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QUOTIDIEN NATIONAL D’INFORMATION. 37, RUE LARBI BEN M’HIDI, ALGER - N° 6918 LUNDI 11 MAI 2015 - ALGÉRIE 20 DA - FRANCE 1,30 € - GB 1£ 20 - ISSN 1111- 4290 Boudiaf : "Je ne déposerai pas plainte" P.4 ACCUSÉ DE MALVERSATIONS PAR LOUISA HANOUNE LIBERTE LE DROIT DE SAVOIR, LE DEVOIR D’INFORMER Publicité 40 000 AGRESSIONS ENREGISTRÉES DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES EN 2014 Les accusés récusent les PV de l’instruction P.2 5 e JOUR DU PROCÈS KHALIFA BANK La BEA accentue les mesures de contrôle P.7 DOMICILIATION BANCAIRE DES IMPORTATIONS École : du sinistre à la violence AF Archives/Liberté NIVEAU FAIBLE, DÉPENSES FARAMINEUSES ET ISSUE INCERTAINE Supplément Sport Championnat algérien Une équation insoluble ! MCA Passage dangereux sur le pont ! HERRADA, PRÉSIDENT DU MCEE “En Coupe d’Afrique, les arbitres ne nous sabotent pas !” P.17 à 21 P.3 D. R. “L'option militaire n'est pas la solution” P.16 DELPHINE PERRIN, UNIVERSITÉ D’AIX-MARSEILLE, À PROPOS DE LA MIGRATION CLANDESTINE OR R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R RM M M M M M M M M M M M M M M M M M ME E E E E E E E E E E E E E E E E E E E E E E E ER R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R R P . 7 D D D D D DE E E DE DE D D D D D D DE D D D LPHI DAIX - M

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  • QUOTIDIEN NATIONAL DINFORMATION. 37, RUE LARBI BEN MHIDI, ALGER - N 6918 LUNDI 11 MAI 2015 - ALGRIE 20 DA - FRANCE 1,30 - GB 1 20 - ISSN 1111- 4290

    Boudiaf: "Je nedposerai pasplainte" P.4

    ACCUS DE MALVERSATIONSPAR LOUISA HANOUNE

    LIBERTELE DROIT DE SAVOIR, LE DEVOIR DINFORMER

    Publicit

    40 000 AGRESSIONS ENREGISTRESDANS LES TABLISSEMENTS SCOLAIRES EN 2014

    Les accuss rcusentles PV de linstruction P.2

    5e JOUR DU PROCS KHALIFA BANK

    La BEA accentue les mesuresde contrle P.7

    DOMICILIATION BANCAIRE DES IMPORTATIONS

    cole : du sinistre la violence

    AF

    Archives/Libert

    NIVEAU FAIBLE, DPENSESFARAMINEUSES ET ISSUE

    INCERTAINE

    Supplment Sport

    Championnatalgrien Une

    quationinsoluble !

    MCA Passage dangereuxsur le pont! HERRADA, PRSIDENT DU MCEE En Coupe dAfrique,les arbitres ne noussabotent pas!

    P.17 21

    P.3

    D. R

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    L'option militaire n'est pas lasolution P.16

    DELPHINE PERRIN, UNIVERSITDAIX-MARSEILLE, PROPOS DE LA MIGRATION CLANDESTINE

    ORRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRMMMMMMMMMMMMMMMMMMMEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

    P.7

    DDDDDDEEEDEDEDDDDDDDEDDD LPHIDAIX-M

  • Lundi 11 mai 2015

    2LIBERTE

    Lactualit en question

    Aprs une interruption pour leweek-end, le procs sest pour-suivi, hier, avec le passage labarre, pour le troisime jourconscutif de Rafik MoumenKhelifa. Il a dabord t inter-rog par le prsident de laudience, puis, d-charge, par ses avocats Nesrredine Lezzar etMerouane Medjhoud.Moumen Khelifa nie avoir obtenu le registredu commerce avant la cration de sa banque.Il dclare avoir reu une autorisation provisoi-re de constitution de la banque dune duredune anne, soutenant que Khalifa Bank acommenc ses activits deux ou trois moisaprs dans le respect des rgles de procduresbancaires. La justice laccuse davoir eu son registre ducommerce avant dachever la procdure inh-rente la constitution de la banque dans le butde rcuprer la partie du capital quil aurait d-pose, soit 125 millions de dinars reprsentantle cinquime du quart du capital global, delordre de 50 milliards de dinars.Interrog par ses avocats sur le financement desa banque, il affirme que la cration de Kha-lifa Bank a ncessit un capital de 50 milliardsde dinars puiss exclusivement des fonds deson entreprise pharmaceutique KRG Pharmaqui tait lpoque trs rentable. Les revenusslevaient des milliards. On tait seul dansle domaine des mdicaments avec Saidal. Je neme souviens pas avec exactitude. En tout cas,les revenus taient suffisants pour crer unebanque.Il ajoute que les facilits de caisse, dont il a b-nfici, taient une procdure usuelle pourtoutes les entreprises commerciales en bonnesant. Le retrait des facilits de caisse peut treen espces sous condition que le bnficiaireen justifie lusage auprs du fisc.

    Des dpts de cinq dix milliardsde centimes par caisse la question de savoir quand les fonds des en-treprises publiques ont commenc tre pla-cs la banque Khalifa, linculp soutient queds la premire anne, cet engouement sestmanifest. Une perche est tendue par sa dfen-se: Sil y a eu ds le dbut tant dargent, pour-quoi navez-vous pas pris la fuite ce moment-l? Il rpond quil prouvait le besoin de fruc-tifier les investissements lancs et non deprendre la fuite. Me Medjhouda revient sur lecircuit dacheminement des fonds des agencesde Khalifa Bank:Que fait-on de largent d-pos dans les agences la fin de la journe etquel est le montant des dpts du jour ?Moumen explique quune quipe passe quo-tidiennement en fin de journe pour rcup-rer largent des diffrentes agences, le dpose la caisse principale et le lendemain laBanque dAlgrie. Ce sont des dpts de cinq dix milliards de centimes. Hier, sa dfense a prsent ses premiers docu-ments dcharge. En loccurrence, les actes no-taris de la villa et du local sis Chraga, sou-lignant que les caractristiques des deux biensne sont pas identiques ceux considrscomme falsifis.Le procureur gnral linterroge avec insistan-ce sur le pourquoi de lappellation Banque AlKhalifa, estimant que cest pour leurrer lesclients en leur faisant croire que cest unebanque des pays du Golfe. Les gens meconnaissaient et, donc, ne pouvaient pas fairecet amalgame. Je lai nomme ainsi en rfren-ce mon oncle le pote Lad Al-Khalifa.

    Dailleurs, sur les enseignes des agences, iltait mentionn Khalifa Bank simplement.Les banques saoudiennes nont pas russi en Al-grie. Ce ntait pas une bonne ide den fairela rfrence.Khalifa rpond une dernire question de sadfense en soutenant quil na pas de biens oude comptes en France ou au Royaume-Uni.Fin de laudition et dbut de celle dAmarRahal, le notaire.

    Le notaire Rahal: Je ne me souviens pasde toutes mes dclarations. Amar Rahal est accus davoir falsifi des do-cuments officiels. Cest un vieil homme de 86ans, trs affaibli, qui se prsente la barre. Savoix est peine audible. Sa mmoire le trahitconstamment. Le magistrat ne le lche pas pourautant et lui rpte les mmes questions jus-qu' lpuisement. la fin de la matine, Ra-hal flanche et fond en larmes.La justice laccuse davoir rdig lacte notaride la cration de la banque Khalifa avant de v-rifier le versement du quart de la somme de lagarantie requise pour la cration dune banqueau Trsor de Tipasa. Soit 125 millions de di-nars. Je nai remis lacte notari quaprslaccomplissement de tous les actes de proc-dures, commence par dire le notaire Rahal. Lejuge lui lit son PV daudition devant le jugedinstruction o il aurait soutenu que Kheli-fa na pas dpos cet argent. Il laurait interpell sur cette omission et ce der-nier lui aurait rtorqu :Ce nest pas la pei-ne puisque cet argent va tre restitu aprs. Lemagistrat revient la charge:Vous avez tinterrog sept fois entre 2004 et 2006 et vousavez toujours dclar la mme chose.Jinsisteparce que linspection a prouv quil y a eu seu-lement le dpt de 85 millions de dinars.Rahal affirme quil a russi rcuprer des co-pies de chques prouvant que Khelifa a biendpos en trois tranches les 125 millions de di-

    nars. Je ne les avais pas lpoque du procsde 2007, car des documents ont disparu aprsla perquisition de la Police judiciaire dans monbureau. Je me suis prsent devant le juge dins-truction comme un oiseau sans ailes. Dpour-vu de tout pour me dfendre. Par la suite, le re-prsentant du Trsor de Tipasa ma aid re-constituer le dossier. Rahal ajoute un argumentde taille:Si la somme de 125 millions de di-nars na pas t paye, pourquoi la Banque dAl-grie a accept le reste des versements de 37 mil-liards de dinars constituant le capital ncessai-re la cration dune banque qui est de lordrede 50 milliards de dinars ?

    Issir Iddir:Je nai sign aucun documentli KhelifaConcernant le changement opr dans le sta-tut de Khalifa Bank aprs la dmission de KaciAli en tant que P-DG et son remplacement parRafik Moumen Khelifa, le magistrat reprocheau notaire davoir modifi lacte sans une au-torisation pralable de la Banque dAlgrie. Illui rappelle quen 2004, il a dclar devant lejuge dinstruction que les actionnaires navaientpas ramen lautorisation pralable et, malgra, il a procd la modification des statuts dela banque, par ignorance de la loi. Rahal ne sesouvient pas davoir tenu de tels propos.Ce sont les actionnaires qui devaient entre-prendre les dmarches administratives auprsde la Banque dAlgrie. Croyez-moi, les chosesse sont droules sur la base de la bonne foi.Pour les actes dhypothque de la villa du Pa-radou et dun local commercial sis Chraga,lexpertise de la Police scientifique a certifi quela signature ntait pas celle de Rahal, parcontre, le cachet appos tait bien le sien. Etdonc, Rahal nest pas concern par la falsifi-cation de ces deux actes. Ce nest pas mon ca-chet, car lpoque jtais ltranger pour dessoins, rectifie le notaire. Le prsident de laudience souponne Djamel

    Guelimi, un ami denfance de Khelifa Mou-men et ancien employ de Rahal davoir soitsubtilis le cachet en question, soit appos lecachet sur des feuilles blanches utilises par lasuite pour ltablissement des deux actes dhy-pothque. Est-ce que Guelimi avait les cls deton bureau? questionne le magistrat. Rahalaffirme quil a travaill chez lui durant trois ans,mais navait pas les cls du bureau. Laprs-midi, ctait au tour dIssir Idir, un ex-responsable de la BDL de Staouli de passer la barre. Il est souponn davoir aid Moumen Khe-lifa dcrocher les deux crdits dhypothquequi laurait aider se lancer et crer ses deuxentreprises de mdicaments. Lune de produc-tion et lautre dexportation. Il soutient que cest la BDL qui a dcid doc-troyer les crdits, estimant que le secteur desmdicaments est trs porteur et stratgique.Il ajoute que Khelifa a eu 80 millions de dinars,puis 50 millions de dinars sur la base dun dos-sier complet et lui na fait quexcuter cette d-cision. Cesdeux crdits taient pour lachatdquipements et de la matire premire au pro-fit des socits de mdicaments. Khelifa ne majamais dit que ctait pour crer sa banque. Leprsident de laudience lui fait remarquerque ces propos sont en contradiction avec cequil a dclar durant linstruction. Issir Iddirpersiste et signe:Je nai jamais sign les do-cuments de crdit de Moumen Khelifa. Jtaistmoin et l, je me retrouve accus pour deschoses que je nai jamais faites. On ma fait si-gner un procs-verbal. Je suis une victime.Preuve est, dit-il, la BDL na pas dpos deplainte contre lui. Me Meziane, avocat de Khalifa Bank en liqui-dation, se dit trs tonn par les dclarationsdIssir Idir et lui demande pour la dernirefois:Est-ce que vous niez toutes les accusa-tions? Issir Idir: Oui, compltement.

    NISSA HAMMADI

    5e JOUR DU PROCS KHALIFA BANK

    Les accuss rcusentles PV de linstruction

    Le procs en cours nest pas un remake de celui de 2007. Les accuss auditionns, hier, sont revenussur leurs dclarations prcdentes, y compris celles faites durant linstruction. Le procs Khalifa Bank

    a montr, ds le premier jour, que les signes denjeux sont verrouills davance.

    Le procs Khalifa a repris hier au tribunal de Blida.

    Louiza/Archive Libert

  • Lacte pdagogique vamal. Au vu des d-veloppements enre-gistrs, lcole alg-rienne ne produitplus lacte citoyen,civique, sportif et culturel. Hier,linspecteur gnral au ministre delducation nationale, MedjahedMesseguem, a reconnu que lcolena pas assur ses devoirs et na pasiniti les lves la citoyennet, au ci-visme, au respect et la solidarit.Nous sommes dans la mmorisa-tion et nous nous inscrivons en por-te--faux! Linvit de la rdaction la radio Chane III na pas mis degants pour dsigner lcole alg-rienne comme responsable de laviolence qui prend de lampleurdanne en anne. En 2014, pas moins de 40000 actesde violence en milieu scolaire ont trecenss, dont 6000 cas provoquspar les enseignants contre les lves,plus de 4000 cas par le personnelcontre les lves et plus de5000 autres cas entre les personnels.Citant les derniers cas de vandalis-me enregistrs, il rvlera que deslves ont introduit des fumignes aulyce dHussein-Dey avant de pro-voquer un incendie. Baraki, sept lves, dont un exclude cet tablissement, ont galementintroduit des fumignes et provoquun autre incendie.Vous savez tous que le lyce de Ba-raki est limitrophe de Bentalha. Etvous savez galement que Bentalhaest une socit qui a beaucoup de pro-blmes. Dailleurs, parmi les mis encause, il y avait un lve exclu. Cest

    un acte volontaire provoqu par despersonnes extrieures lcole, advelopp M. Messeguem.

    Les filles ont introduitdes fumignes dans les lyces ses yeux, il sagit dune transgres-sion lordre scolaire passible deconseil de discipline et de justice, al-lant jusquau remboursement par lesparents dlves des mobiliers en-dommags. Citant les actes cou-rants dans nos coles, ce responsabledira : On aura tout vu. Du racket, delinsulte, des bagarres, du vandalis-me et autres menaces. Il y a mme desactes latents, comme la rumeur quiprovoque la violence. Nous avons re-cens beaucoup de cas traverstoutes les wilayas. Je le dis encore,malheureusement, lacte pdagogiquene permet pas de contenir cette vio-lence. Cela dit, lcole nest pas la seu-le responsable de cette situation. Lesparents sont souvent responsablesde ce qui se passe dans les coles et leparcours des lves. Il ira jusqumettre en cause les carences de len-cadrement qui ne mise pas sur la vi-gilance et la scurit. Pour preuve, ildira que les fumignes sont intro-duits, non pas par les garons quisont contrls, mais par les filles quine sont pas fouilles. Pis encore, il ci-tera que 132 cas relatifs la consom-mation de drogue, de psychotropeset dalcool dans les coles ont t en-registrs en 2014. Selon lui, ce faitgravissime est le rsultat dune d-mission de la socit tout entire, commencer par les parents. Il rv-lera que le ministre de tutelle a en-tam une tude sur lindice de calcul

    de lenvironnement des coles, car ceflau vient de lextrieur, cest--dire des dealers qui vendent les pro-duits prohibs devant les tablisse-ments scolaires. Il annonce quuncentre social dcoute et de soutiensera cr, suivi du recrutement depsychologues et conseillers, avec ensus la signature de conventions avecles ministres chargs des Sports, desAffaires religieuses et de la Culture,car, dit-il, tout est dlaiss dansnos coles, y compris le sportscolaire.

    FARID BELGACEM

    Lundi 11 mai 2015

    3LIBERTE

    Lactualit en question

    40 000 AGRESSIONS ENREGISTRES DANS LES TABLISSEMENTS SCOLAIRES EN 2014

    cole : du sinistre la violence

    Sur les 40 000 actes de violence recenss, 6 000 cas ont t provoqus par les enseignants contre les lves,plus de 4 000 cas par le personnel contre les lves et plus de 5 000 autres cas entre les personnels.

    Le technicum de Baraki a t incendi par les lves.

    D. R

    .

    UVRES SOCIALES DE LDUCATION

    Les membres des commissionsde wilaya veulent un deuximemandat

    SUJETS DES EXAMENS

    Ils seront laborsselon les cours dispenss la question de savoir si des mesures sont prises la veille du bacblanc et des examens de fin danne, M. Messeguem prcisera quedepuis 7 ans, cest la premire fois que les lves vont passer leurs examensdans de bonnes conditions. Nous sommes satisfaits, car tous lesprogrammes ont t boucls malgr les grves. Cela dit, les sujets desexamens seront labors selon les cours dispenss au courant de lanne.En outre, il dment que le ministre de tutelle ait fix un seuil de 55% detaux de russite dans les examens de lex-6e, du bac et du BEM. On nespcule pas au ministre. Nous avons des indices que les rsultats serontassez corrects, dira tout de go M. Messeguem. Du reste, il rvlera quelobjectif de la refonte pdagogique arrt lhorizon 2016-2017 seraatteint avec la formation des enseignants, le manuel unique et lagnralisation du prscolaire. Nous sommes prts mettre fin une cole deux vitesses. En ce moment, nous amliorons les conditions de travail etnous corrigeons tout pour un enseignement de qualit.

    F. B.

    Les prsidents des commissionsde wilaya et leurs adjoints, runis le10 mai Alger, ont appel leministre et les syndicats en vue derevoir leurs positions respectivespar rapport larrt ministrieln473, datant du 29 avril 2015,portant sur la non-ligibilit un

    second mandat. Les signataires ducommuniqu, dont larrt enquestion est en contradiction avecla Constitution, promettent parconsquent de recourir tous lesmoyens pour tre rtablis dans notredroit la candidature et pourdfendre leur dignit bafoue.

    Hallucinant !

    Les chiffres ont de quoi donner le tournis ! Pas moins de 40 000 actesde violence ont t recenss dans des enceintes scolaires. Cest unchiffre hallucinant avanc par linspecteur gnral du ministre delducation. Dix jours auparavant, la ministre abondait dans le mmesens, avouant que lcole tait dans un tat critique.Alors que tous les regards sont braqus sur lenseignement secondai-re, avec lexamen du bac, le palier du primaire est laiss labandon. Pour-tant cest la tranche dge qui a besoin dune coute permanente par despsychologues et autes conseillers. Si ce type de personnel existait, le dra-me, qui a endeuill une cole dEl-Biar, naurait, peut-tre, pas eu lieu.Les actes de violence sont devenus une pratique quotidienne, un ph-nomne banalis lextrme que le mal, qui est aujourdhui si profond,ncessite plus quune thrapie, une vritable remise en cause de la po-litique du nombre, mene ce jour. commencer par les enseignants, tous corps confondus, qui doiventmettre la mme nergie et plus de disponibilit au profit des lves dontils ont la charge que celles utilises pour lamlioration de leur statut.Un acte volontaire de chacun au sein de ltablissement conduira cer-tainement la baisse de ces actes qui conduisent lincivilit puis laviolence.La responsabilit des parents est aussi engage puisque le vivier duneducation commence par la cellule familiale. Si cette dernire est dis-loque pour plusieurs raisons, il est important de soustraire lenfant auxdsaccords entre adultes. Il est difficile pour lcole dlever et dduquerseule lenfant. Cest donc une affaire que doivent prendre en main lesdiffrents intervenants.Ltat, en tant que pouvoir public et politique, avec ses diffrents ins-truments et institutions, est mis en demeure de simpliquer et de sen-gager dans une vritable refonte de ce secteur nvralgique porteur dela gnration de demain. commencer par rendre publiques et amor-cer la mise en uvre des conclusions de la commission Benzaghou.

    Les actes deviolence sontdevenus une

    pratique quotidienne, unphnomne banalis lextrme que le mal, quiest aujourdhui siprofond, ncessite plusquune thrapie, unevritable remise encause de la politique dunombre, mene cejour.

    LDITO PAR OUTOUDERT [email protected]

    IMPOSER LE HIDJAB AUX FILLES LCOLE

    Cest un acte rprhensible Interpell par une auditrice qui se plaignait contre un enseignant quivoulait imposer le hidjab sa fille, M. Messeguem sest montr ferme:Cest une grave drive. Un enseignant na pas le droit dimposer sonopinion personnelle dans une cole. Cest un acte rprhensible. Invitantles parents dlves dposer des plaintes contre toute forme de violencefaite leurs enfants, ce responsable assure: Toute plainte dpose serasuivie par nos services. Et le ministre de lducation, travers toutes sesstructures, se porte partie civile pour protger llve. En revanche, ilinvite les parents plus de diligence pour sensibiliser leurs enfants quiprovoquent des formes de violence travers les gangs lintrieur et lextrieur des coles.

    F. B.

  • Depuis Tlemcen o ilsest rendu, hier, envisite de travail, leministre de la Sant,de la Population etde la Rforme hospi-talire, Abdelmalek Boudiaf, rpon-dant une question de Libertsur lventualit dune saisine de lajustice la suite des graves accusationsde corruption son encontre de lapart de Louisa Hanoune, secrtairegnrale du Parti des travailleurs, adclar: Jai autre chose de plus uti-le faire que de mintresser cettequestion.Autrement dit, le ministre de la San-t ne suivra pas lexemple de sa col-lgue au gouvernement, la ministre dela Culture, qui a dcid, elle, de pour-suivre en justice la patronne du PT endposant, jeudi dernier, une plaintepour diffamation. Pour rappel, Loui-sa Hanoune avait accus le ministre

    de la Sant, Abdelmalek Boudiaf,davoir octroy le march dimpor-tation des acclrateurs pour quiperles centres anticancer un entre-preneur intervenant dans le secteur destravaux publics, allusion, on ne peutplus clair, Ali Haddad, le patron delETRHB. Le soupon est que Haddadsoit choisi pour tre le reprsentantdes deux fournisseurs dacclra-teurs, lamricain Varain et le sudoisElektra. Un secteur, de lavis de Mme Hanou-ne, tranger celui dans lequel in-tervient lETRHB. Elle a accus, ga-lement, le ministre de vouloir re-mettre en cause le systme de gratuitde la sant. Le flon, cest lui qui meten cause la rvolution en mettant encause la gratuit des soins, avait-elledclar. Elle a dailleurs rclam unecommission denqute sur ces mar-chs. Le ministre sest dfendu unepremire fois, prcisant que la conclu-

    sion des contrats avec les deux four-nisseurs est antrieure sa dsigna-tion la tte du dpartement. De cefait, il ne serait pas responsable de cet-te opration. Montrant du doigt lechantier de construction dune nou-velle unit mdicochirurgicale dont ilvenait de donner le coup denvoi aucentre hospitalo-universitaire Dr Da-merdji. Le ministre a ajout quelanne prochaine, lorsque je revien-drai ici pour inaugurer cette structu-re de sant au profit de la population,ma dmarche sera davoir rendu ser-vice la socit sans me proccuper duquen-dira-t-on. Concernant la d-marche de sa collgue Nadia Labidi,ministre de la Culture, elle aussi ac-cuse de malversations et qui vient desaisir la justice pour diffamation,Abdelmalek Boudiaf a rpondu sansambages : Je nai pas de commen-taires faire ce sujet.

    A. BEREZEL

    Lundi 11 mai 2015

    4LIBERTE

    Lactualit en question

    ACCUS DE MALVERSATIONS PAR LOUISA HANOUNE

    Boudiaf: Je ne dposeraipas plainte

    La dmarche de la ministre de la Culture, qui sest plainte de Louisa Hanoune devant la justice,ninspire pas le ministre de la Sant. Abdelmalek Boudiaf ne compte pas traduire la secrtaire gnrale

    du PT devant le tribunal. Il estime quil a dj apport les prcisions qui le mettent hors de cause.

    Le ministre de la Sant, M. Abdelmalek Boudiaf.

    CIT PAR LOUISA HANOUNE DANS SES DBALLAGESSUR LA CORRUPTIONLes prcisions de Sid-Ali Mazif Accus par un dput du Parti des travailleurs davoir bnficidun passe-droit aprs le rejet de son scnario du film Le Patiodpos auprs de la commission de lecture du ministre de laCulture au mois de mai 2013, Sid-Ali Mazif, par ailleurs,ralisateur du film, sen dfend. Il explique, dans un courrieradress notre rdaction, quen ralit, le scnario du film LePatio a t agr lunanimit dans le cadre de la manifestationConstantine, capitale de la culture arabe par une commissioncompose de neuf membres. Une fiche de lecture favorable a ttablie par le prsident de cette commission et envoye auxresponsables concerns pour la suite donner. Les membres decette commission peuvent tre consults lexception dun seuldcd malheureusement en septembre 2014. Il conteste,galement, le montant du budget du film avanc par sondtracteur.Le montant accord au budget du film est fix par une autrecommission de validation compose de cinq membres aprs tudedu dossier et en fonction dun barme rigoureux, le devis est estim 65 000 000 DA et cest ce montant qui a t accord auproducteur excutif du film, souligne-t-il, joignant en annexe ledocument attestant du montant allou. Sid-Ali Mazif ajoute, par ailleurs, que la production excutive estassure par le CADC (Centre algrien de dveloppement du cinma),tablissement public de ltat charg de la production, de ladistribution et de lexploitation cinmatographiques.

    APS

    Le Rassemblement pour la cul-ture et la dmocratie (RCD)organisera, vendredi 15 mai la salle Sierra-Maestra, Alger,desassises de la jeunesse. Le RCD ex-plique que les participants ces as-sises auront dbattre du marasmesocial qui affecte la jeunesse dau-jourdhui, du dysfonctionnement dusystme ducatif et universitaire quine cesse de se dgrader, de lmanci-pation des jeunes dans le champ so-ciopolitique et des perspectives ten-dant la mise en place des cadresadquats la prise en charge deleurs problmes.Ce rendez-vous, auquel sont convisles jeunes militants du parti detoutes les rgions du pays, se veutune occasion pour dbattre des

    questions qui concernent directe-ment cette frange importante de lasocit reprsentant 70% de la po-pulation algrienne. Il sagit, en fait, pour le RCD, demettre en place une structure du par-ti ddie aux jeunes. Dans un com-muniqu rendu public hier, le se-crtariat national la jeunesse duparti souligne que les travaux de cesassises seront focaliss sur le ma-rasme social qui affecte la jeunessedaujourdhui, le dysfonctionnementdes systmes ducatif et universitai-re qui ne cessent de se dgrader,lmancipation des jeunes dans lechamp sociopolitique et des perspec-tives tendant la mise en place descadres adquats la prise en chargede leurs problmes. La future orga-

    nisation des jeunes du RCD qui endcoulera, explique-t-on, se veutun espace de concertation, dchan-ge et daction pour tous les jeunes Al-griens qui aspirent la libert, ladmocratie et la justice sociale. travers son initiative, le RCD sou-haite jeter les bases dun grandmouvement qui aura pour mission deratisser large dans les rangs de la jeu-nesse du pays, de la sensibiliser aucombat politique et aux dangers quiguettent lAlgrie avec un pouvoir quina russi que lchec (). Le RCDentend ainsi offrir aux jeunes Alg-riens une opportunit de saffirmeret de se rapproprier la dcision quiengage leur avenir.

    F. A.

    LE RCD ORGANISE DES ASSISES DE LA JEUNESSEVENDREDI PROCHAIN ALGER

    Objectif: jeter les basesdun grand mouvement

    Le groupe parlementaire de lAlliance delAlgrie verte (AAV) dobdience is-lamiste a interpell hier le gouverne-ment sur limpratif de permettre au pouvoirlgislatif dassumer son rle, en procdant larvision des lois et rglements et dencoura-ger linitiative de proposition des lois des d-puts. Pour autant, Filali Gouini, le chef de cegroupe parlementaire, a soulign, lors duneconfrence de presse, la ncessit de procder une rvision consensuelle de la Constitution,de nature consacrer lquilibre entre les pou-voirs, et garantir llargissement de laction l-gislative du Parlement. Les dputs de lAAV, qui comprend El-Islah,le MSP et Ennahda, insistent, en outre, surledevoir de permettre au pouvoir lgislatif das-sumer pleinement son rle, par le biais de laleve des cueils juridiques et organisationnels

    qui dissuadent les dputs de proposer des lois.Ils demandent, aussi, la rvision de la loi or-ganique n02-99 fixant l'organisation et le fonc-tionnement de l'Assemble populaire nationaleet du Conseil de la nation ainsi que les relationsfonctionnelles entre les Chambres du Parle-ment et le gouvernement, tout en soulignantla ncessit de rviser le rglement intrieur delAPN visant encourager linitiative des d-puts, et la rvision de linstruction de 2001,rgissant le fonctionnement du bureau delAPN. Les parlementaires islamistes invitent, enoutre, le Premier ministre et le gouvernement se conformer la Constitution et aux lois enmatire des mcanismes de contrle proposespar les dputs. Et, enfin, dactiver les lois vo-tes en acclrant la promulgation des textesdapplication y affrents. En abordant les d-

    bats ayant caractris cette journe parle-mentaire, tenue, mardi dernier, sous le titre Lalgislation algrienne entre textes et ralit,M. Gouini a, de prime abord, fait remarquerle hiatus entre les textes de la lgislation alg-rienne et la ralit de leur application sur le ter-rain, en lattribuant au motif du manque de vo-lont de ladministration et labsence du faitde ltat. Il a interpell, en ce sens, le pouvoir rpondre favorablement cette demande qui,de plus, est le rsultat dune rflexion des lusde la nation.Et de rappeler que, depuis 1997 nos jours, lAPN a promulgu 248 propo-sitions de projets de loi, 1 578 de textes dap-plication et 1 301 ordonnances, en prcisantque 99% des propositions de loi manant delopposition ont t rejetes, en dpit, du faitquelles remplissaient les conditions de laforme exiges. lexception de deux projets,

    dont celui criminalisant le colonialisme qui estbloqu au gouvernement. Durant lactuelle l-gislature, 36 propositions dont 16 mises parlAAV, ont connu le mme sort. En revanche,sur les 33 projets de loi proposs par le gou-vernement, 29 ont t examins, contrairement la Constitution qui donne la primaut auxparlementaires. Interrog, par ailleurs, au su-jet de labsence de solidarit avec les dputsdu PT, le chef du groupe parlementaire delAAV, dira: Nous soutenons tout dput quidnoncera les actes de corruption, invitanttout dtenteur de dossiers portant de telsactes les dvoiler.Tout en esprant quelaction ira jusquau bout, il souhaitera, ce-pendant, que la lutte contre la corruption soitprise en charge par les institutions habilitesavec la contribution de la socit civile.

    AMAR R.

    EN ALERTANT SUR LE REJET DE LEURS PROPOSITIONS DE LOI LAPN

    Les dputs islamistes interpellent le pouvoir

  • Pisa 2015 est unetude internationalesurles performances deslves. Elle est ralisetous les 3 ans par l'OCDE (Organisation de co-opration et de dveloppement conomiques)en troite collaboration avec tous les pays par-ticipant l'tude. Le programme value les comptences que leslves ont acquises dans les domainesdessciencesnaturelles, desmathmatiquesetde lacomprhension en lecture, lesquelles sontjuges dterminantes pour la poursuite de leurformation et leur vie dadulte.

    Conduite en 2015 dans les 70 pays membresde l'OCDE, dont l'Algrie, l'enqute Pisa me-sure les aptitudes d'un chantillon reprsen-tatif de 6 500 lves scolariss dans 10 collges travers tout le territoire. Les lves ont le choix de lalangue, notammentleur connaissance dans ce domaine. En 2015,et pour la premire fois, l'Algrie participe cette tude. Le CEM Yantren-Bahia de Blidaa t choisi pour ce programme international.36 lves slectionns vont subir un test souslobservation des experts trangers.

    LE RADAR PAGE ANIME PAR SOUHILA [email protected] LIBERTLundi 11 mai 2015LIBERTE 5

    Lentourage de la mi-nistre de la Culture suspec-te le directeur de l'Officenational de la culture et del'information (Onci), La-khdar Bentorki, et le com-missaire de la manifesta-tion Constantine, capitalede la culture arabe, SamiBencheikh, dtre lorigi-ne de lclatement du scan-dale impliquant Nadia La-bidi dans des affaires deconflits dintrts et de cor-

    ruption, et rvl avec fracaspar la porte-parole du Par-ti des travailleurs, LouisaHanoune. Les deuxhommes seraient motivspar une volont de nuire la ministre, qui aurait cher-ch, ds son installation latte du dpartement de laCulture, remplacer M.Bentorki aux commandesde lOnci, estimant quil atrop dur ce poste.

    MASSACRES DU 8 MAI 1945

    Une Algriennerafrachit la mmoire aux Franais Au moment de la commmoration Montreuil (France) du 70e anniversaire dela victoire sur le nazisme, une Algriennesest faufile dans la foule, agitant le drapeaualgrien. Elle portait aussideux pancartes.Sur l'une dellesil tait crit 8 Mai 1945,journe de deuil pour les coloniss alg-riens. La vido de la jeune femme, allant contre-courant dune manifestation sens unique, continue de faire le buzz surles rseaux sociaux.

    CAUSE DE PONCTIONS SUR LEUR SALAIRE

    Protestation Numidia TV

    Les journalistes et agentstechniques exerant lachane de tlvision pri-ve Numidia ont observ,hier, un mouvement deprotestation aprs leconstat de ponctions sur lessalaires du mois davril (vi-rement fait jeudi dernier),opres par la direction dela chane sans informerauparavant les intresssou leur donner, a poste-riori, des explications surces coupes. Les salaris ontdcid de mettre un terme leur action de protesta-tion ds que des respon-sables de la chane leur ontpromis de les rtablir dansleur droit.

    LOTISSEMENT SOCIAL ROUKHI SOUIDANIA

    Les propritaires, otages de la bureaucratie

    Prs de 250 familles, propritaires de lotsde terrain dans la commune de Souidania au-prs de lAgence foncire dAlger dans les an-nes 1990 avec livret foncier, sont bloquesdans une situation inextricable. Elles ne peu-vent effectivement pas construire sur leursterres pour une raison biscornue. Les ex-ploitants dune cooprative agricole mi-toyenne les empchent daccder aux lots deterrain par des accrochages et des agressionsphysiques, car ils revendiquent la possessiondu lotissement. Des jugements de justice enfaveur de lAPC et des propritaires terriensnont pas influ sur la ralit. Les erreurs ad-

    ministratives lies la proprit des terres(existence de deux actes pour un mmebien) nont pas t corriges ni par lOffice na-tional des terres agricoles ni par les servicesdes Domaines. Les deux organismes se ren-voient la balle, sans communiquer entre euxpour trouver une issue au litige.En attendant, les 250 familles, ballottesentre les services impliqus et la wilaya dAl-ger, ont pay rubis sur longle pour des terrainslaisss en friche depuis plus de vingt ans. noter que les travaux dassainissement et deviabilisation ont t entrepris par la communede Souidania.

    AU CUR DUN SCANDALE DE CORRUPTION

    Lentourage de Labidiaccuse le DG de lOnci

    SELON UN RESPONSABLEDUNE ORGANISATIONPATRONALE

    Trop dintri-maires latte desentreprises Linformationsemble insolite. Pour-tant, elle est malheu-reusement vraie. Unresponsable dune or-ganisation patronalerapporte que des cen-taines dentreprises etorganismes publicssont dirigs par des in-trimaires. Ces der-niers attendent leurconfirmation aux fonc-tions dont ils ont lacharge ou le retourvers leur poste dorigi-ne aprs dsignationde titulaires aux com-mandes de la directiongnrale. Le provisoirequi dure indfinimentpose des contraintessrieuses dans la prisede dcision capitalequi relve de la ges-tion. Par ailleurs, lescadres suprieurs, aux-quels il a t signifi lafin de mission, atten-dent toujours leurmise effective en re-traite.

    PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVIDES ACQUIS DES LVES (PISA 2015)

    Un collge de Blida reprsente l'Algrie

    AN DEFLA

    11e colloque internationalsur le rite malkite La maison de la culture mir-Abdelkader de An De-fla abritera, les 12 et le 13 mai, la 11e dition du colloqueinternational sur le rite malkite. Pas moins de 900 par-ticipants sont attendus entre tudiants de 9 universitsalgriennes, les directeurs des affaires religieuses des 48wilayas, des ulmas et professeurs universitaires manantdu monde arabe et musulman. Les participants se fo-caliseront durant deux jours sur la doctrine malkite etson influence dans le monde arabo-musulman.Le thme de cette dition est centr sur la vie et le fiqh.

  • Lundi 11 mai 2015

    6LIBERTE

    Lactualit en question

    RECRUTEMENT MASSIF POUR LES BESOINS DES COMMUNES

    8 000 postes de prpos l'tatcivil et 30 000 postes de guichetier

    Ce recrutement, qui vise amliorer les prestations de ltat civil des communes,vient en prolongement de lallgement des procdures administratives.

    Des habitants de la vieille ville(ex-place dArmes) dAnnabaont violemment manifest leurmcontentement contre les pouvoirspublics en charge du logement social,hier. Ds 8h30, les membres dune vingtai-ne de familles, des enfants, des jeuneset des femmes, mens par une poignedadultes, ont barricad lentre est ducours de la Rvolution, la plus im-portante place publique dAnnaba, laidede pneus enflamms, de troncs

    darbre, de grosses pierres et de ma-triaux de construction. Ce qui a en-gendr une trs forte perturbation dela circulation automobile, qui sestrapidement rpercute sur le trafic detout le centre-ville. Les manifestants accusent la com-mission de logement de la dara davoiraccord des logements sociaux despersonnes trangres la ville et auquartier.Des citoyens originaires deswilayaslimitrophes,qui viennent pei-ne de sinstaller dans les vieux appar-

    tements dsaffects et objet de dmoli-tion, figuraient sur la liste des bnfi-ciaires de logements sociaux, alors quenous, quisommes sur les lieux depuisdes dizaines dannes, avons t car-ts. Nous demandons une solution ur-gente notre problme de logement oudu moins des garanties pour que nousfigurions dans le prochain quota, a exi-g un reprsentant des familles contes-tataires invites au dialogue par les au-torits locales au sige de la wilaya. Aumme moment, la plupart des mani-

    festants ont refus de se dplacer et ontexig la prsence du wali sur leslieux.Ils menacent de revenir la char-ge avec femmes et enfants autant defois quil le faudra,si des solutions pal-pables ne sont pas apportes leursproblmes. 15h, chacune des parties campait en-core sur ses positions, la force publiquentant pas intervenue alors que lecentre-ville tait totalement fermaux automobilistes. Vers 12h30, le chefde sret de la wilaya, qui a privilgi

    le dialogue,stait dplac sur les lieuxsans pour autant arriver convaincreles manifestants librer la route lacirculation automobile. Du ct de la wilaya, lon signalequedes quotas de logements sociauxont t accords dans un pass rcent toutes les cits de la wilaya et que desassociations des diffrents quartiersont t impliques dans ltude desdossiers des bnficiaires.

    B. BADIS

    LE LOGEMENT SOCIAL FAIT ENCORE DES MCONTENTS

    Annaba: les habitants de la place dArmes ferment le centre-ville

    U n mmorandum d'accord de parte-nariat portant sur le soutien la for-mation et lchange d'expriences enmatire de prservation de la scurit a t si-gn, hier Alger, entre la Direction gnralede la Sret nationale (DGSN) et l'Institut fran-ais des tudes suprieures de la scurit et dela justice. Laccord, sign par le directeur g-nral de la Sret nationale, le gnral-major,Abdelghani Hamel, et le directeur de l'Insti-tut franais des tudes suprieures de la scuritet de la justice, Cyrille Schott, en prsence descadres de la DGSN et des reprsentants delinstitut franais, s'inscrit dans le cadre de la

    politique adopte par le secteur de la Sret na-tionale pour renforcer la formation des fonc-tionnaires de la police dans toutes lesspcialits. Dans un communiqu rendu pu-blic par la DGSN, lissue de la crmonie designature, le DGSN M. Hamel, a mis laccentsur l'importance de l'change d'expriencesentre les deux parties dans les spcialits lies la prservation de la scurit do, a-t-il en-core insist, la ncessit de renforcer la co-opration avec cet institut, rappelant que cedernier avait tabli un partenariat avec la S-ret nationale en 2000 et avait, dj, assur laformation d'une vingtaine de cadres de la po-

    lice algrienne. L'accord stipule notamment,l'change des expriences et l'accueil de sta-giaires des deux pays. M. Hamel a annonc, loccasion, que la police algrienne ac-cueillera 120 stagiaires franais en 2016. Le m-morandum d'accord, ajoute M. Hamel, prvoitgalement la tenue de deux confrences par anau profit de tous les cadres algriens concernset la prise en charge par l'institut franais de laformation de quatre cadres par an. Linstitutfranais, a rappel le DGSN, avait dj assu-r, en fvrier dernier, une formation au pro-fit de quatre cadres de la police algrienne.M. Hamel a soulign que son secteur appuie

    toutes les formes de coopration avec les diff-rents organes de police sur les plans rgional etinternational pour tirer profit des expriences,promouvoir l'lment humain et amliorer laperformance des lments de la Sret natio-nale. Pour sa part, M. Cyrille Schott a qua-lifi ce mmorandum de nouveau jalon quicontribuera au renforcement de la cooprationet du partenariat tablis entre la DGSN et soninstitut depuis une quinzaine d'annes.M. Schott a ainsi insist sur la ncessit d'in-tensifier l'change d'expriences et de formationpour raliser les aspirations des deux parties.

    F. A.

    DGSN-INSTITUT FRANAIS DES TUDES SUPRIEURES DE LA SCURIT ET DE LA JUSTICE

    Mmorandum d'accord pour la formationet l'change d'expriences

    L e directeur des res-sources humaines, de laformation et des statutsau ministre de l'Int-rieur et des Collectivitslocales, AbdelhalimMerabti, a annonc, hier, Alger, lacration de 8 000 postes de prpos l'tat civil et 30 000 postes de guiche-tier dans toutes les communes dupays. Dans le cadre d'une meilleureprise en charge du service de l'tat ci-vil, il a t procd en vertu du d-cret excutif n11-334 du 20 septembre2011 portant statuts relatifs aux fonc-tionnaires de l'administration des col-lectivits territoriales la crationde deux nouveaux postes spcialiss, savoir guichetier et prpos l'tat ci-vil, a indiqu M. Merabti qui prsidaitl'ouverture d'une session de formationsur la promotion du service publicdans les communes qui portera en pre-mier lieu sur le service de l'tat civil.Ainsi, 8 000 postes de prpos l'tatcivil et 30 000 autres de guichetier ontt crs dans toutes les communes dupays, a-t-il indiqu. En 2014, plus de

    13 000 fonctionnaires des collectivitsterritoriales dans des communes ontt recruts, ce qui reflte l'intrtport par le dpartement de l'Intrieuret des Collectivits locales la pro-motion de la ressource humaine, asoulign M. Merabti. Le responsable

    a rappel que le ministre avait pro-cd la faveur de la stratgie qui visela promotion du service public dansdes communes, la prise de mesuresayant pour objectif l'allgement desprocdures administratives et la r-duction ou la suppression de certains

    documents et dlais d'tude des dos-siers. M. Merabti a galement cit lesprogrs enregistrs dans le domaine dela numrisation des registres de l'tatcivil, sanctionn par la dlivrance dedocuments de l'tat civil informatissce qui a contribu l'amlioration desprestations offertes aux citoyens. Lintervenant a rappel, galement, lesefforts consentis par les parties concer-nes en matire de dlivrance despasseports biomtriques et de num-risation de la carte grise, du permis deconduire et de la carte d'identit na-tionale prochainement. Parmi les mesures visant l'radicationde la bureaucratie, M. Merabti a vo-qu la dcision de suppression de la l-galisation des copies conformes auxdocuments originaux par l'adminis-tration publique. Le responsable a estim que cette me-sure a permis d'allger la pression dansles APC pour se consacrer des mis-sions qui leur sont assignes dans lecadre de la loi. S'agissant de la sessionde formation de 5 jours qui concerne1 541 chefs de service de l'tat civil, l'in-

    tervenant a soulign que la formationdnotait l'intrt accord au service del'tat civil dans les communes. Il a estim que la bonne prise encharge des proccupations du citoyen,une mission qui relve des prrogativesdes chefs de service de ltat civil,contribuait au renforcement de la re-lation entre l'administration et le ci-toyen. Il a, enfin, appel les responsables decette session de formation la pr-servation des acquis raliss dans lecadre des efforts dploys par le mi-nistre en coordination avec les col-lectivits locales dans le but de pro-mouvoir ce service. Lorganisation de la session de for-mation est intervenue dans le cadre dela mise en uvre du programme deformation lanc en 2014 pour l'am-lioration des performances des fonc-tionnaires des collectivits locales.La premire session programme du10 au 14 mai en cours, concernera610 cadres dans 7 centres de formationrpartis travers le territoire national.

    R. N./APS

    Les collectivits locales vont procder un recrutement massif pour un meilleur service public.

    Libert

    Publicit

    0523

  • Lundi 11 mai 2015

    7LIBERTE

    Lactualit en question

    DOMICILIATION BANCAIRE DES IMPORTATIONS

    La BEA accentue les mesuresde contrle

    Des mesures additionnelles viennent durcir le dispositif de vigilance de la Banque extrieure dAlgrie (BEA)dans le traitement des oprations du commerce extrieur. Des mesures rpercutes par une note interne

    la banque datant du 6 mai dernier et intitule Mesures de scurisation des oprationsde commerce extrieur, dont Libert a pu se procurer une copie.

    La note signe par le directeurdu commerce extrieurSmal Berrazouane, qui asoulign quil sagit bien demesures additionnelles celles dj prises il y a une se-maine dans le mme objectif, a dabordinsist sur lapplication rigoureuse desdispositions de larticle 42 du rglement07-01 de la Banque dAlgrie (BA) rela-tif aux rgles applicables aux transactionsavec ltranger et aux comptes devises. Des dispositions stipulant que laccep-tation des dossiers de domiciliation ettout autre engagement devant mener un paiement par transfert de devises versltranger, lintermdiaire agr (la BEAdans ce cas, ndlr) doit tenir compte de lasurface financire du client, savoir ap-prcier sa capacit financer ses inves-tissements et assurer ses engagementsfinanciers, ce qui implique lvaluation deses capitaux propres par rapport son en-dettement. Smal Berrazouane a ensuitedtaill ce point en interdisant la domi-ciliation de toute opration dimportationpour des montants excdant deux fois lesfonds propres de lentreprise. Et, aussi, de

    ne pas permettre aux socits soumisesau forfait fiscal deffectuer des transactionsdont le montant annuel dpasserait les30 millions de dinars (275 000 euros en-viron). Dans le mme contexte, la BEA a inter-dit ses agents daccepter les verse-ments en espces destins la constitu-tion de la provision pralable limpor-tation. Dsormais, le cash ne sert plus aupaiement des importations via la BEA. Lanote interdit y compris daccepter lesactes notaris de reconnaissances dedettes servant de justificatifs des dptsdespces. Encore, la domiciliation denouvelles oprations dimportation nepeuvent plus tre admises avant de sol-der le passif des prcdentes. Refuser ladomiciliation de nouvelles oprationsdimportation sans que celles ralises pr-cdemment soient apures, peut-on liredans la note. Sur un autre plan, la banquea introduit une exigence relative la qua-lit des produits imports qui ne man-quera certainement pas de froisser sesclients. Autant lobjectif est lgitime,celui de lutter contre les oprations fic-tives, le directeur du commerce extrieur

    a us de beaucoup de tact pour la for-muler. Inviter le client rendre exigiblelensemble de documents attestant laqualit des produits mme dassurer unescurit supplmentaire et une traabili-t des oprations dimportation, notam-ment des trois principaux pays dexpdi-tion, savoir la Chine, la Turquie et Du-ba. Et de prciser de quels documentsil sagit : Ces documents dlivrs par desorganismes indpendants de renommemondiale, sont censs reprsenter la qua-lit, lorigine et la conformit la com-mande, des produits imports. La banquea galement invit ses agents observerune plus grande vigilance vis--vis desparadis fiscaux. Pays de destination oude provenance qui ne sont pas transpa-rents sur le rgime fiscal et qui sont tol-rants envers les socits cran, selonlexpression utilise par le rdacteur dela note.Et, sagissant des produits destins la re-vente en ltat, la banque a exig une pa-perasse supplmentaire: Le certificat deconformit dlivr par les services habili-ts du ministre du Commerce.

    LYAS HALLASFac-simil de la note interne de la BEA date du 06/05/2015.

    Loption de prfabrication delogements que comptentsuivre les pouvoirs publics nefait pas lunanimit au sein des ob-servateurs trs au fait du secteur dela construction en Algrie. Les ex-perts estiment que le procd, lar-gement pratiqu dans les annes1980, a fini par tre abandonn parses propres initiateurs. Dvelopp en Algrie depuis les an-nes 1970 par de grosses socits na-tionales, telles que Sonatiba, DNC,Sorecal, le prfabriqu a t d-laiss pour des raisons dinefficacitsur une production reste en de desobjectifs escompts. Une usine deprfabrication qui requiert un in-vestissement financier lourd et des as-

    siettes foncires assez importantesnest en mesure de produire quunmaximum de 10 15 logements/jouren panneaux en bton arm, ex-plique le Pr Abdelkrim Chelghoum,chercheur en gnie parasismique.Reste raliser galement les infra-structures, les CES et les VRD. Ce quireprsente 70% du logement fini.Tous ces paramtres ont donccontraint les responsables de lpoque ne plus excuter ce mode deconstruction. Lautre facteur, et nondes moindres, voqu par le Pr Chel-ghoum, a trait la vulnrabilit duprfabriqu dans les zones forte ac-tivit sismique, linstar de la rgionnord du pays. Connus pour tre despays traverss par des failles sis-

    miques, la Turquie, lIran, la Grce,les USA ont opt pour labandon decette solution. Voil quen 2015, onassiste la rsurrection, comme parenchantement, de ce procd sansaucune validation technique, ni jus-tification des cots et des dlais, tel-le une stratgie performante din-dustrialisation et de dveloppementdans ce pays, souligne lexpert. Le modle de coffrage en tunnelutilis par certaines entits nationalesa dj t, selon lui, pratiqu en1977 par la DNC, avant dtre aban-donn en 1983 cause des cotsexorbitants et de la mdiocrit de lar-chitecture des logements. Par ailleurs,Abdelkrim Chelghoum, qui est aus-si prsident du Club des risques

    majeurs, avoue que le million de lo-gements projet par les pouvoirspublics demeure un objectif uto-pique et irralisable. Il en veut pourpreuve les capacits de ralisation in-suffisantes, y compris celles destrangers, mises en place, le manquede qualification de ces entreprises etlabsence de bureaux dtudes (BET)comptents en matire de contrle etde suivi technique des ouvrages. Ilne sagit pas de fonder toute unestratgie qui engage lavenir des fu-tures gnrations, voire de tout le pays, partir de statistiques, telles que lenombre de BET et dentreprises ra-lisatrices, alors que les capacits de cir-conscrire les problmes poss et de lesrsoudre de faon fiable sont inexis-

    tantes, relve le Pr Chelghoum. Lapolitique du logement prn parltat relve, affirme-t-il, dune d-marche corps creux. Le spcialiste soutient fermement quele nombre de logements ralisablesen Algrie, avec tous les moyensmatriels et financiers, ne saurait d-passer les 50000 units/an. Ce quireste loin des objectifs fixs. Face cette contreperformance, AbdelkrimChelghoum demande au Premierministre dinstaller une commissionnationale compose dexperts ind-pendants qui mettront un avis tech-nique et non politique, dont lesgrands gagnants ne seront autres queles gnrations futures et le pays

    B. K.

    LEXPERT ESTIME QUE LE PROCD DE PRFABRICATION DOIT TRE ABANDONN

    Le Pr Chelghoum: LAlgrie ne peut raliserplus de 50000 logements/an

    LE P-DG DE LA SNVI LA SOULIGN HIER ANNABA

    Les investissements en partenariatdoivent intgrer les PME-PMI

    Limportance accorde par les pouvoirspublics lintgration des PME-PMIalgriennes dans les investissementsraliss en partenariat a t souligne, hier Annaba, par le prsident-directeur gnral dela Socit nationale de vhicules industriels(SNVI), Salah Malek.Ce responsable a rappel, en marge dun col-loque business organis sur le site de lusineCital (assemblage et de maintenance de tram-ways), autour du thme Entreprises tenduesAlstom et Renault : attentes en matire de sous-traitance et de partenariat, que ltat algriena consacr plus de 600 milliards de dinars larelance de son outil industriel, notamment en

    matire de mise niveau et de modernisation. Il a invit les oprateurs conomiques franaisexerant dans les domaines des faisceauxlectriques, du plastique pour la fabrication decertaines pices de rechange et de la fonderie investir dans le cadre de ce partenariat. Desconventions de partenariat sont dailleurs ltude dans ces diffrents domaines, a sou-lign le prsident-directeur gnral de laSNVI qui reprsente le ministre de lIndustrieet des Mines ce colloque. La rencontre ouverte, hier, dimanche, An-naba, initie par Algerie Business Consulting(Algeria BC), en collaboration avec lAgencenationale de dveloppement de linvestisse-

    ment (Andi), runit des oprateurs cono-miques nationaux et franais. Elle s'inscrit dans une dmarche de renforce-ment de lintgration de l'industrie localedans les projets raliss dans le cadre du par-tenariat, a soulign la prsidente de ce cabinet-conseil, Latifa Liot. Elle a ajout que lexemple de partenariat al-gro-franais dans les domaines du transportferroviaire et urbain, ralis avec Alstom etRenault, ouvre des perspectives prometteusespour les PME algriennes dans le domaine dela sous-traitance et offre lindustrie nationalel'opportunit de booster son intgration tra-vers les projets en coproduction en Algrie.

    Des reprsentants des principales entrepriseset filiales relevant du ministre de lIndustrieet des Mines devaient intervenir dans le cadrede tables rondes pour exposer leur savoir-fai-re et dgager de nouvelles voies de collabora-tion. Plusieurs socits franaises qui ont particip,le 28 novembre dernier Paris (France), unsminaire organis par Algeria BC autour dumme thme, ont pris part ce colloque bu-siness afin de nouer de nouveaux partenariatsavec des entreprises algriennes.Les reprsentants de ces socits devaientgalement visiter lusine Cital et lunit Fer-rovial dAnnaba.

  • Lundi 11 mai 2015

    8LIBERTE

    Publicit

    DIRECTION DE DISTRIBUTION DE BELOUIZDAD

    AVIS DE COUPURE PROGRAMMEInterruption de la fourniture de lnergie lectrique pour travaux

    La Direction de distribution de Belouizdad informe son aimable clientle quune coupurede lalimentation est programme le 13/05/2015 de 09h00 16h30. Cette coupure concernera la commune de Kouba et touchera les quartiers suivants :

    310 LOGEMENTS DGSN JOLIE-VUE 2 310 LOGEMENTS DGSN JOLIE-VUE 2

    Pour plus dinformations, la Direction de distribution met au service de son aimableclientle les numros suivants :

    021 67 24 52 / 021 67 91 62 / 021 68 55 00 / 021 67 59 77 80

    ANEP N323 251 Libert du 11/05/2015

    Direction de la distribution de BologhineDivision Techniques lectricit

    Adresse : 3, rue Sad Toufdit, BologhineTl. : 021 70 93 27 - 021 70 93 37 - Fax : 021 70 83 99

    La Direction de distribution de Bologhine informe sa clientle que la distribution de lnergie lectrique sera perturbe pour la journe du12/05/2015 de 09h00 14h00, dans les quartiers/communes suivant(e)s :

    LOTISSEMENT VINCENT 2 BOUZAREAH

    MOTIF : TRAVAUX DENTRETIEN DES POSTES LECTRIQUES

    Pour plus dinformations, la Direction de distribution de Bologhinemet au service de son aimable clientle les numros suivants :

    (021) 70 91 91 - (021) 70 93 93 - (021) 70 95 95

    ANEP N 323 623 Libert du 11/05/2015

    La Socit EPE-ALTRO lance un avis dappel doffres national restreint pour la sous-traitance des travaux degnie civil (Glissire new jersey et new jersey amovible) au niveau du projet : Autoroute Est-Ouest, mise niveau du tronon autoroutier Lakhdaria - Bouira du PK 157 au PK 190 sur 33 km.

    Les entreprises qualifies dans le secteur du BTPH intresses par le prsent avis dappel doffres peuvent retirer lecahier des charges auprs du bureau du secrtariat de la commission des marchs au niveau de la DG dALTRO, sigesocial, sise ladresse ci-dessous, contre paiement de la somme de 5 000,00 DA non remboursable.Zone dactivit Hamadi Krouma, BP 189, Skikda - Tlphone : 038 92.27.36/37 / Fax : 038 92.27.47Les soumissionnaires doivent obligatoirement joindre leur dossier de soumission les pices rglementaires exigesdans le cahier des charges.Les offres doivent tre dposes sous double enveloppe au Secrtariat de la commission des marchs dALTRO. La premire enveloppe, portant la mention extrieure Offre technique avec nom et adresse du soumission-naire + avis dappel doffres national restreint n22/DER/2015 - Autoroute Est-Ouest, mise niveau du tronon auto-routier Lakhdaria - Bouira du PK157 au PK 190 sur 33 km et doit contenir les pices numres dans loffre tech-nique. La deuxime enveloppe, portant la mention extrieure Offre financire avec nom et adresse du soumission-naire + avis dappel doffres national restreint n22/DER/2015 - Autoroute Est-Ouest, mise niveau du tronon auto-routier Lakhdaria - Bouira du PK157 au PK 190 sur 33 km et doit contenir les pices numres dans loffre finan-cire.Enfin, lenveloppe extrieure, ferme et comprenant les deux enveloppes prcdentes, portera exclusivement lesmentions suivantes :

    SOCIT ALGRIENNE DES TRAVAUX ROUTIERS ALTRO-SPASige social zone dactivit Hamadi Krouma, BP 189, Skikda

    SECRTARIAT DE LA COMMISSION DES MARCHSAPPEL DOFFRES NATIONAL RESTREINT N22/DER/2015

    SOUS-TRAITANCE DES TRAVAUX DE GNIE CIVIL (GLISSIRE NEW JERSEY ET NEW JERSEYAMOVIBLE) : AUTOROUTE EST-OUEST, MISE NIVEAU DU TRONON AUTOROUTIER

    LAKHDARIA - BOUIRA DU PK 157 AU PK 190 SUR 33 KM NE PAS OUVRIR

    La dure de prparation des offres est de 10 jours compter de la premire parution de lavis dappel doffres dansles quotidiens nationaux ou le Bomop.La date limite de dpt des offres est fixe au dernier jour de la dure de prparation des offres 12h.La date douverture des plis est fixe au dernier jour de la duree de prparation des offres partir 14h.Les offres resteront valides pendant une dure de quatre-vingt-dix (90) jours compter de la date limite de dptdes offres.

    AVIS DAPPEL DOFFRES NATIONAL RESTREINTN22/DER/2015

    ANEPN322 621 Libert du 11/05/2015

    La Socit EPE-ALTRO lance un avis dappel doffres national restreint pour la sous-traitance des travaux degnie civil au niveau du projet : Revtement en BB des ruelles de lancienne ville de Skikda - Ralisation descunettes - Mise niveau des regards existants - Mise niveau des avaloirs existants - Fourniture et mise enuvre de bton dos 350 kg/m3.

    Les entreprises qualifies dans le secteur du BTPH intresses par le prsent avis dappel doffres peuvent retirer lecahier des charges auprs du bureau du secrtariat de la commission des marchs au niveau de la DG dALTRO, sigesocial, sise ladresse ci-dessous, contre paiement de la somme de 5 000,00 DA non remboursable.Zone dactivit Hamadi Krouma, BP 189, Skikda - Tlphone : 038 92.27.36/37 / Fax : 038 92.27.47Les soumissionnaires doivent obligatoirement joindre leur dossier de soumission les pices rglementaires exigesdans le cahier des charges.Les offres doivent tre dposes sous double enveloppe au Secrtariat de la commission des marchs dALTRO. La premire enveloppe, portant la mention extrieure Offre technique avec nom et adresse du soumission-naire + avis dappel doffres national restreint n18/DER/2015 - Revtement en BB des ruelles de lancienne ville deSkikda (travaux de gnie civil) et doit contenir les pices numres dans loffre technique. La deuxime enveloppe, portant la mention extrieure Offre financire avec nom et adresse du soumission-naire + avis dappel doffres national restreint n18/DER/2015 - Revtement en BB des ruelles de lancienne ville deSkikda (travaux de gnie civil) et doit contenir les pices numres dans loffre financire.Enfin, lenveloppe extrieure, ferme et comprenant les deux enveloppes prcdentes, portera exclusivement lesmentions suivantes :

    SOCIT ALGRIENNE DES TRAVAUX ROUTIERS ALTRO-SPASige social zone dactivit Hamadi Krouma, BP 189, Skikda

    SECRTARIAT DE LA COMMISSION DES MARCHSAPPEL DOFFRES NATIONAL RESTREINT N18/DER/2015

    REVTEMENT EN BB DES RUELLES DE LANCIENNE VILLE DE SKIKDA(TRAVAUX DE GNIE CIVIL)

    NE PAS OUVRIR

    La dure de prparation des offres est de 15 jours compter de la premire parution de lavis dappel doffres dansles quotidiens nationaux ou le Bomop.La date limite de dpt des offres est fixe au dernier jour de la dure de prparation des offres 13h.La date douverture des plis est fixe au dernier jour de la duree de prparation des offres partir 14h.Les offres resteront valides pendant une dure de quatre-vingt-dix (90) jours compter de la date limite de dptdes offres.

    AVIS DAPPEL DOFFRES NATIONAL RESTREINTN18/DER/2015

    ANEPN322 624 Libert du 11/05/2015

    La Socit EPE-ALTRO lance un avis dappel doffres national restreint pour la sous-traitance des travaux degnie civil au niveau du projet : Autouroute Est-Ouest, mise niveau du tronon autoroutier Lakhdaria -Bouira du PK 157 au PK 190 sur 33 km.

    Les entreprises qualifies dans le secteur du BTPH intresses par le prsent avis dappel doffres peuvent retirer lecahier des charges auprs du bureau du secrtariat de la commission des marchs au niveau de la DG dALTRO, sigesocial, sise ladresse ci-dessous, contre paiement de la somme de 5 000,00 DA non remboursable.Zone dactivit Hamadi Krouma, BP 189, Skikda - Tlphone : 038 92.27.36/37 / Fax : 038 92.27.47Les soumissionnaires doivent obligatoirement joindre leur dossier de soumission les pices rglementaires exigesdans le cahier des charges.Les offres doivent tre dposes sous double enveloppe au Secrtariat de la commission des marchs dALTRO. La premire enveloppe, portant la mention extrieure Offre technique avec nom et adresse du soumission-naire + avis dappel doffres national restreint n19/DER/2015 - Autouroute Est-Ouest, mise niveau du trononautoroutier Lakhdaria - Bouira du PK 157 au PK 190 sur 33 km et doit contenir les pices numres dans loffretechnique. La deuxime enveloppe, portant la mention extrieure Offre financire avec nom et adresse du soumission-naire + avis dappel doffres national restreint n19/DER/2015 - Autouroute Est-Ouest, mise niveau du trononautoroutier Lakhdaria - Bouira du PK 157 au PK 190 sur 33 km et doit contenir les pices numres dans loffrefinancire.Enfin, lenveloppe extrieure, ferme et comprenant les deux enveloppes prcdentes, portera exclusivement lesmentions suivantes :

    SOCIT ALGRIENNE DES TRAVAUX ROUTIERS ALTRO-SPASige social zone dactivit Hamadi Krouma, BP 189, Skikda

    SECRTARIAT DE LA COMMISSION DES MARCHSAPPEL DOFFRES NATIONAL RESTREINT N19/DER/2015

    SOUS-TRAITANCE DES TRAVAUX DE GNIE CIVIL : AUTOUROUTE EST-OUEST, MISE NIVEAUDU TRONON AUTOROUTIER LAKHDARIA - BOUIRA DU PK 157

    AU PK 190 SUR 33 KM NE PAS OUVRIR

    La dure de prparation des offres est de 10 jours compter de la premire parution de lavis dappel doffres dansles quotidiens nationaux ou le Bomop.La date limite de dpt des offres est fixe au dernier jour de la dure de prparation des offres 12h.La date douverture des plis est fixe au dernier jour de la duree de prparation des offres partir 14h.Les offres resteront valides pendant une dure de quatre-vingt-dix (90) jours compter de la date limite de dptdes offres.

    AVIS DAPPEL DOFFRES NATIONAL RESTREINTN19 /DER/2015

    ANEPN322 623 Libert du 11/05/2015

  • Sous le patronage de la ministre delducation nationale, le Haut-Commissariat lamazighit (HCA)a organis, avant-hier et hier, laMaison de la culture de Bjaa,deux journes de formation au pro-fit des enseignants de tamazight de la wilayade Bjaa. Une trentaine denseignants du se-condaire et du moyen ont suivi ces journesde formation, places sous le thme Lex-ploitation didactique du texte littraire, quisarticule autour dune srie de confrences. Pa-ralllement aux travaux datelier, les conf-

    rences ont trait dela fonction esthtique etstylistique de la langue; du dveloppement duplaisir lire et de la fonction socioculturel-le du texte littraire.Nous avons relev quil y avait une absence desvaleurs de notre socit dans les textes enseignsen tamazight, do ces journes de formationau profit des enseignants en la matire, afin deleur donner cette libert de recherche dans ladynamique actionnelle, nous a dclarMme Cherifa Bilek, sous-directrice de lensei-gnement et de la formation au HCA. Une ab-sence due au fait, expliquera-t-elle, que les

    textes enseigns sont des textes traduits desautres langues. Pour combler cette lacune, desmodles de cours sous les deux conceptions,esthtique et stylistique, sont donns aux en-seignants ayantbnficide ces deux journesde formation afin quils inculquentaux lveslamour de la lecture travers de beaux texteslittraires et potiques amazighs recelant les va-leurs de notre socit.Cest travers ces textes quon ramnerallve apprcier le got de la lecture, a es-tim Mme Bilek cet effet. Un objectif quon nepeut, selon notre interlocutrice, atteindre

    sans la formation de lenseignant. Ainsi, en susdu cycle des confrences animes par des uni-versitaires sur le plan thorique, les travauxdatelier proposent aux enseignants un choixde textes littraires de diffrents genres pour tu-dier la fonction esthtique et les figures de sty-le propre pour chaque genre littraire pour ex-ploitation.Il y a lieu de signaler que pour atteindre cet ob-jectif, le HCA a organis par le pass des jour-nes similaires dans les wilayas de BBA, deBouira et de Tizi Ouzou.

    L. OUBIRA

    Lundi 11 mai 2015

    9LIBERTE

    Lactualit en question

    ENSEIGNEMENT DE TAMAZIGHT

    Journes de formationpour les enseignants Bjaa

    Les confrences ont trait dela fonction esthtique et stylistique de la langue; du dveloppementdu plaisir lire et de la fonction socioculturelle du texte littraire.

    Djezzy partenaire officiel de la 11e dition du salon Talents & Emploi Confirmant encore une fois sa position demployeur de marque, Djezzy tait partenaire officiel du SalonTalents & Emploi dans sa 11e dition, qui a eu lieu les 9 et 10 mai 2015 au palais de la culture Moufdi-Zakaria Alger. La participation de Djezzy cette dition a pris forme travers un stand personnalis de 54 m2 dot dunespace Internet, au niveau duquel lquipe recrutement tait prsente pour rpondre aux questions des visiteurset les informer des opportunits de carrire au sein de lentreprise. Des cadres de la direction des ressourceshumaines taient galement prsents pour promouvoir la politique ressources humaines de Djezzy. travers cette prsence, Djezzy confirme encore une fois son intrt pour le capital humain et raffirme sonstatut dentreprise citoyenne en poursuivant son implication dans des vnements qui uvrent pour ledveloppement et la cration de lemploi. Dans ldition prcdente du salon, qui a regroup pas moinsde 40 grandes entreprises, Djezzy a aussi t partenaire officiel et lune des socits les plus convoitespar les postulants.

    ILS RCLAMENT DES INDEMNITS ET LE DPART DU DIRECTEUR

    Les travailleurs du tramway dOran toujours en grveLes travailleurs de la Setram,qui gre le tramway dOran, engrve depuis le 1er mai der-nier, ont maintenu, hier, leur mou-vement de protestation, malgr lap-pel de leur syndicat la reprise dutravail. Les grvistes, qui ont effectu,samedi, une marche le long du tra-c du tramway, rclament l'applica-tion des dispositions relatives l'oc-troi des indemnits des heures sup-plmentaires, une meilleure rorga-nisation de la gestion et le dpart de

    lactuel directeur de la Setram. Lesprotestataires se rassemblent, de-puis le dbut de la grve, devant l'en-tre du poste de contrle de la stationcentrale. Le charg de communica-tion de la Setram, Ryad Fehima, a in-diqu que le tramway d'Oranconnat, depuis le 1er mai, une per-turbation du trafic la suite dun ar-rt de travail collectif illgal, obser-v sans pravis par une partie du per-sonnel qui nous lanons de nouveauun appel reprendre le travail.

    Le tribunal dEs-Snia a dclar, le 4mai dernier, cette grve illgale, a-t-il rappel, soulignant qu'un serviceminimum a t assur pour per-mettre aux usagers de se dplacer.Ces derniers indiquent que l'inter-valle entre les rames est important,ce qui les contraint se rabattre surd'autres moyens de transport. Descadres de la socit et des agents ha-bilits la conduite du tramway as-surent le service minimum avec lemaintien en activit de 5 7 rames

    et un temps dattente de 20 25 mi-nutes pour les usagers, a fait savoirle charg de communication de la Se-tram signalant que les 261 agents tra-vaillaient, auparavant, plein temps(8 heures par jour) et touchaient32 000 DA/mois. Il tait prvu queces agents, recruts dans le cadre deCDD (contrat dure dtermine),soient rcuprs au fur et mesurede lavancement des travaux de lex-tension du tramway, a-t-il ajout,rappelant quil tait convenu, aupa-ravant, quune fois la signalisation dutramway oprationnelle, les contratsde travail avec ces agents cesserontet que la Setram a fait leffort de les

    recruter en CDI (contrat dure in-dtermine), mais temps partiel(4 heures par jour) avec un salairemensuel de 22 000 DA. Cependant,le 1er mai dernier, date de lentre envigueur de leurs nouveaux contrats,les agents de vente, de contrle et descurit sont entrs en grve, sanspravis, a-t-il encore soulign, ajou-tant quen avril dernier, le directeurde la Setram a remis au syndicat unprojet de convention collective avecune nouvelle grille des salaires, afinquil soit tudi et enrichi, et pour lemoment, le syndicat na pas encoredonn de rponse.

    R. N./APS

    BOUZEGUNE (TIZI OUZOU)

    Les villageois dAt Salahferment lAPC, la dara,

    Sonelgaz, lADE et les impts

    Les institutions publiques duchef-lieu de la commune etdara de Bouzegune, 60 km lest de Tizi Ouzou, ont t, pourla nime fois, fermes, hier, par lesvillageois pour exprimer leur colreet leur ras-le-bol face une inqui-tante panne de dveloppement quisemble stre installe indfinimentdans cette rgion. Ce sont, cette fois, les habitantsdAt Salah, un village qui comptepas moins de 5 000 habitants, quisont monts au crneau pour la se-conde fois en moins de six mois enprocdant la fermeture de toutes lesinstitutions publiques, entre autreslAPC, la dara, Sonelgaz, le servicedes impts, lAlgrienne des eaux(ADE), ainsi que le Service de lur-banisme de la construction et de lha-bitat (Such), pour dnoncer linertiedes responsables lancer ou re-lancer divers projets qui ne cessentdexasprer les habitants. Dans unelettre adresse aux autorits localeset au wali de Tizi Ouzou, le comitde village mentionne de nombreuxprojets qui touchent au dveloppe-ment du village.Ils citent dans lordre de nombreuxchantiers larrt comme celui duraccordement au gaz de ville qui tar-de redmarrer, notamment le lotn6 dont le chantier est larrt

    depuis plusieurs mois, et ce, malgrlengagement des autorits.Les protestataires citent, galement,la question de la rhabilitation du r-seau lectrique, qui est pourtantpris en charge par les pouvoirs pu-blics avec une importante envelop-pe financire, puis encore celui despoteaux lectriques inclins diversendroits du village en raison dumouvement des sols et ceux aban-donns sur la voie publique, entra-vant la circulation depuis des mois.Tout en rclamant lextension du r-seau lectrique pour des dizaines defoyers privs dlectricit, les villa-geois sen prennent la Direction delurbanisme et de la construction(Duch) qui na pas pris en charge leglissement de terrain qui menace levillage. Dans leur document, les villageoisdnoncent le gel du projet de rali-sation des vestiaires du stade avec ali-mentation en eau potable et la pro-messe de pose dun tartan, et rcla-ment la rhabilitation du centreculturel Ferrat-Ramdane, transfor-m jusque-l en parking.Le comit demande linscription duvillage au bnfice dun PPDRI et r-clame, enfin, de refaire les travauxbcls o sont incrimines troisentreprises.

    KAMEL NATH OUKACI

    ORGANIS PAR L'AGENCE DE CONSEIL EN COMMUNICATION, 3C, LOFFICE RIADH EL-FETH

    Le Salon national du recrutementsouvre demain

    L'agence de conseil en communication et vne-mentiel, 3C, organise, les 12 et 13 mai 2015, loffi-ce Riadh El-Feth (Oref) Alger, le Salon nationaldu recrutement.Plac sous la thmatique Du recrutement de comptencespour booster la comptitivit des entreprises, le salon, quien est sa 9e dition, se veut tre un carrefour de ren-contres entre les entreprises et les administrations en qu-te de comptences et de nouvelles recrues et les universi-taires la recherche dun emploi, dun stage ou dinfor-mation pour crer leur entreprise. Fort du succs des pr-cdentes ditions, ce salon est devenu aujourd'hui un v-nement denvergure nationale et un rendez-vous in-contournable pour les entreprises. Cette manifestationd'utilit publique a pour vocation de mettre en contactdirect les entreprises la recherche de comptences etles diplms afin de leur permettre de trouver un em-ploi ou un stage, de les guider dans le choix de leurcarrire et de les prparer la cration de leur propreentreprise.Une plateforme de dbats et dchanges entre recruteurset diplms sera aussi mise en place, travers un cyclede confrences thmatiques et dateliers (CV, prpara-tion lentretien dembauche et orientation, bilan decomptences, entrepreneuriat, cration dentreprise),

    avec lassistance active des organismes officiels du mi-nistre du Travail, de lEmploi et de la Scurit sociale.Le salon va rassembler, dans un mme espace, un en-semble diversifi de filires et de mtiers susceptibles defavoriser des choix professionnels et dclairer sur les lieuxet les parcours de formation. Une quarantaine dentre-prises, dont Seaal, ABC Bank, Henkel, Algrie Tlcomet Cevital, prennent part ce salon. Selon les organisateurs, plus de 2 000 recrutements se fontchaque anne par le biais du salon. Des organismes gou-vernementaux de soutien lemploi de jeunes (Ansej, An-gem, Cnac) participent galement cet vnement.Lactualit lie la chute des revenus ptroliers et la n-cessit pour le pays de mettre en place une conomie al-ternative qui sappuie sur les entreprises locales a mis enexergue la ncessit pour les entreprises algriennes, pu-bliques et prives, de se dvelopper et dtre comptitivespour se placer sur le march national et pouvoir se sub-stituer limportation et aux entreprises trangres, es-timent les organisateurs. Cette efficacit et cette com-ptitivit passent par le recrutement des comptences n-cessaires leur dveloppement et la mise niveau desressources humaines qui sont la base de la performancede lentreprise.

    M. R.

  • Lundi 11 mai 2015

    10LIBERTE

    Publicit

    Direction de la distribution de BologhineDivision Techniques lectricit

    Adresse : 3, rue Sad Toufdit, BologhineTl. : 021 70 93 27 - 021 70 93 37 - Fax : 021 70 83 99

    La Direction de distribution de Bologhine informe sa clientle que la distribution de lnergie lectrique sera perturbe pour la journe du12/05/2015 de 09h00 14h00, dans les quartiers/communes suivant(e)s :

    800 LOGTS LSP AIN BENIAN POSTE 654

    MOTIF : TRAVAUX SUR RSEAU LECTRIQUE

    Pour plus dinformations, la Direction de distribution de Bologhinemet au service de son aimable clientle les numros suivants :

    (021) 70 91 91 - (021) 70 93 93 - (021) 70 95 95

    ANEP N 323 498 Libert du 11/05/2015

    ANEP N 323 272 Libert du 11/05/2015

    ANEP n206 954 Libert du 11/05/2015

    Direction de la distribution BlidaDivision exploitation lectricit

    Pour amliorer sa qualit de service et consoli-der son rseau, la Direction de la distributionde Blida entreprend des travaux dentretien quincessiteront linterruption de fournituredlectricit la journe du 12/05/2015 entre09h00 et 16h00, au niveau de la commune deBlida.

    Localit concerne : BLIDA ROUTE VERS CHEFFA

    Pour plus dinformations, contactez laDirection de la distribution de Blida sur lenumro suivant :

    025 20 75 61

    La Direction de la distribution de Blidasexcuse pour les dsagrments causs.

    ANEP N323 754 Libert du 11/05/2015

    Direction de la distribution BlidaDivision exploitation lectricit

    Pour amliorer sa qualit de service et consoli-der son rseau, la Direction de la distributionde Blida entreprend des travaux dentretien quincessiteront linterruption de fournituredlectricit la journe du 12/05/2015 entre09h00 et 16h00, au niveau de la commune deBenkhellil.Localits concernes :

    BENHAMDANI - DOMAINE FAIDI- AIN AICHA - DOMAINE CHERCHARI -BENCHAABANE EN PARTIE - CENTRALE

    LECTRIQUE - DOMAINE IBOUD

    Pour plus dinformations, contactez laDirection de la distribution de Blida sur lenumro suivant :

    025 20 75 61

    La Direction de la distribution de Blidasexcuse pour les dsagrments causs.

    ANEP N323 755 Libert du 11/05/2015

  • BRVESdu CentreUNIVERSIT DE BJAA

    Manifestation sous le thmeIndustrie crative :

    exportons nos talentsCet important vnement, premier du genre dans la rgion, se dcline en plusieurs volets,

    dont l'organisation des confrences sur divers thmes, des tables rondes, des formations encommunication et webmarketing, un gamecamp et un concours de cration de start-up.

    Prs de 500 personnes,dont des tudiants, desentrepreneurs, des chefsdentreprise, des cher-cheurs universitaires etautres scientifiques, ontpris part la manifestation baptiseWebdays, une initiative interna-tionale non lucrative qui a pour butd'encourager l'entrepreneuriat et l'in-novation dans le monde entier, qui aeu lieu du 5 au 9 mai l'auditoriumSad-Djafri du campus Targa Ou-zemour de luniversit Abderrah-mane-Mira de Bjaa. Place sous la thmatique Industriecrative : exportons nos talents, cetimportant vnement, premier dugenre dans la rgion, se dcline enplusieurs volets, dont l'organisationdes confrences sur divers thmes(entrepreneuriat social, business mo-del, innovation), des tables rondes,des formations en communication etwebmarketing, un gamecamp et unconcours de cration de start-up.Une pliade de confrenciers et d'ani-mateurs, dont des consultants etautres experts en communicationorale et visuelle, stratgie digitale, coa-ching, business model, management,sont venus de France, du Canada, deTunisie, ainsi que de plusieurs rgionsdu pays. noter que la ville de Bjaa

    est la 12e wilaya d'Algrie avoir abri-t un tel vnement d'envergure in-ternationale, organis par la FounderFamily, sur invitation du club scien-tifique d'hydraulique (CSH) de l'uni-versit Abderrahmane-Mira. LaFounder Family est, faut-il le prci-ser, un regroupement d'acteurs en-gags depuis 2011 dans pas 20 pays

    pour catalyser toutes les parties pre-nantes au dveloppement cono-mique, social et durable des terri-toires. Pour Arab Farid, consultant en stra-tgie digitale et coach en partenariat,l'objectif principal assign cettelouable initiative est d'amliorer lescomptences de communication de nos

    talents, la lumire des nouvelles tech-niques d'information et de commu-nication (TIC). C'est dans cette op-tique d'ailleurs que les responsablesde cette organisation ont labordes outils pour mettre en uvre dif-frents programmes, notammentWebdays, Nolloa, Lean stepup, Semaine du web, a expliqunotre interlocuteur. Les Webdays Improve your skillssont un cursus de formation tout aulong de la vie (FTLV), un conti-nuum entre la formation initiale etl'ensemble des situations o s'ac-quirent des comptences : actions deformation continue, activits pro-fessionnelles, implications associa-tives, a-t-il indiqu. La semaine du web est, selon lui, l'v-nement d'avant-garde qui se donnele dfi de prsenter chaque annel'avenir des nouvelles technologiesaux forces vives de l'conomie nu-mrique. Quant au Lean step upLearning by doing, il vise trans-mettre de futurs entrepreneursune mthode d'apprentissage Leanstart up lors d'un challenge de deuxjours au cours duquel les participantsse mesureront dans une ambiancecrative.

    K. O.

    D.R

    .

    TAMANRASSET

    214 contrebandiers arrts par la gendarmerie en mars et avril 2015

    MDA

    Campagne de vaccination contre la fivre aphteuseLa campagne de vaccination contre lafivre aphteuse, qui se poursuit depuis ledbut du mois davril de lanne encours, a permis de toucher pas moins de 25 000ttes bovines, selon une dclaration la radiolocale de Mme Souad Tourki, chef de service linspection vtrinaire. Lpizootie de fivre aphteuse, qui sest dclare

    dans la rgion en 2014 et touch le cheptel bo-vin en lui causant la perte dun nombre im-portant de ttes, a t totalement radique, lissue de mesures draconiennes prises parles autorits vtrinaires de la direction de wi-laya de lagriculture. Des cas de maladie sont apparus tout rcem-ment, ayant ncessit le lancement dune

    campagne de vaccination afin de circonscri-re lpizootie et mieux prserver les levagesbovins contre les risques de sa propagation.Lon compte arriver vacciner quelque 70 000ttes pendant cette campagne qui se poursui-vra jusqu la fin du mois de mai, grce auxmoyens humains et matriels mobiliss. Enoutre, les quipes intervenantes ont t sensi-

    bilises sur la ncessit dimpliquer les leveurspour leur adhsion la campagne.Lapprhension suscite par la campagne au-prs des leveurs sest vite estompe, car il napas t demand dabattage de cheptel qui adj fait lobjet de vaccination.

    M. EL BEY

    Le bilan des activits ralises par les diffrentesunits territoriales relevant du groupementde la gendarmerie de Tamanrasset, durant lesmois de mars et avril, fait tat de traitement de 63affaires de contrebande dans lesquelles sont im-pliques 214 personnes. Cest ce que nous avons ap-pris, jeudi, du commandant de groupement, le lieu-tenant-colonel Lazreg Marouane, loccasion desjournes portes ouvertes organises sur ce corpsconstitu la maison de la culture Dassine. Les sta-tistiques obtenues cette priode font ressortir unesaisie de 43 vhicules toutes marques confondues,8 camions, 5 motocyclettes et 42 010 l de carbu-rant. Les lments de la gendarmerie de cette wi-laya aux 50 nationalits ont galement djou plu-sieurs affaires lies lexploration et lexploitationillicite du mtal jaune, ajoute M. Lazreg, prcisantquune quantit de 1306,7 g dor et 197 dtecteursde mtaux ont t rcuprs lors des diffrentes

    oprations menes non loin des frontires. Lemme bilan fait tat de saisie de 1500 cartouchesde cigarettes, 19 comprims de psychotropes, 300bouteilles de spiritueux et 342 g de kif trait. 5875kg de semoule, 26 450 kg de farine, 22 300 kg deptes et autres denres alimentaires, destines treachemines hors de nos frontires, ont aussi t sai-sis par les gendarmes qui ont russi mettre la mainsur plusieurs individus impliqus dans la contre-bande de matriaux de construction, de produitscosmtiques et de mdicaments stimulants lapptitet la sexualit. De son ct, la section de la scu-rit routire a, durant les deux mois couls, en-registr 36 accidents causant la mort de 27 per-sonnes et des blessures 104 autres. Pas moins 579contraventions, passibles dune amende oscillantentre 2000 et 6000 DA, ont t dresses, et 215 d-lits routiers relevs, indique notre source. Revenantau programme des journes portes ouvertes, or-

    ganises avec pour principal objectif de rapprocherle citoyen de la Gendarmerie nationale, un ven-tail dactivits a t mis sur pied en vue de mettreen exergue le progrs de modernisation qu'aconnu ce corps de scurit dans le cadre de luttecontre la criminalit sous toutes ses formes. S'ta-lant sur trois jours, la manifestation prvoit une s-rie d'expositions sur les activits de la GN traversses territoires de comptences, les modalits de re-crutement dans ce corps et les moyens et quipe-ments utiliss par les services de la Gendarmerienationale. Le commandant du secteur de la gen-darmerie de la VIe rgion, Benlounissi Mbarek, a,dans son allocution de circonstance, mis en relieflimportance de cette initiative, concidant avec lan-niversaire du gnocide de 8 mai 1945, dans le raf-fermissement des relations entre la GN et le citoyen,et ce, par son information sur les diffrentes mis-sions dvolues cette institution.

    RABAH KARECHE

    VOL ET TRAFIC DE VHICULES

    Un multircidivistearrt Alger Un multircidiviste, spcialisdans le vol et le trafic devhicules, a t interpell par lesservices de la police judiciaire deSidi Mhamed, Alger. Ayantdj fait lobjet de deux mandatsdarrt pour les mmes motifs,cet individu circulait avec unefausse identit et tait borddun vhicule vol dans lawilaya dOran. Lors de sonarrestation, le mis en cause areconnu avoir vol plusieursvhicules des particuliers etaux agences de location devoitures. Lors de la perquisitionde son domicile, les policiers ontrcupr des sceaux de lEtat,plusieurs documents falsifis,dont des cartes grises, desdocuments de douanes, des actesde location de voitures et unmicro-ordinateur. Prsentdevant le parquet dAlger, il a tplac sous mandat de dpt. Parailleurs, les mmes services ontrussi saisir 10 capsulescontenant de la cocane, prs de400 comprims hallucinognesde type Rivotril, des quantits dersine de cannabis et unesomme dargent dpassant 30millions de centimes. Ces saisiesont t opres dans la localitde Sidi Mhamed, la rue Abane-Ramdane et la rue Pasteur. Selonla cellule de communication dela Sret de wilaya dAlger, lesenquteurs ont procd larrestation de 6 individus pourdtention, consommation etcommercialisation destupfiants. Les mis en cause ontt crous. F. BELGACEM

    IL A T ENLEV PARLAMANT DE SA MRE

    Les gendarmes ont libr un enfant de deux ans Une divorce, 25 ans,demeurant Blida, sestprsente la brigade deGendarmerie de Zabana, pourdposer une plainte pourenlvement de son fils g de 2ans par son amant, 28 ans,demeurant la mme ville.Selon sa dclaration, profitant deson absence durant la nuit du 8au 9 mai 2015, l'intress aagress son pre dans sademeure pour ensuite enleverson enfant. Les recherchesentreprises par les gendarmes dela compagnie de Blida ont abouti linterpellation du mis encause le jour mme et lalibration de lenfant enlev, hauteur de la ville de Chra.Avis des faits, le procureur de laRpublique prs le tribunal deBlida a prescrit louverture duneenqute et la prsentation dumis en cause.

    F. B.

    Baptise "Webdays", cette manifestation, une initiative internationale, a pour but d'encourager l'en-trepreneuriat et l'innovation dans le monde.

    Lundi 11 mai 2015

    11LIBERTE

    LAlgrie profonde

  • BRVESde lEstCONSTANTINE, CAPITALE DE LA CULTURE ARABE 2015

    La ville a les pieds et le nez dans les ordures

    Lpuisement du stock de mazout du parc communal, suite une opration de nettoyage de la ville au dbut du mois davril dernier, serait la cause principale de

    cette situation.

    Les dchets mna-gers dbordentdes bacs ordures chaque coin derue de la commu-ne deConstantine, capitale de laculture arabe 2015 depuisplus dune semaine, et celanmeut personne. Ces tonnesdordures sont devenues enquelque sorte le dcor desquartiers de la ville, linstardes boulevards Mohamed-Belouizdad, Ouati-Mostapha,5-Juillet, Sidi Mabrouk etbeaucoup dautres. Lodeurest insupportable ; depuis unesemaine, le camion charg dela collecte les dchets nest paspass dans le quartier, nous adclar une mre de famillehabitant le quartier du 5-Juillet. Le laisser-aller est demise ; le camion de la commu-ne ne passe plus rgulirement.Mais l cest encore plus graveavec cette canicule et les odeurspestilentielles qui sen dgagent, renchritune autre habitante.Le dcor avilissant dela ville du Rocher, qui plus est abrite lesactivits culturelles de la manifestationConstantine, capitale de la culture arabe2015 et qui accueille des invits venantdes quatre coins du pays et du mondearabe ne semble pas motiver les autoritslocales ! Ces dernires narrivent mmeplus grer les ordures mnagres avectous les moyens matriels mis en place, etmalgr, notamment, linstallation desconteneurs enterrs pour la collecte desordures mnagres et la mise en place desnouveaux bacs des dchets recyclables.

    Selon les responsables de la municipalitde Constantine, lpuisement du stock demazout du parc communal, suite uneopration de nettoyage de la ville dans lecadre de ladite grande manifestation cultu-relle effectue au dbut du mois davrildernier, serait la cause principale de cettesituation. Le wali de Constantine a mmet oblig de faire appel aux services destravaux publics de 16 wilayas de lest dupays pour cette opration de nettoyagedenvergure, rappelle-t-on.Pour leur part, les services concerns delAPC ont dcid, avant-hier, de ragir eninitiantun plan durgencepour la collectedes dchets accumuls depuis plusieurs

    jours, explique Djamel Daba, ladjoint dumaire de la commune de Constantine.Selon cet lu, la wilaya a attribu un bud-get lAPC pour combler le dficit enmazout et faire appel aux microentreprisesprives spcialises dans la collecte desdchets pour faire face la situation.Notons que ces conventions ne serontsignes que le mois prochain, alors que leplan mis en place est plac sous le signe delurgence absolue. Aprs trois jours, ceplan durgence na toujours pas donn dersultats probantset les poubelles sont lesreines des lieux Constantine.

    SOUHEILA BETINA

    D.R

    .

    ARCELORMITTAL ALGRIE

    Mise en ligne en temps reldes analyses de spectro

    ANNABA

    Lutte contre lesmoustiquesUne enveloppe de quelque 7 milliardsde centimesest mobilise par lAPCde Annaba. Contrairement auxdeux dernires annes, cette saison la cam-pagne de dmoustication a t lance dansles normes dans la commune de Annaba.Lopration en question a t entame enfvrier dernier et devrait se prolonger jus-qu' la priode des grandes chaleursafindempcher la reproduction et la proli-fration des moustiques.Du ct de lAPC

    de Annaba, lon signale pour les besoins decette campagne la mobilisation dune enve-loppe de quelque 7 milliards de centimes.Ainsi de nombreuses oprations visantllimination des moustiques serontmenes conjointement cette campagne. commencer par les travaux de curage desoueds, tels celui de la Plaine ouest qui tra-verse pratiquement toute la ville. cela, il faut ajouter des oprations das-sainissement et de traitement des caves des

    btiments, ainsi que lenlvement desordures mnagres et la lutte contre lesfuites deau. Les autorits locales ont appel aussi aucivisme des habitants de certaines cits, quiconnaissent une dgradation inquitanteen matire de cadre de vie. Mme des quar-tiers dits europens, tel Beau-Sjour,nont pas chapp ltat de dtriorationdu milieu ambiant.

    B. BADIS

    Depuis le dbut de lan-ne 2015, les labora-toires de spectromtriede la qualit fonctionnent avecun nouveau logiciel dexploita-tion plus performant, appelOXSAS sous Win7, apprend-on auprs de la cellule de com-munication du complexe sid-rurgique dEl-Hadjar. Dans sadernire dition, la revue Usineinfo met en exergue ce sujet

    lexprience acquise avec lan-cienne version de transfert quia permis lquipe de travailcompose de cadres des labos etIT de russir la mise en placedune nouvelle base de donnessous SQL server accessible viale rseau informatique de len-treprise. Cette action a permis, selon lamme source,de rduire consi-drablement les temps de rpon-

    se et les erreurs de communica-tion ainsi que le transfert desdonnes vers SAP pour ltablis-sement rapide des certificatsdanalyses Clients sans trans-cription manuelle pour leschantillons solides (fonte etacier).Le laboratoire central sest dotdun nouveau spectromtre fluorescence (PerformX) pourlanalyse des matires pre-

    mires (minerai, agglomr,laitier et scorie de convertis-seur) qui a t galement confi-gur pour lanalyse et le trans-fert des donnes via le rseau.Toujours selon la mme source,actuellement