DIM 11 NOV 18H THE TALKING TREE EVENT · 2010. 2. 18. · et Elias Davidsson sur un ordinateur IBM...
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Chorégraphie et textes créés et interprétés par (inspirés par PONI Project 2 : Soma Sema) Erna Ómarsdóttir Musique écrite (à l’occasion de PONI Project 2 : Soma Sema) et interprétée par Lieven Dousselaere (guitare) Production/diffusion : Esther Welger-Barboza
DIM 11 NOV 18H THE TALKING TREE EVENT
The talking tree est l’arbre de vie, de prospérité… C’est une créature mi-homme mi-arbre née en 2006, lors du 250e anniversaire de Mozart à Salzbourg dans le cadre de AUF DER TISCH, un projet initié par Meg Stuart. Elle s’est développée pendant la création du PONI Project 2 Soma Sema en une sorte de conteur : un arbre chantant et dansant d’étranges histoires de personnages issus du monde de Soma Sema et de PONI. The talking tree, pense être un prophète omniscient, vieux de 3000 ans, avec des pouvoirs alchimiques. Il est suivi par une mélodie – chacun étant l’esclave de l’autre mais ne pouvant exister sans l’autre – personnage de la destinée, clown triste, corps saignant et showman. Ils ont mission de parcourir la terre en racontant des histoires, certaines ayant le pouvoir de changer le monde. / www.ernaomarsdottir.com
The mysteries of love est la deuxième collaboration entre Erna Ómarsdóttir et Jóhann Jóhannsson après IBM – 1401, a user’s manual où étaient déjà bousculées les limites entre concert vocal et re-présentation chorégraphique : aux phrases mélodiques se joignent des cris primitifs, grondements hard-rock, chants de sirène, respirations ou gestes violents qui affectent la voix. Le projet a été imaginé comme un ensemble de dix chansons suivant la même structure, en combinant musique, gestes, chant, mots et performance. Par une approche sociologique et anthropologique, avec hu-mour et exubérance, les thèmes de l’adolescence sont explorés : transformation du corps et de la
Conception : Erna Ómarsdóttir et Jóhann Jóhannsson / Création et interprétation : Margrét Sara Gudjónsdóttir, Jóhann Jóhannsson, Erna Ómarsdóttir, Flosi Thorgeirsson et Valdimar Johannsson / Assistante à la dramaturgie : Karen Maria Jonsdottir / Lumières : Sylvain Rausa / Son : Pall Einarsson / Production et diffusion : Esther Welger-Barboza / Coproduction : Festival d’Avignon 2005 ; CCN de Franche-Comté, Belfort ; Théâtre Lantaren/Venster, Rotterdam ; Emilia Romagna Teatro Fondazione, Modena / Résidence de création : La Ferme du Buisson – Scène nationale de Marne-la-Vallée / Merci à Haraldur Jonsson, Ivar Ragnarsson, Arié Van Egmond
personnalité, humeurs, émotions et mystères qui leur sont liés, structures sociales spécifiques (groupes de filles, chefs de bandes, stigmates sociaux, hiérarchie des cercles adolescents). La première chanson est issue d’une comptine islandaise où se mêlent horreur, beauté, émotion et ironie. Le titre est emprunté à la chanson-phare du film Blue Velvet de David Lynch.www.ernaomarsdottir.com
Lieven Dousselaere, musicien bruxellois (guitare, voix, électro), a créé avec son frère Benjamin (basse, voix, électro) le groupe Tape Tum à la fin de ses études de psychologie et science comparée de la culture. Ils écrivent de la musique de film ou accompagnent performances et installations. En 2002, Lieven est le musicien et l’interprète de Raimund Hoghe, proche collaborateur de Pina Bausch, pour Young people, old voices. Il se joint ensuite au collectif belge PONI pour le PONI Project 1 The bacterial tour et le PONI Project 2 Soma Sema présenté à la Base sous-marine samedi 17 novembre à 20h30. Il compose la musique de We are all Marlene Dietrich FOR (Base sous-marine dimanche 18 novembre à 20h30) et The talking tree, event (Base sous-marine dimanche 11 novembre à 18h00) et avec Tape Tum, d’Ófætt (Base sous-marine mardi 13 novembre à 23h00) et Chuck Norris doesn’t sleep, he waits (Base sous-marine samedi 17 novembre à 19h30). / www.tapetum.de
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ERNA ÓMARSDÓTTIR (ISLANDE)LIEVEN DOUSSELAERE (BELGIQUE)WORK IN PROGRESS(45 MN) BASE SOUS-MARINE / LE CLUB // BORDEAUX
LUN 12 NOV 20H30 THE MYSTERIES OF LOVE ERNA ÓMARSDÓTTIR JÓHANN JÓHANNSSON (ISLANDE)(55 MN) CARRE DES JALLES // ST MEDARD EN JALLES
LUN 12 NOV 22H TAPE TUMCARRE DES JALLES // ST MEDARD EN JALLES
Salva Sanchis : « Mes trois derniers projets reposaient sur la musique jazz. J’éprouve maintenant le besoin profond de revenir à l’exploration du mouvement lui-même ». Still live explore le mouvement et l’immobilité, la composition musicale et le silence, l’imperceptible et les sensations. Le chorégraphe s’est inspiré de Reigen seliger geister, la « Ronde des esprits bienheureux » d’Helmut Lachenman, son deuxième quatuor, composé comme un grand corps à seize cordes, et du travail de ce dernier sur la composition, la perception et l’espace. Still live est un projet de Rosas, compagnie de danse d’Anne Teresa de Keersmaeker, conçu avec le plasticien Kristof van Gestel et les danseuses Manon Santkin et Mioko Yoshihara. / www.rosas.be
Chorégraphie : Salva Sanchis / Créé avec et dansé par : Salva Sanchis, Manon Santkin et Mioko Yoshihara / Décor : Kristof van Gestel / Musique Quatuor à cordes n° 2 Reigen seli-ger geister d’Helmut Lachenman et Terminal pharmacy de Jim O’Rourke / Production : Rosas & De Munt / La Monnaie / Coproduction : Mercat de les Flors, Barcelona ; Tanzhaus NRW, Düsseldorf ImpulsTanz, Wien©
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MAR 13 NOV 19H STILL LIVESALVA SANCHIS (ESPAGNE)COMPAGNIE ROSAS (BELGIQUE)EN PREMIERE FRANÇAISE
(60 à 80 MN) LE CUVIER / CDC D’AQUITAINE // ARTIGUES-PRES-BORDEAUX
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Dead meat parle du pouvoir et de son usage, de l’individu face à la communauté, la foule face à la religion, l’emploi face à l’employeur, les amoureux dans leur relation, et l’interprète face au public. Rassemblés autour d’un corps exposé, jouant pour et avec vous. www.ernaomarsdottir.com / www.dorkypark.prg / www.g-v.fr
Conception et interprétation : Margrét Sara Gudjónsdóttir et Knut Berger / Musique : David Kiers / Une production Panic Productions
Ófætt (Unborn), prononcer [éfèyt], est basé sur le concept d’élan vital du philosophe Bergson : la ma-nière dont la vie s’inscrit dans la matière de façon imprévisible, déclinant ses possibilités d’évolution à l’infini. Erna Ómarsdóttir : « Damien et moi revenons à l’instinct, avec un lien très fort entre nous deux. Comme une poétique d’un monde antérieur qui aurait à voir avec la conception. Il est question de mutation, avec un bestiaire qui se prête à toutes ces métamorphoses. » Une créature hybride s’ébroue, Erna sur le dos de Damien, visage caché, voix sourde. On ne démêle plus l’un de l’autre, masculin-féminin déjoué. Une plongée dans la matière qui nous constitue pour donner naissance à une géographie de nos zones troubles. www.ernaomarsdottir.com
Conception et création : Damien Jalet , Erna Ómarsdóttir, Gabriela Fridriksdottir / Chorégraphie et interprétation : Erna Ómarsdóttir et Damien Jalet / Assistante à la chorégraphie : Alexandra Gilbert / Musique et son : Tape Tum (Lieven et Benjamin Dousselaere) / Lumières : Ronan Cabon / Production et diffusion : Esther Welger-Barboza / Coproduction : Théâtre national de Bretagne, Rennes ; Tanzhaus nrw, Düsseldorf SW&G/sasha waltz & guests, Berlin / Merci à Stefan et Rebekka, Karen Maria Jonsdottir, The Icelandic Balletschool, Rosas/PARTS, Sidi Larbi Cherkaoui
L’image est un court récit d’une seule phrase, écrit en français dans les années 50 par Beckett et publié chez Minuit en 1988. Un couple, un chien, le printemps, la boue : « La langue se charge de boue […] à présent c’est fait j’ai fait l’image. » La mort des mots et des images domine l’œuvre en sa dernière période : accéder à un vrai silence, ne rien voir pour voir mieux, ne rien dire pour dire mieux. Cet apparent affaissement de l’image naît avec L’image, texte aux multiples résonances dans la suite de son œuvre, qui entraîne son exorcisme et son expulsion. Apparaît la première éclipse de l’image : la disparition des personnages qui se dissolvent dans le lieu même de leur rencontre. Reste un espace sans qualité, sans matière si ce n’est cette matière molle, informe dans lequel le personnage semble se noyer.www.cdn-orleans.com
Texte : Samuel Beckett / Conception : Arthur Nauzyciel / Lecture : Anne Brochet / Chant : Alexandra Gilbert / Danse : Damien Jalet / Scénographie : Giulio Lichtner / Musique : Kira Kira / Production : Compagnie 41751/ Arthur Nauzyciel
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MAR 13 NOV 21H DEAD MEATMARGRÉT SARA GUDJÓNSDOTTIR (ISLANDE)KNUT BERGER (ALLEMAGNE)PANIC PRODUCTIONSEN PREMIERE FRANÇAISE(30 MN) LE CUVIER / CDC D’AQUITAINE // ARTIGUES-PRES-BORDEAUX
MAR 13 NOV 23H ÓFÆTTDAMIEN JALET (BELGIQUE)ERNA ÓMARSDÓTTIR (60 MN) BASE SOUS-MARINE / CELLULE 4 // BORDEAUX
MER 14 NOV 20H45 L’IMAGEDE SAMUEL BECKETT/ ARTHUR NAUZYCIEL (FRANCE)EN PREMIERE FRANÇAISELECTURE SUIVIE D’UNE PROPOSITION CHOREGRAPHIQUE(45 MN) THEATRE DES 4 SAISONS // GRADIGNAN
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Desh (the second part of the night) est né de la complicité d’Anne Teresa de Keersmaeker avec l’un de ses anciens élèves de PARTS, Salva Sanchis, à qui elle demande de réfléchir à une phrase de danse qui répondrait à un duo. Selon Jean-Marie Wynants (Le Soir), c’est « une pièce d’atmosphère, en équilibre délicat, qui prend les allures d’une offrande, d’une lente prière mêlant les influences de la danse indienne au vocabulaire très personnel des deux chorégraphes. » Dans le solo India, chorégraphié et interprété par Salva Sanchis, le jazzman John Coltrane, en 1961, est parvenu à créer un mood indien. La musique indienne comprend des centaines de ragas (couleur, humeur, en sans-krit). Desh qui signifie province, indique l’origine rurale de ce morceau traditionnellement joué au cours de soirées nostalgiques précédant la saison des pluies, et souvent associé au thème de l’amour lointain. www.rosas.de
Chorégraphie : Anne Teresa de Keersmaeker et Salva Sanchis / Dansé par : Salva Sanchis / Musique : ragas indiens et John Coltrane / Lumières : Jan Joris Lamers / Costumes : Anke Loth / Production : Rosas, De Munt/La Monnaie, Bruxelles / Coproduction : Théâtre de la Ville, Paris ; Opéra de Rouen – Haute Normandie
De lama lâmina (De la boue, une lame) est un film réalisé par Matthew Barney en collaboration avec le musicien et producteur new-yorkais d’origine brésilienne Arto Lindsay, en 2004. Monté sur un char de carnaval, le guitariste et son trio-elétrico conduisent une procession de percussionnistes et de danseurs du Cortejo Afro dans les rues de Salvador de Bahia.Matthew Barney : « A Bahia, il y a une forte tradition de candomblé, une religion apportée par les esclaves venus d’Afrique, dont les dieux mettent en scène l’idée de dualité entre les choses. Je me suis intéressé à Ogun, dieu de la guerre et du fer. Il représente l’idée du conflit. C’est aussi le dieu de la fertilité, le créateur qui fabrique les outils qui combattent la forêt et créent la civilisation. Il a aussi le pouvoir de tuer les hommes et les dieux. Cette œuvre a été une première occasion d’intégrer des notions de politique dans mon travail. »De lama lâmina est une allégorie de la déforestation et un hommage à l’activiste écologiste américaine Julia Butterfly Hill qui a habité, durant deux ans, les branches d’un séquoia pour empêcher la coupe d’une forêt autour de cet arbre. www.matthewbarney.com
Réalisation : Matthew Barney / Musique : Arto Lindsay et Cortejo Afro
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ce film n’est pas pour les enfants !
IBM-1401, a user’s manual, solo pour 60 cordes et ordinateur. La musique est fondée sur un hymne islandais, Island Ogrum Skorid de Sigvaldi Kaldalons, programmé par Johann Gunnarsson et Elias Davidsson sur un ordinateur IBM 1401 en 1971. Sur cette base, Jóhann Jóhannssonn a composé des mélodies hypnotiques et mélancoliques pour orchestre à cordes. Cette composition sera interprétée sur scène, en version intégrale et pour les grandes Traversées, par les cordes de l’orchestre symphonique du Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud : premiers violons, seconds violons, violons alto, violoncelles et contrebasses. La danse, organique ou mécanique, d’Erna Ómarsdóttir évoque la complexité des rapports entre l’homme et la machine. Refusant la peur et le rejet provoqués par l’omniprésence des ordinateurs, les deux artistes cherchent un nouveau mode de vie commune : comment programmer son ordinateur comme on éduque ses enfants, quelle relation entre l’homme et la machine, leur intelligence, leur sexualité ? Pour cela, il faut apprendre à lire le manuel d’utilisation… / www.ernaomarsdottir.com
Conception : Erna Ómarsdóttir et Jóhann Jóhannsson / Chorégraphié et dansé par : Erna Ómarsdóttir / Musique : Jóhann Jóhannsson / Orchestration : J.J. et Arnar Bjarnason / Jouée par : Jóhann Jóhannsson et les cor-des de l’orchestre symphonique du Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud, direction Jean-Luc Portelli / Lumières : Sylvain Rausa / Son : Ivar Ragnarsson / Production et diffusion : Esther Welger-Barboza
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MER 14 NOV 22H DESH:INDIASALVA SANCHIS (ESPAGNE)COMPAGNIE ROSAS (BELGIQUE)(15 MN) THEATRE DES 4 SAISONS // GRADIGNAN
MER 14 NOV 23H DE LAMA LÂMINAMATTHEW BARNEY (USA)(56 MN) CYCLE CINEMA / BASE SOUS-MARINE // BORDEAUX
JEU 15 NOV 20H30 IBM 1401, A USER’S MANUAL ERNA ÓMARSDÓTTIR JÓHANN JÓHANNSSON (ISLANDE)Re-création avec les 40 cordes de l’orchestre symphonique du Conservatoire de Bordeaux / Direction : Jean-Luc Portelli(45 MN) CONSERVATOIRE DE BORDEAUX / SALLE VITEZ // BORDEAUX
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Gisèle Vienne : «Kindertotenlieder permet de ques-tionner la représentation de l’effroi, liée à celle de la mort, et la proximité constante qu’elle entretient avec les propriétés humaines, comme l’apparence du corps et le comportement. La représentation de l’effroi, et donc de l’effroyable, rejoint ce que Sigmund Freud qualifie d’ « inquiétante étrangeté » : la représentation d’une forme à la fois familière et étrangère, et de ce fait inquiétante. Elle constitue ainsi un ressort privilégié de ces expériences cathartiques qui caractérisent les cérémonies, les rites et les spec-tacles, comme celle à laquelle nous nous référons au sein de cette pièce, la marche des Perchten. La scène est ici ce lieu où l’on peut évoquer et réanimer le défunt. Entre rêve et réalité, au sein de la pièce, les interprètes se mêlent, dans leur apparence et leur gestuelle, à d’autres caractères incarnés par des corps artificiels ou retouchés, animés ou inanimés, qui permettent de susciter ce sentiment d’inquiétante étrangeté liée à la mort par l’évocation de la vie. Notre travail, centré autour des rapports du corps au corps artificiel, est plus précisément axé au sein de ce projet, sur une recherche autour des représentations du corps dans l’iconographie autrichienne traditionnelle, qui permet d’interroger la représentation de l’effroyable et de la mort. Kindertotenlieder évoque la tradition autrichienne liée aux personnages des Perchten, des figures qui surgissent au milieu de l’hiver pour chasser les démons et punir les âmes damnées. Cette tradition, encore vivante, répond toujours à certains fantasmes qui nous animent, liés à la cruauté, à l’innocence et à l’expiation. Nous nous intéressons au sens des fantasmes exprimés au sein de cette tradition. et ce qui nous mène à nous questionner sur la confusion qui peut être faite entre, d’une part, les lieux organisés d’expression du fantasme, comme, par exemple, les cérémonies, et d’autre part, la réalité. Cette écriture se développe dans un cadre propice aux projections de fantasmes qui rappelle le romantisme sombre émanant de maints paysages alpins en hiver. Elle permet un dialogue entre une esthétique romantique et l’esthétique liée à la tradition populaire des Perchten. Dennis Cooper écrit une pièce qui développe ces préoccupations et si notre travail portait jusqu’à présent sur le rapport entre fiction et réalité dans la sphère de l’intime, nous nous interrogeons, avec ce nouveau travail sur la confusion entre fantasme et réalité dans la sphère collective. » / www.g-v.fr
Conception : Gisèle Vienne / Textes et dramaturgie : Dennis Cooper / Musique : KTL (Stephen O’Malley & Peter Rehberg) et “The Sinking Belle (Dead Sheep)” par Sunn O))) & Boris (monté par KTL) / Interprété et créé en collabo-ration avec : Jonathan Capdevielle, Margrét Sara Gudjónsdóttir, Elie Hay, Guillaume Marie, Anne Mousselet / Collaboration au personnage interprété par A. Mousselet : Anja Röttgerkamp / Robots : Alexandre Vienne / Poupées : Raphaël Rubbens, Dorothéa Vienne-Pollak, Gisèle Vienne, assistés de Manuel Majastre Création / Masques en bois : Max Kössler / Lumière : Patrick Riou / Maquillage : Rebecca Flores / Coiffure poupées : Yury Smirnov / Textes traduits par Laurence Viallet / Avec l’aide de l’équipe technique du Quartz-Scène nationale de Brest : Direction technique : Nicolas Minssen Régie plateau : Christophe Le Bris Régie son : Kenan Trévien / Administration, diffusion Bureau Cassiopée : Anne-Cécile Sibué, Léonor Baudouin / Production déléguée : DACM avec la collaboration du Quartz - Scène nationale de Brest / Coproduction : Le Quartz - Scène nationale de Brest; Les Subsistances 2007, Lyon; CCN de Franche-Comté, Belfort dans le cadre de l’accueil-studio; CNDC d’Angers / Avec le soutien de : Drac Rhône-Alpes, Ministère de la culture et de la communication, Région Rhône-Alpes, Conseil général de l’Isère, Ville de Grenoble, DICREAM, et Étant donnés, the French-American fund for the performing arts, a program of Face / Avec l’aide du : CCN de Montpellier Languedoc-Roussillon et du Point Ephémère à Paris. / Remerciements Les Ateliers de construction du Théâtre de Grenoble, Didier Boucher, Patric Chiha, Etnies, Simone Hoffmann, Antoine Masure, Minijy/Clara Rousseau, Séverine Péan, Sophie Metrich, le Théâtre de l’Odéon – Paris, Jose Enrique Ona Selfa pour les costumes Loewe, Troubleyn / Jan Fabre et Mark Geurden, Enrique Urrutia, Remy Vidal, Alexandre Vienne, Jean-Paul Vienne et Esther Welger-Barboza
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Hair from the throat, s’inscrit dans la continuité d’All natural, la première performance de Kate Macintosh (2004). Elle prolonge son travail sur la frontière entre l’humain et l’animal, explorant l’ambivalence de l’homme. Tout commence par une histoire vraie, une étrange tentative pour échapper à la nature humaine : en Australie, un homme est retrouvé noyé dans une rivière peu profonde, costumé en poisson. On découvre chez lui deux autres costumes faits main. Quel potentiel imaginaire émane de ce comportement, quelle peur profonde peut-elle en résulter… Essayer malgré tout, chercher sa peau véritable, fouiller des territoires inconnus.Dans cette pièce, le public est invité à pénétrer une atmosphère onirique et expérimentale où sa participation et les codes du théâtre sont remis en question. Théâtre, performance, installation, tout concourt au sentiment de ne plus savoir. Avec excentricité, humour et curiosité, Kate Macintosh se présente en véritable « bête de scène ». www.margaritaproduction.be
Direction : Kate Macintosh / Conception et interprétation : Palli Banine, Diederick Peeters et Jo Randerson / Collaboration artistique : Lilia Mestre / Son : Charo Calvo / Costumes : Myriam van Gucht / Lumière : Luc Schaltin / Production : Margarita Production / Coproduction : Parc de la Villette, Paris; Sophiensaele, Berlin / en association avec : Monty, nadine, Kaaitheater, Bruxelles / avec le soutien de : Vlaamse overheid, het Brussels Hoofdste-
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KTL est le groupe formé par Stephen O’Malley et Peter Rehberg à partir de leur collaboration pour Kindertotenlieder de Gisèle Vienne (à la Base sous-marine – grande scène vendredi 16 novembre à 20h30). Né en 1974, Stephen O’Malley vit à New York. Comme compositeur et musicien, il a réalisé plus de cinquante albums et donné des centaines de concerts depuis dix ans, en particulier avec Masami Akita, Peter Rehberg, Julian Cope… et ses groupes Sunn O))), Khanate, Lotus Eaters, Ginnungagap. Comme graphiste, il a signé des centaines de couvertures de disques et articles. Il est l’un des fers de lance de la scène drone rock (ou drone doom).Né en 1968, le Viennois Peter Rehberg (Pita) compose et interprète de la musique électronique. Il a travaillé sur cinq spectacles de Gisèle Vienne ainsi que pour la choré-graphe Meg Stuart… En 1995, il crée le label Mego, devenu Editions Mego. Il collabore au collectif MIMEO et au trio Fenno’berg avec Fennesz et Jim O’Rourke.www.ideologic.org / www.peterrehberg.com / www.editionsmego.com
JEU 15 NOV 23H KTLBASE SOUS-MARINE / CELLULE 3 // BORDEAUX
VEN 16 NOV 19H30 HAIR FROM THE THROATKATE MACINTOSH (NOUVELLE-ZELANDE)EN PREMIERE FRANÇAISE(60 MN) BASE SOUS-MARINE / CELLULE 3 // BORDEAUX
VEN 16 NOV 21H KINDERTOTENLIEDERGISELE VIENNE (FRANCE)(1H30) BASE SOUS-MARINE / CELLULE 4 // BORDEAUX
ce spectacle n’est pas pour les enfants !
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Jonathan covering est une performance de Jonathan Capdevielle : « Son adolescence, elle l’a passée sur les dancefloors du «Must», du «Broadway», du «Number one», du «Garage», du «Rétro»…Pyrénéenne et Nostalgique des nuits Tardbaises (près de Lourdes), elle fait appelle à sa Mémoire des tubes de toujours qui font rêver qu’un jour, Égarée dans la nuit Bordelaise, elle se révèle à tous le temps d’un tour de chant... »
Direction : Jonathan Capdevielle / Interprétation : Jonathan Capdevielle, Guillaume Marie et Elie Hay
Ólöf Arnalds, née en 1980, est diplômée de l’Icelandic academy of arts, en composition et nouveaux médias (2006). Guitariste, violoniste, joueuse de harpe koto et de charanga (une petite guitare folk sud-amé-ricaine) et compositrice, elle a participé à de nombreux groupes de musique islandais tels que Múm, Slowblow, Stórsvelt Nix Noltes et Skúll Sverrisson. Son premier album solo, Vid og vid (Maintenant et alors), est sorti en 2007 chez 12 Tónar : guitare-voix, placée haut, unique, avec un soupçon de violon ou de basse. Sur des textes en islandais, des réminiscences de folk façon Joan Baez, Bob Dylan ou Megas. Elle compose également de la musique de film et a créé une pièce pour accompagner le travail de Steingrímur Eyfjörd au pavillon islandais de la 52e Biennale de Venise en 2007. / www.12tonar.is
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Les guerriers de la beauté est un film réalisé par Pierre Coulibeuf en 2002, à partir d’une recréation spéciale de Jan Fabre, une transformation (passage d’une forme à une autre) de son imaginaire. Non la captation d’un spectacle mais une fantasmagorie inspirée par les créations de Jan Fabre : métamorphose, jeu des pulsions, dédoublement, parodie, ritualisation, surréalité… Le film propose l’un des deve-nirs possibles de l’univers du chorégraphe. « Guerrier de la beauté » est le nom que donne d’être généreux et de défendre la beauté. Naturellement, celle-ci est surtout d’ordre intérieur. Et puis, je crois à la discipline et à la répétition. Certains créent dans la douleur, moi je crée dans la joie. A chaque fois, c’est un voyage spirituel qui me comble. »www.ernaomarsdottir.com / www.troubleyn.be
Réalisation : Pierre Coulibeuf / Image : Yves Cape / Son : Bart Vandebril / Montage : Jean-Daniel Fernandez Qundez / Interprètes : Els Deceukelier, William Forsythe, Erna Ómarsdóttir et : Annabelle Chambon, Cédric Charron, Sébastien Cneude, Anny Czupper, Edmond Fabre, Jan Fabre, Emio Greco, Lisbeth Gruwez, Heike Langsdorf, Dirk Roofthooft, Helena Troubleyn, Geert Vaes, Wim Vandekeybus, Marc Vanrunxt, Jurgen Verheyen / Coproduction : Regards Productions, TV 10, ZDF, Periscope Productions en association avec Troubleyn
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The unclear age est un film réalisé par Anaïs et Olivier Spiro en 2005, sur une idée de Damien Jalet : le corps humain jetable. Deux êtres humains, jetés dans une décharge, se découvrent et s’affrontent, oscillant entre état animal, humain et robot. Dans un monde industriel traversé par des forces magnétiques, chimiques, nucléaires, la danse se développe en des états de corps : corps fonctionnel, corps commercial, corps luttant pour sa survie, corps génétiquement modifié. Conte du tout-consommable et du tout-jetable, The unclear age préfigure, par certaines images, le spectacle Ófætt de Damien Jalet et Erna Ómarsdóttir. www.ernaomarsdottir.com
Idée : Damien Jalet / Réalisation, images, son et montage : Anaïs et Olivier Spiro / Chorégraphie et représentation : Erna Ómarsdóttir et Damien Jalet / Assistantes à la mise en scène Alexandra Gilbert et Ulrika Kinn Svensson Scénographie : Hans Bryssinck / Musique : Jóhann Jóhannsson et Kira Kira / Coproduction : Théâtre de la Ville, Paris; Kunstencentrum Vooruit, Gand; Tanzquartier, Vienne; Hebbel Theater, Berlin.
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VEN 16 NOV 22H30 ÓLÖF ARNALDSEN PREMIERE FRANÇAISEBASE SOUS-MARINE / CLUB // BORDEAUX
VEN 16 NOV 23H30 JONATHAN COVERINGBASE SOUS-MARINE / CLUB // BORDEAUXJONATHAN CAPDEVIELLE (FRANCE)
SAM 17 NOV 18H LES GUERRIERS DELA BEAUTÉ
(71 MN) CYCLE CINEMA / BASE SOUS-MARINE / CLUB // BORDEAUX
PIERRE COULIBEUF (FRANCE)D’APRES UNE RE-CREATION SPECIALEDE JAN FABRE (BELGIQUE)
SAM 17 NOV 18H / DIM 18 NOV 19H THE UNCLEAR AGE(26 MN) CYCLE CINEMA / BASE SOUS-MARINE / CLUB // BORDEAUX
ANAÏS ET OLIVIER SPIRO (FRANCE)ERNA ÓMARSDÓTTIR DAMIEN JALET (BELGIQUE)
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Chuck Norris doesn’t sleep, he waits est le 1er projet du trio Peeters, Bryssinck, Anesiadou, tous trois partis des arts plastiques pour aller vers la danse, le théâtre et la performance. « Nos projets communs sont davantage des performances qui ne prennent ni le texte ni le corps comme donnée centrale. Cependant ils se rapprochent du paysage de la danse contemporaine. Pour insuffler sur scène une nouvelle vie à l’illusion, l’ima-ginaire et le rêve, nous exploitons des principes issus du cinéma. » Le projet prend sa source dans les structures narratives de L’année dernière à Marienbad de Resnais d’après Robbe-Grillet et le surréalisme de L’ange exterminateur de Buñuel. « Nos recherches sur le cinéma et le langage ci-nématographique nous fournissent un instrument utile à la construction d’une réalité théâtrale nouvelle. C’est du choc entre l’écran et la scène que surgit la possibilité d’amorcer une approche différente du jeu, du mouvement, de la forme et du récit. Nous espérons parvenir ainsi à un monde chimérique à la logique onirique où apparaissent troubles de la personnalité, sosies, répétitions, erreurs et lapsus spatiaux et temporels. » www.margaritaproduction.be
Conception-interprétation : Diederick Peeters, Hans Bryssinck, Danai Anesiadou / Musique : Tape Tum / Illusionniste : Kurt Demey / Décor et costumes : HAP, Carmel Peritore, Jelle Spruyt / Lumières : Karin Demedts / Production Margarita Production / Coproduction : Beursschouwburg, Netwerk vzw, TIME festival
Après Project 1 : The bacterial tour qui s’attachait à démanteler la forme et les codes d’un groupe punk, PONI explore, en tâchant de les déconstruire, les principes qui régissent le théâtre, dans Project 2 : Soma Sema. Par une approche multiforme (performance, musique live, danse, théâtre), PONI investit le rituel, l’illusion et la mort dans un voyage poétique et sans concession, traversant au passage cirque, arbres, mémoire, religion, tennis, photographie…
Conception et interprétation : Charles Blondeel (B), Rodolphe Coster (B), Lieven Dousselaere (B), Gudni Gunnarson (Isl), Sylvie Kretzschmar (D), Marc Lallemand (B), Kate Macintosh (NZ), Erna Ómarsdóttir (Isl), Frank Pay (B), Julie-Andrée Tremblay (Can), Jesse Bauwel (B) / Recherche-Conseiller : Claude Blondeel / Musique : collectif PONI / Lumière : Marc Lhommel / Son : Xavier Van Wersch / Costumes : Ran Shabang / Production : In Utero vzw / Production exécutive : Margarita Production / Coproduction : Kaaitheater, Bruxelles ; Sophiensale, Berlin ; Festival 100 dessus dessous, Centre Pompidou-Parc de la Villette, Paris ; Buda, Kortrijk / Partenariat : Recyclart, Bruxelles ; Monty, Anvers ; WP Zimmer, Anvers ; les Halles de Schaerbeek, Bruxelles
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PONI est un collectif d’artistes pluridisciplinaire rassemblant danseurs, plasticiens, auteurs et musiciens, actifs au sein de compagnies ou projets dispersés dans le monde, et ouvert à des collaborations extérieures. Il a été fondé par Frank Pay à Bruxelles dans le but d’expérimenter les codes de différentes disciplines artistiques et les glissements possibles de l’une à l’autre. Ils viennent de Belgique, Allemagne, Islande, Nouvelle-Zélande, Canada… et jouent une musique indie punk/pop/rock avec les voix du death metal. Concert de clôture du 7e parcours des grandes Traversées à la Base sous-marine - cellule 4 à Bordeaux avec les musiciens de PONI, dimanche 18 novembre à 22h00www.poni.be
50/50 travaille sur les expressions spectaculaires. Les mouvements provenant de situations codées comme un concert rock, un opéra ou un numéro de cirque sont détournés par Mette Ingvarsten. Seule en scène, nue : « C’était ça ou changer seize fois de tenue ! La nudité est juste un costume de plus qui me permet de travailler sur les expressions du corps, des mouvements que tout le monde reconnaît… partiellement. Plutôt que de leur donner une signification émotionnelle, je les décompose pour les recontextualiser. Ça a à voir avec le spectaculaire… et la façon dont il peut être manipulé. Je pars toujours de quelque chose qui fait partie de notre héritage culturel. Par exemple, les représentations sexuelles, omniprésentes dans notre quotidien. Pas moyen de s’en débarrasser, alors je vais chercher à regarder cette imagerie d’un autre œil, et voir de quelle façon elle peut produire de l’érotisme . »www.aisikl.net
Chorégaphie et interprétation : Mette Ingvarsten / Musique : Deep Purple, Leoncavallo, Cornelius / Son : Peter Lenaerts / Merci à Podevil, Berlin ; PARTS ; Hannah Sophie Hohlfeld, Marten Spangberg et Bojana Cvejic
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SAM 17 NOV 19H30CHUCK NORRIS DOESN’TSLEEP, HE WAITS
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SAM 17 NOV 21HPROJECT 2 :SOMA SEMA(1H30) BASE SOUS-MARINE / CELLULE 4 // BORDEAUXPONI (BELGIQUE)
SAM 17 NOV 22H3050/50(26MN) BASE SOUS-MARINE / CELLULE 3 // BORDEAUXMETTE INGVARSTEN (DANEMARK)
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P.O.P. E.R.A. est une expérience physique unique, intense, intrigante, jouissive. C’est un massage vocal, pour spectateur seul, par quatre chanteurs d’opéra. Sur des modèles spatiaux chorégraphiques, dans le noir complet, ils se déplacent autour du spectateur, allongé dans une chaise longue de Le Corbusier, mêlant improvisation et extraits de Schönberg et Mendelssohn. Depuis 2001, le chorégraphe Arco Renz collabore à des spectacles d’opéra mis en scène par Bob Wilson, Luc Bondy ou Anne Teresa de Keersmaeker. C’est à partir de ces rencontres qu’il crée P.O.P. E.R.A., une installation-performance qui unit opéra et danse contemporaine en intégrant musique et intrigue, abstraction et narration, pop.Direction artistique : Arco Renz / Collaboration artistique : Sybille Wilson et Laurence Regout / Chanteurs : Nadia Hidali, Anne Maistriau, Sara Piette et Laurence Regout / Production : Kobalt Works vzw / Coproduction : STUK Kunstencentrum, Leuven ; Artefakt, Leuven ; Kulturama, Leuven.
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We are all Marlene Dietrich FOR explore les genres du théâtre aux armées, des concerts, ballets, événements médiatiques ou talkshows aux genres plus intimes ou cachés. Le spectacle s’adresse aux soldats des missions internationales pour la paix comme au grand public. C’est une invitation à reconsidérer la position des artistes, organisateurs, soldats et spectateurs, non pas une critique de la guerre par l’artiste mais comment l’artiste répond à la demande de divertissement des soldats. La plus connue est Marlene Dietrich, adulée par les Forces Alliées devant lesquels elle s’est produite comme par les soldats allemands qui chantaient Lili Marlene pendant la 2e Guerre mondiale : c’était pour elle une question morale et un combat contre la guerre. Ce spectacle est la 1re collaboration entre Erna Ómarsdóttir et Emil Hrvatin avec dix interprètes islandais, belges, néerlandais et français. Puissant et poétique, il ne laisse personne indifférent et a connu un grand succès critique et public internationalement. / www.id.is
Conception et chorégraphie : Erna Ómarsdóttir, Emil Hrvatin / Danseurs et musiciens : Peter Anderson, Lieven Dousselaere, Alexandra Gilbert, Katrín Ingvadóttir, Gudmundur Elías Knudsen, Erna Ómarsdóttir, Frostu Runolfsson, Diederick Peeters, Valgerdur Rúnarsdóttir / Musique : PONI / Musique additionnelle : Laibach / Costumes : Elena Fajt / Lumières : Miran Sustersic / Directeur technique : Benedikt Axelson / Son : Xavier van Wersch / Vidéo : Jure Novak, Emil Hrvatin / Production : Maska Production, Ljubljana; Iceland Dance Company, Reykjavik avec l’aide du Programme culturel 2000 de la Commission Européenne / C’est un projet Trans Dance Europe 2003-2006
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Jóhann Jóhannsson, compositeur et musicien islandais, a étudié le piano et le trombone. Il crée en 1999 le groupe Apparat Organ Quartet et le label Kitchen Motors, fondé sur l’expérimentation de nouvelles formes artistiques dans des domaines variés : concerts, performances, expositions, livres, films, émissions de radio… Il a composé des musiques pour Marc Almond, Barry Adamson et Pan Sonic ou The Halfer Trio, et pour des films, performances et installations. Premier album solo en 2002, Englaborn puis Virthulegu forsetar en 2004 édités chez Touch. Ces dernières années, il s’est produit avec quatuor à cordes et percussions au Centre Pompidou, au Vooruit en Belgique et lors de festivals en Allemagne et Angleterre. Il est le compositeur de la musique de The mysteries of love présenté lundi 12 novembre au Carré des Jalles à 20h30 et d’IBM 1401, a user’s manual interprétée par les cordes de l’orchestre symphonique du Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud, direction Jean-Luc Portelli jeudi 15 novembre à 20h30 au Conservatoire de Bordeaux /salle Vitez. / www.johannjohannsson.com
SAM 17 NOV 23H30JÓHANN JÓHANNSSONBASE SOUS-MARINE / CELLULE3 // BORDEAUX« WITH STRINGS QUARTET AND ELECTRONICS » / INVITE SPECIAL : MONADE
SAM 17 / DIM 18 NOVP.O.P E.R.A.(12MN) BASE SOUS-MARINE // BORDEAUXSAM 17 NOV à 17h00, 17h20, 17h40, 18h30 et 19h00 / DIM 18 NOV à 18h00, 18h20, 18h40, 19h00, 19h20, 19h40 et 20h00
ARCO RENZ / KOBALT WORKS (ALLEMAGNE)EN PREMIERE FRANÇAISE
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PIERRE COULIBEUF (FRANCE)d’après une création spéciale de Meg Stuart (USA)
Somewhere in between est un film réalisé par Pierre Coulibeuf en 2004, d’après une création spéciale de Meg Stuart : un film-portrait expérimental qui transpose la recherche de la chorégraphe en un récit filmique discontinu, comme une projection mentale. Le titre suggère l’indétermination des lieux, des personnages, des situations. Un entre-deux non identifié. Le film est le fruit de la rencontre de deux artistes, deux disciplines, avec des lieux particuliers : le Palais de Tokyo (Paris), le Schiffbau (Zurich), l’appartement de Meg Stuart (Bruxelles). Il a été présenté au Festival de Locarno (2004), à la Biennale de l’image en mouvement de Genève (2005), à la Biennale internationale d’art contemporain de Porto Alegre (2005)…Julien Hirsch est, au cinéma, le chef opérateur de Lady Chatterley de Pascale Ferran, Les témoins d’André Téchiné, Novo de Jean-Pierre Limosin… / www.damagedgoods.be
Réalisation : Pierre Coulibeuf / Image : Julien Hirsch / Son : Michele Andina et Quentin Jacques / Montage : Jean Daniel Fernandez Qundez / Musique : Derek Bailey / Interprètes : Meg Stuart et Michael von der Heide, Christoph Homberger, Christoph Martha-ler, Simone Aughterlony, Graham F. Valentine, Thomas Wodianka, Davis Freeman, Antonija Livingstone, Benoît Lachambre, Philippe Beloul, Varinia Canto Vila, François Brice, Lilia Mestre, Ugo Dehaes / Coproduction : Regards Productions, Halolalune Production, RBB/Arte, RTBF, SF DRS, Mezzo, TV 10.
DIM 18 NOV 20H30WE ARE ALL MARLENEDIETRICH FOR(1H20) BASE SOUS-MARINE / CELLULE 4 // BORDEAUX
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PONI est un collectif d’artistes pluridisciplinaire rassemblant danseurs, plasticiens, auteurs et musiciens, actifs au sein de compagnies ou projets dispersés dans le monde, et ouvert à des collaborations extérieures. Il a été fondé par Frank Pay à Bruxelles dans le but d’expérimenter les codes de différentes disciplines artistiques et les glissements possibles de l’une à l’autre. Ils viennent de Belgique, Allemagne, Islande, Nouvelle-Zélande, Canada… et jouent une musique indie punk/pop/rock avec les voix du death metal. La musique de Soma Sema présenté samedi 17 novembre à 20h30 à la Base sous-marine – cellule 4 est de PONI. www.poni.be
Reykjavik ! est un groupe de punk/rock indie islandais né de la lave en fusion du volcan Hekla il y a 2000 ans, ce qui leur permet d’expri-mer, aujourd’hui, les beautés et perfections de la nature à travers leur musique. Influences revendiquées du batteur Kristján ! du chanteur Bóas ! du bassiste Valdi ! et des cousins guitaristes Haukur ! et Gummi ! : « Glacial landscapes, religion, oppression & alcohol » comme le clame le titre de leur 1er album produit, en 2006, par Valgeir Sigurósson (le collaborateur de Björk) pour le label 12 Tónar. Présence explosive sur scène, son orgiaque de guitares bourrées d’amphétamines. www.12tonar.is
GABRIELA FRIDRIKSDÓTTIR(ISLANDE)
Ancrée dans l’imaginaire nordique, l’œuvre de Gabriela Fridriksdóttir offre une réflexion sur la relation que l’homme entretetient avec mythes et traditions. Sa recherche met en œuvre un dispositif complexe qui utilise et confronte divers médiums, donnant forme à des pièces mêlant peinture, dessin, sculpture, danse, musique et vidéo.Prédiction du savant magicien, force créatrice de la nature, personnages hybrides, croyances primitives, mélancolie sont des thèmes récurrents de l’œuvre de l’artiste nordique. Elle a travaillé à plusieurs reprises avec Björk, réalisant des clips tels que Where is the line mettant en scène chaos, désintégration et limite. Dans Versations Tetralogia, un ensemble de quatre vidéos portant les noms des points cardinaux et faisant référence aux saisons et aux quatre éléments, Björk accouche d’un démon gluant (interprété par Erna Ómarsdóttir) qui, après une folle danse, retourne se réfugier dans son hôte. www.gabriela.is
KRISTíN GEIRSDÓTTIR(ISLANDE)
Comme Islandaise et comme plasticienne, Kristín Geirsdóttir est fortement imprégnée par les éléments naturels. Entre glaciers, geysers, volcans et tremblements de terre, l’intimité et la proximité avec les forces de la nature fondent tout être vivant en Islande. La nation, comme la mémoire individuelle, et le travail des artistes plasticiens n’échappent pas à cet enracinement profond. Dans le travail de Kristín Geirsdóttir, l’harmonie des couleurs, un rocher ou un grain de sable, un flocon de neige ou une goutte d’eau, suggèrent la présence de la création dans toute son étendue. La matière de son œuvre, la texture et la stratification de la couche picturale évoquent les éléments de terre et de glace d’où naît le sentiment du passage du temps.
La Zon-Mai est une maison nomade, close, sur les parois de laquelle sont projetées l’histoire et l’intimité de ses « habitants » : 21 danseurs choisis par Sidi Larbi Cherkaoui et filmés par Gilles Delmas. Cha-cun, dans son espace intime – chambre, salon, salle de bains ou cuisine – est porteur d’une histoire à la fois personnelle et universelle, histoire de corps et de langage chorégraphique. Sidi Larbi Cherkaoui : «La Zon-Mai est une fenêtre de mes propres migrations, une carte de mon paysage intérieur. Nous avons partagé nos connaissances, nos danses, nos langages et nos expériences. J’aimerais que, de cette multitude de points de vue, de cette mosaïque de couleurs, l’on puisse ressentir ma conviction que le spectacle est la plus belle célébration de la coexistence.» La Zon-Mai est une installation monumentale et multimédia (25 m2, 6 m de hauteur) commandée par la Cité nationale de l’histoire de l’immigration à Paris, institution culturelle, pédagogique et citoyenne destinée à faire connaître et reconnaître l’apport des immigrés dans la construction de la France. / www.zon-mai.com
Conception : Gilles Delmas et Sidi Larbi Cherkaoui / Chorégraphies : Sidi Larbi Cherkaoui / Réalisation : Gilles Delmas / Montage : Marc Boyer / Fabrication de la structure : Erwan Boulloud / Danseurs : Akram Khan, Alexandra Gilbert, Asa Lundvik Gustafson, Asier Uriegeraka, Damien Jalet, Erna Ómarsdóttir, George Oliveira, Gioia Masala, Iris Bouche, James O’Hara, Juan Kruz de Garaio Esnaola, Lisa Drake, Lisi Estaras, Mimoza Koike, Nicolas Vladyslav, Satoshi Kudo, Serge-Aimé Coulibaly, Channel Winlock, Shantala Shivalingappa, Sidi Larbi Cherkaoui, Sri Louise / Direction musicale et arrangements : Vladimir Ivanoff – Sarband / Voix : Fadia El Hage, Belinda
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DIM 18 NOV 22HPONI / REYKJAVIK!BASE SOUS-MARINE / CELLULE 3 // BORDEAUX(BELGIQUE) / (ISLANDE)
LA ZON-MAIINSTALLATION / BASE SOUS-MARINE / CELLULE 2 // BORDEAUXVERNISSAGE LUNDI 12 NOV À 12H30
GILLES DELMAS (FRANCE)SIDI LARBI CHERKAOUI (BELGIQUE)CITE NATIONALE DE L’HISTOIRE DE L’IMMIGRATION (PARIS)
INSTALLATION / GALERIE CORTEX ATHLETICO // BORDEAUXVERNISSAGE JEUDI 15 NOV À 12H30
INSTALLATION / BASE SOUS-MARINE / CLUB // BORDEAUXVERNISSAGE LUNDI 12 NOV À 12H30
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>> LA ZON-MAI>> Entrée libre>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Exposition Kristin Geirsdóttir >> Entrée libre>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Installation Gabriela Fridriksdóttir >> Entrée libre>> Renseignements au 05 56 94 31 89
>> Mysteries of Love d’ Erna Ómardóttir>> Tarif plein : 20 euros>> Tarif réduit : 15 euros >> Réservations et renseignements abonnement : 05.57.93.18.93
>> Still Live de Salva Sanchis>> Tarif plein : 15 euros >> Tarif réduit : 9 euros>> Réservations et renseignements abonnement : 05.57.54.10.40
>> Dead Meat de Margret Sara Gudjonsdóttir et Knut Berger>> Tarif unique : 9 euros>> Réservations et renseignements abonnement : 05.57.54.10.40
>> Ófaett d’ Erna Ómardóttir et Damien Jalet>> Tarif plein : 20 euros>> Tarif réduit : 15 euros>> Renseignements : au 05 56 96 07 25
>> L’image de Samuel Beckett par Arthur Nauziciel et Desh de Salva Sanchis>> Tarif plein : 22 euros >> Tarif réduit : 15 euros>> Réservations et renseignements abonnement : 05.56.89.98.23
>> De Lama lâmina de Matthew Barney>> Tarif unique : 5 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> IBM 1401 de Erna Ómardóttir et Jóhann Jóhannsson>> Tarif plein : 20 euros>> Tarif réduit : 15 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Concert de KTL>> Tarif unique de 10 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Kindertotenlieder de Gisèle Vienne>> Tarif Plein : 20 euros>> Tarif réduit : 15 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Hair from the throat de Kate Macintosh>> Tarif unique de 10 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
Les grandes Traversées sont subventionnées par :
en collaboration avec :
soutenu par :
>> Concert de Ólöf Arnalds>> Concert gratuit>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Jonathan Covering de Jonathan Capdevielle>> Spectacle gratuit>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Les guerriers de la beauté et The unclear age>> Tarif unique : 5 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Chuck Norris... de Diederick Peeters>> Tarif unique de 10 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Soma Sema du collectif PONI>> Tarif Plein : 20 euros>> Tarif réduit : 15 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> 50/50 de Mette Ingvarsten>> Tarif unique de 10 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Concert de Jóhann Jóhannsson>> Tarif unique de 10 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Somewhere in between et The unclear age>> Tarif unique : 5 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> We are all Marlene...de l’Iceland dancecompany>> Tarif Plein : 20 euros>> Tarif réduit : 15 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> P.O.P. E.R.A d’Arco Renz>> Tarif unique de 10 euros>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Concert PONI et Rekjavik!>> Concert gratuit>> Renseignements au 05 56 96 07 25
>> Billeterie :En vente sur place / Guichet ouvert le soir des spectaclesSur les sites web : www.iddac.net / www.carredesjalles.org / www.lecuvier-artigues.com / www.t4saisons.comet au Kioque Bordeaux Culture à partir du 15 octobre
>> Passeport Semaine : 50 eurosEn vente exclusivement au Kiosque Bordeaux Culture à partir du 15 Octobre.(ce passeport donne accès à toutes les représentations de la base sous-marine à partir du 11 ainsi que «IBM 1401» à la salle Vitez le jeudi 15 Novembre)
>> Passeport WE : 35 eurosEn vente sur www.iddac.net et au Kiosque Bordeaux Culture à partir du 15 Octobre.(ce passeport donne accès à toutes les représentations à la Basesous-marine à partir du vendredi 16 Novembre)
TAR
IFS
Les grandes Traversées tél : 00 33 (0)5 56 96 07 25 / [email protected] / www.lesgrandestraversees.comassociation loi 1901 reconnue d’intérêt général / SIRET : 441 775 095 000 17 - CODE APE : 923A - n°licences : 331054-T2 / 331055-T3 / 15, rue Françis Garnier 33000 BORDEAUX FRANCE
Contact/ production Erna Ómarsdóttir : Esther Welger-Barboza
les grandes Traversées Direction : Eric Bernard Coordination artistique : Virginie Bastide Rédacteur en chef : Jean-Pierre Lecourt Secrétariat général : Florence Lassalle Logistique et suivi des projets pédagogiques : Jérémie Balembois Presse et relations avec les publics : Carole Brondel Coordination technique : Florent Blanchon et Marc-Emmanuel Mouton Graphisme & site internet : Rachel Köng & Mickael Lapouge / www.kikilafee.com
Remerciements particuliers à Esther Welger-Barboza , le service mécénatde la DGAC de la Mairie de Bordeaux, Danielle Martinez, Miss K., Emmanuel D.,Claude et Pierre Chevrot-Dufilhot.