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[Equipe Multisectorielle de Djibouti] Page 1 danbs Unité Egalité Paix Programme Détaillé pour le Développement de l’Agriculture Africaine(PDDAA) Comprehensive Africa Agriculture Development Programme (CAADP) East and Central Africa Regional CAADP Nutrition Program Development Workshop Atelier PDDAA de développement des capacités en Nutrition pour l’Afrique de l’Est et centrale - Dar-es-Salaam, 25 février au 1 er mars 2013 Compte-rendu sur les travaux de groupe par pays PLAN D’ACTION POUR L’INTEGRATION DE LA NUTRITION DANS LE PDDAA DJIBOUTI

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danbs

Unité – Egalité – Paix

Programme Détaillé pour le Développement de l’Agriculture Africaine(PDDAA)

Comprehensive Africa Agriculture Development Programme (CAADP)

East and Central Africa Regional CAADP Nutrition Program Development Workshop

Atelier PDDAA de développement des capacités en Nutrition pour l’Afrique de l’Est et centrale

- Dar-es-Salaam, 25 février au 1er mars 2013

Compte-rendu sur les travaux de groupe par pays –

PLAN D’ACTION POUR L’INTEGRATION DE LA NUTRITION DANS LE PDDAA

DJIBOUTI

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Contenu

Objectif du travail de groupe ............................................................................................ 4

Contexte ................................................................................................................................ 4

Analyses des problèmes nutritionnels ............................ Error! Bookmark not defined.

Buts, objectifs et activités en lien avec la nutrition ...... Error! Bookmark not defined.

Indicateurs relatifs à des progrès dans la situation nutritionnelleError! Bookmark not defined.

Arrangements institutionnels et mécanismes de coordinationError! Bookmark not defined.

Capacités nécessaires à la prise en compte de la nutritionError! Bookmark not defined.

Calcul des coûts / Financement ........................................ Error! Bookmark not defined.

Prochaines étapes ................................................................ Error! Bookmark not defined.

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Participants

Nom Position Organisation Email

M.MOUSTAPHA HASSAN ALLALEH Chef de Service de la Pêche et Chef de

l’Equipe Nationale/

DP/ MAPE/RH [email protected]

M.ABDI ELMI BOGOREH Conseiller Technique du Ministère de

l’Agriculture

MAPE/RH [email protected]

M.IBRAHIM DJAMA ISMAEL Chef de la Subdivision Santé Animale DESV/MAPE/RH [email protected]

Mme SALAMA ISMAEL HERSI Coordinatrice du Programme National de

Nutrition

/ Ministère de la Santé [email protected]

Dr. NIMO IBRAHIM AIBO Médecin à la Sante Publique / Ministère de la Santé [email protected]

M.SAID MOHAMED BARKAT Point Focal Environnement / Santé/

CRIPEN/

Ministère de l'Education Nationale [email protected]

M.HOUSSEIN ADEN YOUSSOUF Chef de Service des Statistiques et de La

Nomenclature/

Ministère de finances [email protected]

M. ABDOURACHID OMAR ELMI Président du PFCAD / Société Civile [email protected]

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Objectif du travail de groupe

Le principal Objectif du travail de groupe est que le groupe Parvienne à un consensus sur les principaux problèmes nutritionnels dans leur pays et de faire

des propositions pour s’assurer que les problèmes nutritionnels sont effectivement pris en compte dans les stratégies agricoles. Les principaux noms des

documents de politique qui ont été spécifiquement révisés lors du travail de groupe par pays sont notamment :

Plan d’action du Programme National de Sécurité Alimentaire (Le PNSA 2012-2017)

‘’Djibouti Nutrition Country Paper’’ (dont l’équipe multisectorielle a contribué à son élaboration)

Cadre politique et stratégique du programme national de nutrition 2007

Contexte

Djibouti est un Pays en déficit alimentaire chronique et permanent, en raison des conditions défavorables, l’agriculture y peut développé et

l’élevage est peut productif car en proie aux désastres naturels comme les sécheresses récurrentes et le changement climatique

Le pays est donc totalement dépendant des importations pour couvrir ses besoins alimentaires et est donc hautement vulnérable aux chocs

extrêmes comme les hausses soudaines des prix de la nourriture ou du pétrole.

Sous-secteur de l’Elevage. L’élevage contribue à hauteur de 75% au PIB agricole. L’élevage contribue à hauteur de 75% au PIB agricole. Près

de 16% de la population est impliquée directement par ce sous-secteur, mais si l’on tient compte des emplois induits par celui-ci, ce sont près

de 30 % de la population qui vit de l’élevage et de ses activités connexes. L’effectif du cheptel est de 774 336 têtes selon le dénombrement

effectué par le MAPERH en 2009, enregistrant ainsi une baisse de 30% par rapport aux effectifs recensés antérieurement, imputable aux

effets dévastatrices des sécheresses récurrentes de ces dernières décennies. On estime que 70% du cheptel est composé de caprins,

beaucoup plus résistants aux dures conditions du milieu naturel. La production de lait a une contribution significative à la sécurité alimentaire

des ménages. Il existe de plus en plus d’élevage sédentaire pratiqué dans les exploitations agricoles, en particulier dans la périphérie des villes

et notamment de Djibouti Ville. Celui-ci est plus monétarisé et une partie de sa production est commercialisée dans les centres urbains.

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Sous-secteur de l’Agriculture. La production végétale se limite à une agriculture oasienne, associée très souvent à un élevage sédentaire.

Pour une superficie cultivable potentielle de 120 000 ha dont 10 000 ha facilement irrigables le long des oueds dont un peu plus de 1 000 ha

seulement sont actuellement exploités. Les potentialités agricoles du pays sont

limitées par : (i) la pauvreté des sols (notamment en éléments organiques) ; (ii) par le niveau faible et aléatoire des précipitations qui sont en

moyenne de 150 mm; (iii) par de fortes températures variant de 30 à plus de 45° occasionnant une forte évapotranspiration (1800 mm).

Ces conditions agro-climatiques ne permettent que la pratique d’une petite agriculture irriguée, de type oasien dont la production est

dominée par le maraîchage sur de petites exploitations traditionnelles familiales (de l’ordre de 0.5 ha en moyenne), dont les femmes jouent

un rôle de plus en plus important en participant aux activités de production et surtout du transport et de la commercialisation des produits.

Les faibles rendements sont dus à la mauvaise maîtrise des techniques agricoles, notamment en ce qui concerne les techniques d’irrigation et

l’emploi de moyen d’exhaure inadapté (motopompe). La production est de l’ordre de 10.000 tonnes et ne couvre qu’environ 10 % des

besoins de la population.

Sous-secteur de la Pêche. Le secteur de la pêche est dominé par la pêche artisanale. Avec 380 km de côtes, la surface du plateau continental

des eaux marines Djiboutiennes exploitable par la pêche est d’environ 2 280 km2. Les potentialités halieutiques sont estimées à 47 000 tonnes

en tenant compte des seuils d’exploitation soutenables (toutes espèces confondues). La production nationale enregistrée en 2010 -2011n’est

que d’environ 1 600 à 2000 tonnes seulement et la consommation de poisson est de 2.Kg/ hab. / an, ce qui représente une faible contribution

aussi bien au PIB du secteur primaire qu’à la sécurité alimentaire des ménages.

L’état d’avancement de Djibouti dans le processus du PDDAA :

Concernant ce processus, les actions suivantes sont réalisées :

1. Lancement du processus PDDAA ou CAADP au niveau national en novembre 2007 (atelier national)

2. Elaboration du document CAADP Review and Stocktaking en 2007

3. Désignation d’un nouveau point focal en septembre 2010

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4. Désignation de l’Equipe-pays (country-team) qui comprends l’administration, la société civile, le secteur privé, les associations, des

producteurs agro-pastorales, les donateurs, etc…

5. Elaboration de l’INDS (Initiative Nationale pour le Développement Social) qui est un cadre national pour notamment contribuer à la

lutte contre la pauvreté ;

6. Elaboration Plan Directeur du Développement du secteur primaire 2010 – 2020

7. Elaboration de document de référence sur la situation alimentaire et nutritionnelle de Djibouti (décembre 2007)

8. Elaboration du programme national de sécurité alimentaire (PNSA) qui est le programme d’investissement du secteur primaire 2010-

2015 et qui regroupe 13 projets prioritaires

9. Signature officielle avec médiatisation du Pacte (Ministre de l’Agriculture, des Finances, UA, COMESA, Secteur Privé, Société Civile,

Organisation des Professionnels, Chef de File des partenaires au développement, 19 avril 2012 à Djibouti)

Les étapes suivantes sont à venir :

10. Inclusion de la nutrition dans le PDDAA en cours de finalisation (atelier de Tanzanie)

11. Table Ronde des Bailleurs de Fonds

En préparation de l’Atelier Nutrition du PDDAA en Afrique de l’Est et Centrale prévu à Dar-es-Salam (Tanzanie) du 25 février au 1er mars 2013

les activités clés suivantes qui ont été mises en œuvre :

-Constitution de l’équipe nationale multisectorielle (agriculture, santé, éducation, finances, ., secteur privé et société civile).

-contribution à l’élaboration au document intitulé ‘’ Djibouti Nutrition Country Paper’’

-Identification des documents de politiques et stratégies agricoles pertinentes (dont le plan nation d’investissement agricole et de sécurité

alimentaire (PNSA)

-Organisation d’une réunion préparatoire à l’atelier avec l’équipe pays dont l’objectif principal consistait à élaborer le Nutrition Country Paper

qui doit aider la Country Team à avoir une vision commune et à jour de la situation nutritionnelle actuelle dans le pays, des principales

réalisations et des défis rencontrés tant au niveau opérationnel que politique.

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1. Analyses des problèmes nutritionnels Oui /Non Commentaires

1. Quels sont les principaux problèmes nutritionnels dans votre pays ?

Comment les taux de malnutrition ont-ils évolué dans les 10 dernières

années ? Anticipez-vous des changements de ces taux dans les 10

prochaines années ? Quelles sont les raisons de ces changements ?

les principaux problèmes nutritionnels de Djibouti sont :

malnutrition chronique 31 % (SMART 2011)

insuffisance pondérale23 % (SMART 2011)

malnutrition aigüe10 % (SMART 2011)

Carence en micronutriments (fer acide folique,

vitamines A, Iode, …)

2. Y a-t-il des zones géographiques ou des groupes de population (par âge,

genre et/ou groupe socioéconomiques, etc.) plus vulnérable à la

malnutrition? Lesquels, et pourquoi ? Les femmes enceintes, allaitantes et

les enfants de moins de cinq ans

Oui, car La malnutrition aiguë globale est plus élevée parmi les

enfants vivant dans le milieu rural que parmi ceux du

milieu urbain (taux de MAG de 11,4% vs 8,5%).

les enfants de 6-11 mois dans les milieux urbains sont

plus affectées par la malnutrition aiguë.

C’est dans la ville de Djibouti, plus particulièrement dans

le secteur de Balbala où l’on retrouve le plus d’enfants

souffrant de Malnutrition Aiguë globale.

Par rapport aux 5 régions de l’intérieur, c’est la région de

Dikhil qui présente le plus d’enfants souffrant de

Malnutrition Aiguë.

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3. Est-ce que les principaux problèmes nutritionnels et les causes de la

malnutrition sont-ils déjà identifiés dans votre PNIASA ? Si non, quelles

informations complémentaires devraient-être ajoutées ?

les principaux problèmes nutritionnels déjà identifiés dans le PNSA sont :

(i) un important retard de croissance (30,8% en moyenne; 37,3% en zones

rurales) et (ii) une prévalence des maladies infantiles et de la tuberculose

(l’une des plus fortes du monde avec 1 104 cas pour 100 000 habitants).

principale cause de la malnutrition selon le PNSA :

« Les taux de malnutrition parmi les enfants se détériorent par manque

de lait, principale source de nourriture des enfants de moins de cinq

ans ».

Les principaux problèmes nutritionnels et causes de la

malnutrition sont donc pris en compte de manière incomplète

dans le PNSA

Les informations suivantes doivent être incluses :

- Présentations et principales tendances des différentes

formes de malnutrition:

o Malnutrition chronique chez les enfants de moins

de 5 ans (31%, SMART 2010) ;

o Malnutrition aiguë chez les enfants de moins de 5

ans (10%, SMART 2010) ;

o Insuffisance pondérale chez les enfants de moins

5 ans (23% SMART 2010) ;

Caractéristiques / Principales causes de la malnutrition en

lien avec la situation économique et la sécurité alimentaire

- Faiblesse de la production agricole et insécurité alimentaire chronique liée à la fréquence accrue des sécheresses pour les ménages pastoraux

- Forte dépendance aux marchés et à l’aide alimentaire des ménages urbains et des ménages pastoraux pour leur alimentation. Forte incidence de la hausse des prix sur l’insécurité alimentaire des ménages

- Fort taux de chômage et manque d’opportunités de revenus en milieu rural et urbain

- Flux migratoire important de populations arrivant en

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mauvais état de santé posent des problèmes accrus de santé et de disponibilité des ressources

- Afflux constant de demandeurs d’asile somaliens augmentent la population vulnérable

- Habitudes alimentaires conduisent à une alimentation qualitativement non équilibrée liées (faible consommation de fruits et légumes et d’aliments riches en protéines).

- Accès insuffisant à la nourriture et insuffisance des pratiques de soins aux enfants, faible hygiène du milieux et accès insuffisant aux soins médicaux (faible Taux de l’AME, alimentation complémentaire et sevrage précoce, introduction tardive des aliments complémentaires après 6 mois).

-Inaccessibilité des produits de la pêche source de protéine

et de vitamine A et iode par les tranches des populations les

plus vulnérables notamment les régions de l’intérieur les

quartiers périurbains de la capitale.

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2. Buts, objectifs et activités en lien avec la nutrition Oui /Non Commentaires

4. Que souhaitez-vous réellement atteindre en terme de nutrition (quels

objectifs spécifiques ? quelles cibles ?) et que vous devriez inclure dans

votre compact PDDAA et / ou Plan d’investissement PDDAA afin d’assurer

que la nutrition soit réellement prise en compte )

.

L’objectif général du PNSA est d’ « assurer l’accès de tous les Djiboutiens, à tout moment, aux aliments nécessaires pour mener une vie saine et active à l’horizon 2025 ».

Les objectifs spécifiques mesurables en lien avec la nutrition à inclure dans le PNSA :

OS 1 : « Augmenter la consommation nationale de produits halieutiques d’ici 2017 pour atteindre une consommation de poisson de 10kg/par habitant ».

OS2 : « s’assurer que les 28000 tonnes des petits pélagiques non exploités chaque année soient consommées d’ici 2017».

OS3 : mener un vaste Programme IEC pour l’amélioration des habitudes alimentaires axées sur la consommation et la diversification des produits marins, de la spiruline et de la farine fortifiée.

Cibles : Familles des pêcheurs et mareyeurs, les ménages les

plus vulnérables des zones péri-urbaines et rurales

5. Sur la base des objectifs nutritionnels (en lien avec l’agriculture) que vous

vous avez formulés précédemment, comment pourrait être

révisés/formulés les objectifs dans le PNIASA afin de mieux prendre en

compte les problématiques nutritionnelles ?

L’équipe intersectorielle recommande, que les capacités

suivantes sont nécessaires à la prise en compte de la nutrition

dans le PNSA :

Capacités issues de la collaboration avec le

Ministère de la santé, de l’éducation (ministères

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clés):

- Education nutritionnelle, Enseignement de la nutrition

dans les établissements scolaires primaires, jardin

scolaire formations des formateurs pour créer des

réseaux de vulgarisation

Capacités issues de la collaboration avec le

Ministère du commerce et des finances :

- Fortification des denrées alimentaires ;

- Améliorer l’accessibilité financière de denrées

alimentaires fortifiées.

Les Rôles et responsabilités de ces différentes

institutions seront déterminés lors d’atelier

multisectoriel. La principale structure responsable

pour gérer et coordonner les composantes du

PNSA en lien avec la nutrition est et restera le

Ministère de L’agriculture.

Cette coordination intersectorielle (l’équipe

actuelle constituée et formée) est à maintenir.

Cette équipe sera chargée de veiller que les

interventions axées sur la nutrition identifiés

soient mis en œuvre et trouvent leurs impacts

réels dans des actions inclusives.

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Buts, objectifs et activités en lien avec la

nutrition(Suite)

Oui /Non Commentaires

6. Quelles interventions pourraient être mise en place pour atteindre les

objectifs fixés et répondre aux besoins des populations ciblés ?

NB : Pensez à ce qui a marché / n’a pas marché dans votre pays. Essayez de

vous appuyer sur des initiatives qui ont été des succès et pensez à comment

tirer profit des investissements en cours. Assurez-vous que les interventions

identifiées sont adaptées aux différents groupes de population et à leurs

moyens de subsistances. Pour les interventions identifiées, demandez-

vous :

Est-ce que ces interventions sont pertinentes/permettent de répondre

aux problèmes nutritionnels identifiés et de prendre en compte les

causes de la malnutrition ?

Sont-elles réalisables vu les capacités existantes dans le pays

(techniques, institutionnelles et financières) ? Quelles interventions sont

les plus à même d’atteindre vos objectifs / les impacts attendus avec le

minimum de moyens financiers additionnels ?

Quelles sont les principales contraintes à leur mise en œuvre ? Est-il

possible de trouver des solutions à ces contraintes ?

Quelles interventions permettraient de créer des synergies /

complémentarités (entre programmes et secteurs, entre opérationnel et

politique) ?

Les interventions qui pourraient être mise en place sont :

Promouvoir le leadership de sorte à considérer

l’agriculture sensible à la Nutrition comme un

indicateur de développement ;

- Plaidoyer de l’intégration de la nutrition au niveau des

toutes les institutions concernées (Agriculture,

Education, Santé, Promotion de la femme, Finances,

Commerce, secteur privé) ;

- Sensibilisation des différents acteurs de l’agriculture

notamment ceux du secteur de la pêche à augmenter la

production des petits pélagiques (sardines,

maquereaux), variés et riche en nutriments ;

- Promotion de la consommation des petits pélagiques

(28000 tonnes) auprès des Cantines scolaires avec le

soutien du Ministère de l’Education et du PAM ;

- Promotion de la culture et de la consommation

spiruline

Appui aux groupes vulnérables

- Promotion de l’aviculture, au niveau des coopératives

féminines en zone rural et péri urbaine (déjà prise en

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compte dans le PNSA)

- Promotion de l’élevage des caprins au niveau des

ménages en zone en rural et péri urbaine ;

Renforcer les capacités des structures déjà existantes

(les coopératives féminines, centres de formation des

professionnelles des secteurs de l’agriculture (pêche)).

- Production de spiruline pour lutter contre la

malnutrition

- fortification de la Farine enrichi en micronutriments,

iodation du sel localement produit.

Promouvoir la recherche agricole orienter vers à la

nutrition à travers la promotion de l’aquaculture, de la

phoeniciculture, l’horticulture.

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5. Indicateurs relatifs à des progrès dans la situation

nutritionnelle

Oui /Non Commentaires

7. Quels indicateurs devraient être inclus afin de pouvoir suivre les progrès dans la réalisation des objectifs fixés ? Sont-ils déjà inclus dans le PNIASA ?

-

Les indicateurs à inclure :

- Nombre d’agricultures ayant augmenté la production

des produits locaux varié et riches en micronutriments ;

- Nombre de réseaux de vulgarisation de la nutrition sur

les bonnes pratiques nutritionnelles ;

- quantité de produits alimentaires fortifiés.

- Nombre de pécheurs impliqué dans la production de

pélagiques

- Taux de consommation de poisson/habitant/an

- L’apport calorique et protéinique/habitant/jour

- Indicateurs anthropométriques (Poids, Taille,

Périmètre brachiale)

- Nombre de structures de formations et de

coopératives renforcés ;

-

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8. Des activités pour renforcer les systèmes d’information sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle devraient-elles être intégrées dans le PNIASA ?

activités pour renforcer la collecte et l’analyse des données

sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle :

IL faudra mettre en place un système harmonisée et

coordonné de collecte et d’analyse des données : Création

d’une Cellule Nationale de Suivi-évaluation qui doit être

alimentée en données par différentes sources des instituions

étatiques, Onusiennes et ONG concernées

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6. Arrangements institutionnels et mécanismes de

coordination

Oui /Non Commentaires

9. Quels sont les principaux acteurs (institutions nationales, partenaires de développement, secteur privé) et les initiatives (SUN, REACH, etc.) qui devraient être impliqués pour renforcer l’impact nutritionnel du PNIASA? Leurs rôles et responsabilités sont-ils clairement définis dans le PNIASA ? Quelle est la principale structure responsable de gérer/coordonner les composantes du PNIASA en lien avec la nutrition ? Est-ce pertinent ?

Arrangements institutionnels et mécanismes de coordination

Les principaux acteurs (institutions nationales) concernés :

- Ministère de l’agriculture

- Ministère de la santé

- Ministère de l’intérieur (département de gestions des

risques et catastrophes naturelles)

- Ministère du commerce

- Ministère des Finances

- Ministère de l’Education

- Secteur Privé

Organisations régionales :

Coopérations régionales dans le cadre du COMESA

IGAD: one of the objectives of the organization to assist and

complement the efforts of the Member States to achieve food

security;

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NEPAD /CADAAP, Food Security and Nutrition Working Group:

Fonds Global pour l’Agriculture et la Sécurité Alimentaire

(GAFSP).

Principaux bailleurs humanitaires (2012) : Japon, Allemagne,

OFDA, ECHO, Canada ;

Les partenaires au développement (FAO, PAM, UNICEF)

Commission européenne, Banque Mondiale, ADB, FMI

Les Rôles et responsabilités de ces différentes institutions

seront déterminés lors d’atelier multisectoriel.

La principale structure responsable pour gérer et coordonner

les composantes du PNSA en lien avec la nutrition est le

Ministère de L’agriculture.

cette coordination intersectorielle est à maintenir (néanmoins

il faut s’assurer du leadership de l’institution qui gère la

coordination c’est à dire le Ministère de l’Agriculture et

s’assurer également du suivi /Evaluation) car les interventions

axés sur la nutrition identifiés pour qu’ils soient mis en œuvre

et trouvent leurs impacts réels doivent recevoir des actions

inclusives.

Djibouti souhaite également collaborer et adhérer avec le

REACH et le SUN (mouvement de renforcement de la

Nutrition).

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10. Quels besoins nécessitent d’être coordonnés ? Dans quel but : que

souhaitez-vous atteindre avec la coordination ?

La stratégie de la sécurité alimentaire et nutritionnelle peut se

fonder sur des programmes sectoriels ou sous-sectoriels

(agriculture, pêche, santé, enseignement, travaux publics,…)

gérés par des départements ministériels clairement identifiés,

mais d’autres activités concernant toute la population

peuvent relever d’un ministère ou de la coordination de

plusieurs ministères (formation professionnelle, promotion

des femmes, politique de l’emploi, redistribution des revenus,

crédit et micro-finance, respect de l’environnement,…).

11. 14. Quel type de mécanisme de coordination pensez-vous être le plus efficace dans votre pays pour atteindre les objectifs de coordination en termes de nutrition ?

la sécurité alimentaire étant par essence multisectorielle, Le type de mécanisme de coordination le plus efficace dans le pays pour atteindre les objectifs de coordination en termes de nutrition serait de fusionner le cluster sécurité alimentaire et le cluster nutritionnel respectivement appuyés techniquement et financièrement par la FAO et l’UNICEF par une plateforme politique nationale multisectorielle de la sécurité alimentaire et nutritionnelle assisté par des groupes de travail techniques et ce sous l’égide du Ministère de l’agriculture et l’appui financier de la FAO et et l’UNICEF.

12. Quels mécanismes de coordination sont suggérés dans le PNIASA ? Sont-ils

pertinents pour la coordination et la communication sur la nutrition ? Si non, comment peuvent-ils être renforcés pour assurer une coordination optimale (entre les différents secteurs travaillant sur la nutrition et au sein du secteur agricole) ?

Aucun mécanisme de coordination et de communication sur la nutrition n’est suggéré dans le PNSA ! Par conséquent, Il s’avère nécessaire d’institutionnaliser la plateforme politique nationale multisectorielle de la sécurité alimentaire et nutritionnelle et l’actuelle équipe multisectorielle du pays comme groupe de travail technique

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7. Capacités nécessaires à la prise en compte de la

nutrition

Oui /Non Commentaires

13. Quelles capacités sont nécessaires à l’atteinte de vos objectifs et à la mise en œuvre de vos interventions ? Ces capacités existent elles dans votre pays ?

Capacités nécessaires à la prise en compte de la nutrition

dans le PNSA

Capacités du secteur de la pêche à renforcer par des

appuis techniques et financiers (augmentation de la

production des pélagiques) ;

Capacités issues de la collaboration avec le Ministère

de la santé, de l’éducation :

- formations des formateurs pour créer des réseaux de

vulgarisation de la nutrition;

- Promotion de la consommation de pélagiques au niveau

des cantines scolaires ;

- Projet des potagers au sein des établissements

scolaires ;

- Promotion de la consommation de spiruline ;

Capacités issues de la collaboration avec le Ministère

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du commerce et des Finances :

- Fortification des denrées alimentaires largement

consommés ;

- Améliorer l’accessibilité financière de denrées

alimentaires fortifiées ;

Capacités issues de la collaboration avec le secteur

privé

- Construction des entrepôts d’enrichissement de la

farine et du sel.

14. Quels sont les partenaires qui peuvent apporter un soutien technique et institutionnel afin de développer les capacités nécessaires?

Les Principaux partenaires techniques et financiers qui

peuvent apporter un soutien technique et institutionnel afin

de développer les capacités nécessaires :

Organisations humanitaires impliquées dans la sécurité

alimentaire et la nutrition : PAM, FAO, UNICEF, OIM, Caritas,

CRS, IDRB, EVA, ACF, CARE International, LWF, JUH, UNFD,

Paix et Lait, Al-Biri

Principaux bailleurs humanitaires (2012) : Japon, Allemagne,

OFDA, ECHO ;

Bailleurs au développement : Commission européenne,

Banque Mondiale, ADB, FMI :

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15. Des activités en termes de développement des capacités doivent-elles être inclues/ajoutées dans le PNIASA afin de soutenir la mise en œuvre de vos objectifs nutritionnelles? Si oui lesquelles et dans quel but ?

Les activités en termes de développement des capacités qui

doivent être incluses dans le PNSA afin de soutenir la mise en

œuvre des objectifs nutritionnelles sont ceux déjà cités (voir

Q11).

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16. La mise en œuvre des activités/recommandations que vous avez identifiés exige-t-elle des ressources supplémentaires par rapport à ce qui a déjà été prévu dans le PNIASA?

Des ressources supplémentaires par rapport à ce qui a déjà été prévu dans le PNIASA sont

nécessaires afin de mettre en œuvre ces activités visant à améliorer la situation nutritionnelle

de la population en ciblant les groupes vulnérable identifiés communément par le Programme

Nationale de Nutrition et le PNSA.

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8 . Prochaines étapes

Oui /Non Commentaires

NB. Prenez en compte :

- Comment chaque membre de

l’équipe va-t-il rendre compte à sa

propre organisation?

- Comment sensibiliser/inclure les

décideurs afin qu’ils prennent en

compte les recommandations

issues de l’atelier ?

- Quels sont les évènements /

opportunités au cours du processus

du PDDAA pour intégrer vos

suggestions en matière de nutrition

?

- Qui sera le principal contact pour

les questions relatives à la nutrition

dans le processus du PDDAA après

l’atelier ?

Les membres de notre groupe vont tenir une réunion de concertation et nous allons élaborer

un rapport commun destiné à nos décideurs

La tenue d’un atelier national organisé conjointement par les Ministères de l’Agriculture et

de la Santé s’avère nécessaire ou y seront conviés toutes les parties prenantes.

(La cérémonie d’ouverture doit être présidée par les deux Ministres respectifs)

Objectifs spécifiques à la Nutrition Lien avec les piliers du PDDAA

Promouvoir le leadership de sorte à

considérer l’agriculture sensible à la

Nutrition comme un indicateur de

développement

Pilier 4. Recherche agricole,

diffusion et adoption des

technologies

Appui aux groupes vulnérables et

renforcement des capacités structures

déjà existantes (institutions des

coopératives, centres de formation des

professionnelles des secteurs de

l’agriculture).

Pilier 3 Fourniture de produits

vivriers et lutte contre la faim

Pilier 2 Accès aux marchés -

améliorer les infrastructures rurales

et les capacités liées au commerce

pour l’accès au marché

Promouvoir la recherche agricole orienter

vers à la nutrition

Pilier 4. Recherche agricole,

diffusion et adoption des

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technologies

- L’obtention d’un appui technique et financier des partenaires au

développement pour la mise en œuvre de ce processus d’intégration de la

nutrition.

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Activités Sous-activités Personne responsable Date Commentaires (par ex: ressources nécessaires, possibles contraintes)

Mise en place d’un Programme IEC parallèlement mené avec tous les activités

Tenue d’un atelier national de restitution et de validation du plan d’action d’intégration de la nutrition dans le PDDA pour une meilleure appropriation de toutes les parties prenantes.

Equipe multisectorielle Avant fin 2013

Appui financiers (PAM, Unicef,FAO,FIDA ,,ADDS

mise en place d’un système performant d’Information, d’Education et de Communication en nutrition en vue d’améliorer les pratiques d’alimentation des groupes cibles dans toutes les activités du plan d’action

Ministère de l’éducation Appui financiers (PAM, Unicef,FAO,FIDA ,,ADDS

Promotion de la

production des petits

pélagiques à travers la

pêche côtière

Renforcement des capacités de production et de

commercialisation et de distribution des petits

pélagiques pour une meilleure accessibilité de produits

de la pêche par les ménages les plus vulnérables

sensibilisation : volet IEC

Ministère de l’agriculture / l’éducation, ministère de la promotion de la femme Bailleurs de fonds

Avec 380 km de côtes, et des potentialités

halieutiques estimées à 47 000 tonnes,

Djibouti se doit d’atteindre à l’horizon

2017 une consommation de poisson est

de 10 Kg/ hab. / an,

Appui financiers (PAM, Unicef,FAO,FIDA ,,ADDS)

Production de spiruline Introduire et Promouvoir la culture artisanale de la spiruline pour améliorer la qualité nutritionnelle des populations vulnérables -sensibilisation : volet IEC

Ministère de l’agriculture, Ministère de la santé, Ministere de l’education

Moyens d’expertise humaine qualifiée et de moyens financiers, Appui technique et financiers (FAO, PAM, Unicef, OMS)

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Activités Sous-activités Personne responsable Date Commentaires (par ex: ressources nécessaires, possibles contraintes)

Renforcement l’élevage des caprins

Création des filets sociaux et des petits projets générateurs de revenus (au niveau des coopératives féminines en zone rural et péri urbaine sensibilisation : volet IEC

Ministère de la promotion de la femme, ministère de l’agriculture

Janvier 2014 Appui financiers (PAM, Unicef,FAO,FIDA ,,ADDS

fortification de la farine produite dans les fermes agricoles concédées par l’Ethiopie et le Soudan.

Expérimentation Pilote de la fortification de la farine produite dans les Fermes Et rendu accessibles aux populations vulnérables (mères et enfants) sensibilisation : volet IEC

SDSA –exploitant privé (Ministère de l’Agriculture /de la santé /Ministère du commerce et des Finances

décembre 2013

Appui financiers (PAM, Unicef,FAO,FIDA ,,ADDS