Chroniques d'Explorateurs

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Thomas Daigle: à l’assaut des ondes et du monde! Père Louis Vermeersch: le champ de rêve... Cité-école: vers une nouvelle gouvernance étudiante CALE 2013 Printemps 2013 - Vol. 1, numéro 1

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Magazine des diplômés et des partenaires du Centre scolaire Samuel-de-Champlain

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Thomas Daigle: à l’assaut des ondes et du monde!Père Louis Vermeersch: le champ de rêve...Cité-école: vers une nouvelle gouvernance étudianteCALE 2013

Printemps 2013 - Vol. 1, numéro 1

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Le magazine Chroniques d’Explorateurs est publié deux fois par année (mai et novembre) par la Fondation Samuel-de-Champlain du Centre scolaire-communautaire Samuel-de-Champlain. DireCtion: Lise Dridelle-Cormier, directrice, France Maillet, directeur adjoint, Sylvie Haché-Wilczak, directrice adjointe (in-terim), Anik Duplessis, directrice adjointe (secteur vallée). RÉDACTION, PRODUCTION et PUBLICITÉ: Eric Ken-nedy, agent communautaire - [email protected] . ADRESSE POSTALE: 67, ch. Ragged Point, Saint-Jean, N.-B., E2K 5C3. SITE INTERNET DE LA FONDATION: fondationsamueldechamplain.com . Le genre masculin est utilisé sans aucune discrimination et seulement dans le but d’alléger le texte. La production de ce numéro a été rendue possible grâce aux fonds du Groupe d’action de la Commission pour l’école francophone.

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3 Portrait d’un ancien: Thomas Daigle4 Bâtisseurs: Père Louis Vermeersch5 Cahier CALE 20139 Dossier éducation: Cité-école2 Direction 11 Nouvelles de nos anciens 12 In memoriam 13 Campagne annuelle

Photo de la page couverture: Kathleen Gagnon

Élèves: de gauche à droite, rangée du bas, Alex Cull, Jordan Steeves, Hannah

Hébert et Alexandre Crowley. rangée du haut: renelle LeBlanc, Caroline Lee et

Karyne Martell.

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DireCtionChers parents, élèves, membres du personnel et membres de la communauté.

C’est un plaisir de voir naître la Fondation Samuel-de-Champlain, car nous, comme école, avons la mission d’accompagner nos élèves à devenir des leaders qui auront les compétences du 21e siècle. La responsabilité est grande et nous avons besoin du soutien de la communauté afin d’aider nos élèves dans leur cheminement.

Le Centre scolaire Samuel-de-Champlain offre une éducation de qualité : nos finissants peuvent en témoigner. Notre maison d’éducation nourrit une culture d’apprentissage et nos élèves terminent leur scolarité avec une formation qui les prépare pour leurs études postsecondaires.

Étudier au Centre scolaire Samuel-de-Champlain n’est pas la voie facile car une rigueur y est de mise. Cependant, l’éthique du travail, la culture de l’apprentissage, l’apprentissage d’un minimum de deux langues, la longueur de l’année scolaire, les expériences sur le marché du travail, le développement vocationnel, les nombreuses opportunités de parler devant des groupes, l’apprentissage axé sur la résolution de problèmes, le développement d’une autonomie dans les cours par l’entremise des évaluations formatives et sommatives, le programme de reconnaissance « CALE », font en sorte que les élèves qui persévèrent et terminent au Centre scolaire Samuel-de-Champlain développent un éventail de compétences qui leur donnent une longueur d’avance pour leur avenir.

Cette Fondation va regrouper nos anciens ainsi que les membres de la communauté qui ont un intérêt commun à contribuer à une éducation de qualité pour le développement de notre société. Ce magazine est un simple clin d’œil sur les accomplissements de nos élèves depuis le début de l’école d’enseignement en français, en 1982. Nous vous encourageons à devenir membre de la « Fondation Samuel-de-Champlain » afin de faire la différence pour vos enfants et les nôtres.

Lise Drisdelle-Cormier

Directrice de l’école

Bienvenue dans la famille!Quand l’explorateur et cartographe Samuel-de-Champlain a navigué dans l’embouchure du fleuve Saint-Jean, lors des premiers balbutiements de l’Acadie, il avait un rêve. Et depuis 1985, nous avons tous sans exception touché à ce rêve d’une francophonie rayonnante et vibrante en Amérique. Les murs de notre école vibrent encore de vos mémoires. En vingt-sept ans, vous, les élèves et les membres du personnel, avez contribué à faire de notre école ce temple de notre succès commun! Et ce magazine se

veut le témoin de notre réussite.

C’est avec une grande fierté que nous vous présentons la toute première édition du magazine des anciens et des partenaires du Centre scolaire-communautaire Samuel-de-Champlain. Cet outil s’inscrit dans une nouvelle stratégie de l’école visant à bâtir des liens plus solides et privilégiés avec sa communauté tout en contribuant à l’épanouissement de cette dernière. Comme vous l’avez constaté lors de votre passage chez nous, nous sommes une belle et grande famille! Et

en tant que membre de votre famille, nous aimons savoir ce qui se passe dans vos vies et vous donner la chance de le partager avec notre grande communauté.

Comme son nom l’indique, les Chroniques d’explorateurs feront deux fois par année le portrait de finissants et de membres du centre qui sont partis découvrir le monde, après leur passage à notre école. Notre magazine sera pour cette raison un lieu de rencontre et d’échange, une carte géographique interactive où vous pourrez tracer et partager vos découvertes et vos expériences. Lors de votre passage à Samuel-de-Champlain, nous vous avons donné les outils nécessaires pour vous préparer pour le monde et nous souhaitons maintenant entendre vos fabuleux récits de voyages! EK

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PORTRAIT

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À l’assaut des ondes et du monde!

Thomas Daigle

Quand Thomas Daigle a accepté en 2010 le poste de vidéojournaliste à la SRC/CBC de Saint-Jean, il était loin de se douter que moins de deux ans plus tard, il serait chef d’antenne de l’édition weekend du bulletin de nouvelles régionales de la CBC à Montréal. Et il est le premier à le reconnaitre, Samuel-de-Champlain l’a certainement aidé dans son ascension rapide. Portrait d’un explorateur qui excelle dans un domaine en pleine mutation.

Les années passées à Samuel-de-Champlain se sont révélées fondamentales pour Thomas. Curieux et très impliqué, il était membre du comité de leadership, de Franc parlé, du Conseil des élèves et de la troupe de théâtre. « C’est grâce à toutes mes expériences à Samuel que j’ai pu me dépasser et me rendre où je suis en ce moment à mon âge. J’ai pu y faire ressortir mon plein potentiel et la capacité à gérer un haut degré de responsabilités » nous confie le jeune homme, qui a également découvert son intérêt pour les médias pendant son secondaire.

thomas faisait aussi beaucoup de radio et était disc jockey. raymond Godbout a su lui prodiguer de judicieux conseils au niveau de la mise en ondes, du son et de l’éclairage, aptitudes qui sont maintenant des composantes quotidiennes de son travail. Le jeune homme a également trouvé sa voix et son « personnage » grâce à la troupe Les Beaux parleurs. « Mme Gaétane Lévesque-Dupont a su me transmettre sa passion pour les arts, notamment le théâtre et le français » relate-t-il.

Ses intérêts l’ont mené au programme d’Information-communication de l’Université de Moncton. De fil en aiguille, Thomas a pris goût au journalisme, principalement à la radio. « Lorsque je suis arrivé à Moncton, les gens étaient surpris de la qualité de mon français, sachant que je venais d’un milieu anglo-dominant comme Saint-Jean. Monsieur Michel LaPlante a certainement été un très bon enseignant pendant mon secondaire à ce chapitre. Il était exigeant et nous poussait à nous dépasser ».

Thomas a certainement bénéficié de cette aisance avec les deux langues officielles, puisqu’il a ensuite fait un baccalauréat en journalisme électronique radio

et télé à l’Université Concordia, pour ensuite travailler à CHQC, à la SRC et à la CBC.

Tous ces atouts pourraient bien l’aider plus tard, dans ces objectifs de carrière. « Un jour, j’aimerais faire du journalisme international et mon bilinguisme me sera très utile! » avoue-t-il. Interrogé sur le portrait de son domaine dans 10 ans, le jeune homme est confiant, mais tout de même réaliste. « Mon poste de vidéojournaliste actuel n’existera probablement plus. Selon moi, le journalisme va se transporter sur Internet où les gens auront le pouvoir de choisir leur information et ce sera à nous de nous adapter et de tirer notre épingle du jeu ».

Même s’il est plutôt rare d’être un chef d’antenne à 25 ans, ne soyez pas surpris si notre explorateur part dans quelques années à la découverte du monde. Après tout, il a un peu de Samuel-de-Champlain en lui…

Photo: gracieuseté CBC

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BÂTISSEURS

Père Louis VermeerschLe champ de rêveLes hasards des existences qui se croisent font souvent bien les choses. Pour les francophones de Saint-Jean, les rêves ont pris forme au début de la décennie des années 80, lorsque les destins de plusieurs bâtisseurs se sont croisés. Voici le profil d’un des fondateurs de notre communauté, le Père Louis Vermeersch, qui célèbre cette année sa soixantième année de prêtrise.

Né à Westkerke (Oudenburg) en Belgique en 1920, ce fils de fermier a été ordonné prêtre de l’Ordre des Salésien à Tokyo en 1953. Il y a enseigné l’anglais au secondaire, tout en étant éditeur-traducteur de livres et d’un magazine catholique. Il est débarqué au Cana-da alors qu’il avait 40 ans. Il a cumulé différents postes au Nouveau-Brunswick. Sa connaissance de plusieurs langues (hollandais, allemand, japonais, italien, an-glais, français) lui a ouvert bien des portes et bien des cœurs. En effet, l’achalandage au port de Saint-Jean, qui était l’un des plus occupés au pays pendant l’hiver avant la complétion de la Voie maritime du Saint-Lau-rent, l’a amené à devenir aumônier des installations de la ville portuaire. Ses compétences linguistiques lui « ont permis d’offrir aux marins confort, camaraderie ainsi que de l’aide pastorale », confie-t-il.

En 1980, suite à une suggestion de l’évêque, le Père Vermeersch a mis en œuvre des programmes éduca-tionnels, culturels et religieux pour les francophones de la région. Mgr Gilbert lui avait demandé de con-centrer ses efforts à l’école King George, la seule école francophone de la ville. Les religieuses de la congré-gation Notre-Dame-du-Sacré-Cœur ont épaulé le Père Vermeersch dès les débuts avec la catéchèse et les messes en français. La Paroisse Saint-François-de-Sales naissait d’ailleurs le 15 août 1981.

Par ailleurs, le Père Vermeersch a beaucoup d’éloges pour le regretté Premier ministre Richard Hatfield, pour son soutien apporté à la communauté et pour le don du terrain où sont situés le centre communautaire et l’église. Monsieur Vermeersch se souvient très bien d’une discussion tenue aux débuts des années 1980 avec l’homme. Le politicien lui avait alors demandé: « Quand est-ce que les francophones de Saint-Jean vont qualifier la ville de notre chez-nous ? ». Le curé lui avait alors répondu que ce serait quand ils auront une place bien à eux pour se rencontrer et éduquer leurs enfants en français. Ce soir-là, le Père Vermeersch venait de terminer la lecture des récits de

voyages de Samuel-de-Champlain, qui lui est aussitôt apparu comme un nom idéal pour le centre.

Avec l’arrivée de nouvelles familles, avec les pressions exercées par un comité piloté par le Père Vermeersch et ce qu’il surnommait « sa Trinité », composée d’Irène Grant-Guérette, Anne Church et de la regrettée Diane Chevarie, les francophones de Saint-Jean ont fina-lement pu appeler la ville portuaire leur « chez eux » en 1985, avec l’ouverture officielle du Centre sco-laire-communautaire Samuel-de-Champlain. La salle de spectacle du centre, qui avait accueilli les messes durant plusieurs années, a été nommée en son hon-neur, afin que les générations futures se souviennent de ses causes et de ses convictions.

Aujourd’hui, 25 ans plus tard, le carrefour de la fran-cophonie est rempli à pleine capacité, si bien que des classes satellites ont vu le jour en 2009 dans la vallée de la Kennebecasis et que la construction d’une école maternelle à cinquième année débutera en 2013 à Quispamsis. La francophonie est florissante à Saint-Jean : d’une petite école désaffectée à une école dans la vallée, la francophonie est passée de la survivance à l’effervescence, puis à la luminescence !

Remerciements à : Gaétane Lévesque-Dupont, Guy Léger, Sr Délia Belliveau et Laurier Doiron, qui ont aidé à la rédaction de cet article.

Photo: gracieuseté ConceptArt multimédia

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ÉDUCATION

Vers une nouvelle gouvernance étudianteCité-école

Le saviez-vous?Le projet-pilote Cité-école du Centre sco-laire Samuel-de-Champlain s’inspire d’une initiative du même nom de la polyvalente Louis-Saint-Laurent d’East Angus (Québec). Lancé en 2007, ce projet a connu un véri-table succès. Il se voulait un moyen de ren-verser l’exode des jeunes et le décrochage scolaire.

Depuis novembre 2012, un groupe d’élèves du Centre scolaire Samuel-de-Champlain prépare les bases d’une nouvelle approche à la gouvernance étudiante. Son but ultime : améliorer la vie étudiante en se donnant une structure démocratique et transparente. Bienvenue dans Cité-école, une transformation du milieu de vie scolaire visant à développer une citoyenneté active chez les élèves et à augmenter le sentiment d’appartenance!

L’école est un microcosme de la société. Nos jeunes acquièrent des compétences et des habiletés qui feront d’eux des personnes prêtes à relever les défis de la vie postsecondaire. Et parmi ces défis, il y a l’implication des citoyens à l’organisation de leur environnement politique et social. Dans un contexte où une étude de la Greater Saint John Community Foundation révélait récemment que près de 60% des jeunes du secondaire ne se voyaient plus dans la région d’ici 10 ans, Cité-école pourrait s’avérer une première étape dans la rétention de ces derniers. Puisqu’un citoyen qui s’implique a plus de chance de se sentir interpellé et de demeurer actif dans sa communauté, des régions comme Saint-Jean ont avantage à développer cette approche plus tôt, d’où la raison de ce projet-pilote lancé à Samuel-de-Champlain.

Comme le conseil des élèves joue un rôle de premier plan dans le développement d’un leadership étudiant, il était normal que Cité-école s’attaque d’abord à la base.

« Un conseil étudiant fort et élu démocratiquement, qui fonctionne de manière transparente et ouverte est la meilleure façon de représenter et d’aider les élèves » d’expliquer Hannah Hébert, une élève de 11e année impliquée dans le projet. D’autres élèves travaillent à ses côtés dans cette tâche de refonte de la structure représentative des élèves : Alec Boudreau, Jean-François Dupéré, Kathleen Gagnon, Maxime Losier, Charles Rand, Gabrielle Pelletier, Cassandra Cunningham, Michel Deschênes et Julie Therrien. Rodrigue Hébert, enseignant d’histoire et de sciences humaines du secondaire, les guide à travers les différentes étapes.

Rappelons que ce projet a été rendu possible grâce à l’appui de la Fédération des Jeunes francophones

du nouveau-Brunswick, de la direction du Centre scolaire S a m u e l - d e -Champlain et de son personnel. Une assemblée générale est prévue au mois de mai, afin d’élire le nouvel exécutif ( p r é s i d e n t , vice-président, s e c r é t a i r e , agent de

communication, représentant de la FJFNB et les cinq conseillers généraux), d’adopter la nouvelle constitution et de choisir un projet commun. Qui a dit que l’école se résumait à des livres et des leçons? Bienvenue au 21e siècle!

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Guillaume L. Beaudin (2002). Il obtient, en 2006, un baccalauréat avec spécialisation en histoire de l’Université d’Ottawa. L’Université de Guelph (Ontario) lui décerne une maîtrise en histoire en 2009. Depuis 2011, il est étudiant au doctorat à l’Université Stanford (Californie) où il étudie l’histoire de l’Europe et du Mexique au XVIe siècle.

Pascale Beaudin (1996). Après des études à l’Université d’Ottawa et l’Université de Montréal, Pascale a rapidement acquis une solide réputation comme chanteuse classique au Canada et à l’étranger avec des apparitions en France, en Angleterre, aux États-Unis et au Brésil. Elle habite à Montréal avec son mari.

Angie Beaulieu (1993). Elle s’est inscrite à l’Université de Moncton en éducation. Par la suite elle a décidé de changer de route pour travailler chez Xerox pendant plus de 6 ans. Elle débute un nouvel emploi en 2002 chez Exxon Mobil. Déménagée à Moncton depuis 2012, elle travaille au sein de l’équipe qui s’occupe du transport ferroviaire des produits pétroliers au Canada.

Vickie Beaulieu-Manuel (1992). Elle enseigne en immersion à Saint-Jean depuis l’obtention de son baccalauréat en éducation de l’Université de Moncton. Mariée à Mario, ils sont les parents de deux grands garçons Colin et Simon.

Julie Breau (2002). Elle travaille pour le « Roméo Dallaire Child Soldiers Initiative » (childsoldiers.org) à titre d’agente de projet. Elle est aussi directrice-adjointe au « Centre for Foreign Policy Studies », un centre de recherche du département de Science politique, à l’Université Dalhousie. De plus, elle siège au conseil d’administration de « Halifax Ultimate », l’organisation responsable des ligues de « Ultimate Frisbee » à Halifax. Elle est mariée à Tuan Bui, chercheur au niveau postdoctoral en neuroscience, à l’Université de Dalhousie.

Mélanie Breau (2000). Elle est résidente en médecine

en Ontario. Accompagnée de son conjoint Paul, ils sont les heureux parents de jumelles, Alexa et Sofie nées en juillet 2012.

Benjamin Downing-Doucet (2012) Il est inscrit à l’Université de Moncton en administration. Fondateur du journal étudiant « Chez Sam » au Centre scolaire Samuel-de-Champlain, il a aussi collaboré au Saint-Jeannois et au Telegraph Journal.

Frédéric Downing-Doucet (2009). Il est inscrit à l’Université de Moncton en psychologie et obtiendra son diplôme en mai 2013. Il est 2e auteur d’un article de recherche en psychologie publié en 2012. Il a aussi été le grand gagnant de Saint John Idol 2011 et finaliste au Gala de la chanson de Caraquet en 2010 dans la catégorie interprète. Au Sommet de la chanson de Kedgwick 2010, il a été couronné gagnant dans la catégorie interprète.

Amy Harrigan (2010). Elle étudie présentement à l’Université Acadia en biologie. Elle a obtenu plusieurs honneurs dont des bourses, des reconnaissances et des prix prestigieux. À la fin de son baccalauréat,

elle voudrait continuer ses études en médecine.

Sarah Harrigan (2012). Elle est inscrite en musique à l’Université Dalhousie sous la supervision de Philippe Djokoic. Musicienne de cœur, elle est 1er violon (concert master) au sein de Symphonie Nouveau-Brunswick. Elle a aussi donné

des prestations en Autriche avec l’Orchestre des jeunes du Nouveau-Brunswick où elle a remporté les grands honneurs. Elle passera l’été avec l’Orchestre national des jeunes du Canada.

Mathieu Gallant (1997). Il a publié son premier roman (Darkness Falls) en 2012 chez World Castle Publishing, de même que la suite (When the Levee Breaks) en janvier 2013. Romans post-apocalyptiques qui se déroulent à Saint-Jean.

Taylor Losier (2011) Elle étudie présentement à

NOUVELLES DES DIPLÔMÉS

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NOUVELLES DES DIPLÔMÉSl’Université Mount Allison (baccalauréat en arts avec une majeure en anglais et une mineure en histoire classique). elle a publié son premier roman, Ragged, chez Underbridge Press, à l’hiver 2012. Ce roman de fantastique raconte l’histoire d’un jeune homme victime d’une malédiction particulière qui le fait souffrir à la place des gens qu’il aime et qu’il veut protéger.

Louise Plant (2003). Elle a obtenu son MD de l’université d’Ottawa en 2012 et a ouvert son propre bureau de médecine familiale en septembre à Fredericton.

Ronald J. Roy (1986). Candidat au PhD au département de géographie de l’université Queen’s de Kingston. Plus spécifiquement, il souhaite savoir comment les identités francophones existantes - acadienne et franco-ontarienne - négocient de nouveaux espaces francophones et comment des idées pluralistes d’inclusion peuvent être encouragées au Canada.

Christine Sonier (2003). Elle est assistante en éducation

au Centre scolaire Samuel-de-Champlain. elle aimerait bien retourner aux études. Christine aime bien sa carrière en ce moment, car elle peut offrir son aide à plusieurs personnes à l’école et elle se sent bien chez elle.

Alexandra Warner (2005). Elle a obtenu sa maitrise de l’Universidad de Deusto en Espagne en décembre 2012. Elle travaille à Londres, Angleterre, pour Active Learning Network for Accountability and Performance in Humanitarian Action (ALNAP). Cette

organisation humanitaire se spécialise en redevabilité et en évaluation. L’organisation est plutôt unique puisqu’elle est le résultat des recommandations internationales qui ont eu lieu après le génocide rwandais.

Faites comme eux!Partagez vos succès, vos rêves et vos

bonnes nouvelles avec notre communauté d’anciens!

[email protected]

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Vous voudriez rendre hommage à la mémoire d’un ancien de Samuel-de-Champlain?

Contactez-nous.

IN MEMORIAM

Jocelyn André Roy (1980-2013)

Hommage à nos disparusJocelyn nous a quittés subitement le 15 mars 2013. Technicien en transport et mécanique automobile chez «Parts for Trucks», il était un grand amateur de billard et de course automobile de la série NASCAR. Fils aimant, frère et parrain extraordinaire, il nous manquera beaucoup.

Il laisse dans le deuil ses parents Georges et Noëlline (Ouellette) Roy, son frère Philippe (Nicole), de Grand Bay-Westfield, sa sœur

Mélanie Keith (Steven), de Quispams i s , sa filleule J a c q u e l i n e , de même que plusieurs tantes, oncles, cousins et amis.

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CAMPAGNE DE FINANCEMENT ANNUELLE

Ensemble vers de nouveaux horizonsGrâce à la Fondation Samuel-de-Champlain, tous les élèves de l’école ainsi que la communauté saint-jeannoise sont gagnants! Avec un centre scolaire-communautaire fort, qui participe à l’épanouissement de sa région, nous pouvons aspirer ensemble à de nouveaux horizons.

Afin de lancer la première campagne de financement de l’histoire de la fondation, nous avons besoin de votre aide. Anciens, parents, grands-parents, employés et amis de Samuel-de-Champlain, vous pouvez contribuer selon vos moyens lors de la Campagne 2013-2014 de la fondation.

Puisque nous sommes une belle et grande famille, nous nous entraidons les uns les autres. Chaque sous, chaque petit geste de bénévolat et chaque petit coup de main compte et contribue à bâtir notre rêve commun.

Sachez cependant que chaque don fait à la Fondation Samuel-de-Champlain est déductible d’impôt et contribuera à nous aider à atteindre les objectifs suivants :

Bourses d’études postsecondaires;Aide financière pour des élèves en situations particulières;Amélioration de la qualité de vie des élèves (amélioration d’installations intérieures ou

extérieures, équipement, instruments, etc.);Activités de retrouvailles d’anciens de l’école;Promotion de l’école (inscription et rétention, mise en valeurs de ses services et de son impact sur la communauté, relations publiques et médias, etc.).

Bien entendu, vous pouvez aussi donner dans le secteur de votre choix et contribuer selon vos désirs et vos valeurs. Mais nous tenons à vous assurer que chaque don est géré de la manière la plus efficace et transparente possible. Nous apprécions tout ce que vous faites pour notre école.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter par courriel à [email protected] ou encore par téléphone au 658-4613.

Merci à l ’ a v a n c e de votre générosité et surtout, merci de contribuer à faire de cette école l’une des meilleures au Nouveau-Brunswick!

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Une universitéqui te ressemble

Étudier à l’Université de Moncton, ce n’est pas seulement choisir la plus grande université canadienne francophone à l’extérieur du Québec. C’est aussi choisir une institution où tu pourras partager tes valeurs avec d’autres jeunes qui, comme toi, sont �ers de leur identité et de leur culture, qu'ils soient d'ici, d'ailleurs au Canada ou de partout à travers le monde. Choisis une université qui te ressemble : jeune, dynamique et pleine d’avenir. Choisis l’Université de Moncton.