DOLLS AND BEARS MAGAZINE 41
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EDITO
Edito de Pasky
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Réouverture du Musée de la Poupée
à PARIS
Parisienne GAULTIER (1870)
groupe de bébés Steiner, Petit & Dumoutier, Mascotte, Rabery Delphieu, vers 180-
1890
bébé Kestner, début XX
groupe de baigneurs en celluloïd Marraine de guerre Jean Ray, 1917
Copyright MUSEE DE LA POUPEE PARIS
La rédaction a reçu
Livre en vente au Musée de la
Poupée, Paris (voir liens du site )
Bonbonnières
Le doux art des petites boîtes
«Bon! Bon!» s’écrient les dames de l’époque rococo en goûtant pour la première fois
les douceurs que le maître queux du comte du Plessis-Praslin avait créées pour les
grandes réceptions de celui-ci. «Bon! Bon!» devient ainsi le nom des nouvelles
friandises. Le bonbon ou la praline sont rapidement les chouchous des grands
confiseurs et maîtres pâtissiers qui rivalisent d’inventivité pour trouver de nouvelles
variantes raffinées à ces délicieuses gourmandises. L’appellation «bonbonnière» est
dérivée du mot bonbon. Il s’agit d’une boîte servant à conserver les sucreries, depuis
toujours considérées comme un luxe. Jusqu’au XIXe siècle, les bonbonnières sont des
boîtes richement et minutieusement décorées. Elles peuvent être en or ou en argent,
et parfois ornées de pierres précieuses. Ces petits chefs-d’œuvre servant à conserver
les friandises sont également appréciés comme objets d’exposition et offerts en
cadeaux de prix. Leurs luxueuses variantes sont des montres à gousset et des boîtes
à musique dont le contenu réserve des surprises. Artistiquement travaillées à
la main en métal précieux, en albâtre ou en porcelaine, elles s’enrichissent
d’ivoire, de nacre, d’écaille, d’ambre ou d’émail. On raconte ainsi que Marie-
Antoinette, reine de France, possédait deux bonbonnières en ivoire,
délicatement sculptées par le très célèbre artiste dieppois Jean-Antoine
Belleteste.
Dans ce contexte culturel et historique, les bonbonnières sont offertes à
l’occasion de fêtes, baptêmes et mariages; les hôtes en font présent à leurs
invités en remerciement ou en souvenir de l’événement. En général, on sucrait
autrefois les aliments avec du miel ou du sirop. Les confiseries en sucre,
comme les pétales de violettes candies sous forme de pastilles, n’étaient
accessibles qu’à un petit cercle de privilégiés. Le raffinement extrême des
anciennes bonbonnières est tout à fait digne de leur contenu de grand prix.
Leur nom, en usage en France depuis 1870 env., ne tarde pas à s’imposer
aussi en Allemagne. Aujourd’hui encore, on appelle bonbonnières les boîtes
remplies de friandises.
.
On trouve aussi de magnifiques animaux en papier mâché ou en terre, parfois
peints ou recouverts de fourrure ou de mohair. Leur diversité est tout aussi
inouïe: chèvres, bisons, chevaux, poules, canards, chiens, chats, lions, bref
tout un zoo. Les chiens recouverts de fourrure sont très appréciés comme
accessoires pour les magnifiques poupées en porcelaine. Ces objets sont
souvent utilisés aussi comme jouets, ce qui explique pourquoi il n’en reste pas
beaucoup dans le monde…
Il peut s’agir également de poupées complètes en porcelaine, dont le corps
dissimule un étui. En ouvrant le corps, on découvre l’étui rempli de friandises.
Dans les variantes toutes simples, la tête est montée directement sur une
boîte où l’on place les «bon-bons». La tête ou le buste des poupées sont en
cire, en porcelaine, en biscuit de porcelaine, voire plus tard en celluloïd. Les
motifs des bonbonnières suivent naturellement la mode en vogue ou l’esprit du
temps. L’époque art déco est représentée au même titre que le style victorien.
Bonbonnières de saison ou dédiées aux occasions spéciales
On crée aussi bien sûr des bonbonnières spéciales pour les occasions les plus
diverses. Elles viennent en bonne place parmi les objets de Pâques: lièvres en
papier mâché de toutes tailles et formes, petits et grands canards, et même le
célèbre œuf de Pâques, un sujet très apprécié. Certains sujets sont plutôt
modestes, entourés de papier en couleur, d’autres plus luxueux, recouverts de
soie et ornés d’un motif peint à la main. On trouve aussi des décors en plomb
ou de petits pieds en laiton. On offre une cigogne pour les naissances et pour
les baptêmes une boîte portant le nom de l’enfant et le jour de la cérémonie. A
Noël, les «boîtes à bonbons» (leur autre nom) se vendent très bien. On trouve
des Pères Noël, des pommes de pin entourées d’une feuille de couleur et
toutes sortes de petits objets à suspendre dans le sapin. A la Saint-Sylvestre,
on peut acheter des cochons de toutes tailles en terre ou en papier mâché,
voire recouverts de fourrure. Incontournables également, les autres porte-
bonheur que représentent les ramoneurs et les champignons. Il existe des
bonbonnières connues uniquement dans certains pays ou régions. On compte
parmi elles le «Krampus» d’Autriche, une sorte de figure de diable. Outre des
motifs comiques et grotesques, de célèbres personnages de contes, comme
Blanche-Neige et les sept nains, ou des héros de dessins animés, tels que
Popeye, ne manquent pas.
Ouvertures sophistiquées
Certaines boîtes à bonbons n’en ont pas forcément l’air au premier coup d’œil.
En particulier lorsqu’il s’agit de figurines. Afin d’accéder aux douceurs qui s’y
cachent, il faut soulever le buste de la plupart des poupées, l’étui se trouvant
dans la partie inférieure de leur corps. D’autres dissimulent leur doux secret
tout simplement sous leur ample vêtement. La plupart du temps, il faut
d’abord ôter la tête des animaux. Les oiseaux, en particulier les grues,
cigognes et canards, recèlent les sucreries sous l’une de leurs ailes qu’on doit
relever pour les découvrir. Dans les meubles, ce sont les tiroirs ou les portes
qui s’ouvrent. Quant aux cigares, ils s’ouvrent en deux.
Boîtes de «La Marquise de Sévigné»
L’histoire de cette fabrique de chocolats ressemble à un conte de fée. Elle
commence en 1898, lorsque les époux Auguste et Clémentine Rouzaud à Royat
(France) fondent une fabrique de chocolats. Dès le départ, leur objectif est de
créer uniquement les meilleurs chocolats de qualité, afin qu’ils deviennent des
produits de luxe. Pour y parvenir, madame Rouzaud adopte une stratégie de
distribution géniale. Elle invente «La Marquise de Sévigné» et vend désormais
ses produits sous ce nom. Ses chocolats connaissent un rapide succès dans
toute la France. En l’espace de quatorze ans seulement (de 1900 à 1914),
onze points de vente s’ouvrent, dont deux à Paris. Mais «La Marquise de
Sévigné» est aussi représentée à Nice, Lyon, Cannes, Monte-Carlo et
Deauville. Quand on se veut de la bonne société, on achète ses friandises chez
«La Marquise de Sévigné». Le décor de ces boîtes de confiseries représente
souvent des scènes du temps de Louis XIV où figure la marquise de Sévigné à
la célèbre coiffure. Ces produits sont très coûteux. Ainsi la boîte «Chez
Fouquet» de l’assortiment de Noël 1923 coûte 33 francs, somme fort
rondelette à l’époque. Madame Rouzaud la présente à une fête chez Fouquet
où elle est invitée en tant que «La Marquise de Sévigné».
Histoire du chocolat et présentation des confiseries
C’est à la fin du XVe que les conquistadors espagnols rapportent le chocolat du
nouveau monde en Europe. Le peuple aztèque dégustait le cacao mélangé au
maïs pour obtenir une sorte de bouillie, ou sous forme de boisson aromatisée
au miel et à la cannelle. Ce sont les Espagnols qui passent pour les véritables
inventeurs du chocolat, grâce à leur idée d’associer cacao et sucre de canne.
La consommation de chocolat se répand petit à petit dans tout le royaume
d’Espagne qui conserve le monopole de son importation et de sa fabrication
jusqu’à la fin du XVIIe siècle. C’est seulement par la suite qu’il arrive en
Hollande et dans le reste de l’Europe.
Copyright texte et photos / Musée des jouets du monde de Bâle.
Album photos
LES OURS CHILTERN
Les premiers ateliers de jouets Chiltern datent de 1908 et sont
installés à Chesham, dans le Buckinghamshire. Le nom vient
des collines environnantes, les Chiltern Hills. A la gamme de
poupées originelle est adjoint en 1915 le premier ours:
Master Teddy, dont les yeux un peu globuleux et la tête
ronde sont particulièrement originaux.
A la mort du créateur Joseph Eisenmann en 1919, c'est son
gendre Leon Rees qui hérite de l'entreprise.
Après un déménagement à Chesham, Leon s'associe à Harry
Stone pour former la H.G. Stone and Co. Ltd.
Une 2ème usine est ouverte à Tottenham (près de Londres)
en 1921. La gamme des ours Hugmee apparaît en 1923 et la
marque "Chiltern Toys" est enregistrée en 1924.Pendant la
2ème guerre mondiale, la production est interrompue à
l'usine de de Chesham mais se poursuit à
Tottenham.Nouveau déménagement à Amersham où elle
restera jusqu'à la fermeture en 1960, mais une 2nde usine est
ouverte dans le Pays de Galles, à Pontypool en 1947. En
1967, quatre ans après la mort de Leon Rees, Chad Valley
reprend Chiltern, d'où une étiquette portant les 2 noms
pendant quelques temps.
TEXTE DU SITE OURSEMENT-VOTRE/ PHOTOS Vectis auction LONDRES
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Nom et naissance des snowbabies
Les experts sont partagés à propos du nom comme de l’origine des
snowbabies. Il existe en effet deux théories. L’une affirme que leur origine est
à chercher du côté de la production des bonbonnières en Allemagne. Il y a 200
ans déjà, on y fabriquait des boîtes à bonbons en forme d’ours polaires, ainsi
que des poupées en sucre roulées dans du sucre blanc pour donner une
impression de neige. On raconte qu’un confiseur aurait fait fabriquer des
poupées en porcelaine pour dynamiser ses ventes. Ainsi seraient nés les
snowbabies en porcelaine. L’autre théorie nous emmène sur les traces de
l’explorateur Robert Edwin Peary qui, de 1891 à 1909, a entrepris plusieurs
expéditions au Groenland et sur les glaciers arctiques. Sa fille Marie a été la
première enfant blanche à naître au nord du cercle polaire. Les autochtones,
enthousiasmés par ce bébé à la peau claire, l’ont appelé «Ah-poo-mick-a-
ninny», ce qui signifie «snowbaby». Pour financer les expéditions, Robert E.
Peary et sa femme Josephine ont écrit des livres. L’un des ouvrages pour
enfants de Josephine Peary s’intitule «The Snow Baby». Par la suite, sa fille
Marie Peary, «l’enfant des neiges», a elle-même écrit des livres pour enfants.
On ignore aujourd’hui encore si le livre intitulé «The Snowbaby’s Own Story» a
suscité l’idée de produire des personnages en porcelaine ou si leur origine vient des
bonbonnières d’Allemagne.
Snowbabies classiques
Le snowbaby classique est en porcelaine non émaillée et représente un enfant
en vêtements d’hiver. Ces vêtements, recouverts de paillettes micacées en
porcelaine finement broyée, évoquent les flocons de neige fraîchement
tombés. Les premiers snowbabies sont fabriqués en Allemagne vers 1905. Les
visages peints sont fidèles à la nature; chaque détail est travaillé par des
artistes. La production est interrompue pendant la Première Guerre mondiale.
Bien qu’il existe aussi des figurines sans mica imitant la neige, ainsi que
d’innombrables personnages et représentations, tous sont également
considérés comme des snowbabies: pères noël, elfes et nains, petits chanteurs
de Noël, pingouins et ours polaires, adultes à skis ou en luges, bonshommes
de neige ou personnages de Disney, etc. Les snowbabies permettent ainsi de
créer souvent à Noël de charmantes scènes hivernales. Vers 1910 en
Angleterre, on utilise de grands snowbabies d’env. 5 cm comme décoration sur
les mokas blancs.
Production ultérieure de snowbabies
Vers 1920, après la fin de la Première Guerre mondiale, la production de
snowbabies reprend. Mais cette fois, on accorde beaucoup moins de soin à leur
finition; il s’agit désormais de production de masse. On n’attache plus guère
d’importance aux détails et même la peinture laisse à désirer. On ne les fait
même plus cuire après les avoir peints. Leurs teintes sont plus contrastées et
la plupart des personnages sont plus petits qu’au début. Cette «nouvelle»
génération de snowbabies se distingue toutefois par sa fantaisie, les
personnages prennent des poses plus «actives»: un enfant donne le biberon à
un pingouin, un père Noël lance des jouets d’un avion, etc. La variété est
pratiquement infinie. On estime qu’il existe plus de 2000 sujets.
Peu avant la Deuxième Guerre mondiale, on commence à fabriquer aussi des
snowbabies au Japon. Mais il s’agit en général de figurines de moins bonne
qualité qu’en Allemagne.
Manufactures
On compte parmi les plus importants fabricants de snowbabies les
manufactures de porcelaine allemandes «Galluba & Hoffmann», «Gebr.
Heubach AG», «Porzellan- und Steingutfabrik Hertwig & Co.», «Porzellanfabrik
Limbach» ou «A.W. Fr. Kister Porzellanmanufaktur». De 1890 à 1926, «Galluba
& Hoffmann» produit des figurines et des poupées. Ses snowbabies comptent
sûrement parmi les plus beaux et se distinguent par leur excellente qualité.
Cette manufacture crée en plus des snowbabies avec de la neige dans les tons
bleus ou ivoire. La neige bleue possède une spécificité: la couleur bleue est en
effet peinte sur la porcelaine avant d’être cuite et fragmentée. Seule la neige
bleue de «Galluba & Hoffmann» présente cette particularité. Les anciens
snowbabies bleus, fabriqués vers 1905, sont souvent marqués «G&H».
Objets de collection
Les snowbabies allemands des débuts font aujourd’hui partie des objets
recherchés par les collectionneurs, en particulier les figurines de «Galluba &
Hoffmann», «Gebr. Heubach AG» et «Hertwig & Co.». L’exposition présente
un grand nombre de snowbabies fabriqués par ces trois producteurs. Du fait de
l’engouement croissant des collectionneurs pour les snowbabies, on voit aussi
augmenter le nombre des copies sur le marché. Avant d’acheter une figurine, il
est donc recommandé de prendre le temps de l’examiner attentivement.
Copyright images THERIAULTS
Texte Musée des jouets du Monde BÄLE
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Les poupées de PEYNET
Raymon Peynet à Montmartre
Les poupées du dessinateur français Raymond PEYNET (1908-1999) témoignent d’une façon charmante, naïve et personnelle des aspects de notre société au travers de petits personnages féminins et masculins qui endossent les costumes spécifiques issus du microcosme culturel français, reflétant ainsi une tranche de notre histoire au travers des yeux d’un authentique poète. Ces poupées furent réalisées d’après les dessins de Peynet par la société TECHNIGOM . Elles comptent 170 modèles parmi
lesquels certains sont repris en couple. Elles furent réalisées en mousse de latex entre 1953et 1968 et vendues dans des boîtes en carton parfois avec un couvercle opaque (modèle Strip tease), mais presque toujours à couvercle en rhodoid transparent, et sont de couleur blanche rayée de rose.
Les vêtements qui étaient réalisés à domicile par les couturières, sont accompagnés presque toujours de charmants accessoires miniatures. Les poupées sont fragiles en raison du materiau bio-dégradable dans lequel elles furent conçues. Elles s’auto détruisent, mais cependant nombre d’entre –elles, pour des raisons inconnues arrivent à franchir sans trop d’encombres les années. Comme le conseillait TECHNIGOM et Raymond PEYNET, on pouvait placer les poupées sous des globes de verre à défaut de les laisser dans les boîtes. On peut aussi les talquer légèrement.
Les poupées de PEYNET subirent quelques évolutions durant les quinze années de leur courte vie. Les cheveux par exemple furent d’abord réalisés en fil de soie puis par la suite en nylon. Des modèles sont abandonnés au bout de quelques années en raison des tissus devenus indisponibles (en 1964 par exemple il n’est plus possible d’acquérir « Tahitienne », « Etourdie », « Strip tease » « Mimouna » et « Chasse aux papillons ».Un mobilier, des supports, des cadres ainsi que des décors furent ajoutés. Presque chaque poupée comporte un ou plusieurs accessoires miniatures qui ajoutent au charme de l’ensemble. Le fait que certains modèles eurent plus ou moins de succès les classent par degré de rareté auprès des collectionneurs. Ajoutons encore que quelques modèles eurent une variant au fil des années tel « Côte d’azur » qui eut un oiseau puis le perdit, ou même changèrent de nom tel « Squaw valley » qui devint « Grenoble 68 » en conservant le même numéro. A noter que la sociéte MASPORT reproduit quelques modèles en exclusivité ( 6 et deux couples : Parisienne, Miss Twist, Opéra, Starlett, Avocate , Dîner aux chandelles ») dans un materiau plus durable mais en utilisant le même emballage. Copyright François THEIMER
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