Ensembles, applications -...

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  • Chap 10

    Ensembles, applications

    1 Ensembles

    1.1 Definitions

    Definition. On appelle ensemble une collection dobjets que lon appelle des elements de lensemble et donton dit quils appartiennent a lensemble.On note lensemble vide qui na aucun element.Exemple.Remarque.Vocabulaire.

    A est inclus dans B si et seulement si tout element de A appartient a B ; Deux ensembles sont egaux si et seulement si ils ont les memes elements.

    Vocabulaire. A est strictement inclus dans B si et seulement si il est inclus dans B mais nest pas egal a B

    Vocabulaire. Si E est un ensemble, ses sous-ensembles, ou parties, sont les ensembles inclus dans E. Si E et F sont deux ensembles, le produit cartesien de E et F est

    Remarque.Exemple. Pour E t0, 1, 2u, enumerer les elements de PpEq.Remarque.Exercice. Determiner PpEq puis P pPpEqq lorsque E t0u puis lorsque E .Exercice. Quel est lensemble E ? Existe-t-il des ensembles E et F tels que E F ?

    1.2 Operations sur les ensembles

    Soit E un ensemble, A,B,C des elements de PpEq.

    Definition. On appelle intersection de A et B la partie de E definie par :

    AXB tx P E t.q. x P A et x P Bu

    A

    B

    Definition. Deux parties de E sont dites disjointes si et seulement si leur intersection est vide.

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    Definition. On appelle reunion de A et B la partie de E definie par :

    AYB tx P E t.q. x P A ou x P Bu

    A

    B

    Propriete. X et Y sont des applications PpEq PpEq PpEq. On dit que ce sont des lois de compositioninterne de PpEq. Elles verifient :

    Commutativite : AYB B YA et AXB B XA. Associativite : pAYBq Y C AY pB Y Cq et pAXBq X C AX pB X Cq Distributivite de X sur Y : AX pB Y Cq pAXBq Y pAX Cq Distributivite de Y sur X : AY pB X Cq pAYBq X pAY Cq

    Definition. On appelle difference (ensembliste) de A par B la partie de E definie par :

    ArB tx P E t.q. x P A et x R Bu

    A

    B

    Exemple. ArA , Ar AExercice. Si A et B sont disjoints, que dire de ArB ?

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    Definition. On appelle complementaire de A dans E la partie de E definie par :

    AEA tx P E t.q. x R Au

    A

    B

    Remarque.Exemple. AE E et AEE .Remarque. Est-ce que ABA B rA ?Propriete.

    AEA E rA ; ArB AX AEB Ar pAXBq ; AEpAYBq AEA X AEB et AEpAXBq AEA Y AEB.

    Definition. Soit E un ensemble et Ai des parties de E. On dit que les Ai forment une partition de E si etseulement si les Ai sont deux a deux disjoints et leur reunion est E.Exemple.

    2 Applications

    2.1 Generalites

    Definition nave. Soit E et F deux ensembles. Une application f de E vers F est la donnee dune relationentre E et F qui a chaque element de E associe un element de F .Notation. f : E F

    x fpxqRemarque. Pour que f soit une application, il faut dans cette definition quelle transforme tous les elementsde E, et qua chaque element de E elle associe un unique element de F .

    Vocabulaire. E est la source, ou ensemble de depart, et F le but, ou ensemble darrivee de f .Si x0 P E et y0 fpx0q,y0 est limage de x0 par f ,tandis que x0 est un antecedent de y0 par f .Remarque.Definition. On appelle ensemble de definition, ou domaine de definition dune application f : E F

    lensemble suivant :

    Df tx P E | Dy P F, y fpxqu

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    La vraie application correspondante estNotation. Lensemble des applications de E dans F est note FpE,F q ou FE .Definition. Lapplication identique de E est definie par id : E E

    x xDefinition. On dit que deux applications f et g sont egales si et seulement si elles ont meme source, memebut, et que pour tout x de la source commune, on a fpxq gpxq.

    2.2 Restriction et prolongement

    Definition. Soit f : E F une application et A E. On appelle restriction de f a A, et on note f|AlapplicationDefinition. Soit A E, F des ensembles et f : A F une application. Un prolongement de f a E estExemple. Soit f : R R

    x x2, g : R R

    x x2, h : R R

    x x2

    Exemple. Soit f : R Rx x lnx

    .

    Prolonger f a R.Combien y a-t-il de prolongements ?Y en a-t-il un particulier ?Exemple. Est-ce que IdR est un prolongement de IdZ ?

    2.3 Proprietes

    2.3.1 Injection

    Definition. Une application f : E F est dite injective si et seulement si

    @px, x1q P E E, x x1 fpxq fpx1q

    soit encore, par contraposee

    @px, x1q P E E, fpxq fpx1q x x1

    Negation. La negation de linjectivite est :

    Dpx, x1q P E E t.q. x x1 et fpxq fpx1q

    Remarque.Exemple.

    Definition. Soit E un ensemble et A E. Lapplication i : A Ex x

    est injective. On lappelle

    2.3.2 Surjection

    Definition. Une application f : E F est dite surjective si et seulement si

    @y P F, Dx P E t.q. fpxq y

    Negation. f nest pas surjective si et seulement si :

    Dy P F t.q. @x P E, fpxq y

    Exemple.

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    2.3.3 Bijection

    Definition. Une application f : E F est dite bijective si et seulement si f est injective et surjective.

    Caracterisation.

    f est bijective si et seulement si

    @y P F, D! x P E t.q. fpxq y

    ou encore

    @y P F, Dx0 P E t.q.

    #fpx0q y

    @x P E, fpxq y x x0

    Exemple.

    Definition. Si f : E F est une bijection, on peut definir son application reciproque

    f1 : F Ey lunique antecedent de y par f

    Question. Pourquoi est-il indispensable davoir une bijection pour pouvoir definir une application reciproque ?

    Remarque. Il y a un lien fort entre injectivite/surjectivite de f et letude du nombre de solution dune equationfpxq . Sauriez-vous le formaliser ?

    2.4 Diagrammes

    Illustrations. Les applications vont de E dans F .

    EF

    EF

    EF

    EF

    EF

    EF

    Illustrations. Les applications vont de R dans R.

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    Question. Lorsque les ensembles E et F ont un nombre fini non nul delements, peut-on donner une conditionsur ce nombre delements pour quil soit possible de construire

    une application de E dans F ; une injection ; une surjection ; une bijection ?

    2.5 Composition des applications

    Definition. Soit f : E F et g : F G deux applications. On definit lapplication composee de f et gpar

    g f : E Gx g rfpxqs

    Attention.Remarque.Propriete. La composee de deux injections (resp. surjections, resp. bijections) est une injection (resp. surjection,resp. bijection).Proposition. Soit f : E F et g : F G deux applications.

    Si gof est injective, alors f est injective ; Si gof est surjective, alors g est surjective.

    Theoreme.

    Soit f : E F une application.f est une bijection si et seulement si il existe une application g : F E telle que g f IdE etf g IdF .Lorsquelle existe, cette application g est unique et on a g f1.

    Corollaire.

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    (a) Si f est une involution de E (i.e. f f IdE), alors f est bijective et f1 f .

    (b) Soit f : E F et g : F G deux bijections. Alors g f est une bijection et

    pg fq1 f1 g1

    3 Images directe et reciproque dune partie

    3.1 Image directe

    Definition. Soit f : E F et A E. Limage directe de A par f est

    fpAq !y P F t.q. Dx P A t.q. y fpxq

    )

    EF

    A

    Propriete. f est surjective si et ssi fpEq F .

    Propriete. Soit A et A1 deux parties de E.

    A A1 fpAq fpA1q fpAYA1q fpAq Y fpA1q fpAXA1q fpAq X fpA1q

    Remarque.

    3.2 Image reciproque

    Definition. Soit f : E F et B F . Limage reciproque de B par f est

    f1pBq !x P E t.q. fpxq P B

    )

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    EF

    B

    Exemple.

    Propriete. Soit B et B1 deux parties de F .

    B B1 f1pBq f1pB1q f1pB YB1q f1pBq Y f1pB1q f1pB XB1q f1pBq X f1pB1q f

    f1pBq

    B

    f1 rfpAqs AAttention.

    4 Complements

    4.1 Definition dune application par son graphe

    Definition. Soit E et F deux ensembles. Nous appellerons graphe toute partie G de E F .Le domaine de definition dun graphe est

    DG tx P E t.q. Dy P F, px, yq P Gu

    Un graphe est dit fonctionnel si

    @x P E, ty P F t.q. px, yq P Gu est vide ou singleton.

    Remarque.

    Question. Comment quantifier quun graphe nest pas fonctionnel ?

    Definition. La donnee dun graphe fonctionnel dont le domaine de definition estE permet de definir lapplicationf de E dans F qui a tout x P E associe lunique element appartenant a ty P F t.q. px, yq P Gu

    Notation.

    f : E Fx fpxq

    Remarque. Cette definition est coherente avec la definition de la representation graphique dune fonction vueau lycee. Pour que f soit une application, il faut quelle transforme tous les elements de E, et qua chaqueelement de E elle associe un unique element de F . Le graphe de f est alors lensemble des couples px, fpxqq,cest-a-dire lensemble des couples px, yq tels que y fpxq. On dit que y fpxq est une equation de la courberepresentative de f .

    Exemple. Parmi les schemas du paragraphe 2.4, determiner ceux correspondant a un graphe, a un graphefonctionnel, a une injection, a une surjection, a une bijection.

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    4.2 Famille delements dun ensemble

    Definition. On appelle famille delements dun ensemble E indexee par un ensemble I une application de Idans E :

    I Ei xi

    Notation. On note generalement pxiqiPI une telle famille.Exemple. Lorsque I t1, 2u, on peut identifier les familles delements de E indexees par t1, 2u avec le produitcartesien E E. (La definition dune famille, cest la donnee de x1 et x2.)Plus generalement, lorsque I t1, . . . , nu, lensemble des familles delements de E indexees par t1, . . . , nusidentifie a En.

    Notation. On note EI lensemble des familles delements de E indexees par I.Remarque. La notion de famille est bien la meme que celle dapplication. Seule la notation (et le point de vue)change.

    Question. Quest-ce quune suite ?Remarque. Y a-t-il une difference entre pxkqkPK et txk | k P Ku ?Definition. On peut generaliser aux familles de parties dun ensemble E les notions dintersection et de reunion :

    iPI

    Ai tx P E t.q. @i P I, x P Aiu

    iPI

    Ai tx P E t.q. Di P I, x P Aiu

    Remarque.

    x PiPI

    Ai @i P I, x P Ai

    x PiPI

    Ai Di P I t.q. x P Ai

    4.3 Redactions classiques

    Ce ne sont pas les seules redactions possibles, mais elles permettent de sen sortir dans la plupart des cas.Les notations sont les notations usuelles.

    Pour montrer A B.Soit x P A quelconque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . alors x P B

    Pour montrer A B.M1 On montre dabord A B puis B A.

    M2 x P A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . x P B

    Pour montrer f g.On verifie legalite des sources et butsSoit x P source quelconque. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . alors fpxq gpxq

    Pour montrer f injective.Soit x, y P E quelconques.On suppose fpxq fpyq. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . alors x y.

    Pour utiliser que f injective.Dans notre raisonnement, on a x, y P E tels que fpxq fpyq. On en deduit que x y.

    Pour montrer f surjective.Soit y P F quelconque.On cherche x P E t.q. y fpxq . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .cette equation admet au moins une solution donc f est surjective.

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    Pour utiliser que f surjective.Dans notre raisonnement, on a un y P F . On en deduit quil existe x P E tel que y fpxq.

    Pour montrer f est bijective.

    M1 On montre que f est surjective puis injective.

    M1bis On montre que f est surjective et unicite de lantecedent.

    M2 Soit g : F E, y . . ..On a f g r. . . s IdF et g f r. . . s IdE donc f bijective.

    Pour montrer x P f1pBq. cest facile !Calculons fpxq . . . . On a bien fpxq P B.

    Pour montrer y P fpAq. cest dur !On cherche x P A t.q. y fpxq. Posons x . . . , il convient.

    4.4 Utilisation de Maple

    Un ensemble est de type set. Cest une collection non ordonnee dexpressions toutes differentes, separeespar des virgules, notees entre accolades. On peut effectuer des operations sur les ensembles en utilisant union,intersect, minus.

    Une fonction est de type procedure et est caracterise par loperateur fleche ->. Certaines fonctions sontpredefinies. Par defaut, les variables sont complexes.

    On veillera a ne pas confondre une fonction avec une expression. Lutilisation des outils de Maple necessitede savoir si largument a fournir est une fonction ou une expression. On doit etre capable de transformer unefonction en expression et reciproquement. Voir le cours de Maple a ce sujet.

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  • Chap 10 Ensembles, applications

    Alphabet grec

    nom minuscule majuscule

    alpha

    beta

    gamma

    delta

    epsilon

    zeta

    eta

    theta

    iota

    kappa

    lambda

    mu

    nu

    xi

    pi

    rho

    sigma

    tau

    upsilon

    phi ,

    chi

    psi

    omega

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  • Chap 10 Ensembles, applicationsO

    per

    ati

    on

    ssu

    rle

    sen

    sem

    ble

    s

    10.1

    Nie

    rle

    sd

    efinit

    ions

    du

    cours

    por

    tant

    sur

    lin

    clu

    sion

    ,leg

    alit

    e,

    lin

    clusi

    onst

    rict

    e,le

    cara

    cter

    ed

    isjo

    ints

    de

    deu

    xen

    sem

    ble

    s.ensappl_26.tex

    10.2

    Soi

    tA

    ,B

    ,C

    troi

    sp

    arti

    esd

    un

    een

    sem

    bleE

    non

    vid

    e.

    (a)

    SiAYBAYC

    ,a-

    t-on

    BC

    ?

    (b)

    SiAYBAXB

    ,a-

    t-on

    AB

    ?

    (c)

    Mon

    trer

    que

    siAYBAYC

    etAXBAXC

    ,al

    orsBC

    .

    (d)

    Mon

    trer

    que

    siAYBE

    etAXB

    ,

    alor

    sAAB

    etBAA

    .

    ensappl_29.tex

    10.3

    Soi

    tE

    un

    ense

    mble

    ,A

    ,B

    ,C

    troi

    spar

    ties

    deE

    .M

    ontr

    erqu

    e:

    (a) A

    XB

    AXC

    etAYB

    AYC

    B

    C

    ;

    (b)ArB

    ArC

    AXB

    AXC

    ;

    (c) A

    XB

    AYC

    etAYB

    AXC

    ABC

    ;

    (d)

    A

    B

    A EpAq

    A EpBq

    AYBB

    AXBA

    ArB

    A EpAqYBE.

    ensappl_24.tex

    10.4

    Soi

    tE

    un

    ense

    mble

    non

    vid

    e,PpEq

    len

    sem

    ble

    des

    par

    ties

    de

    E;

    On

    defi

    nit

    dan

    sPpEq

    lop

    erat

    ionM

    ,ap

    pel

    eediff

    eren

    cesy

    met

    riqu

    e,par

    :

    @pA,BqPPpEq2,A

    MBpA

    YBqrpA

    XBq

    (a)

    Expri

    mer

    autr

    emen

    tA

    MB

    etfa

    ire

    un

    dia

    gram

    me

    repre

    senta

    nt

    AMB

    ;

    (b)

    Don

    nerA

    ME

    etA

    M

    ;

    (c)

    Don

    nerA

    MA

    ;

    (d)

    SiA

    MB

    ,

    qu

    ed

    ire

    deA

    etB

    ?

    (e)

    Ref

    orm

    ule

    rle

    sre

    sult

    ats

    de

    (c)

    et(d

    )en

    un

    eph

    rase

    mat

    hem

    a-ti

    qu

    e.

    ensappl_25.tex

    10.5

    Mon

    trer

    qu

    eA

    BA

    B

    ,ouA

    des

    igne

    leco

    mp

    lem

    enta

    ire

    deA

    dan

    sE

    ,et

    la

    diff

    eren

    cesy

    met

    riqu

    e.ensappl_30.tex

    10.6

    Soi

    tE

    len

    sem

    ble

    des

    fonct

    ions

    deN

    dan

    st1,2,...,5

    7u.

    Pou

    r

    iPt1,2,...,5

    7u,

    on

    poseA

    itf

    PE|fp0qiu

    .M

    ontr

    erque

    lesA

    i

    form

    ent

    une

    par

    titi

    on

    deE

    .ensappl_4.tex

    10.7

    Don

    ner

    lalist

    edes

    elem

    ents

    dePpPpt

    1,2uqq

    .ensappl_27.tex

    10.8

    Soi

    tE

    etF

    deu

    xen

    sem

    ble

    s.M

    ontr

    erquePpE

    XFq

    PpEqX

    PpFq.

    ensappl_31.tex

    Ima

    ges

    dir

    ecte

    etre

    cip

    roq

    ue

    10.9

    Soi

    tf

    :EF

    un

    eapplica

    tion.O

    nse

    pose

    les

    deu

    xques

    tions

    suiv

    ante

    s:

    (a)

    Soi

    tA

    un

    ep

    art

    ied

    eE

    .C

    om

    pare

    rf1 fpA

    q etA

    .Q

    ue

    peu

    t-on

    dir

    elo

    rsquef

    est

    inje

    ctiv

    e?

    (b)

    Soi

    tB

    un

    ep

    art

    iedeF

    .C

    om

    pare

    rf f

    1pBq e

    tB

    .Q

    ue

    peu

    t-on

    dir

    elo

    rsquef

    est

    surj

    ecti

    ve

    ?

    Rep

    ond

    rea

    ces

    ques

    tions

    enet

    ud

    iant

    da

    bord

    les

    deu

    xex

    emple

    ssu

    i-va

    nts

    :f

    :R

    R

    x

    x2

    Ar0,1s

    Br

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    @pA,BqPPpEq2,fpA

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    12/14 http://mpsi1.lamartin.fr 2010-2011

    http://mpsi1.lamartin.fr

  • Chap 10 Ensembles, applicationsensappl_38.tex

    Illu

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    ?ensappl_44.tex

    2010-2011 http://mpsi1.lamartin.fr 13/14

    http://mpsi1.lamartin.fr

  • Chap 10 Ensembles, applications10.2

    1C

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    ensappl_3.tex

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    Indication

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    ensappl_41.tex

    10.2

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    ensappl_15.tex

    10.2

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    ensappl_22.tex

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    ensappl_23.tex

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    1 Ensembles1.1 Dfinitions1.2 Oprations sur les ensembles

    2 Applications2.1 Gnralits2.2 Restriction et prolongement2.3 Proprits2.4 Diagrammes2.5 Composition des applications

    3 Images directe et rciproque d'une partie3.1 Image directe3.2 Image rciproque

    4 Complments4.1 Dfinition d'une application par son graphe4.2 Famille d'lments d'un ensemble4.3 Rdactions classiques4.4 Utilisation de Maple