. Cette
entrée doit être placée entre
guillemets simples (’).
7.x, 8.1x, 8.4x
-runcontrol ID de contrôle d’exécution
du travail PeopleSoft.
7.x, 8.1x, 8.4x
-outputdest Destination de la sortie du
travail PeopleSoft.
8.1x, 8.4x
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 77
Tableau 12. Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux PeopleSoft. (suite)
Paramètre Description Version PeopleTools
-outputtype Type de sortie du travail
PeopleSoft. Les valeurs
correctes sont les suivantes :
0 (Toutes)
1 (Aucune)
2 (Fichier)
3 (Imprimante)
4 (Fenêtre)
5 (Courrier électronique)
6 (Web)
7 (valeur par défaut)
8.1x, 8.4x
-outputformat Format de sortie du travail
PeopleSoft. Les valeurs
correctes sont les suivantes :
None
CSV
DOC
Default
HP
HTM
LP
OTHER
PS
RPT
RTF
SPF
TXT
WKS
XLS
8.1x, 8.4x
-runlocationdescr Planificateur de traitements
PeopleSoft en charge du
traitement du travail
PeopleSoft.
8.1x, 8.4x
-foldername Nom du dossier des rapports
utilisé pour ce travail. Ce
dossier doit déjà avoir été
créé via le gestionnaire de
rapports PeopleSoft.
8.4x
Remarque : Aucune vérification de syntaxe n’est effectuée sur les valeurs de
contrôle des sorties (outputdest, outputtype, outputformat et
foldername). Si ces valeurs ne sont pas reconnues, les valeurs par
défaut sont utilisées.
Voici un exemple d’une chaîne de tâches complète d’un travail PeopleSoft 8.1x :
-operator PS -process XRFWIN -type ’SQR Report’ -runcontrol 1 -runlocationdescr PSNT
Configuration de dépendances OPENS 7.x uniquement
Vous pouvez définir des dépendances OPENS Tivoli Workload Scheduler pour les
travaux PeopleSoft. Les dépendances OPENS Tivoli Workload Scheduler sont
mappées à une commande SQL “select count” avec une clause “where” adressée à
la base de données PeopleSoft. Cette commande SQL vérifie, en gros, que les
78 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
valeurs sélectionnées existent dans la base de données. Si les entrées spécifiées
existent dans la base de données, le nombre renvoyé sera une valeur différente de
zéro et le travail s’exécutera. A l’inverse, si les entrées spécifiées n’existent pas
dans la base de données, le nombre renvoyé sera zéro et le travail ne pourra pas
s’exécuter. Un résultat de zéro est considéré comme faux ; toute autre valeur est
considérée comme vraie.
Remarque : Lorsque vous créez une dépendance OPENS dans Job Scheduling
Console, la table est listée sous la zone de texte Fichier et les
qualifiants colonne et données sont listés dans la zone de texte
Qualifiants.
Par exemple :
opens /PSSERVERSTAT
se traduit par la commande SQL suivante :
select count(*) from PSSERVERSTAT;
Cette commande renvoie le nombre de lignes dans PSSERVERSTAT. Un résultat de
zéro est considéré comme faux ; toute autre valeur est considérée comme vraie.
Voici un autre exemple :
opens /PSSERVERSTAT ("SERVERNAME = ’PSNT’ AND
SERVERSTATUS = 3")
se traduit par la commande SQL suivante :
select count(*) from PSSERVERSTAT where SERVERNAME = ’PSNT’ AND SERVERSTATUS = 3;
Cette commande renvoie le nombre de lignes dans PSSERVERSTAT pour le serveur
PSNT dont le statut est 3 (en cours d’exécution).
Pour définir une dépendance OPENS pour un travail :
1. Editez le flux de travaux auquel vous voulez ajouter une dépendance OPENS
en mode ligne de commande.
2. Ajoutez la chaîne de commande suivante au travail :
cpu#job opens
/table(“colonne =
‘données’”)
où :
table Spécifie le nom de la table PeopleSoft que vous voulez ouvrir.
colonne
Spécifie le nom de la colonne que vous recherchez.
données
Spécifie les données de cette colonne correspondant à votre recherche.3. Enregistrez les modifications que vous venez d’effectuer et fermez le flux de
travaux.
Remarque : Les données que vous recherchez doivent être placées entre des
guillemets (″).
Chapitre 12. Définition des travaux PeopleSoft 79
Exemple de dépendances OPENS
Les flux de travaux suivants illustrent des exemples de dépendances OPENS.
Voici un premier exemple :
SCHEDULE PS_CPU#TEST01
ON EVERYDAY
:
PS_CPU#XRFWIN1
PS_CPU#XRFAPF1
PS_CPU#XRFPNP1 FOLLOWS XRFAPF1
PS_CPU#SYSAUDT1 FOLLOWS XRFWIN1
PS_CPU#PTPTEDT1 OPENS /PSPRCSRQST ("PRCSTYPE = ’SQR Report’ AND RUNSTATUS = 9")
PS_CPU#XRFILD1 FOLLOWS XRFPNP1,PTPTEDT1
PS_CPU#DDDAUDT1 FOLLOWS PTPTEDT1,TEST02.@
PS_CPU#TLS7011 FOLLOWS TEST02.@,DDDAUDT1
END
Voici un autre exemple :
SCHEDULE PS_CPU#TEST02
ON EVERYDAY
AT 1330
:
PS_CPU#XRFWIN2 OPENS /PSSERVERSTAT ("SERVERNAME = ’PSNT’ AND SERVERSTATUS = 3")
PS_CPU#XRFAPF2 FOLLOWS TEST01.XRFAPF1
PS_CPU#XRFPNP2 FOLLOWS XRFAPF2
PS_CPU#SYSAUDT2 FOLLOWS XRFWIN2
PS_CPU#PTPTEDT2 OPENS /PSPRCSRQST ("PRCSTYPE = ’SQR Report’ AND RUNSTATUS = 9
AND PRCSNAME = ’DDDAUDIT’")
PS_CPU#XRFILD2 FOLLOWS XRFPNP2,PTPTEDT2
PS_CPU#DDDAUDT2
END
Mappage de statut des travaux IBM Tivoli Workload Scheduler et
PeopleSoft
Lorsqu’un travail PeopleSoft est lancé par Tivoli Workload Scheduler, vous pouvez
surveiller sa progression à l’aide de Job Scheduling Console. Les transitions d’état
utilisées dans IBM Tivoli Workload Scheduler et leurs correspondances dans
PeopleSoft sont répertoriées ci-dessous.
Statut PeopleSoft
Statut IBM Tivoli
Workload Scheduler Description
CANCEL CANCEL/ABEND Un opérateur PeopleSoft ou la
méthode a demandé l’annulation de la
demande de traitement. La méthode
agit ainsi en réponse à une tâche TJ.
DELETE CANCEL Un opérateur PeopleSoft a demandé la
suppression de la demande de
traitement.
ERROR FAIL La tentative de lancement a échoué
pour une raison quelconque. Dans ce
cas, la demande de traitement n’a
jamais réellement démarré l’exécution.
HOLD HOLD Le traitement ne peut pas être lancé,
peut-être en raison de dépendances
non respectées.
QUEUED READY Prêt à être lancé.
80 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Statut PeopleSoft
Statut IBM Tivoli
Workload Scheduler Description
INITIATED INIT Tentative de lancement.
PROCESSING EXEC Traitement en cours d’exécution.
CANCELLED CANCEL/ABEND* Traitement annulé.
SUCCESSFUL SUCC Exécution réussie.
NOT SUCCESSFUL ABEND Echec de l’exécution.
Remarques :
1. Les traitements annulés dans PeopleSoft seront abandonnés s’ils étaient déjà en
cours d’exécution. Le mappage de statut IBM Tivoli Workload Scheduler doit le
refléter. En d’autres termes, un traitement annulé qui n’avait pas encore été
initialisé, aura le statut CANCEL dans Tivoli Workload Scheduler. Un
traitement qui avait été initialisé aura le statut ABEND.
2. Une demande de traitement dont la suppression a été demandée dans le
planificateur de traitements ne pourra jamais être lancée. L’enregistrement est,
en effet, effacé de la table lors d’un processus de maintenance normal. En ce
qui concerne le traitement jnextday, de telles requêtes doivent être considérées
comme non existantes.
Chapitre 12. Définition des travaux PeopleSoft 81
Chapitre 13. Introduction
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 vous permet de créer,
planifier et contrôler des travaux R/3 grâce aux fonctions de planification de Tivoli
Workload Scheduler.
Champ d’application
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 vous permet d’effectuer
les opérations suivantes :
v Utiliser les dépendances de travail et les contrôles Tivoli Workload Scheduler
standard pour les travaux R/3.
v Créer des travaux R/3 à l’aide de l’interface Tivoli Workload Scheduler.
v Planifier des travaux R/3 devant s’exécuter à des jours et heures spécifiques,
dans un ordre déterminé.
v Définir des interdépendances entre les travaux R/3 et les travaux Tivoli
Workload Scheduler s’exécutant sur des applications différentes, telles que
PeopleSoft et Oracle.
v Définir des interdépendances entre les travaux R/3 et ceux s’exécutant sur des
plateformes différentes.
v Définir les options de support de langue nationale.
v Définir comment utiliser les fonctionnalités du support Business Warehouse R/3.
v Personnaliser les codes retour d’exécution des travaux.
v Utiliser les groupes de connexion R/3 pour l’équilibrage de la charge et la
tolérance aux pannes.
v Travailler avec des marques de réservation et des variables R/3.
v Exploiter le support d’interface BC-XBP 2.0.
Processus de planification pour l’agent étendu R/3
Tivoli Workload Scheduler lance des travaux dans R/3 par l’intermédiaire de
travaux définis pour s’exécuter sur un poste de travail d’agent étendu Tivoli
Workload Scheduler. Un poste de travail d’agent étendu R/3 est défini en tant que
poste de travail Tivoli Workload Scheduler hébergé par un agent FTA ou un poste
de travail principal utilisant la méthode d’accès r3batch. Le poste de travail
d’agent étendu R/3 utilise la méthode d’accès r3batch pour transmettre les
informations spécifiques au travail R/3 à des instances R/3 prédéfinies. La
méthode d’accès utilise les informations fournies dans un fichier d’options, objet
d’une discussion ultérieure dans ce guide, pour se connecter et lancer des travaux
sur une instance R/3. Vous pouvez définir plusieurs postes de travail d’agent
étendu utilisant le même hôte, en paramétrant différentes entrées ou différents
fichiers d’options. Les travaux R/3 définis dans Tivoli Workload Scheduler doivent
correspondre à des travaux existant dans l’environnement R/3. Utilisant le nom
d’agent étendu R/3 comme une clé, r3batch se base sur le fichier d’options
correspondant pour déterminer l’instance R/3 qui exécutera le travail. Il fait une
copie d’un modèle de travail dans R/3 et le marque comme exécutable avec,
comme heure de départ, Démarrage immédiat. Ensuite, il contrôle le travail jusqu’à
son terme, consignant la progression de celui-ci et les informations sur son état
dans une liste de sortie des instances, sur le poste de travail hôte.
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Pour plus d’informations sur la gestion des travaux, reportez-vous au manuel IBM
Tivoli Workload Scheduler - Guide de référence SH19-4556.
Support d’interface XBP 2.0
Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 prend intégralement en charge
l’interface XBP 2.0. Vous bénéficiez ainsi des avantages suivants :
v Suivi des travaux enfant.
Un travail Tivoli Workload Scheduler reste à l’état EXEC jusqu’à ce que toute son
arborescence de travaux R/3 ait été exécutée. Les journaux des travaux R/3
sont extraits et stockés dans le fichier stdlist de Tivoli Workload Scheduler,
avec les listes de spoule de toutes les étapes ABAP.
v Interception des travaux R/3.
Les travaux planifiés par les utilisateurs R/3 peuvent être interceptés avant leur
exécution, sur la base des attributs du travail. Un travail de collecte des
interceptions est planifié périodiquement sous forme de commande Unix ou
Windows. Lors de chaque exécution, ce travail collecte les travaux R/3
interceptés et les soumet au plan en cours, sur la base d’un modèle.
v Tous les attributs de travaux sont conservés lors de la réexécution des travaux.
Les limitations dues à l’utilisation d’anciennes copies de travaux réexécutés,
affectant les paramètres d’archivage ou d’impression ainsi que la classe de
travail, sont supprimées.
v Etapes de commande externes.
Pour plus de détails, reportez-vous à la section «Utilisation du support
d’interface XBP 2.0» à la page 98.
86 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 14. Installation
Cette section contient des informations sur l’installation d’IBM Tivoli Workload
Scheduler for Applications pour R3.
Configuration logicielle requise
Pour installer IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3, vous
devez exécuter les logiciels suivants :
v IBM Tivoli Workload Scheduler version 7.0 ou ultérieure, ou IBM Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS dans un environnement de bout en bout.
v R/3 Version 3.1g, 3.1h, 3.1i, 4.0x, 4.5x, 4.6x, 4.7, 6.10 ou 6.20.
v Pour les versions antérieures à 6.20, le Support Package R/3 approprié, tel
qu’indiqué dans le tableau ci-dessous :
Tableau 13. Support Packages R/3.
Versions R/3 Notes R/3
R/3 3.1x 393708, 430087, 357924, 517672
R/3 4.0x 393708, 430087, 111696, 357924, 517672
R/3 4.5x 148436, 172245, 326202, 326752, 393708,
399449, 357924, 517672
R/3 4.6x 326752, 352606, 399449, 453135, 435111,
357924, 517672, 610480
R/3 4.7 610480
R/3 6.10 399449, 435111, 453135, 357924, 517672,
610480
Remarque : Les notes R/3 399449 et 430087 résolvent les problèmes de paramètres
d’impression. Les notes 357924, 517672 et 519137 sont indépendantes
de la version.
Généralités sur l’installation
Cette section présente les étapes d’installation de la méthode d’accès Tivoli
Workload Scheduler for Applications pour R/3. Avant d’installer la méthode
d’accès, vérifiez que Tivoli Workload Scheduler est correctement installé sur le
poste de travail hôte.
1. Sur le système qui hébergera l’agent étendu R/3, exécutez les étapes
suivantes :
a. Si la plateforme sur laquelle vous effectuez l’installation est Compaq Tru64,
suivez les instructions décrites à la section «Installation sur des plateformes
Tier2» à la page 88. Sinon, suivez les instructions décrites au Chapitre 2,
«Installation d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications», à la page
5.2. Installez les modules ABAP r3batch sur le système R/3. Pour ce faire :
a. Connectez-vous à l’instance R/3 en tant qu’administrateur système de base
ou utilisateur disposant des autorisations requises.
b. Importez les fichiers de correction et de transfert.
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Installation sur des plateformes Tier2
1. Connectez-vous en tant que root et accédez au répertoire racine_TWS.
2. A partir du CD-ROM d’installation, extrayez le logiciel :
tar xvf chemin_cd/TWS4APPS_R3BATCH_OSF.TAR
où chemin_cd représente le nom du chemin de l’unité de CD-ROM.
3. Vérifiez que r3setup et r3btar.Z ont été extraits dans le répertoire en cours.
4. Exécutez le script r3setup pour décompresser les fichiers, effectuer l’installation
initiale et créer le fichier r3options :
/bin/sh r3setup -new|-update
où :
-new
spécifie une nouvelle installation. -update
spécifie que vous installez sur une version préexistante.
Vous serez ensuite invité à entrer les informations ci-dessous. Pour plus de
détails, reportez-vous au Chapitre 20, «Fichiers d’options de la méthode d’accès
R/3», à la page 119.
v Le nom d’utilisateur Tivoli Workload Scheduler si celui-ci est différent de la
valeur par défaut, à savoir maestro.
v Le répertoire où l’agent étendu doit être installé (c’est-à-dire le chemin
d’accès à racine_TWS).
v L’utilisateur_exécution LJuser (par défaut, maestro). Il s’agit du nom de
l’utilisateur Tivoli Workload Scheduler qui exécute r3batch. Ce doit être un
compte UNIX valide.
v L’utilisateur_info IFuser (par défaut, maestro). Il s’agit du nom de l’utilisateur
Tivoli Workload Scheduler qui extrait les informations relatives au travail.
IFuser doit être identique à LJuser.
v Le type de définition des travaux JobDef (par défaut, r3batch). Il s’agit du
type d’interface utilisé pour la définition des travaux Tivoli Workload
Scheduler. Vous pouvez choisir :
a. r3batch (valeur par défaut) qui fournit une interface de définition des
travaux spécifique aux travaux R/3.
b. maestrogen ou rien, qui fournit une interface de définition des travaux
standard, sans zone d’entrée spécifique à R/3.v Le nom de cpu de l’hôte pour la définition de l’agent étendu Tivoli Workload
Scheduler.
v Le nom d’hôte du serveur d’applications R/3.
v Si vous voulez spécifier un hôte passerelle R/3 distinct, tapez NO.
v L’ID système R/3 à trois caractères (par exemple, OSS ou TRN).
v Le numéro d’instance R/3 à deux chiffres (par exemple, 00 ou 01).
v Le numéro de client R/3 à trois chiffres (par exemple, 100 ou 900).
v L’ID utilisateur R/3 pour les appels RFC (par exemple, rfcuser).
v Le mot de passe associé à l’ID utilisateur RFC R/3.
v Le niveau d’audit de l’interface R/3 (par défaut, 0).
v Si vous souhaitez définir la langue de connexion SAP R/3 pour l’agent
étendu sur ce système R/3 (par défaut, No).
88 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
v Si vous souhaitez définir une autre instance de l’agent étendu. Si vous
agréez, vous serez invité à fournir un autre jeu de paramètres. Une entrée
supplémentaire est insérée dans le fichier d’options R/3.5. Ouvrez Tivoli Job Scheduling Console ou le programme Composer et créez une
définition de poste de travail dans Tivoli Workload Scheduler pour chaque
instance de R/3.
Chiffrement des mots de passe utilisateur R/3
Lorsque vous ajoutez des entrées à votre fichier d’options, la valeur de r3pass est
automatiquement codée avant d’être écrite dans le fichier. Si vous modifiez le
fichier avec un éditeur de texte, vous devez exécuter le programme enigma pour
chiffrer le mot de passe avant de l’écrire dans le fichier. Pour ce faire, exécutez la
commande suivante :
enigma [mot_de_passe]
Vous pouvez inclure le mot de passe dans la ligne de commande ou l’entrer en
réponse à une invite. Le programme renvoie une version codée que vous pouvez
alors entrer dans le fichier d’options.
Chapitre 14. Installation 89
Chapitre 15. Configuration de l’environnement R/3
Pour communiquer et contrôler l’exécution des travaux sur des systèmes R/3 à
l’aide de la méthode d’accès pour R/3, vous devez exécuter les étapes de
configuration suivantes sur l’environnement R/3.
Les étapes décrites dans ce chapitre requièrent un administrateur système de base
R/3.
Présentation
Vous trouverez, ci-après, un résumé de la procédure de personnalisation :
1. Création d’un nouvel ID utilisateur RFC dans R/3 pour Tivoli Workload
Scheduler.
2. Création du profil d’autorisation, comme décrit à la section «Création du profil
d’autorisation pour l’utilisateur Tivoli Workload Scheduler».
3. Copie des fichiers de correction et de transfert, du serveur Tivoli Workload
Scheduler vers le serveur R/3.
4. Importation des fichiers de correction et de transfert dans R/3 et vérification de
l’installation.
Remarque : La procédure d’importation ajoute uniquement de nouveaux modules
fonctionnels ABAP/4 et de nouvelles tables internes au système R/3.
Elle ne modifie pas les objets existants.
Création de l’utilisateur RFC pour IBM Tivoli Workload Scheduler
Pour que Tivoli Workload Scheduler puisse communiquer avec R/3, vous devez
créer un ID utilisateur dans R/3 pour le traitement par lots Tivoli Workload
Scheduler. Pour des raisons de sécurité, utilisez plutôt un nouvel ID utilisateur
qu’un ID existant.
1. Créez un nouvel ID utilisateur RFC.
2. Attribuez à ce nouvel ID utilisateur RFC les attributs suivants :
v Un type utilisateur CPIC ou Communications, en fonction de la version de
R/3.
v Un mot de passe d’une longueur d’au moins six caractères. Tivoli Workload
Scheduler requiert ce mot de passe pour démarrer et contrôler les
travaux R/3. Si ce mot de passe est modifié dans R/3, vous devrez mettre à
jour le fichier d’options utilisé par r3batch en conséquence.
v Attribuez les profils de sécurité appropriés, en fonction de votre version de
R/3.
Création du profil d’autorisation pour l’utilisateur Tivoli Workload
Scheduler
Vous pouvez utiliser l’une des deux méthodes ci-après pour exécuter cette tâche :
v Utiliser la transaction SU02 et créer manuellement le profil.
v Utiliser le générateur de profils (transaction PFCG).
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 91
Utilisation de la transaction SU02 pour la création manuelle
du profil
Procédez comme suit :
1. Saisissez un nom de profil, par exemple Z_TWS, et une description.
2. Ajoutez manuellement les autorisations conformément à la table suivante :
Objet Description Autorisation
S_ADMI_FCD Autorisations système S_ADMI_ALL
S_BTCH_ADM Traitement en arrière-plan :
Administrateur du
traitement en arrière-plan
S_BTCH_ADM
S_BTCH_JOB Traitement en arrière-plan :
Opérations sur des travaux
en arrière-plan
S_BTCH_ALL
S_BTCH_NAM Traitement en arrière-plan :
Nom de l’utilisateur
d’arrière-plan
S_BTCH_ALL
S_PROGRAM ABAP : Contrôles de
l’exécution du programme
S_ABAP_ALL
S_RFC Contrôle des autorisations
pour l’accès RFC
S_RFC_ALL
S_SPO_ACT Spoule : Actions S_SPO_ALL
S_SPO_DEV Spoule : Autorisations des
périphériques
S_SPO_DEV_AL
S_XMI_LOG Autorisations d’accès
interne pour le journal XMI
S_XMILOG_ADM
S_XMI_PROD Autorisation pour les
interfaces de gestion
externes (XMI)
S_XMI_ADMIN
Les autorisations sont situées dans la classe d’objets ″Système de base :
Administration″.
En fonction de la version de R/3, il est possible que l’autorisation S_RFC_ALL
se trouve dans la classe ″Objets d’autorisation inter-applications″ ou ″Objets
d’autorisation non spécifiques de l’application″.
3. Enregistrez le profil.
4. Accédez à la fenêtre de gestion des utilisateurs et attribuez le profil à
l’utilisateur R/3 Tivoli Workload Scheduler.
5. Enregistrez les données utilisateur.
Utilisation de la transaction PFCG (Générateur de profils)
Procédez comme suit :
1. Entrez un nom, par exemple ZTWS, dans Nom du rôle.
2. Cliquez sur Créer rôle et tapez une description du rôle, par exemple, ″Rôle de
l’utilisateur TWS″.
3. Enregistrez le rôle.
4. Sélectionnez l’onglet Autorisations.
5. Cliquez sur Modifier données d’autorisation.
6. Dans la fenêtre suivante, sélectionnez Modèles.
92 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
7. Ajoutez manuellement les objets d’autorisation suivants :
Objet Description
S_ADMI_FCD Autorisations système
S_BTCH_ADM Traitement en arrière-plan : Administrateur du
traitement en arrière-plan
S_BTCH_JOB Traitement en arrière-plan : Opérations sur des
travaux d’arrière-plan
S_BTCH_NAM Traitement en arrière-plan : nom de l’utilisateur
d’arrière-plan
S_PROGRAM ABAP : Contrôles de l’exécution du programme
S_RFC Contrôle des autorisations pour l’accès RFC
S_SPO_ACT Spoule : Actions
S_SPO_DEV Spoule : Autorisations des périphériques
S_XMI_LOG Autorisations d’accès interne pour le journal XMI
S_XMI_PROD Autorisation pour les interfaces de gestion externes
(XMI)
8. Entrez les valeurs conformément au schéma suivant :
S_ADMI_FCD Autorisations système
v Fonction d’administration système : Autorisation
globale
S_BTCH_ADM Traitement en arrière-plan : Administrateur du
traitement en arrière-plan
v ID administrateur du traitement en arrière-plan :
Autorisation globale
S_BTCH_JOB Traitement en arrière-plan : Opérations sur des
travaux d’arrière-plan
v Opérations sur les travaux : Autorisation globale
v Récapitulatif des travaux d’un groupe :
Autorisation globale
S_BTCH_NAM Traitement en arrière-plan : Nom de l’utilisateur
d’arrière-plan
v Nom de l’utilisateur d’arrière-plan pour le
contrôle des autorisations : Autorisation globale
S_PROGRAM ABAP : Contrôles de l’exécution du programme
v Programme ABAP/4 sur les actions utilisateur :
Autorisation globale
v Programme ABAP/4 sur les groupes
d’autorisations : Autorisation globale
S_RFC Contrôle des autorisations pour l’accès RFC
v Activité : Autorisation globale
v Nom du RFC à protéger : Autorisation globale
v Type d’objet RFC à protéger : Autorisation
globale
Chapitre 15. Configuration de l’environnement R/3 93
S_SPO_ACT Spoule : Actions
v Zone d’autorisation pour les actions de spoule :
Autorisation globale
v Valeur pour le contrôle des autorisations :
Autorisation globale
S_SPO_DEV Spoule : Autorisations des périphériques
v Spoule - Noms de périphérique longs :
Autorisation globale
S_XMI_LOG Autorisations d’accès interne pour le journal XMI
v Méthode d’accès pour le journal XMI :
Autorisation globale
S_XMI_PROD Autorisation pour les interfaces de gestion externes
(XMI)
v Journalisation XMI - Nom de l’entreprise :
TIVOLI*
v Journalisation XMI - Nom du programme :
MAESTRO*
v ID interface : Autorisation globale
9. Enregistrez les autorisations.
10. Générez un profil. Utilisez le même nom que celui que vous avez entré dans
la zone Nom du rôle.
11. Fermez la fenêtre de gestion des autorisations et sélectionnez l’onglet
Utilisateur.
12. Ajoutez l’utilisateur Tivoli Workload Scheduler au rôle.
13. Enregistrez le rôle.
Copie des fichiers de correction et de transfert
Le fichier d’installation charge deux fichiers de correction et de transfert dans le
répertoire de base Tivoli Workload Scheduler. Vous devez copier ces fichiers sur le
serveur R/3 et les importer dans la base de données R/3, comme suit :
1. Sur le serveur de base de données R/3, connectez-vous à votre système R/3 en
tant qu’administrateur.
2. Copiez le fichier de commandes et le fichier de données, du répertoire
racine_TWS \methods vers les répertoires de votre serveur de base de
données R/3 suivants :
copiez fichier_commandes /usr/sap/trans/cofiles/
copiez fichier_données /usr/sap/trans/data/
Les noms fichier_commandes et fichier_données varient d’une version à l’autre. Les
fichiers sont installés dans le répertoire racine_TWS\methods et ont les noms de
fichier et format suivants : K000xxx.TV1 (fichier de commandes) et
R000xxx.TV1 (fichier de données), où xxx est une valeur fonction de la version.
Importation de modules ABAP/4 dans R/3
Cette procédure génère, active et valide de nouveaux modules fonctionnels
ABAP/4 sur votre système R/3 ainsi que de nouvelles tables internes. Aucun objet
système R/3 existant n’est modifié.
1. Accédez au répertoire suivant :
cd /usr/sap/trans/bin
94 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
2. Ajoutez le fichier de transfert au tampon :
tp addtobuffer sid transfert
où :
transfert
représente le fichier de demande de transfert. sid
représente votre ID système R/3.
Sous le répertoire racine_TWS\methods, se trouve fichier nommé
K000xxx.TV1 ; la demande de transfert est donc tv1K000xxx.
3. Exécutez la commande tp tst pour tester l’importation :
tp tst sid transfert
Après l’exécution de cette commande, consultez les messages d’erreur des
fichiers journaux dans le répertoire /user/sap/trans/log. Les avertissements
d’un niveau de sévérité 4 sont normaux.
S’il y a des erreurs, demandez l’avis d’une personne expérimentée en matière
de correction et de transfert, ou essayez d’utiliser les modes inconditionnels
pour effectuer l’importation.
4. Exécutez la commande suivante pour importer tous les fichiers dans le
tampon :
tp import sid transfert
Cette commande génère les nouveaux modules ABAP/4 et les valide dans la
base de données R/3. Ils sont automatiquement activés.
Après l’exécution de cette commande, consultez les messages d’erreur des
fichiers journaux dans le répertoire /user/sap/trans/log. Les avertissements
d’un niveau de sévérité 4 sont normaux.
Si vous rencontrez un problème, utilisez un mode inconditionnel pour exécuter
cette étape :
tp import sid transfert U126
5. Une fois la procédure terminée, examinez les fichiers journaux pour vérifier
que l’importation a réussi. Les fichiers journaux se trouvent dans le répertoire
/usr/sap/trans/log.
Installation des modules ABAP r3batch sur le système R/3
Installez les modules ABAP r3batch sur le système R/3. Pour plus de détails sur
l’installation des modules ABAP r3batch, reportez-vous au Chapitre 15,
«Configuration de l’environnement R/3», à la page 91. Ce chapitre contient des
instructions pour la création d’un utilisateur RFC et l’installation des modules
ABAP suivants :
J_1O1_BDC_STATUS
J_1O1_DATE_TIME
J_1O1_JOB_ABAP_STEP_MODIFY
J_1O1_JOB_ADD_ABAP_STEP
J_1O1_JOB_ADD_EXTPGM_STEP
J_1O1_JOB_CLOSE
J_1O1_JOB_COPY
J_1O1_JOB_DEFINITION_GET
J_1O1_JOB_DELETE
J_1O1_JOB_EXTPGM_STEP_MODFY
J_1O1_JOB_FIND
J_1O1_JOB_FINDALL
J_1O1_JOB_HAS_EXTENDED_VARIANT
J_1O1_JOB_LOG
J_1O1_JOB_LOG_READ
Chapitre 15. Configuration de l’environnement R/3 95
J_1O1_JOB_OPEN
J_1O1_JOB_START
J_1O1_JOB_STATUS
J_1O1_JOB_STATUS_CHECK
J_1O1_JOB_STOP
J_1O1_RAISE_EVENT
J_1O1_REPORT_ALL_SELECTIONS
J_1O1_REPORT_DYNSEL_GET_DEF
J_1O1_REPORT_GET_TEXTPOOL
J_1O1_TABLE_GET_NAMETAB
J_1O1_VARIANT_COPY
J_1O1_VARIANT_COPY_4X
J_1O1_VARIANT_CREATE
J_1O1_VARIANT_CREATE_NEW
J_1O1_VARIANT_DELETE
J_1O1_VARIANT_DELETE_NEW
J_1O1_VARIANT_EXISTS
J_1O1_VARIANT_GET_DEFINITION
J_1O1_VARIANT_GET_DEF_NEW
J_1O1_VARIANT_GET_HELP_VALUES
J_1O1_VARIANT_INFO_GET
J_1O1_VARIANT_MAINTAIN_CNT_TBL
J_1O1_VARIANT_MAINTAIN_SEL_TBL
J_1O1_VARIANT_MODIFY
J_1O1_VARIANT_MODIFY_NEW
Identification et résolution des incidents
Si vous ne pouvez pas soumettre de travaux R/3 via Tivoli Workload Scheduler
après avoir configuré R/3, effectuez les tests suivants :
v Vérifiez que vous pouvez exécuter une commande Ping sur le système R/3 à
partir du système Tivoli Workload Scheduler. Ceci prouvera une connectivité
réseau de base.
v Notez que l’utilisation de routeurs R/3 pour accéder au système R/3 peut
excéder la taille des tampons internes de la bibliothèque RFC utilisée pour
stocker le nom d’hôte du système R/3. Si tel est le cas, le nom d’hôte est
tronqué, ce qui entraîne l’échec de la connexion R/3. Pour contourner ce
problème, n’utilisez pas le nom qualifié complet des routeurs R/3, ou utilisez
les adresses IP.
v Utilisez la commande telnet suivante pour vérifier la connectivité :
telnet nom_système 33xx
où nom_système correspond au nom du système ou à l’adresse IP du
serveur R/3 et xx correspond à l’instance R/3.
v Connectez-vous à R/3 en tant qu’administrateur et vérifiez que l’utilisateur RFC
Tivoli Workload Scheduler (créé à la section «Création de l’utilisateur RFC pour
IBM Tivoli Workload Scheduler» à la page 91) existe.
v Créez un nouveau travail IBM Tivoli Workload Scheduler à exécuter sous R/3
et ajoutez les options avancées suivantes :
-debug
-trace
Vous pouvez sélectionner ces options via les boutons d’option correspondant
dans la page Propriétés - Définition du travail de Job Scheduling Console.
L’option -debug permet d’inclure des informations de débogage
supplémentaires dans le fichier stdlist du travail (dans Tivoli Workload
Scheduler).
96 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Lorsque vous utilisez l’option -trace, un fichier de trace est créé dans le
répertoire de base Tivoli Workload Scheduler. Sous UNIX, ce fichier s’appelle
dev_rfc, sous Windows, il s’appelle rfcxxxxx_xxxxx.trc. Veillez à supprimer
l’option -trace du travail après avoir exécuté les procédures de débogage. Le
fichier de trace peut, en effet, devenir très volumineux et ingérable.
Remarque :En règle générale, ces options sont destinées au débogage de
l’agent étendu et ne doivent pas être utilisées dans la production standard.v Si, pour une raison quelconque, la passerelle R/3 tronque la chaîne de
connexion, remplacez le nom IP par l’adresse IP.
v Si vous effectuez l’installation sur un système AIX qui n’utilise pas
l’anglais U.S., vous devez installer l’environnement de langue U.S. sur le
poste de travail IBM Tivoli Workload Scheduler et sur celui hébergeant la base
de données R/3. Sinon, l’erreur BAD TEXTENV (ou un message d’erreur
similaire) apparaîtra dans le fichier de trace dev_rfc et les connexions à R/3
échoueront.
Modification du mot de passe de l’ID utilisateur RFC au niveau de
Tivoli Workload Scheduler
Si le mot de passe de l’ID utilisateur RFC Tivoli Workload Scheduler a été modifié
après l’installation initiale, le fichier d’options utilisé par r3batch doit être mis à
jour en conséquence.
Sous UNIX, connectez-vous en tant que root au système où Tivoli Workload
Scheduler est installé.
Sous Windows, connectez-vous en tant qu’administrateur et ouvrez un shell DOS
sur le système où Tivoli Workload Scheduler est installé, en procédant comme
suit :
1. Générez une version codée du nouveau mot de passe en exécutant la
commande enigma dans racine_TWS/methods. Pour ce faire, tapez dans le shell
de commandes :
enigma nouveau_mot
où nouveau_mot correspond au nouveau mot de passe de l’ID utilisateur RFC
Tivoli Workload Scheduler.
La commande enigma renvoie une version codée du mot de passe.
2. Copiez le mot de passe codé dans le fichier d’options qui se trouve dans le
répertoire racine_TWS/methods. Ce fichier peut être modifié dans un n’importe
quel éditeur de texte.
Veillez à recopier le mot de passe correctement, en respectant les majuscules, les
minuscules et les signes de ponctuation. Voici un exemple de mot de passe codé :
#TjM-pYm#-z82G-rB
Si le mot de passe codé est mal saisi, Tivoli Workload Scheduler ne pourra ni
lancer, ni contrôler les travaux par lots R/3.
Migration à partir de versions précédentes
Cette version de l’agent étendu Tivoli Workload Scheduler pour R/3 prend en
charge toutes les versions R/3 listées au tableau 13 à la page 87. Pour répondre
aux exigences de la certification XBP R/3 intégrée aux versions 4.0 et 4.5 de R/3,
quelques modifications ont été apportées à l’agent de planification. L’agent étendu
Chapitre 15. Configuration de l’environnement R/3 97
Tivoli Workload Scheduler pour R/3 version 4.x utilise les interfaces
officielles RFC R/3 pour la planification des travaux, à savoir :
v L’interface SXMI_XBP pour les versions 3.1g à 4.0x de R/3 ;
v L’interface BAPI_XBP à partir de la version 4.5a.
Pour éviter les conflits avec d’autres fournisseurs, les modules ABAP pour Tivoli
Workload Scheduler appartiennent désormais à l’espace annuaire J_1O1_xxx des
partenaires Tivoli Workload Scheduler. Dès que les procédures d’importation
décrites à la section «Importation de modules ABAP/4 dans R/3» à la page 94 ont
été exécutées, les modules de fonction RFC J_1O1_xxx sont installés sur votre
système.
Si vous avez déjà installé l’agent étendu Tivoli Workload Scheduler pour R/3 sur
votre système, vous pouvez supprimer les modules suivants de votre
système R/3 :
Z_MAE2_BDC_STATUS
Z_MAE2_DATE_TIME
Z_MAE2_JOB_COPY
Z_MAE2_JOB_DELETE
Z_MAE2_JOB_FIND
Z_MAE2_JOB_FINDALL
Z_MAE2_JOP_OPEN
Z_MAE2_JOB_LOG
Z_MAE2_JOB_START
Z_MAE2_JOB_STATUS
Z_MAE2_JOB_STOP
Il s’agit d’anciennes versions des modules ABAP Tivoli, qui appartiennent à
l’espace annuaire de l’utilisateur. Vous pouvez également supprimer le groupe
fonctionnel YMA3. Il n’est pas obligatoire de supprimer ces éléments, mais vous
pouvez le faire pour nettoyer votre système.
Utilisation du support d’interface XBP 2.0
L’interface SAP pour la planification des travaux externes (BC-XBP) a été
récemment étendue de manière à remédier aux limitations mises en évidence par
les clients et les partenaires. Elle est fournie par Basis Support Packages pour
toutes les versions de R/3, à compter de WAS 4.6B.
Les limitations suivantes ont été supprimées :
v La classe de travail n’est plus limitée à C,
v Tous les paramètres d’impression sont disponibles.
Les fonctionnalités suivantes ont été ajoutées :
v Relation parent-enfant,
v Interception des travaux,
v Prise en charge des travaux à l’aide d’étapes de commandes externes.
Consultez et appliquez les notes SAP suivantes avant d’utiliser l’interface XBP 2.0:
v 602683
v 612564
v 604496
98 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Création du profil d’autorisation pour l’utilisateur Tivoli
Workload Scheduler
Il existe deux méthodes pour ajouter l’objet d’autorisation correspondant au profil
d’autorisations de l’utilisateur Tivoli Workload Scheduler :
v Utilisation de la transaction SU02,
v Utilisation du générateur de profils.
Utilisation de la transaction SU02
Ajoutez l’objet suivant :
Objet Description Autorisation
S_RZL_ADM CCMS : Administration système S_RZL_ALL
Utilisation du générateur de profils
Procédez de la manière suivante :
1. Ajoutez manuellement l’objet suivant :
Objet Description
S_RZL_ADM CCMS : Administration système
2. Attribuez à la zone Activité la valeur Autorisation globale.
Incidents dus aux paramètres d’impression et à la classe de travail
L’agent étendu R/3 utilise les interfaces RFC officielles des versions R/3 4.x à 6.20
pour la planification des travaux. Lorsque vous migrez de précédentes versions de
R/3, il peut y avoir des problèmes au niveau des paramètres d’impression dans les
travaux lancés par Tivoli Workload Scheduler, et ce, en raison des limitations dues
aux interfaces RFC.
Ces limitations n’existent plus avec XBP 2.0.
Le tableau ci-après indique les paramètres d’impression pris en charge par BAPI
XBP 1.0.
Paramètre
d’impression 3.1x 4.0x
4.5x et ultérieure
unité de sortie U U U
impression
immédiate
U U U
suppression après
sortie
U U U
nombre de copies U U U
mode d’archivage U U U
autorisation U U U
sélection de la page
de garde
x U U
page de garde SAP U U U
période de rétention
du spoule
U U U
Chapitre 15. Configuration de l’environnement R/3 99
Paramètre
d’impression 3.1x 4.0x
4.5x et ultérieure
destinataire x x U
lignes x x U
colonnes x x U
Pour résoudre la perte des paramètres d’impression durant la copie d’un travail,
installez le Support Package R/3 approprié comme indiqué dans les notes R/3
399449 et 430087.
Il en va de même pour la classe de travail. Les interfaces R/3 officielles ne
prennent en charge que les travaux de la classe C. L’installation du Support
Package R/3 résout également cet incident.
100 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 16. Définition des travaux d’agent étendu R/3
Pour contrôler l’exécution de travaux sur un poste de travail R/3 à partir de Tivoli
Workload Scheduler, vous devez définir :
v Des travaux R/3 que vous voulez exécuter sous le contrôle de Tivoli Workload
Scheduler. Vous pouvez définir ces travaux à l’aide des outils R/3 standard ou
des fenêtres SAP de Job Scheduling Console.
v Des travaux Tivoli Workload Scheduler qui correspondent à des travaux R/3.
Les définitions de travaux Tivoli Workload Scheduler sont utilisées pour la
planification et la définition des dépendances, mais ce sont les travaux R/3 qui
sont exécutés.
Définition d’un travail dans R/3
Pour créer des travaux R/3 contrôlés par Tivoli Workload Scheduler, vous pouvez
utiliser :
v les outils R/3 standard pour la définition des travaux, ou
v les fenêtres SAP de Job Scheduling Console.
Reportez-vous à la documentation R/3 pour plus d’informations sur la création
des travaux avec les outils R/3. Lorsque vous créez des travaux dans R/3, ne
spécifiez ni l’heure de début, ni leurs dépendances. Ces paramètres sont spécifiés
et contrôlés dans Tivoli Workload Scheduler. Le travail est identifié dans Tivoli
Workload Scheduler par son nom et son ID de travail R/3. Le même travail peut
être planifié pour être exécuté à plusieurs reprises par Tivoli Workload Scheduler,
sans qu’il y ait besoin de le redéfinir à chaque fois dans R/3.
Remarque : Pour les travaux R/3 contrôlés par Tivoli Workload Scheduler, la
sortie dans le journal des travaux R/3 se trouve sous le nom
d’utilisateur défini dans l’option r3user du fichier d’options.
Définition d’un travail dans Tivoli Workload Scheduler
Pour définir un travail Tivoli Workload Scheduler, vous pouvez utiliser :
v Tivoli Job Scheduling Console.
v La ligne de commande Tivoli Workload Scheduler.
v Les boîtes de dialogue ISPF de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, si vous
envisagez de planifier le travail dans un environnement de bout en bout.
Pour plus de détails, reportez-vous au Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent
étendu», à la page 37.
Les procédures décrites au Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent étendu», à
la page 37 sont communes à tous les agents étendus Tivoli Workload Scheduler.
L’agent étendu pour R/3 propose une procédure supplémentaire via Job
Scheduling Console.
Dans Job Scheduling Console, lorsque vous sélectionnez le type de tâche pour une
nouvelle définition de travail, vous pouvez choisir entre deux types :
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 101
Tâche d’agent étendu
Ce type de tâche est commun à tous les agents étendus. Si vous choisissez
cette option :
v Le travail R/3 associé doit être déjà défini dans la base de données R/3
et vous devez connaître son nom.
v Vous pouvez utiliser la zone Commande dans l’une des fenêtres de
définition du travail pour entrer les paramètres nécessaires à l’exécution
du travail R/3.
v Les postes de travail d’agent étendu que vous avez définis pour R/3 (en
spécifiant r3batch comme méthode d’accès) sont listés comme postes de
travail génériques d’agent étendu.
SAP Ce type de tâche est spécifique aux travaux d’agent étendu R/3. Si vous
choisissez cette option :
v Vous pouvez définir ou mettre à jour le travail R/3 ainsi que les
variables SAP ou les paramètres d’exécution du travail à partir des
fenêtres Job Scheduling Console, comme si vous opériez dans R/3.
v Les postes de travail d’agent étendu R/3 sont considérés comme des
postes de travail R/3. Ils n’apparaissent pas dans les listes de postes de
travail génériques d’agent étendu qui s’affichent lorsque vous cliquez
sur les points de suspension en regard de la zone Poste de travail. Vous
devez connaître le nom pour pouvoir l’entrer dans la zone.
Pour que SAP soit affiché comme tâche optionnelle dans Job Scheduling Console,
vous devez attribuer la valeur r3batch à l’option jobdef dans le fichier d’options
r3batch.opts (situé dans le sous-répertoire methods de racine_TWS) du poste
maître Tivoli Workload Scheduler.
Pour savoir comment définir un travail d’agent étendu R/3 via les fenêtres Tâche
d’agent étendu, reportez-vous au Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent
étendu», à la page 37. Pour savoir comment définir un travail d’agent étendu R/3
via les fenêtres de tâche SAP, accédez à la section suivante.
Utilisation des fenêtres SAP de Job Scheduling Console
Pour créer une définition de travail R/3 dans la base de données Tivoli Workload
Scheduler, exécutez les étapes suivantes :
1. Dans la liste Actions de la fenêtre principale de Job Scheduling Console,
sélectionnez Nouvelle définition de travail.
2. Sélectionnez un moteur Tivoli Workload Scheduler et, dans la liste affichée,
cliquez sur SAP. La fenêtre Propriétés - Définition du travail s’affiche.
102 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
3. Dans la page Général, définissez le travail Tivoli Workload Scheduler qui
pilotera le travail R/3. Renseignez les zones suivantes :
a. Dans la zone Nom, entrez un nom Tivoli Workload Scheduler pour le
travail R/3. Ce nom peut contenir jusqu’à huit caractères alphanumériques,
ou quarante si vous utilisez une base de données étendue. Il doit
commencer par une lettre.
b. Dans la zone Poste de travail, cliquez sur les points de suspension (...) pour
ouvrir une fenêtre de recherche et sélectionnez un poste de travail
disponible.
c. Dans la zone Description, entrez une description du travail. Il s’agit d’une
zone optionnelle qui peut comporter jusqu’à 64 caractères alphanumériques.
d. Dans la zone Connexion, entrez l’ID de connexion Tivoli Workload
Scheduler utilisé pour exécuter le travail.
e. Cliquez sur Ajouter un paramètre pour ajouter des paramètres prédéfinis à
l’ID de connexion.
f. Dans les zones Options de récupération, spécifiez les options de
récupération pour le travail R/3. Pour plus de détails sur les options de
récupération, reportez-vous au manuel IBM Tivoli Workload Scheduler - Guide
de référence.4. Sélectionnez Tâche. La page Tâche s’affiche.
Figure 26. Fenêtre Propriétés - Définition du travail
Chapitre 16. Définition des travaux d’agent étendu R/3 103
Cette page vous permet de fournir des informations sur le travail R/3 qui sera
géré par le travail Tivoli Workload Scheduler défini à la page précédente. Vous
pouvez également utiliser cette page pour créer des travaux R/3 standard
(mais non des InfoPackages ou des chaînes de processus) dans le système SAP.
5. Pour spécifier un travail R/3 existant :
a. Dans la page Tâche, spécifiez le type de travail et cliquez sur les points de
suspension ...) en regard de la zone Nom du travail. La fenêtre Liste de
réquisition SAP apparaît.
b. Utilisez la liste de réquisition pour trouver et sélectionner un travail R/3 et
cliquez sur OK. Les informations sur le travail sont affichées dans les zones
de la page Tâche précédente :
v zone Nom du travail,
v zone ID de travail,
v bouton Type de travail R/3.
Si le type de travail est Travail R/3 standard, vous pouvez le modifier et
afficher ses détails et son statut.
Si le type de travail est Business Warehouse InfoPackage ou Chaîne de
processus, vous ne pouvez afficher que ses détails.6. Pour créer un travail R/3 standard :
a. Dans la page Tâche, sélectionnez Travail R/3 standard et cliquez sur
Nouveau. La page Travail R/3 de la fenêtre Définition du travail SAP
s’affiche.
Figure 27. Propriétés - Définition du travail : Tâches
104 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
b. Dans la page Travail R/3, entrez les informations relatives au travail à
créer :
1) Entrez le nom du travail dans la zone Nom du travail.
2) Laissez la zone ID du travail vide. Un ID sera attribué par le
système R/3 lorsque vous enregistrerez la définition du travail.
3) Tapez le nom du poste de travail R/3 où ce travail doit s’exécuter dans
la zone Hôte cible.
4) Cliquez sur Etapes pour accéder à la page suivante.
Figure 28. Page Travail R/3 de la fenêtre Définition du travail SAP.
Chapitre 16. Définition des travaux d’agent étendu R/3 105
c. Dans la page Etapes, vous pouvez spécifier un ou plusieurs module(s)
ABAP ou des programme externe pour le travail R/3. Répétez les étapes
suivantes autant de fois que vous avez d’étapes à définir :
1) Cliquez sur le bouton Ajouter une ligne pour ajouter une ligne à la
table des étapes.
2) Double-cliquez dans la zone Type et choisissez s’il s’agit d’un module
ABAP ou d’un programme externe.
3) Dans la zone Nom, entrez le nom d’un module ABAP ou le chemin
complet d’un programme externe.
4) Dans la zone Utilisateur, entrez le nom de l’utilisateur R/3 qui exécute
cette étape.
5) si nécessaire, dans la zone Var/Parm, entrez un nom de variable ou un
paramètre. Les variables sont utilisées avec les modules ABAP, et les
paramètres avec les programmes externes, mais tous deux sont
facultatifs. Certains modules ABAP ne requièrent pas de variables, tout
comme certains programmes externes ne requièrent pas de paramètres.
Des points de suspension (...) sont disponibles en regard de la zone. Ils
Figure 29. Page Etapes de la fenêtre Définition du travail SAP.
106 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
permettent d’afficher la liste des variables associées au module ABAP.
Vous pouvez utiliser cette liste pour sélectionner une variable ou pour
créer ou modifier des définitions de variables. Reportez-vous à la section
«Définition ou mise à jour des variables R/3 dans Job Scheduling
Console» pour plus de détails.
6) Dans la zone Hôte cible, entrez le poste de travail R/3 où doit
s’exécuter cette étape. Les hôtes cible ne sont obligatoires que pour les
programmes externes.
7) Entrez les spécifications des paramètres d’impression et des indicateurs
de contrôle, conformément aux exigences de R/3.d. Une fois que vous avez paramétré les différentes étapes de module ABAP
ou de programme externe, cliquez sur OK. La définition du travail R/3 est
alors enregistrée dans la base de données R/3 et la fenêtre se ferme. Si le
travail R/3 a été correctement enregistré dans la base de données R/3, la
page Tâche de la fenêtre Propriétés - Définition du travail doit à présent
afficher un ID de travail R/3.7. Cliquez sur OK dans la fenêtre Propriétés - Définition du travail pour
enregistrer la définition du travail dans la base de données Tivoli Workload
Scheduler.
Définition ou mise à jour des variables R/3 dans Job Scheduling
Console
Si vous cliquez sur les points de suspension en regard de la zone Var/Parm dans la
fenêtre Définition du travail SAP, la fenêtre Liste des variantes apparaît. Cette
fenêtre liste toutes les variables associées au module ABAP indiqué dans la zone
Nom de la fenêtre Définition du travail SAP et ressemble à celle représentée
ci-dessous.
Dans cette fenêtre, en plus des autres actions, vous pouvez créer ou mettre à jour
des variables. Pour ce faire, cliquez sur Nouveau ou sur Editer. Une fenêtre Cadre
Figure 30. Fenêtre Liste des variantes.
Chapitre 16. Définition des travaux d’agent étendu R/3 107
de variante, similaire à celle illustrée ici, s’ouvre (si vous êtes en phase de
modification, les zones et les sélections ne seront pas vides) :
Dans la page Informations sur la variante, procédez comme suit :
1. Entrez/modifiez le nom et la description de la variable.
2. Si nécessaire, dans la zone Propriétés, cochez l’une des cases suivantes :
Arrière-plan
La variable ne peut être utilisée que dans un traitement en arrière-plan.
Protégé
La variable ne peut être modifiée par aucun autre utilisateur.
Invisible
La variable n’apparaîtra pas dans la liste appelée par la touche F4, dans
l’interface utilisateur SAP.
Etendu
Autorise l’utilisation de marques de réservation et de compteurs
comme variables. Si vous cochez cette case, le bouton Compteur
devient actif.
Pour les variables étendues, vous pouvez utiliser des marques de réservation et
des compteurs qui éliminent le réglage des valeurs comportant souvent des
erreurs et réduisent considérablement la gestion des variables. Les marques de
réservation et les compteurs sont traités à l’avance par Tivoli Workload
Scheduler et les valeurs sont automatiquement ajustées lorsque le travail est
lancé. Les marques de réservation et les compteurs pris en charge sont les
suivants :
Tableau 14. Marques de réservation et compteurs pour les variables étendues.
Symbole Signification Syntaxe
$S Horodatage AAAAMMJJHHMM
$D Jour du mois JJ
$_D Date AAAAMMJJ
$M Mois MM
$Y Année AA
$_Y Année AAAA
Figure 31. Page Informations sur la variante de la fenêtre Liste des variantes.
108 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 14. Marques de réservation et compteurs pour les variables étendues. (suite)
Symbole Signification Syntaxe
$H Heure HH
$T Minute MM
$_T Heure HHMMSS
$Nx Compteurs 10 compteurs : $N0 - $N9
($N = $N0)
$(expression_date) Expression date Identique à commande
datecalc, au format $(...).
$[expression_arithmétique] Expression arithmétique Expressions arithmétiques
autorisant des opérations +,
−, * et / entre des entiers et
des compteurs.
Dans la page Valeurs de variante, les zones et les valeurs sont créées de manière
dynamique par r3batch en fonction des caractéristiques de la variable ou de
l’étape et sont identiques à celles contenues dans la fenêtre SAP équivalente.
Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux R/3
Cette section décrit les paramètres des chaînes de tâches qui gèrent l’exécution des
travaux R/3. Vous devez les spécifier aux emplacements suivants lorsque vous
définissez les travaux Tivoli Workload Scheduler qui leur sont associés :
v Dans la zone Commande de la page Tâche de la fenêtre Propriétés - Définition
du travail, si vous utilisez Job Scheduling Console et sélectionnez Tâche d’agent
étendu (et non SAP) lors de la définition d’un nouveau travail.
v En tant qu’arguments du mot clé SCRIPTNAME dans l’instruction de définition du
travail, si vous utilisez la ligne de commande Tivoli Workload Scheduler.
v En tant qu’arguments du mot clé JOBCMD dans l’instruction JOBREC du fichier
SCRIPTLIB de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, si vous planifiez dans un
environnement de bout en bout.
La syntaxe de la chaîne est la suivante :
-job nom_travail ( -user nom_utilisateur | -i (id_travail|ipack_|pchain_) )
[-client client_définition] [-exec_client client_exécution] [-debug] [-trace]
Ces paramètres sont décrits dans le tableau ci-après.
Tableau 15. Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux R/3.
Paramètre Description
-job nom_travail
Nom de la tâche à exécuter. Il s’agit soit
d’un de nom de travail R/3, d’un nom de
zone technique InfoPackage ou d’un nom
de chaîne de processus (ProcessChain). Ce
paramètre est obligatoire.
-user nom_utilisateur
Utilisateur R/3 propriétaire du travail
cible. Ce paramètre ne peut être utilisé que
lorsque le système R/3 cible n’a qu’un
seul travail du nom spécifié, pour
l’utilisateur spécifié. Il n’a aucun effet sur
des travaux de type InfoPackage ou
ProcessChain, ni si un ID de travail a été
spécifié dans la définition du travail.
Chapitre 16. Définition des travaux d’agent étendu R/3 109
Tableau 15. Paramètres de chaîne de tâches pour les travaux R/3. (suite)
Paramètre Description
-i id_travail
L’un des ID suivants :
v ID de travail R/3 unique, si le travail
cible est un travail standard.
v ipack_, si le travail cible est un
InfoPackage.
v pchain_, si le travail cible est une chaîne
de processus.
Les paramètres -user, -client et
-exec_client n’auront aucun effet si vous
spécifiez un ID de travail. Pour les travaux
InfoPackage et ProcessChain, ce paramètre
est obligatoire.
-client client_définition
Numéro identifiant le client R/3 où doit
se trouver la définition du travail,
indépendamment du numéro de client
défini par le mot clé r3client dans le
fichier d’options. Ce paramètre n’a aucun
effet sur des travaux de type InfoPackage
ou ProcessChain, ni si un ID de travail a
été spécifié dans la définition du travail.
-exec_client client_exécution
Numéro identifiant le client R/3 où le
travail doit s’exécuter, indépendamment
du numéro de client défini par le mot clé
r3client dans le fichier d’options. Ce
paramètre n’a aucun effet sur des travaux
de type InfoPackage ou ProcessChain, ni si
un ID de travail a été spécifié dans la
définition du travail.
-debug
Active la trace r3batch la plus explicite.
-trace
Active la trace RFC SAP.
Remarques :
1. Vous pouvez spécifier à la fois -i et -user dans une même définition de travail,
mais le nom d’utilisateur sera ignoré.
2. Lorsque vous spécifiez un ID de travail, -client et -exec_client sont ignorés
puisque l’ID est le même pour l’ensemble du système R/3.
Voici un exemple de travail R/3 appelé BVTTEST, ayant pour ID 03102401 et pour
utilisateur mon_utilisateur :
-job BVTTEST
–i 03102401 -debug
Voici un exemple de travail InfoPackage dont le nom de zone technique est
ZPAK_3LZ3JRF29AJDQM65ZJBJF5OMY :
-job
ZPAK_3LZ3JRF29AJDQM65ZJBJF5OMY -i ipak_
110 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Etats des travaux dans Tivoli Workload Scheduler et dans R/3
Lorsqu’un travail R/3 est lancé par Tivoli Workload Scheduler, vous pouvez
surveiller sa progression. Les transitions d’état utilisées dans Tivoli Workload
Scheduler (statut interne) et les statuts correspondants utilisés dans R/3 sont listés
dans le tableau ci-dessous.
Etat du travail dans Tivoli Workload Scheduler Etat du travail dans R/3
INTRO N/A
WAIT Prêt
EXEC Actif
SUCC Terminé
ABEND Annulé
L’état INTRO indique que Tivoli Workload Scheduler est en train d’introduire le
travail mais que le travail n’est pas encore considéré comme prêt dans R/3,. Etant
donné qu’il peut prendre un certain temps pour qu’un travail soit mis en file
d’attente et placé dans la colonne Prêt, l’état INTRO peut durer quelques minutes
si le système R/3 est très occupé.
Bien qu’un travail puisse être terminé dans R/3, Tivoli Workload Scheduler le
gardera avec l’état EXEC si ses sessions BDC ne sont pas achevées ou que vous
n’avez pas sélectionné l’option Désactivation de l’attente BDC. Pour utiliser cette
option, reportez-vous au Chapitre 21, «Attente BDC», à la page 127.
Chapitre 16. Définition des travaux d’agent étendu R/3 111
Chapitre 17. Réexécution de travaux
Avant de réexécuter un travail R/3 avec Tivoli Workload Scheduler, vous avez la
possibilité de préciser le nom d’une étape de ce travail. Si vous procédez ainsi, cela
influe sur r3batch de la manière suivante : si le nom de l’étape se présente sous le
format “xnnnnnn” ou “nnnnnnn” (où “x” représente un caractère non numérique
et “n” un caractère numérique), il est alors utilisé comme numéro d’étape de
démarrage pour la réexécution du travail R/3.
Dans tous les autres cas, cette valeur n’a aucun effet sur la réexécution du travail,
qui est réexécuté à partir de sa première étape.
Ce n’est que lorsque r3batch réexécute un travail à partir de sa première étape, soit
parce que l’utilisateur a spécifié celle-ci comme étape de démarrage, soit qu’il n’a
rien spécifié du tout, qu’il utilise la fonction de nouvelle copie (si la version de R/3
le permet). Si l’étape de démarrage est supérieure à un, alors r3batch utilise
l’ancienne copie pour réexécuter le travail.
La section ci-dessous explique la principale différence entre la nouvelle et
l’ancienne copie d’un travail à réexécuter.
Ancienne et nouvelle copies d’un travail à réexécuter
Lorsque la méthode d’accès R/3 doit lancer un travail, elle effectue une copie d’un
modèle de travail et l’exécute.
La fonction Nouvelle copie est disponible à partir des versions 3.1i de R/3. Elle
copie un travail entièrement, tout en préservant les étapes, la classe de travail et
tous les paramètres d’impression et d’archivage. Elle utilise un nouveau module
fonctionnel R/3 qui fait partie du Support Package R/3, comme indiqué dans les
notes R/3 399449 et 430087.
A l’inverse, la fonction d’ancienne copie, basée sur les modules fonctionnels R/3
standard, crée un nouveau travail R/3 et ajoute les étapes avec une boucle qui
démarre à partir du nom ou du numéro de l’étape que vous avez spécifié. Notez
que, sauf si vous disposez du support XBP 2.0 :
v L’ancienne copie ne préserve pas tous les paramètres d’impression et
d’archivage.
v La classe de travail de la copie est toujours ″C″.
Reportez-vous à la section «Incidents dus aux paramètres d’impression et à la
classe de travail» à la page 99 pour savoir comment résoudre les problèmes de
perte des paramètres d’impression et d’archivage et de la classe de travail.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 113
Chapitre 18. Business Information Warehouse
Prise en charge de Business Information Warehouse - InfoPackages
Business Information Warehouse (BIW) est une solution de Data Warehousing
conçue spécialement pour R/3. Elle facilite le contrôle de gestion et la prise de
décisions.
Autorisations utilisateur
Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 permet de gérer les
InfoPackages BIW R/3 ainsi que les chaînes de traitement. Afin de pouvoir utiliser
la fonctionnalité BIW R/3, vous devez définir un utilisateur Tivoli Workload
Scheduler R/3 avec les autorisations supplémentaires suivantes :
Les autorisations du tableau ci-dessous ne sont requises que si vous envisagez
d’utiliser les fonctionnalités BIW de l’agent étendu.
Objet Texte Autorisation
S_DEVELOP ABAP Workbench E_ABAP_ALL
Remarque : En plus du profil Z_MAESTRO, le profil S_RS_ALL doit être ajouté à
l’utilisateur Tivoli Workload Scheduler.
Composants Business Information Warehouse
R/3 prend en charge deux composants BIW principaux, les InfoPackages et les
chaînes de traitement.
Un InfoPackage constitue le point d’entrée du processus de chargement d’une
InfoSource spécifique (c’est-à-dire un conteneur logique de source de données,
génériquement appelé InfoObject). Techniquement, un InfoPackage est un travail
SAP concret ayant pour tâche de charger les données. Comme tout autre
travail R/3, il contient des paramètres spécifiques au travail, tels que l’heure de
début, les dépendances, etc.
Une chaîne de traitement est une chaîne complexe de différents processus et de
leurs relations. Les processus d’une chaîne ne se limitent pas à des processus de
chargement de données ou à des InfoPackages, mais peuvent également inclure :
v l’exécution de modifications d’attributs ou de hiérarchie,
v le cumul d’agrégats,
v le programme ABAP,
v une autre chaîne de traitement,
v l’intégration de clients.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 115
Définition des travaux d’agent étendu pour BIW
Les InfoPackages et les chaînes de traitement ne peuvent être créés qu’à partir de
l’environnement R/3. Toutefois, le niveau 1.3 de Job Scheduling Console prend en
charge les listes de sélection d’InfoPackages et de chaînes de traitement, si bien que
vous pouvez dès à présent définir des travaux d’agent étendu Tivoli Workload
Scheduler pour ces objets.
Pour savoir comment définir des travaux d’agent étendu via les fenêtres SAP de
Job Scheduling Console, reportez-vous à la section «Utilisation des fenêtres SAP de
Job Scheduling Console» à la page 102.
Pour savoir comment définir des travaux d’agent étendu via les fenêtres Tâche
d’agent étendu de Job Scheduling Console ou via le programme Composer,
reportez-vous au Chapitre 5, «Définition des travaux d’agent étendu», à la page 37.
Pour connaître les paramètres de chaîne de tâches utilisés pour la spécification des
InfoPackages et des chaînes de traitement lorsque vous définissez des travaux
d’agent étendu via les fenêtres Tâche d’agent étendu de Job Scheduling Console ou
via le programme Composer, reportez-vous à la section «Paramètres de chaîne de
tâches pour les travaux R/3» à la page 109.
Options de planification R/3 d’un InfoPackage
Pour pouvoir planifier des InfoPackages via IBM Tivoli Workload Scheduler, les
options de planification d’InfoPackage doivent être configurées comme suit :
v Le type de démarrage doit avoir pour valeur ″Démarrage ultérieur en
arrière-plan″.v L’heure de démarrage doit être définie comme ″Immédiat″.
116 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 19. Connexion au système R/3
Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 utilise la bibliothèque RFC
(appel de connexion distante) de SAP pour se connecter au système R/3. L’adresse
de connexion d’un système R/3 est appelée chaîne de connexion.
Connexions à un serveur d’applications spécifique
Dans sa forme primaire, une chaîne de connexion est constituée du nom d’hôte (ou
nom IP) d’un serveur d’applications R/3, par exemple :
/H/hemlock.tivlab.raleigh.ibm.com
Ce type de chaîne de connexion fonctionne uniquement dans des environnements
réseau très simples, dans lesquels tous les serveurs d’applications sont directement
accessibles via TCP/IP. Généralement, les entreprises modernes utilisent des
topologies réseau plus complexes, avec un certain nombre de sous-réseaux qui ne
peuvent pas communiquer directement via TCP/IP. Pour pouvoir prendre en
charge ce type de réseau, la bibliothèque RFC de SAP utilise des dispositifs appelés
routeurs SAP, qui sont placés à la limite des sous-réseaux et font office de proxys.
Dans ce cas, la chaîne de connexion finale est composée des chaînes de connexion
de base de chaque routeur SAP, auxquelles s’ajoute la chaîne de connexion de base
du système R/3 cible, par exemple :
/H/litespeed/H/amsaix33/H/hemlock.tivlab.raleigh.ibm.com
De plus, il est possible de protéger les routeurs SAP par des mots de passe afin
d’éviter les tentatives d’accès non autorisées. Dans ce cas, la chaîne de connexion
de base du routeur SAP est suivie de /P/ et du mot de passe du routeur.
Remarque : La bibliothèque RFC de SAP limite la longueur de la chaîne de
connexion à un maximum de 128 caractères, ce qui constitue une
réelle restriction dans les environnements réseau complexes. Pour
contourner cet obstacle, il est recommandé d’utiliser des noms d’hôte
simples, sans nom de domaine lorsque c’est possible. Vous pouvez
également utiliser les adresses IP, bien que ce ne soit pas recommandé
du fait de la lourdeur de gestion qu’elles imposent.
Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 prend en charge les deux
types de chaînes de connexion, de base et composée, où :
r3host Est la chaîne de connexion.
r3instance
Est le numéro de l’instance R/3.
r3sid Est l’ID système R/3.
Par exemple :
r3host=/H/litespeed/H/amsaix33/H/hemlock.tivlab.raleigh.ibm.com
r3instance=00
r3sid=TV1
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 117
Groupes de connexion
Dans les installations R/3 plus vastes, les serveurs d’applications sont
généralement configurés en groupes de connexion à des fins d’équilibrage de la
charge et de tolérance aux pannes. L’équilibrage de la charge est effectué par un
serveur dédié, appelé serveur de messages. Ce serveur affecte automatiquement
les utilisateurs au serveur d’applications ayant la charge la plus faible du groupe
de connexion qu’il contrôle.
Définissez les options suivantes pour configurer r3batch dans le cadre d’un groupe
de connexion :
r3host Nom d’hôte du serveur de messages.
r3group
Nom du groupe de connexion.
r3sid ID système R/3.
Par exemple :
r3host=pwdf0647.wdf.sap-ag.de
r3group=PUBLIC
r3sid=QB6
118 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 20. Fichiers d’options de la méthode d’accès R/3
Les fichiers d’options de la méthode d’accès R/3 sont les suivants :
r3batch.opts
Fichier de configuration commun pour la méthode d’accès r3batch, dont
les paramètres affectent toutes les instances r3batch. Il fonctionne comme
un fichier de configuration “global”.
NOM_CPU_r3batch.opts
Fichier de configuration propre à chaque poste de travail d’agent étendu
IBM Tivoli Workload Scheduler - nommé de manière
générique“NOM_CPU” - à l’aide de la méthode d’accès r3batch. Ses
options affectent uniquement l’instance r3batch utilisée par ce poste de
travail en particulier. Il fonctionne comme un fichier de configuration
“local”.
Par exemple, si vous souhaitez définir deux agents étendus nommés wkst1 et wkst2
qui accéderont à deux systèmes R/3 - SAP1 et SAP2 - avec la méthode d’accès
r3batch, vous devez définir les fichiers de configuration suivants :
v Le fichier global r3batch.opts
v Le fichier local wkst1_r3batch.opts
v Le fichier local wkst2_r3batch.opts
Remarque : Si r3batch trouve le fichier de configuration local d’un agent étendu, il
ignore les informations contenues dans r3options.
Options de configuration
Cette section décrit les options à configurer dans r3batch.opts et dans
NOM_CPU_r3batch.opts.
Options globales
Le tableau suivant répertorie les options que vous devez définir dans le fichier de
configuration global r3batch.opts. Ces options n’ont d’effet que lors de l’exécution
d’un agent étendu Tivoli Workload Scheduler dans un environnement Unix.
Remarque : Ces options ne prennent effet que si elles sont définies r3batch.opts.
Tableau 16. Options de configuration globale R3batch.
Option Description
job_sem_proj ID projet du sémaphore du travail.
var_sem_proj ID projet du sémaphore de la variante.
icp_sem_proj ID projet du sémaphore d’interception du
travail.
Les options job_sem_project et var_sem_project sont deux paramètres avancés qui
vous permettent de personnaliser la synchronisation des travaux. Le système R/3
synchronise l’accès à la base de données à l’aide d’un système de gestion du
verrouillage. Lorsque Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 119
fonctionne dans le système R/3, les modules de la fonction ABAP correspondante
verrouillent et déverrouillent différents objets dans la base de données. Lorsque
vous essayez de verrouiller un objet, le système de gestion du verrouillage ne
permet d’attendre que pendant un temps limité avant le rejet de la tentative de
verrouillage assorti d’un message d’erreur. Lorsque ce cas se produit, le module de
la fonction courante est également abandonné. Le temps maximal en secondes
alloué à chaque tentative de verrouillage est indiqué dans le paramètre système
enque/delay_max.
Le code retour du module de fonction est trop général pour distinguer le
dépassement du temps d’attente maximal du verrouillage des autres erreurs de la
base de données. Par conséquent, la méthode d’accès pour R/3 ne peut pas
continuer et signale une erreur. Si ce cas se produit pendant l’exécution d’un
travail R/3, celui-ci est à l’état abort.
Cette situation s’aggrave lorsque Tivoli Workload Scheduler démarre plusieurs
travaux simultanément. En fonction du temps d’attente maximal, certains d’entre
eux doivent être abandonnés en raison de l’expiration des tentatives de
verrouillage.
Pour résoudre cet incident, Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3
utilise des sémaphores au niveau d’OS pour synchroniser les appels des modules
de fonctions ABAP importantes. Cette méthode permet d’éviter réellement
l’incident décrit. Un sémaphore est utilisé pour les tâches associées au travail et un
autre pour les tâches liées à la maintenance de variante.
Afin de se donner rendez-vous sur la même structure IPC dans un environnement
UNIX, les deux parties doivent se mettre d’accord sur un identificateur pour cette
structure. Il existe plusieurs façons de choisir cet identificateur. Tivoli Workload
Scheduler for Applications pour R3 utilise deux paramètres : un nom de chemin et
un ID projet (valeur de type caractère). Le nom du chemin est transmis du chemin
absolu au fichier d’options. L’ID projet est l’une des options décrites dans le
tableau 16 à la page 119. Si ces options sont omises, Tivoli Workload Scheduler for
Applications pour R3 utilise les valeurs par défaut, lesquelles conviennent à la
majorité des installations.
Options locales
Le tableau suivant répertorie les options à définir dans les fichiers de configuration
locaux.
Tableau 17. Options de configuration locale de R3batch.
Option Description
r3client Numéro du client R/3. Cette option est
requise.
r3gateway Nom d’hôte de la passerelle R/3.
r3group Nom du groupe de connexion R/3.
r3gwservice Numéro de service de la passerelle R/3.
r3host Nom d’hôte du serveur de messages R/3
lorsque vous utilisez des groupes de
connexion ou le nom d’hôte du serveur
d’applications dans tous les autres cas. Cette
option est requise.
r3instance Numéro d’instance R/3. Cette option est
requise.
120 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 17. Options de configuration locale de R3batch. (suite)
Option Description
r3password Mot de passe associé à r3user. Cette valeur
doit respecter la casse. Cette option est
requise.
r3sid ID système R/3. Cette option est requise.
r3user Nom de l’utilisateur R/3 avec lequel la
méthode d’accès se connecte au système R3.
Cette option est requise.
r3version Oblige la méthode d’accès à fonctionner
uniquement avec les systèmes R/3
comportant la version indiquée. Utilisez
cette option avec précaution.
xbpversion Oblige la méthode d’accès à fonctionner
avec les systèmes R/3 prenant en charge la
version XBP indiquée. Utilisez cette option
avec précaution.
Options générales
Le tableau suivant répertorie les options supplémentaires que vous pouvez définir
dans l’un des fichiers de configuration.
Tableau 18. Options de configuration générale R3batch.
Option Description Par défaut
r3auditlevel Niveau d’audit de XBP.
Nombre compris entre 0 et 3.
3
short_interval Intervalle court, en secondes,
pour les vérifications d’état.
Valeur supérieure à 10
secondes.
10
long_interval Intervalle long en secondes,
pour les vérifications d’état.
Valeur inférieure à 3600
secondes.
3600
twsxa_cp Codage que r3batch doit
utiliser pour ouvrir les
connexions RFC avec les
systèmes R/3. Il peut s’agir
de l’une des valeurs
suivantes :
v 1100
v 1103
v 8000
v 8300
v 8400
1100
twsxa_lang Langue utilisée pour la
connexion aux systèmes R/3.
Vous pouvez choisir :
v DE pour l’allemand
v EN pour l’anglais
v JA pour le japonais
EN
Chapitre 20. Fichiers d’options de la méthode d’accès R/3 121
Tableau 18. Options de configuration générale R3batch. (suite)
Option Description Par défaut
twsmeth_cp Codage que r3batch doit
utiliser pour écrire sa sortie
R/3. Il peut s’agir de l’une
des pages de code TIS
existantes.
Page de code locale
twsmeth_lang Langue utilisée pour signaler
les messages.
Langue locale
utf8cmdline Valeur égale à 0 ou 1 et qui
indique si r3batch doit
attendre des paramètres
étendus codés en UTF-8. La
valeur 1 signifie une réponse
affirmative.
1
retry Nombre de relances d’appels
de module de fonction R/3.
Nombre supérieur à 0.
5
nojobdefs Autoriser/interdire la
définition de nouveaux
travaux R/3 par l’interface
graphique de Tivoli
Workload Scheduler.
0
oldcopy Oblige la méthode d’accès à
utiliser l’ancienne méthode
de copie. Indiquez une
valeur différente de zéro
pour activer cette option.
0
old_picklist_mode Cette option s’applique
uniquement aux versions 4.5
et ultérieures de R/3. Si cette
option est désactivée (valeur
0), la liste de sélection des
travaux est extraite par le
module de fonction
BAPI_XBP_JOB_SELECT. Si elle
est activée (valeur différente
de zéro), elle est extraite par
le module de fonction
BAPI_XBP_JOB_COUNT. Cette
option doit être désactivée
car le module de fonction
BAPI_XBP_JOB_COUNT connaît
des incidents lors de son
exécution.
0
rfc_open_retry Nombre de relances pour
l’ouverture d’une connexion
RFC avec le système R/3. La
valeur est supérieure à 0
pour limiter le nombre de
relances et -1 pour un
nombre illimité de relances.
5
rfc_open_delay Temps d’attente maximal en
secondes entre deux appels
consécutifs avant l’ouverture
d’une connexion RFC.
1800
122 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 18. Options de configuration générale R3batch. (suite)
Option Description Par défaut
log_r3syslog Si cette option est activée, la
méthode d’accès écrit les
dernières entrées de R/3
syslog dans son fichier de
trace lorsqu’un RFC renvoie
un message d’erreur
générale. Indiquez ON pour
activer l’option et OFF pour la
désactiver.
OFF
rcmap Active les capacités de
mappage RC de Tivoli
Workload Scheduler for
Applications pour R3.
Indiquez ON pour activer
l’option et OFF pour la
désactiver.
ON
max_name_counter Valeur maximale du
compteur de noms de
variante. Si le compteur de
noms atteint la valeur
indiquée, il recommence à
partir de 0.
40
name_counter_policy Règles du compteur de
noms :
step Le compteur de
noms est augmenté
à chaque étape.
job Le compteur de
noms est augmenté
une fois pour le
travail.
travail
max_n0_counter Valeur maximale du
compteur N0. Si celui-ci
atteint la valeur indiquée, il
recommence à partir de 0.
2^15 - 1
n0_counter_policy Règles du compteur N0 :
step Le compteur N0 est
augmenté à chaque
étape.
job Le compteur N0 est
augmenté une fois
pour le travail.
travail
Utilisation des options de configuration
Le format du fichier de configuration nom_CPU_r3batch.opts est le suivant :
option1=valeur1
option2=valeur2
option3=valeur3
...
sans espace avant l’option et après la valeur, ni entre elles et le signe égal.
Chapitre 20. Fichiers d’options de la méthode d’accès R/3 123
Dans r3batch.opts, vous pouvez inscrire toutes les informations communes, telles
que les optionsLJuser, IFuser, JobDef et LogFileName, tandis que vous pouvez
inscrire dans un fichier de configuration local (par exemple, wkst1_r3batch.opts)
des données personnalisées pour le système R/3 cible de l’agent étendu (par
exemple, SAP1).
Vous pouvez indiquer une option locale dans le fichier de configuration global si
vous devez indiquer la même option pour toutes les instances r3batch. Si le nom
d’utilisateur R/3 est identique dans tous les systèmes R/3, vous pouvez définir
l’option r3user dans le fichier global sans dupliquer ces informations dans les
fichiers de configuration locaux.
Notez que ces fichiers de configuration ne sont pas créés au cours de l’installation.
Une option globale, telle que job_sem_proj, n’a d’effet que dans le fichier de
configuration global. Si vous la définissez dans un fichier local, elle n’aura aucun
effet.
r3batch lit d’abord le fichier de configuration global, puis le fichier local. Par
conséquent, toutes les options (sauf les options globales) contenues dans le fichier
de configuration local remplacent celles des fichiers globaux. Par exemple, si les
deux fichiers de configuration contiennent l’option r3user, r3batch utilise le fichier
local.
r3batch nécessite six options obligatoires ; vous pouvez les définir toutes dans le
fichier de configuration local ou les répartir entre le fichier global et le fichier local.
Par exemple, vous pourriez définir r3user et r3password dans le fichier de
configuration global et r3sid, r3instance, r3client et r3host dans le fichier local.
L’option r3user est à la fois locale et obligatoire. Elle doit être définie dans le
fichier de configuration global ou dans le fichier local.
Migration des fichiers de configuration
Cette section donne un exemple de migration d’un fichier de configuration de
r3options dans plusieurs fichiers .opts locaux (CPU_r3batch.opts).
Dans un fichier r3options avec le contenu suivant :
xacpu1 sap1 tv1 00 100 maestro 2QGp4-7JU5-MY2A-mX 30 300 2
xacpu1 sap2 d04 10 200 tws z57I-U5MY-2Amp-4X 30 100 2
vous pouvez créer deux fichiers locaux, xacpu1_r3batch.opts et
xacpu2_r3batch.opts.
Voici le contenu de xacpu1_r3batch.opts :
R3host=sap1
R3sid=tv1
R3instance=00
R3client=100
R3user=maestro
R3password=2QGp4-7JU5-MY2A-mX
short_interval=30
long_interval=300
R3auditlevel=2
124 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Voici le contenu de xacpu2_r3batch.opts :
R3host=sap2
R3sid=d04
R3client=200
R3instance=10
R3user=tws
R3password=z57I-U5MY-2Amp-4X
short_interval=30
long_interval=100
R3auditlevel=2
Le script Perl offre un exemple de migration automatique. A partir du fichier
r3options, il produit les fichiers de configuration locaux.
$r3options = "r3options";
unless (-e $r3options) {
die "Error: file $r3options not found\n";
}
unless (-r $r3options) {
die "Error: file $r3options unreadible \n";
}
format OPTSFORMAT =
R3host=@<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
$host
R3sid=@<<<
$sid
R3instance=@<<
$inst
R3client=@<<<
$client
R3user=@<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
$user
R/3password=@<<<<<<<<<<<<<<<<<
$passwd
short_interval=@<<<<
$sint
long_interval=@<<<<
$lint
R3auditlevel=@<<
$audit
.
open (INPUT, "<$r3options");
while (<INPUT>) {
if(!/^#/ && !/^(\s)+$/) {
($cpu,$host,$sid,$inst,$client,$user,$passwd,$sint,$lint,$audit)=split(/ /);
$optsfile = $cpu . "_r3batch.opts";
open (OPTSFORMAT,">$optsfile") || die "can not create $optsfile file";
write (OPTSFORMAT);
close OPTSFORMAT;
}
}
close INPUT;
Pour utiliser ce modèle :
1. Installez un interpréteur PERL sur votre ordinateur.
2. Copiez le modèle dans un fichier nommé migrate.pl et stockez-le dans le
répertoire<racine_TWS>/methods.
3. Exécutez perl migrate.pl.
Les fichiers de configuration locaux sont créés dans le répertoire
<racine_TWS>/methods.
Chapitre 20. Fichiers d’options de la méthode d’accès R/3 125
Chapitre 21. Attente BDC
Grâce à l’option d’attente (Batch Data Collector), vous pouvez spécifier qu’un
travail R/3 lancé par IBM Tivoli Workload Scheduler ne sera pas considéré comme
achevé tant que toutes ses sessions BDC ne seront pas terminées. Ceci évite que
d’autres travaux IBM Tivoli Workload Scheduler dépendant du même travail R/3
ne soient lancés tant que les sessions BDC associées à ce travail ne sont pas
terminées.
Pour utiliser cette option, un travail R/3 doit écrire des messages d’information
dans le journal des travaux. Pour ce faire, il convient d’ajouter une instruction de
message au rapport BDCREXX fourni par SAP (voir exemple ci-dessous), soit en
utilisant un nom de session BDC (12 caractères maximum), soit en utilisant un ID
de file d’attente BDC (20 caractères maximum). Plusieurs messages peuvent être
écrits pour permettre le contrôle de plusieurs sessions BDC.
Si vous ne voulez pas apporter de modifications à R/3, vous pouvez également
copier BDCRECXX sous un autre nom, par exemple ZBDCRECXX, faire les
modifications dans cette copie et inclure celle-ci dans tous vos programmes
générant des sessions BDC. Vous devez le faire manuellement pour chaque travail.
Si vos sessions BDC ne sont pas créées à l’aide de la transaction SM35, mais
directement par un composant SAP, elles ne peuvent pas utiliser le rapport
BDCRECXX. Dans ce cas, vous pouvez effectuer les modifications dans le module
fonctionnel BDC_OPEN_GROUP fourni par SAP, comme décrit ci-dessous. Notez
que vous devez modifier le rapport BDCRECXX (ou sa copie ZBDCRECXX) ou le
module fonctionnel BDC_OPEN_GROUP, mais pas les deux objets.
Remarque : L’état d’achèvement d’un travail R/3 lancé par IBM Tivoli Workload
Scheduler, que ce soit SUCC ou ABEND, est entièrement basé sur le
statut d’exécution du travail. Il ne dépend aucunement du succès ou
de l’échec de l’une des sessions BDC, qui sont considérées comme
terminées, indépendamment du fait qu’il y ait eu (ou non) des erreurs
durant le traitement BDC. Si vous voulez réagir aux erreurs d’une
session BDC, vous pouvez utiliser la fonction de mappage des codes
retour de Tivoli Workload Scheduler, comme décrit au Chapitre 28,
«Bibliothèque de mappage de code retour», à la page 181.
Utilisation des noms de session BDC
Pour utiliser les noms de session BDC, modifiez le formulaire open_group dans
l’objet R/3 BDCRECXX comme suit :
v Pour les versions SAP antérieures à 4.6c :
form open_group.
if session = ’X’.
skip.
write: /(20) ’Create group’(i01), group.
skip.
* open batchinput group
call function ’BDC_OPEN_GROUP’
exporting client = sy-mandt
group = group
user = user
keep = keep
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 127
holddate = holddate.
message i001(92) with group.
write: /(30) ’BDC_OPEN_GROUP’(i02), (12) ’returncode:’(i05), sy_subrc.
endif.
endform.
v Pour les versions SAP 4.6c et ultérieures :
form open_group.
skip.
write: /(20) ’Create group’(i01), group.
skip.
* open batchinput group
call function ’BDC_OPEN_GROUP’
exporting client = sy-mandt
group = group
user = user
keep = keep
holddate = holddate.
message i001(92) with group.
write: /(30) ’BDC_OPEN_GROUP’(i02), (12) ’returncode:’(i05), sy_subrc.
endform.
Lorsque des sessions BDC sont spécifiées par leur nom, Tivoli Workload Scheduler
n’attend pas qu’une session BDC soit terminée s’il y a d’autres sessions BDC de
même nom en cours.
Exemple
Un travail R/3 lancé par Tivoli Workload Scheduler démarre trois sessions BDC
avec le nom ORD2 et émet le message BDCWAIT suivant :
BDCWAIT:ORD2
Une fois la première session ORD2 terminée, le travail R/3 a pour statut SUCC
dans Tivoli Workload Scheduler. r3batch ne fait pas la différence entre les
sessions BDC de même nom.
Un autre problème de l’utilisation des noms de sessions BDC réside probablement
dans les différentes heures système d’un environnement R/3 réparti.r3batch
analyse les sessions BDC avec les noms spécifiés, générés lors de l’exécution du
travail créateur. Si le travail créateur ne fait rien d’autre que de démarrer des
sessions BDC, le temps d’exécution peut être très court. S’il n’y a aucune
synchronisation temporelle, l’heure système des différents postes de travail diffère
généralement dans un environnement R/3 réparti. Cette différence peut être
supérieure au temps d’exécution du travail. Il est donc possible qu’un intervalle de
temps erroné soit pris en compte et que des sessions BDC ne soient jamais
détectées.
Il est donc vivement recommandé d’utiliser la méthode des ID de file
d’attente BDC décrite dans les sections suivantes.
Utilisation des ID de file d’attente BDC avec le rapport BDCRECXX
Pour résoudre les problèmes causés par l’identification des sessions BDC par leur
nom, vous pouvez spécifier celles-ci par un ID de file d’attente à 20 chiffres. Etant
donné que chaque ID de file d’attente R/3 est unique, un message BDCWAIT doit
être émis pour chaque ID de file d’attente à contrôler.
128 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Pour déterminer l’ID de file d’attente, modifiez le formulaire open_group dans
l’objet R/3 BDCRECXX comme suit :
v Pour les versions SAP antérieures à 4.6c :
form open_group.
if session = ’X’.
skip.
write: /(20) ’Create group’(i01), group.
skip.
* open batchinput group
call function ’BDC_OPEN_GROUP’
exporting client = sy-mandt
group = group
user = user
keep = keep
holddate = holddate
importing qid = myquid.
message i001(92) with myqid.
write: /(30) ’BDC_OPEN_GROUP’(i02), (12) ’returncode:’(i05), sy_subrc.
endif.
endform.
v Pour les versions SAP 4.6c et ultérieures :
form open_group.
skip.
write: /(20) ’Create group’(i01), group.
skip.
* open batchinput group
call function ’BDC_OPEN_GROUP’
exporting client = sy-mandt
group = group
user = user
keep = keep
holddate = holddate
importing qid = myquid.
message i001(92) with myqid.
write: /(30) ’BDC_OPEN_GROUP’(i02), (12) ’returncode:’(i05), sy_subrc.
endform.
N’oubliez pas de définir la variable myqid dans BDCRECXX. Avec cette approche,
vous modifiez de manière totale votre système R/3.
Utilisation des ID de file d’attente BDC avec le module fonctionnel
BDC_OPEN_GROUP
Les sessions BDC non créées par la transaction SM35 mais par un composant SAP,
ne peuvent pas utiliser le rapport BDCREXX. Dans ce cas, la meilleure solution
pour suivre ces sessions BDC consiste à modifier le module fonctionnel SAP
BDC_OPEN_GROUP comme suit :
FUNCTION BDC_OPEN_GROUP.
...
CALL ’BDC_OPEN_GROUP’ ID ’CLIENT’ FIELD CLIENT
ID ’GROUP’ FIELD GROUP
ID ’USER’ FIELD USER
ID ’KEEP’ FIELD KEEP
ID ’HOLDDATE’ FIELD HOLDDATE
ID ’DESTINATION’ FIELD DEST
ID ’QID’ FIELD QID
ID ’RECORD’ FIELD RECORD
ID ’PROG’ FIELD PROG.
*
IF SY-SUBRC EQ 0.
Chapitre 21. Attente BDC 129
BQID = QID.
BUSER = SY-MSGV1.
BGROUP = GROUP.
* CALL FUNCTION ’DB_COMMIT’.
CALL FUNCTION ’ENQUEUE_BDC_QID’
EXPORTING DATATYP = ’BDC ’
GROUPID = BGROUP
QID = BQID
EXCEPTIONS FOREIGN_LOCK = 98
SYSTEM_FAILURE = 99.
IF SY-SUBRC EQ 0.
message i001(92) with qid.
ENDIF.
ENDIF.
*
PERFORM FEHLER_BEHANDLUNG USING SY-SUBRC.
*
*
ENDFUNCTION.
Notez que les paramètres réels de l’appel de la fonction ″C″ (CALL
‘BDC_OPEN_GROUP’ ID ...) peuvent dépendre du numéro de la version SAP.
Avec cette approche, vous modifiez de manière totale votre système R/3.
130 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 22. Fonctions d’interception des travaux et fonctions
parent-enfant
Ce chapitre explique comment les fonctions d’interception des travaux et les
fonctions parent-enfant de BC-XBP 2.0 sont prises en charge par Tivoli Workload
Scheduler for Applications.
Interception des travaux
L’interception des travaux est une fonction de l’interface BC-XBP 2.0. Elle permet à
Tivoli Workload Scheduler de contrôler très étroitement les travaux lancés par les
utilisateurs R/3 à partir de l’interface graphique de SAP.
Le mécanisme d’interception devient actif lorsque le planificateur de travaux R/3
est sur le point de démarrer un travail R/3 (à savoir, lorsque les conditions start
d’un travail R/3 sont remplies). Il compare les paramètres du travail (job name,
creator et client) aux entrées du tableau R/3 TBCICPT1, et, dès que ces paramètres
répondent aux critères, le travail R/3 est ramené à l’état scheduled et marqué par
un indicateur précisant qu’il a été intercepté.
Si Tivoli Workload Scheduler a été défini pour gérer l’interception de travaux, il
exécute de temps en temps son propre travail pour extraire la liste des travaux
interceptés et les replanifie. Ce travail peut être appelé collecte d’interception.
Pour configurer Tivoli Workload Scheduler de façon à traiter l’interception de
travaux dans un environnement R/3 :
1. Installez l’interface BC-XBP 2.0.
2. Activez la fonction d’interception de l’interface BC-XBP 2.0.
3. Définissez un travail Tivoli Workload Scheduler pour collecter de temps en
temps les travaux R/3 interceptés.
4. Indiquez les critères d’interception dans le système R/3.
5. Indiquez ces mêmes critères sur Tivoli Workload Scheduler.
Notez que les travaux lancés par Tivoli Workload Scheduler ou par tout autre
planificateur externe utilisant l’interface BC-XBP ne peuvent pas être interceptés.
Cela est dû au mécanisme d’interception qui ne prend en compte que les travaux
dont les conditions ont été remplies, en raison des restrictions de temps ou
d’événement SAP.
Implémentation de l’interception de travaux
Cette section décrit l’action à effectuer pour implémenter l’interception de travaux.
Activation de la fonction d’interception de travaux
Reportez-vous à la note SAP 604496 pour savoir si votre système R/3 comporte
déjà l’interface BC-XBP 2.0 ou quel est le module de support SAP à installer pour
l’activer.
Afin d’activer la fonction d’interception, exécutez le rapport ABAP INITXBP2. Ce
rapport indique l’état actuel des fonctions d’interception de travaux et
parent-enfant et vous permet de basculer entre les états des deux fonctions.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 131
Collecte périodique des travaux interceptés
Puisque les travaux interceptés restent à l’état scheduled jusqu’à ce qu’ils soient
relancés, vous devez définir un travail Tivoli Workload Scheduler pour les collecter
et les démarrer.
Voici la syntaxe de la définition de travail pour la collecte d’interception dans
Tivoli Workload Scheduler :
NOM_CPU#NOM_TRAVAIL
SCRIPTNAME "racine_TWS/methods/r3batch -HIJ -c NOM_CPU"
DESCRIPTION "Collecte les travaux interceptés sur SAP XA NOM_CPU"
STREAMLOGON utilisateur_TWS
RECOVERY STOP
où :
NOM_CPU
Nom du poste de travail d’agent étendu.
NOM_TRAVAIL
Nom que vous souhaitez utiliser pour le travail Tivoli Workload Scheduler.
racine_TWS
Chemin d’accès complet à votre installation Tivoli Workload Scheduler.
utilisateur_TWS
Nom de l’utilisateur de Tivoli Workload Scheduler qui doit démarrer la
méthode d’accès.
Le programme de collecte d’interception doit être exécuté périodiquement, par
exemple toutes les 10 minutes. Il extrait tous les travaux qui ont été interceptés
depuis la dernière exécution du programme de collecte d’interception et les relance
d’après un modèle sous la forme d’un texte décrit.
Configuration des critères d’interception sur le système R/3
Sur R/3, les critères d’interception figurent dans le tableau TBCICPT1. Seuls les
travaux répondant aux critères de ce tableau sont interceptés lorsque leurs
conditions start sont remplies. Tous les autres travaux sont exécutés normalement.
Vous pouvez gérer les entrées de ce tableau à l’aide de la transaction se16. Vous
pouvez définir les valeurs suivantes :
v Numéro de client
v Masque de travail
v Masque d’utilisateur
Configuration des critères d’interception sur Tivoli Workload
Scheduler
Sur Tivoli Workload Scheduler, les critères d’interception sont définis et utilisés par
l’une des valeurs suivantes :
v Fichiers des critères d’interception
v Fichiers modèle
Utilisation des fichiers des critères d’interception : Les critères d’interception de
chaque système R/3 sont stockés dans un fichier séparé nommé
NOM_CPU_r3batch.icp et situés dans le répertoire racine_TWS/methods/r3batch_icp
de l’hôte Tivoli Workload Scheduler. Ce fichier est lu par r3batch lors de
l’exécution du programme de collecte d’interception.
132 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chaque ligne du fichier est considérée comme un critère d’interception et
caractérisée par la syntaxe suivante :
client masque_travail masque_utilisateur modèle
où client, masque_travail et masque_utilisateur correspondent aux colonnes du
tableau TBCICPT1, tandis que modèle est le nom du modèle à utiliser par le
programme de collecte d’interception pour exécuter le travail R/3. Les paramètres
sont séparés par un ou plusieurs espaces. Vous pouvez utiliser n’importe quel
éditeur de texte pour gérer le contenu de ce fichier.
Utilisation des fichiers modèle : Un modèle est un fichier comportant l’extension
.jdf et situé dans le même répertoire(racine_TWS/methods/r3batch_icp) que le
fichier des critères d’interception. Le fichier modèle contient des instructions pour
le programme de collecte d’interception sur l’exécution du travail R/3 intercepté
sous le contrôle de Tivoli Workload Scheduler. Sa syntaxe correspond à celle de
docommand dans conman. Vous pouvez utiliser n’importe quel éditeur de texte pour
gérer ce fichier.
Si le fichier modèle de l’utilisateur est vide, un fichier modèle nommé default.jdf
est utilisé. Si default.jdf n’existe pas, les instructions suivantes sont utilisées :
alias=SAP_$RUN_$JOBNAME_$JOBCOUNT
Par conséquent, les travaux R/3 doivent être relancés immédiatement, en raison de
l’absence de l’option de travailat=. Leurs noms Tivoli Workload Scheduler sont
composés de la chaîne SAP_, du numéro d’exécution actuel du programme de
collecte d’interception et du nom et de l’ID du travail R/3.
Par conséquent, l’ensemble des instructions permettant de relancer un travail R/3
doit être extrait comme suit :
1. A partir du fichier modèle si un modèle existant est indiqué dans le fichier des
critères d’interception.
2. A partir du fichier modèle par défaut si le modèle est indiqué dans le fichier
des critères d’interception mais n’existe pas ou si le modèle n’est pas indiqué
dans le fichier des critères d’interception.
3. A partir de l’ensemble d’instructions par défaut si le fichier modèle par défaut
n’existe pas.
Exemple d’interception des travaux : Les critères d’interception des travaux sur
R/3 contiennent l’entrée suivante :
000 * fa*
Les critères d’interception des travaux sur Tivoli Workload Scheduler contiennent
l’entrée suivante :
000 * fa* at1700
Le fichier modèle at1700.jdf contient l’entrée suivante :
alias;at=1700
En conséquence, tous les travaux démarrés dans le client 000 par des utilisateurs
R/3 dont les noms d’utilisateur commencent par fa seront interceptés. Le
programme de collecte d’interception redémarrera les travaux à l’aide des
instructions du fichier modèle at1700.jdf. Les travaux R/3 seront redémarrés à
17h00 avec un nom au hasard, en raison de la commande alias.
Chapitre 22. Fonctions d’interception des travaux et fonctions parent-enfant 133
Utilisation des marques de réservation : Dans les fichiers modèle, vous pouvez
utiliser un certain nombre de marques de réservation remplacées par le
programme de collecte d’interception lors de l’exécution. Elles sont répertoriées
dans le tableau suivant.
Tableau 19. Marques des fichiers modèle d’interception de travaux.
Marque de réservation Description
$CPU Nom du poste de travail d’agent étendu sur lequel le
programme de collecte d’interception s’exécute.
$CLIENT Numéro client du travail R/3 intercepté.
$JOBNAME Nom du travail R/3 intercepté.
$JOBCOUNT ID du travail R/3 intercepté.
$USER Nom de l’utilisateur qui a lancé le travail R/3.
$JOBNUM Numéro de travail du programme de collecte
d’interception.
$EXECUTION Numéro d’exécution actuel du programme de collecte
d’interception.
$SCHED Nom de planification du programme de collecte
d’interception.
$RAND Nombre au hasard.
Par conséquent, le modèle
alias=ICP_$RAND_$JOBNAME_$JOBCOUNT_$CLIENT;at=1000
dit au programme d’interception de redémarrer le travail R/3 nommé DEMO_JOB
avec l’ID de travail 12345678 sur le client 100 à 10h00 en tant que travail Tivoli
Workload Scheduler
ICP_1432_DEMO_JOB_12345678_100
La fonction parent-enfant
Dans certaines situations, un travail R/3 engendre de manière dynamique un
certain nombre d’autres travaux, par exemple, pour distribuer la charge de travail
aux serveurs d’applications libres. Les travaux d’activité de masse du composant
FI-CA R/3 constituent un exemple édifiant. Avant BC-XBP 2.0, cette situation était
difficile à gérer pour les planificateurs externes, car le processus métier ne se
termine en général pas avec la fin du travail initial (travail parent), mais avec la fin
de tous les travaux enfant.
L’interface BC-XBP 2.0 permet de déterminer si un travail a lancé des travaux
enfant, ainsi que leur nom et leur ID, si bien qu’il est désormais possible d’en
effectuer le suivi.
Pour activer cette fonction, utilisez le rapport INITXBP2 ABAP, qui sert également à
modifier l’état d’interception des travaux.
Lorsque la fonction parent-enfant est active, Tivoli Workload Scheduler considère
un travail R/3 comme terminé uniquement après la fin de tous ses travaux
enfant ; en d’autres termes, l’état d’un travail Tivoli Workload Scheduler reste EXEC
tant que le travail parent ou l’un de ses travaux enfant est en cours d’exécution.
134 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
L’état du travail Tivoli Workload Scheduler devient SUCC si le travail parent et tous
les travaux enfant sont terminés. Si l’un des travaux s’est terminé par une erreur,
l’état du travailTivoli Workload Scheduler devient ABEND.
Notez que la fonction parent-enfant peut interférer avec l’interception des travaux,
car, même si le travail parent ne peut pas intercepté, tous ses travaux enfant
correspondant aux critères d’interception peuvent l’être. Dans ce cas, le travail
Tivoli Workload Scheduler reste à l’état EXEC jusqu’à ce que le travail enfant
intercepté ait été relancé et soit terminé.
Les journaux des travaux enfant sont ajoutés dans le fichier stdlist Tivoli
Workload Scheduler après le journal du travail parent.
Chapitre 22. Fonctions d’interception des travaux et fonctions parent-enfant 135
Chapitre 23. Support de la langue nationale
Grâce au nouveau schéma de fichiers de configuration comprenant des fichiers de
configuration locaux et globaux, vous pouvez configurer r3batch pour utiliser des
pages de codes et des langues différentes pour la sortie et la connexion avec un
système R/3 distant.
Cette fonction permet d’installer r3batch sur un poste de travail Tivoli Workload
Scheduler localisé et d’utiliser des caractères localisés pour les noms de travail
Tivoli Workload Scheduler, les flux de travaux et les variantes SAP.
Remarque : Tenez compte des configurations prises en charge et des limites de
cette fonction.
Options de support de la langue nationale
L’option TWSXA_CP affecte la page de codes utilisée pour établir la connexion entre
r3batch et le système R/3 cible. La valeur de l’option peut correspondre à l’une
des pages de codes R/3 installées sur le système R/3. La valeur par défaut
correspond à la page de codes SAP 1100 (similaire à la page de codes ISO8859-1
standard).
TWSXA_LANG affecte la langue utilisée par r3batch pour la connexion. Les valeurs
possibles sont les suivantes :
1. Anglais (par défaut, EN)
2. Allemand (GE)
3. Japonais (JA)
TWSMETH_CP représente la page de codes utilisée par r3batch pour la sortie. Cette
option avancée peut modifier la sortie et le fichier journal. La valeur par défaut
correspond à la page de codes utilisée par le poste de travail Tivoli Workload
Scheduler qui héberge r3batch. Il est recommandé d’utiliser cette option avec
précaution.
Remarque : Cela s’applique si vous utilisez le niveau 1.2 de Job Scheduling
Console. Le niveau 1.3 interagit avec r3batch via UTF-8, cette limite
n’est donc plus valable.
TWSMETH_LANG affecte la langue de catalogue utilisée par r3batch. Cette version
contient le catalogue de messages anglais. Par conséquent, cette option n’a pas
d’effet.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 137
Pages de codes R/3 prises en charge
Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 peut communiquer avec R/3
grâce aux pages de codes suivantes :
Tableau 20. Pages de codes R/3 prises en charge
Pages de codes R/3 Description
1100 8859-1 (par défaut)
1103 MS 850
8000 SJIS (Shift-Japanese Industrial Standard)
8300 BIG5 (chinois traditionnel)
8400 GBK (chinois simplifié)
Configurations prises en charge et limites
Les remarques suivantes s’appliquent si vous utilisez le niveau 1.2 de Job
Scheduling Console. Le niveau 1.3 interagit avec r3batch via UTF-8, cette limite
n’est donc plus valable.
Tivoli Workload Scheduler for Applications pour R3 doit être installé sur un poste
de travail utilisant une page de codes compatible avec l’un des systèmes R/3 cible.
Par exemple, si vous souhaitez utiliser un système R/3 japonais qui utilise la page
de codes SAP 8000, vous devez installer r3batch sur un poste de travail qui utilise
une page de codes japonaise comme SJIS ou MS932. Si vous souhaitez récupérer la
sortie r3batch avec Job Scheduling Console, vous devez exécuter Job Scheduling
Console sur un système qui utilise la même page de codes que le poste de travail
Tivoli Workload Scheduler sur lequel r3batch est installé. Si l’agent d’hébergement
utilise MS932, vous devez exécuter Job Scheduling Console sur un système
japonais utilisant cette page de codes.
138 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 24. Introduction
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour z/OS vous permet de
planifier et de contrôler des travaux OS/390 ou z/OS grâce aux fonctions de
planification évoluées de Tivoli Workload Scheduler.
Remarque : Dans tout le manuel, le terme z/OS est également utilisé pour faire
référence aux versions prises en charge d’OS/390. Reportez-vous à la
section sur la configuration logicielle requise.
Fonctions
v Utilisez Tivoli Workload Scheduler pour planifier l’exécution des travaux z/OS à
des heures spécifiques et dans un ordre défini.
v Définissez des dépendances entre des travaux Tivoli Workload Scheduler
exécutés sur des plateformes et des systèmes différents.
v Définissez des dépendances pour les travaux Tivoli Workload Scheduler en
fonction de l’exécution de travaux z/OS qui n’ont pas été lancés par Tivoli
Workload Scheduler.
v Définissez des dépendances pour les travaux Tivoli Workload Scheduler en
fonction de l’existence de fichiers sur un système z/OS.
Configuration logicielle requise
IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications nécessite la configuration logicielle
suivante :
Configuration logicielle requise Versions
IBM Tivoli Workload Scheduler 7.0 ou version ultérieure.
Système d’exploitation OS390 2.10 ou version ultérieure, ou z/OS.
TCP/IP L’une des versions suivantes : IBM 3.1 ou
version ultérieure ; Interlink 3.1 ou version
ultérieure ; Open Connect 2.3 ou version
ultérieure.
Interface de planification des travaux v JES2 ou JES3.
v Interface OPC : OPC 2.3.0 ou IBM Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS.
v Interface CA7 : toute version actuellement
prise en charge.
Présentation de l’installation
Le logiciel IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications pour z/OS comprend
la méthode d’accès z/OS qui doit résider sur l’hôte Tivoli Workload Scheduler et le
logiciel passerelle qui réside sur z/OS. Le logiciel passerelle peut être installé à
partir d’une cartouche de bande 3480 ou du CD-ROM d’IBM Tivoli Workload
Scheduler for Applications.
Avant d’installer la méthode d’accès, vérifiez que Tivoli Workload Scheduler est
correctement installé sur le poste de travail hôte.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 141
1. Le système qui hébergera la méthode d’accès pour z/OS, si la plateforme où
vous effectuez l’installation est l’une des suivantes :
v Compaq Tru64
v SGI Irix
v IBM Sequent Dynix
suivez les instructions de la section «Installation sur des plateformes de niveau
2».
Sinon, suivez les instructions du Chapitre 2, «Installation d’IBM Tivoli
Workload Scheduler for Applications», à la page 5.
2. Installez le logiciel passerelle sur z/OS.
3. Définissez les autorisations requises sur z/OS.
Installation sur des plateformes de niveau 2
Le logiciel de la méthode d’accès z/OS pour les plateformes de niveau 2 est fourni
sous la forme d’un fichier tar sur CD. Pour l’installer, procédez comme suit :
1. Arrêtez Tivoli Workload Scheduler sur le poste de travail où vous installez la
méthode.
2. Connectez-vous avec des droits racine et changez votre répertoire en
racine_tws/methods.
3. Montez le CD d’installation et restaurez le fichier tar avec la commande
suivante :
tar xvf dossier_cd/fichier_tar
où :
Paramètre tar Description
dossier_cd Chemin d’accès de votre unité de CD ou de votre dossier.
fichier_tar Fichier TAR en fonction de la plateforme cible. Il peut s’agir de
l’un des suivants :
v TWS4APPS_ZOSAGENT_DYNIX.TAR pour IBM Sequent
Dynix
v TWS4APPS_ZOSAGENT_IRIX.TAR pour SGI Irix
v TWS4APPS_ZOSAGENT_OSF.TAR pour Compaq True 64
4. Exécutez la commande suivante à partir du répertoire racine_tws/methods :
./mvsinstall.sh -user utilisateur_tws
Installation sous z/OS
Le module passerelle est fourni sur les deux supports suivants :
v Une cartouche de bande 3480 qui a été écrit au format non-IDRC (non condensé)
v Le CD-ROM d’IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications.
Les deux supports contiennent les deux fichiers suivants :
v La bibliothèque de chargement
v Les modèles des deux procédures
Il vous appartient de choisir le support de téléchargement des fichiers, les deux
supports étant identiques.
142 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Téléchargement des fichiers à partir du CD-ROM
Les fichiers passerelle sont stockés dans le répertoire ZOS du CD-ROM du produit
et sont nommés :
v LOADLIB
v SAMPLES
Pour décharger les fichiers sur votre système z/OS :
1. A partir de votre émulateur de session TSO, sélectionnez le shell de commande
ISPF (commande TSO) et utilisez l’utilitaire File Transfer (Send to Host) pour
transférer la bibliothèque LOADLIB et le membre SAMPLES du CD-ROM au
système z/OS, en définissant le transfert pour une longueur d’enregistrement
logique de 80 et un format d’enregistrement fixe.
2. Recevez les membres dans des fichiers de sortie à l’aide de l’option INDSN. 11
modules de chargement sont ainsi chargés dans la bibliothèque de sortie et 2
exemples dans l’exemple de bibliothèque.
Téléchargement des fichiers à partir de la bande
Modifiez et soumettez un JCL semblable au suivant pour télécharger la bande.
Personnalisez la carte de travail et modifiez les deux paramètres suivants en
fonction de vos normes d’environnement :
v Entrez un nom de travail approprié.
v Identifiez une unité de bande 3480.//MVSXAUNL JOB (876903,D07),’OPCL3’,MSGLEVEL=(1,1),
// MSGCLASS=A,CLASS=A,NOTIFY=&SYSUID
//**********************************************************************
//* *
//* THIS IS THE JOB THAT UNLOADS THE TIVOLI WORKLOAD SCHEDULER FOR *
//* APPLICATIONS z/OS Access Method Version 8.2.0 TO CUSTOMIZE *
//* *
//**********************************************************************
//STEP01 EXEC PGM=IEBCOPY
//SYSPRINT DD SYSOUT=*
//INDD DD DSN=TWSX.V8R2M0.SAMPLES,
// DISP=(OLD,PASS),UNIT=600,
// VOL=SER=IBM001,
// LABEL=(1,SL)
//OUTDD DD DSN=TWSX.V8R2M0.SAMPLES,
// DISP=(NEW,CATLG),
// SPACE=(32760,(2,2,10)),
// DCB=(RECFM=FB,LRECL=80,BLKSIZE=0),
// UNIT=3390,VOL=SER=OPC00C
//SYSUT3 DD UNIT=SYSDA,SPACE=(TRK,(20,1,10))
//SYSUT4 DD UNIT=SYSDA,SPACE=(TRK,(20,1,10))
//SYSIN DD *
COPY OUTDD=OUTDD,INDD=((INDD,R))
//STEP02 EXEC PGM=IEBCOPY
//SYSPRINT DD SYSOUT=*
//INDD DD DSN=TWSX.V8R2M0.SERVICE.APFLIB1,
// DISP=(OLD,PASS),UNIT=600,
// VOL=SER=IBM001,
// LABEL=(2,SL)
//OUTDD DD DSN=TWSX.V8R2M0.SERVICE.APFLIB1,
// DISP=(NEW,CATLG),
// SPACE=(32760,(50,50,50)),
// DCB=(RECFM=U,BLKSIZE=32760),
// UNIT=3390,VOL=SER=OPC00C
//SYSUT3 DD UNIT=SYSDA,SPACE=(TRK,(20,1,10))
//SYSUT4 DD UNIT=SYSDA,SPACE=(TRK,(20,1,10))
//SYSIN DD *
COPY OUTDD=OUTDD,INDD=((INDD,R))
//*
Chapitre 24. Introduction 143
Présentation de l’installation
Les deux composants du programme z/OS de la passerelle Tivoli Workload
Scheduler sont :
EEWTCP02
Ce programme permet à Tivoli Workload Scheduler d’assurer le suivi sur
le système z/OS. Il est démarré par le travail EEWSPACE.
EEWTCP00
Programme “passerelle” qui gère les communications TCP/IP entre Tivoli
Workload Scheduler et le système z/OS. Il est démarré par le travail
EEWSERVE. EEWTCP00 convertit les commandes Tivoli Workload
Scheduler dans leurs équivalents sur z/OS, réachemine les informations
z/OS vers Tivoli Workload Scheduler et effectue des conversions de
données EBCDIC-ASCII.
Les deux programmes sont exécutés comme des tâches démarrées avec un
paramètre TIME=NOLIMIT. EEWTCP02 est toujours démarré en premier, suivi par
EEWTCP00. Si les programmes doivent être interrompus pour une raison
quelconque, ils doivent être arrêtés, et non annulés, pour garantir un arrêt sans
incident et sans incidence sur les autres programmes utilisant la sortie IEFU84.
Définition des autorisations sous z/OS
Après avoir installé le produit sous z/OS, autorisez la bibliothèque de chargement.
Pour ce faire, procédez comme suit :
1. Exécutez la commande SETPROG dans le journal. Par exemple :
SETPROG APF,ADD,DSN=twsx.SERVICE.APFLIB1,
VOL=xxxxxx
, où : xxxxxxx est le numéro de série du volume où se trouve la bibliothèque
de chargement, ou :
SETPROG APF,ADD,DSN=twsx.SERVICE.APFLIB1,VOL=SMS
qui indique un volume sous le contrôle de SMS.
2. Mettez à jour le membre PROGxx de SYS1.PARMLIB, sinon l’autorisation sera
perdue lors de la prochaine procédure de chargement initial.
3. Ajoutez EEWTCP00 à la section AUTCHCMD NAMES de
SYS1.PARMLIB(IKJTSOxx).
Remarques supplémentaires
Les sections fournissent des informations supplémentaires pour le fonctionnement
de l’agent étendu.
Sortie IEFU84
L’agent étendu de z/OS effectue le suivi des flux de travaux à l’aide de la sortie
IEFU84. Cette sortie doit être activée dans le membre paramètre SMF de
SYS1.PARMLIB. IBM distribue avec le système d’exploitation une sortie IEFU84 qui
est un programme IEFBR14. Le travail EEWSPACE (traité plus tard) se relie de
manière dynamique à la sortie IEFU84. Si la sortie IEFU84 est en cours
d’utilisation, EEWSPACE la “devance”, obtient les informations nécessaires et se
connecte aux sorties utilisateur existantes. Lorsque l’exécution du travail
EEWSPACE est terminée, il se retire de la chaîne et la restaure dans son état initial.
Il est important de remarquer qu’EEWSPACE n’a aucun effet sur les sorties IEFU84
existantes, lesquelles continuent à fonctionner normalement.
144 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Sécurité
La sécurité est assurée dans plusieurs domaines, généralement RACF, Top Secret,
ACF2, etc. Le travail EEWSERVE (traité plus tard) doit pouvoir soumettre des
travaux exécutés sous les ID utilisateur fournis dans le JCL à soumettre. Le JCL ne
doit pas contenir de mot de passe. Pour autoriser les mots de passe, vous pouvez
utiliser les ressources de classe SURROGAT dans RACF, ainsi que les équivalents
dans ACF2 et Top Secret. Les ressources de classe PROPCNTL dans RACF doivent
être utilisées pour empêcher l’exécution des travaux soumis sous l’ID utilisateur
EEWSERVE. Les équivalents ACF2 et Top Secret doivent également être utilisés. La
classe de ressources JESJOBS dans RACF et ses équivalents ACF2 ou Top Secret
permettent de déterminer quels sont les noms de travaux et les ID utilisateur (avec
ou sans mot de passe) qui peuvent être soumis par EEWSERVE.
Tivoli Workload Scheduler ne prend pas en charge l’utilisation de la sécurité CA-7.
Sécurité de la console
Le travail EEWSERVE (traité plus tard) est entièrement propriétaire de la console
lors de l’affichage du flux de travaux et de l’envoi de commandes à CA-7. Il doit
être autorisé à utiliser une console étendue. Contactez votre administrateur de
sécurité pour vous en assurer. Notez que CA-7 doit être configuré pour permettre à
des utilisateurs d’émettre des commandes modify via les consoles principales ou
étendues. OPERCMDS doit être modifié pour permettre cette fonctionnalité, si ce
n’est déjà fait. Reportez-vous également à la section «Variables SYSTSIN» pour
plus d’informations sur l’indication d’un ID utilisateur d’autorité.
La sécurité externe (voir Sécurité ci-dessus) permet d’autoriser l’utilisateur CA-7
indiqué pour EEWSERVE, car Workload Scheduler ne prend pas en charge
l’utilisation d’un mot de passe avec le nom d’utilisateur.
Démarrage
Exécutez les étapes suivantes :
1. Personnalisez et lancez la procédure EEWSPACE (en suivant les instructions
commentées incluses) pour démarrer l’agent étendu Gateway Data Space. Le
travail doit être une tâche démarrée et ne doit pas être annulé. Reportez-vous à
la section «Variables SYSTSIN»pour une description des paramètres.
EEWSPACE crée l’espace mémoire et installe la sortie IEFU84. Pour terminer le
travail, utilisez la commande STOP EEWSPACE à partir de n’importe quelle
console z/OS.
Remarques :
a. EEWSPACE doit être en fonctionnement avant le démarrage d’EEWSERVE.
b. Arrêtez EEWSERVE avant d’arrêter EEWSPACE.2. Personnalisez et lancez la procédure EEWSERVE en suivant les instructions
commentées incluses. Reportez-vous à la section «Variables SYSTSIN» pour une
description des paramètres.
3. Pour terminer le travail, utilisez la commande STOP EEWSERVE à partir de
n’importe quelle console z/OS.
Variables SYSTSIN
Les variables SYSTSIN sont décrites ci-dessous. Vous pouvez modifier les
paramètres en fonction de la configuration de votre site. Les paramètres par défaut
sont indiqués entre parenthèses.
Chapitre 24. Introduction 145
Tableau 21. Variables SYSTSIN
Variable Description
CA7INTERFACE(CONSOLE) CONSOLE, seule interface prise en
charge pour CA-7, est la valeur par
défaut de cette variable.
Attribuez-lui la valeur Non pour ne
pas utiliser cette interface.
CA7NAME(CA7ONL) Nom de l’espace adresse de la
région de contrôle CA-7. Ignoré si
CA-7 n’est pas utilisé.
CA7OPTIONS(X’32’) Options de l’édition CA-7. La
valeur par défaut est déterminée
par l’entrée du tableau des vecteurs
du sous-système CA-7 et ne doit
pas être modifiée sauf sur
indication du personnel de
maintenance d’IBM.
CA7SPAN(9999) Cette variable s’applique
uniquement à l’interface CA7. Le
nombre représente l’intervalle
minimal (en heures et minutes)
au-delà duquel il est possible de
lancer le même travail à partir de
Tivoli Workload Scheduler sans
indiquer de valeur différente pour
SCHID. La valeur par défaut est
définie volontairement sur 9999,
valeur incorrecte, de façon à
pouvoir distinguer les cas où la
variable n’est pas utilisée. Le cas
échéant, elle doit être indiquée au
format HHMM. Par exemple :
v CA7SPAN(0010) signifie 10
minutes.
v CA7SPAN(0130) signifie 1 heure
30 minutes.
Pour plus d’informations,
reportez-vous à la section «Autres
conseils pour CA-7» à la page 161.
Intervalle minimal en minutes
(quatre chiffres) au-delà duquel il
est possible de lancer le même
travail à partir de Tivoli Workload
Scheduler sans indiquer de valeur
différente pour SCHID. Ignorez
cette variable si vous attribuez à
CA7INTERFACE la valeur NO.
CA7SUBSYSTEM(UC07) Nom du sous-système CA-7.
CA7USER(CA7CNSL) ID utilisateur utilisé pour exécuter
des commandes CA-7. Il est ignoré
si CA-7 n’est pas utilisé.
146 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 21. Variables SYSTSIN (suite)
Variable Description
COMPLETIONCODE(LASTSTEP/MAXSTEP) Option de code d’achèvement de
travail à plusieurs étapes JES.
LASTSTEP, valeur par défaut,
indique que le code d’achèvement
d’un travail à plusieurs étapes JES
est déterminé par la dernière étape
exécutée du travail. MAXSTEP
indique que le code d’achèvement
est déterminé par le code
d’achèvement le plus élevé de
toutes les étapes exécutées du
travail. Cette variable détermine la
valeur par défaut des travaux dont
l’option n’est pas remplacée dans la
configuration Tivoli Workload
Scheduler.
DEBUG(NO) Si cette variable a la valeur YES, la
passerelle émet des messages de
diagnostic. Utilisée uniquement
avec le personnel de maintenance
IBM.
INTERLINKSUBSYSTEM(ACSS) Nom du sous-système utilisé par la
pile TCPIP Interlink. Ignoré si
Interlink n’est pas utilisé comme
pile TCPIP.
JESCMDCHR($) Caractère de reconnaissance de
commande de travail. La valeur par
défaut est le symbole du dollar ($)
pour les systèmes JES2 et un
astérisque (*) pour les systèmes
JES3. Cette variable doit être
modifiée uniquement si un
caractère de reconnaissance de
commande différent est utilisé.
MAXWAIT(500) Temps d’attente maximal d’une
réponse aux commandes en
centièmes de seconde. Ignorez cette
variable si vous attribuez à
CA7INTERFACE la valeur NO.
MCSSTORAGE(3) Quantité de mémoire, en
mégaoctets, utilisée par chaque
console étendue elle-même utilisée
par la passerelle. Ignorez cette
variable si vous attribuez à
CA7INTERFACE la valeur NO.
OPCINTERFACE(PIF) PIF, seule interface prise en charge
pour OPC ou Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS est la valeur
par défaut de cette variable.
Attribuez-lui la valeur NO pour ne
pas utiliser cette interface.
Chapitre 24. Introduction 147
Tableau 21. Variables SYSTSIN (suite)
Variable Description
OPCMSGCLASS(*) Classe de message pour les
journaux de messages alloués de
manière dynamique et utilisés par
OPC ou Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS. L’astérisque permet de
définir la classe de manière
identique à EEWSERVE. Ignoré si
OPC ou Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS n’est pas utilisé.
OPCSUBSYSTEM(OPCS) Nom de sous-système utilisé pour
les communications avec la région
de contrôle OPC ou Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS.
PEERADDRESS(0 0 0 0) La valeur par défaut, 0 0 0 0,
permet l’accès par n’importe quel
hôte. Pour une meilleure sécurité,
entrez l’adresse IP de l’hôte
Workload Scheduler de z/OS
x-agent. Remarque : N’incluez pas
le ″.″ (point) entre les 0 dans votre
code. Les points apparaissent à
l’affichage !
PORT(5000) Numéro de port TCP utilisé par
Tivoli Workload Scheduler et la
passerelle pour les communications.
Il doit être identique à la valeur
entrée dans la zone Adresse TCP de
la définition du poste de travail
z/OS x-agent.
PUTLINE(YES) Lorsque cette variable a la valeur
YES, les informations de trace sont
acheminées dans DDNAME
SYSTSPRT.
QLIMIT(2000) Nombre maximal de messages à
mettre en file d’attente dans une
console étendue.
SUBSYS(UNIS) Préfixe utilisé par l’agent étendu de
z/OS sous la forme des quatre
premiers caractères des noms de
console étendus. Il est également
utilisé sous la forme des quatre
premiers caractères du programme
de lecture interne DDNAMES. Ne
le modifiez que sur instruction du
personnel de maintenance IBM.
SVCDUMP(NO) Lorsque cette variable a la valeur
YES, les fins anormales entraînent
un vidage SVC. Utilisée
uniquement avec le personnel de
maintenance IBM.
TCPIPSTACK(IBM) Fournisseur de pile TCPIP (IBM,
INTERLINK ou OPENCONNECT).
148 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 21. Variables SYSTSIN (suite)
Variable Description
TCPNAME(TCPIP) Nom de l’espace adresse TCPIP
lorsque la version IBM de la pile
TCPIP est utilisée.
TERMINATOR(X’25’) Caractère de résiliation de
transaction. Ne modifiez pas la
valeur par défaut, sauf sur
instruction du personnel de
maintenance IBM.
WTP(NO) Lorsque cette variable a la valeur
YES, les informations de trace sont
acheminées dans SYSLOG sous la
forme d’informations WTP. Cela
peut s’avérer utile si SYSTSPRT ne
répond pas à vos besoins.
Lorsque vous utilisez CA-7,
PUTLINE(YES) et WTP(NO) sont
nécessaires en cas de présence de la
variable DEBUG(YES).
ZOSV1R2(NO) Définie sur la valeur YES si vous
utilisez l’interface JES3 avec z/OS
V1R2 ou une version ultérieure. Ce
paramètre est ignoré si vous
n’utilisez pas l’interface JES3 , car :
v Si vous utilisez l’interface JES2, le
niveau du système d’exploitation
n’a aucune incidence sur le
produit.
v Si vous utilisez les interfaces
CA7 ou Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS, la prise en
charge de z/OS V1R2 ou version
ultérieure est assurée si l’édition
du ou des sous-systèmes
correspondants le permet.
Version de la passerelle z/OS
La version d’EEWSERVE (et EEWSPACE) apparaît dans la première ligne du
journal EEWSERVE (et EEWSPACE). Par exemple :
EEWTCP10 VERSION RELEASE MODIFICATION LEVEL = VxRyMz
, où VxRyMz contient la version, l’édition et les niveaux de modification.
Chapitre 24. Introduction 149
Chapitre 25. Configuration et fonctionnement
Tivoli Workload Scheduler lance les travaux sur un agent étendu pour poste de
travail fonctionnant sous z/OS. L’agent étendu pour z/OS est défini dans une
définition de poste travail Tivoli Workload Scheduler standard, laquelle lui attribue
un nom et identifie la méthode d’accès à utiliser. L’agent étendu pour poste de
travail z/OS est une définition de poste de travail liée à une instance du système
z/OS.
Pour lancer un travail sur un agent étendu pour poste de travail z/OS, Tivoli
Workload Scheduler exécute la méthode d’accès et transmet les informations
relatives au travail. La méthode d’accès communique avec l’instance de l’hôte
z/OS et contrôle le travail jusqu’à la fin, en écrivant les informations sur la
progression et l’état du travail dans le fichier de liste standard du travail.
Ce chapitre explique comment :
v Créer un fichier d’options pour sélectionner des options pour une méthode
v Définir un agent étendu pour un travail z/OS
v Planifier un agent étendu pour un travail z/OS.
Reportez-vous au Chapitre 4, «Définition des postes de travail d’agent étendu», à
la page 31 pour savoir comment définir un poste de travail agent étendu dans
Tivoli Workload Scheduler.
Fichiers d’options de méthode
Sur toutes les plateformes prises en charge, sauf Compaq Tru64, SGI Irix, et IBM
Sequent Dynix, utilisez l’éditeur d’option pour créer les fichiers d’options
nécessaires. Pour plus de détails, reportez-vous à la section Chapitre 3, «Définition
des options à l’aide de l’Editeur d’options», à la page 27.
Fichiers d’options de méthodes sur les plateformes de niveau
2
Sur Compaq Tru64, SGI Irix et IBM Sequent Dynix, créez un fichier d’options pour
sélectionner les options d’une méthode. Le fichier doit présenter le même nom de
chemin que la méthode, avec l’extension opts. Par exemple, créez les fichiers
suivants sous UNIX (en supposant que le répertoire principal Tivoli Workload
Scheduler est /usr/lib/tws) :
/usr/lib/tws/methods/mvsca7.opts
/usr/lib/tws/methods/mvsjes.opts
/usr/lib/tws/methods/mvsopc.opts
Sinon, créez les fichiers suivants sous Windows (en supposant que Tivoli Workload
Scheduler est installé dans le chemin C:\WIN32APP\tws) :
c:\win32app\tws\methods\mvsca7.opts
c:\win32app\tws\methods\mvsjes.opts
c:\win32app\tws\methods\mvsopc.opts
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 151
Pour mvsca7, mvsjes et mvsopc, les entrées du fichier d’options sont :
Entrées du fichier d’options Description
LJuser=nom Attribue le nom d’utilisateur dont se sert la méthode
d’accès pour lancer des travaux. Il doit s’agir d’un
utilisateur UNIX ou Windows qui soumet les travaux
locaux et peut se connecter à la passerelle z/OS de
Tivoli Workload Scheduler sur le système z/OS. La
valeur par défaut est le paramètre de connexion dans
la définition de travail.
CFuser=nom (Obligatoire) Attribue le nom d’utilisateur dont se
sert la méthode d’accès pour vérifier les dépendances
de fichier. Peut être identique à LJuser.
GSuser=nom (Facultatif) Attribue le nom d’utilisateur dont se sert
la méthode d’accès pour vérifier les travaux non
lancés par Tivoli Workload Scheduler sur z/OS et qui
servent de dépendances. La valeur par défaut est
root.
CheckInterval=min (Facultatif) Définit la vitesse d’interrogation en
minutes, permettant de vérifier l’état des travaux
z/OS lancés par la méthode. Les valeurs à virgule
sont admises, par exemple, 0,5 pour 30 secondes ou
1,5 pour une minute et 30 secondes. La valeur par
défaut est 2.
Lors de la vérification de travaux non lancés par
Tivoli Workload Scheduler sur z/OS et utilisés
comme dépendances, la méthode utilise l’option
locale de Tivoli Workload Scheduler bm check status
au lieu de CheckInterval pour déterminer la vitesse
d’interrogation.
BlockTime=min (Facultatif) Définit le temps en minutes pendant
lequel la méthode attend une réponse à une
vérification d’état avant d’expirer. Cette valeur doit
être inférieure à la valeur de CheckInterval (décrite
ci-dessus) et à l’option locale de Tivoli Workload
Scheduler bm check status. Les valeurs à virgule sont
admises, par exemple, 0,5 pour 30 secondes ou 1,5
pour une minute et 30 secondes. La valeur par défaut
est 2.
RetryCount=nombre (Facultatif) Définit le nombre de tentatives de
vérification d’état avant que Tivoli Workload
Scheduler écrive un message de dépassement de
délai dans le fichier stdlist d’un travail et l’inscrive à
l’état abend. Pour plus d’informations, reportez-vous
à CheckInterval et BlockTime ci-dessus. La valeur
par défaut est 10.
Définition de travaux dans z/OS
Dans z/OS, les travaux planifiés avec Tivoli Workload Scheduler sont définis
comme prescrits pour JES, CA-7 et OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
152 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Définition de travaux z/OS dans Tivoli Workload Scheduler
Des définitions de travaux Tivoli Workload Scheduler sont requises pour chaque
travail z/OS que vous envisagez de planifier et de lancer avec Tivoli Workload
Scheduler. Ils sont définis comme les autres travaux Tivoli Workload Scheduler et
comprennent un nom de travail, un nom d’utilisateur, des options de nom de
script spécial et des options de récupération facultatives.
Pour plus de détails, reportez-vous à la section Chapitre 5, «Définition des travaux
d’agent étendu», à la page 37.
Syntaxe de définition de tâche pour les travaux z/OS planifiés
avec Tivoli Workload Scheduler
Voici des descriptions de la syntaxe de définition de tâche (ligne de commande
“scriptname”) pour les travaux z/OS que Tivoli Workload Scheduler planifie et
lance via les postes de travail d’agent étendu à l’aide des méthodes mvsjes
(travaux JES2/3), mvsca7 (travaux CA-7) ou mvsopc (travaux OPC ou IBM Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS).
Vous devez spécifier ces paramètres de chaîne de tâche aux emplacements suivants
lorsque vous définissez les travaux Tivoli Workload Scheduler qui leur sont
associés :
v Dans la zone Commande de la page Tâche de la fenêtre Propriétés - Définition
du travail, si vous utilisez Job Scheduling Console
v En tant qu’arguments du mot clé scriptname dans l’instruction de définition du
travail, si vous utilisez la ligne de commande Tivoli Workload Scheduler
v En tant qu’arguments du mot clé JOBCMD dans l’instruction JOBREC du fichier
SCRIPTLIB de Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, si vous procédez à une
planification dans un environnement de bout en bout
Pour les travaux JES :
La syntaxe est la suivante :
jeu_données [<|= code_cond]
où :
jeu_données
Nom du jeu de données JES ou du jeu de données partitionné.
code_cond
Code de condition qui indique l’aboutissement d’un travail. S’il est précédé
du signe <, le code de condition doit être inférieur ou égal à cette valeur.
S’il est précédé du signe =, le code de condition doit être égal à cette
valeur. S’il est omis, “= 0000” est utilisé. Notez que l’opérateur (< ou =)
doit être précédé et suivi d’un espace.
Exemple :
gold.apayable.cntl(apayjob1) = 0004
Pour les travaux CA-7 :
La syntaxe est la suivante :
nom_travail [SCHID(nnn)] [CC(nnnn) ] [...]
[RO(EQ|LT|GT|GE|LE|NE|#S|IG|NO) ]
[SET(SKP|NTR|NDB) ]
Chapitre 25. Configuration et fonctionnement 153
où :
nom_travail
Nom du travail dans CA-7.
SCHID
ID d’agenda (nombre compris entre 1 et 255) à affecter au travail.
CC Code de condition utilisé avec RO et indiquant l’aboutissement d’un
travail.
RO Opérateur relationnel pour le code de condition CC.
SET Définit des options de travail permettant d’ignorer la prochaine exécution
planifiée (SKP), de désactiver le déclenchement normal du travail (NTR) ou
d’ignorer le chargement de la base de données lors de l’exécution (NDB).
Pour avoir des descriptions complètes des paramètres, reportez-vous à votre guide
de commandes CA-7.
Exemple :
ARCVJOB SCHID(203) CC(0001) RO(EQ) SET(NDB)
Pour les travaux OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS :
La syntaxe est la suivante :
appl [IA(aammjjhhmm)|IATIME(hhmm) ] [...]
[DEADLINE(aammjjhhmm)|DEADLINETIME(hhmm) ]
[PRIORITY(pri) ]
[CPDEPR(Y|N|P|S) ]
où :
appl Nom de l’application OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS à
insérer dans le plan actuel.
IA Date et heure d’arrivée de l’entrée au format : aammjjhhmm .
IATIME
Heure d’arrivée de l’entrée au format : hhmm.
DEADLINE
Date et heure d’arrivée du délai au format : aammjjhhmm.
DEADLINETIME
Heure d’arrivée du délai au format : hhmm.
PRIORITY
Priorité (1-9) d’exécution de l’application.
CPDEPR
Sélection de la résolution de dépendance du plan actuel.
Y Ajouter toutes les dépendances successeurs et prédécesseurs.
N Ne pas ajouter de dépendances. (Valeur par défaut.)
P Ajouter des dépendances prédécesseurs.
S Ajouter des dépendances successeurs.
Pour avoir une description complète des paramètres, reportez-vous à votre
documentation OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
Exemple :
154 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
PREFABJOB44 IA(0202181000) PRIORITY(5) CPDEPR(Y)
Syntaxe de définition de tâche pour les travaux z/OS
Voici la description de la syntaxe de définition de tâche (ligne de commande
“scriptname”) pour les travaux z/OS qui n’ont pas été lancés par Tivoli Workload
Scheduler, mais dont l’exécution doit être contrôlée. L’exécution des travaux z/OS
peut être utilisée comme dépendance “follows” pour les travaux lancés par Tivoli
Workload Scheduler. Les travaux non Tivoli Workload Scheduler peuvent être JES,
CA-7, OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
La syntaxe de base est la suivante :
travail_tws follows agent_étendu::"travail_mvs"
où :
travail_tws
Nom du travail Tivoli Workload Scheduler qui dépend de la fin du travail
z/OS indiqué.
agent_étendu
Nom du poste de travail agent étendu Tivoli Workload Scheduler associé
avec le planificateur d’un travail z/OS — à savoir, agent défini avec la
méthode mvsjes, mvsca7 ou mvsopc. Notez que les deux signes
deux-points sont un délimiteur obligatoire.
travail_mvs
Identification du travail z/OS. Notez que cette chaîne doit être délimitée
par des guillemets. Reportez-vous aux descriptions de syntaxe ci-dessous.
Pour les travaux JES :
La syntaxe est la suivante :
"nom_travail[<|= code_cond]"
où :
nom_travail
Nom du travail dans JES.
code_cond
Code de condition qui indique l’aboutissement d’un travail. S’il est précédé
du signe <, le code de condition doit être inférieur ou égal à cette valeur.
S’il est précédé du signe =, le code de condition doit être égal à cette
valeur. S’il est omis, “= 0000” est utilisé. Notez que l’opérateur (< ou =)
doit être précédé et suivi d’un espace.
Exemple :
travail5 follows poste_travail_jes::"apayable = 0004"
Pour les travaux CA-7 :
La syntaxe est la suivante :
"nom_travail [SCHID(nnn) ] [...]"
[DATE(*|*aajjj)} ]
[SPAN( {* }) ]
{portée }
{date }
{(date_début,heure_début,portée) }
{(date_début,heure_début,portée) }
Chapitre 25. Configuration et fonctionnement 155
où :
nom_travail
Nom du travail dans CA-7.
SCHID
ID d’agenda (nombre compris entre 1 et 255) du travail.
DATE Date de journal spécifique à rechercher pour le travail.
SPAN Etendue des enregistrements de journal à rechercher pour le travail.
Pour obtenir une description complète des paramètres, reportez-vous à votre guide
de commandes CA-7. Par exemple :
travaila follows poste_travail::"arcvjob schid(203) span(12)"
Reportez-vous également à la section «Autres conseils pour CA-7» à la page 161
Pour les travaux OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS :
La syntaxe est la suivante :
"application[IA(aammjjhhmm)|IATIME(hhmm)][...]"
[JOBNAME(nom_travail) ]
[OPNO(num) ]
où :
application
Nom de l’application (flux de travaux) OPC or Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS du plan actuel.
IA Date et heure d’arrivée de l’entrée.
IATIME
Heure d’arrivée de l’entrée.
JOBNAME
Nom du travail z/OS.
OPNO
Numéro d’opération (1 à 255). S’il est inclus, l’application est considérée
comme terminée lorsqu’elle atteint ce nombre.
Pour obtenir une description complète des paramètres, reportez-vous à votre
documentation OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS. Par exemple
travaila follows poste_travail_opc::"PREFABJOB44 IA(0202181000) JOBNAME(PFJ3)"
Syntaxe des dépendances de fichier (OPENS) sur les fichiers
z/OS
Les travaux et les flux de travaux Tivoli Workload Scheduler peuvent utiliser les
fichiers z/OS comme dépendances. La syntaxe de base est la suivante :
travail_tws opens agent_étendu#"hlq1.hlq2.hlq3"
où :
travail_tws
Nom du travail Tivoli Workload Scheduler qui dépend du fichier z/OS
indiqué.
agentx Nom du poste de travail d’agent étendu Tivoli Workload Scheduler associé
156 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
au planificateur d’un travail z/OS — à savoir, agent défini avec la méthode
mvsjes, mvsca7 ou mvsopc. Notez que le signe # est un délimiteur
obligatoire.
hlq1.hlq2.hlq3
Identification du fichier z/OS en termes de qualifiant de haut niveau.
Notez que cette chaîne doit être délimitée par des guillemets.
Reportez-vous à la section «Vérification des fichiers sur z/OS» à la page 163 pour
plus d’informations.
Chapitre 25. Configuration et fonctionnement 157
Chapitre 26. Informations de référence
Présentation technique
Ce chapitre décrit les états des travaux pour un fonctionnement sous JES, CA-7,
OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS dans l’environnement Tivoli
Workload Scheduler.
Fonctionnement sous JES
Les informations ci-dessous s’appliquent au fonctionnement sous JES.
Lancement des travaux JES
Pour lancer et contrôler un travail JES, Tivoli Workload Scheduler transmet le nom
des données JCL ou l’ensemble de données cloisonné à exécuter à la passerelle
z/OS, qui, en retour, le soumet à JES. Les soumissions s’effectuent à l’aide de
programmes de lecture interne attribués de manière dynamique dans JES. La
passerelle attribue un programme de lecture interne au démarrage de chaque
tâche, puis lui soumet le travail.
Lors de la soumission d’un travail, le nom du travail et l’ID de travail JES sont
également entrés dans l’espace de table. Lorsqu’un enregistrement SMF contenant
des données de planification pertinentes est transmis via la sortie IEFU84, les
informations sur le code de condition et le travail sont rendues accessibles à Tivoli
Workload Scheduler. Or, dans la mesure où Workload Scheduler garde la trace du
nom du travail et de l’ID de travail JES, il est à même de rechercher la tâche
spécifique qu’il a soumise. (La passerelle utilise actuellement des enregistrements
SMF de type 30, ainsi que des sous-types 1,4 et 5.)
Tivoli Workload Scheduler vérifie à intervalles réguliers si les travaux soumis sont
actifs. Si un travail soumis par Tivoli Workload Scheduler n’est pas actif et
qu’aucune information n’est disponible à son sujet par la sortie IEFU84, ce travail
est marqué comme fin anormale sur les écrans de Tivoli Workload Scheduler. Cette
situation peut se produire si un travail échoue pour des raisons de sécurité ou de
problèmes de syntaxe JCL.
Etats des travaux pour JES : Le tableau suivant répertorie les états des travaux
JES relatifs à Tivoli Workload Scheduler.
Etat des travaux
de Tivoli
Workload
Scheduler Etat des travaux JES Commentaire
intro na Workload Scheduler démarre la méthode.
wait Queued
wait na Si cet état est maintenu pour ce travail, cela
peut être dû à une violation de la sécurité dans
z/OS. Vérifiez le travail dans le système z/OS.
exec En cours d’exécution Le travail est en cours d’exécution.
succ Terminé Le code de condition du travail répond aux
critères d’exécution dans la définition du travail
de Tivoli Workload Scheduler.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 159
Etat des travaux
de Tivoli
Workload
Scheduler Etat des travaux JES Commentaire
abend Terminé Le code de condition du travail ne remplit pas
les critères d’exécution dans la définition du
travail de Tivoli Workload Scheduler, ou bien
une fin anormale liée au système ou à
l’utilisateur s’est produite. Les codes de fin
anormale du système, en mode hexadécimal,
ont pour préfixe ″S″, tandis que les codes de fin
anormale pour les utilisateurs, en mode
décimal, ont pour préfixe ″U″. Les deux types
de code sont écrits dans le fichier stdlist du
travail.
extrn na Etat inconnu. Cet événement ne peut se
produire que lorsque la tâche vérifiée est
utilisée comme une dépendance.
Vérification des travaux JES : Pour vérifier un travail JES qui n’a pas été lancé
par Tivoli Workload Scheduler, le nom de ce travail est transmis à la passerelle par
Tivoli Workload Scheduler. Dans la mesure où Tivoli Workload Scheduler n’a pas
soumis le travail, l’ID de travail JES n’est pas disponible. La passerelle entre le
nom dans l’espace de table et attend que les informations sur la tâche apparaissent
dans les enregistrements SMF transmis via la sortie IEFU84.
Fonctionnement avec CA-7
Les informations ci-dessous s’appliquent au fonctionnement avec CA-7.
Lancement des travaux CA-7
Pour lancer et contrôler un travail CA-7, Tivoli Workload Scheduler transmet le
nom du travail, et accessoirement le schedID de CA-7, à exécuter sur la passerelle
z/OS. Au moment de la demande de soumission, la passerelle reçoit le numéro de
travail CA-7 utilisé pour assurer le suivi de toutes les activités à venir pour ce
travail. Il est important de noter que CA-7 doit lui-même être autorisé à accepter
les commandes provenant de la console pour que ce mécanisme puisse fonctionner.
Reportez-vous à la documentation sur CA-7 pour plus d’informations sur les
commandes de modification et de connexion.
Etats des travaux pour CA-7
Le tableau suivant liste les états des travaux CA-7 relatifs à Tivoli Workload
Scheduler.
Etat du travail
de Tivoli
Workload
Scheduler
Etat du travail de
CA-7 Commentaire
intro na Workload Scheduler démarre la méthode.
wait Request Queue ou
Ready Queue
L’état wait peut aussi indiquer que le travail a été
déplacé de la file d’attente Active à la file
d’attente Request suite à une fin anormale. Le
travail reste dans la file d’attente Request, avec
une invite de redémarrage, jusqu’à ce que
l’opérateur procède à son redémarrage ou à son
annulation.
160 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Etat du travail
de Tivoli
Workload
Scheduler
Etat du travail de
CA-7 Commentaire
exec Active Queue
succ Terminé Le code de condition du travail répond aux
critères d’exécution dans la définition du travail
de Tivoli Workload Scheduler.
abend na Le code de condition du travail ne remplit pas les
critères d’exécution dans la définition du travail
de Tivoli Workload Scheduler. Prenez également
connaissance des remarques ci-après.
extrn na Etat inconnu. Cet événement ne peut se produire
que lorsque la tâche recherchée est utilisée
comme une dépendance. Prenez également
connaissance des remarques ci-après.
Remarque : Si l’état abend ou extrn est maintenu pour ce travail, cela peut être dû
à une violation de la sécurité dans z/OS. Vérifiez le travail dans le
système z/OS.
Vérification des travaux CA-7
Pour vérifier un travail CA-7 qui n’a pas été lancé par Tivoli Workload Scheduler,
le nom de ce travail, et accessoirement le schedID de CA-7, est transmis à la
passerelle par Tivoli Workload Scheduler. Pour voir si le travail est actuellement en
cours de planification ou d’exécution par CA-7, la passerelle recherche les files
d’attente suivantes, dans cet ordre : Request Queue, Ready Queue et Active
Queue. Si le travail n’est pas trouvé, Tivoli Workload Scheduler procède à une
revérification à une vitesse définie par la valeur bm check status dans son fichier
d’options locales.
Autres conseils pour CA-7
v Lors de l’utilisation de CA-7, CA7USER doit aussi correspondre à un id UNIX
valide.
v La limitation qui, dans les versions précédentes du produit, obligeait les
utilisateurs à identifier les occurrences de manière unique lors de la définition
des travaux CA-7 dans Tivoli Workload Scheduler (c’est-à-dire en ajoutant les
opérandes SCHID et/ou SPAN) est désormais supprimée grâce au nouveau
paramètre d’initialisation CA7SPAN.
La logique relative à l’implémentation de CA7SPAN est la suivante : si SPAN est
spécifié dans la définition Tivoli Workload Scheduler d’un travail, alors
CA7SPAN est ignoré. Si SPAN n’est pas spécifié (ou ne peut pas être spécifié,
comme dans le cas des travaux lancés par Tivoli Workload Scheduler), alors
CA7SPAN est pris en considération et sa valeur est utilisée dans les
interrogations de type SPAN à CA7. Cela contourne la limitation selon laquelle
chaque occurrence doit être identifiée de manière unique tout en gardant la
possibilité de lancer le même travail à partir de Tivoli Workload Scheduler avec
le même opérateur SCHID, à la seule condition que l’intervalle entre 2
soumissions soit supérieur à la valeur spécifiée avec CA7SPAN.
Il est important de savoir que, si elle est spécifiée, la valeur de CA7SPAN sera
utilisée dans toutes les interrogations à CA7 (si elles concernent des travaux
démarrés par Tivoli Workload Scheduler ou si elles sont émises pour vérifier les
dépendances inter-réseau pour les travaux qui ne sont pas lancés par Tivoli
Chapitre 26. Informations de référence 161
Workload Scheduler) à l’exception des travaux pour lesquels SPAN est spécifié
dans leur définition Tivoli Workload Scheduler.
v Si vous exécutez des produits qui suppriment les messages de la console
(comme AFOPER), assurez-vous qu’ils ne suppriment pas les messages CA-7.
Fonctionnement avec l’interface OPC ou avec Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS
Les informations ci-dessous s’appliquent au fonctionnement avec l’interface OPC
ou avec Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
Lancement d’un travail OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour
z/OS
Pour Lancer et contrôler un travail OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS,
Tivoli Workload Scheduler transmet le nom de l’application et les autres
paramètres facultatifs à exécuter sur la passerelle z/OS. Si l’application existe dans
la base de données OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS, elle est insérée
dans le plan en cours. La date et l’heure d’arrivée entrés, l’échéance de la date et
l’heure d’arrivée, le niveau de priorité et les paramètres de résolution de
dépendance automatiques, le cas échéant, remplacent toutes valeurs spécifiées dans
OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
A une vitesse définie par la valeur CheckInterval du fichier d’options de la
méthode, Tivoli Workload Scheduler vérifie l’état de l’occurrence (application) dans
OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS.
Etats de fonctionnement d’OPC et de Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS
Le tableau suivant répertorie les différents états de fonctionnement d’OPC et de
Tivoli Workload Scheduler pour z/OS relatifs au programme Tivoli Workload
Scheduler.
Etat du travail Tivoli Workload
Scheduler
Etat du fonctionnement d’OPC ou de Tivoli
Workload Scheduler pour z/OS
wait suspendu
wait indéterminé
wait wait
wait prêt
exec lancé
succ terminé
abend interrompu
abend erreur
abend supprimé
abend non disponible
extrn non disponible
Etats des occurrences d’OPC et de Tivoli Workload Scheduler
pour z/OS
Le tableau suivant liste les états des occurrences de fonctionnement d’OPC et de
Tivoli Workload Scheduler pour z/OS relatifs au programme Tivoli Workload
Scheduler.
162 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Etat du flux de travaux de
Tivoli Workload Scheduler
Etat des occurrences d’OPC ou de Tivoli Workload
Scheduler pour z/OS
wait suspendu
wait indéterminé
exec lancé
succ terminé
abend erreur
abend supprimé
abend non disponible
extrn Etat ″non disponible″ inconnu. Ne peut se produire que lors
de la vérification d’un travail utilisé comme une dépendance.
Prenez également connaissance des remarques ci-après.
Vérification de travaux OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour
z/OS
Pour vérifier un travail OPC ou Tivoli Workload Scheduler pour z/OS qui n’a pas
été lancé par Tivoli Workload Scheduler, le nom de l’application, et éventuellement
l’opération, est transmis à la passerelle. Cette vérification permet de voir si
l’occurrence ou l’opération se trouve dans le plan actuel. Si elle n’est pas trouvée,
Tivoli Workload Scheduler procède à une revérification à une vitesse définie par la
valeur bm check status dans son fichier d’options locales.
Vérification des fichiers sur z/OS
Un fichier peut être utilisé comme une dépendance d’un travail dans Tivoli
Workload Scheduler. Pour rechercher l’existence d’un fichier sur z/OS, Tivoli
Workload Scheduler transmet le nom de ce fichier à la passerelle. Le nom de
fichier se voit affecter la valeur DISP=OLD et est considéré comme existant si les
conditions ci-après sont remplies :
v Les données sont inscrites dans le fichier catalogue.
v Elles sont allouées.
v Elles ne sont pas utilisées par une autre tâche.
Si le fichier (ensemble des données) n’existe pas, Tivoli Workload Scheduler
continue à patienter et recherche le fichier à intervalles prédéfinis.
Notez que Tivoli Workload Scheduler ne peut utiliser que des noms de fichier
complets pour les fichiers non partitionnés. Si un nom de groupe de fichiers de
génération doit être utilisé, le nom complet doit être spécifié, par opposition au
nom relatif (par ex. xxxxx.xxxxx(-1) ne peut pas être utilisé).
Considérations de délais
Lors de la vérification de travaux z/OS qui n’ont pas été lancés par Tivoli
Workload Scheduler, certaines questions de délai sont essentielles pour garantir
que les dépendances de travaux associés sont correctement résolues. Ces questions
sont la conséquence de la conception par Tivoli Workload Scheduler d’une journée
de traitement. Des explications complètes se trouvent dans le manuel Tivoli
Workload Scheduler - Guide de référence. En bref, Tivoli Workload Scheduler régénère
la planification de sa production quotidiennement à une heure prédéfinie ; par
exemple, à 6h00 tous les matins. Pour maintenir une relation entre les travaux
exécutés sous z/OS et ceux exécutés sous Tivoli Workload Scheduler, une
synchronisation entre les deux environnements s’impose. Si, par exemple, un
Chapitre 26. Informations de référence 163
travail z/OS est démarré en dehors de Tivoli Workload Scheduler et qu’il se
termine avant le début de la journée de traitement de Tivoli Workload Scheduler, il
ne sera pas visible dans Tivoli Workload Scheduler et ne devra pas être utilisé dans
une dépendance de travail Tivoli Workload Scheduler. Tivoli Workload Scheduler
n’essaie pas de déterminer l’état des travaux qui se sont terminés avant le début
prédéfini de sa journée.
Si la synchronisation n’est pas prise en compte, telle qu’elle est expliquée ci-dessus,
Tivoli Workload Scheduler peut patienter indéfiniment pour résoudre une
dépendance de travail. Un problème similaire peut se produire suite à un échec de
communication entre les environnements z/OS et Tivoli Workload Scheduler,
empêchant Tivoli Workload Scheduler de déterminer l’état d’un travail z/OS pour
répondre à une de ses dépendances.
Informations relatives au diagnostic
Les travaux z/OS soumis par Tivoli Workload Scheduler peuvent ne pas se
terminer pour plusieurs raisons. Lors de l’exécution de la soumission, l’étape
correspondant à l’échec d’un travail détermine la quantité d’informations
disponible et fournie par Tivoli Workload Scheduler :
v Si un travail échoue avant d’avoir effectivement démarré (ce qui est
généralement le résultat d’un problème JCL ou de sécurité), Tivoli Workload
Scheduler reconnaît que ce travail n’existe plus et le marque comme terminé
anormalement dans les affichages du gestionnaire de console (Conman). Aucune
information supplémentaire n’est fournie.
v Si un travail échoue après avoir démarré, Tivoli Workload Scheduler :
1. Obtient son code de condition et son code de fin anormale par l’utilisateur, le
cas échéant
2. Les écrit dans le fichier de liste standard du travail
3. Marque le travail comme abend dans le gestionnaire de console (Conman)
ou dans les affichages de la Job Scheduling Console
Les listes standard de travaux peuvent être affichées dans le gestionnaire de
console (Conman) et à l’aide de Job Scheduling Console.
Messages de la passerelle
Des messages informatifs sont créés dynamiquement par le programme de
passerelle pour z/OS. En plus des informations relatives à la condition, ces
messages peuvent comprendre :
v Un horodatage au format aammjj hhmmss
v Un nom de module
v Un libellé au sein du module
v Le nom d’une macro
v Un code motif (registre 0)
v Un code retour (registre 15)
Les messages de passerelle z/OS sont répertoriés ci-dessous. Pour les noms de
module (module), voir ci-dessous.
EEWI01E yymmdd hhmmss module FAILED, MACRO macro NEAR LABEL label WITH RETURN
CODE = code & REASON CODE = code
EEWI02E yymmdd hhmmss module FAILED, MACRO macro NEAR LABEL label WITH RETURN
CODE = code & ERROR NUMBER = err
164 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
EEWI03I yymmdd hhmmss module ISSUED, MACRO macro NEAR LABEL label TO OBTAIN
SOCKET DESCRIPTOR = desc
EEWI04I yymmdd hhmmss module ISSUED, MACRO macro NEAR LABEL label
TO OBTAIN HOSTNAME = host
EEWI05I yymmdd hhmmss module TCPIP ADDRESS = ipaddress
EEWI06I yymmdd hhmmss module name = name
EEWI07I yymmdd hhmmss module ISSUED, MACRO macro NEAR LABEL label FOR num
CHARACTER MESSAGE = msg
EEWI08S yymmdd hhmmss module FAILED AT OFFSET offset
EEWI09E yymmdd hhmmss module FAILED, MACRO macro NEAR LABEL label WITH RETURN
CODE = code
EEWI10S yymmdd hhmmss module ABENDED WITH ASSOCIATED REASON CODE code
EEWI11I yymmdd hhmmss module CONSOLE name ACTIVATED WITH CONSOLE ID id
EEWI12I yymmdd hhmmss module SUBTASK name COMPLETED WITH COMPLETION CODE code
EEWI13I yymmdd hhmmss module CALL TO "name" NEAR LABEL label COMPLETED WITH
COMPLETION CODE code
EEWI14S yymmdd hhmmss module INVALID DATA SPACE FOUND NEAR LABEL label
EEWI15E yymmdd hhmmss module DATASET "dset" DDNAME "dd" FAILED TO OPEN
NEAR LABEL label
EEWI16I yymmdd hhmmss module SUBMITTED JOB "job" WITH JES IDENTIFICATION "id"
EEWI17I yymmdd hhmmss module PEERADDRESS = ipaddress
EEWI18E yymmdd hhmmss module INVALID TERMINATOR term
EEWI19E yymmdd hhmmss module NEAR LABEL label INVALID VALUE FOUND name = value
EEWI20E yymmdd hhmmss module NEAR LABEL label FAILED TO FIND ACTIVE SMF IEFU84
EXIT
EEWI21E yymmdd hhmmss errmsg
EEWI22I yymmdd hhmmss TASK task MODULE module ISSUED, MACRO macro NEAR
LABEL label TO CLOSE SOCKET DESCRIPTOR socket
EEWI24E yymmdd hhmmss module NEAR LABEL label
EEWI25I yymmdd hhmmss module NEAR LABEL label APPLICATION appl WAS INSERTED IN
CURRENT PLAN WITH INPUT ARRIVAL DATE AND TIME iadatetime
EEWI26I yymmdd hhmmss module NEAR LABEL label JOB jobname(jobid)
EEWI27I yymmdd hhmmss APPLICATION appl WAS INSERTED IN CURRENT
PLAN WITH INPUT ARRIVAL DATE AND TIME iadatetime
EEWI28W yymmdd hhmmss APPLICATION appl WAS NOT INSERTED IN
CURRENT PLAN WITH INPUT ARRIVAL DATE AND TIME iadatetime
EEWI29I yymmdd hhmmss TASK task MODULE module ISSUED, MACRO macro NEAR LABEL label
WITH RETURN CODE = code AND ERROR NUMBER = err
EEWI30S yymmdd hhmmss module CA7SPAN MUST BE 4 DIGITS IN FORMAT HHMM
Les noms de module sont :
Nom du module Description
EEWPRE84 Sortie SMF précédente
EEWTCP00 Routine de traitement principale
EEWTCP01 Véhicule des tests serveur
EEWTCP02 Routine principale pour la création de l’espace de données
EEWTCP05 Fait émettre le message d’échec par la routine ESTAE
EEWTCP07 Recherche le nom de l’ensemble de données associé à l’ACB/DCB
ouvert
Chapitre 26. Informations de référence 165
Nom du module Description
EEWTCP08 Recherche le nom de l’ensemble de données associé au nom de la
définition des données
EEWTCP10 Initialise et examine les variables
EEWTCP15 Localise et initialise les blocs de contrôle
EEWTCP20 Localise et initialise les blocs de contrôle
EEWTCP21 Véhicule des tests client
EEWTCP22 Véhicule des tests client
EEWTCP23 Véhicule des tests client
EEWTCP25 Serveur concurrent
EEWTCP26 Fournisseur Interlink de protocole TCP/IP pour serveurs
concurrents
EEWTCP27 Serveur concurrent pour la pile TCP/IP Openconnect
EEWTCP30 Tâche du serveur enfant
EEWTCP31 Tâche du serveur enfant pour la pile TCP/IP Interlink
EEWTCP32 Tâche du serveur enfant
EEWTCP84 Sortie de l’enregistrement SMF pour SMFEWTM
EEWTCP87 Interface OPC
EEWTCP88 Affichage de l’interface OPC
EEWTCP89 CA7 BTI
EEWTCP90 Emet la commande et attend la réponse
EEWTCP91 Emet la commande TERROR pour mettre en forme les messages
et émet la commande WTOS
EEWTCP92 Recherche une sous-chaîne au sein d’une chaîne
EEWTCP93 Emet la commande CA-7 et attend la réponse
EEWTCP94 Sortie de STIMER pour soumettre ECB via un paramètre
EEWTCP95 Appelle IKJEFF02 pour extraire la mémoire tampon à l’aide
d’EEWTCP99
EEWTCP96 La routine ESTAE émet un message d’échec
EEWTCP97 Appelle IKJEFF19 (DAIRFAIL/VSAMFAIL) pour émettre un
message
EEWTCP98 Appelle IKJEFF02 pour émettre un message à partir de
EEWTCP99
EEWTCP99 Tableau de messages
EEWTCPC7 Vérification du travail CA7
EEWTCPCA Vérification du gestionnaire de demandes d’applications
EEWTCPCF Vérification du gestionnaire de demandes de fichiers
EEWTCPCJ Vérification du gestionnaire de demandes de travaux
EEWTCPCO Vérification du gestionnaire de demandes d’opérations
EEWTCPCV Enumération des travaux
EEWTCPED Chiffrement/déchiffrement de la chaîne
EEWTCPEJ Gestionnaire de demande d’énumération de travaux
EEWTCPFJ Gestionnaire de demande de travaux gratuits
166 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Nom du module Description
EEWTCPIA Insertion d’une application
EEWTCPIE Initialisation d’une chaîne
EEWTCPKJ Gestionnaire de demande de suppression des travaux
EEWTCPKO Suppression de l’application OPC
EEWTCPL7 Lancement du gestionnaire de demande de travaux CA-7
EEWTCPLJ Lancement du gestionnaire de demande de travaux
EEWTCPLO Insertion de l’application OPC
EEWTCPQ7 Interrogation du gestionnaire de demande de travaux CA-7
EEWTCPQJ Interrogation du gestionnaire de demande de travaux
EEWTCPQO Interrogation de l’application OPC
EEWTCPQS Interrogation du gestionnaire de demande de sous-systèmes
EEWTCPRC Code retour
EEWTCPSC Fin anormale de l’opération du système
EEWTCPSE Chiffrement/déchiffrement de la chaîne
EEWTCPUC Fin anormale en raison de l’utilisateur
EEWTCPWT Attendre pendant le délai spécifié
EEWTCPXX Gestionnaire de demandes incorrect
Pour l’identification des incidents, faites en sorte d’obtenir le journal JES pour les
tâches EEWSPACE et EEWSERVE lancées. Cela vous aidera à déterminer le
contexte dans lequel un message a été émis. En fonction de l’interface de
planification des travaux que vous utilisez, vous pouvez obtenir d’autres
informations utiles à partir d’autres journaux. Par exemple, si vous utilisez CA-7,
vous devez obtenir les éléments suivants :
v Le journal CA-7
v Le journal de l’intervalle couvrant la période de test
v Le journal des travaux spécifiant le travail qui a provoqué l’erreur (le cas
échéant)
v Le fichier script UNIX relatif à ce travail
Chapitre 26. Informations de référence 167
Chapitre 27. Référence aux agents étendus
Ce chapitre décrit l’interface d’agent étendu et fournit des informations aux
programmeurs désireux de créer des méthodes d’accès personnalisées.
Que sont les agents étendus ?
Les agents étendus permettent d’étendre les fonctions de planification de travaux
de Tivoli Workload Scheduler vers d’autres systèmes et vers d’autres applications.
Un agent étendu est un poste de travail disposant d’un hôte et d’une méthode
d’accès. L’hôte peut correspondre à n’importe quel autre poste de travail à
l’exception d’un autre agent étendu. La méthode d’accès correspond à un script ou
à un programme fourni par l’utilisateur ou par IBM, qui est exécuté par l’hôte
chaque fois que l’agent étendu est référencé dans le plan de production. Par
exemple, pour lancer un travail sur un agent étendu, l’hôte exécute la méthode
d’accès en transmettant les informations relatives au travail sous la forme d’options
de ligne de commande. La méthode d’accès communique avec le système ou
l’application externe pour lancer le travail et renvoie le statut de ce travail.
Définition de poste de travail
Tous les agents étendus doivent présenter une définition de poste de travail
logique. Ce poste de travail logique doit être hébergé par un poste de travail
physique Tivoli Workload Scheduler : un poste de travail maître, un poste de
travail gestionnaire de domaine ou un poste de travail tolérant aux pannes. La
définition du poste de travail de l’agent étendu référence le nom de la méthode
d’accès ainsi que le nom du poste de travail de l’hôte. Lorsque des travaux sont
lancés sur le poste de travail de l’agent étendu, la méthode d’accès est appelée. Elle
transmet les informations relatives aux travaux au système externe.
Interface de méthode d’accès
L’interface entre Tivoli Workload Scheduler et une méthode d’accès est composée
des informations transmises à la méthode par la ligne de commande et des
messages renvoyés au planificateur dans stdout.
Syntaxe de la ligne de commande de la méthode
L’hôte du planificateur exécute une méthode d’accès à l’aide de la syntaxe de ligne
de commande suivante :
nomméthode -t tâche options -- chaînetâche
où :
nomméthode
Désigne le nom de fichier de la méthode d’accès. Toutes les méthodes
d’accès doivent figurer dans le répertoire : racine_TWS/methods
-t tâche
Désigne la tâche à effectuer, où tâche correspond à l’une des tâches
suivantes :
LJ Lance un travail.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 171
MJ Gère un travail lancé précédemment. Cette option permet de se
resynchroniser si une tâche LJ précédente s’est arrêtée de manière
inattendue.
CF Vérifie la disponibilité d’un fichier. Cette option permet de vérifier
les dépendances opens de fichier.
GS Obtient le statut d’un travail. Cette option permet de vérifier les
dépendances follows de fichier.
options Désigne les options associées à la tâche. Pour plus d’informations,
reportez-vous à la section «Options de tâche».
chaînetâche
Une chaîne comportant jusqu’à 255 caractères associée à la tâche.
Reportez-vous à la section «Options de tâche».
Options de tâche
Les options de tache sont répertoriées dans le tableau ci-après. Un X signifie que
l’option est admise pour la tâche.
Tâche Options
Chaîne de
la tâche
-t -c -n -p -r -s -d -l -o -j -q -w -S
LJ X X X X X X X X X X ljstring
MJ X X X X X X X X X mjstring
CF X X X X cfstring
GS X X X X X X gsstring
-c agentétendu,hôte,principal
Désigne les noms de planificateur de l’agent étendu, de l’hôte et du
gestionnaire de domaine principal, chacun étant séparé par une virgule.
-n nomnoeud
Désigne le nom de noeud de l’ordinateur associé à l’agent étendu, s’il
existe. Ce nom est défini dans la zone Noeud de la définition de poste de
travail de l’agent étendu.
-p numéroport
Désigne le numéro du port TCP associé à l’agent étendu, s’il existe. Ce
numéro est défini dans la zone Adresse TCP de la définition de poste de
travail de l’agent étendu.
-r exécutioncourante,exécutionspécifique
Désigne le numéro d’exécution en cours du planificateur et le numéro
d’exécution spécifique associé au travail, séparés par une virgule. Les
numéros d’exécution en cours et spécifiques peuvent être distincts si le
travail a été reporté depuis une exécution antécédente.
-s fluxtravaux
Désigne le nom du flux de travaux du travail.
-d dateplanification,période
Désigne la date de planification (aammjj) ainsi que la période équivalente,
séparée par une virgule.
-l utilisateur
Désigne le nom de l’utilisateur du travail. Ce nom est défini dans la zone
Connexion de la définition du travail.
172 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
-o listestd
Désigne le chemin d’accès complet du fichier de liste standard du travail.
Toute sortie émanant de ce travail doit figurer dans ce fichier.
-j nomtravail,id
Indique le nom du travail et l’identificateur unique affecté par le
planificateur, séparés par une virgule. Ce nom est défini dans la zone Nom
du travail de la définition du travail.
-q qualifiant
Désigne le qualifiant qui doit être utilisé dans une commande de test émise
par une méthode pour un fichier.
-w délai
Indique le temps, exprimé en secondes, pendant lequel le planificateur
attend une réponse sur un travail externe avant d’envoyer un signal
SIGTERM à la méthode d’accès. La valeur par défaut est 300.
-S nouveau nom
Indique que le travail est réexécuté à l’aide de ce nom, à la place du nom
de travail d’origine. Dans un script de travail, vous pouvez utiliser la
commande jobinfo pour revenir au nom du travail, puis exécuter le script
différemment pour chaque itération. Pour plus d’informations, consultez la
description de la commande conman rerun dans le manuel IBM Tivoli
Workload Scheduler - Guide de référence.
-- ljstring
Utilisé avec la tâche LJ. La chaîne provenant de la zone Fichier Script ou
la zone Commande de la définition du travail.
-- mjstring
Utilisé avec la tâche MJ. CDIl s’agit des informations fournies au
planificateur par la méthode dans une réponse %CJ à une tâche LJ.
Généralement, elles identifient le travail qui a été lancé. Par exemple, une
méthode Unix peut fournir l’ID processus (PID) pour le travail qu’elle a
lancé, qui est ensuite transmis par le planificateur comme faisant partie
d’une tâche MJ.
-- cfstring
Utilisé avec la tâche CF. Pour une dépendance opens de fichier, correspond
à la chaîne figurant dans la zone Opens Files de la définition du flux de
travaux.
-- gsstring
Utilisé avec la tâche GS. Désigne le travail dont le statut est vérifié. Le
format est le suivant :
followsjob[,idtravail]
où :
followsjob
Correspond à la chaîne figurant dans la liste Follows Sched/Job de
la définition de flux de travaux.
idtravail
Correspond à un identificateur de travail facultatif reçu par le
planificateur dans une réponse %CJ à une tâche GS précédente.
Chapitre 27. Référence aux agents étendus 173
Messages de réponse de méthode
Les méthodes renvoient des informations à Tivoli Workload Scheduler sous la
forme de messages écrits dans stdout. Toutes les lignes commençant par le
symbole de pourcentage (%) et finissant par une nouvelle ligne sont considérées
comme un message. Les messages présentent le format suivant :
%CJ statut [mjstring | idtravail]
%JS
[tempsuc]
%RC cr
%UT [messageerreur]
où :
CJ Change le statut du travail.
statut Le statut par lequel le travail est changé. Tous les statuts de
travaux du planificateur sont valides à l’exception de hold et
ready. Pour la tâche GS, les statuts suivants sont également
valides :
ERROR
Une erreur s’est produite.
EXTRN
Le statut est inconnu.
mjstring
Chaîne pouvant comporter jusqu’à 255 caractères, que le
planificateur inclut dans toute tâche MJ associée au travail.
Reportez-vous à la page 173.
idtravail
Chaîne pouvant comporter jusqu’à 64 caractères, que le
planificateur inclut dans toute tâche GS associée au travail.
Reportez-vous à la page 173.
JS [tempsuc]
Indique qu’un travail a abouti et fournit la durée de son exécution en
secondes.
RC cr cr est un nombre interprété par Tivoli Workload Scheduler comme code
retour du travail de l’agent étendu. Le code retour est pris en compte
uniquement si une condition de code retour a été définie dans la définition
du travail de l’agent étendu. Si ce n’est pas le cas, il est ignoré et
l’exécution du travail de l’agent étendu est indiquée par la présence du
message %JS [tempsuc]. Ainsi, si la méthode n’envoie pas le message %RC,
l’aboutissement du travail de l’agent étendu est indiqué par la présence du
message %JS [tempsuc].
UT [messageerreur]
Indique que la tâche requise n’est pas supportée par la méthode. Affiche
une chaîne pouvant comporter jusqu’à 255 caractères, que le planificateur
inclura dans son message d’erreur.
174 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Fichier d’options de méthode
Un fichier d’options de méthode vous permet de spécifier des informations
relatives à la connexion ainsi que d’autres options. Le planificateur lit le fichier, si
ce dernier existe, avant d’exécuter une méthode. Si ce fichier est modifié après le
démarrage du planificateur, les modifications ne prennent effet que lorsque celui-ci
a été arrêté puis relancé.
Ce fichier peut contenir des options du planificateur ainsi que toute autre
information relative à la méthode. Les options reconnues par le planificateur sont
les suivantes :
LJuser=nomutilisateur
CFuser=nomutilisateur
GSuser=nomutilisateur
GStimeout=secondes
où :
LJuser=utilisateur
Désigne la connexion à utiliser pour les tâches LJ et MJ. La valeur par
défaut correspond à la connexion figurant dans la définition du travail.
CFuser=nomutilisateur
Désigne la connexion à utiliser pour la tâche CF. La valeur par défaut est
root pour Unix ; pour Windows, il s’agit du nom utilisateur du compte sur
lequel le planificateur a été installé.
GSuser=nomutilisateur
Désigne la connexion à utiliser pour les tâches GS. La valeur par défaut est
root pour Unix ; pour Windows, il s’agit du nom utilisateur du compte sur
lequel le planificateur a été installé.
GStimeout=secondes
Indique le temps, exprimé en secondes, pendant lequel le planificateur
attend une réponse avant de supprimer la méthode d’accès. La valeur par
défaut est 300.
Remarque : Si l’hôte de l’agent étendu fonctionne sous Windows, l’utilisateur doit
être défini en tant qu’objet utilisateur du planificateur.
Le fichier d’options doit présenter le même nom de chemin que ses méthodes
d’accès, avec l’extension de fichier .opts. Par exemple, pour Windows, le nom du
chemin d’accès d’un fichier d’options pour une méthode intitulée netmth est :
v racine_TWS\methods\netmth.opts (global).
v racine_TWS\methods\<nom_unité_centrale>_netmth.opts (local).
Exécution de méthode
Les sections ci-après décrivent les échanges entre Tivoli Workload Scheduler et une
méthode d’accès.
Chapitre 27. Référence aux agents étendus 175
Tâche de lancement d’un travail (LJ)
La tâche LJ charge la méthode de l’agent étendu de lancer un travail sur une
application ou un système externe. Avant d’exécuter la méthode, Tivoli Workload
Scheduler crée un environnement d’exécution. Le paramètre LJuser, lu à partir du
fichier d’options de la méthode, indique avec quel compte utilisateur la méthode
doit être exécutée. Si ce paramètre ne figure pas dans le fichier d’options ou que le
fichier d’options n’existe pas, le compte utilisateur qui sera utilisé correspond à
celui défini dans la zone Connexion de la définition du travail. En outre, les
variables d’environnement suivantes sont définies :
HOME
Le répertoire principal de l’utilisateur de la connexion.
LOGNAME
Le nom de l’utilisateur de la connexion.
PATH Pour Unix, il est défini sur /bin:/usr/bin. Pour Windows, il est défini sur
%SYSTEM%\SYSTEM32.
TZ Le fuseau horaire.
Si la méthode ne peut pas être exécutée, le travail se voit affecter le statut fail.
Lorsqu’une méthode est en cours d’exécution, elle écrit des messages à son stdout
pour indiquer le statut du travail sur le système externe. Ces messages sont décrits
dans le tableau ci-après.
Tâche Réponse de la méthode Action Tivoli Workload Scheduler
LJ et MJ %CJ statut [mjstring] Affecte le statut state au travail. Inclut
mjstring dans toute tâche MJ ultérieure.
%JS [tempsuc] Affecte le statut succ au travail.
Code de sortie = différent de
zéro
Affecte le statut abend au travail.
%UT [messageerreur ] et code
de sortie = 2
Affecte le statut abend au travail et affiche
messageerreur.
Une séquence typique est constituée d’un ou de plusieurs messages %CJ indiquant
un changement dans l’état du travail, puis un message %JS avant que la méthode
n’existe indiquant que le travail a abouti. Si le travail n’aboutit pas, la méthode
doit exister sans écrire le message %JS. Une méthode qui ne supporte pas la tâche
LJ écrit un message %UTvers stdout et renvoie le code de sortie 2.
Tâche de gestion du travail (MJ)
La tâche MJ assure la synchronisation avec un travail précédemment lancé dans le
cas où le planificateur détermine que la tâche LJ s’est achevée de façon inattendue.
Le planificateur configure l’environnement de la même façon que pour la tâche LJ
et transmet mjstring. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section «Tâche de
lancement d’un travail (LJ)».
Si la méthode localise le travail indiqué, elle renvoie les mêmes messages qu’une
tâche LJ. Si la méthode ne parvient pas à localiser le travail, elle quitte l’application
avec un code de sortie différent de zéro ; le planificateur affecte alors le statut
abend au travail.
176 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Suppression d’un travail
Lors de l’exécution d’une tâche LJ ou MJ, la méthode doit capter un signal
SIGTERM (signal 15). Ce signal est envoyé lorsqu’un opérateur lance une
commande Kill via le gestionnaire de console du planificateur. A la réception du
signal, la méthode doit essayer de supprimer (kill) le travail et sortir sans qu’un
message %JS ne soit généré.
Tâche de vérification d’un fichier (CF)
La tâche CF charge la méthode de l’agent étendu de vérifier la disponibilité d’un
fichier sur le système externe. Avant d’exécuter la méthode, le planificateur crée un
environnement d’exécution. Le paramètre CFuser, lu à partir du fichier d’options
de la méthode, indique avec quel compte utilisateur la méthode doit être exécutée.
Si ce paramètre ne figure pas dans le fichier d’options ou si ce dernier n’existe pas,
l’utilisateur root est utilisé sous Unix ; sous Windows, le nom de l’utilisateur du
compte sur lequel le planificateur a été installé est utilisé. Si la méthode ne peut
pas être exécutée, la dépendance opens du fichier est marquée comme échouée,
c’est-à-dire que le statut du fichier est défini sur NO et qu’aucun flux de travaux
ou travail dépendant n’est autorisé à s’exécuter.
Lorsqu’elle est exécutée, la méthode exécute une commande test ou son équivalent
pour le fichier utilisant le qualifiant qui lui est transmis dans l’option de ligne de
commande -q. Si la valeur du fichier test est true, la méthode existe avec un code
de sortie 0. Si la valeur du fichier test est false, la méthode existe avec un code de
sortie différent de 0. Voir le tableau ci-dessous.
Tâche Réponse de la méthode Action Tivoli Workload Scheduler
CF Code de sortie = 0 Définit le statut du fichier à YES.
Code de sortie = différent de
zéro
Définit le statut du fichier à NO.
%UT [messageerreur ] et code
de sortie = 2
Définit le statut du fichier à NO.
Une méthode qui ne supporte pas la tâche CF écrit un message %UT vers stdout
et sort en renvoyant le code de sortie 2.
Tâche d’obtention d’un état (GS)
La tâche GS charge la méthode de l’agent étendu de vérifier le statut d’un travail.
Cette opération est nécessaire lorsque l’exécution d’un autre travail dépend du
succès de l’exécution d’un travail externe. Avant l’exécution de la méthode, le
paramètre GSuser est lu à partir du fichier d’options de la méthode pour
déterminer le compte utilisateur avec lequel la méthode doit être exécutée. Si ce
paramètre ne figure pas dans le fichier d’options ou si ce dernier n’existe pas,
l’utilisateur root est utilisé sous Unix ; sous Windows, le nom de l’utilisateur du
compte sur lequel le planificateur a été installé est utilisé. Si la méthode ne peut
pas être exécutée, le travail ou le flux de travaux dépendant ne peut pas être
exécuté. Si l’idtravail d’une précédente tâche GS est disponible, il est transmis à la
méthode.
La méthode vérifie le statut du travail indiqué et le renvoie dans un message %CJ
écrit vers stdout. Elle existe alors avec le code de sortie 0. A une fréquence définie
par l’option locale bm check status, la méthode est réexécutée avec une tâche GS
jusqu’à ce que l’un des statuts de travail suivant soit renvoyé :
abend Le travail s’est arrêté de manière anormale.
Chapitre 27. Référence aux agents étendus 177
succ Le travail a abouti.
cancl Le travail a été annulé.
done Le travail a été effectué sans savoir s’il a abouti ou s’il a échoué.
fail Le travail n’a pas pu être exécuté.
error Une erreur s’est produit dans la méthode lors de la vérification du statut
du travail.
extrn La vérification du travail a échoué ou le statut du travail n’a pas pu être
déterminé.
Notez que GStimeout dans le fichier d’options de la méthode indique le temps
pendant lequel le planificateur attend une réponse avant de supprimer la méthode.
Pour plus d’informations, reportez-vous à la section «Fichier d’options de
méthode» à la page 175.
Les réponses de méthode sont décrites dans le tableau ci-après.
Tâche Réponse de la méthode Action Tivoli Workload Scheduler
GS %CJ statut [idtravail] Définit le statut du travail à statut et inclut
idtravail dans toute tâche GS suivante.
%UT [messageerreur ] et code
de sortie = 2
Le statut du travail est inchangé.
Une méthode qui ne supporte pas la tâche GS écrit un message %UT à stdout et
sort avec le code de sortie 2.
La commande cpuinfo
La commande cpuinfo peut être utilisée dans une méthode d’accès pour renvoyer
des informations à partir d’une définition de poste de travail. Pour obtenir des
informations complètes sur la commande, consultez le manuel IBM Tivoli Workload
Scheduler - Guide de référence.
Identification et résolution des incidents
Les sections suivantes décrivent comment identifier et déboguer des problèmes
survenus au niveau d’agents étendus et de méthodes d’accès.
Messages d’erreur de la liste standard d’un travail
Tous les messages en sortie émanant d’une méthode d’accès, exceptés ceux
commençant par un symbole de pourcentage (%), sont écrits dans le fichier de la
liste standard (stdlist) du travail. Pour les tâches GS et CF qui ne sont pas
associées aux travaux du planificateur, les messages sont écrits dans le fichier de
liste standard du planificateur. Pour obtenir des informations relatives à tout
problème, reportez-vous à ces fichiers.
178 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Méthode non exécutable
Si une méthode d’accès ne peut pas être exécutée, les événements suivants se
produiront :
v Pour des tâches LJ et MJ, le travail se voit affecter le statut fail.
v Pour la tâche CF, la dépendance par rapport à un fichier n’est pas résolue et le
travail dépendant conserve le statut hold.
v Pour la tâche GS, la dépendance par rapport à un travail n’est pas résolue et le
travail dépendant conserve le statut hold.
Pour plus d’informations, consultez la liste des fichiers standard ( stdlist) pour le
travail et le planificateur.
Messages du gestionnaire de consoles
Le message d’erreur ci-après s’affiche si vous émettez une commande start, stop,
link ou unlink pour un agent étendu :
Error executing command: Not implemented for extended
agents. [2202.58]
Ce message d’erreur n’est pas affiché si des caractères génériques ont été utilisés
pour la sélection d’un agent étendu.
Messages du programme Composer et Compiler
Les messages d’erreur suivants sont générés lorsque le programme Composer
rencontre une syntaxe non valide dans une définition de poste de travail :
ACCESS METHOD is syntactically invalid [1116.45]
Duplicate ACCESS keyword [1116.46]
Missing or invalid ACCESS METHOD [1116.47]
Si un agent étendu est défini avec une méthode d’accès mais sans hôte, le message
suivant s’affiche :
"Method needs a Host CPU"
Messages de Jobman
Pour les agents étendus, les messages d’information, d’avertissement ou d’erreur
sont générés dans le fichier stdlist de Jobman.
Un travail dont le lancement a abouti génère le message suivant :
Launched job jobname for wkstation, #Jjobid for user username.
Un travail dont le lancement n’a pas abouti génère le message suivant :
Error launching jobname for wkstation: errortext
L’échec d’une tâche de vérification de fichier génère le message suivant :
Error invoking methodname for wkstation: errortext
L’échec d’une tâche de gestion de fichier génère le message suivant :
Error managing jobname for wkstation using methodname: errortext
Lorsqu’un méthode envoie un message à Jobman qui n’est pas reconnu, le message
suivant est généré :
Error: message invalid for jobname, #jjobnumber for
wkstation using methodname.
"first 64 characters of the offending message"
Chapitre 27. Référence aux agents étendus 179
Chapitre 28. Bibliothèque de mappage de code retour
La fonctionnalité de mappage du code retour fournit un moyen classique de
mapper les messages dans des valeurs de code retour. De plus, le mappage du
code retour peut être personnalisé par les utilisateurs. Cette fonctionnalité est
disponible pour les méthodes d’accès aux programmes suivants :
v Oracle eBusiness Suite
v Peoplesoft
v R/3
Cette fonctionnalité offre une meilleure stratégie de définition des règles de succès
et d’échec des travaux, ainsi qu’une meilleure flexibilité dans le contrôle des flux
d’exécution de travaux sur la base des résultats d’exécution. Le mappage du code
retour du travail offre les capacités suivantes :
v Les utilisateurs peuvent définir un état de résiliation du travail (avec succès ou
échec) basé sur une condition appliquée au code retour pour l’exécution du
programme ou du script du travail.
v Le code retour peut également être fourni au travail de reprise associé à la
définition de ce travail. Cela implique que le travail de reprise effectue des
traitements différents en fonction du code retour.
Fichier de mappage du code retour
Ce fichier vous permet de personnaliser vos propres codes retour en respectant
certaines conditions pouvant affecter un travail en cours d’exécution. Il est alors
possible de définir la condition du succès du travail à partir de laquelle Tivoli
Workload Scheduler peut évaluer si ce travail se termine avec succès ou si une
erreur est générée. Le code retour est envoyé à Tivoli Workload Scheduler sous la
forme d’un message %RC nnnn. Si ce message est reçu, l’état du travail est mis à
jour en conséquence.
Syntaxe
La syntaxe du fichier de mappage du code retour est la suivante :
[#] “modèle1” “modèle2”...“modèlen” = valeur RC
Paramètres
# Commentaire facultatif. Les lignes commençant par ce symbole (#) ne sont
pas utilisées pour le mappage.
modèlen
Chaînes de métacaractères délimitées par des guillemets doubles (“ et ”). Si
vous n’utilisez qu’une seule chaîne de métacaractères, vous pouvez omettre
les guillemets doubles. Si cette chaîne de métacaractères comprend un
symbole guillemet double, celui-ci doit être précédé d’une barre oblique
inversée (\). La chaîne peut contenir les caractères génériques et les
caractères spéciaux suivants :
L’astérisque (*)
Remplace plusieurs caractères.
Le point d’interrogation (?)
Remplace un seul caractère.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 181
La barre oblique inversée (\)
Caractère d’échappement.
Valeur RC
Valeur du code retour. Cette valeur est envoyée par la méthode au Tivoli
Workload Scheduler via un message %RC nnnn.
Exemples
Dans l’exemple ci-dessous d’un fichier de mappage de code retour, les numéros de
ligne en gras ne font pas partie du fichier ; ils sont indiqués à titre de référence :
1. # Il s’agit d’un fichier de mappage RC pour le journal des travaux.
2.
3. “Utilisateur * manquant ” = 102
4. “\*\*\*” = 103
5. “Utilisateur \
6. * \
7. “ manquant = 102
où :
v La ligne 1 est un commentaire, et, à ce titre, elle n’est pas utilisée pour le
mappage.
v La ligne 2 est vide et donc ignorée. Tous les blancs précédant ou suivant une
chaîne de métacaractères sont ignorés, de même que ceux situés entre le signe
égal et la valeur de code retour.
v La ligne 3 prend en compte tous les messages qui commencent par la chaîne
Utilisateur et qui se terminent par la chaîne manquant.
v La ligne 4 prend en compte tous les messages qui commencent par trois
astérisques (*) suivis par un caractère blanc. Lorsque vous utilisez l’astérisque
comme tel et non comme un caractère générique, vous devez le faire suivre
d’une barre oblique inversée.
v Les lignes 5 à 7 contiennent une chaîne s’étalant sur plusieurs lignes. Cette
chaîne prend en compte les mêmes messages que le format de la ligne 3.
Commentaires
Prenez connaissance des informations suivantes :
v L’ordre des lignes de chaînes est important car c’est la première ligne de chaîne
concordante qui sert à créer la valeur du code retour.
v Les chaînes de métacaractères vides (“”) sont ignorées par la procédure de mise
en correspondance des chaînes.
Par exemple, la séquence de modèles ci-dessous est correcte. La première ligne est
plus restrictive que la deuxième.
“625” “Utilisateur * manquant” = 104
“” “Utilisateur * manquant” = 102
La séquence de modèles suivante est syntaxiquement correcte ; toutefois, le
modèle présenté en deuxième ligne n’est jamais utilisé car la première ligne est
toujours mise en correspondance avant la deuxième.
“” “Utilisateur * manquant” = 102
“625” “Utilisateur * manquant” = 104
Mappage du code retour pour Psagent et MCMAGENT
Pour les méthodes d’accès de PeopleSoft et Oracle e-Business Suite, vous pouvez
écrire des fichiers de mappage de code retour qui associent les états internes
répertoriés dans le tableau 22 à la page 183 et dans le tableau 23 à la page 184.
182 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Si aucun fichier de mappage de code retour n’a été défini ou si une chaîne
retournée par la méthode d’accès ne répond à aucun des modèles de
correspondance du fichier de mappage, les méthodes utilisent les codes retour
standard respectifs répertoriés dans les mêmes tableaux.
Tableau 22. Etats des travaux et codes retour de la méthode d’accès de PeopleSoft
Etat du travail de Psoft Code retour de Psoft
″CANCEL″ 1
″DELETE″ 2
″ERROR″ 3
″HOLD″ 4
″QUEUED″ 5
″INITIATED″ 6
″PROCESSING″ 7
″CANCELLED″ 8
″SUCCESS″ 9
″NO SUCCESSPOSTED″ 10
″POSTED″ 11
″NOT POSTED″ 12
″RESEND″ 13
″POSTING″ 14
″GENERATED″ 15
Chapitre 28. Bibliothèque de mappage de code retour 183
Tableau 23. Etats des travaux et codes retour de la méthode d’accès d’Oracle e-Business
Suite.
Etat du travail MCMAGENT Code retour de MCMAGENT
″RUNNING″ 1
″PENDING″ 2
″COMPLETE″ 3
″INACTIVE″ 4
″NORMAL″ 5
″TERMINATING″ 6
″PAUSED″ 7
″RESUMING″ 8
″STANDBY″ 9
″SCHEDULED″ 10
″WAITING″ 11
″WARNING″ 13
″ERROR″ 14
″TERMINATED″ 15
″DELETED″ 16
″ON HOLD″ 17
″DISABLED″ 18
″NO MANAGER″ 19
″SUSPENDED″ 20
″TEST FAILURE″ 21
″NOT FOUND″ 22
184 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Exemples : L’agent étendu d’Oracle e-Business Suite retourne la chaîne
TERMINATED. Le code retour qui en résulte devrait être le suivant, en fonction des
conditions énoncées :
v Il n’existe pas de fichier de mappage de code retour. Dans ce cas, la méthode
envoie la valeur de code retour 15, comme indiqué dans le tableau 23 à la page
184.
v Il existe un fichier de mappage de code ; il s’agit de :
"NORMAL"=0
"TERMINATED","DELETED"=1
Dans ce cas, la méthode recherche le modèle correspondant et envoie la valeur
de code retour 1.
v Le fichier de mappage du code retour est
"NORMAL"=0
"ERROR","DELETED"=1
Dans ce cas, la méthode ne recherche pas le modèle correspondant ; elle envoie
la valeur de code retour 15, comme indiqué dans le tableau 23 à la page 184.
Chapitre 28. Bibliothèque de mappage de code retour 185
Noms de fichier de mappage de code retour
Chaque méthode possède son propre ensemble de fichiers destiné à mapper les
messages en valeurs de codes retour. Les fichiers de mappage peuvent être locaux
ou communs pour un poste de travail.
Les fichiers de mappage des codes retour spécifiques à un poste de travail sont
nommés selon le schéma suivant :
<racine_TWS>/methods/rcm/<nom_méthode>-<type>-<postetravail>.rcm
Le nom des fichiers communs de mappage doit suivre le schéma suivant :
<racine_TWS>/methods/rcm/<nom_méthode>-<type>.rcm
Pour les méthodes d’accès de PeopleSoft et d’Oracle e-Business, le type est toujours
égal à rcmap. Pour la méthode d’accès à R/3, le type correspond à la description
faite dans la section ci-après.
Noms de fichier de mappage de code retour pour r3batch
La méthode de R3 utilise les fichiers communs de mappage de code retour
suivants :
<racine_TWS>/rcm/methods/r3batch-joblog.rcm
Permet de mapper les messages issus du journal des travaux d’un travail
R3 en valeurs de code retour. Si ce fichier est absent, les messages du
journal des travaux sont ignorés.
<racine_TWS>/rcm/methods/r3batch-pchainlog.rcm
Permet de mapper les messages issus du protocole d’une chaîne de
traitement en valeurs de code retour. Si ce fichier est absent, les messages
de ce protocole sont ignorés.
<racine_TWS>/rcm/methods/r3batch-spool.rcm
Permet de mapper les messages dans la liste de spoule d’un travail SAP en
valeurs de code retour. Si ce fichier est absent, les messages de la liste de
spoule sont ignorés.
<racine_TWS>/rcm/methods/r3batch-syslog.rcm
Permet de mapper les messages dans le syslog d’un système SAP en
valeurs de code retour. Si ce fichier est absent, les messages du syslog sont
ignorés.
<racine_TWS>/rcm/methods/r3batch-msgrc.rcm
Permet de mapper les exceptions ABAP / codes retour BAPI des modules
de la fonction d’appel de fonction distante en valeurs de code retour. Si ce
fichier est absent, le mappage s’effectue à l’aide d’une table définie dans le
code.
186 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 29. Configuration de l’utilitaire de trace
Toutes les méthodes d’accès offrent la possibilité de configurer les options de la
fonction de trace. Vous pouvez ainsi modifier certaines propriétés de traçage dans
le fichier de configuration <nom_méthode_accès>.properties situé dans le
sous-répertoire methods de racine_TWS.
Vous pouvez configurer les propriétés de trace suivantes :
v Niveau de traçage (MIN, MID, MAX),
v Emplacement du fichier de trace (en termes de chemin absolu).
L’exemple suivant représente un fichier de configuration pour la méthode
d’accès R/3, ayant pour nom r3batch.properties. Les mots-clés commentés dans
cette section sont mis en évidence par souci de lisibilité :
r3batch.organization=IBM
r3batch.product=TWS4APPS
r3batch.component=R3BATCH
r3batch.trace.tracers.level=DEBUG_MIN
r3batch.trace.tracers.listenerNames=r3batch.trace.handlers.traceFile
r3batch.trace.handlers.traceFile.fileDir=home/maestro/methods
r3batch.trace.handlers.traceFile.appending=true
r3batch.trace.handlers.traceFile.formatterName=r3batch.trace.formatter
Grâce au mot clé level, le mécanisme de traçage prend en charge trois niveaux de
trace :
DEBUG_MIN
Seules les erreurs fatales sont répertoriées. Il s’agit de l’option par défaut.
DEBUG_MID
Les messages d’information et les avertissements sont également
répertoriés.
DEBUG_MAX
Un résultat plus explicite en termes de débogage est affiché.
Les paramètres du fichier de propriétés affectent toutes les exécutions de la
méthode d’accès correspondante. Pour définir un paramètre de trace différent dans
le cadre d’un travail particulier, ajoutez l’option suivante dans la définition du
travail :
-tracelvl=(1|2|3)
où :
v 1 = DEBUG_MIN
v 2 = DEBUG_MID
v 3 = DEBUG_MAX
Dans le cas de la méthode d’accès R/3 (et uniquement dans ce cas), vous pouvez
cocher la case Débogage dans la fenêtre Propriétés - Définition du travail de Job
Scheduling Console pour définir le niveau de trace sur DEBUG_MAX pour un travail
spécifique. Notez que la case Trace active la trace RFC SAP.
Les traces sont écrites au format XML. Par défaut, les fichiers de trace sont stockés
dans le répertoire methods. Pour modifier ce chemin, vous pouvez utiliser le mot
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 187
clé fileDir. Vérifiez que le nouveau chemin indiqué a déjà été créé en tant que
chemin absolu, avec des droits en écriture. Utilisez toujours des barres obliques (ou
des barres obliques inversées) lorsque vous spécifiez un nouveau chemin, même si
vous êtes sous Windows.
Les fichiers de trace donnent des informations sur l’exécution de la méthode au
niveau de détails désiré. Le niveau de trace minimum est toujours actif, de manière
à garantir un outil de diagnostic de premier niveau (FFDC).
La valeur de la clé appending détermine si un nouveau fichier de trace est ajouté à
l’ancien fichier (true) ou le remplace ( false). La valeur true est recommandée
dans tous les cas. En particulier, elle ne doit pas être modifiée en false lors de
l’exécution de travaux, étant donné que cela entraînerait la perte des traces.
188 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 30. Identification et résolution des incidents
Le présent chapitre répertorie les incidents que vous pouvez rencontrer lorsque
vous installez ou utilisez Tivoli Workload Scheduler for Applications ou les
méthodes d’accès.
Tableau 24. Identification des incidents
Zone Incidents
Installation :
Reconnaissance
des instances
Tivoli Workload
Scheduler
Incident : Si vous êtes sous Unix et avez plusieurs installations de Tivoli Workload Scheduler,
version 7.0 ou 8.1, qui n’ont pas été correctement installées dans un répertoire de base
/home/utilisateur_TWS, le programme d’installation affiche alors, au hasard, une seule de ces
instances et l’appelle <unknown>.
Solution : Pour chacune de ces instances, créez un répertoire de base désignant le répertoire
d’installation courant de Tivoli Workload Scheduler. Procédez de la manière suivante :
1. Sur root, créez un répertoire /home/utilisateur_TWS qui désigne le répertoire dans lequel le
produit est installé.
2. Dans le fichier /usr/unison/components, ajoutez l’entrée /home/utilisateur_TWS qui
désigne l’entrée de cette instance spécifique.
Installation :
Installation de
psagent
Incident : Lors de l’installation de la méthode d’accès de la fonction PeopleSoft, le message
instantané suivant peut s’afficher :
Impossible de trouver le nombre ordinal 6654 dans la bibliothèque DLL MFC42u.dll
Ce message apparaît si une ancienne version de MFC42u.dll a été trouvée dans le répertoire
système de Windows.
Solution : Pour résoudre l’incident, vous devez remplacer la bibliothèque DLL MFC42u.dll par
une version plus récente. Pour récupérer une version plus récente, consultez le répertoire de
base PeopleSoft.
r3batch :
Planification de
travaux R/3
Incident : Lorsque vous créez un travail SAP, le message suivant apparaît si vous tentez
d’afficher les détails d’une variante ABAP :
AWSO0101E
Sous-programme ABAP manquant.
J_101_REPORT_ALL_SELECTIONS Veuillez installer la dernière version du sous-programme
ABAP pour Maestro !!
Solution : Cet incident est causé par une erreur du module de fonction SAP. SAP décrit cet
incident et les solutions possibles dans les notes SAP 0351293 et 0116354.
Environnement
mixte : Messages
des journaux de
travaux de
psagent et
zosagent
Si votre environnement de planification comprend Tivoli Workload Scheduler version 8.1 et
Tivoli Workload Scheduler for Applications version 8.2, les messages des journaux de travaux
des méthodes d’accès pour z/OS et PeopleSoft affichent des préfixes doubles :
v AWSxxxx EEWIaaaa <texte de message> for zosagent
v AWSxxxx EEWNaaaa <texte de message> for psagent
Environnement
mixte : Codes
retour des travaux
d’agent étendu
Si votre environnement de planification comprend Tivoli Workload Scheduler version 8.2 et
Tivoli Workload Scheduler for Applications version 8.1.1, l’élément affiché comme code retour
d’un travail d’agent étendu soumis (via Job Scheduling Console ou conman) correspond en
réalité au code de sortie du travail. Il ne doit pas être interprété comme le code retour.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 189
Identification des incidents lors de l’installation de la méthode d’accès
PeopleSoft
Pour installer cette méthode d’accès, vous devez définir l’environnement
PeopleSoft comme répertoire dépendant de votre version de PeopleSoft. Certains
fichiers exécutables de méthode d’accès sont installés ici. Le tableau suivant
présente les répertoires et les fichiers que vous devez consulter si vous identifiez
des incidents dans votre installation.
Tableau 25. Chemins de l’environnement PeopleSoft.
Version de
PeopleSoft
Nom de répertoire Fichiers à rechercher
7.x <RACINE_PS>\cblbin
où <RACINE_PS> représente le répertoire de base
du serveur de fichiers PeopleSoft. Il est accessible
en local ou à distance à partir du poste de travail
exécutant la méthode d’accès.
TVPUPSFT.exe
cblrtss.dll
8.1x <REP_API_EXT>\bin\client\winx86_extapi
où <REP_API_EXT> représente le répertoire dans
lequel les API externes PeopleSoft sont installées.
TVPUPSFT.exe
pspiadapter.dll
8.4x <RACINE_PS>\\bin\client\winx86
où <RACINE_PS> représente le répertoire de base
du serveur de fichiers PeopleSoft. Il est accessible
en local ou à distance à partir du poste de travail
exécutant la méthode d’accès.
TVPUPSFT.exe
pspiadapter.dll
190 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Chapitre 31. Fichiers installés
Ce chapitre fournit la liste des fichiers que vous devez trouver sur votre système à
l’issue de l’installation de Tivoli Workload Scheduler for Applications. Les
informations sont classées par plateforme et fonction. Cette liste n’inclut pas les
fichiers installés pour le support Java, autres que ceux requis pour la
désinstallation du produit.
Le tableau ci-après répertorie les fichiers installés sous Windows.
Tableau 26. Fichiers installés sous Windows.
Fonction Fichiers
Méthode d’accès PeopleSoft racine_TWS\catalog\C\peoplesoft.cat
racine_TWS\methods\PeopleSoft\PTCUDCOP.bl
racine_TWS\methods\PeopleSoft\TVPUPSFT700.dms
racine_TWS\methods\PeopleSoft\TVPUPSFT750.dms
racine_TWS\methods\defs\psagent.def
racine_TWS\methods\enigma.exe
racine_TWS\methods\msvcrt.dll
racine_TWS\methods\oslayer.dll
racine_TWS\methods\psagent.exe
racine_TWS\methods\psagent.opts
racine_TWS\methods\psagent.properties
Pour PeopleTools 7.0x et Merant NetExpress 2 :PSHOME70CBL2\cblbin\TVPUPSFT.exe
PSHOME70CBL2\cblbin\TVPUPSFT.gnt
Pour PeopleTools 7.0x et Merant NetExpress 3 :PSHOME70CBL3\cblbin\TVPUPSFT.exe
PSHOME70CBL3\cblbin\TVPUPSFT.gnt
PeopleTools 7.0x et MF COBOL Workbench 4.x :PSHOME70CWB4\cblbin\TVPUPSFT.exe
PSHOME70CWB4\cblbin\TVPUPSFT.gnt
Pour PeopleTools 7.5x et Merant NetExpress 2 :PSHOME75CBL2\cblbin\TVPUPSFT.exe
PSHOME75CBL2\cblbin\TVPUPSFT.gnt
Pour PeopleTools 7.5x et Merant NetExpress 3 :PSHOME75CBL3\cblbin\TVPUPSFT.exe
PSHOME75CBL3\cblbin\TVPUPSFT.gnt
Pour PeopleTools 8.1x :PSHOME81X\bin\client\winx86_extapi\TVPUPSFT.exe
Pour PeopleTools 8.4x :PSHOME84X\bin\client\winx86\TVPUPSFT.exe
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 191
Tableau 26. Fichiers installés sous Windows. (suite)
Fonction Fichiers
Méthode d’accès R/3 racine_TWS\methods\K000443.TV1
racine_TWS\methods\R000443.TV1
racine_TWS\methods\r3batch.exe
racine_TWS\methods\r3batch.opts
racine_TWS\methods\r3batch.properties
racine_TWS\methods\r3batch_cp.map
racine_TWS\methods\librfc32.dll
racine_TWS\methods\enigma.exe
racine_TWS\methods\msvcrt.dll
racine_TWS\methods\msvbvm60.dll
racine_TWS\methods\msvcp60.dll
racine_TWS\methods\defs\r3batch.def
racine_TWS\catalog\C\r3batch.cat
Méthode d’accès z/OS racine_TWS\methods\mvsca7.exe
racine_TWS\methods\mvsca7.opts
racine_TWS\methods\mvsca7.properties
racine_TWS\methods\mvsjes.exe
racine_TWS\methods\mvsjes.opts
racine_TWS\methods\mvsjes.properties
racine_TWS\methods\mvsopc.exe
racine_TWS\methods\mvsopc.opts
racine_TWS\methods\mvsopc.properties
racine_TWS\methods\oslayer.dll
racine_TWS\methods\defs\mvsca7.def
racine_TWS\methods\defs\mvsjes.def
racine_TWS\methods\defs\mvsopc.def
racine_TWS\methods\msvcrt.dll
racine_TWS\catalog\C\mvs.cat
Installation commune racine_TWS\methods\opted\jakarta-oro-2.0.6.jar
racine_TWS\methods\opted\opted.bat
racine_TWS\methods\opted\tws4apps.jar
racine_TWS\methods\opted\tws4appsbeans.jar
racine_TWS\methods\opted\uil.jar
racine_TWS\methods\opted\xercesImpl.jar
racine_TWS\methods\opted\xmlParserAPIs.jar
racine_TWS\methods\opted.exe
Désinstallation racine_TWS\methods\_xauninst\uninstall.dat
racine_TWS\methods\_xauninst\uninstall.jar
racine_TWS\methods\_xauninst\uninstaller.exe
Le tableau ci-après répertorie les fichiers installés sous Unix (plateformes de
niveau 1).
192 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Tableau 27. Fichiers installés sous Unix (plateformes de niveau 1).
Fonction Fichiers
Méthode d’accès Oracle
e-Business Suite
racine_TWS/catalog/C/mcm.cat
racine_TWS/methods/MCMAGENT.opts
racine_TWS/methods/MCMAGENT.properties
racine_TWS/methods/OracleTMP/MCMAGENT
racine_TWS/methods/OracleTMP/MCMLJ.o
racine_TWS/methods/OracleTMP/MCMSTAT.o
racine_TWS/methods/OracleTMP/MCMTJ.o
racine_TWS/methods/OracleTMP/MCMprod.txt
racine_TWS/methods/OracleTMP/libusr.a
racine_TWS/methods/OracleTMP/mcm.mk
racine_TWS/methods/OracleTMP/mcminstall
racine_TWS/methods/OracleTMP/mcmoptions
racine_TWS/methods/defs/MCMAGENT.def
racine_TWS/methods/enigma
Méthode d’accès R/3 racine_TWS/catalog/C/r3batch.cat
racine_TWS/methods/K000443.TV1
racine_TWS/methods/R000443.TV1
racine_TWS/methods/defs/r3batch.def
racine_TWS/methods/enigma
racine_TWS/methods/r3batch
racine_TWS/methods/r3batch.opts
racine_TWS/methods/r3batch.properties
racine_TWS/methods/r3batch_cp.map
Méthode d’accès z/OS racine_TWS/catalog/C/mvs.cat
racine_TWS/methods/defs/mvsca7.def
racine_TWS/methods/defs/mvsjes.def
racine_TWS/methods/defs/mvsopc.def
racine_TWS/methods/mvsca7
racine_TWS/methods/mvsca7.opts
racine_TWS/methods/mvsca7.properties
racine_TWS/methods/mvsjes
racine_TWS/methods/mvsjes.opts
racine_TWS/methods/mvsjes.properties
racine_TWS/methods/mvsopc
racine_TWS/methods/mvsopc.opts
racine_TWS/methods/mvsopc.properties
Installation commune racine_TWS/methods/opted.bin
racine_TWS/methods/opted/jakarta-oro-2.0.6.jar
racine_TWS/methods/opted/opted.sh
racine_TWS/methods/opted/tws4apps.jar
racine_TWS/methods/opted/tws4appsbeans.jar
racine_TWS/methods/opted/uil.jar
racine_TWS/methods/opted/xercesImpl.jar
racine_TWS/methods/opted/xmlParserAPIs.jar
Désinstallation racine_TWS/methods/_xauninst/uninstall.dat
racine_TWS/methods/_xauninst/uninstall.jar
racine_TWS/methods/_xauninst/uninstaller
Chapitre 31. Fichiers installés 193
Remarques
Le présent document peut contenir des informations ou des références concernant
certains produits, logiciels ou services IBM non annoncés dans ce pays. Pour plus
de détails, référez-vous aux documents d’annonce disponibles dans votre pays, ou
adressez-vous à votre partenaire commercial IBM. Toute référence à un produit,
logiciel ou service IBM n’implique pas que seul ce produit, logiciel ou service
puisse être utilisé. Tout autre élément fonctionnellement équivalent peut être
utilisé, s’il n’enfreint aucun droit d’IBM. Il est de la responsabilité de l’utilisateur
d’évaluer et de vérifier lui-même les installations et applications réalisées avec des
produits, logiciels ou services non expressément référencés par IBM.
IBM peut détenir des brevets ou des demandes de brevet couvrant les produits
mentionnés dans le présent document. La remise de ce document ne vous donne
aucun droit de licence sur ces brevets ou demandes de brevet. Si vous désirez
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3600 Steeles Avenue East
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caractères double octet peuvent être obtenues par écrit à l’adresse suivante :
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dans lequel il serait contraire aux lois locales :
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jour périodiquement. Chaque nouvelle édition inclut les mises à jour. IBM peut
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aucune obligation de sa part, tout ou partie des informations qui lui seront
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données entre des logiciels créés de façon indépendante et d’autres logiciels (dont
celui-ci), et (ii) l’utilisation mutuelle des données ainsi échangées, doivent adresser
leur demande à :
IBM Corporation
2Z4A/101
11400 Burnet Road
Austin, TX 78758 U.S.A.
Ces informations peuvent être soumises à des conditions particulières, prévoyant
notamment le paiement d’une redevance.
Le logiciel sous licence décrit dans ce document et tous les éléments sous licence
disponibles s’y rapportant sont fournis par IBM conformément aux dispositions de
l’ICA, des Conditions internationales d’utilisation des logiciels IBM ou de tout
autre accord équivalent.
Les données de performance indiquées dans ce document ont été déterminées dans
un environnement contrôlé. Par conséquent, les résultats peuvent varier de manière
significative selon l’environnement d’exploitation utilisé. Certaines mesures
évaluées sur des systèmes en cours de développement ne sont pas garanties sur
tous les systèmes disponibles. En outre, elles peuvent résulter d’extrapolations. Les
résultats peuvent donc varier. Il incombe aux utilisateurs de ce document de
vérifier si ces données sont applicables à leur environnement d’exploitation.
Les informations concernant des produits non IBM ont été obtenues auprès des
fournisseurs de ces produits, par l’intermédiaire d’annonces publiques ou via
d’autres sources disponibles. IBM n’a pas testé ces produits et ne peut confirmer
l’exactitude de leurs performances ni leur compatibilité. Elle ne peut recevoir
aucune réclamation concernant des produits non IBM. Toute question concernant
les performances de produits non IBM doit être adressée aux fournisseurs de ces
produits.
Le présent document peut contenir des exemples de données et de rapports utilisés
couramment dans l’environnement professionnel. Ces exemples mentionnent des
198 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
noms fictifs de personnes, de sociétés, de marques ou de produits à des fins
illustratives ou explicatives uniquement. Toute ressemblance avec des noms de
personnes, de sociétés ou des données réelles serait purement fortuite.
Si vous visualisez ces informations en ligne, il se peut que les photographies et
illustrations en couleur n’apparaissent pas à l’écran.
Marques
IBM, le logo IBM, Tivoli, AIX, AS/400, Dynix, MVS/ESA, OS/390, RACF, RS/6000,
Sequent, z/OS et zSeries sont des marques d’International Business Machines
Corporation aux Etats-Unis et/ou dans certains autres pays.
Microsoft et Windows NT sont des marques de Microsoft Corporation aux
Etats-Unis et/ou dans certains autres pays.
UNIX est une marque enregistrée de The Open Group aux Etats-Unis et/ou dans
certains autres pays.
Java et toutes les marques et logos incluant Java sont des marques de Sun
Microsystems, Inc. aux Etats-Unis et/ou dans certains autres pays.
D’autres sociétés sont propriétaires des autres marques, noms de produits ou logos
qui pourraient apparaître dans ce document.
Remarques 199
Glossaire
A
agent étendu : Les agents étendus sont utilisés pour
intégrer les fonctions de contrôle des travaux de Tivoli
Workload Scheduler à d’autres systèmes d’exploitation
(par exemple MVS) et à d’autres applications (comme
Oracle, Peoplesoft et R/3). Ils utilisent des scripts
appelés méthodes d’accès pour communiquer avec des
systèmes externes.
agent réseau : Type d’agent étendu servant à créer des
dépendances entre les travaux et les flux de travaux de
différents réseaux Tivoli Workload Scheduler. Voir aussi
“dépendances inter-réseaux (INET)”.
agent tolérant aux pannes : Dans le réseau Tivoli
Workload Scheduler, poste de travail capable de
résoudre des dépendances locales et de lancer ses
travaux en l’absence d’un gestionnaire de domaine.
B
base de données : La base de données contient toutes
les définitions que vous avez créées pour les objets de
planification tels que les travaux, les flux de travaux,
les ressources, les postes de travail, etc. La base de
données contient également d’autres informations
importantes, telles que les statistiques sur l’exécution
des travaux et des flux de travaux, l’ID de l’utilisateur
qui a créé un objet et la dernière date de modification
d’un objet. En revanche, le plan contient uniquement
les travaux et les flux de travaux planifiés à des fins
d’exécution pour la production du jour, ainsi que les
objets qui en dépendent.
base de données étendue : Les bases de données
étendues acceptent les noms longs pour les objets de
base de données, tels que les travaux, les flux de
travaux, les postes de travail, les domaines et les
utilisateurs. Les bases de données étendues sont
configurées à l’aide de la commande dbexpand ou sous
forme d’option lors de l’installation. Ne développez pas
votre base de données avant de comprendre les
implications et les incidences de cette commande.
batchman : Processus exécuté au début de chaque jour
de traitement de Tivoli Workload Scheduler pour lancer
des travaux conformément aux informations du fichier
Symphony.
C
calendrier : Objet défini dans la base de données
Tivoli Workload Scheduler comprenant une liste de
dates de planification. S’agissant d’un objet unique
défini dans la base de données, il peut être affecté à de
multiples flux de travaux. L’affectation d’un calendrier
à un flux de travaux permet l’exécution de ce dernier
aux dates indiquées dans le calendrier. Notez qu’un
calendrier peut être utilisé comme cycle d’exécution
inclusif ou exclusif.
caractères génériques : Les caractères génériques
acceptés par Tivoli Workload Scheduler sont les
suivants : ? Remplace un caractère alphabétique. %
Remplace un caractère numérique. * Remplace zéro ou
plusieurs caractères alphanumériques. Les caractères
génériques servent généralement à affiner une
recherche sur un ou plusieurs objets de la base de
données. Par exemple, pour afficher tous les postes de
travail, vous pouvez taper le caractère générique *
(astérisque). Pour obtenir la liste de tous les postes de
travail site1 à site8, vous pouvez entrer site%.
classe de poste de travail : Une classe de poste de
travail correspond à un groupe de postes de travail.
Elle peut contenir un nombre illimité de postes. Des
flux de travaux et des travaux peuvent lui être affectés
en vue d’exécution. Ainsi, la réplication d’un travail ou
d’un flux de travaux à travers plusieurs postes de
travail en est facilitée.
Composer : Application en mode ligne de commande
permettant de gérer les définitions de vos objets de
planification dans la base de données.
Conman : Conman (Console Manager) est une
application en mode ligne de commande qui permet la
gestion de l’environnement de production. Conman
effectue les tâches suivantes : démarrage et arrêt des
processus de production, modification et affichage des
calendriers et des travaux dans le plan, contrôle de la
connexion des postes de travail dans un réseau.
cycle d’exécution : Cycle d’exécution précisant les
jours où un flux de travaux doit être exécuté. Dans
Tivoli Workload Scheduler, vous pouvez indiquer l’un
des trois types de cycles d’exécution suivants pour un
flux de travaux : cycle d’exécution simple, cycle
d’exécution hebdomadaire ou cycle d’exécution basé
sur un calendrier (couramment appelé calendrier).
Notez que chaque type de cycle d’exécution peut être
inclusif ou exclusif. En d’autres termes, chaque cycle
d’exécution peut définir aussi bien les jours où le flux
de travaux sera inclus dans le cycle de production que
ceux où il en sera exclu. Lorsque vous définissez
plusieurs cycles d’exécution pour un flux de travaux et
que les cycles d’exécution inclusifs et exclusifs
indiquent les mêmes jours, les cycles exclusifs ont alors
la priorité.
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 201
cycle d’exécution exclusif : Cycle d’exécution
indiquant les jours pendant lesquels un flux de travaux
ne peut pas s’exécuter. Les cycles d’exécution exclusifs
sont prioritaires par rapport aux cycles d’exécution
inclusifs.
cycle d’exécution hebdomadaire : Cycle d’exécution
précisant les jours de la semaine où un flux de travaux
doit être exécuté. Par exemple, vous pouvez indiquer
qu’un flux de travaux doit être exécuté tous les lundis,
mercredis et vendredis à l’aide d’un cycle d’exécution
hebdomadaire. Il est défini pour un flux de travaux
spécifique et ne peut être utilisé pour plusieurs flux de
travaux. Pour plus de détails, voir “cycle d’exécution”.
cycle d’exécution inclusif : Cycle d’exécution
précisant les jours où un flux de travaux doit être
exécuté. Les cycles d’exécution exclusifs sont
prioritaires par rapport aux cycles d’exécution inclusifs.
cycle d’exécution simple : Ensemble de jours définis
par l’utilisateur pendant lesquels un flux de travaux est
exécuté. Il est défini pour un flux de travaux spécifique
et ne peut être utilisé pour plusieurs flux de travaux.
Pour plus de détails, voir “cycle d’exécution”.
D
dépendance : Condition préalable à l’exécution d’un
travail ou d’un flux de travaux. Le nombre maximal de
dépendances admis pour un travail ou un flux de
travaux est fixé à 40. Les quatre types de dépendances
utilisées par Tivoli Workload Scheduler sont les
dépendances prédécesseur/successeur, les dépendances
par rapport à une ressource, les dépendances par
rapport à un fichier et les dépendances par rapport à
une invite.
dépendances inter-réseaux (INET) : Dépendance entre
les travaux et les flux de travaux dans les différents
réseaux Tivoli Workload Scheduler. Voir aussi “agent
réseau”.
dépendances prédécesseur/successeur : Dépendance
selon laquelle un travail ou un flux de travaux ne peut
être lancé tant que les autres travaux ou flux de
travaux n’ont pas abouti.
domaine : Groupe nommé de postes de travail Tivoli
Workload Scheduler constitué d’un ou de plusieurs
agents et d’un gestionnaire de domaine servant de
concentrateur de gestion. Tous les domaines, à
l’exception du domaine principal, ont un domaine
parent.
durée : Délai prévu pour l’exécution d’un travail.
Dans la vue Diagramme des travaux de la base de
données, la durée est représentée par une barre bleu
clair située au milieu de la barre d’activité ou par un
losange bleu clair.
E
échéance : Heure au-delà de laquelle un travail ou un
flux de travaux ne peuvent plus être exécutés. Il s’agit
de l’heure limite du module Maestro existant.
F
fichier stdlist : Fichier liste standard créé pour chaque
travail lancé par Tivoli Workload Scheduler. Ces fichiers
peuvent contenir des bannières d’en-tête et de fin, des
commandes echo ainsi que des messages d’erreur et
d’avertissement. Ils peuvent être utilisés pour résoudre
les incidents survenus lors de l’exécution de travaux.
fichier Symphony : Fichier contenant les informations
de planification nécessaires au processus de contrôle de
production (batchman) pour exécuter le plan. Il est
généré et chargé durant la phase de pré-production.
Lors de la phase de production, il est mis à jour en
temps réel pour refléter le statut en cours du processus
de production : travaux terminés, travaux en cours,
travaux restant à effectuer. Pour gérer le processus de
production, le contenu du fichier Symphony (plan)
peut être affiché et modifié à l’aide de Job Scheduling
Console.
flux de travaux : Liste de travaux exécutés comme un
ensemble (application de sauvegarde hebdomadaire,
par exemple), et accompagnés des heures, des priorités
et de toute autre dépendance déterminant l’ordre exact
d’exécution des travaux.
flux de travaux FINAL : Dernier flux lancé lors d’un
jour de production, contenant un travail qui exécute le
fichier script Jnextday.
G
gestionnaire de domaine : Concentrateur de gestion
d’un domaine Tivoli Workload Scheduler. Toutes les
communications à destination et en provenance des
agents du domaine sont acheminées via le gestionnaire
de domaine.
gestionnaire de domaine principal : Dans un réseau
Tivoli Workload Scheduler, le gestionnaire de domaine
principal gère les fichiers servant à documenter les
objets de planification. Il crée le plan en début de
journée et effectue l’ensemble des opérations de
journalisation et de présentation pour le réseau.
H
heure de début au plus tôt : Heure avant laquelle le
travail ou le flux de travaux ne peut pas être lancé.
L’heure de début au plus tôt correspond à une
estimation basée sur l’expérience acquise lors de
l’exécution d’un travail ou d’un flux de travaux. Le
travail ou le flux de travaux peut toutefois être lancé
202 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
après l’heure définie à partir du moment ou toutes les
autres dépendances sont respectées. Dans le
diagramme, l’heure de début est représentée par le
bord gauche de la barre d’activité bleu marine. Pour les
instances de travaux, l’heure de début calculée par IBM
Tivoli Workload Scheduler pour z/OS est représentée
par une barre bleu clair. Voir aussi “heure de début
réelle” et “heure de début prévue”.
heure de début prévue : Heure à laquelle le
planificateur estime qu’une instance de travail
débutera. Cette estimation se base sur l’heure de début
des exécutions précédentes.
hôte : Poste de travail Workload Scheduler requis par
les agents étendus. Il peut s’agir de n’importe quel
poste de travail planificateur, à l’exception d’un autre
agent étendu.
I
instance de flux de travaux : Flux de travaux planifié
pour une date d’exécution spécifique du plan. Voir
aussi “flux de travaux”.
instance de travail : Travail planifié pour une date
d’exécution particulière du plan. Voir aussi “travail”.
invite : Les invites peuvent servir de dépendances
pour les travaux et flux de travaux. Une réponse
affirmative doit être donnée à une invite pour que le
travail ou le flux de travaux correspondant puisse être
lancé. Il existe deux types d’invites : prédéfinies et ad
hoc. Une invite ad hoc est définie dans les propriétés
d’un travail ou d’un flux de travaux et est spécifique à
ce travail ou ce flux de travaux. Une invite prédéfinie
est définie dans la base de données du planificateur et
peut être utilisée par n’importe quel travail ou flux de
travaux.
L
limite : La limite d’un travail permet de définir le
nombre spécifique de travaux que Tivoli Workload
Scheduler est autorisé à lancer. Une limite de travail
peut être définie pour chaque flux de travaux et pour
chaque poste de travail. Par exemple, avec une limite
de 25, le planificateur peut exécuter simultanément un
maximum de 25 travaux sur un poste de travail.
liste : Une liste affiche les objets de planification des
travaux. Vous devez créer des listes distinctes pour
chaque objet de planification des travaux. Pour chacun
de ces objets, il existe deux types de listes : une liste de
définitions dans la base de données et une liste
d’instances dans le plan.
M
méthode d’accès : Une méthode d’accès est un
exécutable utilisé par les agents étendus pour connecter
et contrôler l’exécution des travaux sur d’autres
systèmes d’exploitation (par exemple, MVS) et
applications (par exemple, Oracle, Peoplesoft et R/3).
La méthode d’accès doit être indiquée dans la
définition de poste de travail de l’agent étendu.
O
options globales : Les options globales sont définies
sur le gestionnaire de domaine principal dans le fichier
globalopts et s’appliquent à tous les postes de travail
du réseau Tivoli Workload Scheduler. Voir aussi
“options locales”.
options locales : Les options locales sont définies dans
le fichier localopts. Chaque poste de travail du réseau
Tivoli Workload Scheduler doit avoir un fichier
localopts. Les paramètres de ce fichier s’appliquent
uniquement à ce poste de travail. Voir aussi “options
globales”.
P
paramètre : Les paramètres permettent de remplacer
des valeurs dans les travaux et les flux de travaux.
Lorsque vous utilisez un paramètre dans un script de
travail, la valeur de celui-ci est remplacée au moment
de l’exécution. Dans ce cas, le paramètre doit être défini
sur le poste de travail où il va être utilisé. Les
paramètres ne peuvent pas être utilisés dans les scripts
des travaux d’agent étendu.
plan : Le plan contient toute l’activité de planification
des travaux prévue pour une journée. Dans Tivoli
Workload Scheduler, le plan est créé toutes les 24
heures et est constitué de tous les travaux, flux de
travaux et dépendances dont l’exécution est planifiée
pour cette journée. Tous les flux de travaux pour
lesquels vous avez créé des cycles d’exécution sont
automatiquement planifiés et intégrés dans le plan. Au
fur et à mesure de la progression du cycle d’exécution,
les travaux et flux de travaux du plan sont exécutés
conformément aux restrictions temporelles et autres
dépendances les affectant. Tout travail ou flux de
travaux ayant échoué est intégré au plan du jour
suivant.
poste de travail : Un poste de travail est généralement
un ordinateur individuel sur lequel sont exécutés les
travaux et flux de travaux. Ils sont définis dans la base
de données Tivoli Workload Scheduler en tant qu’objet
unique. Une définition de poste de travail est requise
pour chaque ordinateur exécutant des travaux ou des
flux de travaux dans le réseau Workload Scheduler.
Glossaire 203
prédécesseur : Travail dont la réussite est nécessaire à
l’exécution des travaux successeurs.
priorité : Le planificateur possède un système de file
d’attente pour les travaux et les flux de travaux du
plan. Vous pouvez associer un niveau de priorité à
chaque travail ou flux de travaux, de 0 à 101. Un
travail avec une priorité de 0 ne sera pas exécuté.
priorité limite : La priorité limite d’un travail permet
de contrôler l’exécution de celui-ci sur un poste de
travail. Elle constitue également un niveau de priorité
qu’un travail ou un flux de travaux doit dépasser afin
de pouvoir être exécuté. Une priorité limite de 40, par
exemple, empêche le lancement des travaux dont la
priorité est inférieure ou égale à 40.
R
ressource : Les ressources peuvent représenter des
ressources physiques ou logiques sur votre système.
Une fois définies dans la base de données Tivoli
Workload Scheduler, elles peuvent servir de
dépendances pour des travaux et flux de travaux. Par
exemple, vous pouvez définir une ressource appelée
“bandes” avec une valeur d’unité égale à deux. Ensuite,
définissez des travaux avec une dépendance requérant
deux lecteurs de bandes disponibles. Les travaux liés à
cette dépendance ne pourront pas s’exécuter en même
temps, car chaque fois qu’un travail est exécuté, la
ressource “bandes” est utilisée.
restrictions temporelles : Des restrictions temporelles
peuvent être définies pour les travaux et les flux de
travaux. Vous pouvez spécifier l’heure de début
d’exécution des travaux ou celle après laquelle ils ne
seront plus entrepris. En précisant les deux, vous
définissez un intervalle de temps pendant lequel un
travail ou un flux de travaux doit être exécuté. Vous
pouvez également indiquer la fréquence de répétition
des travaux. Par exemple, vous pouvez configurer
Tivoli Workload Scheduler de sorte que le même travail
soit lancé toutes les 30 minutes entre 8 heures 30 et
13 heures 30.
S
statut : Reflète l’état en cours du travail ou du flux de
travaux dans Job Scheduling Console. Le statut de Job
Scheduling Console est commun à Tivoli Workload
Scheduler et à IBM Tivoli Workload Scheduler pour
z/OS. Voir aussi “statut interne”.
statut du travail : Voir “statut”.
statut interne : Reflète l’état en cours des travaux et
flux de travaux dans le moteur du planificateur. Le
statut interne est propre à Tivoli Workload Scheduler.
Voir aussi “statut”.
successeur : Travail ne pouvant pas être lancé avant
que tous les travaux prédécesseurs dont il dépend ne
soient terminés.
T
travail : Unité de travail traitée sur un poste de travail.
La définition du travail est constituée d’un nom de
travail unique dans la base de données du planificateur
ainsi que d’autres informations nécessaires à l’exécution
du travail. Lorsque vous ajoutez un travail à un flux de
travaux, vous pouvez définir ses dépendances et ses
restrictions temporelles, telles que l’heure de début et
l’échéance prévues.
travail externe : Travail d’un flux de travaux donné,
prédécesseur d’un travail d’un autre flux de travaux.
Un travail externe est représenté par une icône de
réserve dans la vue Graphe du flux de travaux.
travail/flux de travaux inter-réseaux (INET) : Travail
ou flux de travaux d’un réseau Tivoli Workload
Scheduler éloigné, correspondant au prédécesseur d’un
travail ou d’un flux de travaux du réseau local. Un
travail interréseau est représenté par une icône de
réserve dans la vue Graphe du flux de travaux. Voir
aussi “agent réseau”.
travail Jnextday : Le traitement de la pré et de la
post-production peut être entièrement automatisé en
planifiant l’exécution du travail Jnextday à la fin de
chaque journée. Un exemple de travail jnextday est
fourni dans racine_TWS\Jnextday. Le travail Jnextday
effectue les opérations suivantes : il configure le
traitement du jour suivant (contenu dans le fichier
Symphony), il imprime des états, il reporte des flux de
travaux non terminés, il arrête et relance le
planificateur.
travaux interactifs : Travail exécuté de manière
interactive sur un bureau Windows NT.
U
utilisateur : Pour Windows NT uniquement, le nom
d’utilisateur indiqué dans la zone “Connexion” d’une
définition de travail doit correspondre à une définition
d’utilisateur. Les définitions fournissent les mots de
passe utilisateur requis par le planificateur pour lancer
les travaux.
utilitaires : Ensemble d’exécutables de ligne de
commande permettant la gestion du planificateur.
V
vue Arborescence : Vue située dans la partie gauche
de Job Scheduling Console et dans laquelle s’affiche le
serveur du planificateur, les groupes de listes par
défaut et les groupes de listes créées par l’utilisateur.
204 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Index
Caractères spéciauxNOM_POSTE_DE_TRAVAIL_MCMAGENT.opts 48
Aaccessibilité xv
agentstandard 45
tolérance aux pannes 45
agent de planificationprésentation 85
agent étendudéfinition de poste de travail 171
présentation 171
référence 171
agent étendu Oracle Applicationsfonctions 45
Attente BDC 127
Bbases de données Peoplesoft 69
bm check status 161, 163
CCA7INTERFACE 146
CA7NAME 146
CA7OPTIONS 146
CA7SPAN(9999) 146
CA7SUBSYSTEM 146
CA7USER 146
CFuser 152
CheckInterval 152
chiffrage des mots de passe 54
chiffrage des mots de passe utilisateur 54
commande de publications xiv
commentaires sur les publications xv
compatibilité 87
COMPLETIONCODE 147
configuration logicielle requise 61, 63
configuration requise pour l’hôte 61
connexion à plusieurs bases de données 69
connexion R/3 96
connexion R/3, dépannage 96
contact par courrier électronique xv
contrôle de l’exécution des travaux 101
conventionstypographiques xv
conventions typographiques xv
création d’un travail 102
création d’un travail dans R/3 101
création d’une dépendance OPENS 78
création de travaux d’agent étendu 77
création du profil d’autorisation 91
Ddébogage 96
DEBUG 147
définition de travaux Oracle Applicationsdans Tivoli Workload Scheduler 49
définition des travaux dans Oracle Applications 49
définition des travaux dans PeopleSoft 58
définition des travaux dans R/3 101
définitions de travaux 77
démarrage 145
dépannage d’une connexion R/3 96
dépendance OPENS 78
dépendance sur des travaux z/OS 155
dépendances de travail z/OS 155
dépendances OPENS, exemple 80
Eenigma 54
étapes, ajout 106
états, travail 111
états de l’application OPC 162
états de l’occurrence pour OPC 162
états des travauxMaestro et Oracle Applications 52
états des travaux pour CA7 160
états des travaux pour JES 159
états des travaux pour OPC 162
états des travaux R/3 111
exécution d’un travail 203
exemple de dépendances OPENS 80
Ffichier d’options 57
fichier d’options, R3OPTIONS 85
fichier de commandes 94
fichier de données 94
fichier mcmagent.optsexemple 54
présentation 53
syntaxe des entrées 53
Fichier script 154
fichiers d’options psagent 65
fichiers de correction et de transfert 94
fonctions 45, 57, 141
Ggénéralités sur l’installation 87
généralités sur le fonctionnement avec CA7 160
généralités sur le fonctionnement avec JES 160
généralités sur le fonctionnement avec l’interface JES 159
généralités sur le fonctionnement avec l’interface OPC 162
Hhôte cible 105
© Copyright IBM Corp. 2000, 2003 207
Iinformations relatives au diagnostic 164
installation 149
installation des modules ABAP 91
INTERLINKSUBSYSTEM 147
introduction 57
JJCL pour télécharger la bande 143
JESCMDCHR 147
journal des travaux 127
LLJuser 152
logicielconfiguration requise 45
Mmanuels
voir publications xii, xiv
mappage de statut des travaux 80
MAXWAIT 147
MCMAGENT 47
MCMAGENT.opts 48
MCSSTORAGE 147
messages 167
messages d’erreur 167
messages de la passerelle 167
méthode 85
méthode R3BATCH 85
modification du mot de passe, utilisateur RFC 97
module ABAP, ajout 106
modules ABAP 106
modules ABAP, importation 94
mot de passe de l’utilisateur RFC 97
mot de passe utilisateur R/3, chiffrement 89
multiples bases de données Peoplesoft 69
Nnoms de chemin, notation xvi
noms de répertoire, notation xvi
notationnoms de chemin xvi
typographie xvi
variables d’environnement xvi
OOPCINTERFACE 147
OPCMSGCLASS 148
OPCSUBSYSTEM 148
OPERCMDS 145
option d’attente BDC 97
options psagent 65
Ppasserelle z/OS
téléchargement des fichiers à partir de la bande 143
téléchargement des fichiers à partir du CD-ROM 143
PEERADDRESS 148
pile TCPIP 148
PORT 148
présentation 57
présentation technique 159
profil d’autorisation, création 91
profil RFC 91
programme enigma 89
programme externe 106
programme externe, ajout 106
programmescomposants 47
programmes d’interface 47
psagent 57, 69
publications xii
accès en ligne xiv
commande xiv
publications en ligneaccès xiv
PUTLINE 148
QQLIMIT 148
RR3OPTIONS, fichier 85
Ssécurité 145
sécurité de la console 145
service d’assistance à la clientèlevoir service de support xv
service de supportcontact xv
sortie IEFU84 144
statut des travaux, mappage 80
SUBSYS 148
SVCDUMP 148
syntaxe, fichier mcmagent.opts 53
TTCPIPSTACK 148
TCPNAME 149
TERMINATOR 149
Tivoli Software Information Center xiv
trace 96
travauxétats des travaux 111
travaux, mappage de statut 80
travaux CA7 153
travaux JES 153
travaux OPC 154
travaux Oracle Applicationsdéfinition 49
Uutilisateur RFC 96
208 IBM Tivoli Workload Scheduler for Applications - Guide d’utilisation
Vvariables, notation des xvi
variables d’environnement, notation xvi
variables SYSTSIN 145
version TCP/IP 141
WWTP 149
ZZOSV1R2 149
Index 209