CENTRE DRAMATIQUE NATIONALdes classes et fétichisme de la marchandise. On y est. À la croisée des...

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THÉÂTRE EN MAI FESTIVAL DU 22 AU 31 MAI 2015 THÉÂTRE DIJON BOURGOGNE CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL 03 80 30 12 12 TDB-CDN.COM 26 e ÉDITION

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    THÉÂTRE EN MAIFESTIVAL DU 22 AU 31 MAI 2015

    THÉÂTRE DIJON BOURGOGNE CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL

    03 80 30 12 12 — TDB-CDN.COM

    26eÉDITION

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  • édito — Que se passe-t-il dans notre pays ? Quelques mois seulement

    après les attentats du début de l’année et le sursaut républicain qu’ils ont provoqué, le spectre de l’extrême

    droite plane sur la France et s’installe dans les urnes, avec

    une force inédite. Cet inquiétant paradoxe, c’est Riss, l’un des

    dessinateurs survivants de Charlie Hebdo, qui l’a résumé dans un dessin particulièrement percutant : au cœur d’une manifestation, les a�chettes

    « Je suis Charlie » qui ont porté l’espoir au lendemain des attentats, étaient

    désormais remplacées par des a�chettes « Je suis Marine »,

    infiniment plus sinistres… Pour notre génération, qui s’est forgé une

    conscience politique en arborant au collège une petite main multicolore

    proclamant « Touche pas à mon pote », qui a hurlé « la jeunesse emmerde le

    Front National » dans les concerts des Béruriers Noirs, qui a défilé avec une

    régularité métronomique contre le racisme et l’antisémitisme, qui a subi de plein fouet le 21 avril 2002, et qui a défilé, encore, le 1er mai 2002, pour dire « NON ! », cette banalisation de l’extrême ne peut être que sidérante. Est-ce à dire que les combats menés au cours des trente dernières années

    le furent en vain ? Rien n’est moins sûr. On peut du moins escompter qu’ils ont

    contribué à retarder l’avènement du pire. Ce qui est sûr, en revanche, c’est

    que ces combats furent menés à armes inégales, et sur un terrain

    toujours plus favorable à l’adversaire. Car l’extrême-droite française n’a pas seulement prospéré, comme on le dit trop vite et trop souvent, sur le terreau

    de la « crise » et du chômage. Elle a aussi clairement profité des

    e�ets dévastateurs induits par les po-litiques économiques « orthodoxes  »,

    c’est-à-dire libérales, qui ont été menées dans notre pays durant la

    même période. En se persuadant qu’il su�rait de s’acharner à « relancer la croissance » et à réduire la fameuse

    « dépense publique » pour régler tous les problèmes de la France, les dirigeants qui se sont succédé au

    pouvoir semblent avoir oublié que la vie d’un pays ne se réduit pas à son

    économie, et qu’une société est autre chose qu’un marché. Ce faisant, ils ont abandonné aux forces les plus rétro-grades l’espace des symboles et des croyances, tout en laissant s’abîmer

    profondément les cadres, les institutions, les services et les politiques publiques qui font tenir

    la société. Bref, ils ont renoncéà faire de la politique, alors que l’extrême-droite, elle, s’y attelait ardemment, au point d’imposer ses thèmes et ses obsessions à

    l’ensemble du débat public. Très tôt, parmi les intellectuels

    et les artistes, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer le piège dans lequel la France

    s’enfonçait. Ces voix portent encore, quoi qu’en disent ceux qui font mine

    de ne pas les entendre. Et dans le champ théâtral, la plus forte et

    la plus claire de ces voix reste sans conteste celle de Jean-Pierre Vincent. Figure essentielle du théâtre français, Jean-Pierre Vincent a toujours refusé

    de placer son art au service d’une quel-conque cause partisane. Son engage-

    ment a toujours d’abord été

    un engagement artistique dans le service public de l’art, qu’il a porté haut

    dans les institutions qu’il a dirigées. Mais dans le même temps, refusant

    la tentation de la « tour d’ivoire » et de l’enfermement esthète, il a toujours

    su mettre son prestige symbolique au service de combats politiques précis et déterminés. En invitant Jean-Pierre Vincent à parrainer cette 26e édition de Théâtre en mai, c’est d’abord à

    l’artiste que nous avons voulu rendre hommage, pour dire ce que nous

    devons aux voies théâtrales nouvelles qu’il a toujours explorées. Mais dans

    le contexte chaotique qui estaujourd’hui celui de notre pays, nous

    savons aussi que sa présence au cœur du festival a valeur de symbole. Quant

    aux quatorze jeunes compagnies françaises et européennes invitées

    autour de lui, elles partagent la volonté de regarder le monde en face, sans céder au cynisme ni au décourage-ment. De Vilnius à Alger en passant par Athènes, de Marx à Google en

    passant par Horváth et Tom Robbins, la variété des formes et des récits

    qu’elles proposent élargit l’espace de nos représentations et nous invite à d’autres rêves. Leur enthousiasme et leur détermination nous rappellent

    que dans les périodes sombres, il faut toujours garder confiance dans les

    forces de la jeunesse. Avec elles, nous voulons croire aujourd’hui qu’une autre

    France, une autre Europe, sont encore possibles.

    Sophie Chesne et Benoît Lambert

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    01EN ATTENDANT

    GODOT 22 + 23 + 24 MAI

    VENDREDI 22 À 20 H, SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24

    À 19 H 30GRAND THÉÂTRE

    DURÉE ESTIMÉE 2 H 20

    Compagnie Studio LibreDe Samuel Beckett

    Mise en scène Jean-Pierre Vincent Avec Abbès Zahmani, Charlie Nelson, Alain Rimoux,

    Frédéric Leidgens, Gaël Kamilindi

    Dramaturgie Bernard Chartreux Assisté de Frédérique Plain Décor Jean-Paul Chambas Collaboration

    décor Carole Metzner Costumes Patrice Cauchetier Assisté de Bernadette Villard Lumières Alain

    Poisson Sons Benjamin Furbacco

    Production Théâtre du Gymnase, Marseille Coproduction Studio Libre,

    MC2 Grenoble et TNBA (Théâtre National Bordeaux Aquitaine)

    Un paysage dépouillé, un arbre défeuillé et deux gars. Las, leurs chapeaux melons en disent long sur

    leur état. Estragon et Vladimir portent leurs guenilles

    endimanchées comme les bouts d’une culture passée. Ces philosophes sans Dieu n’ont rien à faire, rien à vivre

    et sont pourtant bien là à attendre quelque chose,

    parce qu’il faut bien. Ce sera Godot. Débarquent Pozzo et Lucky, maître et esclave

    d’une société ancienne dont il ne reste que débris de

    domination et exploitation. L’histoire écrite en 1948 a beau être connue, elle dresse à chaque époque

    ses leçons. À l’époque, elle énonce la perdition humaine

    après l’horreur des crimes nazis, l’ère du vide à l’heure

    de la reconstruction. Et maintenant ? D’une

    implacable anticipation, dans la forme comme dans le fond, elle projette l’intuition d’une potentielle fin du monde qui,

    02LE CAPITAL

    ET SON SINGE 23 + 24 + 25 MAI

    SAMEDI 23, DIMANCHE 24 ET LUNDI 25 À 17 H

    SALLE JACQUES FORNIERDURÉE 2 H 40

    Compagnie Le SingeÀ partir du texte de Karl Marx Mise en scène

    Sylvain CreuzevaultAvec Vincent Arot, Benoit

    Carré, Antoine Cegarra, Pierre Devérines, Lionel Dray,

    Arthur Igual, Léo-Antonin Lutinier, Frédéric Noaille, Amandine Pudlo, Sylvain

    Sounier, Anne-Laure Tondu, Julien Villa, Noémie Zurletti

    Lumières Vyara Stefanova et Nathalie Perrier Scénographie Julia Kravtsova Costumes Pauline Kie�er

    et Camille Pénager Masques Loïc Nébréda Régie générale Michael

    Schaller Régie lumière Gaëtan Veber Production et di�usion Élodie

    Régibier, Edouard Chapot

    Production Le Singe Coproduction Nouveau Théâtre d’Angers - Centre

    Dramatique National Pays de la Loire, La Colline - théâtre national,

    Festival d’Automne à Paris, Comédie de Valence - Centre Dramatique

    National Drôme Ardèche, La Criée - Théâtre National de Marseille,

    Le Parvis - Scène nationale Tarbes Pyrénées, Printemps des comédiens,

    MC2 : Grenoble, La Filature - Scène nationale de Mulhouse, L’Archipel - Scène nationale de Perpignan, Théâtre national de Bruxelles,

    Le Cratère - Scène nationale d’Alès, GREC 2014 Festival de Barcelona,

    TnBA - Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine,

    Kunstenfestivaldesarts, NXTSTP (avec le soutien du Programme Culture de l’Union Européenne)Avec la participation du Théâtre Garonne et du Théâtre national

    de ToulouseLe projet est soutenu par la Direction

    générale de la création artistique du ministère de la Culture et de la

    Communication

    Une table, eux et nous, de part et d’autre. Autour d’un bon plat, philosophes, poli-tiques et poètes européens rient, cogitent, causent lutte des classes et fétichisme de

    la marchandise. On y est. À la croisée des révolutions, celle politique de la fin du XVIIIème et la grande industrielle du XIXème siècle. Inspiré par Le Capital, traité économique et anti-capitaliste de Karl

    un jour, traverse chacun. En 50 ans de création, l’insatiable Jean-Pierre

    Vincent ne s’était encore jamais attaqué à Beckett.

    À la lumière de ce jour, il relit le conte comme la tragi-co-médie d’un état du monde. Il y a le grotesque de Laurel et Hardy dans les échecs de

    ces clochards terrestres. Il y a le burlesque de Chaplin et Keaton dans les chutes de ces poètes célestes. Ce n’est pas du théâtre de l’absurde

    non, c’est une arme de résistance, fragile et massive,

    une dérision superbement vivace.

    Marx, Sylvain Creuzevault invente une comédie pure

    et dure avec gueuleton et gri-maces. On y croise Benjamin, Blanqui et Debord, Lacan et

    Freud, les poètes aussi, Rimbaud et Aragon. Ça débute un 13 mai 1848 à

    Paris, juste avant la guerre civile de juin, lorsque se

    déroule le premier vote au su�rage universel direct (masculin) et que surgit la question du travail en politique. Ça continue un 13 juin 1919 à Berlin juste après la proclamation de la République et la guerre civile de janvier. Et ça finit

    sur les procès politiques des figures engagées dans ces

    deux périodes bouleversées. Après Notre terreur, présenté

    à Théâtre en mai en 2010, Le Singe prend pour cible les progrès de l’aliénation

    sociale obtenus par le mode de production capitaliste. Les treize acteurs expérimentent sur le plateau la démocratie qu’ils interrogent au sein de

    leur troupe. Fougueux et brillants, ils emportent

    l’Histoire, et nous avec, dans une farce agile et rusée.

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    De retour d’une randonnée en montagne,

    Alfred annonce à sa demi-sœur bien-aimée Asta et à sa femme Rita, sa déci-sion irrévocable : il renonce

    à la philosophie pour se consacrer à Eyolf, son unique enfant, handicapé et jusque là négligé. Ces trentenaires exigent l’harmonie parfaite

    entre leurs désirs et la réalité, quelle qu’elle soit. Mais la

    mort survient. Le petit garçon se noie dans les eaux gla-

    ciaires, yeux grands ouverts. Que faire ? S’enfoncer au fond du �ord, où tout est

    calme et sombre ou essayer de vivre, car il le faut ? Tous tentent d’exister mais dans le vide où s’échappent les culpabilités, surgissent les secrets et les pulsions, le

    dégoût et la cruauté. Dans un paysage dépouillé, à la

    lumière d’une nuit éternelle, la terre, jetée là, est île du

    deuil. Il y a là les hivers du nord qui ont inspiré au

    franco-norvégien Jonathan Châtel le désir de monter la pièce magistrale et rare de son compatriote Henrik

    Ibsen. Pour sa première création, il traduit et adapte l’écriture au plus proche de l’originelle langue vibrante. Avec rigueur et délicatesse,

    il sculpte le silence et l’absence, la pierre et le vent, la voix et le corps. Et dresse une œuvre mystérieusement

    humaine.

    Midnight, stars and you – Ray Noble Orchestra with Al Bowlly / Unhappy party - Yeong-wook Jo - Sympathy

    for Lady Vengeance OST / Over and Done - Mihaly Vig / Waltz - Toru Takemitsu / Lassu Tanc – Mihaly Vig / Lovers are Strangers – Chinawo-man / Prelude in D minor - J.S. Bach / B2 love - CURD DUCA / Carnival of

    souls - Combustible Edison

    Coproduction Centre Culturel Onassis, Blitz Theatre Group,

    La Filature - Scène nationale de Mulhouse Création octobre 2012, Centre Culturel Onassis, Athènes

    Développement et promotion Judith Martin / Ligne Directe

    Au milieu des gravats, ils valsent. La poussière vole, le haut-parleur grésille, depuis

    quand dansent-ils ? Trois hommes et trois femmes

    confinés là, dans une salle délabrée, s’inventent un bal. Sur les musiques épargnées

    d’une Europe dévastée, s’érigent leurs souvenirs,

    les prémices d’une guerre éclatée qui dure toujours au dehors, les e�ondrements des villes, des croyances et des amours. Et puis soudain,

    une acrobatie, un tour de magie et des applaudisse-

    ments, pour se sentir encore en vie. Si le temps parfois

    s’arrête, ici il tourne infiniment. Possiblement

    au lendemain d’un austère présent grec, européen. Accueilli lors de Théâtre

    en mai en 2013 avec Guns! Guns! Guns!, le Blitz Theatre

    Group, représentant d’un théâtre grec indépendant, est à l’honneur de cette édition.

    03PETIT EYOLF

    23 + 24 + 25 MAI

    SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 À 17 H, LUNDI 25 À 18 H

    THÉÂTRE MANSARTDURÉE 1 H 30

    Compagnie ElkDe Henrik Ibsen

    Mise en scène, adaptation et traduction Jonathan Châtel

    Avec Alexandra Flandrin, Vladislav Galard, Pauline

    Lorillard, Laurent Ménoret, Anne-Sophie Sterck

    Collaboration artistique Sandrine Le Pors Scénographie Gaspard Pinta

    Lumière Marie-Christine SomaMusique Daniel Freitag Costumes

    Axel Aust Assistante à la mise en scène Adele Rutigliano

    Production Compagnie Elk Coproduction et accueil en résidence

    Théâtre d’Arras - Scène conventionnée musique et théâtre

    Avec le soutien du Théâtre de Vanves - Scène conventionnée pour la danse Avec le soutien de la DRAC

    Nord-Pas-de-Calais, ministère de la Culture et de la Communication

    Remerciements Ambassade de Norvège à Paris

    04LATE NIGHT

    23 + 24 + 25 MAI

    SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 À 21 H, LUNDI 25 À 18 H

    PARVIS SAINT-JEANDURÉE 1 H 30

    EN GREC SUR-TITRÉ EN FRANÇAIS

    Blitz Theatre GroupTexte et mise en scène

    Blitz Theatre GroupDramaturgie Blitz Theatre Group

    et Nikos FlessasAvec Maria Filini, Sophia

    Kokkali, Angeliki Papoulia, Christos Passalis, Fidel

    Talaboukas, Giorgos Valaïs

    Assistanat à la mise en scène Vassia Attarian Régisseur lumière Tasos Paleoroutas Chorégraphie Yannis Nikolaidis Décors Efi Birba Costumes Vasilia Rozana Musique

    Blitz Theatre Group et Giorgos Konstantinidis Sparkler - Jeans Wilder / Jazz Suite - D. Sosta-ckovich / Aqua De Florida - Pascal Comelade / Masquerade Waltz A. Khazaturian / Quasimodo

    Tango - Ghedalia Tazartes / Thème de Camille -

    Georges Delerue - Le Mépris OST /

    Il compose la veillée funèbre d’un monde aimé, trop

    peut-être, la danse résignée d’une décadence. Avec eux,

    la mélancolie se pare d’ironie, élégante et

    fulgurante. Serait-il trop tard pour une révolution ?

    Danser, ne pas s’arrêter, résister et par la poésie,

    rester vivant.

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    Pierret Regard chorégraphique Milan Hérich Création costumes Solenne

    Capmas Coaching acrobatique Dariusz Karczewski Production et

    di�usion Stéphanie Monnot Liodenot Communication et

    logistique de tournée Mylène Cavé

    Production Compagnie Rasposo Coproduction Verrerie d’Alès -

    Pôle National Cirque Languedoc Roussillon, Scène nationale de Sète

    et du Bassin de Thau, Scène nationale de Narbonne, Sortie Ouest - Béziers, Cirque Théâtre

    d’Elbeuf-Pôle National des Arts du Cirque Haute Normandie, Régie Culturelle Scènes et Cinés Ouest

    Provence - Festival « Les Elancées », L’Abattoir - Centre National des Arts de la Rue - Ville de Chalon-sur-Saône, Theater op De Markt

    - Dommelhof - Belgique Soutiens à la résidence Circa Auch - Pôle National

    des Arts du Cirque Midi-Pyrénées, Theater op De Markt - Dommelhof -

    Belgique Avec le soutien du ministère de la Culture - DGCA, du Conseil général de Saône-et-Loire

    Remerciements L’Arrosoir, Jazz Club - Chalon-sur-Saône, L’EPCC - Pont du Gard, L’odyssée du Cirque - Belfort.

    Compagnie Rasposo en compagnon-nage avec La Verrerie d’Alès - Pôle National Cirque Languedoc Roussil-lon Compagnie conventionnée par le ministère de la Culture et de la

    Communication - DRAC Bourgogne et le Conseil régional de Bourgogne

    Sous le chapiteau, les corps acrobates aux crocs acérés

    mordent la vie avec intensité. Ce cirque-là se laisse glisser

    à l’intérieur, dans les douleurs, les chutes et les

    chocs intimes. Le surhomme laisse place à l’humain et o�re un spectacle chargé d’adrénaline et d’émotion. Dans un espace étroit en

    clair-obscur, on devine une bande d’individus se

    débattre, se laisser porter et s’élever un peu plus encore, l’âme et le corps mis au dan-ger de l’amour et de la mort. Morsure, c’est la sensualité, la férocité et le sauvage qui

    font nos humanités animales. Sur l’équilibre d’un fil, la

    05MORSURE

    23 + 24 + 25 + 26 + 27 MAI

    SAMEDI 23 ET DIMANCHE 24 À 21 H, LUNDI 25, MARDI 26

    ET MERCREDI 27 À 20 HCHAPITEAU MAIL FORAIN

    DURÉE 1 H 15DÉCONSEILLÉ AU MOINS DE 8 ANS

    Compagnie RasposoÉcriture, mise en scène

    Marie MolliensAvec Hanno Burger, Nathalie

    Halley, Konan Larivière, Alexandre Le Gouallec, Pierre Le Gouallec, Marie Molliens

    et les musiciens Benoît Keller, Christian Millanvois,

    Françoise Pierret

    Régisseurs Thierry Azoulay, Bernard Bonin, Arnaud Gallée, Sébastien

    Laigret Assistante à la mise en scène Fanny Molliens Direction technique,

    scénographie Vincent MolliensCréation musicale Benoît Keller, Christian Millanvois et Françoise

    puissance d’un porté ou la légèreté d’un saut à la barre russe, chaque discipline est métaphore de nos tentatives

    d’être, avec soi et l’autre. Accompagnés de trois

    musiciens, les cinq circassiens virevoltent et

    domptent le vertige sur des mélodies rock et jazzy. C’est

    du cirque assurément, du beau et du grand. Celui qui, dans la tradition, se transmet de génération en génération.

    Celui qui, dans le vivant, évolue avec son temps.

    Rasposo, c’est une histoire de famille, la famille Molliens. En 2013, Marie prend la suite

    de sa mère Fanny et, avec son frère Vincent, impulse à

    la compagnie implantée en Bourgogne depuis 1987 un mordant qui

    donne Morsure.

    Un jour, un adolescent. Intégré, adapté, aimé. Au

    lycée, il se met à délivrer ses copies, blanches. Non pas vides de sens, non. Vides de mots. Au fil d’actions

    mettant en jeu l’adolescent face aux amis, professeurs et parents, se saisissent les

    conséquences du geste. On se ligue contre, on se

    rassemble avec, on œuvre pour, on accepte ainsi…

    Trois comédiens au centre du public, dans un espace rudimentaire, échangent la

    balle et les rôles pour donner à voir autant de regards, faire entendre autant de paroles, contraintes ou choisies. Car c’est bien là, au centre, que tout se joue. Que les règles s’inscrivent et que la déso-béissance se pose comme résistance à un ordre établi. Qui est cet adolescent ? Il

    pourrait être enfant de Julien Bême, personnage central du roman l’Objecteur écrit en 1951 par Michel Vinaver. Jeune homme qui, un jour

    au service militaire, posa son fusil à terre. Incapable

    d’obtempérer, il sème le

    06LE PAS DE BÊME

    24 + 25 + 26 MAI

    DIMANCHE 24 ET LUNDI 25 À 15 H, MARDI 26 À 19 H

    BOURSE DU TRAVAILDURÉE 1 H

    Compagnie Théâtre DépliéMise en scène Adrien

    Béal Collaboration Fanny Descazeaux

    Avec Charlotte Corman, Etienne Parc et Pierric Plathier

    Production Compagnie Théâtre Déplié

    Remerciements au collectif 360, à Lilas en scène, à l’Échangeur de

    Bagnolet, à La Colline - théâtre national Avec l’aide d’Arcadi Île-de-

    France, dans le cadre des Plateaux solidaires

    Le Théâtre Déplié est associé au Théâtre de Vanves, Scène conventionnée pour la danse,

    et en résidence à Lilas en scène (93)Le spectacle a été créé en mai

    2014 au Théâtre de Vanves - Scène conventionnée pour la danse et en juin 2014 à la Loge (Paris 11e)

    Une forme courte avait été créée en juin 2013 dans le cadre

    du festival 360

    trouble dans la garnison. Au fil de discussions et

    improvisations autour de cette figure, la compagnie a donné naissance à cet

    objecteur d’aujourd’hui, ce dissident de l’école. Que

    représente le fait de (pouvoir) ne pas faire ? Interrogeant

    l’altérité, la liberté de pensée et le conditionnement d’une

    société, le Théâtre Déplié déploie sans imposer

    d’autorité, une réflexion politique, une philosophie de

    l’ordinaire, simple, grave et légère. ©

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    07MICKEY

    LE ROUGE 25 + 26 + 27 MAI

    LUNDI 25, MARDI 26 ET MERCREDI 27 À 21 H

    ATHENEUMDURÉE ESTIMÉE 2 H

    bombes américain et hors-la-loi, rencontre Leigh-Chéri, jeune militante anti-nucléaire

    européenne et princesse. Ils sont roux et s’aiment ; un

    abîme les sépare, une secousse les rassemble. Autour d’eux, gourous et

    argoniens argumentent sur l’univers. Et eux, sont-ils descendants d’une autre

    planète ou bâtisseurs d’un nouveau monde ? L’Amour

    les aidera-t-il dans leur tâche politique ? Avec ceux-là,

    ce sont deux générations et continents de contes-tataires idéalistes qui se

    rencontrent. Tom Robbins, fou de pataphysique et ami des Doors, est une icône de la contre-culture américaine. Par l’absurde et le vide, son langage métaphorique lutte

    contre l’esprit obtus et creux. Le roman de cet auteur culte

    est à découvrir, adapté et créé pour la première fois

    en France au TDB. Thomas Condemine, qui avait déjà enthousiasmé le public de

    Théâtre en mai en 2013 avec Hetero de Denis Lachaud,

    poursuit le dynamitage des schémas de pensée

    aliénants, qu’ils soient politiques ou amoureux. Dans l’oasis solaire et

    métallique version eighties, la satire est une bombe

    percutante et psychédélique.

    TPN-theatreD’après le roman de Tom

    Robbins Adaptation Thomas Condemine, Adeline Picault

    Mise en scène et scénographie Thomas Condemine

    Avec John Arnold, Eric Forterre, Lisa Kramarz, Céline Martin-

    Sisteron, Sylvie Milhaud, Grégoire Tachnakian

    Assistante mise en scène Pénélope Biessy Assistant scénographie

    Charles Chauvet Lumière Thierry Fratissier Son et vidéo Thomas Sillard Maquillage et perruque

    Catherine Saint-Sever Costumes Camille Vallat Régie générale Camille

    Faure Production Romain Picolet

    Production TPN-theatre Coproductions Théâtre Dijon Bourgogne - CDN, Comédie

    Poitou-Charentes - CDN, La Rose des vents - Scène nationale de Lille-Ville-

    neuve d’Ascq, Théâtre National de Toulouse Midi-Pyrénées - CDN

    Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National Avec le

    soutien de la DRAC Poitou-Charentes Remerciements au T2G, Théâtre de Gennevilliers - CDN et au Nouveau

    Théâtre de Montreuil - CDN

    1980, Hawaï, festival de Géo-Thérapie : deux êtres,

    visages blancs, cheveux flamboyants. Mickey Le Rouge, vieux poseur de

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    08VIVIPARES

    25 + 26 + 27 MAI

    LUNDI 25 À 21 H, MARDI 26 ET MERCREDI 27 À 19 H

    LA MINOTERIEDURÉE 1 H 15

    groupe LA gALERIE De Céline Champinot

    Collaboration artistique Nicolas Lebecque

    Avec Adrienne Winling, Sabine Moindrot, Elise Marie, Maeva

    Husband, Louise Belmas

    Scénographie Emilie RoyLumière Claire Gondrexon

    Arrangements musique Pem Bray-Weppe, Antoine Girard Production / Di�usion Mara

    Teboul – L’ŒIL ECOUTE

    Avec le soutien du Centquatre, la Maison des Metallos, La Loge,

    CNSAD, Théâtre 95 (Cergy-Pontoise), Théâtre Ephéméride

    (Val-de-Reuil)

    Il n’y avait qu’elles pour faire ça. Cinq drôles d’actrices, dégenrées et désinhibées, ne se prennent pas pour

    n’importe qui. David Bowie,

    Judy Garland, Michaël Jackson et même Charles

    Bukowski se succèdent dans le sous-sol d’un pavillon

    familial. Sur le carton scotché au sol, dans un beau bazar de bricoles, canapé fané,

    poster paradis et pacotilles, elles préparent un spectacle. Au fil d’aventures délirantes, elles bourlinguent d’un quai

    de gare pluvieux de Bourg-en-Bresse à une

    chambre d’hôtel miteuse de Los Angeles, d’un �ord

    suédois à une cerisaie ukrainienne, sans changer

    de coin. Ça leur va bien à ces indisciplinées, d’habiter le

    lieu des turbulences. Maniant avec fureur et fantaisie les

    tirades obsessionnelles et la poésie cruelle, elles

    tentent de définir leur iden-tité, veulent être, envient,

    doutent, exigent et scrutent à cru la créature vivipare que

    nous sommes. Menée par Céline Champinot, la bande amphibienne cherche avec inventivité et générosité la zone de perméabilité entre l’acteur et le spectateur. Elle déballe là le rituel théâtral et installe un espace où

    “un humain parle à un autre humain” avec l’insolence

    qui sied à la déconstruction d’une pensée trop aisée.

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    16 09

    CLAP 26 + 27 MAI

    MARDI 26 À 21 H ET MERCREDI 27

    À 19 H ET 21 HGYMNASE ÉCOLE DES GREFFES

    DURÉE ESTIMÉE 45 MNENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION

    L’OUTIL (FR) / Objective : spectacle : enthousiastic

    encounters (DE) Un projet de Inge Agnete Tapgaard, Bryan Eubanks, Victor Lenoble, Clementine

    Pohl, Olivier Veillon, Christoph Wirth

    Direction artistique Christoph WirthMise en scène

    Olivier Veillon – Christoph WirthAvec Victor Lenoble et un

    chœur de clappeurs

    Et si c’était ça le cœur du spectacle ? L’applaudisse-ment ! Clap, ce sont des

    volontaires rassemblés en miroir de l’assemblée specta-trice, un chœur de clappeurs

    recrutés sur place par une bande internationale de

    chercheurs sachant chercher le petit rien qui fait le grand tout. Après la conférence

    Spectateur : droits et devoirs, Olivier Veillon et Victor

    Lenoble, les dijonnais de L’OUTIL poursuivent aux

    côtés d’une équipe interna-tionale l’étude des

    protocoles du spectacle et donc de la société.

    Ici l’applaudissement, fait de silence et de frappe, constitue une véritable composition rythmique.

    Frénétique et hypnotisante, cette expérience

    participative, joyeuse et joueuse, raconte l’humani-té primitive et la communauté

    vivante.

    Production l’OUTIL (FR) / Objective : spectacle : enthousiastic

    encounters (DE)Avec le soutien de Ville de Dijon, Théâtre Dijon Bourgogne - CDN,

    Festival Treibsto� (Bâle, CH), Teater Nordkraft (Aalborg, DK), Balhaus Ost

    (Berlin, DE) et de PACT Zolverein (Essen, DE), Festival New Commu-nities - Nordic Performing Art Days

    (Aalborg, DK)

    Regarder dans les yeux et frapper des mains : dès la naissance, ces premiers

    tests vérifient les aptitudes neurologiques de l’enfant. Et ainsi la capacité archaïque à être spectateur : voir et

    recevoir, poser sur le monde un regard et manifester ses

    sentiments. Son enthou-siasme, son approbation, son encouragement. Que le spectacle soit pièce de théâtre, match de foot ou

    grand discours. Mais battre des mains peut autant définir

    l’appartenance au groupe que la transgression sociale.

    10ARABLE

    27 + 28 + 29 MAI

    MERCREDI 27 ET JEUDI 28 À 19 H, VENDREDI 29 À 22 HTHÉÂTRE DES FEUILLANTS

    DURÉE 1 H 05

    Compagnie A Bout PortantTexte et mise en scène

    Karima El KharrazeAvec Mouna Belghali

    et Estelle Lesage

    Scénographie Garance Coquart et Jonathan

    Debrouwer Création lumière Laïs Foulc

    Création sonore Vincent Lendower Costumes Pauline Zurini

    Régie générale et lumière Laïs Foulc Régie son et plateau

    Lou Beauvallet-Proust

    Production Cie A Bout Portant et le Collectif 12

    En partenariat avec le Théâtre Eurydice

    Avec le soutien du Conseil général des Yvelines, de la DRAC Ile-de-France, du Centre National du

    Théâtre et d’ARCADI dans le cadre des Plateaux Solidaires

    Ce texte a reçu l’Aide à la création du Centre national du Théâtre

    Le Maroc et la France. Deux pays, deux langues et une

    histoire emmêlée. Deux actrices aux cheveux frisés, aux deux nationalités sont une seule femme enfant, adolescente puis adulte en (dés)équilibre sur ses

    deux terres. À travers elle(s), Karima El Kharraze, née en

    France dans les années 1980 de parents marocains, dit

    “je”. Son histoire intime est indissociable d’une histoire

    sociale française et sa mémoire d’une mémoire commune. Elle raconte la

    brume du nord et le désert du sud, les longs voyages en

    voiture, le père étranger aux mots tus, les amours défendues. Avec pudeur et délicatesse, elle enlace

    l’arabe et le français, tisse une matière faite

    d’anecdotes, de poésie clamée, slamée, en résonance avec les

    musiques du mythique Nass El Ghiwane. Interrogeant les

    stigmates et les

    stéréotypes, “de la fille arabe sous couvre-feu à la beurette intégrée”, Karima El Kharraze met au centre une identité délaissée à la périphérie, spatiale et

    sociale. Du campement à la cité, l’agora se construit ici autour de panneaux de chantiers, organisant les diapositives du passé et

    projetant une ouverture à l’imaginaire. Arable remue

    les terres pour découvrir les racines, élever les boutures, “invoquer les possibles qui rendent fertiles le présent” et semer la poésie apaisée

    d’une émancipation.

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    © Hélène Harder

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    Ils sont au cœur de Théâtre en mai. Après avoir

    dansé dans le bal délabré de Late Night, ils se

    retrouvent ici dans un salon au seuil du rêve. Ils sont

    Christos, Angeliki et Giorgos du Blitz Theatre Group, dix

    années depuis leur première création. Ils sont Astrov,

    Sonia et Vania, les person-nages de Oncle Vania de

    Tchekhov, dix années après s’être quittés. Protagonistes de la pièce et de leur propre histoire, le trio fondateur de

    la compagnie grecque observe le passage du

    temps. C’est jour de joie, on dispose les plantes, suspend

    les lampes et le temps. À l’avant-scène, deux

    hommes et une femme dansent, chantent, jouent

    et préparent une fête mystérieuse. Au fond, à l’arrière-plan, ils rejouent les adieux, ces scènes du

    passé qu’ils n’ont pu oublier, répètent ce qui n’a peut-être

    pas été dit, refont ce qui a

    11VANIA.

    10 ANS APRÈS 28 + 29 + 30 MAI

    JEUDI 28 À 21H, VENDREDI 29 ET SAMEDI 30 À 22 HPARVIS SAINT-JEAN

    DURÉE 1 H 15 EN GREC SUR-TITRÉ EN FRANÇAIS

    Blitz Theatre GroupMise en scène

    Blitz Theatre GroupAvec Angeliki Papoulia, Giorgos

    Valais, Christos Passalis

    Dramaturgie Blitz Theatre Group, Nikos Flessas Lumière Tassos

    Palaioroutas Scénographie Efi Birba Costumes Vassilia Rosanna

    Assistante à la mise en scène Vassia Attarian

    Production Blitz Theatre Group Coproduction Théâtre Dijon

    Bourgogne - CDN, La Comédie de Reims - CDN Avec le soutien du

    programme de résidence artistique de la Biennale de Teatro de Venezia

    Création novembre 2014, Theatro Technis, Athènes Développement -

    promotion Judith Martin / Ligne Directe

    peut-être été vécu. Pétris de déceptions et épris de désirs, ils veulent aimer et

    être aimés. Les trois artistes saisissent la musicalité du

    drame et le sacré du poème de T.S. Eliot (East Coker tiré de Four Quartets qui valu à l’auteur le Prix Nobel de littérature en 1948) pour

    composer une partition faite d’explosions émotives et

    de silences méditatifs. Dans cette sorte de salle d’attente et de jeu, le trio grec adresse à l’humanité future un appel

    à vivre intensément, à attendre calmement, la fin

    et le commencement.

    12BIG DATA 29 + 30 + 31 MAI

    VENDREDI 29 À 19 H 30, SAMEDI 30 À 16 H ET DIMANCHE 31 À 17 H

    ATHENEUMDURÉE 1 H 15

    La Quincaillerie ModerneMise en scène, conception,

    écriture Benjamin VillemagneJeu, conception et écriture

    Hadrien Mekki Danse et écriture chorégraphique I�ra Dia Création musicale Patrick

    De Oliveira Création lumière et régie vidéo Richard Gratas

    Création numérique et interactivité Beam Art Administratrice

    de production Aurélie MaurierDi�usion et communication

    Émilie Derian

    Coproduction Théâtre de Roanne, Espace Albert Camus du Chambon Feugerolles, WIP/Parc de la VilletteLa cie est subventionnée par la ville de Saint-Étienne, le Conseil général de la Loire, la Région Rhône-Alpes

    et la DRAC Rhône-Alpes Big Data a reçu le soutien de la

    SPEDIDAM et du Fonds SCAN de la Région Rhône-Alpes

    de pseudo-conférence, au fil des réseaux et pop-up traités en live à l’écran, on s’amuse et apprend de nos chemi-

    nements de pensées et nos connaissances en matière de chatroulette et buzz de chats. Nos usages une fois décryptés, les mots laissent place au corps, fragmenté,

    pixellisé. Une danse hip-hop et hybride dont les flux

    forment l’image et orchestrent les sons. Dans

    l’esthétique en toc des consoles, sur les clics et l’électro inspirée de

    Kraftwerk and co., un acteur, un danseur et des machines

    ouvrent nos perceptions. Une expérience numérique,

    sensorielle et ludique.

    We are Big Data ! Big Data ? Les méga-données bien sûr. Comme toute espèce, nous sommes l’information que

    nous échangeons. Captées, stockées, partagées, ces

    données devenues massives constituent une puissance encore méconnue. Comme

    l’écrit et l’imprimé, le numérique est une révolution

    cognitive et politique. Le philosophe Michel

    Serres fait des nouvelles technologies une voie

    d’émancipation possible ; les trans-humanistes

    prônent leur pratique pour transcender les capacités de l’homme ; et les artistes

    détournent ces outils prétendument aliénants

    pour démontrer la créativité universelle qu’ils nous procurent. Après Le

    Vernissage et Rixe, inspirés du gra� et de la battle, présentés à Théâtre en mai en 2013, Benjamin Villemagne explore le

    numérique, berceau de nos nouvelles humanités. Dans

    une première partie en forme

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    © Julie Collet

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    Scénographie Charlotte Maurel et Julie Deliquet Lumière Jean-Pierre

    Michel et Laura Sueur Production, administration Cécile

    Jeanson - Bureau FormART

    Production Collectif In Vitro Coproduction Théâtre Romain

    Rolland de Villejuif, Théâtre Gérard Philipe de Champigny-sur-Marne

    Avec l’aide à la production du ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Île-de-

    France, et d’Arcadi Avec le soutien du Fonds SACD Théâtre, du Conseil

    général du Val-de-Marne et de l’Adami Avec le soutien du Théâtre de Vanves, du Studio-Théâtre de Vitry, de la Comédie de Valence, de la Ferme du Buisson - Scène nationale de Marne-la-Vallée, du

    Théâtre de la Ville-Paris Ce spectacle a été répété au Théâtre

    de la Bastille et a bénéficié de son soutien technique Avec l’aide d’Arcadi Île-de-France / Dispositifs

    d’accompagnement En collaboration avec le Bureau FormART

    Il y a du monde chez François et Françoise. On fête la nouvelle maison,

    l’installation dans la cam-pagne des Deux-Sèvres et les années passées depuis mai 1968. Autour de la toile cirée, le repas se rallonge

    en mirabelle. Ça délie et ça ravive. Il y a Marie-Pierre,

    Catherine et Jacques, Daniel exploitant agricole, Georges,

    gaulliste pur et dur, qui enrobe ses valeurs d’une

    13NOUS

    SOMMES SEULSMAINTENANT

    29 + 30 + 31 MAI

    VENDREDI 29 À 20 H, SAMEDI 30 À 21 H,

    ET DIMANCHE 31 À 19 H 30SALLE JACQUES FORNIER

    DURÉE 1 H 35

    Collectif In VitroCréation collective

    Mise en scène Julie DeliquetAvec Julie André, Gwendal Anglade, Anne Barbot, Eric

    Charon, Olivier Faliez, Pascale Fournier, Julie

    Jacovella, Jean-Christophe Laurier, Agnès Ramy, Richard

    Sandra, David Seigneur, Annabelle Simon

    poésie de gauche, Carmen, et Michel Bandini qui rit

    beaucoup quand il ne sait pas quoi dire. On se raconte l’avant : études et barricades, départ pour le Chili d’Allende et retour pour la naissance

    de Bulle, la fille de Françoise et François. L’utopie couvée

    et la réalité recouvrée. Tous ceux-là rassemblés

    dégustent, forcément. Avec ironie et tendresse, les

    révolutionnaires d’hier et ceux nés dans leur ombre s’observent et saisissent ce qu’il en est de l’insou-

    ciance d’alors et des libertés acquises. Ça raconte les

    héritages idéologiques, les idéaux et les héritiers. Après La Noce d’après Brecht et Derniers remords avant

    l’oubli de Lagarce, In Vitro signe d’une écriture

    collective le nouvel opus du triptyque Des années 70 à nos jours. À chaque

    représentation, les acteurs changent les mots et les

    places, improvisent et font entrer le réel dans la fiction. Avec une insolence qui leur

    va bien, avec la vivacité d’un théâtre qui se joue de

    l’instant.

    14PAGE EN

    CONSTRUCTION 29 + 30 + 31 MAI

    VENDREDI 29 À 20 H, SAMEDI 30 À 22 H

    ET DIMANCHE 31 À 19 H 30 GRAND THÉÂTRE

    DURÉE 1 H 30

    Compagnie El AjouadTexte Fabrice Melquiot

    Mise en scèneKheireddine Lardjam

    Avec Larbi Bestam, Romaric Bourgeois, Sacha Carmen

    et Kheireddine Lardjam

    Collaboration artistique Estelle Gautier Création lumière Manu Cottin Création son Pascal

    Brenot Musique création collective Dessins Jean-François Rossi Vidéo Kheireddine Lardjam,

    Thibaut Champagne

    Production Compagnie El Ajouad Coproduction La Filature, Scène

    nationale Mulhouse, L’Arc - Scène nationale Le Creusot, la DRAC Bourgogne, Conseil général de Saône-et-Loire Avec le soutien de la Comédie de l’Est - Centre Dramatique National d’Alsace,

    Colmar, Les Scènes du Jura - Scène nationale, Institut Français en

    Algérie, Maison de la Culture d’OranLa Compagnie El Ajouad est conventionnée par le Conseil

    régional de Bourgogne

    L’Algérie et la France. Une page suspendue entre deux chapitres de l’Histoire, entre deux lignes d’une vie. Celle

    de Kheireddine Lardjam, acteur et metteur en scène,

    oranais et bourguignon. Entre ses deux pays, il crée et erre,

    héritier d’une guerre qu’il n’a pas connue mais dont il porte les traces, exilé sans

    terre. Sur les mots de Fabrice Melquiot, en justaucorps et

    cape au cou, l’acteur devient super-héros. Mais attention,

    un super-héros arabe. Ce n’est pas possible, pas

    en France ! Et pourquoi pas ? Il faut au moins ça

    pour briser les chaînes d’une dépendance, pour “soule-ver la chape de silence qui

    recouvre l’Histoire commune

    de ces deux pays depuis la fin de la guerre d’Algérie”. Pour résister. Kheireddine commande à Fabrice un texte, l’auteur accepte si

    l’Histoire se raconte à travers les yeux et la mémoire de

    Kheireddine, l’acteur accepte si Fabrice l’accompagne

    sur ses terres algériennes. Là, ils découvrent que leurs histoires intimes se croisent dans les rues d’Oran… Tout

    droit sorti du comics qui s’anime derrière lui, son récit vole sur les chants tradition-nels du Diwane interprétés par trois musiciens et chan-teurs - dont Larbi Bestam,

    leader d’El Ferda, maître du genre. Kheireddine joue ici sa vie, celles des pères, des héros ordinaires et de ceux

    qui, comme lui, sont des pages en construction.

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    15L’ÂGE DES POISSONS

    30 + 31 MAI

    SAMEDI 30 À 18 H ET DIMANCHE 31 À 15 H

    THÉÂTRE MANSART DURÉE 1 H 30

    La chair du mondeTexte et mise en scène

    Charlotte LagrangeLibrement inspiré de

    d’Ödön von HorváthAvec Hugues De la Salle, Guillaume Fafiotte, Jonas

    Marmy, Julie Palmier, Jean-Baptiste Verquin

    Collaboration à la scénographie Nicolas Guéniau et Andréa Baglione

    Lumière Claire Gondrexon Son Samuel Favart-Mikcha

    Régisseur général Olivier Fauvel Codirectrice Sabrina Fuchs

    Production La chair du monde Coproduction La Filature - Scène nationale de Mulhouse, Château

    Rouge - Annemasse, TIL-Théâtre Ici et là - Mancieulles, Direction

    régionale des a�aires culturelles d’Alsace, La Ville de Strasbourg Avec la participation du Jeune

    Théâtre National

    devient fantastique quand l’inconscient fait surface :

    à la lumière du jour ou dans l’obscurité des insomnies, la nature profonde envahit le cadre. Est-ce là que tout se noue ? De la fascination pour la mort au fantasme

    amoureux, l’adolescence et ses émois palpitent au cœur

    du thriller.

    Trois lycéens jouent à des jeux de rôles, des scènes de guerre. Lorsque leur profes-seur d’histoire les accuse de propos racistes, ils lancent une pétition contre lui. Mais

    un meurtre a lieu et là ce n’est plus un jeu. La mort entre dans la partie et la

    fiction bascule dans le réel. En 1937, l’auteur austro-

    hongrois Ödön von Horváth dénonce la propagande en publiant son dernier roman

    Jeunesse sans Dieu, censuré par les nazis. Comment

    devenir adulte et trouver sa place dans un monde en

    perdition ? À partir de cette question que soulève

    l’histoire, Charlotte Lagrange fait résonner en notre

    présent la crise économique et idéologique, la mécon-naissance et la peur avec l’incompréhension entre

    générations. L’une ayant pu croire encore et l’autre qui ne sait que croire. Philosophique, la fable 16

    BONNE JOURNÉE ! 30 + 31 MAI

    SAMEDI 30 À 20 H ET DIMANCHE 31 À 15 H

    LA MINOTERIE DURÉE 55 MN

    EN LITUANIEN SUR-TITRÉ EN FRANÇAIS

    OPEROMANIJALibrettiste Vaiva Grainytė

    Compositeur Lina LapelytėMetteur en scène et scénographie

    Rugilė BarzdžiukaitėAvec Svetlana Bagdonaitė, Liucina Blaževič, Veronika

    Čičinskaitė-Golovanova, Lina Dambrauskaitė, Rita

    Račiūnienė, Kristina Svolkinaitė,

    Rima Šovienė, Lina Valionienė, Vida Valuckienė, Milda Zapolskaitė, Kęstutis

    Pavalkis (piano)Distribution susceptible

    de modifications

    Costumes Daiva Samajauskaitė Lumières Eugenijus Sabaliauskas

    Son Arūnas Zujus

    Production OPEROMANIJA Production tournée Festival Passages

    à Metz Avec le soutien de l’Onda - O�ce national de di�usion artistique

    “Bonjour ! Merci ! Bonne journée !” Lassée ou polie, la petite musique de caisse est décidément universelle. On pourrait être un samedi au centre commercial mais on est au théâtre. Sous les néons, les bips : le décor

    planté semble familier à nos instincts de consommation.

    Imaginons dix femmes - et ce n’est pas un hasard

    - installées en caisses alignées, vêtues de blouses uniformes bleues et armées

    de scanners lumineux rouges. Il y a la nouvelle et la

    vieille fille, la mère dépassée, l’étudiante fauchée… En vue, aucun charriot mais un piano.

    Éclatés, les repères : les caissières anonymes se muent en chanteuses lyriques, émouvantes

    héroïnes d’un conte à crédit poétique et politique. Elles

    sont lituaniennes et incarnent le chant d’un discours marchand globalisé.

    Les réclames, énumérations de prix et produits alternent en chœur litanique avec les récits intimes sur la famille,

    la fatigue, le chômage et les hommes en soli poignants.

    Faire entrer un supermarché dans les codes de l’opéra, tel est le jeu un peu barré

    auquel se sont prêtées trois femmes trentenaires - com-

    positrice, auteure et metteure en scène. Elles questionnent

    la déshumanisation de la société capitaliste et la condi-tion féminine, réinventent la forme opératique et livrent

    un objet débridé et subversif. Et avec ceci ?

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    B1LES

    CONVERSATIONS

    Animées par Olivier Neveux, professeur d’histoire

    et d’esthétique du théâtre et Directeur du Département

    des Arts de la Scène, de l’Image et de l’Écran (Lyon 2)

    AVEC JEAN-PIERRE VINCENT

    DIMANCHE 24 MAI DE 11 H À 13 H FOYER DU GRAND THÉÂTREEntrée libre sur réservation

    Metteur en scène et acteur, formidable pédagogue,

    Jean-Pierre Vincent a dirigé les plus grandes institutions

    du théâtre français : le Théâtre National de Strasbourg,

    la Comédie-Française ou encore le Théâtre Nanterre-Amandiers.

    Chercheur infatigable, artiste engagé, il a toujours confronté l’exploration des dramaturgies les plus contemporaines à la

    relecture du répertoire classique, avec la conviction farouche que le théâtre reste

    toujours une méditation sur l’état du monde

    B3LE FESTIVAL

    À SUIVRE

    DANS LA PRESSEInterviews, portraits,

    chroniques et critiques de spectacles, le Bien public

    ouvre ses pages aux artistes et au festival Théâtre

    en mai. À suivre dans les prochaines éditions !

    SUR LES ONDESDu 22 au 30 mai Radio

    Dijon Campus consacre son émission l’Oreille au poste au festival et reçoit en direct les artistes. Du lundi au vendredi,

    de 18 h à 19 h, plongez au cœur du festival

    France bleu Bourgogne, première radio de Côte-d’Or,

    donne la parole aux artistes et vous fait vivre le festival. Pour ne

    rien rater, restez à l’écoute !

    EN IMAGESFrance 3 Bourgogne suit

    le festival et va à la rencontre des artistes invités. Répétitions,

    coulisses, interviews, etc., un bon moyen de multiplier les

    points de vue et de découvrir le festival sous un autre angle

    BONUS

    BONUS

    SUR INTERNETtdb-cdn.com

    et sur notre page Facebook Théâtre-Dijon-Bourgogne

    et sur les sites de nos partenaires

    LYCÉENS REPORTERS AU

    FESTIVALGuidées par un journaliste,

    deux classes de lycéens professionnels suivent le festival,

    abordent la création Mickey le rouge et découvrent les bases

    du journalisme. Les articles réalisés seront publiés dans

    le Bien public du 26 mai et sur le site du TDB. Un projet d’Education artistique et culturelle, en partenariat avec le lycée LEGTA de Plombières-lès-Dijon et

    le Bien public

    LES BARSLes Bars du Parvis

    Saint-Jean et de la Salle Jacques Fornier sont ouverts

    pendant le festival

    LA LIBRAIRIEUne sélection d’ouvrages autour des spectacles en

    partenariat avec la librairie Grangier. Tous les jours

    au Parvis Saint-Jean pendant le festival sauf les 26

    et 27 mai

    AVECBLITZ THEATRE GROUP

    SAMEDI 30 MAI DE 11 H À 13 HFOYER DU GRAND THÉÂTREEntrée libre sur réservation

    Fondé à Athènes en 2004, Blitz Theatre Group est le

    représentant d’un théâtre grecindépendant et se produit à

    travers l’Europe. Inscrit dans la confusion d’un pays en pleine mutation, Blitz Theatre Group signe un théâtre à la poétique engagée, une forme qui tente d’exprimer la peur, l’incrédulité

    et l’espoir

    BONUS

    BONUS

    B2LES SOIRÉES DU

    PARVIS

    KARAOKÉ PARTYLUNDI 25 MAI À 23 HPARVIS SAINT-JEAN

    Entrée libre sur réservation

    LES DÉMONS DE MINUITSOIRÉE DJ(S)

    SAMEDI 30 MAI À MINUITPARVIS SAINT-JEAN

    Entrée libre sur réservation

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    BONUS

  • PA

    GE

    26

    Hubert AnceauCuisinier à domicileTel. 03 80 31 88 86

    Vincent BourdonLes Œnophiles / L’Autre Entrée

    18 rue Saint-Anne, DijonTél. 03 80 30 73 52

    Stéphane GuagliardoLa Bourgogne20 Place de la

    République, DijonTél. 03 80 74 12 08

    Alexandre HulinL’Épicerie

    5 Place Emile Zola, DijonTél. 03 80 30 70 69

    David Le ComteDAV’NCO

    18 bis rue Odebert, DijonTél. 03 80 40 42 80

    Gilles MagnienLe Coin Caché

    2 Place Barbe, DijonTél. 03 80 55 35 55

    Sébastien MortetUn des Sens

    rue Jeannin, DijonTél. 03 80 65 75 58

    Mathieu Munier

    Le BHV

    22 Place de la

    Libération, Dijon

    Tél. 03 80 41 81 50

    So Takahashi

    So

    15 rue Amiral-Roussin, Dijon

    Tél. 03 80 30 03 85

    DU MERCREDI 20 AU DIMANCHE 31 MAI,

    LA CANTINE DU FESTIVAL PROPOSE MIDI ET SOIR

    UNE FORMULE (ENTRÉE, PLAT, DESSERT) À 15 €.

    ELLE EST OUVERTE LE MIDI DE 12 H À 14 H

    ET LE SOIR DE 19 H À 23 H AU PARVIS SAINT-JEAN.

    UN JOUR,

    UNCHEF

    En 2014 au moment où Dijon était promue Cité de la Gastronomie, le TDB décidait de fêter cette nomination en

    lançant Un Jour, un Chef, une nouvelle formule de

    restauration pour le public et les équipes du festival. Le principe était simple.

    Au Parvis Saint-Jean, chaque jour, un chef dijonnais, plus

    ou moins toqué, un magicien des fourneaux, concoctait et proposait une formule digne des plus grandes

    tables. Ainsi spectateurs et gastronomes, chacun à leurs

    endroits, étaient conviés à l’un de ces « voyages

    immobiles » chers à Marcel Proust, ces voyages qui se transforment en véritable aventure pour peu que l’on veuille bien élargir son regard, le déplacer,

    voire le désorienter.

    Plébiscitée par les retours gourmands des gourmets festivaliers, la formule est

    remise à la carte cette année et vous promet à nouveau le

    plaisir de la découverte.

    UN JOUR,

    UNCHEF

    UN JOUR,

    UNCHEF

    UN JOUR,

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    Pour le festival, le placement est non numéroté.

    Billetterie au Parvis Saint-Jean

    Ouverture le 14 avril au Parvis Saint-Jean

    (du mardi au vendredi de 13 h à 19 h

    et le samedi de 11 h à 13 h et de 14 h à 18 h)

    et en ligne www.tdb-cdn.com

    À partir du 20 mai et pendant la durée

    du festival, la billetterie est ouverte

    tous les jours de 12 h à 20 h.

    Possibilité d’achat de places sur le lieu

    de la représentation 30 min avant le début

    du spectacle (Placement libre, dans la limite

    des places disponibles).

    Réservations par téléphone

    Parvis Saint-Jean au 03 80 30 12 12

    Les réservations doivent impérativement

    être confirmées par paiement 48 heures

    avant la représentation choisie.

    Modes de paiement

    — À l’accueil du théâtre et sur les di�érents lieux

    pendant le festival : espèces, carte bancaire

    (uniquement au Parvis et Fornier), chèque

    bancaire, chèques vacances, chèques culture

    — Par correspondance, à l’administration :

    chèque bancaire libellé à l’ordre du TDB,

    chèques vacances, chèques culture

    — Par téléphone : carte bancaire

    — Par Internet : carte bancaire

    ACCUEIL, BILLETTERIE ET TARIFS

    Pass 3 +soit 13 € la place

    Pass 10 +soit 10 € la place

    Carte Tribu en mai10 entrées à 13 €

    À utiliser en famille,

    entre collègues ou

    entre amis.

    Pass 6 +soit 12 € la place

    Pass - 30 anssoit 7 € la place

    à partir de 39 € les 3 spectacles, puis 13 €le spectacle supplémentaire

    à partir de 100 € les 10 spectacles, puis 10 €le spectacle supplémentaire

    130 € La Carte Tribu achetée au cours de la saison 14-15 est valable sur tout le festival, dans la limite des places disponibles.Attention ! Réservationindispensable.

    à partir de 72 € les 6 spectacles, puis 12 €le spectacle supplémentaire

    à partir de 21 € les 3 spectacles, puis 7 €le spectacle supplémentaire

    Tarif normal

    Tarifs spéciaux *Collégiens, lycéens, étudiants (accompa-gnés en groupe scolaire), enfants de moins de 12 ans, intermittents du spectacle, bénéficiaires du RSA, demandeurs d’emploi, personnes en service civique.

    Tarifs groupe solidaire(contacter l’équipe des relations avec le public)

    Tarif réduit *abonnés TDB 14-15, Carte Tribu 14-15, moins de 30 ans, adhérents OPAD, étudiants, familles nombreuses, groupes à partir de 10, Carte Cezam, coupon performance, adhérents FNAC, carte culture MGEN, abonnés du Club Divia et des structures culturelles partenaires**

    Personnes à mobilité réduite

    Carte culture *

    20 €

    8 €

    7 €

    15 €

    11 €

    5,5 €

    *Sur justificatif **ABC, Opéra Dijon, Théâtre de Beaune, Nouveau théâtre de Besançon, Espace des arts à Chalon S/Saône, L’Arc au Creusot, Mâcon Scène Nationale, La Vapeur, Passeports-Loisirs Quetigny, adhérents cinéma Eldorado

    La Carte Cultureest en vente

    au TDB

  • CALENDRIER

    EN ATTENDANT GODOT Grand Théâtre 2 h 20 ±20 h

    VENDREDI 22 MAI

    LE PAS DE BÊME

    MORSURE

    VIVIPARES

    MICKEY LE ROUGE

    CLAP

    Bourse du travail

    Chapiteau Mail Forain

    La Minoterie

    atheneum

    Gymnase École des Greffes

    1 h

    1 h 15

    1 h 15

    2 h ±

    45 mn ±

    19 h

    20 h

    19 h

    21 h

    21 h

    MARDI 26 MAI

    Création

    Étape de travail

    LE CAPITAL ET SON SINGE

    LE PAS DE BÊME

    PETIT EYOLF

    LATE NIGHT

    Salle Jacques Fornier

    Bourse du travail

    Théâtre Mansart

    Parvis Saint-Jean

    2 h 40

    1 h

    1 h 30

    1 h 30

    17 h

    15 h

    18 h

    18 h

    LUNDI 25 MAI

    1 h 15

    2 h ±

    1 h 15

    2 h

    Création

    MORSURE

    MICKEY LE ROUGE

    VIVIPARES

    LES SOIRÉES DU PARVIS : KARAOKÉ PARTY

    Chapiteau Mail Forain

    atheneum

    La Minoterie

    Parvis Saint-Jean

    20 h

    21 h

    21 h

    23 h

    2 h 40

    2 h 20 ±

    1 h 30

    1 h 30

    1 h 15

    SAMEDI 23 MAI LE CAPITAL ET SON SINGE

    EN ATTENDANT GODOT

    PETIT EYOLF

    LATE NIGHT

    MORSURE

    Salles Jacques Fornier

    Grand Théâtre

    Théâtre Mansart

    Parvis Saint-Jean

    Chapiteau Mail Forain

    17 h

    19 h 30

    17 h

    21 h

    21 h

    1 h 15MORSURE Chapiteau Mail Forain 21 h

    LE PAS DE BÊME

    CONVERSATION AVEC JEAN-PIERRE VINCENT

    PETIT EYOLF

    LE CAPITAL ET SON SINGE

    EN ATTENDANT GODOT

    LATE NIGHT

    Bourse du travail

    Foyer du Grand Théâtre

    Théâtre Mansart

    Salles Jacques Fornier

    Grand Théâtre

    Parvis Saint-Jean

    1 h

    2 h

    1 h 30

    2 h 40

    2 h 20 ±

    1 h 30

    15 h

    11 h

    17 h

    17 h

    19 h 30

    21 h

    DIMANCHE 24 MAI

    JEUDI 28 MAI

    VANIA. 10 ANS APRÈS

    ARABLE

    Parvis Saint-Jean

    Théâtre des Feuillants

    1 h 15

    1 h 05

    21 h

    19 h

    BIG DATA

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    NOUS SOMMES SEULS MAINTENANT

    ARABLE

    VANIA. 10 ANS APRÈS

    atheneum

    Grand Théâtre

    Salle Jacques Fornier

    Théâtre des Feuillants

    Parvis Saint-Jean

    1 h 15

    1 h 30

    1 h 35

    1 h 05

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    19 h 30

    20 h

    20 h

    22 h

    22 h

    VENDREDI 29 MAI

    SAMEDI 30 MAI

    BIG DATA

    CONVERSATION AVEC BLITZ THEATRE GROUP

    BONNE JOURNÉE !

    L’ÂGE DES POISSONS

    NOUS SOMMES SEULS MAINTENANT

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    VANIA. 10 ANS APRÈS LES SOIRÉES DU PARVIS : LES DÉMONS DE MINUIT

    atheneum

    Foyer du Grand Théâtre

    La Minoterie

    Théâtre Mansart

    Salle Jacques Fornier

    Grand Théâtre

    Parvis Saint-Jean Parvis Saint-Jean

    1 h 15

    2 h

    55 mn

    1 h 30

    1 h 35

    1 h 30

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    11 h

    20 h

    18 h

    21 h

    22 h

    22 hminuit

    L’ÂGE DES POISSONS

    BONNE JOURNÉE !

    NOUS SOMMES SEULS MAINTENANT

    BIG DATA

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    Théâtre Mansart

    La Minoterie

    Salle Jacques Fornier

    atheneum

    Grand Théâtre

    1 h 30

    55 mn

    1 h 35

    1 h 15

    1 h 30

    15 h

    15 h

    19 h 30

    17 h

    19 h 30

    DIMANCHE 31 MAI

    ARABLE

    CLAP

    MICKEY LE ROUGE

    VIVIPARES

    MORSURE

    CLAP

    Théâtre des Feuillants

    Gymnase École des Greffes

    atheneum

    La Minoterie

    Chapiteau Mail Forain

    Gymnase École des Greffes

    1 h 05

    45 mn ±

    2 h ±

    1 h 15

    1 h 15

    45 mn ±

    19 h

    19 h

    21 h

    19 h

    20 h

    21 h

    MERCREDI 27 MAI

    Création

    Étape de travail

    Étape de travail

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  • GareSNCF

    PlaceZola

    Place Wilson

    Rue de la Liberté

    Avenue Foch Place

    du 30Octobre

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    Libération

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    Librairie

    Snack

    Billetterie

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    seACCÈS

    Chapiteau Mail Forainrue Général DelabordeTram T1 – Arrêt Auditorium

    Bourse du travail 17 rue du TransvalBus Divia liane 5 – Arrêt Wilson DumontDepuis Parvis (arrêt Bossuet) direction UniversitéSalle Jacques Fornier

    30 rue d’AhuyTram T1 et T2 : Arrêt GodransBus Divia liane 10 : Arrêt Barbe

    Grand Théâtreplace du Théâtre Administration du TDB

    23 rue Courtepée 03 80 68 47 47 Tram T1 et T2 – Arrêt GodransBus Divia liane 10 – Arrêt Barbe

    Les numéros correspondent aux spectacles présentés dans chaque lieu

    Gymnase École des Gre�es5 boulevard de la MarneTram T1 – Arrêt Auditorium

    Parvis Saint-Jeanrue Danton - Tram T1 et T2 : Arrêt Darcy ou Monge

    Théâtre des Feuillants 9 rue CondorcetTram T1 et T2 : Arrêt Darcyou Monge

    atheneum Campus de DijonTram T1 : Arrêt Erasme

    Théâtre Mansart 94 boulevard MansartBus Divia liane 5 : Arrêt Mansart Depuis Parvis (arrêt Bossuet) direction Université Tram T1 : Arrêt Erasme

    La Minoterie 75 avenue Jean JaurèsTram T2 : Arrêt Jaurès

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    Partenaire de vos transports